Placements. Colloque sur les perspectives démographiques, économiques et d investissement pour le Canada. Donald Raymond. Le 28 septembre 2012

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Placements. Colloque sur les perspectives démographiques, économiques et d investissement pour le Canada. Donald Raymond. Le 28 septembre 2012"

Transcription

1 Placements Colloque sur les perspectives démographiques, économiques et d investissement pour le Canada Donald Raymond Le 28 septembre 2012

2 Programme 1. Mandat de l Office d Investissement du RPC (OIRPC) 2. Portefeuille de référence du RPC 3. Hypothèses sur les rendements des marchés financiers 4. Stratégie de placement de l OIRPC 5. Résultats des placements 1

3 Mandat de l OIRPC 2

4 Mandat de l Office d investissement du RPC La loi exige que l OIRPC : Notre mandat Atteindre un rendement maximal tout en évitant les risques de perte indus Notre but Assurer la sécurité de la retraite à plus de 19 millions de cotisants et de bénéficiaires exerce ses activités sans lien de dépendance avec les gouvernements investisse ses fonds uniquement en fonction des objectifs de placement ne poursuive aucun autre objectif stratégique maintienne un degré élevé de transparence 3

5 Notre fondation sur la gouvernance Indépendance Décisions de placement prises par des professionnels Conseil d administration indépendant et professionnel Le conseil d administration nomme le chef de la direction Modification de la loi approuvée par le gouvernement fédéral et les provinces Obligation de rendre des comptes Communication exhaustive d informations Rapport annuel Examen triennal du RPC / de l OIRPC Disposition prévoyant une vérification spéciale Assemblées publiques 4

6 Diversité des options stratégiques Afin de s acquitter de son mandat, l OIRPC doit créer un portefeuille comportant suffisamment d expositions aux actions et aux titres à revenu fixe pour pouvoir générer les rendements voulus à long terme. Il existe deux moyens valables et distincts d atteindre cet objectif : Stratégie 1 Portefeuille simple et économique Stratégie 2 Une approche de «valeur ajoutée» Stratégie de placement passive valable : Cette stratégie nécessite le maintien d un organisme de petite taille essentiellement axé sur la conception de portefeuille et des programmes de placement passifs et qui fait appel à des gestionnaires externes. La priorité est accordée à la minimisation des coûts, et la surveillance exercée par le conseil d administration est relativement simple. Augmentation des placements à gestion active afin d obtenir de meilleurs rendements ajustés en fonction des risques : Cette stratégie nécessite un organisme de grande taille possédant des compétences et des connaissances diversifiées ainsi que des systèmes, des politiques et de procédures de niveau correspondant. Il s agit là d un service plus complexe axé sur les rendements à valeur ajoutée et pour lequel la surveillance exercée par le conseil d administration est tout aussi complexe. 5

7 Contraintes : Tolérance au risque des administrateurs «Il est proposé que les fonds du RPC soient investis de façon prudente dans un portefeuille diversifié de titres, au meilleur intérêt des cotisants et des bénéficiaires. Cette nouvelle politique est conforme à celle qu ont adoptée la plupart des autres caisses de retraite au Canada et à celle du RRQ.» Assurer l avenir du Régime de pensions du Canada, février 1997, p. 13 Cette politique s exprime par une exposition aux actions : 0 % 50 % 70 % Il est peu probable qu une exposition inférieure à 50 % permette d obtenir les rendements requis pour éviter une éventuelle modification du Régime. Une exposition supérieure à 70 % entraîne des risques excessifs. 6

8 Portefeuille de référence du RPC 7

9 Portefeuille de référence Obligations d État des pays du G7 Obligations du gouvernement du Canada 35 % obligations Actions canadiennes Actions mondiales 65 % actions 8

10 Portefeuille de référence Marché mondial 62 T$ Portefeuille de référence 165,8 G$ = 0,166 T$ En date d août 2012 = 0,27 % de la capitalisation boursière mondiale 9

