Responsabilité sociétale. Rapport d activité

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1 Responsabilité sociétale Rapport d activité

2 Édito Le Groupe Coopératif Maïsadour poursuit son développement et sa démarche RSE dans le contexte difficile du secteur agroalimentaire. Conformément au planning sur un cycle de 3 ans initié en 2011 avec la première évaluation et une évaluation intermédiaire au début 2013, une nouvelle évaluation en juin 2014 par AFNOR Certification est venue améliorer la notation du Groupe avec le passage en catégorie «confirmé». C est bien sûr avec une grande satisfaction que nous accueillons cette reconnaissance des progrès accomplis et de l amélioration continue et progressive de notre démarche, compte tenu de l évolution rapide du périmètre du Groupe. Concernant l évaluation de l impact socio-économique territorial du Groupe Coopératif Maïsadour, sujet d une grande complexité en dépit de sa simplicité intuitive, une première étape a consisté à évaluer la valeur créée chez les agriculteurs qui travaillent avec la coopérative Maïsadour. Les résultats pluriannuels montrent que les investissements de la coopérative, tant dans la transformation des productions animales que dans les filières de productions végétales et dans la valorisation des marques consommateurs, jouent un rôle essentiel dans la progression et la sécurisation de la valeur ajoutée chez ses agriculteurs adhérents. Maïsadour est donc fidèle à sa vocation de société coopérative qui permet aux agriculteurs d augmenter leur pouvoir économique dans la chaîne de production agro-alimentaire. Nos actions embrassent aujourd hui l ensemble des grands enjeux sociétaux et environnementaux. Elles se renforcent et se déploient dans les branches d activités dont les enjeux prioritaires sont souvent très différents. Elles sont de plus en plus partagées avec un nombre croissant de parties prenantes locales, régionales et nationales. Notre approche et nos efforts en matière d agriculture durable constituent une dynamique qui porte ses premiers fruits au fur et à mesure de l avancée des résultats et de la montée en compétence collective qu ils nous procurent. Ce rapport fait d autre part figurer les premières données fournies par l outil informatique de reporting intégré qui nous permettra d être conformes en date aux nouvelles obligations réglementaires, et de fournir des éléments de pilotage au management pour continuer à implémenter notre démarche. Michel Montet Directeur Développement Durable L équipe des animateurs Développement Durable est en charge du déploiement de la démarche au niveau de l ensemble des branches du Groupe. Marielle Marjollet, Responsable Management Qualité et Développement Durable / Patrick Alyre, Responsable Service Technique industriel Productions Végétales / Guy Cardon, Responsable industriel Nutrition Animale / Laure Fabier, Technicienne Développement Durable / Michel Fruchet, Directeur Site La Pommeraie Delpeyrat / Laure Mène-Castillou, Responsable marketing Jardineries / Bertrand Moutron, Responsable QSE Fermiers Du Sud-Ouest / Michel Navarro, Responsable des Services Techniques / Philippe Péan, Responsable Agronomie et Environnement / Yoann Perroux, Responsable Management Qualité Semences / Sylvain Pichard, Technicien environnement Aquitaine Légumes Surgelés / Maxime Quentin, Responsable Technique Volailles / Arnaud Tardet, Animateur Assurance Qualité & Environnement Fermiers Landais Sommaire 2 Édito Gouvernance et management Relations et conditions de travail Loyauté des pratiques Questions relatives aux consommateurs Environnement Agriculture durable Communautés et développement local

3 Gouvernance et management Gouvernance et management CRÉATION DE VALEUR CHEZ LES AGRICULTEURS ADHÉRENTS L évaluation de l impact socio-économique territorial du Groupe Coopératif Maïsadour a fait l objet d une approche par un stage d élève-ingénieur de 3 ème année de l école Bordeaux Sciences Agro (ex- ENITA). Ces premiers travaux ont permis de montrer le caractère exploratoire du projet et sa grande complexité, en dépit de l apparente simplicité du concept. Ils se prolongeront et s approfondiront en plusieurs étapes sur les prochaines années. Une première étape présentée ici a consisté à évaluer la valeur créée chez les agriculteurs qui travaillent avec la coopérative Maïsadour. Afin de «caler» les chiffres présentés sur des bases simples et des références externes reconnues, le cadre suivant a été retenu : Choix de l indicateur de création de valeur : la «marge brute» telle que définie par la Chambre d Agriculture des Landes dans ses publications «les 4 saisons», issue des différents observatoires économiques de la production. Elle correspond au «produit brut moins les charges opérationnelles (charges liées au volume de production)». Il s agit donc en fait d une marge sur coûts variables car elle intègre des charges externes directes, qui sont comptablement une composante de la Valeur Ajoutée, comme par exemple les frais de récolte en productions végétales. Cet indicateur a été complété par des données internes de la coopérative. La représentativité de Maïsadour sur le département et la représentativité du département sur le périmètre des activités agricoles de Maïsadour justifient l utilisation d une telle référence. Choix de la période : sur ces dernières années, la volatilité des marchés des matières premières agricoles a eu un impact direct sur la formation du revenu des adhérents. La période s étendant de 2010 à 2013 englobe une période de hausse forte des cours des céréales suivie d une nette baisse, une année de récolte automne record, l année 2011, et une année agricole catastrophique, l année Elle permet donc de mesurer comment Maïsadour soutient la formation du revenu de ses adhérents face aux volatilités des marchés agricoles et à des situations climatiques allant d un extrême à l autre. Les volumes des productions sont les chiffres internes Maïsadour. Le graphique suivant illustre les masses en millions d euros de marges sur coûts variables dégagées par les adhérents, suivant les productions Masses de marges en millions d euros 120 M 100 M 80 M 60 M 40 M 20 M 0 M Palmipèdes Maïs doux et légumes Volailles Céréales contractuelles Semences Maïs/Céréales On peut remarquer 1. La volatilité de la valeur totale dégagée, de 72 à 111 M, résultant des volumes de céréales, de l évolution de leur prix, et de l année Le fait que le principal facteur de variation du total est la marge sur coûts variables des céréales, dont 95 % de maïs, hors productions contractuelles (de 12 à 56 M ). 3. Les autres productions voient leur valeur créée progresser dans la même période et se maintenir en valeur même en En pourcentage de la valeur totale, elles passent de 57 % en 2010 à 49 % puis 60 % pour aboutir à 84 % en La valeur est donc un puissant facteur de stabilisation des revenus des adhérents, même sur une période marquée par autant de variations. Au niveau des composantes de la valeur créée et leur évolution sur la période, c est donc en productions spécialisées que l impact de Maïsadour est le plus marquant. Les volumes de ces productions ont progressé sur la période, que ce soit en productions végétales contractuelles ou en productions animales. Au niveau des marges unitaires, en productions animales les mesures économiques mises en place par Maïsadour ont permis de garder une marge stable, en raison de l indexation trimestrielle des prix de reprise des animaux. Dans le même temps, ce sont les sociétés de transformation et de commercialisation du groupe, Delpeyrat et Fermiers Du Sud-Ouest, qui ont dû répercuter à leur clientèle les hausses de tarifs nécessaires à la sauvegarde de leur rentabilité, endossant ainsi la totalité du risque-prix de revient des productions. 3

