Accidents : ADD, chimiques, froid, noyade. Causes mécanismes, symptômes extérieurs, comment les gérer

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1 Accidents : ADD, chimiques, froid, noyade. Causes mécanismes, symptômes extérieurs, comment les gérer Amelia Curd, le 10 janvier 2013

2 METHODOLOGIE A) Mécanismes Rappel des Phénomènes physiques B) Causes/Préventions Les causes: psychologiques physiologiques techniques matériel Quand aux préventions, il s agit d éviter les causes! 2

3 Exemple: «y-a-t-il des causes techniques au barotraumatisme de l oreille?» OUI!! -Méconnaissance des techniques de compensation -Descente trop rapide et tête en bas (canard ) etc. PREVENTIONS -Connaissance des techniques de compensation -Descente lente et tête en haut (phoque) etc. 3

4 METHODOLOGIE suite C) Symptômes/Conséquences D) Que faire en plongée/conduite à tenir E) Traitement 4

5 LES ACCIDENTS I Les Barotraumatismes (rappel) II La toxicité des gaz III Les accidents de décompression IV Les accidents du milieu Le Froid La Noyade 5

6 I LES BAROTRAUMATISMES Loi de.. Boyle-Mariotte! PxV = constante 6

7 II LA TOXICITE DES GAZ Troubles biochimiques 1)Toxicité à l azote (N2) 2)Toxicité au gaz carbonique (CO²) 3)Toxicité à l oxygène (O²) 4)Toxicité au monoxide de carbone (CO) 5) L Apnée Loi de.. Dalton! P p gaz = % gaz x P totale du mélange 7

8 1) TOXICITE A L AZOTE La Narcose a) Mécanismes «Un trouble du raisonnement et du comportement du à la pression partielle importante d azote dans l air respiré» 8

9 1) TOXICITE A L AZOTE La Narcose b) Causes et préventions Psychologiques Physiologiques Techniques Matériel -état de fragilité psychologique -présence de facteurs émotionnels -fatigue, mauvaise forme physique -obésité -alcool -plongée en eau trop froide -plongée profonde sans accoutumance -plongée en eau trouble -descente trop rapide dans le bleu -mauvaise protection vestimentaire 9

10 1) TOXICITE A L AZOTE La Narcose c) Conséquences et symptômes -euphorie -dialogue intérieur, fixation d idées -baisse de l attention, de l activité mentale -surestimation de soi -diminution des capacités intellectuelles L apparition et l intensité de la narcose dépendent de la susceptibilité individuelle de chaque plongeur 10

11 1) TOXICITE A L AZOTE La Narcose d) Que faire en plongée? Remonter! La pp d azote respirée diminuera; les symptômes régressent. e) Conclusion La narcose à l azote est un des risques de la plongée à l air; c est une des raison des limitations des tables à 60m. C est-à-dire 5,6 b! 11

12 2) INTOXICATION AU GAZ CARBONIQUE, CO². Hypercapnie a) Mécanismes Organisme en équilibre = normocapnie Excès de CO² = hypercapnie Lorsque la tension de gaz carbonique dissout est élevée, des effets se manifestent. Le site d action principal du CO² est le cerveau accélération du rythme ventilatoire 12

13 b) Causes et préventions TRAVAIL MUSCULAIRE MAUVAISE QUALITE DU GONFLAGE ESSOUFLEMENT STRESS FROID INERTIE DU DETENDEUR AUGMENTATION DE LA MASSE VOLUMIQUE DE L AIR 13

14 2) INTOXICATION AU GAZ CARBONIQUE, CO². Hypercapnie c) Conséquences et symptômes -maux de tête -difficulté respiratoire -panique ce qui peut mener à -remontée incontrôlée -surpression pulmonaire 14

15 2) INTOXICATION AU GAZ CARBONIQUE, CO². Hypercapnie d) Que faire en plongée? Conduite à tenir: -Prévenir -Forcer l expiration -Arrêter les efforts -Remonter La prévention passe par la connaissance de ses limites! 15

16 3) TOXICITE A L OXYGENE a) Mécanismes Hyperoxie A des pressions élevés, l oxygène a des effets toxiques sur le système nerveux «effet Paul BERT» et sur l appareil pulmonaire «effet Lorrain SMITH» Hyperoxie: pp oxygène > 0,2 bar 16