11 Le portefeuille de référence est plus que l indice de référence du portefeuille global Le portefeuille de référence (PR) : représente un choix stratégique viable; est un portefeuille économique, de long terme et de gestion passive; tient compte des préférences des gérants en matière de risque et des caractéristiques des obligations financières du RPC. Une fois choisie une stratégie de gestion active, le PR : représente la voie qui n a pas été prise; constitue un bon point de référence pour mesurer la valeur ajoutée. Nous concevons le PR de façon à réduire au minimum le risque d ajustement L indice d ajustement est la probabilité que le taux de cotisation minimal dépasse le taux prévu par la loi, établi à 9,9 %. Cet indice est principalement déterminé par la conjoncture économique à long terme. 10

12 Les plus grands risques pour l OIRPC ne peuvent être atténués par la répartition des actifs Modification non souhaitée du taux de cotisation ou du niveau des prestations : «risque d ajustement» Rendements des placements (taux des actifs sans risque de défaut, prime de risque sur actions, rendements découlant de la gestion active, etc.) Variables économiques (hausse des salaires réels, inflation, etc.) Variables démographiques (fécondité, longévité, etc.) L OIRPC contribue à réduire le risque d ajustement par ses décisions de placement Doivent être prises en compte au moment de prendre des décisions de placement, mais échappent à la volonté de l OIRPC 11

13 Le modèle de gestion actif-passif (GAP) de l OIRPC Le modèle GAP de l OIRPC permet de trouver le portefeuille qui réduit au minimum l indice d ajustement, compte tenu des estimations démographiques, économiques et de l incertitude des marchés; hypothèses qui reflètent le jugement; contraintes. Le modèle GAP de l OIRPC permet de choisir de façon dynamique le portefeuille optimal dans un contexte d incertitude. Ce modèle se situe au cœur de la théorie financière depuis les années 1970, mais ce n est que dernièrement, en raison de la puissance des ordinateurs, qu il peut être mis en application. Soigneusement mis en œuvre et rigoureusement testé. Approuvé et revu par des tiers. 12

14 Scénarios et hypothèses de base 4 Scénarios économiques (modélisation stochastique du passif) 5 x 4 Scénarios de marchés Indicatif BAC Optimiste Pessimiste Croissance des salaires réels (%) 1,7 1,3 1,7 1,1 Inflation (%) 2 2,3 2,3 2 Taux d actualisation (%) - valeur actualisée actuarielle (VAA) 4 4 4,5 3,8 Croissance du passif réel (%) 2,2 1,8 2,2 1,6 Primes de risque sur actions (points de base) Primes de risque hypothétiques sur obligations (points de base) Nous avons déterminé la stratégie du portefeuille optimal pour chacun des 400 (4 X 20 X 5) scénarios. Les hypothèses du scénario indicatif sont indiquées en CARACTÈRES GRAS. 13

15 Pour chaque scénario, nous simulons trajectoires possibles Très mauvais résultats Mauvais résultats Bons résultats 9,95 % Taux de cotisation minimal 9,90 % 9,85 % 9,80 % 9,75 % 9,70 % 9,65 % 9,60 % 9,55 % Taux en vigueur prévu par la loi 9,50 %

16 Vérification de la robustesse de notre recommandation Étape 1 : Déterminer la stratégie du portefeuille optimal pour chacun des 400 scénarios. Étape 2 : Exécuter le portefeuille candidat dans chaque scénario. Étape 3 : Vu que le portefeuille à l essai n est pas la stratégie optimale, l indice d ajustement est plus élevé que celui qui découle de la stratégie du portefeuille optimal. Étape 4 : Lorsqu un portefeuille candidat ne crée que de faibles augmentations de l indice d ajustement pour l ensemble des scénarios, le portefeuille de référence potentiel est «quasi optimal» pour nos divers ensembles d estimations, c.-à-d. qu il est robuste. Comparer le PR potentiel au portefeuille 1 selon l alternative des estimés n o 1 Comparer le PR potentiel au portefeuille 2 selon l alternative des estimés n o 2... Comparer le PR potentiel au portefeuille 400 selon l alternative des estimés n o 400 Portefeuille 1 Portefeuille 2... PR potentiel... Portefeuille 400 Modèle GAP Modèle GAP Modèle GAP Modèle GAP Alternative des estimés n o 1 Alternative des estimés n o Meilleurs estimés Alternative des estimés n o

17 L indice d ajustement est surtout sensible au scénario économique Risque d ajustement Élevé Moyen Faible Optimiste Indicatif BAC Pessimiste Les bandes verticales représentent, pour chaque scénario économique, l étendue du risque d ajustement sur une période de 75 ans 16