4 Gouvernance et management 4 Les variations de marges en productions végétales évoluent en lien avec le prix du marché des céréales voire celui des intrants (engrais en particulier) mais sont amorties grâce aux différents mécanismes de formation des prix que propose la coopérative. Les outils d arbitrage des prix céréales : engagements et fixations sur longue période, différentes formules de prix. Les productions contractuelles céréalières génératrices de «premiums» par rapport aux marchés de matière première standard. Les productions spécialisées indexées sur les prix des céréales avec premiums couvrant les charges spécifiques, et un effet amortisseur sur deux années (semences) ou une visibilité avant semis (maïs doux et légumes). Les volumes croissants de ces productions. Maïsadour est donc fidèle à sa vocation de société coopérative qui permet aux agriculteurs d augmenter leur pouvoir économique dans la chaîne de production agro-alimentaire. Intermédiaire entre les agriculteurs et les distributeurs alimentaires, sa contribution à la valeur créée chez ses adhérents se situe au niveau de la valorisation des productions, de la maîtrise des charges d approvisionnement, et enfin des résultats techniques et économiques par la qualité de l accompagnement et du conseil fourni. Les investissements du Groupe Coopératif Maïsadour, tant dans la transformation des productions animales que dans les filières de productions végétales et dans la valorisation des marques consommateurs, jouent un rôle essentiel dans la progression et la sécurisation de la valeur ajoutée chez ses agriculteurs adhérents. LA 2 ÈME ÉVALUATION AFAQ DU GROUPE : EN PROGRÈS! Comme le prévoit le modèle AFAQ d évaluation des démarches RSE des entreprises et organisations, 2014 a été l année de la deuxième évaluation complète du Groupe après la première en 2011 et l évaluation intermédiaire «de suivi» au printemps Le Groupe Coopératif Maïsadour fut en 2011 le premier Groupe en France à avoir été évalué, tous secteurs d activités et tous types d entreprises confondus. La logique d évaluation est adaptée à la complexité du Groupe, marquée par l existence d activités très différentes, donc présentant des enjeux de RS différents, et dont les indicateurs ne sont pas toujours consolidables. De la préparation documentaire, à la réalisation par une série d entretiens menés en interne et en externe (parties prenantes), et à la cotation, un processus lourd a été mis en place avec 40 jours d évaluation partagés entre trois évaluateurs. AFNOR Certification a décidé d attribuer la note de 520 points, en progrès par rapport à la précédente qui était de 464 points sur un potentiel théoriquement accessible de Le Groupe Coopératif Maïsadour se situe désormais au début du niveau «Confirmé». Evaluation de la responsabilité sociétale du Groupe Coopératif Maïsadour 2014 Initial Progression Confirmé Exemplaire Jusqu à 300 points De 301 à 500 points De 501 à 700 points Plus de 701 points L utilisation du logo «AFAQ 26000» par le Groupe Coopératif Maïsadour est donc possible pour communiquer sur l atteinte de ce niveau, tant au niveau institutionnel qu au niveau de la promotion de ses marques consommateurs. C est bien sûr avec une grande satisfaction que nous accueillons cette reconnaissance des progrès accomplis et de l amélioration continue et progressive de notre démarche, compte tenu de l évolution rapide du périmètre du Groupe. Les évaluateurs ont relevé que la démarche de responsabilité sociétale du groupe Maïsadour est en place, une responsabilité est lisiblement inscrite sur l organigramme du Groupe. La culture RSE se développe au niveau de l encadrement supérieur comme au niveau d un certain nombre de salariés. Un certain nombre de projets pertinents sont conduits tant au niveau transverse que dans les branches. La tendance depuis 3 ans est au renforcement du système en place. Un système de reporting fiabilisé est en cours de structuration. Il permettra à terme de piloter les performances RSE du Groupe. Au niveau du domaine «Vision en termes de Responsabilité Sociétale et Gouvernance», l un des 7 domaines-clés de la norme ISO 26000, il est relevé que l ISO est naturelle et en phase avec les valeurs coopératives de Maïsadour, dont l activité globale est centrée sur la création de valeur sur les territoires en s appuyant sur ses potentiels. Les administrateurs et les salariés ont bien saisi l engagement de Maïsadour sur le développement durable, et le portage des valeurs par les salariés est un aspect différenciant. Une vraie réflexion est en cours sur les cœurs de métiers avec une contribution directe au développement durable, avec une forme d opportunisme qui s inscrit dans une logique responsable. S il n y a pas d analyse systématique et structurée des parties prenantes, il existe une veille en lien avec les activités qui permettent d identifier les risques et opportunités majeures. L organisation globale du groupe fonctionne bien et apparaît satisfaisante. Des voies de progrès existent évidemment, comme par exemple la conduite d une analyse des risques formalisée dans les activités en rapport avec la sphère d influence, ou le nécessaire renforcement des outils permettant à chacun de visualiser et de valoriser sa contribution existante ou potentielle au développement durable. Elles font partie des chantiers des années à venir dans le cadre de notre démarche d amélioration continue.

