ASSOCIATION D AIDE ET SERVICES À LA PERSONNE

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2 R À R rue ean onnet (ckbolsheim) trasbourg edex él. ax contact@abrapa.asso.fr nscription au Registre des ssociations olume XX grément qualité emplois familiaux arrêté préfectoral... - R - ocument non contractuel - ous droits réservés. /. -RR.indd // ::

3 la ersonne ssociation d ide et ervices à X H X rapport d activité R Y K R R K Y K G Y H G X H -RR.indd // ::

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5 R É - e mot du résident réambule À - ide à omicile a Garde de uit tinérante «élénée» a éléassistance «ip ranquille» e ortage de Repas ccueil de our «aryse» es ervices de oins nfirmiers à omicile es Hôpitaux de our HÉRG - es aisons de Retraite et ongs éjours es Résidences - es Restaurants-lubs nimation dans les Résidences et les Restaurants-lubs es lubs ème âge affiliés à l R É - - RGGR X H X R K -RR.indd // ::

6 É >e mot du résident n début de chaque année, on se plaît à rêver qu un répit nous sera accordé ue l environnement sera enfin serein, que les personnes aidées et les familles seront moins en souffrance, que les ouvoirs ublics nous rendront visite sur le terrain plutôt qu au bureau pour dialoguer avec des ordinateurs ean-acques résident remplis de chiffres. ais au fond, nous savons qu il n en sera rien. es événements qui seront vécus au fil de l eau auront pour effet de tendre parfois les relations, mais aussi de dynamiser l ssociation. out commence au plan national avec les grands événements de l année : e lan olidarité Grand Âge (G), grande avancée dans le secteur gérontologique, introduction de la «coupe H» pour mieux cerner les budgets soins des H, e rapport de la mission d évaluation et de contrôle des lois de financement de la écurité ociale (co-présidée par me aulette Guinchard) qui met en avant l importante contrainte des familles à débourser environ pour leur parent en établissement, X H e désengagement progressif de la qui resserre le nombre d heures des plans d aide en application d un nouvel outil d évaluation, a pénurie de places en établissement. es files d attente ne cessent de s allonger. n moyenne, demandes par an contre admissions possibles, X e développement des grandes nseignes de services à la personne, encouragées par le lan orloo. ertaines (on pense à rance omicile) devraient montrer à terme la «puissance de feu» d un secteur associatif qu on aurait pu croire moribond, R Y K e manifeste de l avec ses propositions en faveur «du droit fondamental de vivre à domicile» rajoute que le secteur de l aide à domicile n est pas forcément synonyme de créateur d emplois pauvres, à condition d encourager la professionnalisation et la qualité des pratiques, G Y H G R R K Y K X H ne douloureuse pénurie de personnel soignant pour nos établissements bas-rhinois.. ndré Klein-osser, ice-résident du onseil Général et résident du R rapporte qu il manque dans les H de notre département, soignants. ors de la ournée internationale des personnes âgées le er octobre, le ecrétaire Général de l,. Kofi nnan, a lancé «un appel à toutes les populations pour qu elles s efforcent d élaborer des politiques et des programmes qui permettent à ces personnes de vivre dans des conditions favorisant leurs aptitudes et leur indépendance, où elles reçoivent l aide et les soins dont elles ont besoin à mesure qu elles vieillissent» Gageons que cet appel soit entendu et que le lan Grand Âge se concrétisera avant les élections présidentielles de. ar ailleurs, le énat a organisé le premier orum national des associations et fondations en décembre. occasion de découvrir, à travers une étude du cabinet eloitte, quel regard les rançais portent sur notre monde. remier enseignement, les rançais éprouvent un véritable attachement aux associations. es associations constituent un type d organisation aux vertus manifestes en termes de responsabilités, de travail au service de l intérêt général et d innovation. ependant, les rançais ne semblent pas vraiment conscients du poids économique des associations et souhaitent «plus de transparence dans le financement et la gestion». nfin, il en ressort qu une action plus forte est attendue dans les domaines de la santé, de la recherche, de l école, des personnes âgées, du chômage, etc. n revanche, les domaines du caritatif, de la générosité et du loisir sont «relégués au second plan» dans une période marquée par de grandes inquiétudes sociales. otre ssociation, l R, s inscrit pleinement dans toute cette actualité qui constitue autant d événements auxquels nous devons faire face politiquement, administrativement et techniquement. ans un secteur qui emploie salariés à temps plein en rance, l R compte salariés en. ssociation participe indiscutablement à l économie bas-rhinoise, mais l emploi n est pas le but en soi. est un moyen au service des personnes que nous aidons et de la création d activités. ous devons aussi affirmer que notre action auprès d un public fragile doit être reconnue de façon particulière car nous intervenons sur un champ, celui de la solidarité, qui ne peut relever de la seule logique du marché. n cela le plan orloo, malgré son ambition, nous oblige à une lecture particulière de notre mission car il «brise» en quelque sorte le fondement de la loi du janvier. l donne en effet le choix aux associations de ne pas s y inscrire pour une plus grande liberté de gestion (pas de tarification par le onseil Général ou la ). n, l R n aura eu de cesse de mettre en œuvre une dynamique de développement. es membres du ureau et du onseil d dministration auront pris des décisions politiques importantes qui mettent en perspective l avenir de l ssociation sur un long terme : réation de logements pour personnes âgées dans la résidence des Halles, rojet de construction d un H «téphanie» en lien avec les H de trasbourg, -RR.indd // ::

