Atopie Allergie (type I) Enfant

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Atopie Allergie (type I) Enfant"

Transcription

1 Atopie Allergie (type I) Enfant

2 Distinguer Atopie (qui correspond à un état) Développement d une réponse immunitaire inflammatoire de type Th2 plutôt que Th1 Production «anormale» d IgE ( de ce à quoi elles sont normalement destinées) Processus évolutif Rôle hérédité Rôle environnement? Inflammation Infection Allergie (maladie) Manifestations cliniques en relation avec une réaction de type I Nécessite une réactivité de l organe cible Patrimoine génétique TH2 T CD4 IL4, IL5, IL6, L13 B IgE Environnement (âge) TH1 Inf γ, IL2 B Immunité retardée IgG

3 Asthme et allergies Prévalence Forte augmentation dans les populations pédiatriques occidentales depuis 20 ans : a plus que doublé en 2 générations Étude ISAAC enfants de 56 pays Comparaison des populations allemandes Est - Ouest après réunification Prévalence très supérieure à l Ouest La différence s estompe avec le temps Enfants adoptés (Suède) Risque d autant plus grand que les enfants ont été adoptés avant 2 ans Populations migrantes Enfants d origine Turque vivant en Allemagne Stabilisation?

4 Prévalence Allergie chez l enfant Sensibilisation aux aéro-allergènes : 12 à 20% Asthme : 10 % à 6-7 ans Rôle de l allergie dans l asthme :» 20 % avant 3 ans» 85 % après 10 ans Rhinite allergique : 10 à 20 % 20 à 40 % des patients atteints de rhinite allergique ont ou auront de l asthme

5 Forte augmentation de la prévalence La seule hérédité ne peut expliquer cette explosion Mutations de gènes de cytokines intervenant dans l orientation Th1 Th2? Ce qui implique l intervention de l environnement Et le mode de vie occidental

6 Asthme Atopie Environnement La théorie hygiéniste (Strachan 1989) La diminution de l exposition aux infections au cours des premiers mois favorise l apparition des maladies allergiques Hygiène générale Antibiotiques Vaccinations Patrimoine génétique TH2 X T CD4 IL4, IL5, IL6, L13 Infections des premiers mois X X TH1 Inf γ, IL2 Théorie appuyée sur le modèle immunologique murin de la balance TH1 TH2 B IgE B Immunité retardée IgG

7 Asthme Atopie Environnement Les infections et ou infestations en cause Les individus séropositifs pour l hépatite A, la toxoplasmose, le virus de l herpes ont moins d allergie au pollen et d asthme allergique que les séronégatifs Rôle de la flore intestinale La colonisation par les entérocoques, Bifidobacterium ou Bacteroides est associée à une moindre prévalence de l asthme et des allergies Phénomène inverse pour S. aureus et Clostridia Rôle de parasitoses digestives Effet protecteur en Afrique rurale (schistosomiase) À l inverse les viroses respiratoires sont un facteur de risque

8 Asthme Atopie Environnement La vie à la ferme (E. Von Mutius) Grandir dans une ferme traditionnelle (allemande) protège contre l asthme et l atopie Ce que ne fait pas la vie en zone rurale sans contact direct avec la ferme et le bétail Toutes les fermes ne sont pas équivalentes L élevage du porc protège plus que celui de la chèvre La présence d un silo à grains joue un rôle (protecteur) important

9 Asthme Atopie Environnement La vie à la ferme (E. Von Mutius) En cause certaines substances microbiennes présentes en grandes quantités dans l environnement Viables ou non Infectieuses ou non Bactériennes : endotoxines ou fragments capsulaires (acide muramique) Fongiques (glycanes et polysaccharides extracellulaires) Ces composants sont reconnus par les récepteurs des cellules de l immunité innée Lipopeptides bactériens TLR2 Endotoxines TLR4 Motifs CpG non méthylés TLR9 Orientent la réponse immunitaire

10 Asthme Atopie Environnement La vie à la ferme (E. Von Mutius) L environnement est nécessaire mais insuffisant Le patrimoine génétique joue un rôle clé dans les interactions avec l environnement Gènes codant diverses protéines intervenant dans la réponse immunitaire innée Seuls certains polymorphismes (plus que mutations) permettent une protection visà-vis de asthme et des allergies (Polymorphisme de TLR2, TLR4)