5 Relations et conditions de travail MAÏSADOUR ACTEUR ET RELAIS DE LA CAMPAGNE DE COMMUNICATION DE LA COOPÉRATION AGRICOLE Le Groupe Coopératif Maïsadour, parmi 600 coopératives françaises engagées, s est porté volontaire pour financer une campagne de communication sur le modèle coopératif agricole français. Par cette campagne nationale sur trois ans, la coopération agricole met en lumière les LES PRINCIPAUX ÉLÉMENTS DU BILAN SOCIAL Le Groupe Coopératif Maïsadour compte au 30 juin 2014, salariés, soit une évolution de 12 % due en majeure partie à des opérations de croissance externe sur les périmètres Gastronomie (activités produits de la mer), Nutrition Animale et sur l activité Internationale de Maïsadour Semences. En ETP, notre Groupe a compté collaborateurs marquant une hausse de 7,1 %. Le turn-over (démissions / effectif total) constaté sur le Groupe se situe à 1,88 %, stable par rapport à l an passé. Avec un taux de 2,37 %, le nombre de mobilités intra-groupe s est nettement accru et a concerné 104 personnes. L âge moyen des salariés du Groupe se situe à 42,7 ans, stable par rapport à 2012 / La part des salariés âgés de moins de 35 ans est en légère hausse pour se situer à 30,6 % de l effectif global (28,1 % en N-1). Les frais de personnel s élèvent à 183,6 M (hors filiales à l étranger), soit une augmentation de 8,9 %. Cette hausse est générée en grande partie par l accroissement d effectifs que le Groupe a connu sur l exercice. Ce montant met aussi en avant le poids économique que Maïsadour représente dans le Sud-Ouest. SANTÉ, SÉCURITÉ, BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL Pour ce qui est de l absentéisme, le taux du Groupe se situe à 5,30 %, quasi-stable à + 0,10 %. Les absences pour congé de maternité, congé de paternité représentent 7,6 % de l ensemble des absences. L évolution du périmètre d activité et par conséquent, l évolution des effectifs, concourt largement à ce taux élevé. Le taux d accidents du travail se situe à 1,04 % contre 1,08 % en 2012 / 2013, avec tout de même 475 accidents de travail déclarés. Toutefois, il est à noter une très forte hétérogénéité de situations entre les différents métiers du Groupe. Les actions de prévention en matière d accidents du travail se poursuivent. atouts de son modèle d entreprise démocratique, social, humain et de proximité. Près de 39 millions de Français ont été touchés durant les 6 premières semaines de diffusion télé sur les chaînes TF1, France Télévision, ainsi que sur des chaînes de la TNT dédiées aux décideurs (I-télé, BFM TV ). La campagne s amplifie dès l automne 2014 avec des spots en radio et de nouveau, sur les écrans de télévision. Maïsadour décline les visuels de la campagne au niveau de son siège social, de ses espaces d accueil, et de ses communications écrites et internet. Relations et conditions de travail Le pôle Gastronomie a mobilisé son unité sécurité et le travail de terrain s est renforcé avec l infirmière dédiée chez Delpeyrat. L accent a été mis sur la prévention chez les nouveaux entrants pour qui une forte sensibilisation sur les risques d usage et les précautions d hygiène est faite. La prévention de l appareil locomoteur pour le poste caisse en jardineries a été engagée avec l assistance d un ostéopathe. Cette initiative vise à former les salariés à la compréhension des parties du corps sollicitées et à acquérir des réflexes de «relaxation» afin d accentuer le confort dans leur poste. Sensibilisation au port des Équipements de Protection Individuelle En matière de qualité de vie au travail, il a été expérimenté avec l aide d un cabinet spécialisé, un projet pilote visant à accroître l expression des salariés quant à l organisation du travail qu ils vivent et à objectiver les éléments différenciateurs entre travail réel et travail prescrit. Cette démarche sera poursuivie pour ces entités et, au vu des conclusions, pourrait être déployée sur d autres activités. En matière de suivi de documents uniques et des actions de prévention de la pénibilité, le Groupe s est doté d un outil d aide à la décision, TDC, produit par Coop de France. Ainsi la mise à jour et la traçabilité exhaustive des actions mises en œuvre sont assurées. En partenariat avec la MSA, une conférence a été programmée pour aborder les questions de cancer en agriculture. Un moyen encore de favoriser l expression de chacun et de donner des informations en prise directe avec les réalités du moment. Conférence Cancer et Agriculture en partenariat avec la MSA 5

6 Relations et conditions de travail Il est à noter également que notre coopérative a été honorée une nouvelle fois par la Préfecture des Landes, pour ses actions en matière de prévention routière, dans la catégorie agriculture. COMPÉTENCES, FORMATION Notre Groupe poursuit son effort de formation de ses collaborateurs, mesuré par le taux de contribution qui s élève à 3 %, traduisant ainsi le souhait de maintenir et d accroître les compétences de tout un chacun dans l entreprise. 37 % de l effectif du Groupe a bénéficié au total de heures de formation. Par ailleurs, 514 stagiaires (écoles, universités, centres de formation) ont effectué une période d immersion dans nos métiers. Ils représentent quasiment 10 % de l effectif et il est à noter que leur présence a aussi mobilisé leurs responsables de stage afin que leur parcours leur soit le plus profitable possible. Aramis Formation, notre organisme de formation interne, accroît ses prestations en interne. Plus de 30 % des heures de formation sont aujourd hui assurées par notre structure. Notre Groupe a permis la réalisation de plus de 80 DIF et a initié une centaine de périodes de professionnalisation. Autant de chiffres qui témoignent du souci du Groupe Coopératif Maïsadour d accroître l employabilité de ses collaborateurs. Le travail sur la formation des collaborateurs du Groupe s accompagne d un travail sur la communication des différentes opportunités qui sont présentes au sein du Groupe. Ainsi le logiciel de gestion des candidatures externes évolue pour permettre une meilleure visibilité pour les collaborateurs du Groupe sur les offres internes à pourvoir, ainsi que pour permettre aux recruteurs du Groupe de mieux connaître les souhaits de mobilité des salariés. La direction des ressources humaines entame également une démarche visant à promouvoir nos métiers via les réseaux sociaux et les différents créneaux de communication utilisés pour le recrutement. DIALOGUE SOCIAL Cet exercice a été marqué par les élections professionnelles pour l ensemble des sociétés du Groupe. Pour la première fois, le vote électronique a été initié pour le Pôle Agricole. Les équilibres syndicaux restent sensiblement les mêmes et la représentation syndicale est assurée par la CFDT, CGC, CGT et FO. Une dizaine d accords a été signée au sein du Groupe, témoignant d un dialogue social soutenu et constructif. Ces accords ont concerné des sujets comme les salaires, le temps de travail, la santé DIVERSES ACTIONS AU NIVEAU DES BRANCHES D ACTIVITÉ Depuis 2011, 59 % de nouveaux embauchés pour Maïsadour Semences au sein de l équipe commerciale et marketing. Désormais deux sessions annuelles «Corporate» sont planifiées pour intégrer les nouveaux salariés. C est ainsi cinq sessions de formation annuelle pour acquérir des compétences dans les domaines Agronomie (fondamentaux et cultures distribuées par Maïsadour Semences), Produits (présentation de l offre et des variétés), techniques de vente (visites, démonstrations, gestion des réclamations), Expertise et Conseil Maïsadour Semences ou encore utilisation de l outil de management de la relation client (CRM : Customer Relation Management) ont été organisées. Au niveau du Pôle Volailles, Fermiers du Sud-Ouest poursuit son plan d action Sécurité. Citons un travail engagé sur les Risques Psychosociaux, la mise en place de stages de conduite «Centaure» pour les commerciaux, le projet de sécurisation du site de Saint-Sever (canalisation des flux entrants, travail sur l anti-intrusion ). Pour l activité Jambon du Pôle Gastronomie, un travail est réalisé pour améliorer la pénibilité au niveau des postes de découpe. ÉQUILIBRE HOMMES / FEMMES La parité Femmes / Hommes est quasiment atteinte puisqu elle se situe à 49,7 % de l effectif du Groupe. Néanmoins, la diversité des métiers œuvrant au sein du Groupe fait apparaître davantage d hétérogénéité de ce taux. Les métiers relevant du Pôle Agricole marquent un déséquilibre plus net (bien qu en régression constante) eu égard à la nature des professions qui y sont exercées et au poids de l histoire. L encadrement représente 11 % des effectifs et le taux de féminisation y est de 22,2 %, en hausse par rapport à N-1. Les agents de maîtrise représentent 18 % du total des effectifs du Groupe et la proportion de femmes se situe à 42 %. Ces indicateurs sont en nette hausse par rapport à 2012 / Un opérateur sur poste dans le Pôle Jambon