18 Sommaire du portefeuille de référence Le portefeuille de référence est robuste, car il donne de bons résultats pour divers scénarios économiques et démographiques. 100 % 55 % 10 % 30 % 5 % 0 % Obligations du gouvernement du Canada Obligations d État des pays du G7 Actions mondiales Actions canadiennes Ce sont les facteurs économiques et démographiques, et non les caractéristiques du portefeuille de référence, qui constituent les principaux déterminants de la viabilité du RPC. 17

19 Hypothèses de l OIRPC relatives aux marchés financiers Approche choisie 18

20 Processus de projection des rendements d actifs de l OIRPC Matrice des covariances des rendements Rendement sans risque + prime sur actions Rendements d équilibre (modèle intertemporel d équilibre des actifs) Pondération en fonction des capitalisations boursières Prévisions économiques et financières Rendements prévus Modèle de Black-Litterman Rendements prévus mixtes 19

21 Estimation de la prime sur actions Nous vérifions l existence de relations à long terme entre les primes ex ante et les facteurs macroéconomiques. Nous examinons les faits stylisés relatifs aux primes ex ante et ex post. Nous estimons les relations économétriques entre la prime ex ante et les facteurs fondamentaux. Rendement ex ante = (bénéfices lissés)/prix Prime ex ante = Rendement ex ante rendement réel des obligations souveraines à 10 ans Approche choisie 20

22 Estimation de la prime de risque sur actions Nous avons pu constater l existence d une relation stable de long terme entre la prime ex ante et l inflation de base aux États-Unis Prime ex ante Inflation de base de l IPC T1 1977T1 1987T1 1997T1 2007T1 2017T1 2027T1 2037T1 21

23 Estimation de la prime de risque sur actions qui laisse supposer sur le long terme une prime de l ordre de 3 % À l heure actuelle, la prime ex ante aux États-Unis est positive, mais inférieure à la moyenne historique à long terme. Le passage à un régime d inflation faible et stable semble avoir entraîné une diminution de la prime d équilibre. La prime actuelle est aujourd hui supérieure au niveau d équilibre. Du point de vue qualitatif, ces résultats sont cohérents avec ceux que l on retrouve dans la documentation et ils sont compatibles avec les hypothèses du RA 25 du BAC. Prime ex ante Prime tendancielle ex ante Inflation de base de l IPC T1 1977T1 1987T1 1997T1 2007T1 2017T1 2027T1 2037T1 22

24 La hausse des taux de rendement effectifs implique une baisse des rendements obligataires au cours des 5 prochaines années 12 Prévisions économiques et financières Expected Rendements Return Views prévus (Real) Canadian Bonds G7 Bonds Canadian Equities Foreign Developed Emerging Market Reference Portfolio Obligations Obligations Actions Actions Equities de Actions Equitiesde Portefeuille de canadiennes de pays du G7 canadiennes pays développés pays émergents référence 23

25 Les rendements prévus sont incertains, surtout dans le cas des actions 20 Prévisions financières et économiques , Real Expected intervalles Return Views de confiance - 68% Confidence à 68 % Bands Canadian Bonds G7 Bonds Canadian Equities Foreign Developed Equities Emerging Market Equities Reference Portfolio Obligations Obligations Actions Actions de Actions de Portefeuille de canadiennes de pays du G7 canadiennes pays développés pays émergents référence 24

26 Rendements réels prévus mixtes, de 2012 à Rendements Real Expected réels Returns prévus Macroeconomic-Based Rendements prévus View Black-Litterman Rendements mixtes - Blended (Black-Litterman) ICAPM Equilibrium Équilibre selon le MEDAF intertemporel Canadian Obligations Bonds Obligations G7 Bonds Canadian Actions Equities Foreign Actions Developed de Equities Emerging Actions Market de Equities canadiennes de pays du G7 canadiennes pays développés pays émergents 25

27 Rendements réels d équilibre, à long terme Nos estimations fondées sur le modèle macroéconomique laissent entrevoir des rendements boursiers dans les pays émergents qui sont nettement supérieurs aux rendements hypothétiques du RA Obligations canadiennes Rendements réels d équilibre, à long terme Rendement prévu RA 25 Obligations pays G7 Actions de pays développés Actions de pays émergents 26

