Conduits de fumée : C est une nouveauté, et comme tout autre conduit. modernisation des règles du jeu. Évoluer, c est changer!

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1 produits Évoluer, c est changer! : modernisation des règles du jeu À compter du 1 er septembre 2006, tout projet de construction d une maison individuelle chauffée à l électricité devra prévoir l installation d un conduit de fumée en attente. Il facilitera le raccordement ultérieur d un système de chauffage à combustible gazeux, liquide ou solide, ou d un foyer fermé bois ou biomasse. C est une nouveauté, et comme tout autre conduit de fumée, il devra être conçu et réalisé selon la récente norme NF DTU 24.1 de février Elle tient compte des travaux de normalisation européens relatifs aux produits, au dimensionnement et à la conception des conduits de fumée. Une nouvelle norme DTU UN GUIDE CONSEIL POUR DES RÉALISATIONS CONFORMES Destiné en priorité à ses installateurs, le guide conseil sur la construction, l adaptation et la rénovation des conduits de cheminée, publié par Poujoulat, retrace les points essentiels pour être en conformité avec la norme NF DTU 24.1 de février Ce document a été réalisé en collaboration avec Jean-Marie Tessier (expert près de la cour d appel de Rennes et des tribunaux) et Lionel Druette (responsable du laboratoire Ceric Centre d études et de recherche des industries de la cheminée) de Saint-Symphorien (79). Pour en savoir plus : Applicable depuis le 20 février 2006, la toute dernière version de la norme française NF DTU 24.1 (P parties 1, 2 et 3) sur les travaux de fumisterie comporte trois volets. Le premier d entre eux fixe les règles générales en indiquant les clauses techniques à insérer dans un marché de construction de conduits de fumée et de carneaux (construction neuve ou réfection complète de conduits individuels ou groupés). Il remplace la norme homologuée NF P (DTU 24.1) de mai 1993 et ses amendements de 1999 et Il se substitue également, mais partiellement, aux normes homologuées NF P (DTU ) de mai 1993 et à son amendement A1 d octobre 2000, NF P (DTU ) de mai 1993 et à son amendement A1 d octobre 2000 et NF P (DTU ) de février Le deuxième texte définit les règles techniques spécifiques d installation des systèmes d évacuation des produits de combustion desservant un ou des appareils raccordés, dits de type B, utilisant des combustibles gazeux. Il remplace partiellement la NF DTU 61.1 (P45-204), Installations de gaz desservant les locaux d habitation, d avril La troisième partie de cette nouvelle norme DTU est le cahier des clauses spéciales. Un dispositif réglementaire cohérent et rationnel Cette profonde révision du DTU 24.1 s avérait indispensable pour tenir compte des évolutions techniques enregistrées ces dernières années. Deux nouveautés importantes sont à souligner : l intégration de conduits désormais devenus traditionnels (certains conduits métalliques notamment) et la description plus précise de la mise en œuvre des conduits. À cela s ajoute la prise en compte des travaux de normalisation européens. En effet, cette norme DTU s inspire directement des normes européennes produites par le TC 166 Conduits de fumée. Ce comité technique a rédigé des normes de produits visant la plupart des conduits existant sur le marché. Il a également rédigé une norme de calcul des conduits de fumée (NF EN 13384) qui remplace la règle de 1975 et une norme de conception des conduits de fumée (NF EN 12391) ne visant pour l instant que les conduits de fumée métalliques. Pour éviter toute ambiguïté, les concepteurs de ce DTU révisé se sont notamment attachés à opérer une nette distinction entre le composant «conduit de fumée» proprement dit et l ouvrage «conduit de fumée», les deux portant le même nom en français. L objectif est de mieux définir les domaines de compétence et de responsabilité de chacun des intervenants. Ainsi, le composant «conduit de fumée» est le domaine du fabricant. Celui-ci est responsable de la qualité de son produit et en déclare les performances. L ouvrage «conduit de fumée» est le domaine de l installateur. Celui-ci est responsable de la construction ou du montage de l ouvrage en conformité avec les plans et le dimensionnement. Le passage du composant à l ouvrage est du ressort du concepteur. Ce dernier est responsable du choix d un produit pour réaliser un ouvrage apte à être utilisé comme le souhaite le maître d ouvrage. 50 Qualité Construction N 96 mai-juin 2006

