COMPARAISON DES MÉTHODES DE DÉSHERBAGE EN ZONES NON AGRICOLES RÉALISÉ PAR
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- Paul Pelletier
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1 COMPARAISON DES MÉTHODES DE DÉSHERBAGE EN ZONES NON AGRICOLES RÉALISÉ PAR FINANCÉ PAR AVEC LA PARTICIPATION DE
2 LE PROGRAMME COMPAMED ZNA 2 Le périmètre : les pratiques curatives de désherbage Pratiques et coûts du désherbage en ZNA Evaluation expérimentale des méthodes de désherbage Evaluation environnementale des méthodes de désherbage Les apports du programme Productions de synthèse Présentation de l outil d auto-évaluation des pratiques de désherbage RÉALISÉ PAR FINANCÉ PAR AVEC LA PARTICIPATION DE
3 LES PRATIQUES ET LES COÛTS DU DÉSHERBAGE EN ZONES NON AGRICOLES Plante & Cité, Centre technique national sur les espaces verts FREDON Ile-de-France Pauline LAILLE Lucile RIMBAULT Vivien POQUET
4 4 L ÉTUDE DES PRATIQUES CURATIVES DE DÉSHERBAGE 2010 : Enquête Identifier les critères de choix des techniques Investiguer l organisation et pratiques associées 2011 : Observatoire national Relever les pratiques de terrain 2013 : Évaluation économique Identifier les postes de dépenses pour les régies territoriales Construire un outil d évaluation des coûts
5 ENQUÊTE Contenu de l enquête 1. Engagements et désherbage raisonné 2. Gestion du désherbage 3. Techniques de désherbage utilisées 4. Itinéraires techniques 5. Historique technique 6. Pratiques courantes 7. Perception & problématiques locales Réponses 433 réponses, - 90% de collectivités territoriales - 10% d entreprises Des grandes collectivités territoriales 90 %des répondants se déclarent impliqués dans une démarche de raisonnement de leurs opérations de désherbage
6 6 ENQUÊTE 2010 : TECHNIQUES DE DÉSHERBAGE UTILISÉES Brossage Travail du sol Manuel Curatif Préventif Flamme directe et indirecte Eau chaude Vapeur Mousse
7 ENQUÊTE 2010 : TECHNIQUES DE DÉSHERBAGE UTILISÉES 7
8 8 ENQUÊTE 2010 : HISTORIQUE TECHNIQUE 50 %des 433 répondants ont changéde technique au cours des dernières années Quelles méthodes abandonnées et pourquoi? Abandon du désherbage chimique Risques sanitaires et environnementaux, Réglementation, Demande des élus Abandon du désherbage thermique Efficacité ressentie, Temps d intervention, Coût, Sécurité Abandon du désherbage mécanique Temps d intervention, Coût
9 VERS UN OBSERVATOIRE DES PRATIQUES 2011 Contexte Besoin de données reflétant les pratiques réelles pour appuyer les données récoltées dans les expérimentations mises en place (Action 1). Suivi de la campagne 2011 d entretien des espaces verts 9 PRÉSENTATION DE LA DÉMARCHE DE L OBSERVATOIRE Objectifs Étudier pour chaque technique de désherbage rencontrée : Les itinéraires techniques développés par les gestionnaires Les intensités de gestion et les seuils d intervention pratiqués Les consommations d intrants Les températures de traitement Les vitesses d intervention Les véhicules utilisés Le port des EPI et équipements de sécurité Les pratiques de terrain et leur variation
10 PRÉSENTATION DE LA DÉMARCHE DE L OBSERVATOIRE Méthodologie développée pour l observatoire des pratiques Les deux types de suivi Le suivi systématique : format pratique pour le terrain Le suivi ponctuel : paramètres enregistrés plus nombreux et nécessitant un matériel spécifique. 10
11 11 PRÉSENTATION DE LA DÉMARCHE DE L OBSERVATOIRE Les partenaires de l observatoire Répartition nationale Répartition en Ile de France
12 12 OBSERVATOIRE 2011 : RÉSULTATS 1. Les itinéraires techniques développés par les gestionnaires Les paramètres suivants sont nécessaires et suffisants àla description d un itinéraire technique Ils ne sont pas indépendants les uns des autres Schéma conceptuel pour la construction d un itinéraire technique
13 13 OBSERVATOIRE 2011 : RÉSULTATS 1. Les itinéraires techniques développés par les gestionnaires Nombre de sites observés en fonction des profils techniques