17 3) TOXICITE A L OXYGENE Hyperoxie b) Causes et préventions Limiter le temps d exposition a de telles valeurs de pp0 2 = ne pas dépassez une P absolue de 1,6 bar! Ce qui veut dire: pas de paliers à l O 2 pur en-dessous de 6m! Connaître les limites imposées par la toxicité de l oxygène 17

18 3) TOXICITE A L OXYGENE Hyperoxie c) Conséquences et symptômes Effet PAUL BERT -gêne respiratoire -toux -œdème pulmonaire Effet LORRAIN SMITH -crampes -nausée -crise d épilepsie d) Que faire en plongée? Soustraire le plongeur de cette atmosphère toxique Traiter éventuellement les accidents associés 18

19 4) TOXICITE AU MONOXIDE DE CARBONE Introduction : Le monoxyde de carbone est inodore et incolore => indétectable sans appareil Présent dans les gaz d échappement (voitures, certains compresseurs, cigarettes...) Combustion des gaz (chaudières ) a) Mécanismes : CO se fixe sur l hémoglobine (Hb) des globules rouges (hématies) du sang, il prend la place de O 2 et de CO 2 HbCO, composé toxique, est beaucoup plus stable que HbO 2 et HbCO 2, il est très difficile à dissocier! => asphyxie! 19

20 4) TOXICITE AU MONOXIDE DE CARBONE b) Causes et préventions Technique Il est vital que la prise d air du compresseur soit à l abri des gaz d échappement des voitures, des bateaux, du compresseur et surtout des fumeurs! 20

21 4) TOXICITE AU MONOXIDE DE CARBONE c) Conséquences et symptômes à la pression atmosphérique % volumique CO/air : effets : 0,005% rien 0,01% maux de tête 0,05% trouble de la vue, bourdonnements, respiration difficile, paralysie des jambes 0,1% perte de connaissance 0,2% syncope, mort rapide 0,5% mort 1% encore plus mort 21

22 4) TOXICITE AU MONOXIDE e) Traitement DE CARBONE Oxygénothérapie normobare et évacuation d urgence Oxygénothérapie hyperbare (caisson) Eventuellement transfusion sanguine 22

23 a) Mécanismes 5) L APNÉE La cause principale des syncopes chez l apnéiste est l hyperventilation. «L envie» de respirer provient d un excès de CO 2 qui produit alors une «soif d air» Par contre un manque d oxygène n alerte pas les centres régulateurs de la respiration En cas d hyperventilation l apnéiste abaisse anormalement son taux de CO 2 et donc retarde le seuil de déclenchement de «l envie de respirer» Le corps se met en veille; c est la syncope anoxique 23

24 5) L APNÉE Danger de l hyperventilation en apnée O 2 seuil hypoxique PPO 2 < 0,16 seuil hypercapnique CO 2 temps

25 5) L APNÉE Danger de l hyperventilation en apnée Nous pouvons voir que l hyperventilation est sans effet sur le taux d O 2. Le sang en étant déjà saturé. Il n y a donc pas de décalage de la courbe O 2, comme il y a pour le CO 2. L hyperventilation n apporte rien au niveau de l O 2 La PPCO 2 continuant à progresser après la syncope (du fait du fonctionnement des organes), la reprise inspiratoire aura lieu dès le franchissement du seuil de rupture de l apnée. Si cette reprise à lieu dans l air, pas de souci. Si c est dans l eau il y aura alors noyade.

26 5) L APNÉE b) Causes et Préventions Une évidence: ne jamais chasser ou faire de l apnée seul! Ne pas pratiquer l hyperventilation! Privilégier l apnée dynamique à l apnée statique Pensez à privilégier l expiration pour abaisser le taux de CO 2 En nage, de temps en temps soufflez par le nez pour éviter de ré-inspirer le CO 2 qui s accumule dans le tuba. 26

27 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) a) Mécanismes A la descente: Plus on..reste longtemps, descend profond, plus l azote se dissout dans nos tissus Si la remontée est trop rapide ou les paliers nonfait: Le débit de gaz sortant du tissu est trop important pour être transporté par le sang sous forme dissoute: apparition de bulles 27

