L IRSN a expertisé la sûreté et la radioprotection de la Station de Traitement, d Assainissement et de Reconditionnement (STAR) du CEA/Cadarache

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L IRSN a expertisé la sûreté et la radioprotection de la Station de Traitement, d Assainissement et de Reconditionnement (STAR) du CEA/Cadarache"

Transcription

1 24 juin 2009 L IRSN a expertisé la sûreté et la radioprotection de la Station de Traitement, d Assainissement et de Reconditionnement (STAR) du CEA/Cadarache Le commissariat à l énergie atomique (CEA) a réalisé le réexamen de sûreté de la station de traitement, d assainissement et de reconditionnement (STAR) constituant, avec le laboratoire d examen des combustibles actifs (LECA), l installation nucléaire de base (INB) n 55 du CEA/Cadarache. Le CEA a transmis à l autorité de sûreté nucléaire (ASN) un dossier présentant les résultats et les conclusions de ce réexamen. Par ailleurs, dans le cadre des évolutions à venir de l installation STAR, le CEA a transmis deux demandes d évolution du domaine de fonctionnement visant, d une part à effectuer le reconditionnement de nouveaux types de combustibles nucléaires irradiés, d autre part à augmenter la capacité d entreposage des crayons combustibles qui sont reçus, à des fins d examen, après irradiation dans des réacteurs à eau sous pression (REP). A la demande de l ASN, l IRSN a examiné les dispositions présentées dans les dossiers du CEA et a exposé son avis devant le groupe permanent d experts pour les installations nucléaires de base autres que les réacteurs nucléaires, à l exception des installations destinées au stockage à long terme des déchets radioactifs, qui s est réuni le 24 juin QU EST-CE QU UN REEXAMEN DE SURETE? La loi du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire prévoit, au titre III de son article 29, que «l exploitant d une installation nucléaire de base procède périodiquement au réexamen de la sûreté de son installation en prenant en compte les meilleures pratiques internationales. Ce réexamen doit permettre d apprécier la situation de l installation au regard des règles qui lui sont applicables et d actualiser l appréciation des risques ou inconvénients que l installation présente pour les intérêts mentionnés au I de l article 28, en tenant compte notamment de l état de l installation, de l expérience acquise au cours de l exploitation, de l évolution des connaissances et des règles applicables aux installations similaires. [ ] Les réexamens de sûreté ont lieu tous les dix ans». Le réexamen périodique de la sûreté d une installation nucléaire de base permet ainsi de réaliser un bilan de la sûreté et de la radioprotection de l installation et de revoir les dispositions mises en œuvre, à la lumière des évolutions de la règlementation et des pratiques de sûreté et de radioprotection en vigueur, en intégrant l ensemble du retour d expérience d exploitation (dosimétrie, effluents, déchets, anomalies, incidents ) ainsi que les évolutions de l installation envisagées dans les années à venir. Il comprend deux parties : la vérification de la conformité de l installation à ses documents de conception et d exploitation et la réévaluation de la sureté et de la radioprotection, en reprenant les études de sûreté. 1/5

2 LE DOSSIER DE REEXAMEN DE SURETE DE LA STATION DE TRAITEMENT, D ASSAINISSEMENT ET DE RECONDITIONNEMENT Dans le cadre du réexamen de sûreté de l installation STAR, l IRSN a analysé les éléments suivants, transmis par le CEA : - le dossier de synthèse du réexamen de sûreté comprenant l analyse de la conformité de l installation et la réévaluation de sûreté, - le plan d actions proposé par le CEA à l issue du réexamen réalisé, - le rapport de sûreté et les règles générales d exploitation associées applicables, - le dossier relatif aux deux déclarations d évolution du domaine de fonctionnement. LA STATION DE TRAITEMENT, D ASSAINISSEMENT ET DE RECONDITIONNEMENT DU CEA/CADARACHE L installation STAR a été construite à la fin des années 80 sur le site de Cadarache ; elle constitue une extension du LECA (cf. décret d autorisation d extension du 4 septembre 1989). Cette installation comprend un laboratoire de haute activité constitué d un bâtiment principal abritant un ensemble en béton armé de forte épaisseur comportant trois cellules surmontées d un sas. Un bâtiment annexe, comprenant des bureaux et des couloirs de liaison avec le bâtiment du LECA, jouxte le bâtiment principal. Dans les cellules sont réalisés des opérations de traitement et de reconditionnement ou des examens sur des combustibles nucléaires irradiés. Dans le sas supérieur sont effectuées des opérations de maintenance de matériels et d introduction ou d évacuation de matériels ou de déchets dans ou depuis les trois cellules. Les cellules et le sas sont équipés de hublots de vision et de télémanipulateurs permettant le travail à distance, derrière les protections radiologiques constituées par les parois de ces enceintes. L installation STAR participe aux opérations de désentreposage des matières nucléaires sans emploi présentes dans certaines installations nucléaires du CEA, notamment l installation PEGASE (INB n 22) du CEA/Cadarache, en reconditionnant des combustibles et tronçons de combustibles avant leur entreposage dans des installations dédiées, et réalise des examens sur différents types de combustibles nucléaires irradiés, en particulier des crayons irradiés dans les réacteurs à eau sous pression d EDF. L expertise de l IRSN a porté, d une part sur l examen de conformité de l installation, d autre part sur la réévaluation de sûreté de l installation en tenant compte du retour d expérience depuis sa mise en exploitation et des évolutions à venir du domaine de fonctionnement. 2/5

