ENTREPÔTS ET MAGASINS

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1 Michel Roux ENTREPÔTS ET MAGASINS Concevoir et améliorer une unité de stockage Troisième édition, 1995, 2001, 2003 ISBN :

2 2 Les phases de simulation de validation de conception Le titre de ce chapitre n'est pas neutre. Les simulations ne sont jamais un outil de conception automatique mais permettent seulement, à la fin de l étude mais avant toute réalisation, de vérifier, à partir des hypothèses retenues et des principes envisagés, que l'on atteint bien les résultats et les performances attendus. Ceci reste vrai quelles que puissent être la qualité et la sophistication des outils et des acteurs mis en œuvre. Par ailleurs, une simulation ne sera valable que si le modèle utilisé et les paramètres qui l'accompagnent sont eux-mêmes valables. Les Anglo-Saxons disent de façon très claire et très lapidaire : "Garbage in, garbage out". Ce qui, traduit en français courtois, pourrait donner : "À modèle et données faux, résultats faux". Les logiciels de simulation peuvent être classés en deux grandes catégories : les logiciels dédiés à des équipements particuliers ; les logiciels généraux permettant d'appréhender les phénomènes stochastiques. 1. LES LOGICIELS DÉDIÉS Ces logiciels ont été développés par les constructeurs de chariots, de transtockeurs ou de robots, voire par certaines ingénieries. Ils ont en mémoire l'ensemble des caractéristiques des matériels concernés (vitesses, rampes d'accélération et de décélération, séquences des mouvements types, etc.) et les modèles dynamiques correspondants. 23

3 Méthodologie : Les différentes phases de conduite d un projet Par exemple, pour réaliser la simulation de l'exploitation d'un magasin avec des chariots grande hauteur, il suffit d'introduire les données propres au magasin comme : le nombre d'allées, la longueur des allées, la hauteur du palettier, la nature ou les temps des prélèvements, etc. La simulation calculera les performances que l'on est en droit d'attendre en nombre de missions par heure ou un taux d'engagement des équipements. Il sera ainsi possible de vérifier que le nombre prévu de chariots ou de transtockeurs est pertinent. Généralement, les simulateurs de cette classe sont dédiés à un seul type de matériel du catalogue du constructeur, il y aura donc autant de simulations que d'équipements différents. Ils permettent néanmoins d'éviter beaucoup de calculs. Par ailleurs, comme ces outils sont purement analytiques, il convient de bien connaître les lois régissant les mouvements et il faut que ceux-ci ne fluctuent pas trop. Ce genre de simulateurs est surtout adapté à des installations ou parties d installation monoéquipement. Une simulation de ce type s'effectue en quelques dizaines de minutes. Chez certains constructeurs, le simulateur traite uniquement des temps théoriques avec des engagements de 100 % ; alors que chez les autres, il intègre un coefficient correcteur, variant de 0,15 à 0,25, qui transforme les temps théoriques des équipements en temps réalistes. On parle quelquefois dans ce cas de coefficient de productivité. Il est nécessaire de bien tenir compte de cette particularité lors d'une étude comparative. Quelques logiciels existants ont une fonctionnalité supplémentaire qui permet d'esquisser très rapidement un nouveau scénario d'implantation de magasin, cette opération s'effectuant avant la simulation proprement dite. Il devient ainsi possible de comparer l'influence de l'implantation sur la productivité du magasin en conception. 2. LES LOGICIELS GÉNÉRAUX Une première génération de langages de simulation, très puissants mais strictement réservés à des spécialistes de haut niveau, est apparue sur le marché dans le courant des années 80 (Q-NAP de l INRIA, SLAM/SIMAN de Pritsker, SIMULA de Nygaard Dahl, etc.). Ensuite, des logiciels beaucoup plus conviviaux et accessibles à tout bon technicien sont arrivés (SIMAN/CINEMA, CADENCE, WITNESS, AUTOMOD, etc.). Ils sont particulièrement bien adaptés à la simulation de projets transitiques qui doivent acheminer des flux très aléatoires. Bien utilisés, les simulateurs permettent des dimensionnements très fins. Une fois encore il est nécessaire de prendre suffisamment de recul lors des simulations. Pourquoi s'acharner à trouver une solution ultra-précise alors que les données du problème varieront sans aucun doute très sensiblement dans les mois ou les années suivant la conception? 24