7 rojet pour un ccueil de our à berhausbergen, uverture de l ide et oins à omicile sur le Handicap et la aladie (igue contre le ancer), rojet pour un transfert du statut vers celui d H, Rachat de l H de utzelhouse, ouvelle politique de communication, dhésion à l nseigne rance omicile, ignature d une convention d objectifs avec la ille de trasbourg, e onseil Général «autorise» le service ide à omicile (loi du janvier ), éveloppement d un partenariat ranco- llemand avec la ille de trasbourg, réation d un atelier informatique pour personnes âgées (Résidence athis), éveloppement de l animation et du bénévolat, nstruction d une demande de «mission d intérêt public» pour l R, outes ces décisions n ont qu une vocation : participer au mieux-être de la personne en s inscrivant dans les politiques en faveur des personnes âgées portées par le onseil Général, la ille de trasbourg et d autres communes, la R, Groupe RG et autres caisses de retraites, et les services décentralisés de l tat. ussi, je témoigne de tout l engagement social et le travail réalisé par ces collectivités locales ou de sécurité sociale qui ont toujours soutenu notre ssociation depuis plus de ans. e suis très reconnaissant de la pertinence de la réflexion émise par les administrateurs de l ssociation. ais je dois aussi remercier tout le personnel qui, du terrain à la irection Générale, met en application avec un grand professionnalisme les décisions politiques de l R. n, la rance comptera millions de retraités, soit une augmentation de % par rapport à. a durée de cette retraite sera entre et ans. errière ces chiffres se cache une problématique sociétale du vieillissement sans précédent. es pouvoirs publics devront plus que jamais compter sur des acteurs professionnels comme l R et nous serons présents à l appel. ean-acques résident rojet pour rapatrier tous les services gestionnaires au entre dministratif, réation du Groupement des mployeurs agréés ualité de l ide à omicile. ource : article paru le.. -RR.indd // ::

