PARTIE II : COMPRENDRE. Chapitre 15 Transferts quantiques d énergie et dualité onde-particule
|
|
- Estelle Fradette
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PARTIE II : COMPRENDRE Connaître le principe de l émission stimulée et les principales propriétés du laser (directivité, monochromaticité, concentration spatiale et temporelle de l énergie). Mettre en oeuvre un protocole expérimental utilisant un laser comme outil d investigation ou pour transmettre de l informatio n. Associer un domaine spectral à la nature de la transition mise en jeu. Savoir que la lumière présente des aspects ondulatoire et particulaire. Extraire et exploiter des informations sur les ondes de matière et sur la dualité onde-particule. Connaître et utiliser la relation p = h / Identifier des situations physiques où le caractère ondulatoire de la matière est significatif. Extraire et exploiter des informations sur les phénomènes quantiques pour mettre en évidence leur aspect probabiliste. Chapitre 15 Transferts quantiques d énergie et dualité onde-particule I. Dualité onde-corpuscule I.1 La lumière En 1905 Albert Einstein publie un premier article révolutionnaire dans la revue "Annalen der Physik", intitulé "Sur un point de vue heuristique concernant la production et la transformation de la lumière". Pour comprendre la nature de la lumière, il s est penché sur l effet photoélectrique découvert par Heinrich Rudolf Hertz, phénomène par lequel certains matériaux émettent des électrons sous l action de rayons lumineux. En s appuyant sur les travaux de Max Planck, il explique que la lumière est formée de "quanta" (qu on appellera plus tard "photons"), sorte de grains d énergie qui, en fonction de la fréquence du rayonnement, provoque l émission de ces électrons. Figure 1 : L effet photoélectrique Il en déduit que la lumière est à la fois continue (une onde) et discontinue (des particules). Cette conclusion l amènera alors à la dualité onde-particule de la lumière car cette dernière présente simultanément les propriétés physiques de l onde et celles de la particule. L énergie de la lumière est transportée par des photons qui présentent un aspect particulaire et ondulatoire. Le photon est un quantum d énergie ayant : - une masse nulle - une charge nulle - une vitesse égale à c dans le vide L énergie E d un photon est donnée par la relation : E h h = 6, Js h c E E en J h (Cste de Planck) en Js c en ms 1 (longueur d onde) en m (fréquence) en Hz Figure 2 : La dualité 1/ 6 Chap. 15 : Transferts quantiques et dualité
2 fentes I.2 La matière capteur Considérons un électron comme une petite bille très dense de masse m. On tire à l aide d un dispositif adéquat ces électrons, un par un, sur des fentes d Young. On enregistre alors au cours du temps la position de l impact de chaque électron sur un capteur après le passage de ces fentes. canon Si les électrons se comportaient comme de réelles petites billes microscopiques, on devrait alors observer après le passage d un grand nombre d électrons, la figure ci-contre (fig. 4) sur le capteur. Figure 4 Figure 3 : Fentes d Young En réalité, les premiers impacts semblent désordonnés (fig. 5). Puis, lorsque leur nombre augmente, on voit se dessiner une figure d interférence, comme celle que l on observe pour une onde telle un laser (fig. 6). Des électrons, petits bouts de matière, donnent un patron identique à celui d une onde : une figure d interférence. Figure 5 Figure 6 Chaque électron part du canon comme une particule, mais devient une «onde de possibilité» et passe par les deux fentes en interférant avec lui même, puis tape le détecteur derrière les fentes comme une particule. A noter : Mathématiquement, l électron peut passer par la fente de gauche, la fente de droite, les deux ou même par aucune. Si l on place un dispositif de mesurage pour «voir» par quelle fente passe chaque électron émis par le canon, on voit bien la fente choisie par l électron mais on n observe alors plus de figure d interférence. Le capteur enregistre la figure 4! Le fait de regarder modifie le comportement de l électron et ce dernier se comporte alors comme une petite bille. Bienvenu dans le monde quantique! Questions : a. Dans l expérience des fentes d Young, distinguer les 3 «phases» du voyage d un électron jusqu au dispositif détecteur. b. Pourquoi les physiciens ayant effectué cette expérience ont-ils envoyé les électrons un après l autre jusqu au détecteur? c. Quelles sont les propriétés différenciant un photon d un électron? d. En quoi cette expérience montre le caractère probabiliste des phénomènes quantiques? Conclusion : Les électrons, et autres «particules» quantiques, ne sont en réalité ni des ondes, ni des particules, mais quelque chose qui se comporte soit comme l un, soit comme l autre. Leurs attributs classiques (trajectoire, vitesse, localisation) n'apparaissent qu'en fonction du dispositif expérimental. Relation de De Broglie : A toute particule de masse m, de vitesse v et de quantité de mouvement p = mv est associée une onde de longueur d onde telle que : p h h en Js p en kgms 1 en m En physique quantique on peut définir des probabilités de présence des particules en un endroit donné, plus grande à certains endroits qu à d autres, d où les franges observées sur les patrons. 2/ 6 Chap. 15 : Transferts quantiques et dualité