4 Les phases de simulation de validation de conception 2.1 Les différentes classes Quelques simulateurs sont basés sur la résolution d'équations de Forrester et traitent bien le problème des variations continues ; les autres utilisent la théorie des files d'attente et les lois d'erlang, ils peuvent décrire avec précision des événements bien précis mais demandent des temps de calculs quelquefois importants pour des process rapides. Ce défaut tend à s'estomper rapidement par l'amélioration des logiciels et par la montée en puissance du matériel informatique. Certains simulateurs possèdent d'origine des bibliothèques de modèles : chariots, transtockeurs, convoyeurs, chariots filoguidés, etc. Certains ont des fonctions graphiques évoluées qui animent des vues synoptiques, en couleurs, montrant les équipements en train de se déplacer. Cette fonction n'apporte rien à la valeur de la simulation mais elle favorise grandement le dialogue entre les différents participants au projet, et notamment avec les futurs exploitants. Une simulation de ce type nécessite plusieurs jours ; pour un site complexe, elle peut atteindre plusieurs semaines. Il y a donc lieu de faire appel à une simulation uniquement dans les cas où elle est utile et quand elle est bien préparée. Il est également recommandé de faire appel à de véritables spécialistes de la simulation qui pratiquent ce genre d étude plusieurs fois par an. La courbe ci-après (figure 2.1) montre la simulation d un stock tampon en amont d un aiguillage convergent. L analyse de cette courbe d Erlang va permettre de déterminer la capacité optimale de ce tampon. 2.2 La démarche d'une simulation La démarche à suivre est très rigoureusement la suivante : réflexion et formalisation de ce qu'on attend précisément de la simulation choix des scénarios à valider établissement d'un modèle correspondant au projet validation du modèle lui-même en le testant sur des jeux d'essais dont les résultats sont connus d avance, on parle quelquefois de calibrage du modèle corrections éventuelles du modèle exploitation du modèle, c'est-à-dire simulations proprement dites analyse des résultats synthèse et conclusions itération après modification des données d entrée ou du modèle en cas de résultats non-conformes aux attentes. Une simulation s'impose dans les installations un peu complexes où les flux sont sujets à de forts aléas ; et dès lors que l'on ne peut plus raisonner sur des moyennes. Elle va permettre de vérifier le dimensionnement des équipements mais aussi celui des stocks tampons. 25

5 Méthodologie : Les différentes phases de conduite d un projet Un exemple type où une simulation s'avère indispensable est celui d'un réseau un peu compliqué de chariots filoguidés. Certains concepteurs pourraient être tentés de faire l'impasse sur cette phase d'étude supplémentaire. Ils décident de prévoir un nombre de chariots plutôt bas par économie, ou plutôt haut par prudence en projetant de corriger le tir plus tard, par le rajout de nouveaux chariots ou le retrait de ceux qui semblent inutiles. Si la conception du réseau ne convient pas ou convient mal à l'exploitation souhaitée, l'ajout de nouveaux chariots peut diminuer le trafic en embouteillant inutilement le circuit. À une configuration de réseau donnée et à une exploitation donnée correspond un nombre optimal de chariots pour un trafic maximal. Ce nombre est impossible à déterminer par calcul, la simulation dans ce type de problème est vraiment irremplaçable. Mieux vaut dépenser quelques jours supplémentaires et quelques milliers d euros en phase d'étude que de dépenser des sommes, hors de comparaison, pour reprendre un investissement. Les scénarios de la simulation pourront s'appliquer non seulement à l'exploitation normale mais également aux modes de marche perturbée. La robustesse d'une installation pourra ainsi être mesurée en simulant l'indisponibilité d'un équipement pendant le temps présumé nécessaire à sa remise en service. La mesure sera donnée par la taille des accumulations résultantes et / ou des pertes de production. La figure 2.1 montre le résultat de la simulation du taux d occupation d une accumulation se situant en amont d un aiguillage divergent. Le concepteur choisira sans doute de dimensionner ce stock tampon à 4 ou 5 places pour résoudre 98 ou 99 % des occurrences. 2.3 Les études de sensibilité Les études de sensibilité sont des simulations dans lesquelles on ne fait varier qu'un seul paramètre d'entrée à la fois pour examiner l'influence de cette variation sur les résultats. Ce genre d'étude permet, par exemple, de discriminer les équipements critiques ou au contraire les équipements sous-utilisés. Cela permet aussi d'analyser les variations non linéaires à proximité des sauts de la courbe. Une application pratique dans le domaine des magasins est l'étude des variations de taille des tournées de préparation : quelle est la taille optimale? Plutôt grande pour pouvoir mieux optimiser ou plutôt petite pour avoir une meilleure réactivité? 26

6 Les phases de simulation de validation de conception Figure 2.1 Simulation d une accumulation en amont d un divergent 27

7 Michel Roux ENTREPÔTS ET MAGASINS Concevoir et améliorer une unité de stockage Troisième édition, 1995, 2001, 2003 ISBN :

8 Sommaire Introduction La complexité des magasins Le «zéro stock» L entrepôt : maillon de la Supply chain Entrepôts et e-commerce... 3 Organisation de l ouvrage Le fil directeur À qui s adresse cet ouvrage? LES MAGASINS EXISTANTS LES NOUVEAUX MAGASINS... 6 Partie 1 Méthodologie : Les différentes phases de conduite d un projet Introduction Sites existants, nouveaux entrepôts, transferts Les différentes phases d'un projet Chapitre 1 Les phases d'études Le plan directeur L avant-projet sommaire L'avant-projet détaillé UN NOUVEAU RECUEIL DE DONNÉES LE TRAITEMENT DES DONNÉES DE BASE UNE DESCRIPTION DU FONCTIONNEMENT DU MAGASIN LA DÉFINITION DES IMPLANTATIONS LA DESCRIPTION DE L'INSTALLATION UNE SIMULATION DE DIMENSIONNEMENT UNE ÉVALUATION DES BUDGETS EXEMPLE D'UNE PRÉVISION BUDGÉTAIRE EXEMPLE D'UNE PRÉVISION DES AMORTISSEMENTS ET COÛTS D'EXPLOITATION UN CALENDRIER V

