Des perspectives pour la famille
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- Micheline Renaud
- il y a 8 ans
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1 Des perspectives pour la famille Article de Make Mothers Matter écrit par Florence von Erb «A quel prix payons-nous la gloire de la maternité?» Isadora Duncan En 2010 à l occasion de l enquête des Mères en Europe, Make Mothers Matter (MMM) a posé la question suivante aux mères : «Pour vous devenir mère c est quoi?». L une d elles a répondu : «avant il n y avait que MOI, maintenant c est NOUS». La naissance d un enfant amène un changement irréversible des priorités et de l orientation d une vie. On n envisage plus sa vie comme on l envisageait avant de devenir mère. (Réalités des mères en Europe 2010, Stevens, Bergeyck et Liedekerke) Cette transformation, toutes les mères du monde la connaisse, riche ou pauvre, mariée ou célibataire, jeune ou moins jeune. Cet évènement bouleverse les femmes, pour le reste de leur vie elles vont faire face à de nouvelles réalités et des défis. Dans le monde environ 80% des femmes en âge de procréer sont des mères Nul ne peut parler à leur place, mais MMM s efforce d écouter les mères partout dans le monde et de faire entendre leur message. Notre travail de sensibilisation va de pair avec des ateliers dans lesquels les mères partagent leurs difficultés mais aussi leur savoir faire et leurs connaissances précieuses, afin d être au quotidien, les meilleures «NOUS» possible. Notre constatation : les mères ne se sentent pas soutenues dans l équilibre difficile qu elles doivent trouver entre vie familiale et vie professionnelle. Elles ont soif de reconnaissance de leur travail à la maison ou travail non rémunéré, afin qu il soit évalué et reconnu autant que le travail hors de chez soi. Ann Crittendon, dans son livre : Le prix de la maternité, affirme que, alors que les femmes au début du XXIème siècle se rapprochent de l égalité, les mères en sont très loin. Changer le statut des mères en donnant une vraie reconnaissance à leur travail c est ce que n a pas accompli le mouvement féministe.» L écart observé entre une mère et une femme sans enfant a conduit les chercheurs et les sociologues à parler de «l écart lié à la famille» ou «la sanction des mamans» (l inégalité de salaire entre une femme avec enfant et une femme sans enfant) Une étude montre qu aux Etats Unis à la fin des années quatre-vingt dix une femme sans enfant gagnait 90% du salaire masculin alors qu une femme d âge équivalent avec enfant ne touchait que 70% (Jane Waldfogel ) Si on avait des statistiques analogues pour d autres pays il serait fort probable que cette différence soit la même pour la plupart des femmes dans le monde, voire plus importante. Comment expliquer cette distortion?
2 Le défi de trouver un équilibre entre vie familiale et vie professionnelle L étude de MMM Réalités des Mères en Europe montre que la majorité des mères - 64%- souhaite ou a besoin d avoir un emploi rémunéré et une vie familiale, alors que 11% souhaitent une carrière à plein temps. (25% souhaite une carrière familiale à plein temps). Pareillement, aux Etats-Unis, le pourcentage de population active (titulaire d un emploi ou en recherche d emploi) des mères ayant des enfants de moins de 18 ans était de 70,5 en 2012 (statistiques du ministère du travail US). En 2012 selon les modèles économétriques des tendances de l OIT, le taux de participation des femmes dans les économies en transition est bien supérieur à 50%, alors qu au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Asie du Sud le chiffre est bien en dessous de 35% (dans l économie officielle). En résumé, quand elles le peuvent, la plupart des femmes souhaite ou doit participer à la vie active. Notre recherche montre que cette participation n est pas linéaire : il y a des temps différents dans la vie d une mère : un temps où elle s investit plus auprès de ses enfants ou des personnes âgées, un temps où elle est libre de travailler plus longuement en dehors de chez elle. Les acteurs politiques et les entreprises ne prennent pas ou peu en compte ces rythmes, favorisant la croissance économique plutôt que les besoins et les aspirations du marché du travail. Tout cela contribue à l inégalité des chances dans le travail et l inégalité dans la distribution de la richesse. La plupart des mères veulent pouvoir s engager dans une activité qui les éloigneraient de leurs enfants à la condition que leurs enfants ne souffrent pas de ce changement de priorité. On a beaucoup écrit à propos des conflits vécus par les mères qui travaillaient dans les pays industrialisés, et le débat n a cessé de croitre les dix dernières années où le discours sur vie familiale, vie professionnelle se résumait à savoir si une femme était «une bonne mère» ou une «mauvaise mère» ou «une bonne employée» ou «une mauvaise employée» On attachait peu d importance au fait que la grande majorité des mères privilégie les besoins de leur famille et les réalités socio-économiques auxquelles elles sont confrontées. Elles s efforcent de donner à leur famille le bien-être financier et émotionnel le meilleur possible. Elles ne sont ni bonnes ni mauvaises elles font du mieux qu elles peuvent avec l énergie et les ressources qu elles ont. Le choix entre avoir une activité rémunérée et le soin des êtres dépendants se fait encore plus sentir dans ces parties pauvres du monde où la majorité des femmes ont des horaires excessivement longs soit dans leur communauté rurale ou dans l économie informelle, tout cela pour un salaire de survie et sans oublier qu elles doivent assumer le travail à la maison. Dans ces pays les femmes ne peuvent pas se permettre de ne pas travailler, et la question vie professionnelle, vie familiale se pose plus en termes de survie qu en termes de bon équilibre à trouver.