11 Asthme Atopie Environnement Autres facteurs environnementaux Environnement alimentaire Aliments protecteur? Allaitement maternel (cela dépend aussi de l hérédité, et de l alimentation maternelle) Acides gras poly-insaturés (poisson, huiles végétales)? Vitamine C (fruits et légumes frais)? Les données épidémiologiques ne sont pas toujours confirmées par les études interventionnelles! L action peut être indirecte (par la modification de la flore intestinale) * Suralimentation : obésité Le surpoids est un facteur de risque vis-à-vis de l asthme et des allergies (en particulier pour les filles) * l utilisation de prébiotiques (oligosaccharides ± présents dans le lait de femme) favorisent la prolifération de bactérie lactiques (bifidobactéries et lactobacilles) dans le tube digestif

12 Asthme Atopie Environnement Autres facteurs environnementaux Animaux domestiques Les chats (s ils sont nombreux) et le chien pourraient jouer un rôle protecteur chez le petit nourrisson (endotoxines) Le chat (un seul) pendant l enfance est associé à plus de sensibilisation à l âge adulte Les pneumallergènes Acariens, moisissures (Alternaria, Cladosporium) Rôle du confinement? Pollens Rôle de l année et du mois de naissance? Les trophallergènes La sensibilisation précoce est un facteur de risque

13 Asthme Atopie Environnement Autres facteurs environnementaux Je ne parle pas encore, mais je tousse déjà très bien!

14 Rôle de l environnement (In utero et après la naissance) Pollution physicochimique de l air Tabac In utero» Croissance pulmonaire et bronchique» Sensibilisation allergénique Après la naissance Gaz de combustion (O 3, NO 2, SO 2 ), particules fines (diesel) Inflammation Cofacteur de sensibilisation Le CO 2 augmente la production de pollens Stress?

15 Expression des maladies Action conjointe de 2 grands groupes de facteurs, génétiques (G) et environnementaux (E) G E Maladies mendéliennes Diabète HTA Asthme et atopie Maladies infectieuses

16 L'environnement des premiers mois de vie joue certainement un rôle important dans l apparition de l'asthme et des allergies chez l'enfant. Les mécanismes sont complexes du fait de la multiplicités des facteurs et de l intrication avec le patrimoine génétique. Pour un grand nombre de ces facteurs, il est encore difficile d envisager des mesures préventives définitives. Il ne faut pas confondre prévention primaire et secondaire (enfant à risque ou enfant malade). Parmi les certitudes : le rôle hautement néfaste du tabac.

17 Rôle de l environnement (In utero et après la naissance) Processus évolutif (la marche de l allergique)

18 Manifestations cliniques susceptibles de répondre à une allergie alimentaire Réactions immédiates (< 4 heures) après l absorption d un aliment Œdème (lèvres, paupières, larynx) Urticaire Manifestations digestives Syndrome oral, douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhée Plus rarement manifestations respiratoires Rhinite, rhino conjonctivite, asthme Anaphylaxie Prurit, urticaire, asthme, choc, œdème de Quincke Manifestations chroniques? Mécanisme différent Eczéma, constipation, reflux gastro-œsophagien, syndrome de malabsorption (difficultés de croissance)

19 Pathologies respiratoires susceptibles de répondre à un mécanisme allergique Asthme ( allergie) Pollinose (avec ou sans asthme) Équivalents asthmatiques Toux chronique (après 2 ans) Après deux ans, radiographie thoracique normale viroses répétées, reflux gastro-œsophagien atteintes ORL (amygdales, VA) Trachéites spasmodiques (± rhinorrhée claire) Bronchites récidivantes (petit enfant)? Pathologie ORL Rhinite spasmodique Laryngites récidivantes (striduleuses)? Rhinopharyngites récidivantes?