8 É ean R irecteur Général >réambule ans un univers de plus en plus contraint, la gouvernance de l association et les collaborateurs s unissent pour tenir leur promesse «ensemble, partageons la vie». es salariés de l brapa sont aux côtés d environ personnes qui lui font confiance, qu elles soient en situation de dépendance, de handicap ou valides. a irection épartementale du ravail a précisément mis en évidence l effervescence de notre secteur. lle traite environ dossiers par mois de demande d grément, dont la plupart sont des créations d entreprises de type R. ésormais, structures sont agréées dans le as-rhin pour intervenir sur le champ des services à la personne (+ % par rapport à ). our répondre au défi du lan orloo, l brapa devra en se positionner sur une partie des services à la personne officiellement définis. X H aladie d lzheimer et aide aux aidants évastatrice car elle brise la personne et souvent la famille, la maladie d lzheimer est de mieux en mieux connue, et sera peut être traitée définitivement un jour. n rance, plus de personnes sont atteintes de cette maladie (ou troubles apparentés), et au moins nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. es statistiques prévoient même plus de millions de cas en e remier inistre veut faire de la lutte contre cette maladie «la grande cause nationale». brapa prend part à la lutte contre cette terrible maladie à travers l action de l hôpital de jour et de ses H. es futurs établissements seront tous dotés d une nité rotégée. X ous nous mobilisons également sur le thème de l aide aux aidants. e as-rhin se place parmi les départements ayant le plus d aidants familiaux. insi, à l initiative de la ommune d berhausbergen, nous portons un projet d ccueil de jour qui soulagera les familles en accueillant leurs parents malades. R Y K n partenariat avec la utualité rançaise, nous coorganisons aussi des conférences à l intention des personnes âgées et de leur famille. G Y H G R R K Y K e résident est aussi membre du G Gérontologique - présidé par le r rancis Kuntzmann - qui œuvre en ce sens. X H lan orloo «les ervices à la ersonne» e lan orloo aura placé notre secteur sous les feux de la rampe pour la première fois. ais autant de lumière finit par brouiller le message des services à la personne : enseignes nationales distillant un message similaire et souvent peu efficace, ne publicité sur le articulier mployeur, encouragée par le, dont on connaît les limites en matière d intervention auprès de publics fragiles, a création massive d entreprises unipersonnelles., le onseil Général et la aisse ationale d ssurance ieillesse () vec personnes bénéficiant de l en rance, les prévisions sont largement dépassées. a majorité des personnes concernées vivent à leur domicile ou en établissement. personnes bénéficient de l dans notre département. i le bien fondé de l est justifié par le nombre croissant de bénéficiaires, le financement de ce dispositif amène les onseils Généraux à surveiller plus que jamais l évolution des coûts. e onseil Général du as-rhin n échappe pas à cette situation. on engagement toujours volontariste en faveur des personnes âgées et les contraintes financières ont évidemment créé des tensions sur le budget. arallèlement, la a prévu dans sa onvention d bjectifs et de Gestion (G) - de «recentrer» son action sociale sur le maintien à domicile des personnes en Gir et. insi, la prestation «aide ménagère» prévoit, millions d heures en contre millions en. G critique cette politique et estime «raisonnable l hypothèse de millions d heures en». aturellement, l activité du service prestataire de notre association est impactée par ces décisions de la branche ieillesse. a ualité lus de rançais sur jugent insuffisante la prise en charge des personnes âgées dépendantes (sondage ouis Harris). es personnes interrogées citent la solitude comme le principal problème des personnes âgées, loin devant la maladie. our aller plus loin et garantir une qualité de service optimale et identique sur tout le département, le onseil Général a créé un groupe de travail pour concevoir sa harte ualité. objectif est d étendre à tous les prestataires, gréés ou utorisés, un niveau minimum d assurance ualité dans le cadre de l. ette harte ualité prévue dans le «lan en aveur des ersonnes gées» conçu à l initiative de. hilippe RHR, résident du onseil Général, devrait être effective en. a ualité est une discipline qui s applique à tous. lle est parfois intuitive mais le plus souvent réglementée ou normée. est ainsi que nos deux ongs éjours () ont réussi avec succès l épreuve de l ccréditation suite aux deux audits de la Haute utorité -RR.indd // ::

