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1 Pour une meilleure prévention de la maltraitance en institution: Nécessité d une pensée complexe FEGEMS, mai 2010 Manon Masse, Professeure HETS Genève

2 «N est-il pas paradoxal de constater que des milieux dont le rôle est de soigner ou d éduquer génèrent des actes de violences ponctuels ou structurels» (Foubert, 1998, p. 35) 2

3 Résumé L abord difficile de la thématique Le travail sur les représentations Les acteurs concernés Identification des facteurs de risque et de protection Prévention dans une perspective écosystémique Maltraitance et bientraitance 3

4 Difficultés rencontrées : la menace d en reconnaître l existence L abord de la maltraitance en milieu institutionnel est menaçant pour l image de l institution et les différents professionnels qui y travaillent. Avec les professionnels, le message préventif peut être amoindri, s il engendre chez le participant une menace pour son image personnelle et pour son identité. Cette réaction peut conduire l individu à en refuser son contenu (Falomir et Mugny, 1999). En ce qui concerne la personne accompagnée, le système mis en place pour prévenir la maltraitance doit être non nocif. 4

5 Difficultés rencontrées: en définir le concept, retenir un vocabulaire commun La notion de la maltraitance, reste un concept ambigu, en recherche actuelle de sens qui peut s observer: 1. Dans l évolution des dispositifs légaux; 2. L accroissement des cas de maltraitance signalés aux autorités concernées au cours des dernières années; 3. Le code de la langue qui reflète l ambigüité des termes. (abus, maltraitance, violence, bientraitance, etc.) 5

6 Prévalence de la maltraitance en institution La sphère institutionnelle et ses intervenants ne sont pas épargnés par les risques d abus (Michel et Thirion, 2004). La situation de handicap ou la grande dépendance est loin de fonctionner comme une frontière protectrice, comme un bouclier mettant la personne à l abri de ces risques. (Reid, 1994). 6

7 Les acteurs de la situation d abus en milieu institutionnel La personne victime de l abus, La personne qui commet l abus, Un ou plusieurs témoin(s) direct(s) ou indirect(s). Le témoin a un rôle déterminant dans la façon dont sera traitée la situation par la suite. 7

8 Difficultés rencontrées pour traiter le thème de la maltraitance: modèle conceptuel La complexité du phénomène nécessite de considérer plusieurs aspects de la problématique qui peuvent concerner divers sous-systèmes en relation: le niveau ontogénétique, le microsystème, l exosystème et le macrosystème, le chronosystème. L exposition aux abus est modulée par l équilibre entre des facteurs de protection et des facteurs de risque pour la personne (ressources et limites) et dans son environnement (ressources de l entourage, contexte institutionnel et socio-pédagogique, système juridique, etc.). 8

9 Niveau du macrosystème Niveau de l exosystème Politiques Législation Niveau du mésosystème Structures sociales & services Niveau du microsystème Interactions entre les milieux proches Niveau ontogénétique Centration sur la (les) personne(s) Milieux proches CHRONOSYSTEME 9

10 Facteurs de risque et facteurs de protection Émancipation Facteurs de protection :lesfacteursquiréduisentla probabilité d apparition de conduites «maltraitantes» Facteurs de risque : les facteurs qui augmentent la probabilité d apparition de conduites «maltraitantes» 10

11 Eviter les pièges Simplification Dramatisation Banalisation 11

12 Prévenir la maltraitance : différents niveaux La prévention primaire lutte contre l'apparition des conduites à risque. La prévention secondaire vise à dépister dès que possible le phénomène pour le traiter et en diminuer la durée. Cette prévention favorise une diminution de l'occurrence des conduites à risque. La prévention tertiaire lutte contre les complications afin de diminuer l'occurrence des conséquences handicapantes liées aux conduites àrisque. 12

13 Une première étape: travailler sur les représentations de la maltraitance La maltraitance est un objet social médiatisé par des représentations. En fonction de la représentation des actes présumés de maltraitance, les acteurs de terrain concevront la possibilité de signaler ou non certains actes. Les représentations de l acte présumé maltraitant détermineront les actions préventives à mettre en œuvre 13

14 Pour faciliter l analyse des représentations de la maltraitance: la vignette La vignette: «Description concentrée d une série d événements que l on considère comme représentatifs, typiques ou emblématiques ( ). (Miles et Huberman, 2003, p. 157). 14

15 Présentation de vignette fictive (ex.: vidéo-théatre) Caractère vivant et visuel, elles sont accessibles à des publics variés; Caractère fictif de la situation apparaît fondamental pour limiter l identification émotionnelle et éviter les messages menaçants; Flexibilité de ce dispositif offre un choix d alternatives situationnelles; Dimension interactive facilite aussi le processus de réflexion sans pré-définition préalable de la maltraitance. 15

