A l ouverture de la 32 ème session du Conseil exécutif de l ISESCO
|
|
- Jean-René Charpentier
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Allocution de S.E. M. Taieb Baccouche Ministre de l éducation de la République Tunisienne, Président de la 10 ème conférence générale de l Organisation islamique pour l éducation, les sciences et la culture -ISESCO- A l ouverture de la 32 ème session du Conseil exécutif de l ISESCO Siège permanent de l'isesco, Rabat, Royaume du Maroc, 13 juin 2011
2 Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux M. le Directeur général, M. le Président du Conseil exécutif, Excellences, Mesdames et messieurs les représentants des Etats membres, J aimerai vous adresser mes sincères salutations et de vous remercier pour la sympathie que vous nous avez exprimé, au nom de S.E le Directeur général, lors de nos communications téléphoniques pour nous soutenir alors que la Tunisie connaît des changements profonds vers le progrès et le développement, après la révolution menée par le peuple tunisien pour la liberté et la dignité. Le peuple tunisien a fait sienne la parole du poète tunisien Abou Al Kacem Al Chabi : «Si le peuple, un jour, veut vivre, le destin ne pourra que répondre à son souhait». Dieu ne change pas la condition d un peuple tant qu il ne s amende pas lui-même». Or, le peuple tunisien s est amendé en conjurant la peur de la tyrannie et de la répression en se disant : «Plus de peur désormais». Mesdames et messieurs, Les politiques éducatives, culturelles et scientifiques de l Organisation visent toutes à servir la Oumma islamique, notamment les jeunes. Si le monde a célébré l année 2010 comme l Année internationale de la Jeunesse, proclamée suite à une initiative politique par laquelle le régime tunisien visait à contenir la jeunesse et à en exploiter les potentialités à son avantage, l année 2011, elle, est devenue l Année de la Jeunesse par la volonté des jeunes, en particulier les jeunes des pays arabes qui sont sortis de leur silence pour protester contre l injustice et la répression des libertés et être à l avantgarde du peuple, sans se soucier des sacrifices qu ils pourront faire, fussentils au prix de leur vie, pour atteindre l objectif suprême qu il se sont assigné. 1
3 Notre ressource c est l audace et l enthousiasme de ces jeunes, c est leur aspiration à un avenir meilleur. Il est donc de notre devoir de valoriser cette ressource pour construire l avenir en débarrassant la jeunesse de ses fers et en aplanissant les obstacles qui les ont longtemps entravés. Il est de notre devoir de gratifier notre jeunesse de la liberté de pensée, de parole et d action pour qu elle puisse libérer son énergie et exprimer ses talents. En effet, la liberté est l obligation suprême que l homme a accepté de supporter par la grâce de Dieu. Dans la révolution que nous vivons aujourd hui, les jeunes ont montré qu ils croient fermement en la liberté, la justice et la fraternité, si bien qu il nous oblige à leur faire confiance et à placer en eux tous nos espoirs. Car la liberté est le moteur qui fait se mouvoir la jeunesse et l incite à la création et à la construction d un avenir meilleur. Partant de ces principes, il s avère nécessaire de reconsidérer profondément nos cursus et nos programmes éducatifs afin qu ils soient adaptés à l esprit des jeunes et faire en sorte qu ils en comprennent les objectifs et contribuent à leur réalisation. A cet effet, il faut accorder l attention qu elle mérite à l éducation à la citoyenneté et en faire l un des objectifs principaux de la politique éducative après la révolution de la liberté et de la dignité. De fait, l éducation à la citoyenneté ne peut être dissociée des droits de l homme, de la pratique démocratique et la participation aux affaires publiques. Toutefois, se contenter d enseigner les principes fondamentaux de la citoyenneté sans pratiquer la libre pensée est une faiblesse du système éducatif qui inculquerait ces principes sans les projeter sur la vie réelle. De là, la nécessité de développer la libre pensée et le sens critique ; les apprenants ne doivent pas se contenter d apprendre et de rendre ce qu ils ont appris sans avoir assimilé les nobles valeurs qui sous-tendent les principes qu on leur inculque. 2