9 de anté. ous sommes aussi attentifs au respect des objectifs ualité des onventions ripartites négociées avec le onseil Général. otre démarche ualité couvre bien entendu l ide à domicile en référence à la norme «ervice à la personne à domicile» (qui répond aux exigences de la loi du janvier ) et au cahier des charges de l grément ualité. e lan olidarité Grand Âge (G) n juin, hilippe, inistre élégué aux ersonnes gées, s est félicité de l effort sans précédent ( millions par an) que constitue e lan olidarité Grand ge. uand on sait que près de millions de personnes seront âgées de ans et plus en, il était indispensable de trouver des moyens supplémentaires pour développer l aide à domicile et augmenter le nombre de soignants en H. os fédérations nationales ont salué l avancée significative de ce plan qui traduit enfin des mesures qui étaient demandées depuis très longtemps. est en effet un changement de politique qui est esquissé avec des éléments qualitatifs et une volonté de faire évoluer les prises en charge. outefois, trois bémols atténuent l engouement de ce plan : e nombre de places créées en établissement () est insuffisant au regard des listes d attente. est l équivalent d un H par département, ous attendions tous un ratio d encadrement de, par résident, comme en llemagne, e financement semble insuffisant pour rendre applicable ce plan. ertaines fédérations calculent qu il faudrait le doublement du budget prévu anicule elon les indications de la du as-rhin, personnes âgées de plus de ans seraient décédées de la canicule en. a ille de trasbourg a appliqué son «plan de prévision des risques liés à la chaleur» auquel l R est étroitement associée. ous lui sommes reconnaissants d avoir financé une nouvelle fois l emploi d été de jeunes vacataires pour aider à l hydratation des pensionnaires des établissements. os H se sont aussi mobilisés grâce à leur «lan leu» et à leurs pièces rafraîchies. onclusion R poursuit avec détermination son devoir d aide et services aux personnes. a politique initiée par le résident ean-acques et les administrateurs fait de notre association un modèle de dynamisme comme le montrent de nombreux projets et l étendue de nos services. oulignons également que notre action est soutenue par nos partenairesfinanceurs sans lesquels rien ne serait possible ais au-delà des projets incontournables, la relation humaine et l humanisme sont les premières réponses attendues par tous ceux qui nous font confiance. l nous faut donc concilier des qualités de disponibilité, de compétences et de savoir être. our ces raisons, nous devrons plus que jamais nous concentrer sur une politique de management des ressources humaines si nous voulons réussir notre mission d intérêt général. ean aramazana irecteur Général X H X R K ource : article paru le.. -RR.indd // ::

10 À > ide à omicile ) É R «RR» «R» e service a réalisé heures d'intervention auprès de personnes. icole irectrice Générale djointe e service prestataire représente l essentiel de l activité et a connu une progression de.% : > heures «prestataire» > personnes aidées a part du service mandataire dans l activité globale tend à diminuer d une année sur l autre. activité de ce service est de : > heures «mandataire» > personnes ) RG GÉGRH R É e service d'ide à omicile de l'r est intervenu dans communes du épartement. > rigine géographique des personnes aidées athalie HRR Responsable du service outien à omicile > personnes sont domiciliées à trasbourg. > sont domiciliées dans l arrondissement de trasbourg-ampagne. > sont domiciliées dans les arrondissements de élestat et olsheim. > sont domiciliées dans les arrondissements de issembourg, Haguenau et averne. ) RÉR R X > Répartition par sexe et activité X H X R Y K G Y H R R K Y K X H G % % % % Globalement % des personnes aidées par le service prestataire sont des femmes. a prédominance attendue des femmes est cependant plus accentuée dans notre service que celle constatée dans la population (.% des ans et +). est à trasbourg que nous aidons la proportion de femmes la plus importante (%). % % Hommes emmes -RR.indd // ::

11 ) ÂG R É > Âge des personnes aidées personnes (.%) sont âgées de moins de ans, il s agit de personnes handicapées bénéficiant de l (llocation ompensatrice ierce ersonne) ou de l H (llocation aux dultes Handicapés) ainsi que de personnes prises en charge par l assurance maladie du fait de pathologies, notamment psychiatriques. e service intervient aussi auprès de personnes titulaires de l aide complémentaire attribuée à des personnes adultes très handicapées mais aucune personne handicapée ne bénéficiait de la H (restation de ompensation du Handicap). À l autre bout de l échelle des âges, le pourcentage des personnes de ans et plus tend à croître, il est passé de % à % avec personnes aidées en. e pourcentage le plus important de personnes très âgées se situe dans la ville de trasbourg (%). ) É R > ncienneté des «clients» de l ide à omicile > ans e à ans e à ans < an a répartition des personnes en fonction de leur ancienneté dans le service est stable d une année sur l autre. n constate cependant un léger fléchissement du nombre de personnes entrées dans le service dans l année : en contre en. es pourcentages les plus élevés de nouveaux entrants se situent dans les arrondissements de élestat et de olsheim (%). X H X R K -RR.indd // ::