28 Rendements des actions à long terme par rapport à ceux aux États-Unis Les estimations fondées sur le modèle macroéconomique et celles fondées sur le MEDAF intertemporel laissent toutes deux entrevoir des primes de risque sur actions qui sont nettement plus élevées dans les pays émergents qu aux États-Unis. 9 8 Rendements des Long actions Horizon à Equity long terme Returns par Relative rapport to à U.S. ceux des États-Unis Macroeconomic Rendements prévus View ICAPM Équilibre Equilibrium selon le MEDAF intertemporel NA NA NA NA -1-2 China Chine Brésil Brazil Turkey Turquie Pérou Peru Russie Russia Chili Chile Colombia Colombie India Inde Mexico Mexique South Afrique Total pays Africa du Sud Emerging émergents 27

29 Estimation de la prime de risque sur actions dans les pays émergents La prime de risque dans les pays émergents baissera-t-elle au fur et à mesure que ces pays se développeront? Dans de nombreux pays émergents, cela pourrait être long PIB par habitant en PPA par rapport à celui des GDP PPP USD Per États-Unis Capita Relative to US La Chine pourrait très bien approcher les niveaux des pays développés d ici 2040, mais il ne fait aucun doute que la plupart des autres pays dits «émergents» le resteront dans un avenir prévisible. Des pays quasi émergents le deviendront entièrement, alors même que certains pays émergents ne le seront plus. Des pays développés pourraient retomber au stade des pays émergents L Argentine au 20 e siècle La Grèce? Approach 0.00 chosen China Chine Brazil Brésil India Inde Mexico Mexique Turkey Turquie Chile Chili 28

30 Stratégie de placement de l OIRPC 29

31 Stratégie de placement de l OIRPC : la gestion active Structurelle Horizon de placement très long Certitude de l actif Taille de notre portefeuille Développée Approche du portefeuille global Partenariats avec des spécialistes de classe mondiale Culture de rendement élevé Maximiser la valeur ajoutée par rapport au portefeuille de référence en considérant le seuil de risque de la gestion active 30

32 Stratégie de placement de l OIRPC : l approche du portefeuille global Rendement élevé X X X Faible rendement Bons du Trésor X X Obligations d État Faible risque Obligations Obligations de de sociétés sociétés en difficulté Actions de sociétés ouvertes Risque élevé 31

33 Stratégie de placement de l OIRPC : l approche du portefeuille global Rendement élevé X X X Faible rendement X Obligations d État X Immobilier de Infrastructures base réglementées Actions de sociétés publiques Actions de sociétés privées Faible risque Risque élevé 32

34 Stratégie de placement de l OIRPC : l approche du portefeuille global Rendement élevé X X X Faible rendement X Obligations d État X Immobilier de Infrastructures base réglementées Actions de sociétés publiques Actions de sociétés privées Faible risque Risque élevé 33

35 Résultats de placement 34

36 Taille de la caisse du RPC et revenu de placement MILLIARDS REVENU DE PLACEMENT CUMULATIF POUR LA PÉRIODE DE 10 EXERCICES CLOSE LE 31 MARS 2012 Caisse du RPC (en milliards de dollars) MILLIARDS REVENU DE PLACEMENT CUMULATIF POUR LA PÉRIODE DE 5 EXERCICES CLOSE LE 31 MARS 2012 MILLIARDS Actions Actifs réels Titres à revenu fixe REVENU DE PLACEMENT POUR L EXERCICE

37 Taux de rendement annuels et taux de rendement annualisé sur 10 exercices 20 17,6 15,5 12,9 14,9 11,9 % ,5 8,5-0,3 6,6 TAUX DE RENDEMENT ANNUALISÉ SUR 10 ANS 6,2 % ,6 F

38 Des questions? 37

Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite

Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Optimisation de la politique de placement : vers quelles classes d actifs se tourner? Stéphan Lazure Conseiller principal

Plus en détail

L OFFICE D INVESTISSEMENT DU RÉGIME DE PENSIONS DU CANADA

L OFFICE D INVESTISSEMENT DU RÉGIME DE PENSIONS DU CANADA États financiers trimestriels de L OFFICE D INVESTISSEMENT DU RÉGIME DE PENSIONS DU CANADA Trimestre terminé le L'OFFICE D'INVESTISSEMENT DU RÉGIME DE PENSIONS DU CANADA État des résultats Trimestre Trimestre