4 Pour atteindre ces objectifs, il faut : - Former des éducateurs compétents. Car ceux-ci constituent un élément central à même de promouvoir le rôle de l école dans l éducation citoyenne. L éducateur est ainsi appelé à jouer le rôle d animateur du dialogue et de promoteur des débats qui aident l élève à développer la réflexion critique et, partant, à mieux se représenter les valeurs qui fondent la citoyenneté. - Repenser le rôle de l espace scolaire dans le cadre du Conseil de l établissement pour en faire un espace de pratique démocratique et de dialogue avec l Autre sur la base de la liberté et du respect mutuel. Cela permettra à l école de contribuer à la consécration de la culture des droits de l homme et de la citoyenneté dans la société. Excellences, Mesdames et messieurs, Le progrès que connaît l ISESCO à travers la réalisation des objectifs de ses plans d action prouve l importance de l action commune, une action fondée sur une vision prospective dédiée à la promotion des secteurs de l éducation, des sciences, de la culture et de la communication. C est cette même vision qui sous-tend le projet de plan triennal ( ) et ses priorités d action tel qu ils seront présentées à votre honorable Conseil. Si le prochain plan d action prendra en considération «les changements rapides que connaissent les scènes arabe, islamique et internationales dans tous les domaines ainsi que leurs répercussions directes et indirectes sur les champs d action des organisations spécialisées dans l éducation, les sciences, la culture et la communication», il n en demeure pas moins que la situation générée par la révolution des jeunes cherche encore sa voie sur les plans politique, constitutionnel et intellectuel. A cet égard, il est nécessaire de détecter les différents changements et réfléchir sur les objectifs du plan et 3
5 ses mécanismes d exécution afin qu il soit flexible, amendable et adaptable aux changements futurs. Dans ce contexte, nous nous félicitons particulièrement des orientations visant à associer le système éducatif aux questions de société et de développement durable, la formation à l emploi et la recherche scientifique aux besoins du développement. Ce sont là des principes qui sont directement liés à la qualité de l enseignement dans ses différents niveaux, disciplines, contenus et produits. Au lendemain de sa révolution, la Tunisie qui prépare son avenir par la reformulation de sa constitution et le choix de ses dirigeants à travers des élections libres et transparentes, attend beaucoup de la coopération avec les organisations d intérêt commun dans les domaines de l éducation, des sciences, de la culture et de la communication. L objectif est de reformuler ses politiques et redonner droit de cité à des valeurs aussi importantes que la liberté de pensée et d expression, la justice sociale, l équité, le dialogue et la tolérance. Il s agira également de permettre à toutes les couches sociales, notamment les jeunes, les femmes et la société, de participer activement à la vie sociale, politique, économique et culturelle. Toutes ces orientations cadrent avec les programmes des plans d action de l Organisation. A cet égard, on n insistera jamais assez sur l importance de laisser les créateurs, les penseurs et les intellectuels, en général, libres de s exprimer sans carcans ni entraves. Aussi, appelons-nous a faire de la liberté d opinion, d expression et de création dans tous les domaines d action culturelle un principe fondamental et constant dans les plans, programmes et stratégies de l Organisation. Mesdames et messieurs, Permettez-moi d adresser mes salutations et d exprimer mon estime au Maroc, ce pays frère qui abrite notre organisation. En votre nom, je voudrais adresser mes sincères remerciements aux autorités marocaines pour le 4
6 soutien indéfectible qu elles apportent à l ISESCO afin de lui permettre de mener à bien sa mission dans les meilleures conditions. Enfin, je voudrais vous remercier tous à nouveau et remercier les organes constitutifs, administratifs et techniques de l ISESCO, en particulier Dr Abdulaziz Othman Altwaijri. Je leur sais gré d avoir témoigné un si grand intérêt pour l avenir de la Tunisie, un avenir prometteur et radieux qui contribuera à la consolidation de nos valeurs communes dans un esprit de concorde et de dialogue. Je souhaite plein succès aux travaux votre honorable Conseil et prie Dieu de nous prêter assistance pour servir au mieux les intérêts de notre Oumma. 5
L Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe.
