S.O.S Anorexie boulimie

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1 S.O.S Anorexie boulimie Les troubles de l alimentation affectent de nombreuses adolescentes, mais aussi des milliers de femmes adultes. Et il existe trop peu de ressources pour les aider. Par Nathalie Collard Geneviève (nom fictif) est devenue boulimique à l âge de 25 ans. Son histoire est classique. Fille unique issue d un milieu aisé, élever d une mère obsédée par son poids (se nourrissant presque juste de salade) -, elle a grandi dans un environnement où l image corporelle était très importante. Le moment des repas était un véritable calvaire, dit-elle. D un côté, il y avait ma mère qui mangeait à peine et de l autre, mon père qui adorait manger. Puis moi, au milieu, qui essayait de plaire aux deux. Perfectionniste, travaillent dans un milieu hyper stressant, Geneviève a flanché : «J avais des rages de nourritures cinq ou six fois par jours, mais je n en parlait à personne, se souvient telle. J ai vécu avec une colocataire pendant deux ans sans qu elle se doute de rien. Et plus on vieillit, plus c est difficile d en parler.» On a tendance à croire que l anorexie et le boulimie sont des maladies mentales qui affectent uniquement que les adolescents des milieu riches. «Faux, répond le docteur Howard Steiger, directeur du programme Trouble de l alimentation à l hôpital Douglas, à Verdun. Les troubles alimentaires touchent tous les couches de la société et sont plus fréquente chez les femmes entre 25 et 30 ans. Mais nous avons déjà reçu une patiente âgée de 60 ans.

2 Au ministère de la santé et des services sociaux du Québec (MSSSQ), il n existe aucune statistique sur le nombres de personnes souffrent de troubles alimentaires. «Ces cas sont comptabilisés dans la catégorie des maladies mentales», note seulement Dominique Breton, porte-parole du MSSSQ. Du côté de l association québécoise d aide au personnes souffrant d anorexie nerveuse et de boulimie (ANEB Québec),on estime à le nombres de femmes aux prises avec un trouble alimentaire, au Québec seulement. Au Canada on évalue a environ le nombre d anorexiques âgées de 13 à 40 ans, alors que les boulimiques serait deux fois plus nombreuses. «Les troubles de l alimentation sont très tabou», reconnaît Geneviève, qui se considère vraiment guérie depuis deux ans. Aujourd hui, la jeune femmes de 33 ans est animatrice bénévole dans les groupes de soutien offerts par l ANEB. J ai déjà accueilli une femme dans la quarantaine. Elle était anorexique depuis 10 ans et son mari ne le savait même pas». Le moment des repas était un véritable calvaire pour Geneviève. D un côté, il y avait sa mère qui mangeait à peine et, de l autre, son père qui adorait manger. Puis elle, au milieu, qui essayait de plaire au deux. Geneviève a, elle aussi, mis du temps avant d admettre qu elle avait un problème. «J avais honte. J aurais même souhaité être anorexique, avoue-t-elle. La boulimie est associée à la perte de contrôle. C est laid». Il aurait fallu une véritable crise pour que Geneviève décide d agir. «Quand tu es rendu là, dit-telle, ça demande du courage pour prendre le téléphone. Tu voudrait de l aide tout de suite». Un manque criant de ressources Or, voilà, les ressources sont loin d être suffisantes pour répondre à la demande. Quand Geneviève s est décidée à appeler l hôpital Douglas, seul établissement public spécialisé dans le traitement des troubles alimentaires chez les adultes, on lui a offert d ajouter son nom à la liste d attente en fait, l hôpital ne dispose que de six lits pur traiter ce genre de problème.

3 On y reçoit environ 180 nouveaux cas chaque année quelque 260 personnes sont vues au total. Mais il faut compter en moyenne un an d attente avant d y être admise. On ne m a proposé aucune autre solution, poursuit Geneviève. Par la suite, je me suis rendu dans un CLSC rencontrer un psychologue, mais il était visiblement pas à l aise avec se type de problème. Puis un psychiatre a voulu me prescrire des pilules. Désespérée, je me suis finalement inscrite dans un centre d hébergement pour toxicomanes. J avais besoin de repos et d encadrement. Làbas, tout était organisé : on mangeait trois repas par jour à heure régulière, il y avait des thérapie de groupe. J y suis rester trois mois, sa ma sauvé la vie. Les difficultés éprouvées par Geneviève pour obtenir assistance n ont rien d exceptionnel. Même si les hôpitaux du Québec ont des départements psychiatrique où peuvent être accueillies des personnes souffrant de troubles alimentaires, il y ressort que les patientes qui y sont admises ne peuvent compter sur des soin spécialisés. La pénurie de ressources amène également certaines personnes à se faire traiter dans des cliniques privées en Ontario même s il s agit là de cas d exception. Au cours des deux dernières années, la régie de l assurance maladie du Québec (RAMQ) a autorisé six de ce traitement. Le médecin ontarien doit toutefois accepter d être rémunéré selon les tarifs en vigueur au Québec, précise Dominique Breton, du MSSSQ. Si vous choisissez cette option, assurez-vous d avoir les moyens (ou une assurance privée qui couvre les frais non remboursés par la RAMQ), car les coûts sont parfois très élevés. Les troubles alimentaires sont les grands oubliés de notre système de santé, croit Clémence Rancourt, fondatrice du centre Carpe Diem, à Saint- Ludger, près de Lac Mégantic.