3 II. Transferts quantiques d énergie II.1 Transition d énergie En 1913, Niels Bohr introduit l idée qu un atome ne peut exister que dans certains états d énergie bien définis, caractérisés par un niveau d énergie. Dans son état fondamental l atome est dans son état d énergie le plus bas. Les autres états sont dits états excités. Les atomes sont ainsi capables d absorber ou d émettre de la lumière en modifiant leur niveau d énergie. Absorption de la lumière : Un atome qui se retrouve dans un état caractérisé par un niveau d énergie E inf peut absorber certains photons d énergie E bien précise et passer dans un état d énergie supérieure. L énergie E de ce photon correspond à l énergie gagnée par l atome. E E inf Ainsi, la longueur d onde du photon absorbé est : h E E E inf E inf Comme tous les atomes possèdent des niveaux d énergie bien définis, ils ne peuvent absorber que certains photons de longueur d onde bien précise. Ceci conduit, dans le domaine du visible, à l observation des raies noires dans le spectre de raies d absorption. Figure 7 : Spectre de raies Emission de la lumière : Un atome qui se retrouve dans un état excité (par décharge électrique, absorption de lumière, chauffage, ) caractérisé par un niveau d énergie retourne spontanément dans son état fondamentale ou dans un état excité de moindre énergie E inf en émettant un photon. L énergie E de ce photon correspond à l énergie perdue par l atome. E E inf Ainsi, la longueur d onde du photon émis sera : h E E E inf E inf Comme tous les atomes possèdent des niveaux d énergie bien définis, ils ne peuvent émettre que certains photons de longueur d onde bien précise correspondant à une transition énergétique possible de l atome. Ceci conduit, dans le domaine du visible, à l observation des Figure 8 : Spectre de raies d émission raies de couleurs dans le spectre de raies d émission. Questions : a. Calculer la longueur d onde d un photon associé à la transition énergétique d un atome passant d un niveau d énergie de 7,4 ev à un niveau de 4,2 ev b. Ce photon est-il émis ou absorbé par l atome? Justifier. Donnée : 1 ev (électronvolt) = 1, J 3/ 6 Chap. 15 : Transferts quantiques et dualité
4 II.2 Domaines spectraux Il existe différents types de transitions énergétiques dans la matière conduisant à des gammes d énergies émises ou absorbées très différentes. Exemples : - Les rayonnements les plus énergétiques sont générés par des transitions nucléaires au sein du noyau de l atome, là où l interaction nucléaire forte prédomine. - Les rayonnements du domaine du visible sont produits par des transitions énergétiques mettant en jeu les électrons autour du noyau de l atome. L interaction lumière-matière se produit donc dans des domaines énergétiques variés, et donc à des fréquences variées. Rayons Rayons X U.V. Visible I.R. Micro-onde E (ev) Transitions Transitions électroniques Vibration des Rotations des Nucléaires molécules molécules Figure 9 : Type de transitions Questions : a. Calculer la variation d énergie d un atome d hydrogène qui passe de E 1 = 0,37 ev à E 2 = 3,39 ev. b. Représenter cette transition d énergie sur un diagramme. c. Calculer la fréquence du photon associé à cette transition. d. Ce photon est-il émis ou absorbé? e. Ce photon interagit-il avec une molécule, un électron ou un nucléon? Justifier. III. La lumière laser III.1 Emission stimulée Une émission spontanée à lieu de manière aléatoire et dans n importe quelle direction de l espace. En 1917, Albert Einstein prévoit l émission stimulée à l origine du principe de fonctionnement du laser. Lors d une émission stimulée, un photon incident d énergie E force un atome dans un état excité à passer à un niveau d énergie inférieur E inf en émettant un nouveau photon de même direction, sens, phase et énergie que le photon incident. Figure 10 : Emission stimulée h h h E inf A noter : Il faut évidemment que l atome dispose de niveaux d énergie lui permettant d émettre un photon de même énergie que le photon incident, sinon la stimulation ne se fait pas. 4/ 6 Chap. 15 : Transferts quantiques et dualité
5 III.2 Principe du laser Le mot LASER est un acronyme créé à partir de l anglais : Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation Inversion de population : D'abord, on place des atomes dans une cavité optique : ils sont coincés entre deux miroirs. Si on veut amplifier de la lumière en augmentant le nombre d émissions stimulées, il faut qu'il y ait plus d'atomes excités que d'atomes dans l état fondamental. Les premiers amplifient la lumière, les seconds l'absorbent. Il faut donc en exciter le plus possible : c est l'inversion de population. Alors qu'en temps normal il n'y a pratiquement que des atomes dans l état fondamental, il faut qu'on arrive à plus d'atomes excités que d'atomes non excités. Pour cela, on excite les atomes par le dessus en les éclairant très fort (lampe flash) de manière à en exciter le plus possible. Cet éclairage se nomme «pompage». Figure 11 : Coupe d un laser Amplification de la lumière : Un laser est fondamentalement un amplificateur de lumière fonctionnant grâce à l'émission stimulée. A un moment, un atome se désexcite. Son photon émis provoque la désexcitation d un atome voisin. Les deux photons (l incident et le stimulé) stimulent à leur tour des atomes voisins et ainsi de suite. On assiste à une sorte de réaction en chaîne. Puis cette lumière émise est réfléchie par un miroir réfléchissant et revient sur ses pas en repassant dans la cavité optique et en stimulant à nouveau de nouvelles émissions de photons. De fait, la lumière s amplifie encore. Elle arrive alors à l autre miroir, et ainsi de suite. Un des miroirs étant semi-réfléchissant, il laisse passer une partie de la lumière : c'est le faisceau laser. 5/ 6 Chap. 15 : Transferts quantiques et dualité