1 1 2 2 Qui est l Union des Femmes Investisseurs Arabes? FICHE D IDENTITÉ L Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe. Elle a été créée par l Union économique arabe
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailBANQUE CENTRALE DU CONGO
BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en
Plus en détailHonorables invités, Mesdames et Messieurs,
Discours du Gouverneur de la Banque Centrale des Comores à l occasion de la cérémonie officielle de lancement de la nouvelle pièce de 250 FC Palais du Peuple, le 02 janvier 2014 - Excellence Monsieur le
Plus en détailN 2807 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2807 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 16 septembre 2010. PROPOSITION DE LOI visant à modifier les conditions
Plus en détailALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L
ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»
CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR
Plus en détailAllocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Plus en détailDans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche
ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Plus en détailDiscours d ouverture de Sem Alassane Ouattara
Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République
Plus en détail«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»
«accelerateur de croissance de l economie tunisienne» Note conceptuelle LE MOT DU PRESIDENT Le Capital-Investissement - ou Private Equity - est un des moteurs du financement de l économie réelle et du
Plus en détailLoi institutant un Médiateur de la République du Sénégal
Loi institutant un Médiateur de la République du Sénégal Loi n 91-14 du 11 février 1991 Article Premier Il est institué un Médiateur de la République, autorité indépendante qui reçoit, dans les conditions
Plus en détailVisita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin
N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailEnquête auprès des personnes favorables au don d organes
Enquête auprès des personnes favorables au don d organes Cécile BAZIN - Jacques MALET Centre d étude et de recherche sur la Philanthropie Objectifs de l enquête L enquête s adresse exclusivement aux personnes
Plus en détailLa promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication
Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage
Plus en détailTitre I Des fautes de Gestion
Base de données Loi n 85-74 du 20 Juillet 1985 relative à la définition et à la sanction des fautes de gestion commises à l égard de l Etat, des établissements publics administratifs, des collectivités
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailManifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale
Manifeste pour l éducation au développement Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Document réalisé par les ONG actives au sein du Groupe sectoriel Éducation au développement
Plus en détailCadre juridique de la Protection des Données à caractère Personnel
Cadre juridique de la Protection des Données à caractère Personnel Souad El Kohen-Sbata Membre de la CNDP de développement -CGEM- Cadre Juridique de la protection des données personnelles au Maroc: Plan
Plus en détailE-PARTICIPATION AND THE FUTURE OF DEMOCRACY
E-PARTICIPATION AND THE FUTURE OF DEMOCRACY par Andrew Acland Résumé version longue L auteur estime que les imperfections de la démocratie citées le plus fréquemment sont entre autres le faible taux de
Plus en détailRÉSEAUX SOCIAUX : UN DANGER POUR L IRAN?
RÉSEAUX SOCIAUX : UN DANGER POUR L IRAN? PAR MONSIEUR SÉBASTIEN CACIOPPO DOCTORANT AU LID2MS, UNIVERSITÉ D AIX-MARSEILLE Merci Monsieur le Président. Je vais donc mettre la focale sur l État iranien qui,
Plus en détailRESOLUTIONS SUR L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, LA SCIENCE, LA TECHNOLOGIE, LA SANTE ET L ENVIRONNEMENT
RESOLUTIONS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, LA SCIENCE, LA TECHNOLOGIE, LA SANTE ET L ENVIRONNEMENT ADOPTEES PAR LA 34 ème SESSION DE LA CONFERENCE ISLAMIQUE DES MINISTRES DES AFFAIRES ETRANGERES (SESSION DE
Plus en détailConseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat
Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel
Plus en détail(Cotonou, le 18 Juillet 2013)
République du Bénin ************** Ministère de l Enseignement Secondaire, de la Formation Technique et Professionnelle, de la Reconversion et de l Insertion des Jeunes (MESFTPRIJ) **************** Ministère