16 Scène de la douche Scène de la vaisselle 16

17 Histoire : Au moment de la douche Vidéo première 17

18 Les vignettes: petit scénario ambigu Différentes dimensions à prendre en compte: La description de la situation, La forme de l abus possible, L intention de la personne qui commet l abus, Les caractéristiques des personnages, Le contexte institutionnel présenté, Les conséquences pour la personne qui subit l abus. 18

19 Des représentations différentes Réactions des professionnels (scène banale et fréquente de la vie quotidienne) Réactions des parents (absence d humanité, routine) Réactions des personnes en situation de handicap ayant une déficience intellectuelle. (incompréhension, scène vécue non acceptable) 19

20 Dispositifs présents: 3 niveaux de prévention Formation Soutien aux professionnels Groupes d expression (prof., usagers, familles) Signalement accessible Des valeurs d accompagnement partagées: autonomie, liberté et citoyenneté 20

21 La maltraitance et la bientraitance: deux versants d'un même concept? Le passage de la violence institutionnelle, à la violence en institution, puis à la maltraitance institutionnelle et la promotion de la bientraitance. Risques à ces glissements sémantiques: 1. Une décentration de la violence vécue et des conséquences pour la victime vers diverses formes de violence présentes au sein de l'institution. 21

22 La maltraitance et la bientraitance: deux versants d'un même concept? 2. Difficulté à identifier ce qui relève de la maltraitance, surtout concernant les abus psychologiques ou la négligence, il apparaît précoce de glisser vers le terme de bientraitance qui inclut l'ensemble des bonnes pratiques institutionnelles. 3. Pour préciser les contours du sens donné au terme de maltraitance dans la sphère institutionnelle, un travail réflexif, d'abord individuel, puis collectif, reste indispensable. 22

23 «Nous devons réapprendre à conjuguer en particulier le verbe le plus difficile de la langue française, le verbe AIMER: car son présent est toujours imparfait, son passé n'est jamais simple, son futur est toujours conditionnel». Citation de J.P. Sarte 23

24 Références Belsky, J. (1993). Etiology of maltreatment: a developmental-ecological analysis. Psychological Bulletin, 114,3, Bronfenbrenner, U. (1979). The ecology of human development. Experiments by nature and design. Cambridge,Massachusetts,London:HarvardUniversityPress. Falomir, J.M.,Mugny,G.(1999)Influencesocialeetrésistanceauchangementchezlesfumeurs. Alcoologie, 21(1), Foubert, A. (1998). Facteurs de risque inhérents au personnel et aux structures des institutions. In G. Huyberechts. (Ed.), Code de bonnes pratiques pour la prévention de la violence et des abus à l égard des personnes autistes. Bruxelles: Autisme-Europe. Masse, M. et Petitpierre, G. (2006). Tu n as pas le droit. DVD de prévention contre les maltraitances. Avec le soutien de la Fondation Leenaards, la HETS-ies Genève, la Haute école de théâtre de Suisse Romande (HETSR) et de la Fondation Ensemble. Masse, M. Jossevel, J.D., Petitpierre, G. et Vidon C. (2009). Prévention de la maltraitance en institution. Collaboration autour de l'élaboration d'un support pédagogique. In V. Guerdan et al. (Eds). La participation, pour une inclusion des personnes en situation de handicap. Berne: Editions P. Lang. (Voir annexe 5) Masse, M. et Petitpierre, G. Une recherche action sur les représentations de la maltraitance en institution: une démarche de prévention active. A paraître été Genève. Editions ies. Michel, M., Thirion, J.-F. (2004). Faire face à la violence dans les institutions. Ruel-Malmaison: Editions Lamarre. Miles A.B., Hubemann A.M., (2003). Analyse des données qualitatives, 2è édition, Bruxelles, De Boeck, Petitpierre, G. (2009). Maltraitances et déficience mentale: des démarches de prévention passive à la prévention participative. In V. Guerdan et al. (Eds). La participation, pour une inclusion des personnes en situation de handicap. Berne: Editions P. Lang. Reid, J. G. S. (1994). Abuse and discrimination. Auckland et Bruxelles: International League of Societies for Persons with Mental Handicap. 24

25 Merci de votre attention et bonne réflexion 25

26 Coordonnées: Manon MASSE Professeure HES, Psychologue FSP, AVP; Ergothérapeute Déléguée suisse de l Association Internationale de Recherche scientifique en faveur des Personnes Handicapées Mentalement (AIRHM) Haute Ecole de Travail social de Genève Tél.: Courriel: manon.masse@hesge.ch 26

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