9 ENTREPÔTS ET MAGASINS Chapitre 2 Les phases de simulation de validation de conception Les logiciels dédiés Les logiciels généraux LES DIFFÉRENTES CLASSES LA DÉMARCHE D'UNE SIMULATION LES ÉTUDES DE SENSIBILITÉ Chapitre 3 Les phases de réalisation Les consultations LES DOSSIERS DE CONSULTATION LE NOMBRE DE LOTS LE CAHIER DES CHARGES LES PÉNALITÉS DE RETARD LA DÉCOMPOSITION DES PRIX LE CALENDRIER GÉNÉRAL DE L OPÉRATION LES SERVICES ANNEXES Les contrats de travaux ÉTABLISSEMENT DE LA LISTE DES CONSULTÉS LES RÉPONSES AUX QUESTIONS DES CONSULTÉS LE DÉPOUILLEMENT DES OFFRES L'ALIGNEMENT TECHNIQUE DES OFFRES LE COMPARATIF LES NÉGOCIATIONS LA PASSATION DE COMMANDE La direction des travaux Les recettes RECETTES USINE ET RECETTES SITE LES CAHIERS DE RECETTE LA RÉDACTION DES CAHIERS DE RECETTE RECETTE PROVISOIRE ET RECETTE DÉFINITIVE Les transferts La mise en exploitation La disponibilité DÉFINITIONS LA MESURE DE LA DISPONIBILITÉ Chapitre 4 Le planning d un projet Les risques de dérive LA DISPONIBILITÉ DES DONNÉES DE BASE LES QUALITÉS GÉOPHYSIQUES DU TERRAIN L ENQUÊTE PUBLIQUE VI

10 Sommaire Chapitre 5 Les conditions de la réussite Le vrai problème des études gratuites LA POSITION DES UTILISATEURS FINAUX LA POSITION DES CONSTRUCTEURS LES INCONVÉNIENTS LES SOLUTIONS Résister à la tentation de vouloir aller trop vite SOIGNER LE RECUEIL DES DONNÉES RESPECTER LES ÉTAPES DE L'AVANT-PROJET PENSER BESOINS AVANT MOYENS NE PAS COURT-CIRCUITER LES ESSAIS EN PLATE-FORME Éviter les oublis Associer les flux physiques et d'informations Préparer les futurs exploitants INFORMATIONS PARTICIPATION DES FUTURS EXPLOITANTS FORMATIONS Partie 2 Concevoir la partie physique du magasin Chapitre 6 Les décisions pré-requises Le nombre d entrepôts LE POINT DE VUE ÉCONOMIQUE LES AUTRES POINTS DE VUE La situation de l entrepôt La définition du stock à accueillir REMARQUE PRÉLIMINAIRE LE STOCK CIBLE La définition des contraintes transport Le format des cartons détail et le calage Chapitre 7 Les données statiques Les familles logistiques LA NOTION DE FAMILLE LOGISTIQUE LES FAMILLES DÉPENDANT DE LA NATURE DES PRODUITS LES FAMILLES DÉPENDANT DES AGRÈS UTILISÉS LES FAMILLES DÉPENDANT DE DONNÉES COMMERCIALES LES FAMILLES DÉPENDANT DU VOLUME LES FAMILLES DÉPENDANT DU POIDS LES INCOMPATIBILITÉS AUTRES CRITÈRES Les articles Les conditionnements collectifs VII

11 ENTREPÔTS ET MAGASINS 3.1 LES PALETTES NORMALISÉES PALETTES PRISONNIÈRES LES PALETTES «PERDUES» LES PALETTES EN POOL LES BACS LES AUTRES CONDITIONNEMENTS Les conditionnements intermédiaires Les données logistiques La quarantaine Chapitre 8 Le dimensionnement statique des besoins La volumétrie du stock Les saisonnalités LES VARIATIONS ANNUELLES LES VARIATIONS MENSUELLES LES VARIATIONS HEBDOMADAIRES LES VARIATIONS JOURNALIÈRES L'évolution dans les cinq ans à venir LES CHANGEMENTS DE FORMATS L ÉVOLUTION DE L ACTIVITÉ Chapitre 9 Les données dynamiques Les différents flux Les flux d'arrivée LES ORIGINES LES MODES DE TRANSPORT La préparation de commandes LES VALEURS DIMENSIONNANTES LA CONSOLIDATION LES ACCÈS LE DÉLAI DE PRÉPARATION Les retours et les litiges Les flux sortants Les flux internes annexes LES RÉAPPROVISIONNEMENTS ET RÉAGENCEMENTS LES INVENTAIRES LES «SORTIES DU CHEF» Les opérations à valeur ajoutée LES CONDITIONNEMENTS ET RECONDITIONNEMENTS L ÉTIQUETAGE LA SPÉCIALISATION RETARDÉE LE CO-PACKING LA PRÉPARATION DES PLV LES ÉCHANTILLONS Le classement ABC VIII

