MINI8TERE DE LA DEFENSE A BRASÍLIA
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- Jean-Baptiste Mélançon
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1 &P> AAJ, Piro**! O.eSl, ACL. 4-/ 6,^5o MINI8TERE DE LA DEFENSE A BRASÍLIA mwmmmi^ mmsbêi P)tOM-0 T/,4Cf_ ^-/ZéjpSl HBB mli H P#Bsg^sa-/V.- -_ " ' '' i &$áwi%á
2 ^ U U U
3 fw>, f-, i-j (ad M tri CATHEDRALE DE BRASÍLIA BP> A*f, *>I0 x a l.0.esi,act~4/&j{>-55 t-* n» r< 1 ^> «-AJ.^^oycj.o.esi,^CL,_- J»
4 V : ^ / r < v >< r,r J\l ív &<*S m*$s isokx iv,*^\»v 0* yoxq.o.es.i.ficl.y/ií 5^ AKJ,P)IO W.O. I m*
5 Lcvsque j'ai commencé 1'étude de ceiie cathédrale, je sovais que mon projet devrait constituer, par sa légè..té, un exemple des possibilites de Ia technique contemporaine. Je me souvenais des cathédrailes du m^sé, chacune exprimait 1'état du irogrès technique de 1'époque à aquelle elle fut réalisée, spéculant ur les grands vides, les structures aiaiacieuses, Ia beauté des façades?t des intérieurs richement decores. laintenant, grâce au béton arme ui nous offre tous les possibles, me fallait prétendre à plus ; il ne suffisait pas de réaliser une oeuvre mportante et originale : Ia cathérale de Brasília ne devait avoir beoin. ni de croix, ni de saints pour faire reconnaítre comme Ia main de Dieu. J'ai pense qu'elle derait pouvoir, telle une grande sculpure, refléter une idée religieuse. n moment de prière par exemple. e l'ai donc voulue circulaire, avec es colonnes courbes, s'élevant dans /», MJ, P,io X<? O. BSl 4 CL. 4/Zé^p- Sc? un geste d'appel et de communication. Les colonnes sont fines pour prouver que Ia technique actuelle domine le béton arme, qui s'adapte, docile, à tontos nos fantaisies. Une fois décidée Ia forme de Ia cathédrale, j'ai continue à faire des croquis et, peu à peu, le projet a pris corps. Je ne voujais pas que Ia cathédrale de Brasília, à 1'instar de ce qui existe, ait une façade principale et une façade secondaire ; je voulais, au contraire, qu'elle se presente comme un bloc uniforme, simple et pur, un objet d'art. Cest Ia raison pour laquelle j'ai abaissé Ia nef et créé une galerie souterraine qui sert de rampe d'accès (solution postérieurement adoptée pour les liaisons entre Ia cathédrale, le baptistère, Ia sacristie et Ia cure) et par laquelle on penetre donc, à 1'issue d'un cheminement relativement obscur, dans Ia cathédrale toute ouverte à Ia lumière extérieure : j'avais compris que le contraste entre ces deux éléments nef éclairée et galerie sombre me fournirait ces effets d'ombre et de lumière qu'un temple suggère. Je n'ai pas souhaité répéter le contraste habituei : extérieur lumineux et intérieur de pénombre des vieilles cathédrales. J'ai préféré l'effet contraire : les fidèles parcourent d'abord Ia galerie sombre, puis éprouvent, au moment oíi ils entrent dans Ia nef, riche de lumière et de couleurs (Ia lumière est dorée par 1'interposition d'un vitrage teinté) et par contraste une sensation de soulagement et de bonheur. Pour obtenir ce résultat, j'ai fait três attention aux détails : c'est ainsi, notamment, que j'ai choisi un revêtement de granit noir et gris pour Ia galerie, tandis que Ia nef est toute blanche. Cest alors que j'ai réétudié l'intérieur de Ia nef, et que j'y ai introduit un sol incurvé qui remontre sur ses bords, ces derniers tenant lieu de murs. Puis, me transportant par Ia pensée à 1'intérieur de Ia nef, j"ai augmente Ia hauteur du choeur et suspendu les anges de Ceschiatti de telle façon qu'ils se voient à travers les vitrages. Puis, toujours en imagination, je suis retourné au baptistère et au clocher pour les mettre en harmonie avec Ia silhouette de Ia cathédrale. Le'projet était termine. Pour m'assurer qu'il correspondait bien à ce que je souhaitais réaliser, j'en ai mentalement refait le tour : tout d'abord 1'extérieur, Ia structure légère, surgissant de Ia terre comme un appel de foi et d'espérance ; puis. Ia galerie de pénombre préparant les fidèles au spectacle religieux : enfin, le contraste entre Ia lumière dorée de 1'intérieur et 1'extérieur, les fidèles éprouvant dans cette opposition leur éloignement du monde. ON.
