RESEAU DE SURVEILLANCE

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1 Par contre, la Haute-Maurienne et ses contreforts totalisent entre 1 mm et 1 25 mm. Sur l année 28, nous comptabilisons cinq mois excédentaires sur tout le département (janvier, mars, avril, juillet et septembre), deux mois déficitaires (février et octobre) et un mois proche des normales (août). Les quatre autres mois sont différents suivant les massifs. Le mois de juin est excédentaire sur les Préalpes, le Beaufortain et la Maurienne. Par contre, les mois de mai, novembre et décembre sont bien excédentaires au voisinage de la Haute-Maurienne et déficitaires sur l ouest de la Savoie. Ces trois mois sont à l origine des excédents sur les quantités annuelles des régions frontalières de la Maurienne. Les nombres de jours de précipitations, avec au moins 1 mm, compris entre 97 jours à Modane et 152 jours à Hauteluce- Belleville sont le plus souvent un peu supérieurs aux nombres de jours moyens annuels des postes en Savoie. Ces excédents sont à rapprocher des cumuls excédentaires sur les quantités annuelles. PRECIPITATIONS EN MILLIMETRES DE L'ANNEE 28 RESEAU DE SURVEILLANCE En Savoie, la surveillance de la qualité de l air est assurée par l association agréée «L Air de l Ain et des Pays de Savoie». L ensemble du territoire savoyard est surveillé par des stations fixes, fonctionnant 24h/24, servant de référence, et installées dans des zones stratégiques, par des moyens d études, implantés ponctuellement, qui complétent le suivi des zones urbaines, rurales ou de proximité industrielle et routière, et enfin par des outils de modélisation permettant de cartographier la qualité de l air et de restituer une information sur l ensemble du territoire. Ces moyens permettent de confronter l air savoyard à la réglementation en vigueur. Celle-ci détermine trois types de valeurs (variables selon les polluants) : des objectifs de qualité et des valeurs limites qui s appuient sur un bilan annuel rétrospectif de la qualité de l air, mais également des seuils préfectoraux (niveau d information et de recommandations sanitaires, niveau d alerte) applicables «en temps réel» lors d épisodes aigus de pollution de l air RAPPORT A LA MOYENNE (1992/26) DES PRECIPITATIONS DE Source : Météo-France Les objectifs de qualité correspondent aux concentrations pour lesquelles les effets sur la santé sont réputés négligeables et vers lesquelles il faudrait tendre en tout point du territoire dès lors que les valeurs sont au-dessus. Les valeurs limites sont les concentrations que l on ne peut dépasser que pendant une durée limitée : des mesures permanentes pour réduire durablement les émissions doivent alors être prises par les Etats membres de l Union Européenne afin de respecter systématiquement ces valeurs. Quand le niveau d information et de recommandations sanitaires est atteint, les effets sur la santé des personnes sensibles (jeunes enfants, asthmatiques, insuffisants respiratoires et cardiaques, personnes âgées ) sont probables. Dès lors, un arrêté préfectoral définit la liste des organismes à informer et le message de recommandations sanitaires et comportementales à diffuser auprès des médias. Quant au seuil d alerte, il se rapporte à des valeurs au-delà desquelles il y a un risque immédiat pour l ensemble de la population. A l identique du cas précédent, un arrêté préfectoral définit les organismes à contacter pour informer le plus rapidement possible la population. Il incombe alors au Préfet de déterminer les mesures immédiates à prendre pour réduire les émissions de polluants (ralentissement ou arrêt de l activité industrielle, limitation de la vitesse ou arrêt de la circulation, ). SITUATION DES STATIONS DE REFERENCE Chambéry 75 5 Source : Météo-France Stations de référence Saint-Jean-de- Maurienne Saint-Julien- Montdenis (station d'étude temporaire) Observatoire savoyard de l environnement n 16 63

