Chapitre 4- Cycles d origine exogène Dynamic Stochastic General Equilibrium. Université d Auvergne- L Christopher Grigoriou

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Transcription:

Chapire 4- Cycles d origine exogène Dynamic Sochasic General Equilibrium Universié d Auvergne- L3 2008-2009 Chrisopher Grigoriou

4.1- Rappel hisorique Frisch (1933) e Slusky (1937): impulsion-propagaion Wicksell «Si vous frappez un cheval à bascule avec un bâon, le mouvemen du cheval sera rès différen de celui du bâon». 1940s-60s: héorie keynésienne dominane, possibilié de réguler l acivié économique => fin des cycles? 1970s: sagflaion Fondemens micro à la macro, inroducion des anicipaions adapaives (Friedman) puis raionnelles (Lucas) => seules les poliiques monéaires non anicipées peuven avoir des effes de CT. 2

Lucas (1977): «Comprendre les flucuaions économiques c es consruire un modèle, c es-à-dire une économie arificielle complèemen expliciée, qui se compore dans le emps de façon à reproduire fidèlemen le comporemen des séries». 3

Rupure méhodologique imporane: comporemens micro e modèles avec flucuaions alors que ous les marchés s équilibren. Criique: pas de dynamique e les flucuaions ne perduren pas à LT. => DSGE 1980s: Nouveaux classiques : héorie des Cycles Réels (chocs sur l offre, càd sur le PT) 1990s: NKeynésiens (imperfecions de marché ec.) 4

4.2- MEGIS (DSGE) Branche de la Théorie de l EG Modèles macro avec fondemens micro => impac de pol. Mon. e fiscales, phénomènes agrégés (croissance, cycles) MEGIS non vulnérables à la criique de Lucas? 5

Srucure des MEGIS Dynamique Sochasique (PT, flucuaions du prix du pérole, erreurs des pol. Macro) Fondemens microéconomiques => Préférences (foncions objecifs des agens) => Technologie (capacié de producion des agens) => Conraines insiuionnelles (règles de pol. Mon. e budg./conraines budgéaires exogènes) 6

En spécifian des préférences, echnologies e insiuions, MEGIS perme de prédire ce qui es produi, échangé, commercé prévisions sur des changemens insiuionnels Lucas: ces prévisions reposen sur des corrélaions passées enre variables ME, or ces corrélaions son modifiées avec les nouvelles poliiques. 7

Deux écoles La héorie du RBC Modèles de croissance NC (prix flexibles) : commen des chocs réels causen des flucuaions? (Kydland e Presco 1982) Néo-Keynésiens Ajouen l hypohèse de rigidiés des prix (concurrence monopolisique), (Roemberg and Woodford 1997) 8

4.3 Théorie des Cycles Réels Kydland e Presco (1982), Long e Plosser (1983) des chocs d offre, càd des chocs echnologiques son à l origine des cycles C es le produi lui-même qui flucue sous l effe de chocs echnologiques 9

Le modèle de croissance néo-classique de Solow (1956), enrichi dans 3 direcions : 1- S résule d un processus d opimisaion 2- La variaion de l offre de ravail résule du choix de l agen représenaif en foncion de l anicipaion de la variaion du salaire réel. 3- Le PT se manifese de manière disconinue (chocs echnologiques) e le cheval à bascule réagi à ces derniers à parir des comporemens d opimisaion. 10

Elémens soch. inroduis dans la FP = prolongemen soch. du modèle de crois. opimale => TCR = une flucuaion du produi e non pas des flucuaions par rappor à des chocs de demande Les marchés son coninuellemen en équilibre => Les cycles ne son pas la preuve de déséquilibres mais ce son la réponse opimale de l économie quand elle subi un choc : ce son des cycles à l équilibre. 11

Modèle de base: impulsion e propagaion Impulsion exerne/propagaion inerne Y = θ.f(k, N) avec θ = 1u avec u choc aléaoire θ représene l impac des chocs echnologique (aléaoires/inconrôlables/réels) Propagaion des chocs du fai des réacions raionnelles des agens (représenaifs) => changemen d environnemen => modificaion des choix enre C e S, e enre L e N ; (pour coninuer à maximiser leur uilié) => cycles. 12

L uilié des individus dépend de leur consommaion e de leur loisir sur leur durée de vie. U = 0 = β u ( C, L ) Les agens pour maximiser leur uilié on le choix enre : C ou L dans la même période C présene (moins épargner ou invesir mainenan) ou fuure (plus épargner ou invesir mainenan) l présen (moins ravailler e produire mainenan) ou fuur (plus ravailler e produire mainenan). Consommaion e loisir son des biens subsiuables. Toue hausse de salaire enraîne une augmenaion de l offre de ravail des individus (ES > ER). La réallocaion des heures de ravail dans le emps es ce qui s appelle la subsiuion ineremporelle du ravail. Généralemen pas de soluion analyique => on procède par simulaions 13

La parie non consommée du pd es épargnée (=> invesie) K 1= (1 δ ) K I A l opimum les conraines son saurées: L CL N = 1 L = 1 I = Y N => En combinan les conraines e la FP: K 1 (1 δ ) K = Y C K (1 ) K = F( K, N) C 1 δ θ 14