7 Loyauté des pratiques Loyauté des pratiques BONNES PRATIQUES DES AFFAIRES Suite aux aléas climatiques de 2013, Maïsadour Semences a travaillé à un plan d actions dédié à la gestion des achats de semences et à la rémunération des agriculteurs. Avec des résultats de rendement d objectifs observés à 66 %, en décalage avec une rémunération indexée sur un objectif fixé à 100 %, la Direction a souhaité remonter la rémunération globale des productions à 90 % sur les trois espèces: maïs, tournesol et colza. Pour cela, trois moyens ont été mis en œuvre : rémunération des quantités livrées en fonction de la qualité observée, assurance contre les aléas climatiques de tous ordres et obligation d assurance pour les cultures contractuelles avec la mise en place d une gestion centralisée, création d une caisse complémentaire de risques alimentée par Maïsadour Semences et les producteurs. Ces moyens ont été réalisés en interaction avec les groupements de producteurs de semences de chacune des espèces. Cette action a pour objectifs de sensibiliser / informer et de développer un outil d achats responsables qui se présentera sous la forme d une plateforme sur laquelle le fournisseur viendrait mettre ses données (certificats d alimentarité ). Ses intérêts : réduction des coûts donc création de valeur, maîtrise des risques, fédération des équipes sur des stratégies nouvelles. Le retour d expériences permettra une vulgarisation et une diffusion auprès d un maximum d entreprises de ce secteur d activité. Articulée autour de six grandes phases, cette action collective A.R.A part d une analyse des pratiques existantes, la rédaction d un cahier des charges des outils, la sélection du prestataire, le suivi du développement des outils et de pré-validation du logiciel, la formation des entreprises-pilotes aux achats responsables et au logiciel A.R.A, pour aboutir à un colloque de présentation des résultats. Delpeyrat Traiteur expérimente cette action pour le Groupe. Selon ce premier retour d expériences, le déploiement de cette action à d autres branches du Groupe sera envisagé. «COMPLIANCE» ACHATS RESPONSABLES Dans le cadre du collectif 3D (Destination Développement Durable ), une action collective Achats Responsables Agro-alimentaires (A.R.A) a été lancée sur 2014 et concerne huit entreprises coopératives agricoles ou industries agro-alimentaires. En matière de respect des droits fondamentaux, Maïsadour Semences s attache à appliquer sur les territoires où elle est présente les droits fondamentaux appliqués en France. Ainsi, en 2014, une action «compliance» a été conduite dans le cadre du projet de développement ukrainien mené en partenariat avec l actionnaire Syngenta Seeds. Des sessions de formation ont permis de travailler sur la maîtrise des risques de mauvaises pratiques, notamment pour des questions relatives au respect des droits de l Homme. Les formations menées sous la forme de jeux de rôles et d autoévaluation valident la qualification des participants pour l application du «code de conduite» établi par notre actionnaire Syngenta Seeds. Cette action sera reprise pour être déployée à la majorité des filiales de Maïsadour Semences. 7

8 Loyauté des pratiques BIEN-ÊTRE ANIMAL Le Groupe poursuit ses implications dans les projets externes traitant du bien-être animal. Sur 2014, le projet Bien-Être des canards (BEC) soutenu par France Agrimer et le CIFOG se poursuit. Il s agit de définir des indicateurs de bien-être pour le canard à foie gras. Dans le même esprit, le démarrage du projet EBENE (ITAVI_CIFOG) a pour ambition d anticiper la future réglementation 2015 sur le bien-être animal, en développant un outil, pratique et partagé, d évaluation du bien-être. La démarche d EBENE vise à objectiver le bien-être animal dans les systèmes existants, en créant un outil de progrès pour les filières en adéquation avec les attentes de la société, tout en étant force de proposition auprès de l administration. Ces indicateurs pourront être valorisés pour communiquer auprès du grand public et veilleront à protéger la production française. Fait marquant de l exercice, l ensemble des acteurs de la filière palmipèdes à foie gras réunis au sein du Comité Interprofessionnel du Foie Gras (CIFOG) a souhaité la mise en place d une démarche de garantie des bonnes pratiques d élevage des palmipèdes à foie gras. C est ainsi que la charte PalmiGconfiance a été rédigée. Elle vise à prouver que l élevage est pratiqué par des éleveurs responsables, dans le respect du bien-être de l animal et des règles de bonnes pratiques. Pour le Groupe déjà engagé dans des démarches qualité telles que la démarche NF V ou les signes de Qualité et d Origine, les étapes de validation techniques devraient être grandement facilitées. Dans le cadre de l évolution réglementaire stipulant la mise aux normes des salles de gavage pour le 1 er janvier 2016, les réseaux de producteurs Maïsadour et Provif affichent un taux de mise en conformité à 50 % à cette fin d exercice 2013 / 2014, conformément aux objectifs. En volailles Label Rouge, Élevage Service et les services techniques Productions Animales ont mis au point un nouveau bâtiment, «le Liberté», conçu pour diminuer les coûts d investissements et d énergie, et réduisant le prix d un projet clé en main de 20 % par rapport à l actuel. Ce nouveau bâtiment mis au point et commercialisé par Élevage Service rend le travail de l éleveur plus facile car il a été pensé pour permettre une gestion de l élevage plus autonome et automatique. Avec de nouvelles dimensions pour optimiser les chutes de matériaux, il est plus large et moins long, plus hermétique avec des ouvrants plus petits. Il est aussi moins clair, pour répondre aux problèmes de nervosisme des animaux. Pour la sortie des volailles, deux trappes «guillotines» à ouverture centralisée par treuil, apportent plus de confort au producteur. Un seul radiant utilisé à son meilleur rendement suffit pour le chauffage et génère moins de perte de gaz en veilleuse. L abreuvement par pipettes sur deux lignes garantit une bonne répartition des animaux sur l ensemble de la structure, une économie d eau et une meilleure qualité des litières en limitant le gaspillage. Si ce nouveau bâtiment contribue au bien-être des animaux, il représente aussi un outil pour la redynamisation du réseau de production et présente des atouts techniques et économiques pour nos éleveurs. 8 Nouveau bâtiment «Liberté» destiné aux productions de volailles Label Rouge