6 3K 4A/, P)»0 X a ],0. 5Si,4CI_.4/Z6, p-61 S1EGE RENAULT A BOULOGNE BI LLÂNCOURT l-e projet pour le siège social de Renault est sans doute plus complexe qu'il ne peut paraitre à première vue. II devra constituer une «livre architecturale capable d'affirmer Ia présence de Ia marque. L'étude préliminaire plan masse prend dans ce cas beaucoup dimportance. Cest dans cette étude que seront définis les volumes, les espaces libres, les caractéristiques du projet, tache rendue difficile du fait de Ia consiruction par étapes et principalement les previsions de plusieurs bâtiments qui pourraient mutiler le terrain et Ia propre composition. Notre idée initiale qui commande cette étude est de trouver un élément architectural capable de symboliser Renault et Tindustrie automobile. Nous avons imagine pour cela un système de circulation automobile Jisciplinant Ia composition avec des v iaducs, des échangeurs, des passa- Ses de niveaux, etc. sys-tème qui suggère Ia présence de 1'automobile 47
7 MMHHM 3f) A+l.-pjiO X^.O.tCl, ACL- 4/Z6,f-63 I 1 ^ V!-;. wmmm m Ç fr
8 S*> A*J, P)iOX^. o.ccl, ACL.4/2.6,p- é/ / lv>m, >oy*j o. eci, CL 4 /ZG; p.es BOURSE DU TRAVAIL BOBIGNY A démontrant ce qu'elle exige, séparant les piétons, évitant les croisements. A partir de cette idée, nous avons commence Fétude par les deux batiments principaux ; le siège social et 1'hòtel. La première avec 25 étages et les accès separes du bloc afin de garantir une flexibilité interne totale pour 1'hôtel, les étages et tous les raffinements du confort moderne. Nous avons examine ensuite les problèmes d'orientation, de circuiation, d'espace utile et de visibilité, optant pour des formes en are, formes qui se contrarient afin d'éviter le vis-à-vis qui serait lamentable pour 1'hôtel. La localisation de ces batiments étant fixée, nous avons cherché à situer les autres éléments de 1'ensemble avec 1'intention de les grouper en accord avec leurs fonetions, évitant ainsi de diviser le terrain avec de nombreux batiments et preservant Ia beauté du projet. Comme le salon d'exposition, le musée de 1'automobile et 1'auditorium présentent les mêmes caractéristiques, nous les avons localisés au niveau des pilotis du siège social; un corps bas tout en courbes, integre dans les formes de l'auditorium, du garage et du lac artificiei. Ainsi le salon d'exposition et rauditorium seront au rez-de-chaussée, reliés par de larges rampes au musée de 1'automobile localisé à 1'étage semi-enterré. II restait le problème de Ia localisation de 1'ordinateur necessitam près de m 2, et nous avons pénsé que lui aussi devait être situe dans 1'édifice du siège social. Nous avons donc augmenté Ia hauteur jusqu'à 32 étages, c'est-à-dire : 25 pour le siège, 5 pour 1'ordinateur et 2 pour le restaurant dont nous proposons Ia localisation aux 16/17" étages ou sur Ia terrasse. Cette solution a permis de préserver les espaces li bres, créant de grands miroirs d'eau et donnant à Ia circuiation automobile 1'échetle voulue, directement réalisée à tous les secteurs garages inclus auxquels on arrive par 3 voies distinetes, solution qui fractionne le trafic interne évitant aux automobiles une montée habituelk de 8 ou 10 niveaux. Notre conception semble définie par ces beaux batiments vitrés, ces bassins, ces indispensables espaces libres et Ia circuiation appropriée, conférant 1'aspect d'une grande sculpture horizontale à l'aspect dynamique.
