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1 TËH.GERWIAlfïETFIL RILLY-LA-MONTAGNE ÉTUDE PRELIfolÑAÍfi TRAVAUX D'ASSÈCHEMENT DES CAVES GERMAIN A RILLY-LA-MONTAGNE avec la collaboration de A. KERBAUL et S. MAIRET mmmm BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONA^ l'/: ; r 77 SGN 294 BDP rim ±a a B.P. 6009, ^,4501,8, Orléans Cedex - Toi (38) 63(.8O.p1 Service géologique régional BASSIN DE PARIS i65, rue du général-leclerc - B.P. 34, Brie-Comte-Robert r i r i - : - 1 ' 1 '. " r T"r ' h ' : -. : T :: UTÖfc: (1)405.27tO7ff Annexe Champagne^ 13, boulevard du général-leclerc * Tél.: (26) Q-:_t J: VU4I l"'~rr nje X Tl.: r^j- Brie-Comtç-Rpbert, juin 1927 hçtt Í W Y rrra ffi?

2 SOMMAIRE pages 1 - INTRODUCTION DETERMINATION DES POINTS D'INFILTRATION POSSIBLE Cadre géologique et hydrogéologique Détermination des zones d 1 infiltration Identification des eaux par analyses chimiques ESSAI DE COLORATION SUR LA CAVE N CONCLUSIONS 7 ANNEXES A... - Relevé topographique des caves A.«- Plan de situation A. - Résultats d'analyses

3 -1- ETUDE PRELIMINAIRE AUX TRAVAUX D'ASSECHEMENT DES CAVES GERMAIN A RILLY-LA-MONTAGNE (MARNE) 1 - INTRODUCTION A la suite de l'extension inquiétante des zones atteintes par les eaux d'infiltration percolant dans les caves, la société H. GERMAIN & FILS a confié au B.R.G.M. - Service géologiques régional Bassin de Paris, une étude destinée à déterminer l'origine des eaux infiltrées. Elle a consisté en particulier dans : - le levé topographique des caves et le report sur plan cadastral et d'assainissement - la détermination des points d'infiltration possible - l'identification de l'eau par analyse - la vérification des hypothèses par coloration. 2 - DETERMINATION DES POINTS D'INFILTRATION POSSIBLE Un levé topographique des caves a été réalisé à l'échelle du 1/200 (annexe 1) puis réduit à l'échelle du 1/500; le plan cadastral à l'échelle du 1/1250 a été agrandi à l'échelle du 1/500 et reporté sur le plan des caves (document annexe 2) Cadre géologique et hydrogéologique La commune de RILLY-la-Montagne est située en bordure de la cuesta tertiaire de la Montagne de R.eims (voir extrait carte géologique à 1/20.000). - Du point de vue géologique : le pays se situe essentiellement sur la craie campanienne. Le Sud de la commune est constitué par la série des terrains tertiaires représentés ici par des sables marins reposant sur la craie et surmontés par des calcaires lacustres puis des marnes du Thanétien (épaisseur de l'ensemble 35 mètres); viennent ensuite les argiles,

4 m^mms0i EXTRAIT DE CARTE GEOLOGIQUE

5 CHAMPAGNE GERMAIN COUPE A.B B Cote 20NE D'lHFILTRATlON \ ; 12'; 80- Craie Cote 100 H + 90 i CANALISATION ÊOOUT CANALISATION AEP CANALISATION EAUX PLUVIALES BOH COUPE C. D Echelle : 1/500

6 sables et lignites riches en gypse du Sparnacien sur une épaisseur de 20 mètres sur lesquels se sont déposés les sables cuisiens d'une épaisseur de 12 mètres. L'ensemble de ces formations argilo-sableuses est recouvert par les calcaires de 1'Eocène moyen et supérieur. - Du point de vue hydrogéologique : une succession de nappes d'importance variable est contenue dans ces diverses formations sableuses et donnent naissance à des sources qui, au niveau du pays s'écoulent dans le réseau pluvial. La nappe de la craie se situe à l'aplomb du secteur à des profondeurs supérieures à 20 m. Les caves ont été creusées dans la craie campanienne et sont situées entre 5 et 10 mètres au-dessus de la nappe Détermination des zones d'infiltration Sur le plan de synthèse caves-cadastre à l'échelle du 1/500 ont été reportées les zones humides; les infiltrations se situent essentiellement dans les caves ter et au niveau du monte-charge nord. Le plan montre que la cave 12 déborde largement sur la rue de Reims et qu'une canalisation d'assainissement passe juste au-dessus. Les caves 15 et 13 ter sont situées à l'aplomb d'un système complexe de regard et de changement de direction des canalisations qui pourrait également être à l'origine des infiltrations. Au niveau du monte-charge, les infiltrations observées paraissent plus irrégulières; en effet, en un mois les infiltrations ont diminué de plus de 90 7 O. Il ne s'agit donc probablement pas d'une fuite de canalisation dans laquelle coulerait régulièrement de l'eau car dans ces conditions les débits enregistrés dans les caves auraient été constants ou en augmentation Identification des eaux par analyses chimiques Analyses chimiques Trois prélèvements ont été réalisés dans les caves: l'un dans la 12, un autre dans la 13 ter et le troisième dans la cage du monte-charge, Les résultats sont reportés dans le tableau ci-joint.