9 QUALITÉ Fort d une longue expérience de certifications, le Groupe Coopératif Maïsadour pérennise les systèmes existants, tout en veillant à ce qu ils soient des moteurs de l amélioration au sein des différentes activités. Le Groupe dispose donc d un vaste panel de certifications concernant : Les Systèmes de management de la qualité, de l environnement, de la santé et sécurité au travail ou des problématiques RSE / développement durable. Les Produits, que ce soit par les Signes d Identification de Qualité et d Origine tels que Label Rouge, l IGP, ou par l application de référentiels distributeurs (IFS, IFS Logistique, BRC). Les Conditions de production pour l agriculture biologique, ou encore les référentiels privés à orientation environnement (Global Gap, Tesco Nurture, Leaf ). Les Services comme déployés avec le référentiel S-314 «Services et conseil agricoles» sur la branche Productions Végétales. TRAÇABILITÉ : DES FILIÈRES MAÎTRISÉES ET PÉRENNES Soucieux d être toujours en phase avec les attentes de ses consommateurs, Delpeyrat développe son offre de produits. Fait marquant de l année 2014, le lancement de la gamme Gers qui vient en réponse au 1er critère de choix d achat du consommateur, l origine du produit. Tout comme le lancement de la gamme Périgord en 2011, la gamme Gers valorise une filière maîtrisée, un ancrage territorial fort avec ses différents intervenants (élevage et transformation) implantés au cœur d un bassin de production reconnu pour son authenticité et son art du «bien-vivre». Delpeyrat renforce également son positionnement sur les produits «haut de gamme» en se lançant sur le marché du saumon fumé. En réponse aux attentes des consommateurs et dans un contexte controversé sur les conditions d élevage, Delpeyrat développe un «Saumon fumé supérieur». Questions relatives aux consommateurs Questions relatives aux consommateurs Celui-ci se différencie essentiellement sur trois critères : le salage au sel sec, la garantie d un produit jamais congelé, et un produit 100 % filet garantissant l absence de chair brune. Également à la gamme, l appellation «100 % Sud- Ouest» qui vient valoriser la filière complète présente au sein du Groupe Coopératif Maïsadour. Elle permet d apporter au consommateur des garanties plus complètes sur l origine Sud-Ouest des produits de la filière palmipèdes gras. Une traçabilité au sein d une filière maîtrisée, depuis les canards aux canetons jusqu au produit fini en passant par le maïs nourrissant les animaux, sont autant d atouts qui démontrent une maîtrise complémentaire à l appellation IGP Sud-Ouest. Canards NÉS dans le SUD-OUEST & De parents ÉLEVÉS dan s le SUD-OUEST & CA NARDS ÉLE VÉS DAN S LE SUD- OU EST & Canards engraissés au maïs CHARTE QUALITÉ GRAND SUD-OUEST La démarche DELPEYRAT : des canards NÉS, ÉLEVÉS & PRÉPARÉS dans le SUD-OUEST. C est la garantie de canards de grande qualité. L OFFRE CLIENT Les jardineries poursuivent la mise en avant de produits alternatifs «responsables». Ceux-ci sont identifiés sur les dépliants par des pictogrammes spécifiques («Fabriqué en France», «produits issus de la coopérative», «imbattables»). Des ateliers sont également organisés en magasins avec des thématiques «responsables» proposées aux clients : jardiner au naturel, comment réussir son potager, les plantes qui résistent à la sécheresse D autre part, le «faire soi-même» est mis en avant sur différentes familles : basse-cour, potager, conserves. Des alternatives aux communications papiers en boîtes aux lettres sont testées : affichage, sms, mailing En matière de protection du consommateur, Maïsadour Semences pérennise les bonnes pratiques relatives à l usage des semences. Ainsi, tous les sacs de semences traitées sont identifiés et les consignes spécifiques d utilisation sont portées par un livret directement positionné sur le sac. Ce livret, édité en huit langues, permet aux utilisateurs finaux de vente de Maïsadour Semences d avoir accès aux informations nécessaires à la manipulation des semences traitées. 9