12 ) R HRG ÈR R RR activité financée au titre de l (llocation ersonnalisée d utonomie) a poursuivi une progression importante (+%) pour atteindre un nombre d heures annuel de heures. heures jan- fév- mars- avr- mai- juin- juil- aoû- sep- oct- nov- déc- jan- fév- mars- avr- mai- juin- juil- aoû- sep- oct- nov- déc- jan- fév- mars- avr- mai- juin- juil- aoû- sep- oct- nov- déc- jan- fév- mars- avr- mai- juin- juil- aoû- sep- oct- nov- déc- personnes heures personnes n revanche, les effets de la politique restrictive de la aisse ationale d ssurance ieillesse se sont fait sentir de nouveau en avec une chute de l activité de %. ar ailleurs l outil de régulation mis en place par la aisse Régionale a entraîné, comme nous l avions craint, une sous consommation du contingent d heures attribué à la Région lsace. activité financée par les autres régimes de retraite est stable. l en est de même de l activité réalisée auprès des personnes ne bénéficiant d aucune prise en charge financière. ) RR epuis plusieurs années l R donne la possibilité aux personnes aidées par son service prestataire de les conduire à des rendez-vous extérieurs ou pour faire des courses. ette prestation est réalisée par leur aide à domicile attitrée moyennant le remboursement de frais de déplacement. n, kilomètres ont été parcourus représentant une progression de % par rapport à. ans le cadre d une démarche de prévention, le groupe rpège a décidé de favoriser et de faciliter les déplacements des personnes âgées à l extérieur de leur domicile : il finance le coût de ce service de manière dégressive par l intermédiaire de «hèques omicile iberté». rès de personnes ont ainsi bénéficié de cette nouvelle prestation. ette expérimentation met en évidence l intérêt d un tel service mais aussi les efforts importants de promotion nécessaires à son développement. lle nous a permis d ajuster l organisation aux différentes demandes des personnes. a question de la pérennité de ce service reste posée et apparaît liée à la possibilité d une prise en charge financière partielle. Responsables de secteur gnès RRR sabelle RH aniyé G aroline RR ean-guillaume athalie atherine G elphine anine HX arie-ouise GR osiane GH adine H icole HRRGR hristine HG téphanie K ylvie KH lara G ylvie H eïla rançoise alérie RR agdaléna R laire H oëlle R éronique HR Yolande HR stelle H lisabeth arie-hérèse RG nne-arie R andra -RR.indd // ::

13 ) R : RR R > e service de pré-recrutement, composé de personnes à temps partiel, a reçu personnes en réunions d information ou en rendez-vous individuels et a transmis candidatures. ur l année, le service prestataire a recruté et intégré personnes dont en contrat à durée déterminée pour faire face aux absences pour congés payés ou pour raison de maladie du personnel titulaire. e service de pré-recrutement a organisé stages à l intention de nouvelles aides à domicile recrutées en ou de plus d un mois. ela a représenté heures de formation. > e service d évaluation et de conseil est composé de personnes dont une à mi-temps. l a organisé formations ciblées sur les aides à la personne pour aides à domicile, représentant heures de formation et il a participé aux stages d intégration des nouveaux embauchés. e service est aussi régulièrement sollicité pour faire partie des jurys de la, des modules de formation du (iplôme d tat d uxiliaire de ie ociale) et du titre d assistante de vie de l ( jurys en ). e service anime avec le service «ualité» le groupe de travail sur la gestion des risques et par ailleurs, soutient une antenne d ide à omicile et assure les remplacements de la responsable de élénée, lors de ses absences. > e service «psychologue» es psychologues à temps partiel organisent des groupes de parole pour les aides à domicile. aides à domicile ont été concernées pour heures de réunion. ar ailleurs, chaque salarié peut faire appel à tout moment à l une de ces psychologues en cas de nécessité ; un rendez-vous individuel est alors assuré très rapidement. > autres formations ont été réalisées pour les aides à domicile selon les orientations définies dans le plan de formation : a qualification des aides à domicile avec d une part les formations modulaires du et la démarche de validation des acquis de l expérience. est ainsi que nouvelles aides à domicile ont obtenu le en et en janvier représentant un taux de réussite de %, a formation des nouveaux embauchés avec, en plus de la formation interne, la participation à des stages de sensibilisation aux métiers de l aide à domicile, a professionnalisation des aides à domicile : journées thématiques, formations au tutorat, sur les gestes techniques, ous les responsables de secteur ont suivi une formation sur le management, notamment pour une formation-action relative à la conduite des entretiens annuels d évaluation, ne formation sur les connaissances gérontologiques et une autre sur «l intervention auprès de personnes atteintes du cancer» ont été proposées aux secrétaires, assistantes techniques et responsables de secteur qui le souhaitaient. Globalement le plan de formation a concerné stagiaires. X H X R ource : trasbourg agazine n ovembre Y K G Y H G R R K Y K X H -RR.indd // ::