7 RILLY-LA-MONTAGNE INFILTRATIONS D'EAU DANS LES CAVES S.A. H. GERMAIN ET FILS MONTE-CHARGE CAVE 12 CAVE 13 ter TURBIDITE <5 <5 <5 PH 7,32 7,92 8,22 RESISTIVITE EN OHM.CM A DEGRE HYDROTIMETRIQUE TOTAL TITRE ALCALIMETRIQUE COMPLET (T. A.C.) OXYGENE CEDE PAR KMnO4 2,8 0,96 1,12 ORGANIQUE ^Co.os ^Co.os <T0,05 AZOTE AMMONIACAL -^co.os TRACES.. TRACES NITREUX NEANT ' NEANT NEANT NITRIQUE CHLORURES (Cl) 56,8 62,1 30,2 SULFATES (S0 4 ) 257, FER (Fe"^) NEANT NEANT NEANT CALCIUM (Ca ++ ) 245,6 116,2 112,6 MAGNESIUM (Mg^) 11,2 7,3 2,9 CUIVRE (Cu 4 + ) NEANT NEANT NEANT

8 -4- REMARQUES: La minéralisation des eaux prélevées dans les caves 12 et 13 ter sont semblables et pourraient correspondre soit à l'eau de l'adduction, soit à l'eau des sources du Tertiaire qui circule dans la canalisation d'eaux pluviales à l'aplomb des caves. Les faibles teneurs en magnésium (11,2 mg/1 et 7,3 mg/1) caractérisent plus les eaux de la craie (donc de A.E.P.) que celles des sources du Tertiaire où les teneurs sont généralement plus élevées. Il serait bon de vérifier l'état du réseau dans les zones situées sur le plan (annexe 2). En ce qui concerne l'eau prélevée dans le monte-charge, elle présente une composition chimique différente des autres; en effet, les teneurs en sulfates, en nitrates et en calcium sont très élevées; cette eau pourrait cependant avoir la même origine que les" précédentes, mais se charger en sels minéraux avant de s'infiltrer Analyses isotopiques Deux prélèvements supplémentaires ont été faits sur l'eau du monte-charge et sur celle de la source qui circule dans la canalisation d'eaux pluviales. Des analyses isotopiques ont été réalisées sur ces eaux afin d'essayer de lever l'indétermination sur leur origine. Ont été dosés sur ces deux prélèvements le Tritium et le soufre 32 et Tritium Mesures isotopiques à l'aide du tritium 3 Le tritium - H ou T est un isotope radioactif de l'hydrogène ayant pour masse atomique 3. L'élément H de numéro atomique Z = 1 comporte différents isotopes: H protium ou hydrogène 2. H ou Ü deuterium ou hydrogène lourd 3 H ou T tritium, radioactif. La période du tritium est de 12,26 années, temps au bout duquel la radioactivité de cet élément a décru de moitié. C'est un émetteur de rayonnement ß de très faible énergie. Les teneurs sont évaluées en unité tritium U.T., qui correspond à un atonie de tritium pour 10*- atomes d'hydrogène. L'origine du tritium est double.