12 Sommaire 8.1 LE PRINCIPE LA CLÉ DE TRI LES CONCLUSIONS À TIRER Chapitre 10 Le dimensionnement dynamique Le calcul des flux Les variations de flux LES VARIATIONS SAISONNIÈRES LES VARIATIONS DIFFICILEMENT PRÉVISIBLES L'ÉVOLUTION À CINQ ANS Les périodes dimensionnantes L ÉCRÊTEMENT DES POINTES LE TRAITEMENT DES POINTES LES EXTENSIONS Le schéma des flux Partie 3 Concevoir les différentes zones fonctionnelles de l entrepôt Chapitre 11 La conception de l amont et du stockage La zone de rétention entre production et magasin Les quais d'arrivée LA COUR D ARRIVÉE ET LES ACCÈS LES QUAIS ROUTIERS L ÉQUIPEMENT DES QUAIS ROUTIERS LE NOMBRE DE QUAIS LES QUAIS RAIL LES QUAIS DESTINÉS AUX VÉHICULES LÉGERS LA RAMPE D ACCÈS POUR VÉHICULES LÉGERS LA ZONE AVANT QUAIS LE POINT D ACCROCHAGE PALAN LE CHARGEMENT GLOBAL Les zones de contrôle CONTRÔLES QUANTITATIFS CONTRÔLES QUALITATIFS CONTRÔLES ADMINISTRATIFS Les zones de conditionnement ou reconditionnement Les zones de quarantaine La pertinence d un stock unique LA DÉFINITION DU MODE DE STOCKAGE LES MOYENS SPÉCIFIQUES La définition des volumes du palettier L ORIENTATION DES PALETTES IX

13 ENTREPÔTS ET MAGASINS 7.2 LES JEUX DE FONCTIONNEMENT LA STRUCTURE DU PALETTIER LUI-MÊME LA PROTECTION INCENDIE LES POTEAUX ET CANALISATIONS DIVERSES LES PASSAGES PIÉTONS L OPTIMISATION DU TAUX D'OCCUPATION LA DÉFINITION DES ALLÉES DE SERVICE LA SPÉCIALISATION DES ALLÉES LE CHOIX D'UNE HAUTEUR DE STOCKAGE L automatisation du stockage LES CRITÈRES OBJECTIFS DE CHOIX LES AVANTAGES ET LES INCONVÉNIENTS DES SOLUTIONS AUTOMATIQUES LA TENDANCE Chapitre 12 La conception de la préparation de commandes et de l aval Les éléments à prendre en compte LES SOLUTIONS INÉLUCTABLES L ANALYSE DES DONNÉES DE BASE LES CONTRAINTES L organisation des prélèvements LE PRÉPARATEUR SE DÉPLACE VERS LES ARTICLES LES ARTICLES VIENNENT AU PRÉPARATEUR LES SOLUTIONS MIXTES OÙ LES DÉPLACEMENTS SONT LIMITÉS LES SOLUTIONS ENTIÈREMENT AUTOMATIQUES Le transfert des prélèvements LES PRÉLÈVEMENTS SONT ACCOMPAGNÉS LES TRANSFERTS AUTOMATIQUES Les grands modes de préparation LE MODE DE PRÉPARATION DÉTAIL «PICK THEN PACK» LE MODE DE PRÉPARATION DÉTAIL «PICK AND PACK» AIDES AU PRÉLÈVEMENT L ORGANISATION «PICK TO BELT» L ORGANISATION «PICK AND SORT» LA PRÉPARATION «GRANDE VITESSE» Optimisation des mouvements Le contrôle pondéral LE PRINCIPE DU CONTRÔLE PONDÉRAL LES FAIBLESSES DU DISPOSITIF LA MEILLEURE SOLUTION LES PERFORMANCES DES ÉQUIPEMENTS Le dimensionnement des zones de préparation LA PRÉPARATION DES PALETTES COMPLÈTES LA PRÉPARATION DES COLIS STANDARDS LA PRÉPARATION DÉTAIL X

14 Sommaire 7.4 LA PRÉPARATION «GRANDE VITESSE» QUELQUES CHIFFRES La zone de consolidation Les zones d'emballage Les zones de contrôle départ Les zones d'attente de départ Chapitre 13 La conception globale avec les zones annexes Le stockage des palettes vides Les allées de circulation Les circulations de sécurité Les magasins traversants et les quais départ Les locaux techniques LOCAL DE CHARGE BATTERIES LOCAL DE MAINTENANCE LOCAL INFORMATIQUE LOCAL ÉLECTRIQUE LOCAL DES ÉQUIPEMENTS DE SÉCURITÉ COMPACTEUR DIVERS Les bureaux et salles de réunion Les locaux sanitaires et sociaux L implantation générale LA MULTIPLICITÉ DES SOLUTIONS L INDICE LOGISTIQUE Cas particuliers LES ENTREPÔTS FRIGORIFIQUES LES ENTREPÔTS PHARMACEUTIQUES LES ENTREPÔTS DE DENRÉES ANIMALES Chapitre 14 Le choix du terrain Les qualités requises du terrain Les qualités requises de l environnement Chapitre 15 Le bâtiment La construction LA HAUTEUR UTILE LE CONCEPT LES CHARPENTES Les sols RÉSISTANCE AUX PRESSIONS PLANÉITÉ HORIZONTALITÉ ENTRETIEN REPRISE DE NON-CONFORMITÉS XI