14 14 OBSERVATOIRE 2011 : RÉSULTATS 2. Les intensités de gestion et les seuils d intervention pratiqués Corrélation entre intensitéde gestion et seuil d intervention (hauteur de végétation avant intervention) Type de site <=> intensité de gestion <=> Profil technique L intensitéde gestion et le profil technique relevésur un site donnésont fortement liés. Ci-dessous, les associations les plus significatives :
15 15 OBSERVATOIRE 2011 : RÉSULTATS 2. Les intensités de gestion et les seuils d intervention pratiqués Nombre annuel d intervention
16 16 Estimation réalisée Estimation non réalisée
17 17 ÉVALUATION ÉCONOMIQUE 2013 : RÉSULTATS Outil d évaluation des coûts du désherbage Construction d un scénario de désherbage Chiffrage des différents postes de dépenses Calcul du coût total du scénario
18 EVALUATION EXPÉRIMENTALE DES MÉTHODES DE DÉSHERBAGE Centre d Expertises en Techniques Environnementales et Végétales Nicolas BRESEGHELLO Romain DURBIANO Adeline RENIER
19 INTRODUCTION Approche multicritère Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions Vision globale des méthodes prises individuellement Comparaison des méthodes entre elles 1 9 Définitions de 3 protocoles d étude : - Evaluation de l efficacité des techniques alternatives de désherbage - Focus sur les méthodes alternatives thermiques - Evaluation du nombre d intervention nécessaire pour un seuil d intervention donné Comparaison des différentes méthodes de désherbage existantes : - Désherbage chimique - Désherbage par méthodes alternatives mécanique thermique positionnement curatif 3 familles de désherbage 7 méthodes testées 1 modalité matériel par méthode
20 EFFICACITÉ 1 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 2 0 Evaluation de l efficacité des techniques alternatives de désherbage en comparaison à une référence chimique (glyphosate) et à un témoin non traité sur supports imperméables et perméables, selon le protocole CEB en vigueur - Commission des Essais Biologiques / Méthode Générale n 04 : «Méthode d essai de l efficacité pratique des herbicides destinés au désherbage total des zones non cultivées» et des méthodes alternatives = Réalisation d une action de désherbage et suivi de son efficacité dans le temps en comparaison à une référence - Modalités testées Chimique Mécanique Thermique Témoin Chimique foliaire référence Chimique foliaire par détection OE Binette Désherbeur mécanique Brûleur à gaz Eau chaude Vapeur Non traité
21 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 2 1 Protocole de travail - 4 essais : 2 types de surfaces imperméable perméable X 2 périodes d application - Notations: -Dénombrement ou estimation du recouvrement des plantes présentes sur 1m 2 (méthode dite des cadres) - Recouvrement global (pour la surface perméable) - Période : T0, T+7j, T+14j, T+21j, T+28j, T+60jours - Traitement des données selon la méthode CEB MG 04 : Les variables effectif et recouvrement sont exprimées sous forme de pourcentages moyens d efficacitépar adventice - Flore prise en compte dans les essais : Adventices représentées dans l ensemble des parcelles élémentaires
22 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 22 EFFICACITÉ 2 Evaluation de l efficacité des techniques alternatives de désherbage thermique sur les adventices selon les espèces et leurs stades phénologiques Principe But Réalisation d une action de désherbage thermique sur une flore identifiée (espèce / stade) et suivi des repousses Caractérisation plus précise de la plage d efficacité des méthodes thermiques Protocole de travail - Notations: - Période : T0, T+7j, T+14j, T+21 jours (T+28j, T+35jours) -àt0 : Dénombrement ou estimation du recouvrement (en fonction du port) de l adventice cible. -àt+x : combien de plantes présentent des signes de repousses. Estimation du taux de repousses
