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1 Notes: L'objectif de ce cours est de fournir aux étudiants des bases solides pour comprendre les dangers de la résurgence de programmes offensifs d'armes biologiques, en discutant des données numériques disponibles dans le domaine public. 1

2 Notes: La plus grande partie de ce cours prend pour références les chapitres de Dando, M.R. (1994) Biological Warfare in the 21st Century: Biotechnology and the Proliferation of Biological Weapons. Brassey s, London. Toutefois, des références sur les documents originaux utilisés sont aussi fournies. Réf: Dando, M.R. (1994) Biological Warfare in the 21st Century: Biotechnology and the Proliferation of Biological Weapons. Brassey s, London 2

3 Notes: Il est important de souligner que si le cours se concentre sur les aspects militaires stratégiques de la guerre biologique en raison du rapport entretenu avec les programmes offensifs gouvernementaux, il y a tout de même une large gamme d'attaques biologiques possibles. 3

4 Notes: Il serait manifestement possible de dévaluer l'efficacité d'une force militaire dans le cas où un agent incapacitant efficace serait utilisé dans une attaque mais qu'un tel agent aurait été arsenalisé au cours d'un programme offensif du siècle dernier. Presque toute l'attention est accordée aux agents mortels, ignorant ainsi l'éventail des possibilités. On pense souvent que les agents non-infectieux ont été les seuls à être arsenalisés. Toutefois, la peste par exemple, a été arsenalisée par l'union Soviétique. 4

5 Notes: Cette diapositive et la suivante posent le contexte pour des discussions ultérieures sur les doses nécessaires pour des attaques biologiques ciblant la population. 5

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7 Notes: À l'approche des négociations de la Convention sur les armes biologiques ou à toxines, le Secrétaire Général des Nations unies publia un rapport sur les Effets et l'usage Possible des Armes Chimiques et Bactériologiques (Biologiques) (Chemical and Bacteriological (Biological) Weapons and the Effects of their Possible Use). L'exemple ci-dessus est extrait de ce rapport. Il est clair que dans de bonnes conditions, les armes biologiques seront bien plus dangereuses que les armes nucléaires en termes d'infectiosité et de décès. Il convient de souligner que les experts internationaux qui furent consultés pour le rapport étaient des personnes connaissant parfaitement leurs domaines d'étude. Un exemple notoire est celui de Monsieur Solly Zuckerman, Conseiller Scientifique en Chef du Gouvernement britannique. 7

8 Notes: Au début des années 1970, l'institut International de la Recherche sur la Paix de Stockholm (Stockholm International Peace Research Institute SIPRI) publia sa série d'ouvrages sur 'Le Problème de la Guerre Chimique et Biologique' (The Problem of Chemical and Biological Warfare). L'exemple cidessus est tiré du volume 2 de la revue CB Weapons Today. L'impact potentiel de l'utilisation des agents de guerre biologique est considérable par rapport à toute autre arme. Réf: SIPRI (1973) The Problem of Chemical and Biological Warfare: CB Weapons Today. Vol. II. Stockholm: Almqvist & Wiksell. 8

9 Notes: L'étude de Fetter: 'Ballistic missiles and weapons of mass destruction: What is the threat? What should be done?', International Security 16, (1) 5-42 a été publiée vers la fin de la Guerre Froide. Ainsi, deux décennies se sont écoulées depuis les études de l'organisation des Nations unies et du SIPRI, mais les perspectives du danger des armes biologiques par rapport à toute autre arme n'ont pas été écartées. Réf: Fetter, S. (1991). Ballistic Missiles and Weapons of Mass Destruction: What is the Threat? What should be Done?, International Security 16(1): Available from 9

10 Notes: Le bureau américain pour l'évaluation des technologies (The Office of Technology Assessment) était un organisme qui jouissait d'une grande légitimité et ses rapports était considérés comme faisant autorité dans le monde entier. Ce rapport intitulé Proliferation of Weapons of Mass Destruction :Assessing the Risks, OTA-ISC-559 du mois d'août 1993 a été cité à plusieurs reprises par de nombreux auteurs. Les effets comparatifs des différents types d'armes sont ici passés en revue, comme ils le sont dans d'autres études. Réf: U.S. Congress, Office of Technology Assessment. (1993). Proliferation of Weapons of Mass Destruction: Assessing the Risks (Document No. OTA-ISC- 559). Washington, DC: U.S. Government Printing Office. À la p

11 Réf: U.S. Congress, Office of Technology Assessment. (1993). Proliferation of Weapons of Mass Destruction: Assessing the Risks (Document No. OTA-ISC- 559). Washington, DC: U.S. Government Printing Office. À la p

12 Notes: Ces scénarii qui ont été imaginés par des analystes bien informés doivent être pris en considération sérieusement. Si l'anthrax peut-être traité par antibiotiques à condition que le traitement soit pris suffisamment tôt, il est toutefois difficile d'imaginer comment tout système de santé publique pourrait faire face à une épidémie de cette taille (voir diapo). Réf: U.S. Congress, Office of Technology Assessment. (1993). Proliferation of Weapons of Mass Destruction: Assessing the Risks (Document No. OTA-ISC- 559). Washington, DC: U.S. Government Printing Office. À la p