9 - 5 a) Le tritium naturel : avant 1952, c'est-à-dire avant la première explosion thermonucléaire, la teneur en tritium de l'air et des eaux était faible, sa formation dans l'atmosphère étant due seulement à l'action des neutrons cosmiques sur les composés gazeux. Le tritium produit se combine aux molécules d'eau qui tombent sur le glebe sous forme de pluies. Les teneurs en tritium de ces eaux de pluies étaient de l'ordre de quelques U.T. b) Le tritium artificiel : les explosions nucléaires ont provoqué un apport de quantités importantes de tritium dans l'atmosphère où il se comporte comme le tritium naturel. A partir de 1953, les activités des eaux de pluie ont montré un accroissement variable mais notable résultant de la fréquence et de l'intensité des explosions. RESULTATS Les eaux de la source présentent une activité tritium de 89 U.T. et celles du monte-charge de 22 U.T. Ces valeurs montrent que l'eau du monte-charge ne provient pas de l'eau de la source qui coule dans la canalisation pluviale rue Kellermann où l'activité tritium est supérieure. Elle ne provient pas non plus d'eau de pluie infiltrée car l'activité tritium de l'eau de pluie est en moyenne dans la Région parisienne de 900 U.T, (période de 1971 à 1974). En conséquence, selon toute vraisemblance, les eaux d'infiltration incriminées proviennent du réseau d'adduction d'eau potable Soufre 34 Mesures isotopiques à l'aide du soufre 34 Dans la nature, l'élément soufre présente quatre isotopes stables répartis en moyenne, avec, les pourcentages suivants : - 32_ = 95 7o, 33 O = 0,7 7», 34 O = 4,2 7. et 36 O = 0,01 %. O O O O Le rapport le plus aisément mesurable est celui entre les isotopes 32 et 34, tels qu'ils résultent des analyses en spectométrie de masse. Les résultats de ces analyses sont exprimés en unités définies par la relation générale : i; < / - (REch - 1) 1n3 34 s u * - (170 x 10 avec. abondance isotope lourd (34 ) REch = _ S abondance isotope léger (32,)

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11 -7- Une coloration de l'eau de la fosse a été réalisée le 15 octobre 1976 à 8 h 30. La première apparition de la coloration s'est manifestée dans le caveau n 12 le 17 octobre 1976 à 8 h 30, c'est-à-dire 48 heures après l'injection. Plus tard, les travaux réalisés sur le réseau d'adduction d'eau ont mis en évidence une fuite au niveau de la bouche à clé du branchement de la maison d'en face. Les travaux d'étanchement réalisés, les arrivées d'eau dans le caveau n 12 ont cessé. En ce qui concerne les infiltrations du caveau 13 ter, les deux fosses réalisées à l'aplomb de la canalisation d'eaux pluviales n'ont pas présenté de traces d'humidité; il est donc probable que les fuites proviennent également du réseau A.E.P. et s'infiltrent directement. 4 - CONCLUSIONS Les différents travaux de topographie et d'analyses chimiques ont permis de localiser les zones d'infiltration. En ce qui concerne le caveau n 12, les infiltrations ont actuellement disparues. Pour le caveau n 13 ter, il sera bon de vérifier la conduite de l'adduction en eau potable au niveau du croisement de la rue de Reims et de la rue Kellermann. Pour les eaux arrivant dans le monte-charge, il serait bon d'étanoher complètement le caniveau à l'aplomb des cuves où s'infiltrent à chaque manipulation les débordements accidentels ainsi que les eaux de rinçage. Il faut noter que ces différents travaux ne modifieront pas les infiltrations naturelles des eaux de pluie dans les caves qui ne sont pas situées sous la protection des bâtiments.

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14 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Bulletin d'analyse n VILLE DE REIMS LABORATOIRE MUNICIPAL et RÉGIONAL Agréé par le Ministère de la Santé pour le contrôle sanitaire des E A U X 59, boulevard Dauphinot REIMS Téléphone : ANALYSE D'UN ECHANTILLON D'EAU - CAVEAU 12 Remis le 5 Avril 1976 par : S.A. H. GERMAIN & Fils B.P. n RILLY LA MONTAGNE Turbidité : L. 5 gouttes de mastic - eau limpide ph Résistivité en ohins/cm2 à 20 Degré hydrotimétrique total (T.H.) Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) 7, , Résultats en mg/1 d'eau : Oxygène cédé par KMnO4 à chaud, en 10 mn, en milieu alcalin (organique (en NH3) Azote (ammoniacal (en NH3) (nitreux (en N2 03) (nitrique (en N2 05) Chlorures (en Cl) Sulfates (en S04).1. Fer (en Fe ) 0,96 <-0,05 traces néant 27,- 62,1 43,- néant REIMS, le 12 Avril 1976 Le Directeur du TAXE: p. 53,36 Le présent Bulletin d'analyse ne pourra servir devant les Tribunaux qu'après avoir été revêtu du timbre légal. Toute personne qui fera usage du présent bulletin pour nuire à la réputation d'autrui commettra le délit de diffamation.