23 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 23 NOMBRE DE PASSAGES Evaluation du nombre d interventions nécessaire, sur une année, pour un seuil d intervention donné (contraignant et moins contraignant) en fonction de niveaux d acceptabilité de la flore spontanée sur support perméable et imperméable Protocole de travail Chimique Chimique foliaire référence Chimique foliaire par détection OE - 7 modalités testées Mécanique Thermique Binette Désherbeur mécanique Brûleur à gaz Eau chaude Vapeur - 4 essais simultanés : 2 types de surfaces imperméable perméable X 2 seuils d intervention contraignant moins contraignant - Notations : Une notation hebdomadaire pendant une année complète Dénombrement de la flore présente Dépassement ou non du seuil d intervention, réalisation de l intervention le cas échéant
24 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 24 Protocole de travail Dispositifs expérimentaux Essais surface imperméable Essais surface perméable -Dispositif de Fischer à3 blocs (A, B, C) + 1 parcelle témoin - Parcelle élémentaire = 35 mètres linéaires de fissure unique -Dispositif àun bloc -Parcelle élémentaire = 20 m 2 Définition des seuils Seuil moins contraignant Taille adventice (cm) < 5 5 < x < < x < 30 > 30 Nbre de plante Seuil contraignant Taille adventice (cm) < 5 5 < x < < x < 30 > 30 Nbre de plante Seuil moins contraignant Taille adventice (cm) < 5 5 < x < < x < 30 > 30 RG Nbre de plante % Seuil contraignant Taille adventice (cm) < 5 5 < x < < x < 30 > 30 RG Nbre de plante %
25 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 25 CONCLUSIONS Choix de l approche multi-critère justifié et nécessaire cohérence des résultats, compréhension des méthodes testées dans leur globalité Les méthodes de désherbage chimique restent les méthodes de désherbage, d un point de vue expérimental, les plus efficaces globalement. Concernant les méthodes alternatives : La méthode thermique au brûleur au gaz flamme directe apparait comme la moins intéressante des techniques. Les méthodes mécaniques sont à raisonner en fonction du support et de l infestation. Les méthodes thermiques «à eau» sont les plus polyvalentes. Chaque méthode a une plage d utilisation qu il faut appréhender. En termes d efficacité, le choix de l utilisation d une méthode doit être raisonnée en fonction : de la connaissance du site à désherber (support, accessibilité, ) de la flore présente (espèce, stade phénologique, niveau d enherbement,..) de l objectif de gestion attendu
26 Evaluation expérimentale Introduction Matériels Efficacité Nombre passages Conclusions 26 REMERCIEMENTS Conseil Général Haute Garonne Toulouse Métropole
27 ACV DES MÉTHODES DE DÉSHERBAGE Stéphane LE POCHAT Roberto BELLINO
28 INTRODUCTION Comparaison environnementale des méthodes de désherbage avec la méthode ACV Objectif Comparer les techniques àobjectif d efficacitéidentique, et permettre la comparaison des pratiques observées Méthode de l ACV - Cycle de vie et multicritère - Soumise àrevue critique - Étude jugée conforme àla norme ISO
29 PÉRIMÈTRE DE L ÉTUDE (1/3) 8 techniques comparées Chimique Mécanique Thermique Pulvérisateur à dos Binette Eau chaude À détection optique Brosse métallique Vapeur Désherbeur mécanique Gaz (flamme directe) 29
30 PÉRIMÈTRE DE L ÉTUDE (2/3) Phases du cycle de vie Matériels et consommables (matières premières et fabrication) Fin de vie (matériels et emballages) Transport sur site (opérateurs et matériels) Application 30
31 PÉRIMÈTRE DE L ÉTUDE (3/3) 4 modalités surface/seuil Perméable Contraignant Perméable Moins contraignant Imperméable Contraignant Imperméable Moins contraignant Application selon protocole d essai de l Action 1 Unité fonctionnelle «Traiter 1 m 2 de surface enherbée, de type perméable ou imperméable, pendant 1 an avec un objectif de gestion défini par un seuil d intervention quantifié(seuil contraignant ou seuil moins contraignant)» 31