15 ENTREPÔTS ET MAGASINS Partie 4 Les différents équipements Chapitre 16 Les équipements statiques Les palettiers LA STRUCTURE DES PALETTIERS LES TOLÉRANCES LES RÈGLES DE CALCUL IDENTIFICATION DES ADRESSES LES CONSOLES LES BUTÉES ARRIÈRE AUTRES DISPOSITIONS DE SÉCURITÉ LES PALETTIERS PORTEURS LES PALETTIERS D OCCASION Le stockage des charges longues Les casiers Le stockage mobile Le stockage dynamique Chapitre 17 Les équipements mobiles Les transpalettes TRANSPALETTES MANUELS TRANSPALETTES ÉLECTRIQUES Les gerbeurs à bras porteurs Les chariots élévateurs à fourches frontales LES MODÈLES ARTICULÉS LES ÉQUIPEMENTS LA LEVÉE LIBRE ET NOMBRE DE SECTIONS LE CENTRE DE GRAVITÉ DE LA CHARGE ET LA CHARGE RÉSIDUELLE Les chariots à mât rétractable Les chariots à fourche tridirectionnelle LE PRINCIPE DES FOURCHES ASSISTANCE AU POSITIONNEMENT LES DISPOSITIFS DE GUIDAGE LES DISPOSITIFS DE SÉCURITÉ Les chariots à fourche bidirectionnelle Les chariots préparateurs LES CHARIOTS DE PRÉPARATION AU SOL LES CHARIOTS DE PRÉPARATION À BASSE LEVÉE LES CHARIOTS DE PRÉPARATION À MOYENNE ET À HAUTE LEVÉE Les chariots combinés Les chariots omnidirectionnels Remarques générales sur les batteries CAPACITÉ FRÉQUENCE DES CHARGES XII

16 Sommaire 10.3 REMPLISSAGE CENTRALISÉ LES BATTERIES AU GEL LA RÉCUPÉRATION D ÉNERGIE Les transtockeurs LE PRINCIPE LES SÉCURITÉS LES INTERFACES PHYSIQUES LES LIAISONS ENTRE TRANSTOCKEURS ET ÉQUIPEMENTS FIXES LES TRANSTOCKEURS MANUELS LES TRANSTOCKEURS AUTOMATIQUES LES TRANSTOCKEURS À ACCUMULATION LES CYCLES SIMPLES ET COMBINÉS LES CHANGEMENTS D ALLÉES LE CALCUL DES PERFORMANCES LE MONTAGE DES TRANSTOCKEURS LE CONTRÔLE GABARIT LES MINI TRANSTOCKEURS Le stockage automatique à chariots autonomes LE PRINCIPE LES AVANTAGES ET LES INCONVÉNIENTS Les armoires rotatives LE PRINCIPE LES AVANTAGES ET LES INCONVÉNIENTS Les silos à tiroirs Les carrousels Les automates de préparation de commandes LE PRINCIPE LES AVANTAGES ET LES INCONVÉNIENTS L accueil des prélèvements manuels Les robots préparateurs LES ROBOTS À POSTE FIXE LES ROBOTS MOBILES Les palettiseurs Les différents convoyeurs LE CONVOYAGE DES PALETTES LE CONVOYAGE DES COLIS ET DES BACS LES CONVOYEURS AÉRIENS Les chariots autoguidés LES CHARIOTS FILOGUIDÉS LE GUIDAGE PAR BALISES LES AUTRES SYSTÈMES DE GUIDAGE Les machines de tri LES MACHINES À POUSSOIRS LES MACHINES À ÉCHARPES LES TRIEURS À GALETS DÉVIATEURS XIII

17 ENTREPÔTS ET MAGASINS 22.4 LES MACHINES À TAQUETS MOBILES LES MACHINES «CROSS BELT» LES MACHINES À PLATEAUX BASCULANTS AUTRES TECHNOLOGIES L'INDEXATION DU TRI Les machines d'emballage CARACTÉRISTIQUES DES ARTICLES DE CONDITIONNEMENT LES DIFFÉRENTS TYPES DE CONDITIONNEMENT DISPONIBLES Le chargement global Chapitre 18 Le calcul des temps opératoires Méthode de calcul DÉCOMPOSITION DES TÂCHES UNITÉS DE TEMPS COEFFICIENTS ET TEMPS UNITAIRES LA DÉFINITION DES TEMPS PREMIER EXEMPLE : UNE MISSION DE CHARGEMENT DE CAMION SECOND EXEMPLE : UNE TOURNÉE DE PRÉPARATION CONCLUSION Partie 5 Le logiciel de gestion d un magasin générique Chapitre 19 La gestion du magasin Remarques préliminaires La gestion des stocks et la gestion du magasin LA GESTION DES STOCKS LA GESTION DU MAGASIN ÉCHANGES ENTRE GESTION DES STOCKS ET GESTION DU MAGASIN La gestion des données techniques LA CONFIGURATION DE L'ENTREPÔT LES MOYENS LES GAMMES LOGISTIQUES LES ARTICLES LES ARTICLES DE CONDITIONNEMENT LES TRANSPORTEURS L'ÉVOLUTION DES DONNÉES La gestion de l'activité globale PLAN D'ACTIVITÉ ÉTAT D'AVANCEMENT CALCUL D'INDICATEURS AFFICHAGE DANS LE MAGASIN Historisation de l'activité La traçabilité DÉFINITION DE LA TRAÇABILITÉ XIV