4 Bien sûr, la dame qui joue également le rôle de personne- ressources pour les troubles alimentaires dans sa région prêche pour sa paroisse. Reste qu elle se bat pour avoir du financement public, sans grand succès. Après avoir été contrainte de fermer son établissement pendant quelques mois en raison de manque d aide financière, Clémence Rancourt a recommencé à accueillir des patients grâce à une subvention du Fond Jeunesse Québec. Les ressources sont insuffisantes, confirme Nathalie St- Amour, fondatrice de la Clinique St- Amour, à St- Romuald, près de Québec. Nous accueillons des patients de clinique externe, mais nous offrons également beaucoup de formation aux professionnels de la santé de la région qui se sente mal outillés pour traiter les personnes victimes de troubles alimentations. Un mélange d indifférence et d ignorance Les premières démarches d Élizabeth (nom fictif), une jeune femme de 28 ans, anorexique depuis 10 ans, ont été aussi pénible que celle de Geneviève. Quand j ai vue un médecin pour la première fois, j était fatiguée, je n avait plus de règles ; en aucun moment il n a pensé que l anorexie pouvait être la cause de mes problèmes. Au collège, je suis allé consulter un psychologue; après quelques séances, il m a dit : Bon je t ai donné assez d outils pour t en sortir, tu peux continué seule maintenant. Finalement, c est seulement à l âge de 23 ans, cinq ans plus tard, qu Élizabeth a rencontré une personne en mesure de l aider vraiment, un psychiatre qu elle consulte encore aujourd hui. Parallèlement, elle ces jointe à un groupe de soutien l ANEB. Certaines journée, je me nourrissait uniquement d une pomme, d un biscuit et d un muffin. Je ne savait plus se que voulait dire avoir faim, manger normalement, j avait oublié ce qu était une portion. À l ANEB, on m a donné des repères pour m en sortir, des trucs pour recommencer à manger comme tout le monde.

5 Ironie du sort, Élizabeth travaille en milieu hospitalier. Et elle a déjà accueilli une patiente souffrante d anorexie. Ça ma secoué de la voir ainsi, explique- t- elle. Elle n avait presque plus de signe vitaux.. Je l ai prise sous mon aile. Selon le docteur Steiger, de l Hôpital Douglas, les personnes souffrantes de troubles alimentaires devraient pouvoir trouver des services dans leur milieu. Lorsqu une personne communique avec nous, nous essayons de la diriger vers des ressources locales et agissons à titre de consultant auprès des intervenants. Si son état requiert des services spécialisés, nous demandons à établissement de la santé régional de la garder jusqu à se qu un lit se libère chez nous. Afin de développer un modèle d intervention qui serait applicable partout au Québec, les dirigeants de l ANEB et des intervenants de différents hôpitaux ont formé une table de concertation. Beaucoup de choses pourrait être accomplie à l extérieur des centres hospitaliers, croit le docteur Jean Wilkins, fondateur et responsable de la clinique de médecine de l adolescence de l Hôpital Saint- Justine, à Montréal. On pourrait s inspirer de l approche des cliniques privée sans que les coûts soient exorbitants jusqu à 100$ par jour dans certain cas. On pourrait très bien envisager de travailler avec un réseau parallèle de clinique pour traiter les troubles alimentaires. Mais comme partout en santé, c est avant tout une question d argent. Au sujet de l ANEB L association Québécoise d aide aux personnes souffrant d anorexie nerveuse et de boulimie (ANEB Québec) est un organisme sans but lucratif qui a été fondé Sa mission? Offrir un groupe de soutien aux adultes souffrant de troubles alimentaires et à leur entourage. C est la seule association du genre au Québec. Certains centres de services locaux, comme le CLSC Thérèse de Blainville, proposent des groupes de soutien et de discussion, mais pour l instant, les ressources ne sont pas centralisées.

6 Nicole Larivée a découvert l ANEB il y a cinq ans, alors que sa fille souffrait d anorexie. Avec son mari et son fils, elle a participé aux ateliers que l ANEB offrait aux familles. Elle a accepté la présidence de l organisme il y a un peu plus de un ans et demi. L anorexie n est pas une cause glamour, dit elle en souriant. Les grandes entreprises ne sont pas très enthousiastes à l idée d y associés leur nom à titre de donateur. Il faut travailler très fort pour les sensibiliser. Avec de maigre moyens, l ANEB réussit tout de même à maintenir un service d écoute téléphonique (on répond à environ 25 appels par jour), à mettre à jour un site web ( anebque), à publier un bulletin d information (Image) et à organiser des groupe de soutien pour les plus de 17 ans. Pour 2001, l association s est fixée comme objectif de développer un service semblable pour les adolescentes. Pour l instant, elle oeuvre exclusivement dans l agglomération de Montréal. La moitié des bénévoles qui animent les différents ateliers sont des ex anorexiques ou boulimiques. On exige qu elle soit guéries depuis au moins un ans et on suit de près leur travail, explique Corine Fortiers Cyr, sexologue et directrice général par intérim de l organisme. Inutile de dire que l ANEB travaille d arrache-pied pour répondre aux nombreuses demandes d informations, en particulier celles provenant des écoles. Elles mettent aussi à la disposition des intervenants d autre région une trousse d information qui explique comment mettre sur pied un service de soutien. ANEB Québec, à Montréal :(info anebque.qu.ca) ou (514)

7 Unité des troubles de l alimentation de l Hôpital Douglas : (514) poste 2895 Clinique St Amour : (418) À lire : Anorexie mentale et boulimie : le poids de la culture. Par Anne Guillemot et Michel Laxenaire, Masson, 1997 Site intéressant : ; (The National Eating Disorder Information Center) EKI-LIB SANTÉ COTE NORD Source : Châtelaine Octobre 2001

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