32 INVENTAIRE DES DONNÉES Hypothèses et sources des données Recyclage Traitement des déchets Source :Ademe, stats nationales, 2011 Composition Durée de vie Entretien Source :docs techniques constructeurs, avis d experts, réglementation Distance aller/retour = 10 km Source :hyp par défaut d après observations Action 2 et dires d experts Rendements Consommations Nbre de passages Nbre d applicateurs Modèles d émission dans le milieu Source :Cetev (résultats expé. Action1), avis d expert et publications scientifiques 32
33 INDICATEURS ET MÉTHODE DE CALCUL Énergie non renouvelable (consommation de) Eau (consommation de) Changement climatique Ozone photochimique (création de) Eutrophisation Écotoxicité aqua. (eau douce) Couche d ozone (destruction de la) Ressources non renouvelables (épuisement des) Acidification Toxicité humaine (cancer. + non cancer. Méthode de calcul Basée sur recommandations du guide ILCD (JRC/EC, 2010) 33
34 RÉSULTATS (1/2) «Traiter 1 m 2 de surface enherbée, de type perméable ou imperméable, pendant 1 an avec un objectif de gestion défini par un seuil d intervention quantifié(seuil contraignant ou seuil moins contraignant)» Graphe tous indicateurs pour perméable/moins contraignant [CHIM] Pulvér. DOE [CHIM] Pulvér. à dos [GAZ] Lance chariot tracté + eau chaude [MECA] Binette [MECA] Mod. tracté «brosse métallique» [EAU] Vapeur [EAU] Eau chaude 34
35 INTERPRÉTATION La binette est la moins impactante des techniques. Les techniques chimiques ressortent comme significativement les plus impactantes sur l indicateur «écotoxicité». Avantage environnemental significatif du système àdétection optique vis-à-vis des autres systèmes chimiques Les techniques thermiques «eau chaude», «vapeur», et «gaz»ressortent comme les techniques les plus impactantes sur la quasi-totalitédes indicateurs environnementaux, hormis sur l indicateur «écotoxicité». La technique «eau chaude»s avère globalement la plus impactante des techniques, notamment sur sol imperméable. Globalement, les techniques mécaniques (brosse métallique et désherbeur mécanique) sont peu impactantes. Néanmoins, impact non négligeable de la brosse métallique sur l indicateur «ressources» dû à l usure des brins métalliques. 35
36 ANALYSE DE CONTRIBUTION 36
37 ANALYSE DE CONTRIBUTION : INTERPRÉTATION La phase d application est la plupart du temps la phase prépondérante (produits phyto, eau, gaz, gasoil, brosse métallique). Les EPI peuvent représenter une part non négligeable (par exemple, part prépondérante pour la technique binette). La part du matériel est non négligeable (minimum 10% des impacts au global). La phase de transport sur site (10 km AR) représente généralement une part négligeable des impacts environnementaux du désherbage au vu de la taille moyenne des sites à désherber 37
38 CONCLUSION GÉNÉRALE Des problématiques environnementales qui ne sont pas de même nature entre techniques chimiques et techniques alternatives: Impacts locaux (écotoxicité) vs. impacts globaux et/ou délocalisés (ressources, CO 2, etc.) Les paramètres «rendement»et«nombre de passages»sont les paramètres sensibles prépondérants. La voie d amélioration environnementale optimale pour le désherbage en ZNA est la réduction du nombre de passages («moins on désherbe, moins on pollue»): Tolérance du public (et donc des décideurs) aux adventices. Voire non désherbage de certaines zones urbaines. Passage d un désherbage «planifié»àun désherbage «raisonné». 38
39 BILAN DES RESSOURCES PRODUITES RÉALISÉ PAR FINANCÉ PAR AVEC LA PARTICIPATION DE
40 UN SITE INTERNET 40