13 Notes: Les auteurs du volume 2 du SIPRI fournirent la liste de la gamme de munitions en développement dans le programme américain. Le nombre de ces munitions augmentait en raison de la poursuite sur plus de 25 ans des efforts de recherche et de développement. En effet, les attaques biologiques devinrent de plus en plus le sujet de calculs prudents au cours du siècle dernier. Comme nous le verrons sur les diapositives suivantes, il est possible de calculer la dose nécessaire pour infecter 50% de la population dans une zone donnée, à partir du moment où certains paramètres sont connus. 13

14 Notes: En décembre 1993, le bureau américain pour l'évaluation des technologies (Office of Technology Assessment) produisit également un document d'information intitulé Technologies Underlying Weapons of Mass Destruction (Document No. OTA-BP-ISC-115). Ce rapport expose les grandes lignes des moyens à entreprendre pour la fabrication d'agents bactériens et celle de tout autre agent. La liste ci-dessus est extraite du rapport. Toutefois, la production d'un agent efficace n'est pas nécessairement simple. En laissant de côté les difficultés pour obtenir une souche virulente et celles du traitement final, la fermentation bactérienne peut être compromise par la contamination et la mutation génétique qui peuvent conduire à une diminution de la virulence de l'agent. Réf: Office of Technology Assessment. (1993). Technologies underlying Weapons of Mass Destruction (Document No. OTA-BP-ISC-115). Washington, DC: U.S. Government Printing Office. À la p

15 Notes: Ce modèle simple a été utilisé par un membre du gouvernement britannique au cours d'un atelier de recherche avancée de l'otan en 1996 pour évaluer la quantité d'agent requise et par conséquent, la taille de la production nécessaire au cours d'une discussion sur les possibilités de détecter une telle production. Réf: Annexe A dans Bartlett, T. B. (1996) The Arms Control Challenge: Science and Technology Dimension, Document présenté à l'atelier de recherche avancée de l'otan, La Technologie du Contrôle des Armements Biologiques et du Désarmement, Budapest, mars. 15

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17 Notes: Ce calcul explicatif montre qu'à partir d'hypothèses raisonnables, l'agresseur a besoin de répandre dans l'atmosphère une dose de ID 50 C'est ce que l'on appelle le 'critère des milliards de doses' ( trillion dose criterion ). L'analyse de scénarii différents permet aussi d'obtenir des valeurs similaires. Réf: Annexe A dans Bartlett, T. B. (1996) The Arms Control Challenge: Science and Technology Dimension, Document présenté à l'atelier de recherche avancée de l'otan, La Technologie du Contrôle des Armements Biologiques et du Désarmement, Budapest, mars. 17

18 Notes: Ce type d'attaque doit être considéré avec soin car on ne réalise souvent pas qu'il s'agit peut-être de la forme de terrorisme la plus dévastatrice à laquelle nous risquons d'être confrontés dans un avenir proche. La citation est extraite de l'ouvrage de Wheelis, M.L., Madden, L.V. et Cassagrande, R. (2002) Biological attacks on agriculture:low tech, high impact bioterrorism. Bio-Science, 52, , p

19 Notes: Le rapport du service de la recherche du congrès américain rédigé par Shea, D.A. et Grotton, F. était intitulé Small-Scale Terrorist Attacks Using Chemical and Biological Agents: An Assessment Framework and Preliminary Comparisons. Il fait l'objet du chapitre 7 de l'ouvrage écrit par Dando, M.R.(2006) Bioterror and Biowarfare, Oneworld Publications, Oxford. Lorsque l'on prend en considération l'éventualité des attaques à échelle plus réduite, il est important de penser à nouveau à ce qu'un terroriste pourrait facilement faire. Comme le montreront les deux diapositives suivantes, il peut y avoir des obstacles importants à surmonter par rapport aux programmes gouvernementaux, même lorsqu'il s'agit d'attaquer la population. 19

20 Notes: À l'approche de l'accord de la Convention sur les armes biologiques ou à toxines, l'organisation Mondiale de la Santé publia en 1970 la première édition de son compte rendu intitulé Health Aspect of Chemical and Biological Weapons. En annexe 4, le rapport rend compte des effets en matière de santé publique et médicale d'une attaque par armes chimiques ou biologiques. Cette annexe passe en revue une gamme de scénario potentiels d'attaques par armes de destruction massive et leurs conséquences. En revanche, l'annexe 5 considère le sabotage des sources d'approvisionnement en eau comme constituant un type d'attaque distinct ayant une échelle différente. 20

21 Notes: L'Organisation Mondiale de la Santé estime que la quantité de semences serait réduite de 95% en raison de leur déchéance dans le réseau de distribution. Le taux d'infection a été calculé à partir de données humaines connues et le taux de mortalité sans traitement a été établi, après calculs, à 10%. De ce fait, ces analyses ont permis de montrer clairement depuis des décennies qu'il existe une large gamme d'attaques efficaces qui pourraient être menées par l'utilisation d'agents biologiques. Il convient de noter que l'agent responsable de la fièvre typhoïde ne figurerait pas en haut de la liste des agents pathogènes inquiétants dans les programmes gouvernementaux, comme c'est indiqué sur la diapositive

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