3 Dans les zones rurales de Madagascar les femmes passent en moyenne 32 minutes par jour pour aller puiser de l eau (Kes et Swaminathan 2006 OIT.) Tout ce temps passé à combler les manques d infrastructure (collecte de combustible, recherche d eau potable, de nourriture) s ajoute à la charge déjà lourde des femmes (voir OTITSARA) Les mères dans le monde font toutes face aux mêmes pressions : soutenir financièrement leur famille et de lui apporter soin et éducation. Il est juste de reconnaitre que dans l ensemble les mères ont répondu à cette exigence en travaillant plus et plus longtemps souvent au détriment du peu de temps dont elles disposent pour elles-mêmes. Malgré tout elles sont payées moins que leurs collègues masculins et les femmes sans enfants. On a dit qu elles gagnaient moins parce qu elles étaient moins productives. En fait elles sont pénalisées parce qu elles prennent un congé maternité, parce que peut-être elles ne font pas autant d heure de présence que celles qui n ont pas d enfants, parce qu elles doivent refuser des postes qui exigent des horaires très longs, parce qu elles n osent pas demander du temps partiel. Elles sont aussi victimes du préjugé qui avance que les mères sont moins impliquées dans leur travail car elles sont préoccupées par leurs responsabilités familiales. Beaucoup de mères, qui bénéficient d une relation stable et disposant de moyens financiers suffisants, en arrivent à quitter le marché du travail à la naissance du second enfant, à cause du stress ou parce que le cout de garde est trop élevé par rapport au salaire. De ce fait elles perpétuent le cycle d un salaire plus bas et des perspectives d avenir limitées. Les études montrent quand il y a peu de modes de garde d enfant ou que c est trop cher : si la femme gagne moins que son partenaire, ce sera elle qui quittera le marché du travail et si elles le font deux ans ou plus, elles risquent de ne pas retrouver un travail ou un salaire équivalents à ceux qu elles avaient précédemment, à moins d être protégées par une politique sociale avancée. Dans beaucoup de pays en voie de développement, la politique de conciliation vie professionnelle vie familiale ne fait pas le poids face à d autres priorités et l argent est plus volontiers dépensée en faveur du développement économique et de la productivité qu au profit des politiques sociales. Mais l absence de services sociaux (garde d enfant en particulier) entretien la pauvreté et entrave le développement. Devant la pénurie de services de garde abordables, les parents très souvent n ont pas d autre choix que de laisser leurs enfants d âge préscolaire seuls à la maison, parfois même enfermés pour leur sécurité, de les laisser à la garde de jeunes frère ou sœur, ou à la garde bon marché de personne de piètre compétence. Les données empiriques montrent que les enfants qui, dès leur jeune âge, ne bénéficient pas d un mode de garde approprié et d une interaction adaptée avec des adultes, présentent des effets nuisibles sur leur bien être émotionnel et leur développement. Cela a pour conséquences une réduction des capacités d apprentissage, d épanouissement et. Les enfants démarrent la vie désavantagés, entretenantle cycle de marginalisation, d exclusion et de pauvreté. Une étude récente dans des pays d Amérique du Sud montre que des femmes entre 20 et 24 ans disent que ce sont leurs charges domestiques qui les empêchent d accéder au marché du travail. (ECLAC, 2007)
4 Travail non rémunéré Certains économistes et politiques sont mal à l aise avec l idée d intégrer le travail domestique et le soin aux personnes dépendantes dans les statistiques du PIB, estimant que seul la notion de travail rémunéré doit être comptabilisé. Cela va à l encontre de la notion que le capital humain est l atout majeur pour le développement d une nation. Il est surprenant de constater que ni les soins, ni l éducation, ni l attention qui sont nécessaires à la formation d un être humain ne soient pas mesurées. Au moment où l on parle de plus en plus de mettre en œuvre un indice de Bonheur National Brut, il est déconcertant de voir que le travail domestique n est pas reconnu comme un travail et qu il n apparait pas dans le PIB. Ce manque de reconnaissance a deux conséquences flagrantes, la première : nos sociétés ne valorisent pas la contribution à la solidarité et au bien être ni à la formation du capital humain. La seconde est économique : comme le care n est pas pris en compte, les parents ne reçoivent aucune protection sociale, en particulier aucune retraite, s ils choisissent de rester à la maison pour s occuper de ceux qui dépendent d eux. Cela affecte directement leur niveau de vie et augmente le risque de paupérisation particulièrement dans leur vieillesse. En fait le temps pendant lequel les mères ne sont pas sur le marché du travail pour s occuper de leurs enfants ou leurs vieux parents entraine de lourdes conséquences financières. Non seulement ces mères perdent un salaire, mais leurs chances de réintégrer le marché du travail sont plus problématiques, leurs promotions sérieusement compromises, leurs