18 Sommaire 6.2 LA TRAÇABILITÉ ASCENDANTE LA TRAÇABILITÉ DESCENDANTE LE RÔLE DE LA TRAÇABILITÉ La gestion des entrées magasin LA SAISIE DES ENTRÉES VENANT DE LA PRODUCTION LE TRAITEMENT DES ENTRÉES VENANT DE L'EXTÉRIEUR EXEMPLE D UN FICHIER DE RÉCEPTION LA CRÉATION DE NOUVELLES RÉFÉRENCES LES RETOURS LES CHANGEMENTS DE STATUT L'AFFECTATION AUTOMATIQUE DES ADRESSES DE STOCKAGE L ENREGISTREMENT DES ADRESSES DE STOCKAGE LE COMPLÈTEMENT D'UNE COMMANDE EN RÉTENTION L ÉDITION D UNE ÉTIQUETTE La gestion des emplacements TENUE À JOUR DE L'ÉTAT DES GISEMENTS CORRÉLATION ADRESSES ARTICLES ÉTAT STATISTIQUE DU STOCK GESTION DU STATUT «RÉSERVÉ» LE SUIVI DES ENCOURS La gestion des palettes prisonnières La gestion des mouvements internes LES TRANSFERTS VERS LE STOCK LES TRANSFERTS DU STOCK DE MASSE VERS LES ZONES DE PRÉLÈVEMENT LE RÉAMÉNAGEMENT DU STOCK Les contrôles périodiques Les inventaires DÉFINITION L'INVENTAIRE PERMANENT L'INVENTAIRE INTERMITTENT L'INVENTAIRE TOURNANT LE CALCUL DE SEUILS MODALITÉS D UN CONTRÔLE D INVENTAIRE La gestion des préparations de commandes LA RÉCEPTION DES COMMANDES EXEMPLE D UN FICHIER COMMANDES LES DÉLAIS D EXPÉDITION LES MODES DE TRANSMISSIONS DES COMMANDES LA CONSTITUTION DES VAGUES LA DÉCOMPOSITION EN LIGNES LES CRITÈRES DE CHOIX DES ADRESSES DE PRÉLÈVEMENT LE CHOIX DES ADRESSES DE PRÉLÈVEMENT LES CRITÈRES DE CONSTITUTION DES TOURNÉES L'OPTIMISATION DES TOURNÉES LES CYCLES COMBINÉS XV

19 ENTREPÔTS ET MAGASINS LES EXCEPTIONS LE PRÉCOLISAGE LA TRANSMISSION DES INSTRUCTIONS DE PICKING LE COMPTE RENDU DE BONNE EXÉCUTION EXEMPLE D UN FICHIER DE COMPTE RENDU La gestion des sorties CONSOLIDATION DES ENVOIS LE REGROUPEMENT PAR DESTINATIONS CONTRÔLES MARQUAGE LA GESTION DES PALETTES POOL ÉTIQUETAGE Affectation des zones ZONES DE RÉTENTION LES QUAIS L'annulation de commande tardive Gestion des chargements LE PLAN DE CHARGEMENT LE CONTRÔLE Génération des documents d'expédition LES DOCUMENTS EXEMPLE DE DOSSIER La préfacturation LA FONCTION SIMULATION LA FONCTION VÉRIFICATION Les sorties exceptionnelles Les programmes utilitaires LES INTERFACES DE COMMUNICATION VERS LE NIVEAU SUPÉRIEUR LES INTERFACES DE COMMUNICATION AVEC LES ÉQUIPEMENTS LA FONCTION TABLEUR L'ÉCHANGE DE DONNÉES INFORMATIQUES LES INTERFACES OPÉRATEURS Des fonctions annexes L AIDE À LA MAINTENANCE LA GESTION TECHNIQUE DU BÂTIMENT Les apports d une gestion informatisée Chapitre 20 Les moyens à mettre en œuvre Les moyens logiciels LES PROGICIELS ET LES LOGICIELS D'APPLICATION L'ASPECT JURIDIQUE LE RENSEIGNEMENT DE LA BASE DE DONNÉES Les moyens matériels LES CALCULATEURS LES RÉSEAUX LOCAUX XVI