Plus en détail

Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia

Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

COMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005

COMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005 Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Commission des finances

Commission des finances Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État

Plus en détail

FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE

FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE POLITIQUE : PLACEMENT La Fondation communautaire d Ottawa (FCO) est une fondation publique établie dans le but de subventionner un vaste éventail d activités

Plus en détail

Raisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel

Raisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel 3 Raisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel Rendements revenus au risque, de stables et de gains en capital Mai 2015 1 6 5 2 2 de 0 1 2 3 4 5 6 7 8 Rendement Marchés émergents

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité

Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers

Plus en détail

Assemblée publique annuelle

Assemblée publique annuelle Assemblée publique annuelle Par Paul Cantor, président du Conseil Gordon J. Fyfe, président et chef de la direction Ottawa, le 28 octobre 2010 Paul Cantor Président du Conseil 2 Gordon J. Fyfe Président

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

Version approuvée par le conseil d administration le 1 avril 2015. Avril 2015 Manuel 1768403-1

Version approuvée par le conseil d administration le 1 avril 2015. Avril 2015 Manuel 1768403-1 ÉNONCÉ DES PRINCIPES, NORMES ET PROCÉDURES EN MATIÈRE DE PLACEMENT POUR L ACTIF GÉRÉ PAR L OFFICE D INVESTISSEMENT DES RÉGIMES DE PENSIONS DU SECTEUR PUBLIC Version approuvée par le conseil d administration

Plus en détail

FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE

FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT ET DE GESTION Adopté le 26 septembre 2009 1 RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT

Plus en détail

Nouvelles et opinions

Nouvelles et opinions Publications Nouvelles et opinions Volume 12 numéro 4 Avril 2015 Dans ce numéro 1 Budget du Québec et réforme de la fiscalité 2 Budget de l Alberta 3 Alberta : Directive sur la suspension et la liquidation

Plus en détail

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le

Plus en détail

Rapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes

Rapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes Printemps 2012 Rapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes CHAPITRE 3 La dette portant intérêt Bureau du vérificateur général du Canada Avis au lecteur : Le Bureau du vérificateur

Plus en détail

La retraite de nos enfants Colloque Question-Retraite Centre Mont-Royal, Montréal

La retraite de nos enfants Colloque Question-Retraite Centre Mont-Royal, Montréal La retraite de nos enfants Colloque Question-Retraite Centre Mont-Royal, Montréal Georges Langis Actuaire en chef Régie des rentes du Québec 27 septembre 2012 2 Une projection*! Niveau de remplacement

Plus en détail

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

Demande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7

Demande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7 RÉGIME DE RETRAITE Page de 0 0 Le Régime de retraite d Hydro-Québec est un régime de retraite contributif à prestations déterminées, de type fin de carrière. Ce régime est enregistré auprès de la Régie

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Pour plus d information, veuillez communiquer avec le service des relations publiques de Vanguard en composant le 610-669-5002.

Pour plus d information, veuillez communiquer avec le service des relations publiques de Vanguard en composant le 610-669-5002. Pour plus d information, veuillez communiquer avec le service des relations publiques de Vanguard en composant le 610-669-5002. COMMUNIQUÉ DE PRESSE LA DIVERSIFICATION DE SIX FNB VANGUARD D ACTIONS INTERNATIONALES

Plus en détail

COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF

COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF LE 20 NOVEMBRE 2014 Sébastien Naud, CFA, M.Sc. Conseiller principal L investissement guidé par le passif Conférenciers

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Perspectives économiques 2013-2014

Perspectives économiques 2013-2014 Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:

Plus en détail

Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge

Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Par : Geert Langenus (Département Études, Banque nationale de Belgique, geert.langenus@nbb.be) 4 e réunion annuelle des responsables

Plus en détail

Guide de planification du revenu de retraite

Guide de planification du revenu de retraite Guide de planification du revenu de retraite Guide de planification du revenu de retraite 3 Votre plan de revenu de retraite Comment assurer la stabilité du revenu à la retraite Chaque personne vit la