9 &V> 4AJ, í^/o^.o.t^í.acl 4/^p-6 BP> A*J,P?iO X^ O I,ACL \-/Z^f-^ MHH Pour le bloc de bureaux, nous avons cherché une solution simple et économique : au sous-sol et au rez-dechaussée, des poteaux tous les 7,50 mètres (4), poteaux qui, dans les étages supérieurs, sont ramenés à Ia façade de l'immeuble, avec un espace de 1,25 m entre chaque module adopté et qui fonctionnent comme appui et raidisseur. Cette solution supprime des colonnes à 1'intérieur du bâtiment ce qui facilitera Ia division des salles ; elle evite aussi les raidisseurs et cadres d'aluminium ce qui apporte à Ia construction une économie considérable (les vitres seront fixées directement dans le béton) Ia ventilation se faisant par des éléments pivotants verticaux. Dans le secteur de réunions et congrès Ia structure s'adapte aux espaces et au programme dans un dessin plus libre et créatif, envisageant pour le bâtiment des caractéristiques propres et inattendues'(6). A 1'intérieur, Ia solution permet différentes utilisations suggérées au programme : restaurant, expositions, réceptions et fêtes en prévoyant les compléments indispensables (1'office-cuisine, vestiaires, etc.). Cest un ensemble defini que Ia petite place enrichit et complete. La solution recherche Ia surprise architecturale, le contraste des formes toujours présent dans une bonne architecture, 1'utilisation correcte de Ia technique ; simple et économique dans le secteur de travai!, libre et lyrique pour le grand auditorium qui doit caractériser 1'ensemble (7). O.N. Roz-de-chaussée. Le projet se presente en deux secteurs distincts : le premier, un bloc de 4 étages, comprenant des salles de bureaux séparées par des cloisons amovibles pour faciliter des modifications futures ; le second, les salles de conféreoces, les auditoriums, le salon pour congrès et un grand espace libre qui pourra servir comme restaurant, salle de réceptions, fêtes, expositions. L'idée de prévoir les deux secteurs indépendants justifie Ia place semienterrée, les accès directs et separes tantôt pour le bloc de salles, tantôt pour le secteur de réunions et congrès. Pians d'étage. ' l > i i i i l ii i) i i i fl i w l I r i i i f- i i i i i i i X ma UK mffflr 1 CÍJ r: E - -*> - TH 52
10 99 6e-d%/i? iz>v'\59-o ^y. oiü 'tw U& Q3-é f n/p -iov'is?q'bxch& 'fftf <d<3
11 CITE NEGEV kjukk.*. I C.ffrO makl. 'hi0x c >.O.e l,4cl.4./zí J p. : h /> r^- KL 0<c~t~~, C u 4. 6^ UÀ.A atcjt-^ A /^ttíníj^, fl^f j^ft^j»^)^ L^ljLJh o. o.«o il i c**^ ^L«_ ^ * 1 c^eu^ & ->> ^% m 4tí,PjiOY i^>0.e l,a.l.q/z6 J P' : H _.. lim'
12 P> 4A7. ^»oy^.0.esi,acl.4/26jp-^ L0GEMENT8 DETÜDIANTS A OXFORD 3P> A*J,P>iOK^.O.esl eacl.4-/z6 t p-h Plan de situation. Zone demi-enterrée : 1. Hall. 2. Róception. 3. Secrétariat 4. Snack bar. 5. Bibiiothèque. Pcemier étage : 1. Salorts-chambres à coucher. Chambres d'hôtes. 3. Suites chambres. 58 Cest un projet simple, économiquc. de conception aisée ; 1'édtfice, à un mètre au-dessus du sol, permet Ia privauté souhaitable dans les chambres. Evitant les structures porteuses en béton, le bâtiment est construit de murs de briques et dalles de béton. Avec cette solution nous avons créé une zone demi-enterrée ou se trouvent le bureau de Ia secrétaire, Ia bibiiothèque et un petit bar. Ainsi, on evite les «pilotis» traditionnels et on rend Ia cons- Iruction plus économique et plus originale. Une alternative est proposée pour Ia façade principale (inclinée): soit des éléments de béton verticaux en porte-à-faux sur Ia dalle de plancher du premier niveau, soit en utilisant les autres éléments, nous préférons créer ile> vérandas couvertes prolongeant les chambres. Cette solution est plu> fonctionnelle. En réponse au programme, nous avons étudié trois types de chambres : «salon-chambre à coucher, chambres d'hôtes ei suite à une chambre». Les finitions seront simples et identiques pour tous les murs et tous les planchers; le plafond será peint en blanc ei les éléments de façade préfabriqués Voilà notre idée de projet, qu' constituera à l'universite d'oxfortl comme nous le pensons, un exemple d'architeoture contemporaino. O. NIEMEYER
13 nsbbm &p> a*j,?>>o yq. o si, 4a-*4/2L6,p.M B?) AM, ^)>0 **) O. esi,a^l.4/2 j p 15 Salon-chambre à coucher.