14 ) RÉ R R vec l année, le projet de service entre dans sa deuxième année et dans la concrétisation de plusieurs objectifs, majeurs pour certains : a satisfaction aux exigences de la loi du janvier, notamment celles relatives au droit d information des usagers : le service s est doté d un livret d accueil complet et attractif, un contrat est systématiquement mis en place et le règlement de fonctionnement est remis et commenté à toute nouvelle personne entrant dans le service, obtention de l autorisation du résident du onseil Général en tant que service d ide et d ccompagnement (loi du janvier ) et l entrée dans la procédure de tarification : l arrêté autorisant le service a été signé par le résident du onseil Général le avril. our la première fois, le tarif de la prestation du service a été arrêté par le onseil Général à hauteur de. par heure, a mise en place du suivi individualisé du parcours de formation qualifiante des aides à domicile, expérimentation de l outil de télégestion dans antennes, a poursuite de la démarche qualité en liaison avec le service qualité pour : - la rédaction et la mise en œuvre de procédures, - la phase d expérimentation puis le déploiement de la gestion des risques, - la réalisation d une enquête de satisfaction auprès d un échantillon de personnes. e service prestataire et le service mandataire ont par ailleurs sollicité et obtenu l grément ualité prévu par la loi relative aux services à la personne. ) X > es grands enjeux pour notre service aire face à la concurrence : avec la mise en œuvre du lan orloo, de nouveaux porteurs de projets sont apparus dans notre département. est ainsi qu en, on dénombre plus de structures agréées ayant obtenu l grément simple, la plupart des nouvellement créées ayant un statut d entreprises individuelles ou d R. es grands groupes nationaux, particulièrement les banques et les assurances s intéressent aussi à ce marché, ontinuer à adapter notre fonctionnement et notre organisation à l évolution des besoins des personnes âgées dans un contexte budgétaire contraint, Renforcer nos interventions auprès des personnes handicapées, ouvrir vers de nouveaux publics et de nouvelles prestations. > es objectifs prioritaires du service révenir l absentéisme des aides à domicile et en limiter les effets sur les personnes aidées et le niveau d activité, organiser pour faciliter le recrutement d aides à domicile diplômées en capacité d intervenir auprès des personnes les plus dépendantes, Renforcer le suivi des aides à domicile et réaliser les entretiens annuels d évaluation. X H X R K -RR.indd // ::