2 Le dioxyde de soufre (SO 2 ) Le dioxyde de soufre est émis lors de la combustion des matières fossiles telles que le charbon et le fioul (cf encart). Les sources principales de dioxyde de soufre sont donc principalement d'origine industrielle. DIOXYDE DE SOUFRE (SO 2 ) : évolution des moyennes annuelles 5 µg/m 3 : objectif de qualité 5 4 Malgré la sensibilité reconnue de la vallée de la Maurienne, nous ne remarquons aucun dépassement réglementaire sur l'année 28. L'évolution des moyennes annuelles montre une légère tendance à la baisse. Les valeurs maximales horaires et journalières, quant à elles, ne présentent aucun dépassement sur l'année 28. Sur les 1 dernières années, nous pouvons constater que les pics de pollution sont très variables d'une année sur l'autre car ils sont influencés par les situations météorologiques, favorisant ou non la pollution µg/m 3 : protection de la végétation DIOXYDE DE SOUFRE (SO 2 ) : évolution des maxima horaires 7 DIOXYDE DE SOUFRE (S 2 ) : sources des émissions en t/an Données 26 Industrie manufacturière Résidentiel Transformation d'énergie Agriculture Autres sources mobiles µg/m 3 : niveau d'alerte 3 µg/m 3 : niveau d'information Tertiaire Transport routier 2 6,73% 1,32% 1,81%,69%,2% 2,46% ,98% Source : L Air de l Ain et des Pays de Savoie DIOXYDE DE SOUFRE (SO 2 ) : évolution des maxima journaliers Le SO 2 se forme principalement lors de la combustion du fioul, du charbon et d autres combustibles fossiles, par combinaison du soufre contenu dans ces combustibles et de l oxygène de l air. Les principales sources sont les industries, les centrales thermiques, les chauffages domestiques. La part du trafic automobile, uniquement attribuable aux véhicules diesel, est de plus en plus faible en raison de l amélioration du carburant (désulfuration du gasoil) µg/m 3 : seuil de la valeur limite (3 dépassements par an tolérés) Observatoire savoyard de l environnement n 16

3 Les poussières en suspension (PM1) RESEAU DE SURVEILLANCE Les poussières en suspension sont liées à l'activité humaine et proviennent majoritairement de la combustion, du transport automobile (gaz d'échappement, usure, frottements...) et d'activités industrielles très diverses (sidérurgie, incinération...). Au regard des valeurs, nous observons que l'objectif de qualité est respecté à l échelle du département, mis à part en bordure des plus grands axes routiers à Chambéry. En effet, les mesures réalisées en 28, dans le cadre d une étude en proximité routière, font état d une moyenne de 31 µg/m 3 et de 39 jours de la valeur limite journalière de 5 µg/m 3 (cf graphique ci-dessous). POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : nombre de jours ayant dépassé le seuil de la valeur limite (5 µg/m 3 ) en 28 5 POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : évolution des moyennes annuelles µg/m 3 : objectif de qualité 15 4 Valeur limite : 35 dépassements autorisés par an Chambéryle-Haut Chambéry- Pasteur Tertiaire Saint-Jeande-Maurienne Montdenis prox Saint-Julien- Chambéry/ routière La pollution aux particules semble être généralisée puisque toutes les stations (à l'exception de qui s'en approche très fortement) dépassent le niveau d'information et de recommandations fixé à 8 µg/m 3. Sur les 1 dernières années, malgré un respect de l'objectif de qualité, les concentrations de poussières en suspension dessinent une légère tendance à la hausse. POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : sources des émissions en t/an (données 26) Industrie manufacturière Résidentiel 11,3% 25,5% 1,6% 1,5% 5,4% 9 Transformation d'énergie Agriculture Transport routier,2% 54,5% Autres sources mobiles POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : évolution du maximum journalier µg/m 3 : niveau d'alerte 1 8 µg/m 3 : niveau d'information 5 5 µg/m 3 : seuil de la valeur limite 35 dépassements tolérés par an POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : nombre s de la valeur limite journalière (5 µg/m 3 ) jours par an : valeur limite Source : L Air de l Ain et des Pays de Savoie Observatoire savoyard de l environnement n 16 65

4 Le dioxyde d azote (NO 2 ) DIOXYDE D'AZOTE (NO 2 ) : évolution des moyennes annuelles 5 Le trafic automobile est le principal émetteur de dioxyde d'azote dans l'atmosphère, on retrouve donc les concentrations les plus importantes à proximité des secteurs où le trafic est important. De ce fait, les valeurs de NO 2 respectent généralement l objectif de qualité sur le territoire savoyard, sauf à proximité des axes routiers les plus importants. Au centre de Chambéry, au plus près du trafic routier, la valeur limite a été dépassée en 28. Cette station est d'ailleurs la seule à atteindre la valeur limite de 4 µg/m 3 fixée pour 21 (cf graphique ci-dessous). DIOXYDE D AZOTE (NO 2 ) : moyenne annuelle µg/m 3 : valeur limite µg/m 3 : valeur limite 21 DIOXYDE D'AZOTE (NO 2 ) : évolution des maxima horaires annuels µg/m 3 : niveau d'information et seuil de la valeur limite 1 16 Chambéryle-Haut Chambéry- Pasteur Saint-Jeande-Maurienne Montdenis prox Saint-Julien- Chambéry/ routière 12 8 L'évolution depuis plusieurs années montre une tendance à la baisse, en lien avec l amélioration des motorisations et également une baisse du trafic en 28. OXYDES D AZOTE (NO x ) : sources des émissions en t/an Données 26 Industrie manufacturière Transformation d'énergie Autres sources mobiles Résidentiel Tertiaire 9,6% 4,6% 2,8% 1,4% Agriculture Transport routier,4%,2% 62,7% Sources biotiques Les oxydes d azote résultent de la combinaison à haute température de l oxygène et de l azote présents dans l air ou dans les combustibles. Ils sont émis par les véhicules à moteur ainsi que par les installations de combustion industrielles et domestiques. Les oxydes d azote, symbolisés par la formule chimique NO X, rassemblent notamment le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO 2 ), mais seul ce dernier est considéré comme un polluant au regard de ses effets sur la santé humaine. 18,3% Source : L Air de l Ain et des Pays de Savoie 66 Observatoire savoyard de l environnement n 16