14 TOUR PB 17 A PARIS DEFENSE ap> AU, P>fo XG).C, esl f ACL </-/2é,p. f*» <, < _ O,' -Q/,,0,'.O /,' Ò ''O- O.. C> O O O O J-. < Quand nous avons commcncc les études pour Ia Tour de Ia Défensc, à Paris, un de nos premiers soucis a été de Ia concevoir, si possible, différente de celles déjà existantes. Nous avons, d'abord, évité Ia solution usuellc des accès placés au centre du bloc, ce qui nous a amené à les placer (ascenseurs, escaiiers toilettes, montées techniques, etc.) dans les façades latérales. De cette définition préalable découle 1'ensemble du projet. Nous avons donc pense à une tour transparente, dont les étages seraient groupés en secteurs, commc rrm
15 C Qfà&é ^LiJI n- l A O r 1 \ \ IIIIIIIIIKI IIIIIIIIIKI V I(V I -^L_J / Q U- Rez^ie-chaussée. ft,#*/ ^>'(? X^. 0 3 I,A CL- 4/Zé,P-Tfi Etage courant. J l 1" étage jardin. V étage jardin. -# & M^ j 64 s'ils étaient suspendus dans l'air. Dans les volumes séparant les secteurs nous avons créé des jardins intermédiaires, ou ont été placés des bars, des cafés, salons de thé, etc. Les problèmes techniques sont donc devenus três simples : La construction doit être commencée par les façades latérales, puis par les poutres principales, lesquelles devront soutenir Ia structure métallique des secteurs de bureaux. puis par les colonnes et poutres qui composent Ia structure, puis par l«dalles. Une fois finie Ia dernierí dalle du secteur, apparaitra le premier jardm suspendu. Ce schénia será suivi jusqu'à Ia couverture d* Ia Tour. Le projet étant fixe, nous avons reexamine les surfaces des bureaux. et d'autres, demandées dans le p'<>gramme, face d'une part, à Ia fle.<ibilité des étages destines aux bureaux, et, d'autre part, aux con- traintes et avantages de Ia localisation dans Ia tour des autres surfaces. En ce qui concerne Ia flexibilité, lc projet permet toutes les possibilites, des l'«open space» jusqu'aux plus complexes répartitions. Qi- mt aux autres surfaces imposées Par le programme, le projet leur dorme aussi une réponse adéquate, en les plaçant dans Ia tour, en accord avec leurs fonctions spécifiques. Cest tout ce que nous pensons dire pour 1'instant sur ce projet. Nous pensons avoir conçu cette tour, intégrée dans le paysage de Paris, ou elle ne compte pas comme volume compact et defini, mais comme une forme différente dans laquelle volumes et espaces libres se complètent et s'associent pour Ia rendre légère et transparente. O.N. 65
16 QUARTIER DHABITATION A RIO 3*> AAJ,fi*>loxq.O. e.?l,acl.4./z.t>.w \
17 iòp? AKIrfitOX^ g.esm ( 4CL.4/ G,p.8Z Le projet comporte 61 tours d'appartements, de 30 étages chacune, avec les equipements correspondants et des bâtiments de bureaux, hotel, «service flats». Le commerce s'étend comme un fleuve, entre les tours, d'un côté à 1'autre du terrain. II est composé de 2 rangées de boutiques entre lesquelles le piéton se promène. 68 Cest une avenue de dimension inégale, s'élargissant de temps en temps pour former des places accueillant les cinemas, théâtres, restaurants et d'oü partem les accès vers les secteurs d'exposition et de parking situes en sous-sol. O.N.