15 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Bulletin d'analyse n VILLE DE REIMS LABORATOIRE MUNICIPAL et RÉGIONAL Agréé par le Ministère de la Santé pour le contrôle sanitaire des IiAUX 59, boulevard Dauphinot REIMS Téléphone : ANALYSE D'UN ECHANTILLON D'EAU - CAVEAU 13 TER 1/2 Remis le 5 Avril 1976 par : S.A. H. GERMAIN & Fils B.P. n RILLY LA MONTAGNE Turbidité 5 gouttes de mastic - eau limpide PH Résistivité en ohms/cm2 à 20 Degré hydrotimétrique total (T.H.) Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) 8, , Résultats en mg/1 d'eau : Oxygène cédé, par KMnO4 à chaud, en 10 mn, en milieu alcalin (organique (en NH3) Azote (ammoniacal (en NH3) (nitreux (en N2 03) (nitrique (en N2 05) Chlorures (en Cl) Sulfates (en S04) Fer (en Fe ) 1,12 <. 0,05 traces néant 35,- 30,2 28,- néant REIMS, le 12 Avril 1976 Le Directeur du J TAXE:?- 53,36 Le présent Bulletin d'analyse ne pourra servir devant les Tribunaux qu'après avoir et* revêtu du timbre légal. Toute personne qui fera usage du présent bulletin pour nuire à la réputation d'autrui commettra le délit de diffamation.

16 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Bulletin d'analyse n VILLE DE REIMS LABORATOIRE MUNICIPAL et RÉGIONAL Agréé par le Ministère de la Santé pour le contrôle sanitaire des FAUX 59, boulevard Dauphinot REIMS Téléphone : ANALYSE D'UN ECHANTILLON D'EAU - MONTE CHARGE Remis le 5 Avril 1976 par : S.A. H. GERMAIN & Fils 3.P. n RILLY LA MONTAGNE Turbidité : <. 5 gouttes de mastic - eau limpide ph Résistivité en ohms/cm2 à 20 Degré hydrotimétrique total (T.H.) Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) 7,32 792, Résultats en mg/1 d'eau : Oxygène cédé par KMn04 à chaud, en 10 mn, en milieu alcalin (organique (en NH3) Azote (ammoniacal (en NH3) (nitreux (en N2 03) (nitrique (en N2 05) Chlorures (en Cl) Sulfates (en S04) _l L, Fer (en Fe ) 2,8 ^0,05 <-0,05 néant 216,- 56,8 257,5 néant REIMS, le 12 Avril 1976 Le Directeur du Labjijttïië TAXE: F. 53,36 Le présent Bulletin d'analyse ne pourra servir devant les Tribunaux qu'après avoir été revêtu du timbre légal. Toute personne qui fera usage du présent bulletin pour nuire à la réputation d'autrui commettra le délit de diffamation.

17 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Bulletin d'analyse n* VILLE DE REIMS LABORATOIRE MUNICIPAL et RÉGIONAL Agréé par le Ministère de la Santé pour le contrôle sanitaire des E A U X 59, boulevard Dauphinot REIMS Téléphone : ANALYSE D'ECHANTILLONS D'EAU Remis le 7 Mai 1976 i'ar : S.A. H. GERMAIN & Fils B.P. n« RILLY LA M0NIAGH3 Calcium (Ca ) Magnésium (Mg ) Cuivre (Cu ) Eau 13 ter 112,6 ) ( mg/1 2,9 ) néant Eau ,2 ) ( mg/1 7,3 ) néant REIMS, le 14 Mal 1976 Le Directeur du Laboratoire, 4 ^ TAXE: F. 132,48 Le présont Bulletin d'analyse ne pourra servir devant les Tribunaux qu'après avoir été revôtu du timbre légal. Toute personne qui fera usage du présent bulletin pour nuire à la réputation d'autrui commettra le délit de diffamation.

18 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Bulletin d'analyse n VILLE DE REIMS LABORATOIRE MUNICIPAL et RÉGIONAL Agréé par le Ministère de la Santé pour le contrôle sanitaire des E A U X 59, boulevard Dauphinot REIMS Téléphone ANALYSE D'UN ECHANTILLON D'EAU - MONTE CHARGES Remis le 6 Mal 1976 par : S.A. H. GERMAIN & Fils B.P. n RILLY LA MONTAGNE Résultat3 enrag/1d'eau Calcium Magnésium (Mg ) Cuivre (Cu ) 245,6 11,2 néant 1*) - Dér.orcbremant total des bactéries sur gélose nutritive : a - nombre de colonies après 24 H à 37* b - nombre de colonies après 72 H à par ml 0 par ml 2 ) - Colimétrie : a - Bactéries Coliformes : 0 par 100 ci technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu tergitol 7 TTC à 37 b - Escherichia Coll : 0 par 100ml technique utilisés : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44* 3*) - Streptocoques Fécaux Groupe D : 0 par 100ml technique utilisée : membranes filtrantes à 37, milieu de Slanetz. Sur cet échantillon : du point de vue bactériologique, aucun signe de contamination fécale. REIMS, le 14 Mai 197 Le Directeur du TAXE: F. 139,84 Le présont Bulletin d'analyse ne pourra servir devant les Tribunaux qu'après avoir été revêtu du personne qui fera usage du présent bulletin pour nuire à la réputation d'autrui commettra le délit

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