15 ) À > élénée a Garde de uit tinérante É GR > élénée est intervenue fois en (+ %) auprès de personnes. personnes bénéficiaient encore de ce service en décembre. e service de Garde de uit tinérante a été créé le er octobre par l'r afin de compléter les différents services de jour par des aides de nuit. e service a pour objet le passage d'un intervenant professionnel pour répondre la nuit, entre heures et heures, à des besoins d'aide ponctuelle de personnes âgées ou handicapées, en soutien d'un aidant familial ou en complémentarité d'un autre professionnel. > ans est la moyenne d âge des personnes aidées par élénée et % des bénéficiaires sont des femmes. > a Garde de uit répond : À des besoins d'aide aux actes essentiels de la vie : le coucher, les transferts, la mobilisation, la latéralisation, l habillage/déshabillage, l hygiène corporelle, À des besoins de sécurisation : vérification des fermetures, vérification du bien-être de la personne, présence rassurante. abonné peut faire intervenir la garde de façon programmée nuits sur, uniquement certains jours ou de manière non programmée sur appel téléphonique ou par téléassistance. e service élénée couvre principalement les villes de trasbourg, ischheim, ckbolsheim, Hoenheim, llkirch-graffenstaden, ingolsheim, stwald, chiltigheim. elon les disponibilités et les demandes, élénée intervient également dans d autres villes de la. epuis l ouverture du service, nous observons des pics d activité en juillet et août. est une période de vacances durant laquelle élénée intervient temporairement chez des personnes âgées pour soulager les aidants familiaux. ) RÉ R HRG a durée de prise en charge d un abonné dépend de plusieurs facteurs : > out d abord de la personne aidée elle-même : son état de santé, son acceptation du service, > e l investissement de la famille mais aussi du type d intervention. n effet, certains passages de sécurité ne se font que sur des périodes très courtes et pour diverses raisons (coût, soutien psychologique temporaire ). e plus, le service intervient principalement auprès de personnes très dépendantes qui sont dans l attente d une entrée en institution, le passage de élénée pouvant parfois retarder ou annuler une institutionnalisation grâce à un maintien à domicile dans des conditions acceptables. e service permet également à certaines personnes de décéder chez elles. ette durée varie fortement allant d une nuit à plusieurs années. ctuellement personnes bénéficient du service depuis ans. -RR.indd // ::

16 H > a éléassistance «ip ranquille» arie-dile d Responsable nimation, Restauration et éléassisatance ) É ÉÉ > personnes (+%) ont fait appel au service ip ranquille. > personnes (+%) sont abonnées en décembre. a qualité de la prestation est reconnue par les professionnels du secteur médico-social. ) RRÉ R ÉÉ «R» > mportance du réseau de voisinage a mise en place de la téléassistance implique la constitution d un réseau de voisinage (parents, amis, voisins) et permet souvent à la personne âgée de reprendre contact avec son entourage. intervention de ce réseau limite l appel systématique des services d urgence externes comme l indique le tableau ci-dessous : raitement par le seul réseau de voisinage % % % raitement par le réseau de voisinage et une personne qualifiée % % % raitement par un service d urgence % % % ous notons l importance de la réponse apportée par le réseau. X X R K > ffre en cas d absence d un réseau de voisinage abonnés ont pallié l absence de réseau en souscrivant un contrat payant avec notre partenaire écurité. elui-ci intervient au plus tard dans l heure suivant l appel et ce, sur l ensemble du département. > isite annuelle auprès de chaque abonné ne visite annuelle est assurée par un technicien auprès de chaque abonné pour s assurer de la bonne utilisation du matériel. > ervice de maintenance haque appareil est testé toutes les semaines. équipe de maintenance se déplace pour remplacer une pile ou une batterie défectueuse détectée par les tests réguliers. > roximité de la centrale d écoute otre partenaire, l lsacienne de rotection, répond h / aux appels des abonnés pour des situations d urgence, mais aussi pour rassurer. ne équipe de opérateurs dialectophones est formée à une écoute active. n, la centrale a traité appels qui ont généré interventions, soit une moyenne de par jour. > Réseau professionnel e service s inscrit dans un réseau de professionnels au sein de l ssociation et en partenariat avec les services du secteur médico-social. > arifs modulés a personne âgée participe au coût de l installation avec un forfait de et acquitte un abonnement mensuel qui varie entre, et, selon les revenus. es habitants de trasbourg bénéficient, grâce à la participation de la ille de trasbourg, d une réduction mensuelle de, pendant toute la durée de l abonnement (pour les personnes relevant des premières tranches du barème en vigueur). ertaines caisses de retraite apportent un soutien financier à la personne : le Groupe RG/RG, l RG, l GR, la. ne convention a été signée le octobre avec la (aisse utuelle omplémentaire d ction ociale électricité et gaz) dont les ressortissants bénéficient d un barème de participation très favorable. uant au onseil Général du as-rhin, il participe aux frais d abonnement au titre de l ainsi qu aux frais d installation des télé-transmetteurs. -RR.indd // ::