10 Environnement L ÉNERGIE La branche Productions Végétales poursuit ses actions en matière d optimisation énergétique. Le séchage, cœur de métier industriel de la branche, fait l objet de plans d actions d amélioration visant la performance énergétique. Citons l exemple de la supervision du silo de Tartas, doté d un outil de pilotage de process et de gestion de l énergie (gaz et électricité), mise en place avec l aide d un prestataire local, Sertelec. Désormais, le responsable de site dispose de tous les éléments de pilotage de l installation, en particulier les consommations d énergie en temps réel. Environnement Mix énergétique 2013 / 2014 pour le Groupe Gaz Carburants Électricité Pour poursuivre cette dynamique d optimisation, une démarche de management de l énergie (ISO 5001) a été initiée en partenariat avec Coop de France, dans le cadre d une action collective. Un premier audit est prévu courant 2014, l objectif de la certification est fixé à l horizon octobre Le périmètre de certification concerne la branche dans son intégralité et toutes énergies y compris le poste carburant. Au niveau du Groupe, le raisonnement des performances énergétiques se poursuit, grâce à la prise en compte des dispositifs des certificats d économie d énergie «C2E». Au global sur l exercice sept opérations ont été conduites représentant 19,9 GWh CUMAC, d une valeur de euros. Les activités Productions Animales et Élevage Service poursuivent leurs travaux sur les économies d énergie et d eau et notamment, sur l optimisation des ampoules à économie d énergie dans les bâtiments d élevage. Les ampoules dernière génération émettent des longueurs d ondes aux propriétés «calmantes» pour les animaux. Le logement collectif en cours de mise en place pour le gavage permet une économie d eau de % grâce à l abreuvoir central et au recours à des nettoyeurs haute pression à faible débit. Pour le Pôle Volailles, le site de Saint-Sever atteint désormais les 90 % de réalisation de son plan d actions initié suite à l opération «énergie - 20 %». Les sites de Condom et Saramon, pour le bassin de production du Gers, se lancent dans la mise en place de l ISO LE REPORTING ENVIRONNEMENT Le travail de structuration du reporting RSE du Groupe Coopératif Maïsadour, initié en 2012, nous permet désormais de consolider des indicateurs «ENVIRONNEMENT» pour le périmètre du Groupe. Les données consolidées permettent de cartographier le mix énergétique dont le Groupe a besoin pour son fonctionnement. L énergie la plus utilisée reste celle de la famille des gaz (naturel, butane, propane), utilisée à près de 75 % pour les installations industrielles dédiées au séchage sur nos activités du Pôle Agricole (céréales, semences). Répartition poste gaz Pôle Agricole Pôle Jardineries Motoculture Pôle IAA L électricité est la 2 ème énergie la plus utilisée sur le Groupe, en majeure partie sur le pôle industrie agro-alimentaire. Répartition poste électricité Pôle IAA Pôle Agricole Pôle Jardineries Motoculture 10

11 Environnement Toutefois, le Pôle Gastronomie reste le plus utilisateur de cette énergie pour le fonctionnement des installations industrielles. Répartition des consommations électricité par branches d activités Pôle Gastronomie Pôle Volailles Pôle Jardineries Motoculture Branche Productions Animales Siège Maïsadour Fonctions Support Branche Productions Végétales Branche Semences Branche Nutrition Animale Branche Légumes Maroc Citons les carburants qui regroupent les consommations liées aux transports internes et aux déplacements (la part importante restante des carburants liée au poste de transport externe affrété ou contractuel n est pas intégrée à cet indicateur). Notons néanmoins le recours au carburant B30 (30 % de biodiesel Diester mélangé à 70 % de gazole) sur l activité Céréales-Agrofournitures pour une part croissante qui représente 73 % des consommations de carburant globales. D un point de vue du changement climatique, les rejets de gaz à effet de serre liés à ces consommations d énergies non renouvelables représentent Tonnes de C0 2 sur l ensemble du Groupe Coopératif Maïsadour. Le recours aux énergies renouvelables se matérialise notamment par la mise à disposition des toitures de nos installations industrielles permettant la production d énergie photovoltaïque. Pour l exercice la production s élève à 2,5 GWh. Enfin, l utilisation de l eau est résumée par l usage d eau de réseau essentiellement pour les usages industriels des activités agro-alimentaires. Pour ces dernières, notons la mise en place de circuit de recyclage pour 2 % des consommations globales. Le Pôle Agricole pour l usage de l eau s entend ici pour toutes les utilisations courantes pour le fonctionnement des sites. Répartition poste eau En ligne avec les exigences de reporting issues de l article 225 du Grenelle 2, le Groupe est désormais outillé pour finaliser son reporting RSE. Nous nous attacherons désormais à consolider les données en lien avec les unités fonctionnelles des branches d activité, pour permettre aux opérationnels de disposer d outils de pilotage au plus près de leurs préoccupations. LA LOGISTIQUE Pôle Agricole Pôle IAA L exercice écoulé a permis de travailler aux différentes synergies possibles pour les aspects logistiques. Ainsi un groupe de travail se réunit plusieurs fois par an, pour dégager les plans d actions opportuns pour le Groupe. Citons l exemple du site d Hagetmau, pour lequel une réflexion est conduite sur la mutualisation entre les structures Sud-Ouest Accouvage, Sud-Ouest Prestations et Logistiques et ALSO (Alliance Logistique du Sud-Ouest). Concernant le Pôle Gastronomie, 2014 est l année de création d une unité de centralisation des expéditions sur le site de Bas-Mauco pour le pôle Terroir. Le site logistique de Thouars est lui dédié à l activité logistique Saumon. Pour Comtesse du Barry, la logistique a été réorganisée (2 ème exercice de fonctionnement) avec l intégration des logistiques de négoce et mutualisation sur le site de Gimont. La structure ALSO sera finalisée en octobre Cette joint-venture avec le Groupe Mousset vise l optimisation des structures des logistiques Amont canards et industrielles, avec une planification centralisée et une mutualisation des logistiques inter-sites avec la division Jardineries. 11