5 L ozone (O 3 ) L'évolution annuelle des concentrations d'ozone montre une légère augmentation jusqu en 25 et depuis les valeurs sont en baisse. A noter que les changements météorologiques influent largement sur les concentrations de ce polluant. Les mesures effectuées sur nos sites d'altitude nous montrent cependant une problématique spécifique à ces zones : de fortes concentrations sont relevées. Effectivement, en zone d'altitude, on retrouve l'ozone formé principalement à partir de la pollution urbaine. Les polluants précurseurs étant en faible quantité, ils ne peuvent réduire les concentrations d'ozone, les teneurs en ozone restent donc élevées. Le Plan du lac, qui enregistre 43 jours de dépassement de l'objectif de qualité en 28, nous confirme cette problématique. OZONE (O 3 ) : évolution des maxima horaires annuels En µg/m µg/m 3 : niveau d'alerte 18 µg/m 3 : niveau d'information Plan du lac 166 µg/m 3 OZONE (O 3 ) : dépassement de l'objectif de qualité (12 µg/m 3 ) Plan du lac jours OZONE (O 3 ) : dépassement du niveau d'information (18 µg/m 3 ) 15 1 Plan du lac OZONE (O 3 ) : évolution des moyennes annuelles En µg/m L ozone, comme d autres oxydants, est issu d une réaction photochimique (initiée par les rayonnements solaires U.V.) entre différents composés primaires appelés «précurseurs», présents dans l atmosphère. C est un polluant dit «secondaire» puisqu il n est pas directement émis par une source (a contrario des polluants dits «primaires»). Les précurseurs sont en particulier les oxydes d azote (NO X ) et les composés organiques volatils (COV), polluants essentiellement automobiles. Une particularité notable de la pollution photo-oxydante est sa répartition géographique, conditionnée en grande partie par son mode de formation. En effet, les plus fortes concentrations sont observées en périphérie des villes alors qu au centre de l agglomération, les valeurs sont moins importantes. L ozone péri-urbain suit des cycles de formation annuels et journaliers typiques : les teneurs sont quasiment nulles en hiver, les plus fortes concentrations étant mesurées entre juin et août. Les plus forts niveaux d ozone sont atteints dans l après-midi, aux heures d ensoleillement intense, et les plus faibles la nuit (consommation chimique de l ozone). Observatoire savoyard de l environnement n 16 67

6 LES INDICES ATMO EN SAVOIE En % Chambéry 1 8 Bilan de l indice ATMO Cet indicateur permet d avoir une information simple et rapide, pour le territoire concerné, du niveau de la qualité de l air. Il est calculé chaque jour pour 4 polluants, et c est le sous-indice le plus défavorable qui donne sa valeur à l indice ATMO. Pour l année 28, la qualité de l air est restée majoritairement bonne à très bonne à plus de 7% sur l ensemble du territoire. Pour ce qui est de l évolution générale depuis le début des mesures, on ne peut pas parler de tendance de fond indiquant une orientation particulière. Les concentrations en polluants et donc l indice ATMO restent soumis aux aléas des émissions et de la météo qui peut être très variable d une année à l autre. Par conséquent, l indice peut varier à la hausse ou à la baisse de façon significative selon que les conditions climatiques sont propices ou non à l exacerbation des niveaux de pollution. Ainsi, en 23, la canicule a engendré une hausse des concentrations d ozone, et donc une détérioration importante de l indice ATMO, par rapport aux années précédentes et suivantes. Cependant, après 3 années de dégradation de la qualité de l air, celle-ci s est généralement améliorée en En % En % Albertvillle Indice Qualificatif Très mauvais Mauvais Médiocre Moyen Bon Très bon 68 Observatoire savoyard de l environnement n 16

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