20 Sommaire Chapitre 21 L'identification automatique et les terminaux mobiles L identification automatique LES CODES À BARRES LES ÉTIQUETTES ÉLECTRONIQUES CODES À BARRES OU ÉTIQUETTES ÉLECTRONIQUES? Ce qui peut être identifié LES DOCUMENTS LES ARTICLES LES CONTENEURS ET PALETTES LES ADRESSES DE STOCKAGE LES EMPLACEMENTS QUAI LE PERSONNEL Les saisies que l'on peut automatiser LES ENTRÉES LA MISE EN STOCK LES PRÉLÈVEMENTS LE REGROUPEMENT ET LES SORTIES LES INVENTAIRES PHYSIQUES L AUTOMATISATION DU RÉSEAU TRANSITIQUE LE CONTRÔLE D'ACCÈS Le choix d'un code LE CODAGE DES UV LE CODAGE DES PCB LE CODAGE DES COLIS ET PALETTES L impression des codes à barres ÉTIQUETTES À COLLER POSTES AUTOMATIQUES DE POSE D ÉTIQUETTES LE JET D ENCRE Les apports de l'identification automatique PRODUCTIVITÉ QUALITÉ Les terminaux mobiles LA TAILLE DE L ÉCRAN L ALIMENTATION ÉLECTRIQUE LE MODE DE COMMUNICATION LES APPORTS DES TERMINAUX MOBILES Chapitre 22 Les marches exceptionnelles La mise en place du système LE NOUVEAU MAGASIN LE TRANSFERT D'UN MAGASIN EXISTANT L'IMPLANTATION D'UN NOUVEAU LOGICIEL DANS UN MAGASIN EXISTANT Les marches dégradées LES PANNES DU SYSTÈME SUPÉRIEUR XVII

21 ENTREPÔTS ET MAGASINS 2.2 LES PANNES DU SYSTÈME LUI-MÊME LES PANNES DES ÉQUIPEMENTS Chapitre 23 Les tableaux de bord de l'entrepôt Les tableaux de bord : outils du management Le suivi des indicateurs internes LE SUIVI DU PERSONNEL LE SUIVI DES ÉQUIPEMENTS LE SUIVI DES AGRÈS LE SUIVI DES CONSOMMABLES LE SUIVI DES CONSOMMATIONS D'ÉNERGIES ET DE FLUIDES LE SUIVI DES DÉCHETS LE SUIVI DU BUDGET LE SUIVI DES INVESTISSEMENTS LE SUIVI DU PLAN D'AMÉLIORATION L image de l inventaire L INVENTAIRE PAR RÉFÉRENCE L INVENTAIRE PAR DATES L INVENTAIRE PAR ORIGINE L INVENTAIRE PAR N DE LOT L INVENTAIRE PAR ADRESSE L INVENTAIRE PAR CLASSEMENT ICPE Le suivi de l'activité LA DÉCOMPOSITION DES POSTES LES INDICATEURS STATIQUES LES INDICATEURS DYNAMIQUES CLASSEMENT ABC DES ARTICLES EN DYNAMIQUE L'AVANCEMENT DE L'INVENTAIRE TOURNANT Le suivi de la productivité LE «PRÉSENTÉISME» LES RATIOS D'ACTIVITÉ LE TAUX D'ENGAGEMENT DES ÉQUIPEMENTS AUTRES CLASSEMENTS Le suivi de la qualité LE TAUX DE SERVICE LE SUIVI DES RETARDS LES ÉCARTS D'INVENTAIRE LE NOMBRE DE LITIGES JUSTIFIÉS LE SUIVI DES PROCÉDURES LE SUIVI DES AUDITS LE SUIVI DES LIVRAISONS LES INDICATEURS SPÉCIFIQUES Le suivi de la sécurité LE SUIVI DES MESURES PRÉVENTIVES LE SUIVI DES ACCIDENTS XVIII

22 Sommaire 8. Le journal de bord La génération de rapports Partie 6 La sécurité Chapitre 24 La sécurité de l'entrepôt Les différents acteurs de la démarche LE MAÎTRE D'OUVRAGE L'ARCHITECTE ET LE CONCEPTEUR L'EXPERT "SÉCURITÉ" LA DRIRE LES SAPEURS-POMPIERS L'APSAD LE FMS LA COMPAGNIE D'ASSURANCES CONCERNÉE LE MAÎTRE D'ŒUVRE L'EXPLOITANT Les textes législatifs et réglementaires LA LOI DU 19 JUILLET LA CIRCULAIRE DU 4 FÉVRIER 1987 RELATIVE AUX ENTREPÔTS LES DÉCRETS DU 7 JUILLET 1992, DU 29 DÉCEMBRE 1993 ET DU 9 JUIN L'ARRÊTÉ MINISTÉRIEL DU 1ER MARS ARRÊTÉS DU 21 FÉVRIER 1990, DU 25 NOVEMBRE 1993 ET DU 5 MAI LA CIRCULAIRE DU MINISTÈRE DU TRAVAIL DRT 94/ LE RÈGLEMENT POUR LE TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES PAR ROUTE LE DÉCRET DU 13 JUILLET La logique de la démarche La nature des risques potentiels L'importance du facteur temps Les chocs LES CAUSES DE CHOCS L'ÉLIMINATION DES RISQUES ET LA RÉDUCTION DE LA CRITICITÉ L'incendie LES CAUSES L'ÉLIMINATION DES RISQUES ET LA RÉDUCTION DE LA CRITICITÉ LE PERMIS DE FEU L'explosion LES CAUSES L'ÉLIMINATION DES RISQUES ET LA RÉDUCTION DE LA CRITICITÉ L'inondation LES CAUSES L'ÉLIMINATION DES RISQUES ET LA RÉDUCTION DE LA CRITICITÉ La pollution de l'air XIX