Plus en détail

L actuariat et les nouveaux horizons de l assurance en Afrique

L actuariat et les nouveaux horizons de l assurance en Afrique L actuariat et les nouveaux horizons de l assurance en Afrique Application à l assurance vie Février 2014, version 1.1 Aymric Kamega, Actuaire Directeur associé, PRIM ACT aymric.kamega@primact.fr www.primact.fr

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

Koris International. Historique

Koris International. Historique Koris International Historique Koris International est une société de conseil en investissements financiers spécialisée dans la conception et le développement de modèles d allocation d actifs. La société

Plus en détail

PROJET - POUR DISCUSSIONS SEULEMENT AUCUNES RECOMMENDATIONS À CE STADE-CI. Université de Moncton

PROJET - POUR DISCUSSIONS SEULEMENT AUCUNES RECOMMENDATIONS À CE STADE-CI. Université de Moncton PROJET - POUR DISCUSSIONS SEULEMENT Université de Moncton Régime de pension des professeurs, professeures et bibliothécaires Actualisation du régime Étape 3 Évaluation des coûts Préparé par Conrad Ferguson

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge

Plus en détail

Défi SSQ Groupe financier

Défi SSQ Groupe financier Défi SSQ Groupe financier 16 janvier 2015 Gestion actif-passif : optimisation d une position d appariement Table des matières Présentation SSQ Groupe financier Vice-présidence Placements Problématique

Plus en détail

Introduction des. comptes d épargne libre d impôt

Introduction des. comptes d épargne libre d impôt Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le

Plus en détail

PORTEFEUILLES SYMÉTRIE. Solution de placement façon fonds de pension

PORTEFEUILLES SYMÉTRIE. Solution de placement façon fonds de pension PORTEFEUILLES SYMÉTRIE Solution de placement façon fonds de pension MOINS ÉLEVÉ POTENTIEL DE RENDEMENT PLUS ÉLEVÉ PORTEFEUILLES SYMÉTRIE Portefeuille croissance Symétrie Portefeuille croissance modérée

Plus en détail

Politique de placements

Politique de placements Politique de placements Le 7 octobre 2010 Politique de placements Table des matières 1. La mission de la Fondation pour le développement des coopératives en Outaouais 2. Les principes de la gouvernance

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Info Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive!

Info Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive! Allianz Suisse Case postale 8010 Zurich www.allianz-suisse.ch Info Finance 01 YDPPR267F et Prévoyance Édition 01, mars 2013 EXCÉDENTS LPP En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale

Plus en détail

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018 Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013

Plus en détail

J.P. Morgan Asset Management

J.P. Morgan Asset Management J.P. Morgan Asset Management Insight + Process = Results Héritage du groupe JPMorgan Chase & Co. De la Bank of the Manhattan Company - première institution de l héritage du groupe agréée en 1799 à l acquisition

Plus en détail

Régime de retraite de la Corporation de l École Polytechnique ASSEMBLÉE ANNUELLE 14 JUIN 2010

Régime de retraite de la Corporation de l École Polytechnique ASSEMBLÉE ANNUELLE 14 JUIN 2010 Régime de retraite de la Corporation de l École Polytechnique ASSEMBLÉE ANNUELLE 14 JUIN 2010 Ordre du jour 1. Ouverture de l assemblée 2. Adoption du procès-verbal de l assemblée annuelle du 17 juin 2009

Plus en détail

SGPNB au Nouveau-Brunswick. Le développement de l industrie des services financiers et des marchés boursiers dans la province

SGPNB au Nouveau-Brunswick. Le développement de l industrie des services financiers et des marchés boursiers dans la province SGPNB au Nouveau-Brunswick Le développement de l industrie des services financiers et des marchés boursiers dans la province Mise à jour juillet 2013 1 Préambule L information suivante décrit les différents

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer

Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)

Plus en détail

PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD)

PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DU RÉGIME R DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) 1 ICA 15 avril 2008 Le RRMD en chiffres Plus de 500 employeurs 35 900 participants actifs 6 600 retraités 12 000 en 2014 5,5

Plus en détail

METTEZ DU GÉNIE DANS VOS FINANCES AVEC LES FONDS FÉRIQUE. Offerts aux ingénieurs et diplômés en génie, à leurs familles et à leurs entreprises

METTEZ DU GÉNIE DANS VOS FINANCES AVEC LES FONDS FÉRIQUE. Offerts aux ingénieurs et diplômés en génie, à leurs familles et à leurs entreprises METTEZ DU GÉNIE DANS VOS FINANCES AVEC LES FONDS Offerts aux ingénieurs et diplômés en génie, à leurs familles et à leurs entreprises BIENVENUE CHEZ. BIENVENUE CHEZ VOUS. constitue une approche différente

Plus en détail

A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION?