20 Rhinite allergique Signes évocateurs : Obstruction nasale intermittente, à bascule, persistante Rhinorrhée claire Éternuements en salves Anosmie ou hyposmie Prurit nasal Conjonctivite parfois associée Rare avant 5-6 ans

21 Rhinite allergique Environnement particulier Saison pollinique Exemple le rhume des foins : unité de temps Perannuelle, dans un même lieu Au contact d animaux, de poussière de maison, de moisissures (unité d action) L analyse des circonstances, de la chronologie, des caractéristiques de l environnement, des caractères des symptômes, nécessite un interrogatoire très précis

22 Asthme allergique Obéit aux mêmes critères d analyse Les crises d asthme surviennent volontiers en dehors d épisodes infectieux La toux récidivante ou chronique peut être un équivalent asthmatique Toux sèche, quinteuse, nocturne Augmentée à l effort, au rire, au froid.. Toujours garder à l esprit la possibilité d une autre pathologie (mucoviscidose, corps étranger, compression ) => Radiographie du thorax

23 L examen clinique peut-il orienter vers l allergie? Les «petits signes d atopie» Hypertrophie des cornets inférieurs et moyens Muqueuse nasale pale, lilas, ou rouge Pli nasal transversal Signe de Dennie-Morgan Petits signes de dermatite atopique Xérose cutanée Eczéma des plis Fissures rétro-auriculaires

24 Arguments en faveur de l allergie Antécédents familiaux Risque Sans antécédent 05 à 15 % 1 frère 25 à 35 % 1 parent 20 à 40 % 2 parents 40 à 60 % 2 parents avec la même allergie 80 % Eczéma (passé ou évolutif) Unité temps et lieu Échec des traitements symptomatiques

25 Les investigations Essentiellement les tests cutanés Tests biologiques = complément éventuel Tests de provocation = indications spécifiques Les indications

26 Investigations Essentiellement les tests cutanés Atopie 1 test cutané à lecture immédiate positif Allergie = atopie + manifestations cliniques Pricks-tests = méthode de référence

27 Les tests cutanés Pricks-tests = méthode de référence Avant- bras ou dos, espacés de 2 3 cm Pneumallergènes : extraits standardisés (Stallergène, Allerbio ) Aliments : natifs > extraits Lecture à 15 minutes Triade de Levis : érythème, œdème, prurit Diamètre le plus large de la papule ou Moyenne du diamètre le plus large et de son perpendiculaire

28 Les tests cutanés Pricks-tests = méthode de référence Critères de positivité restent discutés Positif si le diamètre de l induration témoin négatif plus 3 mm (sérum glycériné) témoin positif multiplié par 0,5 phosphate codéine 9 % et/ou histamine 10 mg/ml (> 8 mm = généralement allergie) IDR (5/100 ml) Technique rigoureuse (chez le petit enfant?)

29 Pricks-tests = méthode de référence Précautions : facteurs de diminution de la réactivité cutanée Généraux : antihistaminiques, corticoïdes Locaux : corticoïdes, tacrolimus Avantages Simplicité Rapidité Tolérance (peu douloureux, pas de réaction syndromique..) Multiplicité Erreurs Chevauchements Saignements (faux positifs) Faux négatifs (pression insuffisante)

30 Médicaments inhibant les tests et délais de sevrage Médicaments Antihistaminiques H1 - classiques - cétirizine, loratadine - méquitazine Kétotifène Imipramines Phénothiazines Corticoïdes - voie générale < 15 mg/j - voie générale à forte dose - voie générale prolongée - topique fort niveau Cromoglycate B-2 agonistes - inhalé - per os Théophylline - longue action ou immédiate Tests cutanés 48 4 à 8 semaines 1 semaine 2 semaines 3 semaines 48 h - 1 mois ne pas tester 2 à 3 semaines à 72 heures?

31 Les investigations Essentiellement les tests cutanés Choix des allergènes selon l'âge Toujours» témoins positifs» témoin négatif Avant 2 ans» acariens (DP, DF) ; chat» lait entier (?) ; œuf ; arachide ; soja ; poisson 2 à 5 ans» acariens ; chat ; pollens de graminées ; chien» et en cas d'eczéma lait entier (?) ; œuf ; arachide ; soja ; poisson

32 Les investigations Essentiellement les tests cutanés Choix des allergènes selon l'âge Après 5 ans» acariens (DP, DF) ; chat, chien; pollens de graminées» bouleau ou bétulacées ; moisissures (Alternaria, Cladosporium, Aspergillus?)» blatte Quel que soit l âge : autres allergènes en cas de présomption clinique Évolution naturelle de l'atopie» sensibilisations alimentaires = nourrisson» enfant = pneumallergènes