2 Exemple pour les températures Conséquence logique, des notions techniques s appliquent indistinctement au composant et à l ouvrage, mais elles ne doivent pas être confondues. Ainsi, pour la température par exemple, le concepteur devra distinguer : la température des fumées de l appareil (A) qui doit être raccordé au conduit. Cette caractéristique est déclarée par le fabricant de l appareil. C est une donnée de base dans la conception de l ouvrage ; le classement de température du composant (B). Cette déclaration conventionnelle du fabricant de conduit atteste simplement que son produit accepte des gaz chauds jusqu à une certaine température ; le classement de température de l ouvrage (C) qui sera défini par le concepteur en fonction d autres critères, comme notamment celui de la distance aux matériaux combustibles. Ainsi, connaissant la température des fumées (A), le concepteur choisira le composant (B). Puis, selon les éventuelles contraintes géométriques liées à la structure du bâtiment, il concevra un ouvrage limité à une certaine température (C) qui pourra éventuellement différer de (B) conditionnant ainsi les possibilités ultérieures de raccordement d autres appareils de combustion à l ouvrage. La norme NF DTU 24.2 en préparation Ces clauses techniques s appliquent à la réalisation des conduits de fumée individuels et collectifs, des tubages, des chemisages, des carneaux et des conduits de raccordement destinés à évacuer les produits de combustion des appareils utilisant les combustibles usuels et destinés au chauffage des locaux, à la production d eau chaude sanitaire et aux autres utilisations individuelles ou collectives. Elles concernent également les conduits de fumée des âtres, des appareils à foyer ouvert et des inserts. Rappelons que l installation de ces appareils fait actuellement l objet des normes NF P51-202, NF P et NF P qui, à terme, seront refondues en une seule norme NF DTU En revanche, ces clauses ne s appliquent pas aux cheminées autoportantes, telles que décrites dans les normes de la série NF EN D autres procédés de réalisation de conduits de fumée ou d autres matériaux constitutifs peuvent évidemment être employés s ils ont fait l objet d un Avis Technique ou d un Document Technique d Application favorable. Rappelons également que, dans tous les cas de figure, l aptitude à l emploi d un conduit de fumée est caractérisée par la satisfaction des conditions suivantes : évacuer les produits de combustion ; résister à l action chimique des produits de combustion et des condensats éventuels ; assurer le tirage nécessaire au fonctionnement des appareils de combustion raccordés ; résister à l action de la température des produits de combustion ; avoir une étanchéité satisfaisante et avoir une stabilité mécanique satisfaisante. Marquage CE et marque NF Le paragraphe 4 de la première partie du DTU révisé précise que les composants doivent être conformes aux normes les définissant. La certification NF ou son équivalent apporte la preuve de la conformité des produits aux normes. Conformément à la Directive Produits de Construction, dès lors que les produits sont visés par une norme européenne harmonisée, ils peuvent être revêtus du logo CE. À la fin de la période transitoire définie par arrêté, le marquage CE devient obligatoire. Pour les conduits en béton, les normes à satisfaire sont : la NF EN 1857, Composants Conduits intérieurs en béton, de mars 2004 ; la NF EN 1858, Composants Conduits de fumée simples et multi-parois en béton, de mars 2004 ; la NF EN 12446, Composants Enveloppes externes en béton, de décembre Ces normes donnent lieu à un marquage réglementaire CE, obligatoire depuis le 30 juin Une marque NF complémentaire permet de démontrer que les conduits peuvent être mis en œuvre selon les Règles de l art appliquées en France. En effet, elle certifie que les performances des produits sont conformes non seulement aux exigences normatives mais aussi aux exigences complémentaires du référentiel de certification (caractéristiques géométriques, aspect ). Ils sont ainsi aptes à l emploi pour réaliser des conduits de fumée selon les DTU 24.1, et La marque NF garantit également que les exigences de performances des produits ont été contrôlées par un organisme tiers et qu elles sont effectivement respectées de façon continue par le fabricant. La période transitoire s achève le 31 décembre 2006 pour un certain nombre de composants : conduits métalliques rigides simple paroi (norme XP D35-308), conduits compo- p Basé sur la nouvelle norme NF DTU 24.1 (P51-201), Travaux de fumisterie, et la norme NF DTU (P51-203), Cheminées équipées d un foyer ou d un insert utilisant exclusivement le bois comme combustible, ce calepin de 36 pages, publié en janvier 2006, rappelle les principales dispositions à respecter pour la pose d un conduit de UN CALEPIN DE CHANTIER FUMISTERIE fumée maçonné en boisseaux ou métallique. Conçu par la FFB-UCF Génie climatique et la Capeb- Una Couverture-Plomberie-Chauffage, et coordonné par l IT-FFB avec le concours du CSTB, il élimine tout risque d ambiguïté sur le chantier pour les cas les plus courants grâce à ses nombreuses illustrations. Il rappelle également que ces travaux relèvent d une qualification professionnelle en fumisterie et doivent être couverts par une assurance adaptée. Il est disponible auprès des syndicats départementaux de la Capeb ou auprès de la SEBTP : 6-14, rue La Pérouse, PARIX CEDEX 16 Tél.: Fax: Qualité Construction N 96 mai-juin