15 Maximisaion de l uilié iner-emporelle s/c La différeniaion de L par rappor aux différenes variables => quaniés opimales (par êe qui seraien pdes dans un équilibre concurreniel par des agens nombreux) échangean b&s sur les marchés présens e fuurs. Pour ou, on dérive L par rappor aux 3 variables de «conrôle» : C, (1-N ) e K1 [ ] { } = = 0 1 ) (1 ), ( ),1 ( K K C N K F N C u L δ θ λ β C u C u λ = λ = 0 N F N u N N N F N u = = λ θ λ θ ) (1 0 ) (1 ) (1 K F K F K L λ β δ θ λ β δ θ λ β λ β = = = ) (1 0 ) (1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

L impac d un choc de producivié Hausse emporaire de θ => hausse de salaire => hausse de l offre de ravail (ES>ER) => L, Z-, C en, l inverse en 1 (propagaion dans le emps du choc) Accroissemen de l emploi => Hausse de P e de I => phase d expansion => subsiuion ineremporelle, L-, Z, accumulaion de capial e baisse de la pdé => ralenissemen de I => récession 16

conclusion Des cycles expliqués par la variaion de la endance e non par des flucuaions auour d une endance les cycles = l adapaion opimale d une économie à l équilibre (y compris la siuaion de crise) => l Ea doi donc s absenir d inervenir 17

4.4- Limies Sur le marché du ravail : offre de ravail dépend-elle du salaire réel? Hypohèse que les mouvemens de salaires son ransioires: peu perinen. Effe de subsiuion ineremporel : peu déecé en réalié. Seulemen choc d offre => corrélaion enre les chocs de producivié, d emploi e d acivié? Ampleur des chocs de producivié? Aures chocs? 18

Des prédicions inégales Confroner les résulas des modèles avec la réalié: évoluions des différenes variables; => observaions «reconsruies» après filrage, => celles obenues par simulaion. Plosser (1989) sur l économie américaine: => modèle simple avec chocs de producivié, reproducion fidèle des flucuaions de l économie américaine, en pariculier pour le produi réel. => MAIS, les séries son moins bonnes pour la variaion de l invesissemen e décevanes pour l emploi 19

L emploi e la producivié moyenne du ravail Dans les simulaions, la corrélaion heures ravaillées/producivié es rès fore. Or dans les données réelles, aux Eas-Unis cee relaion n es que faiblemen posiive (0,1) e elle es négaive pour la France (-0,35). => Lacune considérable e échec cenral de la TCR auquel les ravaux ulérieurs on ené de remédier. 20

Aures criiques => les périodes de ralenissemen de la croissance ne marquen pas une inefficience du sysème =>Les inervenions de l Ea son inefficaces. => S il exise du chômage, celui-ci es enièremen volonaire : au salaire en vigueur, les agens préfèren réduire leur offre de ravail 21

4.5 Deux réponses aux écueils de la TCR «classique» 1/ la quesion du chômage 2/ l inefficacié des poliiques de demande Inroducion d imperfecions de marché e de rigidiés dans les modèles de la TCR. (idée d une «nouvelle synhèse néo-classique» où keynésiens e classiques uiliseraien le même cadre d analyse) 22

Le problème du chômage Une des criiques à l enconre de la RBC es que le chômage es oujours volonaire. D un poin de vue empirique, la corrélaion enre la producivié e les salaires es faible, (0.10 aux Eas-Unis sur la période 59-90). Mais les simulaions des modèles RBC canoniques arriven à des corrélaions beaucoup plus levées. 23

Hansen (1985): hypohèse de ravail indivisible. => perme d augmener la volailié des heures ravaillées, ce qui correspond plus aux fais sylisés. Mais la producivié es rop «lisse» => corrélaion oujours rès fore enre heures ravaillées e producivié ou producivié e PIB. 24

Danhine e Donaldson (1990): salaire d efficience => mais ne permeen pas de déboucher sur une rigidié iner-périodique. Merz (1995), Andolfao (1996) e Chéron e Lango (1998) => fricions sur les MT à parir des modèles d appariemen e de négociaions enre les firmes e les ravailleurs (Pissarides 1990). => chômage involonaire dans les modèles RBC. 25

Le rôle des poliiques L unicié de la source d impulsion es rapidemen apparue comme une limie inrinsèque de cee approche. Difficile d éliminer les effes des chocs de demande dans l explicaion des cycles (ravaux empiriques 80s, 90s). => A parir du milieu des années 90, de nombreux aueurs on donc inrodui dans le modèle canonique RBC des poliiques budgéaire e monéaire. 26

King e Plosser (1984): masse monéaire endogène - Masse monéaire endogène, qui dépend de la demande de monnaie des agens. - Relaion enre la créaion monéaire e l évoluion des prix qui déermine le aux d inflaion. - Si la variaion des prix induie n es pas anicipée comme permanene, alors on rerouve un effe de la poliique monéaire sur le produi. 27

Chrisiano e Eichenbaum (1992): chocs sur la dépense publique Les innovaions propres à la DP consiuen une nouvelle source d impulsion conjoncurelle. La DP inervien à double ire dans le programme de l agen représenaif : 1- dans la conraine budgéaire: absorbe une parie des ressources qui ne son donc plus disponibles 2- enre dans la consommaion oale de l agen (noion de biens e services publics) => réhabiliaion des effes de PB, e amélioraion des simulaions 28

La prise en compe de rigidiés, de chocs de demande, d imperfecion des marchés dans les modèles de la TCR correspond à l émergence d une «nouvelle synhèse» enre la NEC e la NEK, uilisan le même cadre d analyse, le MEGIS. 29