A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION? L épargne, la fiscalité et les régimes de retraite Congrès 2012 de l ASDEQ, Session 1, conférence 3, A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION? Jean-Pierre Aubry, fellow

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Nouvelles et opinions

Nouvelles et opinions Publications Nouvelles et opinions Volume 12 numéro 3 Mars 2015 Dans ce numéro 1 Modifications au règlement fédéral sur les pensions 3 La baisse de la solvabilité des régimes de retraite pourrait avoir

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

Divulgation d information

Divulgation d information Tulett, Matthews & Associés gestion de portefeuille Divulgation d information Les relations entre notre firme et ses clients sont construites sur de solides assises caractérisées par une transparence et

Plus en détail

Privilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA

Privilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour

Plus en détail

Marchés émergents Misez sur le potentiel de croissance des économies émergentes avec la HSBC

Marchés émergents Misez sur le potentiel de croissance des économies émergentes avec la HSBC Marchés émergents Misez sur le potentiel de croissance des économies émergentes avec la HSBC Sommaire La nouvelle locomotive de la croissance mondiale Pourquoi investir dans les marchés émergents? La montée

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

les fonds distincts Renseignements sur Des placements spécialement conçus pour vous protéger Comprend des renseignements généraux sur la police

les fonds distincts Renseignements sur Des placements spécialement conçus pour vous protéger Comprend des renseignements généraux sur la police Fonds distincts de la Canada-Vie Renseignements sur les fonds distincts Des placements spécialement conçus pour vous protéger Comprend des renseignements généraux sur la police Table des matières Les polices

Plus en détail

Manuel de référence Options sur devises

Manuel de référence Options sur devises Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

S É M I N A I R E D I N V E S T I S S E M E N T 2 9 N O V E M B R E 2 0 1 2. Amérique Latine. Atelier

S É M I N A I R E D I N V E S T I S S E M E N T 2 9 N O V E M B R E 2 0 1 2. Amérique Latine. Atelier S É M I N A I R E D I N V E S T I S S E M E N T 2 9 N O V E M B R E 2 1 2 1 1 Amérique Latine Atelier 2 2 SÉLECTION DE VALEURS EN AMÉRIQUE LATINE Notre conviction est que la croissance des bénéfices est

Plus en détail

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des

Plus en détail

Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente. Insight + Process = Results

Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente. Insight + Process = Results Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente Insight + Process = Results Des fondamentaux solides Un potentiel de diversification Dans un environnement

Plus en détail

Régime à cotisation déterminée. On sait ce qu on met dedans; ce qu on retirera à la retraite dépend du rendement.

Régime à cotisation déterminée. On sait ce qu on met dedans; ce qu on retirera à la retraite dépend du rendement. Le Régime volontaire d épargne retraite (RVER) face au défi de la sécurité du revenu à la retraite des personnes salariées des groupes communautaires et de femmes et des entreprises d économie sociale

Plus en détail

5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines

5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines 5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.

Plus en détail

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT)

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) Portefeuille de trésorerie de l Université d Ottawa Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) 1. But L Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie

Plus en détail

France. Conditions d ouverture des droits. Calcul des prestations. Indicateurs essentiels. France : le système de retraite en 2012

France. Conditions d ouverture des droits. Calcul des prestations. Indicateurs essentiels. France : le système de retraite en 2012 France France : le système de retraite en 212 Dans le secteur privé, le système de retraite repose sur deux piliers obligatoires : un régime général lié à la rémunération et des dispositifs professionnels

Plus en détail

Bilan. Marchés émergents et faible volatilité. Gestion de Placements TD BULLETIN À L'INTENTION DES CONSULTANTS DANS CE NUMÉRO