droits à la retraite mises à mal. Toutes ces facteurs leurs donnent un statut inférieur : aussi longtemps que le care restera un travail invisible, les mères ne bénéficieront pas de revenus. C est cher payer pour choisir d élever un enfant, et pourtant cette décision est un plus pour le bien commun car elle permet à un individu d être éduqué et productif. La vulnérabilité des mères ne se limite pas seulement à leur engagement pour l éducation et l épanouissement de leurs enfants. Elle se prolonge dans une autre partie de leur vie où celles ci prennent soin de leurs vieux parents. Dans l étude de 2012 «disponibilité de ceux qui s occupent des leurs» l Institut Politique de l Association Américaine des Retraités a constaté qu en moyenne la personne qui s occupe des siens est une femme de 49 ans qui a un travail rémunéré et donne 20 heures par semaine de son temps pour s occuper de sa mère pendant pratiquement 5 ans. 2/3 de ceux qui prennent soin de leurs ainés, soit 65% sont des femmes. L étude montre que les soins de longue durée sont dispensés par des membres de la famille. Actuellement le pourcentage de membres de la famille pouvant accomplir ce travail de care, aux Etats-Unis est de 7 personnes pour chaque ainé au dessus de 80 ans. (Nombre de personnes âgées de 45 à 65 ans pour chaque ainé de plus de 80 ans) Ce nombre devrait chuter à 4 en 2030 et à 3 en 2050.
5 Conclusion Les inégalités entre les sexes ont diminué ces dernières décennies, les femmes ont plus de liberté pour travailler hors de chez elles. Mais il apparait une nouvelle forme d injustice entre celles qui ont des enfants et celles qui n en n ont pas : quand des personnes sans enfants seront à la retraite elles compteront sur le travail de la jeune génération pour pourvoir à leurs besoins alors même qu elles n auront pas contribué autant que ceux qui ont payé pour éduquer cette nouvelle génération. Les mères en éduquant et élevant la nouvelle génération facilitent la retraite de tous. Et pourtant quand elles font ce choix, la société leur fait payer une sanction injustifiée, pour beaucoup le cout de ce choix est trop élevé. Certains choix sociétaux sont dictés par la nécessité économique. Une cruelle réalité économique pourrait bien résoudre le problème des femmes : l amplitude de l évolution des changements démographiques qui affectera l économie mondiale et le développement au 21 ème siècle. Le monde développé requière que les femmes aient plus d enfants (le taux de fertilité des pays de l OCDE est 1,7 bien en dessous du taux de renouvellement de 2,1, les Etats Unis a lui tout seul a connu en 2012 le taux le plus bas depuis 1909, date des premières statistiques). En même temps le monde développé a besoin que les femmes contribuent à la vie active pour payer la retraite des baby boomers et assurent également le soin de ces personnes. (En 2008 il y avait 4,7 Américains en âge de travailler pour chaque retraité. En 2050 ils ne seront plus que de 2,6. En Europe le chiffre est encore plus inquiétant, tombant à 2,1). Par contre, dans les pays en voie de développement, alors que certains taux de fertilité sont en déclin, ils restent au dessus du seuil de renouvellement. Mais le défi est de s assurer que la capacité des parents et plus particulièrement des mères, à prendre en charge le bien être matériel et émotionnel de leurs enfants ne soit pas davantage fragilisé par un environnement confronté à la pauvreté, le manque d infrastructures de proximité, et des coutumes et croyances culturelles et religieuses parfois pesantes. Les mères ont besoin d être soutenues et aidées dans leur désir d élever des futures générations d adultes éduqués et responsables qui contribueront au développement économique de leur pays. Si le capital humain est l ultime source de progrès, - ainsi que le pensent la plupart des économistes et des sociologistes- alors les mères ainsi que les aidants- sont les premiers acteurs de production dans l économie, parce qu ils sont les premiers responsables pour éduquer et faire grandir ce capital, particulièrement dans leurs premières années. Recommandations Notre recherche a montré que 7 mères sur10 souhaitent avoir un travail en dehors de leur maison, mais ce qu elles souhaitent par-dessus tout, c est la FLEXIBILITE du temps de travail. Les pays qui offriront aux parents ces facilités de travail, leurs permettant de s occuper de leurs propres enfants, - grâce à un congé maternité prolongé, en raccourcissant la semaine de travail, en encourageant la flexibilité du travail, en offrant des modes de garde de qualité peu onéreuses, en donnant des «allocations pour travail à la maison», en permettant aux mères qui souhaitent rester à la maison de bénéficier d une sécurité sociale et d une retraite,- récolteront les fruits de leur investissement. Ils auront dès maintenant et dans le futur une force de travail enthousiaste, une société stable et productive, des parents moins stressés, et en ce qui concerne les pays en voie de développement, une chance de sortir de la spirale de pauvreté.
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