3 sites métalliques rigides (normes NF D et NF D35-304), conduits de raccordement métalliques flexibles simple ou double peau (norme XP D35-307) Deux marques NF visent les conduits de fumée métalliques: la NF 137 métalliques multiparois ; la NF 221 et tubages métalliques simple paroi. Pour les boisseaux en terre cuite, le marquage CE deviendra possible courant 2007, puis obligatoire douze mois plus tard. Actuellement, la marque NF garantit la conformité des boisseaux en terre cuite à la norme européenne NF EN 1806 ( Boisseaux en terre cuite/céramique pour conduits de fumée simple paroi Exigences et méthodes d essai), et leur résistance aux chocs thermiques à des températures de 700 C. Signalons également que le paragraphe 4 de la norme DTU précise les références des normes des liants à utiliser pour la réalisation des mortiers d assemblage. Une désignation précise des composants Le choix des matériaux pour la construction des conduits de fumée s effectue en fonction de la nature et de la température des produits de combustion, du ou des combustible(s) utilisé(s) et du type d appareil(s) raccordé(s). Le matériau choisi est le même sur toute la hauteur du conduit. Conformément à la norme NF EN 1443, la désignation des composants d un conduit de fumée est caractérisée sous la forme «T450N1D2G50», par exemple: «T450». Cette désignation commence par la classe de température des composants et correspond à la température de service nominale de fonctionnement du conduit («T450» pour 450 C, dans le cas présent). Par sécurité, il convient de choisir un conduit ayant une classe de température «T» avec 50 degrés de plus que la température déclarée par le fabricant à la puissance nominale de l appareil dans le cas d un appareil à combustibles solides, par exemple; «N1». Ensuite, la classe de pression des composants correspond à leur aptitude à supporter des gaz de combustion en pression négative (tirage naturel) ou positive (exigences d étanchéité). Ici «N1» signifie que le tirage est naturel et que ce conduit est plus étanche qu un conduit «N2»; «D». Puis la classe de résistance à la condensation correspond au fait que les composants sont aptes ou non à recevoir de la condensation en régime permanent de fonctionnement. Dans le cas présent, «D» signifie un fonctionnement en condition sèche (donc pas de condensation); «2». La classe de résistance à la corrosion correspond à l aptitude du matériau constitutif de la paroi intérieure à résister aux agressions chimiques des condensats de fumée. Ce classement peut être déterminé par essais ou, dans le cas de conduits métalliques, par déclaration de la matière constitutive de la paroi (conformément à la norme NF EN ). Ici, la classe «2» autorise l emploi du gaz, du pétrole, du kérosène et du bois (âtres et appareils à foyer ouvert). L emploi de bois pour inserts, poêles, cuisinières et chaudières, ainsi que le charbon et la tourbe, est prohibé; «G50». La classe de résistance au feu de cheminée de l exemple choisi (G) fait que ce conduit résiste, le cas échéant, à un feu de cheminée. Le dernier chiffre correspond à la distance de sécurité par rapport aux matériaux combustibles: 50 mm dans le cas présent. Le fabricant de composants de conduits doit, en outre, donner des informations complémentaires sur la résistance thermique, la perte de charge, la durée en minutes de la résistance au feu de l extérieur vers l intérieur et la résistance au gel/dégel. Ces mêmes critères servent de base à la désignation de l ouvrage par le concepteur du conduit de fumée. Le paragraphe en détaille les modalités en distinguant ce qui concerne le composant et l ouvrage proprement dit. Le texte de la norme DTU précise également les particularités de mise en œuvre des différents types de conduits terre cuite (boisseaux et briques), béton (boisseaux, éléments hauteur d étage, béton armé coulé sur place) et métalliques, des carneaux et des conduits de raccordement. Apposition obligatoire d une plaque signalétique L installateur du conduit de fumée est responsable de la plaque signalétique qui doit être apposée sur le conduit. Cette plaque informe sur les performances de l ouvrage et porte la désignation