41 RAPPORTS ET DOCUMENTS DE SYNTHÈSE 41 Panorama des techniques de désherbage Enquête : Rapport complet et synthèse Observatoire : Rapport complet et synthèse Rapport d évaluation des coûts du désherbage Efficacité comparée des méthodes de désherbage Expérimentation sur l efficacité comparée : rapport complet et synthèse Comparaison nombre de passages : rapport complet et synthèse Sensibilité de la flore au désherbage thermique Evaluation environnementale des méthodes de désherbage Documentation technique Rapport d Analyse du Cycle de Vie comparative des méthodes de désherbage Synthèse d Analyse du Cycle de Vie comparative des méthodes de désherbage
42 BOITE À OUTILS 42 Des fiches de synthèse sur les enseignements du programme Usages observés Matériels rencontrés Impacts sur l environnement efficacité Composantes du coût Leviers d actions Suivi des pratiques = Les protocoles et fiches de suivi de l observatoire Comprenez l impact environnemental = Des éléments pédagogiques pour comprendre l ACV, les indicateurs employés, les résultats de l outil d auto-évaluation
43 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION RÉALISÉ PAR FINANCÉ PAR AVEC LA PARTICIPATION DE
44 44 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION Construire Évaluer Comparer des scénarios personnels des scénarios personnels ou illustratifs des scénarios personnels ou illustratifs
45 45 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION Construction de scénarios de désherbage
46 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION - CONSTRUCTION DE SCÉNARIOS DE DÉSHERBAGE 46
47 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION - CONSTRUCTION DE SCÉNARIOS DE DÉSHERBAGE 47
48 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION - CONSTRUCTION DE SCÉNARIOS DE DÉSHERBAGE 48
49 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION 10 SCÉNARIOS ILLUSTRATIFS, PRÉ- CONSTRUITS 49
50 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION CALCUL DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX POTENTIELS 5 0
51 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION CALCUL DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX POTENTIELS 51
52 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION COMPARAISON DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX 52
53 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION COMPARAISON DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX 53
54 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION ÉVALUATION DES COÛTS D UN SCÉNARIO 54
55 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION ÉVALUATION DES COÛTS D UN SCÉNARIO 55
56 L OUTIL D AUTO-ÉVALUATION ÉVALUATION DES COÛTS D UN SCÉNARIO 56
57 57 SITE ET OUTIL COMPAMED
58 REMERCIEMENTS Observatoire : Angers, APRR, Arzon, Avranches, Bègles, Caen, Carquefou, CG 44, Coignières, Cucuron, Disneyland Paris, Etables-sur-Mer, Le Passage d Agen, Le Tronchet, Les Mureaux, Lons-le-Saunier, Maraussan, Marseille, Metz, Onet-le-Château, Paris, Pessac, Plaine Commune, Pontarlier, Rouvroy, Strasbourg, Valence, Vichy, Vincennes Sites expérimentaux : CG Haute Garonne, Toulouse Métropole Comité de pilotage technique : Sarah André, Pierre Bécid, Philippe Beuste, Cathy Biass-Morin, Bruno Canus, Gilbert Chauvel, Etienne Cuénot, Bruno Gauthier, Philippe Printz, Jacques My, Dominique Poujeaux, Sylvie Sagne, Pierre Veillat Plante & Cité : Pauline Laïlle, Damien Provendier, Caroline Gutleben, Ludovic Provost, Florence Cadeau, Gabriel Runfola, et groupe M2 Agrocampus Ouest : Boris Calvet, Aurélia Garbi, Violaine Vanpouille, et leurs enseignants : Hervé Daniel, Damien Rousselière Fredon Ile-de-France : Lucile Rimbault, Isabelle Huguet, Vivien Poquet CETEV : Adeline Renier, Kathleen Steuperaert, Nicolas Breseghello, Romain Durbiano, Ollivier Dours, Laurent Folcher EVEA : Roberto Bellino, Stéphane Le Pochat, Samuel Causse, Marion Chirat, Marine Iuso, Antoine Besnier Experts revue critique et Corné Kempenaar (Université Wageningen) 58
59 REMERCIEMENTS 59
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