18 3P> AAj,P)'0X*)<0.eSi,ACu.4-/Z(>jf>Q l i MUSEE DE LATERRE A BRASÍLIA a: : : l cu -U. TMMJU 2 ** *+*&. JL*. Cr>t*~+a 3 MU+I*M< au- 4. t* *-*. rw* ^{AAAJUUkA JJLÁÀ J H l^a^_44_ e** tu ~***4* Muütt eu* * MA*Ò-C> ^-* ia. CLU-*- II y aura trois musées : le Musée de Ia Terre, le Musée de Ia Mer, le Musée du Cosmos. Leur but est de montrer les richesses naíurelles de notre pays et ses perspectives de développement. La construction du Musée de Ia Terre est déjà commencée. Cest une structure simple et bien définie : deux appuis centraux, les poutres de Ia couverture et les tirants qui soutiennent les dalles. Au centre, entre les deux appuis se trouvent Ia rampe d'accès, les escaliers roulants, les sanitaires et les espaces techniques. La superfície maximum du bâtiment est de 100 X 100 m. O.N. r *f L <C2L CO L. áo s. af
19 i 1" ETAGE. 2' ETAGE. 3* ETAGE. &P> 4AJ, P)'0^ l.o 6SI, 4CU 4-/Z6,p.86 \ / I E /ô^ 4/J, P>>OX&'0. ezi, 4CL. 4/26, p-** WILAIS DES AFFAIRE8 ETRANGERES AALGER /I s jujy E li 1 1 FT m.. ««ir" \ i / 72 / 6 a «Aj* Mon souci initial dans cette étude fut de créer un monobloc qui, sans compromettre Ia fonction, permetirait de détacher le secteur du Cabinet ministériel de celui des scrvices administratifs. A mon point de vue cette solution a plusieurs avantages : elle empêche que les fonctionnaires du secteur administratif aussi bien que le public qui s'y dirige, circulent sans necessite à travers le Cabinet, ce qui le rend plus independam et plus intime ; ceei permet encore et principalement que le secteur administratif - beaucoup plus grand soit construit de forme simple et économique. Par contre le Cabinet peut avoir des finitions plus luxueuses eu accord avec ses fonetions. Dans ce príncipe, j'ai prévu le secteur administratif sur trois étages, parking souterrain (150 voitures) et une strueture répétée, préfabriquée, facile et rapide à construirc ; le Cabinet ministériel également sur trois étages mais plus haut est entouré d'arches qui le protègent cn hii donnant Ia grandeur et Féchelle d'tm vrai palais. Ayant fixe le schéma, j'ai commencé à definir le projet du palais et il me plaít tchement que je I. xplique comme s'il était déjà construit. ' -ntrée se fait par une large passereue sur le miroir d'eau ou de oin on voit 1c palais réfléchi. Cesl 11 palais imposant, léger, comme s il était à peine pose sur 1'eau. ^ première vue ce sont les arches qui comptent, fins et elabores, rappelant l'ancienne tradition algérienne, avec ses courbes enrichies par les chutes d'eau. A travers les arches on voit le rectangle en verre du palais, un verre miroir qui multiplie les formes de l'architecture en même temps que protégeant -- comme il convient les lieux interieurs de travail. Passe les arcades, surgit le grand hall d'entrée avec 30 m de large, tout en marbre blanc. D'un côté se trouvent les services reserves au public, Ia rampe tapissée qui amène les visiteurs au deuxième étage et le grand vide donnant au hall plus de hauteur et de dignité. De l'autre côté on voit les accès des congressistes et du public vers 1'auditorium, parmi eux le grand hall, sobre, peu meublé, parce qu'ici seul doit compter l'espace architectural. A côté des services administratifs se trouve le hal! prive du ministre qui 1'amène par ascenseur et escalier à son Cabinet, son appartement et aux salons de réceptions situes sur Ia terrasse. Au deuxième étage, le Cabinet du ministre avec ses satles de travai!, réunions, réceptions, etc, et les Ca binets de ses collaborateurs les plus proches lies directement au secteur administratif. Toujours au deuxième étage, à 1'arrivée de Ia rampe, se situent le vestiaire et 1'escalier qui amènent le public aux salons de fêtes et de; banquete sur Ia terrasse oü salons et jardins se joignent harmonieusement. O.N. 73 ^B -4.d JJ - ' 1 V >» «J J_. Sous-sol. 1'' V étage. étage. Façade. 1 = r^^' - : \
20 ^^H^F s«^w,?^to x^.^.fcsi,4e<_ 4-/Z6, p-fc** r-^ n <-S^ ^ ã OAüfx^i- S e^rlt. é cluba,?!bjjiémgíb.