33 Les investigations Tests biologiques = complément éventuel Arguments en faveur de l atopie Éosinophilie sanguine? Éosinophilie locale > 10 % IgE globale (valeur épidémiologique > individu) limite supérieure : 20 U / année d âge => 12 ans Identification de l allergène responsable Clinique Tests cutanés incertains ou impossibles Tests de provocation spécifique = indications spécifiques

34 Les investigations Les indications Dans l asthme, l'enquête allergologique est recommandée par le groupe d experts de la SPLF quel que soit l âge Répondre à la question : Quel bénéfice pour le patient? Le diagnostic d atopie Peut aider au diagnostic d allergie, pas toujours à la décision thérapeutique N est pas toujours une aide à la prévention Peut aider à des décisions difficiles (chat) Penser que l hyperréactivité est importante Rôle des toxiques allergie Traitement symptomatique (au moins aussi) important

35 Examens biologiques Principe Critères de qualité analytiques Critères de qualité cliniques Interprétation NFP : éosinophilie > 400/mm 3 IgE totales : nouveau-né <1 U/ml 3-5 mois < 5 U/ml 6 mois < 10 U/ml 20 U/an (=> 12 ans) Nombreux tests de qualités analytiques comparables IgE et modérée et fluctuante des PNE (< 1500) témoignent d un terrain atopique (Causes non allergiques fréquentes : infection, parasitose, maladie inflammatoire) Tests de dépistage qualitatifs : recherche d IgE spécifiques sans identification individuelle Pneumallergènes : Phadiatop Stallertest (*) Alatop (*) Trophallergènes : Trophatop Enfant/Adulte Stallertroph Mise en évidence d IgE spécifiques dans le sérum vis-à-vis d un mélange de pneumallergènes ou de trophallergènes les + courants Les allergènes contenus dans le mélange sont connus * ou non selon le fabricant. Proches Phadiatop : Sensibilité 91% Spécificité 93% Trophatop enfant : dépiste 88% des sensibilisations Test positif = Sensibilisation biologique vis-à-vis d un ou de plusieurs allergènes présents dans le mélange

36 Examens biologiques principe Critères de qualité analytiques Critères de qualité cliniques Interprétation Tests d identification d allergènes multiples sur un même support avec expression des résultats en classes CLA-30 Tests d identification avec dosage quantitatif : IgE spécifiques : > 0,35 K UI/l expression des résultats en KU/l (appelés communément RAST) Mise en évidence d IgE spécifiques dans le sérum du patient vis-à-vis d allergènes successifs fixés sur un support commun Couplage d un extrait allergénique à un support Fixation des IgE spécifiques du sérum du patient sur l allergène Révélation par un anticorps anti-ige Bonne corrélation avec les IgE spécifiques (opérateur dépendant) Variables selon l allergène et le test utilisé CAP system Pharmacia, DPC Bonne sensibilité Bonne spécificité mais variable selon les allergènes Valeur prédictive à interpréter en fonction des réactions croisées connues Présence d IgE spécifiques = > sensibilisation biologique vis-à-vis d un ou plusieurs allergènes parmi les 30 individuellement testés Présence d IgE spécifiques = > sensibilisation biologique Le taux d IgE spécifiques serait significativement plus élevé chez les patients symptomatiques Autres : les tests d histaminolibération et d activation en cytométrie de flux des basophiles ne sont pas utilisés en routine. Une augmentation de l histaminémie et de la tryptasémie témoignent d une dégranulation des basophiles. Allergènes recombinants.

37 Arbre décisionnel diagnostic en allergologie pédiatrique INTERROGATOIRE ET EXAMEN CLINIQUE SPÉCIALISÉ TABLEAU CLINIQUE INCOMPATIBLE TABLEAU CLINIQUE COMPATIBLE STOP PEU ÉVOCATEUR Tests cutanés Tests d identification d allergènes multiples TRÈS ÉVOCATEUR TESTS CUTANÉS + DISCORDANT < 0, donc CONCORDANCE + CONCORDANCE 0 DISCORDANCE INTERROGATOIRE PNEUMALLERGÈNES TROPHALLERGÈNES ± TESTS CUTANÉS ELARGIS IGE SPÉCIFIQUES CIBLÉES ou ALLERGENES MULTIPLEES STOP IGE SPÉCIFIQUES CIBLÉES

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:

Plus en détail

ALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115

ALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115 Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),

Plus en détail

Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.

Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités

Plus en détail

ALLERGIE RESPIRATOIRE

ALLERGIE RESPIRATOIRE ALLERGIE RESPIRATOIRE Catherine NEUKIRCH Service de Pneumologie et Allergologie INSERM U700 Hôpital Bichat, Université Paris 7 Enquête allergologique chez l asthmatique : oui! Cause allergique retrouvée

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011 Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels

Plus en détail

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Patho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme

Patho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes

Plus en détail

Allergologie en pratique

Allergologie en pratique 2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations. Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN

ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations. Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN Janvier 2002 Les auteurs tiennent à remercier pour leurs suggestions et la lecture

Plus en détail

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.

Plus en détail

HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN.

HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN. UNIVERSITE DE LIMOGES FACULTE DE PHARMACIE ************ ANNEE 2012 THESE N HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN. THESE POUR LE DIPLOME

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Les eczémas: l approche au cabinet

Les eczémas: l approche au cabinet Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1

Plus en détail

L allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées

L allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées L allergie aux pollens de graminées Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées QU EST-CE QUE L ALLERGIE? L allergie est due à une réactivité anormale du système

Plus en détail

Vaccination contre la grippe saisonnière

Vaccination contre la grippe saisonnière le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

Les enfants non vaccinés sont en bonne santé!

Les enfants non vaccinés sont en bonne santé! Les enfants non vaccinés sont en bonne santé! Les médecins, même allopathes, commencent sérieusement à se poser des questions sur les vaccinations. Il est certain en tout cas qu ils vaccinent moins leurs

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

GUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca

GUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Information professionnelle du Compendium Suisse des Médicaments. Aridol TRIMEDAL

Information professionnelle du Compendium Suisse des Médicaments. Aridol TRIMEDAL Aridol TRIMEDAL OEMéd Composition Principe actif: Mannitol. Excipients Gélules de 5, 10, 20 et 40 mg: Colorant: dioxyde de titane E 171. Gélules de 10, 20 et 40 mg: Colorant: oxyde de fer E 172. Forme

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage

Plus en détail

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique

La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face

Plus en détail

Asthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES

Asthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Février 2008 Asthme de l enfant de moins de 36 mois : diagnostic, prise en charge et traitement en dehors des épisodes aigus RECOMMANDATIONS Mars 2009 Avec le partenariat

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires

Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires En collaboration avec la Commission de spécialité de la Société Suisse d Allergologie et d Immunologie (SSAI). Allergie

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées

DOSSIER DE PRESSE. C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées DOSSIER DE PRESSE C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées Novembre 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 L allergie aux pollens en 5 chiffres p. 4 La prise en charge

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Atrovent HFA 20 mcg/bouffée solution pour inhalation en flacon pressurisé (bromure d'ipratropium)

Atrovent HFA 20 mcg/bouffée solution pour inhalation en flacon pressurisé (bromure d'ipratropium) NOTICE ATROVENT HFA 20 MCG/BOUFFEE SOLUTION POUR INHALATION EN FLACON PRESSURISE (BPI n 0250-03 du 27.07.2005) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser ce médicament.

Plus en détail

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE

II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! Association de médecins, de scientifiques et de spécialistes des UV, l Institut Français Soleil & Santé (IFSS) a pour vocation de

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

et l utilisation des traitements biologiques

et l utilisation des traitements biologiques et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc

NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE

GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible:

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS

QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS CONFIDENTIEL QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS Veuillez SVP répondre à toutes les questions. Tout les renseignements que vous fournissez dans ce questionnaire resteront strictement confidentielles.

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE

QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Les mises au point de l'ifn

Les mises au point de l'ifn Les mises au point de l'ifn Octobre 2008 N 2 Pascale Dumond, Gisèle Kanny Médecine interne, Immunologie clinique et allergologie Centre hospitalier universitaire de Nancy Hôpital Central 54035 Nancy cedex

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans

Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans _0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison

Plus en détail