de celui-ci. Tout conduit de fumée, conduit de fumée Marquage CE et marque NF Le point avec Caroline Lestournelle de la FFTB (Fédération française des tuiles et briques). «Rappelons que ce marquage CE ne remplace pas les marques de qualité existantes. La marque NF en terre cuite permet, en effet, de répondre aux attentes du marché en attestant que les caractéristiques des boisseaux terre cuite marqués NF satisfont à des besoins importants, non couverts par le marquage CE. Parmi eux, on peut signaler la résistance au ramonage, des tolérances dimensionnelles, le pourcentage d'absorption d'eau, la masse volumique apparente, l'aspect, et pour les boisseaux isolés, l'adhérence entre la paroi extérieure et l'isolant, ainsi que la masse volumique de l'isolant. Cette marque NF implique la garantie du contrôle de la constance des performances des produits, le respect d'un plan d'assurance qualité pendant la production (autocontrôle en continu) et l'intervention d'un organisme de contrôle indépendant (prélèvement de produits pour réaliser des essais). Seuls les boisseaux portant la marque NF ou une marque équivalente de qualité pourront, sans essai complémentaire, être mis en œuvre selon les DTU en vigueur. En l'absence de celle-ci, il faudra justifier les performances du lot livré.» 52 Qualité Construction N 96 mai-juin 2006

4 tubé ou conduit de fumée chemisé, doit aussi comporter au moins une plaque signalétique au niveau : du raccordement du carneau ; ou du conduit de raccordement au conduit de fumée ; ou éventuellement à proximité de la trappe de ramonage. Dans le cas d un conduit en attente, et dans le cas de la construction d un âtre, d un appareil à foyer ouvert ou d un insert, la plaque signalétique peut être installée en combles (s ils sont accessibles); ou sur la souche. La plaque signalétique doit être en matériaux inaltérables et fixée de façon durable en position visible. En plus de la désignation de l ouvrage, elle doit mentionner: la désignation des composants utilisés pour l ouvrage ; l identification de l installateur du conduit ; l identification du ou des fabricants des composants ; la date de l installation. Sans oublier la phrase «le conduit doit être entretenu selon la réglementation en vigueur». Prévoir un entretien régulier L annexe B (informative) de la première partie de la norme DTU rappelle les opérations d entretien et leurs objectifs: éviter les dangers d intoxication; protéger les personnes et les biens contre l incendie; lutter contre la pollution atmosphérique; réduire les consommations de combustible. Elles reposent sur des opérations de contrôle (de combustion, de tirage) et le ramonage mécanique. Ce dernier doit avoir lieu deux fois par an, dont une fois pendant la période d utilisation, et plus si nécessaire. Les conduits desservant des appareils à gaz et au fioul peuvent n être ramonés qu une fois par an. Le ramonage doit être effectué par une entreprise en possession d un titre reconnu de qualification professionnelle. Rappelons que le recours à des «bûches autonettoyantes» ne saurait en aucun cas remplacer un véritable ramonage mécanique. L annexe C (normative) précise les modalités de réalisation d un diagnostic des conduits de fumée existants. L annexe F (normative) traite du cas des conduits de fumée existants en amiante-ciment. La plupart des interventions doivent se conformer aux dispositions de la fiche OPPBTP correspondante. L annexe G (informative) fournit un exemple type de fiche d identification et de suivi de l ouvrage «conduit de fumée». D importantes précisions pour le gaz La deuxième partie de la nouvelle norme NF DTU 24.1 définit les règles spécifiques d installation dans le domaine résidentiel des systèmes d évacuation fonctionnant en tirage naturel ou en extraction mécanique basse pression des appareils de type B utilisant des combustibles gazeux de débit calorifique (ou puissance calorifique) nominal inférieur ou égal à 85 kw (exprimé par rapport au pouvoir calorifique inférieur PCI). Déjà traitée au travers des normes XP P50-410, NF P et NF P , la VMC-Gaz n est pas concernée par ce texte. Au niveau de la conception et de la mise en œuvre, la nature des conduits de raccordement autorisés est précisée (conduits de raccordement rigides, flexibles ou flexibles extensibles). Le raccordement de deux appareils à un même conduit par un tronçon commun réalisé en flexible extensible est interdit, par exemple. L emploi d un conduit de raccordement extensible répond à un certain nombre d obligations: conformité à la norme XP D35-311, marquage spécial gaz apposé par le fabricant, mise en vente avec une notice d installation et d utilisation. Son emploi est interdit s il y a un risque de condensation dans le conduit de raccordement. L annexe E (normative) précise la conduite à tenir face à des situations exceptionnelles dans l existant (raccordement direct sur un conduit de fumée départ plafond existant, par exemple). L annexe F (normative) traite du cas particulier des systèmes d évacuation des produits de combustion existants débouchant en courette. p Photos Imerys et Terreal Qualité Construction N 96 mai-juin