21 gp> 4*7, fttox^.o. ESI,4C,L-4-/1^p.% PALAIS DES ARCADES A BRASÍLIA Bfsan PROIBIDO H3AR NA GRAMA &Éh-J&l~l &. «ÍA. /*^*^->? *-*-*> lw»~-> i i i i i i i i i f-is I i i ga" ^K lã (MIO *? Bf lie r B S^T- E ^ / I I! r_ n Cl i i i i i i \ 77
22 P> Ml,P>/o <*}. O, 6Si t 4CL ^/ZGrf.li PALAI8 DE JUSTICE A BRASÍLIA SP> A*J f P>'OX*l,0.e l,acl-.4/z(,ji>.<15.
23 3P> A*J,?>>o *^.0.esi # 4ct_. 4l2s>jp^H ÍÕP> AKl, P)'OX<5}.o ç^ LA MOSQUÉE DALGER Cette mosquée a été projetée pour reposer sur un miroir d'eau, ou suí Ia mer près de Ia cote comme nous 1'avons localisée. Notre objectif a été de créer une mosquée différente, qui puisse constituer un point d'attraction mystique pour le pays. J<,%«cU~ir> CJL f****^j U ***** 80 81
24 ^> Ml,P ) iokq.o. Z\ l ACL..4/l(, y f.% PLAN DALGER 3P> A*J. P>IO x*).e> eshacl. 4/Z.6,?'*& CENTRE CIVIQUE DALGER l.orsque Marc Emery et moi-même avons commencé 1'étude du plan rtalger, nous nous sommes aperçus que son développement se íerait inévitablement le long de Ia cote jusqifau Cap Matifou. Cest sans doute Ia zone Ia plus belle. Ia plus libre et Ia plus facilc à construire. Cest là que nous avons situe le «Nouvel Alger». ainsi que nous nommons Ia future capitalc de 1'Aliíérie. A cette intention. nous avons elabore 1'analyse urbanistiquc de Ia région et determine ensuite le système de circulation le plus adapte, routes principales, turbotrain, permettant une liaison rapidc entre 1'ancienne ville et Ia nouvelle capitalc. Nous avons cherché à fixer notre hypothèse urbanistique en déterminant cc zoning probable, en donnant aux centres gouvernementailx et aux grandes unités d'habitation une forme différente, séparées les unes des autres, créant ainsi dans lurbanisation cette pause si souvent négligée. De même, nous avons adopté l'urbanismc en hauteur réduisant les distances, simplifiant et précisant Ia circulation des véhiculcs et des piétons, projetant Ia cite verticale que les conditions locales suggèrent. Maintenant, avec le début du centre civique. nos idées se confirment. II represente un des centres gouvernementaux prévus dans Ia nouvelle capitale. II est constitua d'une grande place circulaire de 200 mètres de rayon. D'un côté, se trouve le palais présidentiel, le Ministère des Affaires Etrangères et 1'Assemblée. De 1'autre côté. un éventail : les ministères. Au centre, le monument de Ia Révolution et le Musée. Dans les palais, nous avons recherché le rappel de l'anciennc architecture árabe, faite de courbes et de droites, par exemple dans L-s structures du palais présklentiel, d- même que dans lauditorium de l'.\s_ semblée, nous retrouvons les anciennes tentes árabes, aux courbes généreuses. Dans les ministères, par contre nous avons choisi une solution économique. préfabriquée. rapide à construire. O.N.» * t» /././ li 1.! >:>:,.',
25 ZACDEDIEPPE &?) Mi, P)\0 X^.o.eSl.ACL- 4/26;j>. 18 La photo n 1 presente Ia première solution : 11 blocs d'habitations de 9 étages et de 150 m de longueur, et le terrain preserve avec de graneis espaces libres qu'exige 1'urbanisme contemporain. La photo n" 2 respecte Ia recommandation des 60 m de longueur maximum pour les blocs d'habitations. Cette solution comporte 29 blocs de 9 étages et de 60 m de longueur et le terrain est lamentablement transforme en pátios. La construetion est rendue plus onéreuse par Ia multiplication des fondations, des réseaux d'eau, degouts, etc. La photo n 3 montre Ia variante poesible. La solution verticale avec 13 blocs d'habitations de 17 étages et de 30 m de longueur de branche. Le terrain reste preserve comme dans Ia première solution. Les 3 photos montrent que dans le cas de Ia ZAC de DIEPPE, Ia solution recommandée est à déconseiller. Cest une limitation gratuite à Ia liberte de création de 1'architecte qui ne répond à aucun argument d'urbanisme valable. Ceei ne peut plaire qu'à ceux qui voient 1'urbanisme contemporain sans Ia grandeur indispcnsablc, qui ne pensent qu'au passe, et peut-être aux anciennes construetions de type «medi terra née». Nous nous permettons de rappele' Le Corbusier qui disait : * llíabita tkm collective doit être conçue en kilomètres, pas en mètres.» II & clair que le vieux maitre exagérait pour déplorer rincompréhensioo immense qui le poursuivit pendant toute sa vie et dont le même e^pf' se manifeste à présent pour le» de Ia ZAC de DIEPPE.