17 ) É e service maintenance assure une astreinte le samedi. e est le nom donné au bulletin de liaison bi-annuel. estiné aux abonnés et à leurs réseaux, il est paru en janvier et septembre. es thèmes abordés : > ip infos : témoignages sur l utilité du bip, explication des tests, présentation de l équipe, conseils au réseau pour les gestes de première urgence. > ip infos : mise en lumière sur l aspect sécurisant du bip, explications sur les problèmes éventuels liés aux interférences d un téléphone sans fil, la sécurité dans le logement, la présentation de l équipe de la centrale d écoute. ) R R É ouverture d une antenne ip est prévue sur le secteur élestat/arckolsheim. n nouveau collaborateur du sera accueilli dans les locaux regroupant l ide à omicile, le ortage de Repas, le. l interviendra pour les visites annuelles, la maintenance et les reprises d appareils sur ce secteur. ource : xpression - agazine d information de la de trasbourg n - Hiver X H X R Y K G Y H X K Y K R H G R -RR.indd // ::

18 R À > e ortage de Repas ) É RG R > repas (+%) ont été portés à personnes. > des livraisons concernent des repas de midi et sont des repas du soir. > % des repas livrés sont adaptés à des pathologies telles que le diabète. our les repas du soir, ce chiffre atteint %. es secteurs desservis depuis peu connaissent l évolution la plus importante : oultzerland, a etite ierre, enfeld. es nouveautés en : epuis le er mars, l option «plat unique» est proposée sur le secteur trasbourg/. omposée uniquement du plat principal (sans entrée, dessert, ni pain), cette formule participe à maintenir le lien entre les personnes agées qui le désirent et les commerces de proximité. autre part, par son moindre coût, il satisfait une population à plus faible revenu. > «plats uniques» ont été livrés à personnes depuis son instauration. ette nouvelle offre sera proposée aux secteurs de la campagne dans l année à venir. ecteur trasbourg chiltigheim averne et environs enu classique enu régime Évolution / b de pers. % % % -% % % % % Repas de midi om. de om. du pays de issembourg oultzerland (ouverture nov. ) élestat et environs % % % % % % om. de om. de enfeld et environs (ouverture nov. ) % % om. de om. du pays de arre nion % % om. de om. lsace ossue % % om. om. du ays de la etite ierre (ouverture nov. ) % % % % X H X Y K K G Y H K Y X H G R R Repas du soir trasbourg % -% chiltigheim % -% % % % % e repas du soir n est proposé qu aux personnes qui prennent déjà un repas de midi. GÉÉR % % -RR.indd // ::

19 > rigine des demandes près les familles, le réseau professionnel assure le relais pour la mise en place de ce service, avec une importante proportion d assistantes sociales, de tuteurs et de médecins. ource : st gricole et iticole n - mars X H ource : ocoben nfos n écembre X R K -RR.indd // ::

20 ) > laudine H Responsable ccueil de our «aryse» À > ccueil de our «aryse» ) É R > journées ont été réalisées en (+,%) > personnes ( en ) suivies, dont femmes et hommes > Âge moyen : ans > entrées pour sorties ( entrées en ) activité est restée stable avec personnes/jour. ) RG GÉGRH ieu d habitation b de personnes en b de personnes en euhof eudorf einau ort du Rhin llkirch Krutenau/splanade lsau entre ville rangerie Robertsau ronenbourg stwald chiltigheim Holtzheim e transport est assuré par le service pour les personnes qui résident dans le secteur sud de trasbourg. ) R otifs X H X R Y K G Y H X R R K Y K H G éménagement aison de retraite ong séjour roblème financier ssai écès utres : trop fatigué - trop dépendant service non adapté ne souhaite plus venir ccueil de our s adresse à un public fragile. -RR.indd // ::

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