6 III.3 Propriétés du laser La couleur d un laser est celle qui correspond à la fréquence des photons émis lors de la désexcitation stimulée des atomes de la cavité optique. Cette fréquence étant unique : un faisceau laser est donc monochromatique. Du fait de l émission stimulée, ces photons sont aussi en phase, donc : un laser produit un faisceau lumineux cohérent. Dans la cavité optique, toute la lumière va dans une seule direction, bien perpendiculaire aux miroirs. A l'inverse d'une ampoule, qui éclaire un peu partout (faisceau divergeant), le laser produit un faisceau très directif. La lumière étant très amplifiée, la puissance lumineuse d un laser est concentrée sur une petite surface, même à grande distance de la source. A noter : Selon la puissance et la longueur d'onde du laser, celui-ci peut représenter un réel danger pour la vue et provoquer des brûlures irréparables de la rétine. Pour des questions de sécurité, la législation française interdit l'utilisation de lasers de classe supérieure à 2 en dehors d'un cadre professionnel. Les classes ont été déterminées en fonction de la puissance qui frappe la rétine si le laser pénètre dans l œil, et donc en fonction de la gravité des lésions qu il peut provoquer : Figure 12 : Pictogramme - Classe 1 : jusqu'à 0,39 µw - Classe 2 : de 0,39 µw à 1 mw - Classe 3A : de 1 à 5 mw - Soleil : 5 mw - Classe 3B : de 5 à 500 mw - Classe 4 : au-delà de 500 mw 6/ 6 Chap. 15 : Transferts quantiques et dualité
DIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailLes impulsions laser sont passées en quarante ans de la
Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailL histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions
L histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions Martial Ducloy Président Société Française de Physique & Laboratoire de Physique des Lasers Institut Galilée & CNRS Université
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailQuelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?
Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailCollimateur universel de réglage laser
Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailEtrangeté et paradoxe du monde quantique
Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailPuissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris)
Puissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris) La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉA GÉNÉRAL SUJE PHYSIQUE-CHIMIE Série S DURÉE DE L ÉPREUVE : 3 h 30 COEFFICIEN : 6 L usage d'une calculatrice ES autorisé Ce sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Ce sujet comporte
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailIntroduction à la physique quantique. Juin 2014
Introduction à la physique quantique Juin 4 Table des matières Avant Propos............................................ Origine du projet......................................... Guide de lecture..........................................
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailLes Prix Nobel de Physique
Revue des Questions Scientifiques, 2013, 184 (3) : 231-258 Les Prix Nobel de Physique Plongée au cœur du monde quantique Bernard Piraux et André Nauts Institut de la Matière Condensée et des Nanosciences
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailBases de la mécanique quantique
Mécanique quantique 1 Bases de la mécanique quantique 0. Théorie quantique - pourquoi? La théorie quantique est étroitement liée avec la notion du "dualisme onde - corpuscule". En physique classique, on
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailComparaison des performances d'éclairages
Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie?
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? Type d'activité Activité avec démarche d investigation, étude documentaire (synthèse
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailLes interférences lumineuses
Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailNUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES
NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailDes ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie
Seconde Thème santé Activité n 3(expérimentale) Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie Connaissances Compétences - Pratiquer une démarche expérimentale pour comprendre le
Plus en détailGuide d utilisation des LASER
Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.
Plus en détailIris. Cornée. Pupille. Cristallin
FORMATION EN SÉCURITÉ DES LASERS Macula Rétine Iris Cornée Nerf optique Corps vitré Cristallin Pupille Formation Sécurité laser Section 1: Concepts de base 1 Système international (SI) d unitd unités Unité
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détail