12 Environnement 12 Au niveau du siège social, l investissement dans un véhicule 100 % électrique est une nouvelle illustration de l engagement du Groupe en matière de préservation de l environnement. Ce véhicule équipé d un système électrique permet de ne rejeter aucun gaz à effet de serre. Véhicule électrique au siège Maïsadour Pour la branche Nutrition Animale, les axes de travail pour la logistique s articulent autour de la mise en œuvre d un plan d amélioration sur deux ans, résultant de l analyse des flux logistiques (gain de 1,8 M attendu), la mise en place d un logiciel d aide à la planification des livraisons pour le site de Saint- Sever, et la poursuite de création de plateformes de livraison et de spécialisation des sites au plus près des éleveurs. LA MESURE DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX Dix ans après l émergence des premières méthodes de comptabilisation des émissions (Bilan Carbone ), les bilans Gaz à Effet de Serre sont devenus incontournables dans les démarches des entreprises et des collectivités. La réglementation française est venue confirmer cet enjeu. Le colloque GES, organisé par l Adème en octobre 2013, a permis de réunir des entreprises et des collectivités pour débattre sur le sujet, les avancées de chacun..., le Groupe Coopératif Maïsadour a ainsi été amené à témoigner, pour évoquer son retour d expériences et a été sollicité pour participer à une phase de test sur une mise en place de méthodologie d évaluation des impacts GES. Deux exemples ont ainsi été traités et ont permis de mettre en évidence des réductions d émissions de GES non négligeables, sur les Fermiers Landais pour des actions de réductions de consommations d énergie suite à un diagnostic énergie, et chez Maïsadour Céréales pour l optimisation du transport. LA PRÉVENTION DES POLLUTIONS Pour Maïsadour Semences, la maîtrise de l impact environnemental des activités comporte notamment celle des émissions de poussières contenant des produits de traitement. La démarche de reconnaissance initiée en France, il y a maintenant plusieurs années, par l UFS et le GNIS-SOC a conduit à l élaboration de la certification «Plan Qualité Poussière». Cette démarche nationale a trouvé un écho européen au niveau de l ESA (European Seed Association) pour construire un modèle applicable à l ensemble des sites industriels des pays membres. L ESTA (European Seed Treatment Assurance Scheme) permet donc de mettre en œuvre une démarche de prévention des risques sur les domaines de la sécurité (applicateurs et utilisateurs) et de l environnement (usines et champ). Cette démarche engagée sur l ensemble des sites industriels de Maïsadour Semences en 2013 / 2014 doit se concrétiser par une certification globale en octobre LA GESTION DES DÉCHETS ET LA VALORISATION DES CO-PRODUITS Les différentes actions de tri des déchets se poursuivent sur les activités du Groupe. A noter, Fermiers du Sud-Ouest trie désormais le plastique provenant des usages de films étirables. Des actions ont été conduites pour l optimisation du traitement des eaux de rejets des abattoirs. Des projets de méthanisation sont à l étude, impliquant des sites du Groupe. Ainsi un projet sur le site vendéen du Pôle Gastronomie permettant la production de 1,5 MWatts sur tonnes de déchets est à l étude. Sur le site Delpeyrat de Saint-Pierre-du-Mont, les travaux pour l installation de la chaufferie bois ont avancé, et devraient permettre une mise en route courant automne Travaux d installation de la chaufferie bois sur le site Delpeyrat de Saint-Pierre-du-Mont

13 Agriculture durable AGRICULTURE DURABLE En matière de techniques agronomiques innovantes, depuis 2012 le Groupe Coopératif Maïsadour a impulsé une nouvelle dynamique qui s appuie sur l agroexpérimentation conduite avec des agriculteurs volontaires. Implantés, conduits et suivis par le Service Agronomie du Groupe Coopératif Maïsadour avec une forte implication de l agriculteur adhérent concerné, ces Agrosites sont consacrés à l étude de différents facteurs de production et itinéraires techniques, à travers une batterie d indicateurs économiques et environnementaux, suivis sur 7 ans au minimum. Les cinq agriculteurs membres du réseau d expérimentateurs sont devenus de véritables experts et partagent leur expérience, leurs ressentis et leurs résultats lors de ces journées. Plusieurs réseaux de référence et groupes de travail sont en place pour exploiter et diffuser les enseignements recueillis. La qualité de l eau est un enjeu majeur pour la santé et l environnement comme pour l économie. Depuis plusieurs années déjà, le Groupe Coopératif Maïsadour mène des actions pour préserver la qualité des ressources en eau dans les Landes. Le projet le plus innovant est l étude expérimentale sur le bassin amont de la Gouaougue et plus précisément le micro-bassin (451 ha) contournant le village de Doazit. Il s agit ici de mettre en œuvre une démarche alliant expertise et innovation, autour de l analyse détaillée de l hydrologie et de la qualité de l eau via une métrologie adaptée. Un diagnostic environnemental prend en compte les spécificités des parcelles pour identifier les voies privilégiées de transfert des produits phytosanitaires dans l eau. Le but est de mettre en place des micro-aménagements faisables, acceptables et appropriables par les agriculteurs à l échelle de l exploitation ou de la parcelle et d évaluer leur efficacité réelle, en termes de qualité de l eau à l exutoire du micro-bassin. De la même manière que les autres projets (Orist, Arbouts ), le Groupe Coopératif Maïsadour s est associé à la Chambre d Agriculture des Landes, trois agriculteurs du bassin, l Agence de l Eau Adour Garonne, la Fédération départementale des Cuma, des fournisseurs et Arvalis - sous forme de Comité Opérationnel - afin de mutualiser les compétences de chacun. Le bureau d étude environnemental Envilys a été mandaté pour le diagnostic. L intégralité des parcelles a été prise en compte dans l outil d aide à la décision et de traçabilité de la protection des cultures Phtynès, déployé par InVivo. Plus d une centaine d hectares a été évaluée au niveau efficacité du désherbage, par deux stagiaires, grâce à l outil VigieFlore de Syngenta. Au niveau solutions agronomiques et aménagements parcellaires, un choix d une vingtaine d actions a été proposé aux agriculteurs comme le passage aux techniques culturales simplifiées, l utilisation du cloisonneur inter-rang (qui permet de créer de petites «cuvettes» en inter-rang pour limiter le ruissellement dans les parcelles en pente), ou encore un diagnostic Aquasite (outil Arvalis sur l emploi des produits phytosanitaires sur l exploitation). 30 ha ont été «griffés» en supprimant le labour, 7 ha ont reçu l outil de cloisonnement de l inter-rang, un diagnostic Aquasite a été réalisé et deux programmés. De plus, pour l automne, des agriculteurs ont souhaité implanter des inter-cultures pour ne plus laisser leur sol nu pendant tout l hiver et ainsi, limiter le risque de transferts dans l eau. En parallèle, afin de pouvoir proposer des stratégies de désherbage mixte à efficacité maximum tout en maîtrisant l impact sur l environnement, le service Agronomie-Environnement de Maïsadour a mis en place un essai désherbage alternatif, sur la commune d Eyres-Moncube, utilisant la sarcleuse à guidage optique de la Cuma d Hagetmau. Celle-ci a prouvé son efficacité après de longs réglages nécessaires à un bon désherbage mécanique, à seulement quelques centimètres du rang. 13