28 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) a) Mécanismes Formation de bulles pathogènes 28

29 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) b) Causes et préventions Psychologiques Physiologiques -état de fragilité psychologique -stress -travail musculaire avant, pendant après la plongée -essoufflement, froid -altitude après plongée -Valsava à la remontée -méforme physique -susceptibilité individuelle 29

30 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) b) Causes et préventions Techniques Matériel -méconnaissance des tables -méconnaissance de l ordinateur -remontée trop rapide (> 15-17m/mn) -impossibilité technique d effectuer des paliers -plongée profonde ou de longue durée -plongées successives ou profil yo-yo -manque de précision du bathymètre -lestage 30

31 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) c) Conséquences et symptômes Classés en 2 catégories selon leur sévérité Accidents Bénins (type I) Accidents Graves (type II) Accidents cutanés Bends Fatigue Malaise Accidents medullaires Accidents cérébraux Accidents vestibulaires Chokes 31

32 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) c) Conséquences et symptômes Du plus bénin au plus important Fatigue intense Problèmes cutanées (puces, moutons) Fourmillements Vertiges ou nausées Difficulté à uriner Trouble de la coordination, paralysie Troubles de la conscience ou du langage Perte de sensibilité 32

33 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) Les ADD sont: -rares -surviennent surtout en dehors de structure de club -très bien traités en France et dans la plupart des destinations touristiques de plongée 33

34 III LES ACCIDENTS DE DECOMPRESSION (ADD) d) Conduite à tenir Mettre au sec, déséquiper, réchauffer, réconforter Aspirine si conscient (500 mg max non effervescent) Oxygène (15l/mn) Faire boire abondamment Noter les paramètres de plongée Alerter les secours 34

35 35

36 IV LES ACCIDENTS DU MILIEU 1) Le froid 2) La noyade 36

37 1) LE FROID a) Mécanismes L homme est homéotherme 37 C de température centrale doit être maintenue pour protéger ses organes vitaux 37

38 1) LE FROID b) Causes et préventions Psychologiques Physiologiques Techniques -état de fragilité psychologique -refroidissement de la nuque et de la tête -accoutumance et susceptibilité individuelle -alimentation mal adapté, fatigue -plongée en eau trop froide -durée de plongée inadapté aux capacités du plongeur 38

39 1) LE FROID b) Causes et préventions Matériel -mauvaise protection vestimentaire -ventilation d air comprimé c) Conséquences et symptômes Hypothermie -froid, pâleur, extrémités froides -envie d uriner -augmentation du rythme cardiaque -augmentation du rythme ventilatoire 39

40 1) LE FROID d) Conduite à tenir -mettre au chaud -donner à boire une boisson chaude sucrée, NON ALCOOLISEE! -en cas de difficultés respiratoires: Oxygène -relever les paramètres de plongée -évacuer vers un centre de réanimation Le froid favorise l ADD! Ne pas oublier qu au moment où s installe le frissonnement, le corps s est déjà considérablement refroidi. Dés qu un plongeur souffre du froid, il faut terminer la plongée! 40

41 2) LA NOYADE a) Mécanisme La noyade est une asphyxie aigue secondaire à une inondation alvéolaire. Sa gravité dépend de l importance de l inondation alvéolaire. 41

42 2) LA NOYADE b) Causes et préventions Psychologiques Physiologiques Techniques Matériel -choc émotionnel -stress, peur, panique -méforme physique -allergie -toutes les raisons inhérentes à la plongée -savoir nager -toutes les raisons inhérentes à la plongée 42

43 2) LA NOYADE c) Conséquences et symptômes Aquastress Petit Hypoxique Grand Hypoxique -eau avalée en petite quantité -tremblements, fatigue, angoisse, froid -eau avalée et inhalée -gêne respiratoire et toux -grande quantité d eau inhalée -expiration encombrée, somnolence extrémités bleuies Anoxie -inhalation très importante -arrêt respiratoire, coma 43

44 2) LA NOYADE d) Conduite à tenir -Sortir la victime de l eau -Faire le bilan NVC (neurologique, ventilatoire et circulatoire) et agir en conséquence (geste de ranimation vue en secourisme) 44

45 ZEEEEEEEEN! Merci! 45

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