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailLA SCENE MEDIATIQUE AU MOYEN-ORIENT
LA SCENE MEDIATIQUE AU MOYEN-ORIENT A LA LUMIERE DU PRINTEMPS ARABE Paloma Haschke* Le rôle «révolutionnaire» joué par les médias sociaux dans les événements du Printemps arabe semble évident. Ce phénomène
Plus en détail2012-2016 4+4 4+4 2012-2016. Stratégie du Pôle Social. Stratégie du Pôle Social
2012-2016 Stratégie du Pôle Social 4+4 4+4 Stratégie du Pôle Social 2012-2016 »YɪàL G Ö dg á«é«jgî SG 4+4 2012-2016 Introduction Notre pays entre dans une nouvelle phase de construction d un projet national
Plus en détailSacerdoce commun et vie consacrée 1
Vies consacrées, 82 (2010-4), 270-279 Sacerdoce commun et vie consacrée 1 L année sacerdotale qui s est récemment achevée a été l occasion de nombreuses réflexions, tant sur le sacerdoce commun que sur
Plus en détailForum Panafricain de Haut niveau
Royaume du Maroc Cour des comptes المملكة المغربية المجلس األعلى للحسابات Forum Panafricain de Haut niveau organisé par le Centre Africain de Formation et de Recherche Administrative pour le Développement
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailTRAITE DE LISBONNE. Marie-Laure BASILIEN-GAINCHE* La Cour constitutionnelle fédérale d Allemagne a rendu, le 30 juin 2009, une décision fort
L ALLEMAGNE ET L EUROPE. REMARQUES SUR LA DECISION DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE FEDERALE RELATIVE AU TRAITE DE LISBONNE Marie-Laure BASILIEN-GAINCHE* INTRODUCTION La Cour constitutionnelle fédérale d Allemagne
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailLe monitoring des médias
Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l Information & de la Communication 2012 Chapitre 10 Le monitoring des médias 221 Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l
Plus en détailIslamic Banking Master Class
Executive Education Islamic Banking Master Class Marrakech 06, 07 et 08 Avril 2015 Stratégies de marché Retour d expérience Etude de cas Réel Préambule Mot du Directeur de Programme A Finéopolis Consulting,
Plus en détailGROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT
GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31/12/2012 Groupe BIAT Etats financiers consolidés arrêtés au 31 décembre 2012 Page ~ 2~ BILAN CONSOLIDE ARRETE AU 31 DECEMBRE
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 61 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2010 PROPOSITION DE LOI sur les sondages visant à mieux garantir la sincérité du débat politique et électoral,
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailCAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS
CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS Projet de loi no 27 Loi sur l économie sociale Mémoire présenté au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire dans le cadre
Plus en détailQU EST- CE QU UNE CONSTITUTION
QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également
Plus en détailRetenir les meilleurs talents
Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre
Plus en détailRéponse à la consultation de la Commission européenne concernant le cadre juridique actuel régissant le droit fondamental à la protection des données
AEDH-Association européenne pour la défense des Droits de l Homme Rue de la Caserne, 33 1000 Bruxelles Numéro de registre : 0648187635-62 Réponse à la consultation de la Commission européenne concernant
Plus en détailCertification électronique et E-Services. 24 Avril 2011
Certification électronique et E-Services 24 Avril 2011 C O N N E C T I N G B U S I N E S S & T E C H N O L O G Y E-Gouvernement E-Business L avènement des NTIC favorise la dématérialisation des transactions
Plus en détailFORUM DE L ENTREPRISE. Sous le thème :
FORUM DE L ENTREPRISE Edition 2014 Votre bien être : Sous le thème : Harmonie personnelle Et professionnelle Sommaire Présentation du groupe ESIG Mot du département Relations Entreprises Mot des étudiants
Plus en détailUne guerre juste est-elle possible?
Pseudonyme : Colombine Nombre de mots : 1942 mots Une guerre juste est-elle possible? 8000 traités de paix ont été dénombrés jusqu à aujourd hui 1. C est dire qu au moins 8000 guerres ont façonné l histoire.
Plus en détailJe suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.
Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailDISTINGUER LE TRAVAIL RÉMUNÉRÉ DU TRAVAIL NON RÉMUNÉRÉ
Activités éducatives pour les élèves de 8 à 9 ans DISTINGUER LE TRAVAIL RÉMUNÉRÉ DU TRAVAIL NON RÉMUNÉRÉ NIVEAU : PRIMAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 8 À 9 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Les élèves font la différence
Plus en détailInauguration du Centre d archivage de la société ARCHIV SYSTEM
Inauguration du Centre d archivage de la société ARCHIV SYSTEM Luigny, 22 Mars 2013 Inauguration du Centre d ARCHIV SYSTEM à Luigny 22 Mars 2013 Page 2 Discours d Alain TAIEB, Président du Groupe Mobilitas
Plus en détailCommission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI
35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте
Plus en détailLES OBJECTIFS DU LIVRE
LES OBJECTIFS DU LIVRE 1- INFORMER 2- SENSIBILISER MOBILISER 3- DEBATTRE - RECONSTRUIRE 1 LES OBJECTIFS DU LIVRE 1- INFORMER 2- SENSIBILISER MOBILISER 3- DEBATTRE - RECONSTRUIRE LES OBJECTIFS DU LIVRE
Plus en détailConsolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL
mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite
Plus en détailDIRECTION GENERALE DES ETRANGERS EN FRANCE DOSSIER DE PRESSE. Le projet de loi relatif au droit des étrangers
DIRECTION GENERALE DES ETRANGERS EN FRANCE DOSSIER DE PRESSE Le projet de loi relatif au droit des étrangers Juillet 2014 Les chiffres de l immigration 200.000 étrangers hors UE sont accueillis chaque
Plus en détailCent-troisième année N 6288 8 kaada 1435 (4 septembre 2014) ROYAUME DU MAROC BULLETIN OFFICIEL EDITION DE TRADUCTION OFFICIELLE TARIFS D ABONNEMENT
Cent-troisième année N 6288 8 kaada 1435 (4 septembre 2014) ROYAUME DU MAROC ISSN 0851-1217 BULLETIN OFFICIEL EDITION DE TRADUCTION OFFICIELLE EDITIONS Edition générale... Edition des débats de la Chambre
Plus en détailRedressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance
Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de
Plus en détailNATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement
Distr.: Limitée CEA-AN/RABAT/GENDER/Inf. Décembre 2005 Original: FRANÇAIS NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement
Plus en détailAllocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe
SEUL LE PRONONCE FAIT FOI! 17.06.2014 Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe 19 e Conférence du Conseil
Plus en détailÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS
ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS REGARDS CROISÉS DES ACTEURS DE LA GOUVERNANCE Administrateurs Présidents de conseil d administration/surveillance
Plus en détail«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»
Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans
Plus en détailLe Baptême de notre enfant
Le Baptême de notre enfant Baptême de notre enfant : Le à l église de Ce même jour, ils ont également reçu le baptême 1 Chers parents, Déroulement de la célébration (p 3-8) 1. Accueil et entrée dans l
Plus en détailLa vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789)
La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789) Avant la Révolution*, la France est une monarchie avec à sa tête un monarque, le Roi de France. Lorsque Louis XIII décède en
Plus en détailCONVENTION ENTRE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ET LE ROYAUME DU MAROC RELATIVE AU STATUT DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE ET A LA COOPERATION JUDICIAIRE
CONVENTION ENTRE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ET LE ROYAUME DU MAROC RELATIVE AU STATUT DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE ET A LA COOPERATION JUDICIAIRE Décret n 83-435 DU 27 mai 1983 (publié au J.O du1er juin
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailLancement du Budget Participatif 2015
Dossier de presse Lancement du Budget Participatif 2015 Mardi 13 janvier Contact presse : Quitterie Lemasson / presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 1 Sommaire Edito d Anne Hidalgo 3 Bilan de l édition 2014
Plus en détailLes activités du Ministère
MINISTERRE DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DE LA PROMOTION DES PME ---------------- Le Ministre Le Cabinet ---------------- REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ---------------- Union-Discipline-Travail Les activités
Plus en détailListe des Participants
1 This document only exists in French. Este documento sólo existe en francés Dix-neuvième session de la Conférence quadriennale et statutaire des Commissions nationales arabes et Consultation du Directeur
Plus en détailCompte-rendu des ateliers
FORUM DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL 2010 2 E rencontre citoyenneté Compte-rendu des ateliers La 2e rencontre du Forum a abordé le thème de la citoyenneté. Cette rencontre s'est déroulé en suivant en partie
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailLe Baptême des petits enfants en 25 questions
Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous
Plus en détailDu 6 au 14 août Neuvaine de préparation à la fête de l Assomption
Religieuses de l Assomption 17 rue de l Assomption 75016 Paris France Du 6 au 14 août Neuvaine de préparation à la fête de l Assomption U n c h e m i n d E s p é r a n c e a v e c M a r i e www.assumpta.fr
Plus en détailmission Le conflit des «gars de Lapalme»,
composition Le conflit des «gars de Lapalme», à l origine du CIMM Le 1 er mai 1970, la CSN, la CEQ et la FTQ organisaient, à Montréal, une manifestation en appui aux travailleurs et à la travailleuse de
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable au niveau local, national et mondial
25/03/2015 Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable au niveau local, national et mondial Mercredi 25 mars 2015, Amphithéâtre ASN, Faculté
Plus en détailREPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880
REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 «La grande idée, la notion fondamentale de l Etat laïque, c est-àdire la délimitation profonde entre le temporel et le spirituel, est entrée dans nos mœurs de manière
Plus en détailQU EST-CE QU UNE MUTUELLE SOCIALE?
MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE QU EST-CE QU UNE MUTUELLE SOCIALE?
Plus en détailLa problématique des jeunes citoyens qui partent. combattre en Syrie : Qu en pensent les ouléma et imams
La problématique des jeunes citoyens qui partent combattre en Syrie : Qu en pensent les ouléma et imams Nous sommes devant une situation complexe : des jeunes citoyens européens, en l occurrence des jeunes
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailPratiques Réussies Axées sur L'éducation des Élèves de la Communauté Noire
Pratiques Réussies Axées sur L'éducation des Élèves de la Communauté Noire Guide d'écoute Vous trouverez ci-dessous, des suggestions pour faciliter votre réflexion, vos discussions et vos plans d'action
Plus en détail«Je tiens tout d abord à adresser mes plus sincères remerciements à Monsieur Jacques Terrasse, directeur régional Rhône-Alpes Sud (Dexia Crédit
«Je tiens tout d abord à adresser mes plus sincères remerciements à Monsieur Jacques Terrasse, directeur régional Rhône-Alpes Sud (Dexia Crédit Local), pour sa disponibilité, ses conseils et son aide tout
Plus en détailL égalité entre les femmes et les hommes. Un pilier de la politique du Groupe PPE
Commission des droits de la femme et de l égalité des genres au Parlement européen L égalité entre les femmes et les hommes Un pilier de la politique du Groupe PPE FR Chères citoyennes, chers citoyens
Plus en détailEtudier à l'etranger. www.votreguide.ma. Informations. Enseignement ETATS UNIS
Etudier à l'etranger ETATS UNIS Informations Langue officielle: Anglais Capitale: Washington Population: 304.367.000 (2008) Superficie: 9.629.090 km2 Monnaie: USD Indicatif téléphonique: +1 Domaine internet:.us
Plus en détailCHARTE DU SYSTEME D'ECHANGE LOCAL DU VAL D YERRES
CHARTE DU SYSTEME D'ECHANGE LOCAL DU VAL D YERRES Le principe d un Système d Echange Local (SEL) est d offrir la possibilité d échanger autrement et librement, en privilégiant le lien plutôt que le bien,
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailGuide du programme Transition vers l'après-secondaire
Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens
Plus en détailALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST
ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détail19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn
19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn La régulation de l audiovisuel La régulation de l audiovisuel a pour objectif de garantir la liberté
Plus en détail"High Performance Workplace Event: People mean business"
"High Performance Workplace Event: People mean business" (Cette conférence a été organisée par la Présidence britannique de l'union européenne, avec le soutien de la Commission européenne) Londres, le
Plus en détailL Organisation mondiale du commerce...
L Organisation mondiale du commerce......en quelques mots, l Organisation mondiale du commerce (OMC) est la seule organisation internationale qui s occupe des règles régissant le commerce entre les pays.
Plus en détail27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité
Monsieur le Maire, Eric LEJOINDRE Mesdames et Messieurs Les enseignants et représentants de l Education Nationale Mesdames et Messieurs les Présidents et représentants d associations patriotiques Mesdames
Plus en détailPromulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I
Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002
Plus en détailProgramme CNRS-ERC- IREMAM- CERI. When Authoritarianism Fails in the Arab World (WAFAW) APPEL A CANDIDATURES
Programme CNRS-ERC- IREMAM- CERI When Authoritarianism Fails in the Arab World (WAFAW) APPEL A CANDIDATURES Chercheurs doctorants et post-doctorants en sciences politiques/relations internationales/économie
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailArrêtés et Décrets du Ministre des Fi n a n c e s relatifs au Dépositaire central.
Arrêtés et Décrets du Ministre des Fi n a n c e s relatifs au Dépositaire central. Bourse de Casablanca ARRETE DU MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES N 932-98 DU 18 HIJA 1418 (16 AVRIL 1998) APPROUVANT
Plus en détailQuels sont les droits des enfants?
Quels sont les droits des enfants? L enfant devrait à tout le moins commencer par bénéficier de l amour, de l affection et de la bienveillance de ses parents, (ainsi que de ses proches et des intervenants
Plus en détailDEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL
DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine
Plus en détail