26 3P> AAJ,P>IOA*>,0. est, Acu^1Zé>, p- foi Notre première étude prévoyait un théâtre de conception nouvelle, avec une scène rotative, de façon à permettre dans le même spectacle, des possibilites variées, le public faisant face au spectacle, 1'entourant ou s'y confondant. Cette idée nous avait séduit, par son intérêt, en tant que contribution à Ia recherche théâtrale. Cette conception ayant été écartée au bénéfice d'un théâtre classique (30 m devant Ia scène. 23 m de hauleur de scène) nous avons revu le projet qui va être soumis incessamment à 1'appréciation de Ia mairie du Havre. Nous 1. Fórum. 2. Accueil cafeteria. 3. Restaurant. 4. Cuisine. 5. Aire d'animation n Exposition. 7. Bureaux. 8. Auditorium. 9. Documentation. 10. Atelier audio-visuel. 11. Salle polyvalente. 12. Salle polyvalente. 13. Atelier décor. 14. Foyer du public. 15. Foyer des artistes. 16. Atelier décor. 17. Parking. 20. Bu reaux. 21. Scène. 22. Salle. 87
27 UNIVERSITES DALGER ET DE CONSTANTINE &Ps A/J,.-*- /-'"''' V/ÍV' ^^í^yí^rv^cr^^i^-^ ^ti. -ÍSJJÍ püm'^:.u P>>0 X^. 0. l,ac_l 4/26 ; p. 403 Page de gaúche : Université scientifique d'alger. Ci-dessous : Université Sciences humaines d'alger. MHNMIIHHflIHIIH.< lm MMHI / / / / sm^msrçt Quand on m'a convoque pour étudier le projet de TUniversité de Constantine, j'ai été surpris devant le programme que l'on voulait réaliser. Cétait Ia vieille université retrograde et dépassée, avec des dizaines d'immeubles comme si les temps actuels ne suggéraient pas une université différente, intégrée. comme l'on dit. J'ai refusé de continuer le programme établi et comme on me demandait de faire diligence pour ce projet j'ai décidé de le réaliser selon mes convictions personneiles, changeant complètement ce que I'on imaginait devoir être l'université de Constantine en Ia faisant compacte, avec seulement 7 immeubles y compris celui des sciences et celui des classes, pour 1'enseignement proprement dit. Je m'appuyais sur Ia confiance que le président Boumedienne avait en moi, sur mon ami le commandant Djelloul, secrétaire de Ia Présidence, sur Ia eompréhension du ministre Taleb, sur 1'optimisme du directeur de 1'Ecotec Mehnaoui. Mais ce fut l'actuel ministre de 1'Enseignement supérieur, Benyahia, qui me permis de mener à bien le projet de Constantine en intervenant directement dans les problèmes pédagogiques, en m'accordant son appui et son amitié, en m'invitant aussi pour d'autres projets : les Universités de sciences humaines et scientifiques d'alger, dont Ia première est déjà en construction sous Ia direction du commandant Aouchiche du D.N.C.- A.N.P. Mais Ia veille du lancemenl des travaux j'ai été convoque contre toute attente : les professeurs de 1'université voulaient connaitre mes projets. Dans Ia nuit j'ai rédigé le texte ci-dessous pour essayer d'expliquer mon projet. «Mon idée de 1'Université, est différente de ce qui a été réalisé jusqu'à ce jour et cela explique les doutes qu'il y eut au début. Mes arguments étant si clairs, honnêtes et irréfutables que tous l'acceptent sans discussion. Mon projet est base sur Ia centralisation et sur Ia flexibilité ; de ce fait je refuse l'université traditionndle, avec des dizaines d'immeubles un pour chaque faculte - occupant trop de terrain, le divisant en petits lots, créant des rues inutiles et, ce qui est plus grave, obligeant à des travaux coüteux comme mouvements de terrains, fondations. installations de lumière, gaz, etc. sans parler de Ia multiplication