Bilan. Marchés émergents et faible volatilité. Gestion de Placements TD BULLETIN À L'INTENTION DES CONSULTANTS DANS CE NUMÉRO Gestion de Placements TD À L'INTENTION DES CONSULTANTS Automne 2012 DANS CE NUMÉRO Marchés émergents et faible ité... 1 Étape importante pour le Fonds de base canadien en gestion commune d obligations

Plus en détail

Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec

Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec États financiers Accompagnés du rapport des vérificateurs Certification Fiscalité Services-conseils

Plus en détail

Chapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée

Chapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée Chapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée Le Conseil d orientation des retraites s est doté d outils de projection

Plus en détail

Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19

Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19 Page 1 de 12 Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19 RÉSUMÉ La présente politique définit les caractéristiques de la politique de capitalisation

Plus en détail

La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012

La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

DIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5

DIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5 DIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5 29.06.2011 Groupe de placement Prisma Risk Budgeting Line 5 (RBL 5) Caractéristiques du groupe de placement 1. Le RBL 5 est un fonds composé d actifs susceptibles

Plus en détail

Contexte de la présentation

Contexte de la présentation L épargne des ménages québécois au service de la démocratie actionnariale Une présentation du Contexte de la présentation «Le capital accumulé par les travailleurs, que ce soit dans les régimes de retraite

Plus en détail

Option de souscription en dollars américains

Option de souscription en dollars américains Option de souscription en dollars américains Qu il s agisse de fonds d actions canadiennes, américaines ou étrangères, de fonds de titres à revenu ou de fonds équilibrés, Fonds communs Manuvie est heureuse

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt

Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Le gouvernement du Canada a annoncé la création du compte d épargne libre d impôt (CELI) à l occasion de son budget de 2008, puis a procédé à son

Plus en détail

Résultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %

Résultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique

Plus en détail

Le modèle canadien de gestion de la dette

Le modèle canadien de gestion de la dette Le modèle canadien de gestion de la dette David Jamieson Bolder, département des Marchés financiers L objectif que poursuit le gouvernement canadien dans la gestion du portefeuille de la dette intérieure

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

LES DIX PLUS IMPORTANTES CAISSES DE RETRAITE DU CANADA ALIMENTENT LA PROSPÉRITÉ NATIONALE

LES DIX PLUS IMPORTANTES CAISSES DE RETRAITE DU CANADA ALIMENTENT LA PROSPÉRITÉ NATIONALE LES DIX PLUS IMPORTANTES CAISSES DE RETRAITE DU CANADA ALIMENTENT LA PROSPÉRITÉ NATIONALE En tant que gestionnaires d une importante partie de l actif de retraite au Canada, et avec plus de 400 milliards

Plus en détail

Nouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma

Nouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma Nouvelle Classification Europerformance Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma ANCIENNE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE NOUVELLE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE Famille Trésorerie Tresorerie

Plus en détail

Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux

Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux Colloque sur la retraite au Québec Cercle finance du Québec Roland Villeneuve Vice-président aux politiques et aux programmes Le 31 octobre

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

D assurance-vie avec participation

D assurance-vie avec participation D assurance-vie avec participation Le Réalisateur Patrimoine et Le Réalisateur Succession Michel Poulin,Pl,fin. Expert-conseil Régional De Commercialisation Ordre du jour Aperçu de l assurance-vie avec

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

EssentIA. REER collectif. Rencontre d adhésion

EssentIA. REER collectif. Rencontre d adhésion EssentIA REER collectif Rencontre d adhésion Ordre du jour Introduction Caractéristiques de votre régime Planifiez votre retraite en deux temps, trois mouvements! Étape 1 : Fixez-vous un objectif de retraite

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le

Plus en détail

Annexe 1 du règlement de prévoyance et d organisation

Annexe 1 du règlement de prévoyance et d organisation TR NS P R E NT SAMMELS T I F T U NG FÜR B E RUFLIC H E V O R S O RGE Annexe 1 du règlement de prévoyance et d organisation Montants limites et valeurs actuarielles, valables à partir du 1 er janvier 2015

Plus en détail

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations

Plus en détail

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur

Plus en détail

La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux

La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP

Plus en détail

ESSEC Cours Wealth management

ESSEC Cours Wealth management ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique

Plus en détail