23 ENTREPÔTS ET MAGASINS 11. La pollution de l'eau LES CAUSES L'ÉLIMINATION DES RISQUES ET LA RÉDUCTION DE LA CRITICITÉ Le cas particulier des aérosols LA DÉFINITION LES MESURES SPÉCIFIQUES Les risques particuliers Les salles de charge des batteries Les sprinkleurs DÉFINITION ET PRINCIPES LES DIFFÉRENTS TYPES DE SYSTÈMES LES DIFFÉRENTS TYPES DE TÊTES LE CHOIX D UN TYPE DE SYSTÈME ET DE TÊTES Les consignes Le dossier de demande d autorisation LE RÔLE DU DOSSIER LE CONTENU DU DOSSIER Les équipes de secours LES TEXTES LA COMPOSITION DE L'ÉQUIPE ET LES RÔLES Les audits Les textes réglementaires LES PRINCIPAUX TEXTES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES FRANÇAIS LES TEXTES EUROPÉENS LES TEXTES DE L APSAD LES TEXTES DES CRAM LES TEXTES DE L INRS LES TEXTES DES ORGANISMES PROFESSIONNELS Chapitre 25 Proposition d audit de sécurité Méthode proposée Les fiches guides Partie 7 Améliorer une unité de stockage Chapitre 26 Méthode d amélioration rapide d un entrepôt Initialisation du projet Rationalisation du stock ANALYSE DE L'EXISTANT ET «NETTOYAGE» «JUSTE À TEMPS» SPÉCIALISATION RETARDÉE AUTRES ÉVOLUTIONS La validation des données XX

24 Sommaire 4. Optimisation des trajets SUPPRESSION DES TÂCHES INUTILES ZONAGE ABC ORDONNANCEMENT DES TRAJETS Mécanisation et automatisation NOUVEAUX MATÉRIELS INFORMATISATION LES TERMINAUX MOBILES L'IDENTIFICATION AUTOMATIQUE Prise de décisions Les fiches guides Partie 8 Changer de site Chapitre 27 Le transfert d entrepôt REMARQUE LIMINAIRE LES DIFFICULTÉS DE L OPÉRATION LA POURSUITE DE L ACTIVITÉ LE SUIVI DES RÉFÉRENCES LES INVENTAIRES LES CHANGEMENTS LES FORMATIONS COMPLÉMENTAIRES LE SURCROÎT D ACTIVITÉ LE TEMPS IMPARTI AU TRANSFERT LE DÉVERMINAGE DE LA NOUVELLE INSTALLATION LA RÉUTILISATION D ÉQUIPEMENTS EXISTANTS LES CONTRAINTES DES SYSTÈMES INFORMATIQUES LE CHOIX DES BONNES UNITÉS D ŒUVRE LE CAHIER DES CHARGES D UN TRANSFERT LE PLANNING D UN TRANSFERT Partie 9 Faire ou faire faire Chapitre 28 Les ressources humaines La définition des postes LES POSTES OPÉRATIONNELS LES FONCTIONS ANNEXES LA MAÎTRISE LE SERVICE MAINTENANCE LE SERVICE INFORMATIQUE LA DIRECTION, L ENCADREMENT ET LES SERVICES ADMINISTRATIFS ET DIVERS XXI

25 ENTREPÔTS ET MAGASINS 2. La description des postes Les «bonnes pratiques» Chapitre 29 La sous-traitance logistique Estimation du coût des prestations internes BÂTIMENT ET VOIRIE ÉQUIPEMENTS TECHNIQUES FRAIS DE PERSONNEL Estimation de la qualité de service La rédaction du cahier des charges Sommaire proposé EXPOSÉ DE L'OBJECTIF PRÉSENTATION DE LA SOCIÉTÉ DÉFINITION DES ARTICLES DESCRIPTION DU VOLUME DU STOCK DÉFINITION DES FLUX D'ENTRÉE DÉFINITION DES PRÉPARATIONS DE COMMANDES ET DES FLUX DE SORTIE LES COEFFICIENTS D EXTRAPOLATION EXPOSÉ DES CONTRAINTES PARTICULIÈRES LES CONTRATS D ASSURANCE LES LIMITES DE LA PRESTATION LES PROCÉDURES À APPLIQUER LA DURÉE DU CONTRAT LA VARIATION DES CONDITIONS INITIALES LES MESURES DE LA QUALITÉ LE CALENDRIER LE QUESTIONNAIRE LE CADRE DE LA RÉPONSE Questionnaire type de recueil de données LES PRODUITS À ACCUEILLIR LE DIMENSIONNEMENT STATIQUE LE DIMENSIONNEMENT DYNAMIQUE Conclusion Memento pratique Notions d ergonomie LES PARAMÈTRES IMPORTANTS LES GESTES OU MOUVEMENTS À ÉVITER LES POIDS LES AFFICHAGES LES NIVEAUX D ÉCLAIREMENT XXII

26 Sommaire Les filières de formation LES BACCALAURÉATS PROFESSIONNELS LOGISTIQUE LES CFP DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR EN MÉTHODES ET EXPLOITATION LOGISTIQUE LES DUT LES DESS LES MASTÈRES LES FORMATIONS NIVEAU INGÉNIEUR LES FORMATIONS CONTINUES LOGISTIQUE DES PRODUITS RÉGLEMENTÉS Les adresses utiles Bibliographie Glossaire Index XXIII

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