14 Communautés et développement local Communautés et développement local 14 LA CONTRIBUTION ÉCONOMIQUE TERRITORALE (CET) ET LA TAXE D APPRENTISSAGE La CET a été instaurée par la loi de finances pour 2010 et a pris le relais de la taxe professionnelle. Elle est assise sur deux éléments qui ont chacun leurs propres modalités de calcul et d imposition, la valeur de l immobilier détenu et la valeur ajoutée dégagée par l entreprise. Elle est versée, pour partie, aux communes, aux départements et aux régions des sites et/ou des sièges sociaux des sociétés. Le montant total pour le Groupe Coopératif Maïsadour, comptabilisé sur l exercice, a été de 8,8 millions d euros. La taxe d apprentissage est un impôt institué en 1925 pour financer la formation des apprentis auquel sont soumises la plupart des entreprises privées françaises. Son montant est normalement de 0,50 % de la masse salariale, montant total des rémunérations brutes versées par une entreprise à ses collaborateurs. Elle est collectée pour 52 % par des organismes collecteurs agréés, qui financent l apprentissage, et versée pour 48 % aux établissements de formation, publics ou privés, que choisit librement l entreprise. Le montant total pour le Groupe Coopératif Maïsadour, comptabilisé sur l exercice, a été de 1 million d euros. La part libre a été versée à environ 200 établissements différents. UNIVERSITÉ D ÉTÉ DE LA COMMUNICATION ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE : ENSEMBLE, PENSONS L AVENIR Depuis trois ans, le Groupe est partenaire de l ACIDD (Association Communication et Information pour le Développement Durable) dans la mise en place de leur événement annuel, l université d été de la communication et du développement durable. Cette manifestation, résolument tournée vers l avenir, propose aux participants durant deux jours de relancer l intérêt et l action pour un développement durable comme source de nouvelles prospérités. Pour ce faire, l association s est engagée vers une démarche innovante, non plus uniquement centrée sur une approche pédagogique et didactique. Les participants créent ensemble un nouvel imaginaire et l explorent. A l issue de ce «brainstorming géant», l association édite un rapport qu elle fait parvenir aux autorités compétentes. Pour l édition 2014, près de 300 penseurs de tous horizons (agriculture, médias, technologie, énergie, agroalimentaire, transports ) ont été invités à réfléchir à «Comment parler de développement durable ou de lutte contre les changements climatiques sans se réconcilier avec la notion de progrès, sans croire aux possibles?». Pour chaque édition, des experts du domaine sont invités à échanger avec les participants. Cette année, parmi les intervenants, Brice Lalonde, ancien ministre, ancien ambassadeur, conseiller pour les Nations-Unies, a ainsi pu partager sa vision et ses idées avec les chercheurs en herbe. Retrouvez la liste des intervenants et le programme de la manifestation sur le site de l université d été : JARDINERIES Des animations en partenariat avec les acteurs locaux sont systématiquement mises en place. Par exemple, pour la fin d année autour du repas de fête et des enfants, des animations en magasins en partenariat avec les écoles pour la maison «Casagami», des décors en magasins assurés par des centres de loisirs locaux, des balades en calèche, la mise en avant de recettes terroirs avec un salarié autour des produits de la coopérative. En partenariat avec le Conseil Général des Landes, des guides de bonnes pratiques du jardinage ont été distribués en magasins et des animations organisées autour de ce thème. Le déploiement de «relais vêtements» sur les parkings des magasins se poursuit avec en 2013, 54 tonnes récoltées, soit l équivalent de 4 jours de travail pour une équipe de 40 personnes. MAÏSADOUR SEMENCES développe de bonnes pratiques en matière de modèle territorial en Ukraine où elle accompagne financièrement et techniquement ses producteurs dans la mise en place de systèmes d irrigation performants des parcelles de production de semences. L objectif de 80 % des surfaces irriguées en production des semences a été atteint pour la campagne de production La mise en œuvre du projet «Milky-way» constitue un point essentiel dans les orientations de Maïsadour Semences. Ce partenariat avec Jouffray-Drillaud (filiale du Groupe Coopératif Terrena) constitue un axe stratégique de développement à destination des agriculteurs spécialisés en élevage. Des ambitions partagées : devenir un acteur incontournable de l alimentation des ruminants grâce à une offre unique, complète et innovante, optimiser et sécuriser la production des fourragères des élevages, augmenter la productivité des élevages : produire plus de lait / viande, améliorer la rentabilité des élevages : maîtriser les coûts d alimentation, autonomie fourragère accompagner la distribution et les éleveurs.

15 Communautés et développement local MAÏSADOUR, DELPEYRAT ET UNIVITIS S UNISSENT DANS LE VIN DESTINÉ EXCLUSIVEMENT À L INTERNATIONAL L association de ces trois partenaires prend son origine dans les liens qui associent déjà les deux coopératives Maïsadour et Univitis, pour leurs activités viti-vinicoles. Mais au-delà des données économiques et des stratégies de commerce international, le partenariat est aussi basé sur un partage des valeurs véhiculées par la gastronomie française et les produits du Sud-Ouest. Au travers de ce développement à l international, le Groupe Coopératif Maïsadour promeut l excellence du savoir-faire et des pratiques coopératives. Delpeyrat se positionne comme la marque transversale de la gastronomie française à travers le monde et Univitis poursuit le développement de ses ventes de vins en bouteille à l export. Destinés exclusivement à l export, les vins Delpeyrat seront vendus en complément des autres produits de la marque : foie gras, charcuterie, coffrets cadeaux Delpeyrat propose ainsi dans le monde entier une gamme complète de produits représentant la gastronomie française. Cette nouvelle gamme, composée d un Bordeaux rouge, d un Bordeaux blanc sec et d un Sauternes, se positionne au niveau supérieur des vins de Bordeaux en termes de toucher, de complexité, d équilibre et de longueur. Fidèles à la recherche permanente de qualité de la marque pour tous ses produits, les vins Delpeyrat garantiront une constance gustative dans le temps, point essentiel de réassurance sur le marché international. COLLABORATIONS EXTERNES Dans le cadre de la réactualisation de son 1 er Bilan carbone réalisée en 2008, le CIVB (Conseil Interprofessionnel des Vins de Bordeaux) a intégré Maïsadour au sein de son Comité de pilotage en Cinq ans après, l interprofession a fait le point, afin de mesurer les progrès parcourus et «accélérer le passage à l action dans le cadre du plan climat 2020» des vins de Bordeaux, qui vise à atteindre une baisse de 20 % des émissions de GES. Journée «Agriculture et changement climatique» de l APCC (Association des Professionnels en Conseils Carbone) le 7 novembre 2013 : le Groupe Coopératif Maïsadour a témoigné sur le thème «Comprendre la démarche du Groupe et les enseignements depuis l engagement» En 2014, Maïsadour est devenu membre adhérent Afnor. Cette adhésion permet à Maïsadour d être informé des différentes évolutions normatives pouvant intéresser le Groupe. Cette année, la branche Productions Animales a ainsi pris part au comité de normalisation U47D «Élevages - Décontamination». 15

16 Directeur du Développement Durable Michel MONTET Responsable Développement Durable Marielle MARJOLLET Groupe Coopératif Maïsadour - Octobre Crédits photos : Delpeyrat, Fermier Du Sud-Ouest, Maïsadour et Fotolia.

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