5 Photos La Nive et Poujoulat Une obligation de réversibilité pour le chauffage Depuis un bon nombre d années, lors de la construction des maisons les plus économiques, le chauffage est habituellement assuré par des convecteurs électriques. Un investissement faible, mais contrebalancé par des coûts de fonctionnement souvent élevés malgré les efforts réalisés en matière d isolation thermique et de pilotage des équipements. C est une des raisons pour lesquelles a été publié le décret n du 29 novembre 2000, relatif aux caractéristiques thermiques des constructions, modifiant le Code de la construction et de l habitation et pris en application de la loi n du 30 décembre 1996 sur l air et l utilisation rationnelle de l énergie. Publié récemment (31 octobre 2005), son arrêté d application (et son rectificatif) relatif aux dispositions techniques pour le choix et le remplacement de l énergie des maisons individuelles précise que les maisons individuelles chauffées à l électricité doivent être équipées lors de leur construction (et non «hors» de leur construction, comme mentionné par erreur dans la version initiale de l arrêté ) d un système d évacuation des fumées vertical, compatible avec le raccordement : d une installation de chauffage à combustible gazeux, liquide ou solide ; ou d un foyer fermé à bois ou à biomasse. Une réservation dans les planchers des niveaux intermédiaires doit aussi être réalisée pour le passage du conduit. En l absence de raccordement, le système d évacuation est obturé de façon étanche. Ces dispositions sont applicables à tout permis de construire déposé à partir du 1 er septembre Grâce à l installation systématique d au moins un conduit de fumées en attente, le propriétaire d une maison individuelle pourra ainsi changer d énergie à moindres frais, en fonction de la fluctuation des coûts de l énergie. Il est en effet plus économique de prévoir un conduit de fumée sur les plans que de l installer une fois la construction terminée Les solutions en kit gagnent du terrain «Cet arrêté va certainement remotiver des maçons qui avaient un peu perdu du terrain sur les chauffagistes. Habitués à la pose de conduits métalliques, ces derniers avaient un peu trop tendance à proclamer que ce lot était leur domaine réservé, dans la continuité de la pose de la chaudière. Or, la réalisation de conduits en terre cuite lors de la construction d une maison est très compétitive, d autant plus qu il existe des modèles émaillés compatibles avec les chaudières basse température et à condensation», explique Caroline Lestournelle. Tous matériaux confondus, les fabricants s orientent pour la plupart vers des solutions en kit de manière à fournir un ensemble cohérent afin d éviter les erreurs fondamentales. Chez Imerys, par exemple, une «palette kit» comprend tous les accessoires et fournitures nécessaires au montage. Pour permettre à un seul intervenant d effectuer un montage rapide, facile et fiable, La Nive a conçu des accessoires exclusifs intégrés dans le «kit constructeur». Ainsi par exemple, des chevêtres métalliques spécifiques servent à reprendre le poids du conduit de fumée, ce qui évite le coffrage, le coulage et le décoffrage d un chevêtre en béton et donc toute surcharge supplémentaire. Ce même fabricant propose également des conduits pré-assemblés en usine. Livré en un seul tenant d une longueur adaptée au chantier, ce conduit se pose en moins d une heure, en départ-plafond. Aidé d un engin de levage, le couvreur ou le maçon doit simplement positionner le conduit sur le chevêtre métallique bas, fixer le chevêtre métallique haut et enfin sceller l extracteur statique. L opération est réalisée en deux fois lorsque la hauteur du conduit est supérieure à 6 ml. Pour la rénovation de conduits existants, Poujoulat propose pour le raccordement de chaudières gaz ou fioul à condensation une gamme de conduits (Dualis Flexcondens) rigides ou flexibles et d accessoires en polypropylène (PPh) ou en polyfluorure de vinylidène (PVDF), selon la température de fumée atteinte (120 C maximum pour le PPh). La gamme PVDF bénéficie déjà d un Avis Technique, celui de la gamme en PPh est en cours d instruction. Franck Gauthier 54 Qualité Construction N 96 mai-juin 2006

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