de> classes, des auditoires et labora toires ; ces derniers dissemines a travers les facultes, brisant ]'uniic et le niveau scientifique lui-mêm: L'université que je propose est humaine, logique et compacte. Elle esl apte aux modifications que le futui pourra exiger. Mon projet ne pré voit que deux immeublcs destino à 1'enseignement : le bloc des classi! et celui des sciences. Dans le pr mier se trouvent toutes les olasso et-auditoires ; dans le second, les laboratoires et Ia recherche. L'ersemble est complete par le bloc d: 1'administration, 1'auditoire, Ia bibliothèque, le restaurant, le «vi lage» et 1'ensemble sportif. L: schéma est si logique que, si demain 1'université decide de créer une nouvefle faculte elle n'aura pas besoin ile. construire un autre immeuble ; elle n'aura qu'à établir les horaires et les programmes et le lendemain commencer les cours. Etant donné rion explication il est normal que 1 on se pose Ia question suivante : cuel est le programme adopté dans \otre schéma? Ma réponse est s mple : n'importe quelle université - jusqu'à élèves pourra s adapter à mon schéma, à condi- 1 on d'adopter les príncipes que je j ropose. Je ne suis pas optimiste 'is-à-vis des grandes universités vu hwrs problèmes com-plexes dont ceux du corps enseignant. A Vuniersité de Harvard Ia proportion st de 4 professeurs par élève. S. Beadle, recteur de l'université de Chicago, declara à son sujet : «Tels les dinosaures d'autrefois, les grandes universités sont en voic d'extinction. De plus cn plus grandes elles perdent 1'élasticité indispensable à leur développement futur.» Mais voyons quels sont, dans Ia pratique, les avantages de mon projet par rapport au programme architectural qui m'a été fourni : 11 immcubles au lieu de 22 (2 blocs d'enseignement au lieu de 9 immeubles prévus pour les facultes), 800 mètres entre les immeubles au lieu de 5 km, des rues comprenant des installations de force, lumière. gaz, électricité, etc. Je rappelle encore que Ia solution proposée permet Ia multiplication des cours étan 1 donné que l'université de Constan tine ne doit pas viser seulement Ia formation de scientifiques de haut niveau, mais aussi celle des professeurs et tcchnicicns reclames par l'enseignement et 1'industrie algérienne. Les lacunes actuelles consti tuent 1'héritage inévitable du colo nialisme. Comment será l'université du futur? Cest une question que je me pose pendant que fécris ce texte. L'université de 1'avenir será basée certainement sur le progrès de Ia technique, de Ia science et de Ia société elle-même. Ce ne será donc pas Ia vieille université qui procura tant de soucis à Newman, Elliot. Flackner et Howell et qui trouva en Allemagne sa reconnaissance. Et elle ne será pns non plus identique aux actuelles universités américaines comprenant Ia multi-université que 1'industrie menace d'absorber L'université du futur será versatile, intégrée, destinée à tous sans discrimination, créant le dialogue et 1'échange des connaissances que Clark Kerr, président de l'université de Californie, suggère : «Une étape importante s'impose, celle d'établir 1'unité dans 1'univers intellectuel : Ia rencontre de deux, de multiples cultures ouvrant entre les diverses disciplines de nouvelles routes et le dialogue indispensable et intelliaent.» 88 89
28 P, 4+J,?»OW.O.EZ\ l ACL.-miG J p.<\vli : j ' ~ <:. ig " -' \ fmmg,z Université de Constantine. rnsm i :,. 1-9f m&ê
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