3 AVIS DE L IRSN SUR L EXAMEN DE CONFORMITE L examen de conformité réalisé par le CEA a consisté à vérifier le respect des exigences de sûreté en exploitation et la conformité physique de l installation, au moyen d inspections et de contrôles. Après évaluation, l IRSN estime que la démarche d examen de conformité mise en œuvre par le CEA est adaptée. A cet égard, l IRSN relève qu elle n a pas conduit à identifier d écart au référentiel de sûreté de l installation autre que celui déclaré en 2006 (sous-dimensionnement des planchers de l installation au regard des risques de chute de charge lors de la manutention d emballages de transport de combustibles), écart pour lequel le CEA a mis en œuvre des actions compensatoires et développé un projet spécifique de remise à niveau, qui est en cours de réalisation. Le CEA a également analysé le vieillissement de l installation et a mis en évidence la nécessité de : - remplacer des matériels pour lesquels un risque d obsolescence est identifié, notamment des armoires électriques et des éléments de contrôle-commande et de mesure ; - mettre en œuvre une démarche de gestion et de maîtrise des effets du vieillissement incluant notamment un programme de surveillance des éléments constituant le génie civil de l installation. L IRSN estime que les dispositions retenues par le CEA permettront une gestion adaptée du vieillissement de l installation et de ses équipements. AVIS DE L IRSN SUR LA REEVALUATION DE SURETE ET LES EVOLUTIONS DU DOMAINE DE FONCTIONNEMENT L expérience d exploitation de l installation est satisfaisante. L IRSN note, en particulier, que les doses annuelles reçues par les personnes les plus exposées aux rayonnements ionisants dans l installation ne dépassent pas quelques msv et que les évènements survenus n ont pas eu de conséquences significatives et ont fait l objet de mesures correctives adaptées. Par ailleurs, le CEA a retenu un ensemble de dispositions à l issue de ce réexamen, pour renforcer la sûreté de l installation, qui sont présentées dans le dossier de synthèse du réexamen de sûreté et dans le plan d actions transmis ; l IRSN considère que ces dispositions sont satisfaisantes. Le confinement des matières radioactives est assuré par deux barrières de confinement statique (la première barrière est constituée par les parois des cellules et du sas supérieur, la seconde par les parois du bâtiment principal) complétées par un confinement dynamique assuré par deux réseaux de ventilation nucléaire indépendants (le premier réseau assure le maintien en dépression des cellules et du sas supérieur, le second le maintien en dépression des locaux du bâtiment principal). L IRSN 3/5

4 considère que les dispositions de confinement des matières radioactives mises en œuvre, qui seront améliorées par les actions prévues, sont satisfaisantes. Les dispositions de prévention des risques de criticité, tenant compte des évolutions sollicitées du domaine de fonctionnement de l installation, sont satisfaisantes. L IRSN recommande toutefois qu un complément de démonstration soit apporté pour confirmer le maintien de la sous-criticité en cas de chute de certains colis de transport de matières fissiles. Concernant les risques d incendie et d explosion dans l installation, l IRSN estime que les dispositions mises en œuvre sont convenables (limitation de la charge calorifique, systèmes de détection automatique d incendie, «inertage» possible de l atmosphère des cellules ). En particulier, l IRSN note les dispositions retenues pour les situations exceptionnelles où un camion peut être stationné dans le «sas camion» en l absence de personnel et pour le renforcement des moyens de surveillance et de conduite des réseaux de ventilation en cas d incendie. Enfin, pour ce qui concerne la réception d étuis renfermant des combustibles irradiés et pouvant présenter des risques de dégagement gazeux dus aux phénomènes de radiolyse de l eau éventuellement présente, le CEA s est engagé à ne recevoir que des conteneurs pour lesquels la résistance en cas d explosion est démontrée. Pour ce qui concerne les systèmes et fluides auxiliaires (alimentation électrique, contrôlecommande, air comprimé et gaz d «inertage» des cellules), les nécessités identifiées de rénovation ou de remplacement d équipements de distribution électrique et de contrôle commande ne mettent pas en cause la sûreté de l installation à court terme et font partie du plan d actions défini par le CEA. Pour ce qui concerne les risques liés aux opérations de manutention, le CEA a identifié le fait que le dimensionnement des planchers du bâtiment principal ne garantit pas leur tenue en cas de chute de charge lourde. Par ailleurs, certaines démonstrations de sûreté relatives à la tenue des colis en cas de chute lors d une manutention s avèrent incomplètes. A cet égard, le CEA a pris des mesures compensatoires pour limiter les risques de chute de charge lourde et a lancé le projet «STEP» qui vise à permettre de manutentionner les colis à l aide de chariots sur un même niveau ou à l aide de tables élévatrices pour quelques transferts particuliers nécessitant des changements de niveaux. L IRSN considère que le projet STEP apporte une réponse adaptée aux insuffisances mises en évidence. L IRSN insiste sur la mise en place au plus tôt des moyens de manutention prévus dans le cadre de ce projet, dont l achèvement est aujourd hui prévu par le CEA en Dans l attente, des compléments de démonstration de sûreté relatifs aux risques de chute de colis doivent être apportés. 4/5

5 L évaluation des risques liés aux séismes a montré que les ouvrages sont convenablement dimensionnés et que les dispositions retenues par le CEA pour prévenir ces risques et limiter leurs conséquences sont adaptées. En particulier, les exigences de sûreté attribuées aux structures de génie civil du bâtiment principal et aux équipements apparaissent respectées. Néanmoins, le CEA devra apporter des justifications complémentaires relatives au comportement, en cas de séisme, du pont roulant principal de l installation et des ouvrages mitoyens du bâtiment principal. Par ailleurs, l évaluation a montré que les risques d agression externe liés notamment aux inondations, aux voies de communication et aux installations industrielles environnantes sont faibles. Enfin, l IRSN estime que le CEA a réalisé une analyse approfondie et pertinente de l impact sur la sûreté des facteurs organisationnels et humains, notamment pour ce qui concerne les opérations de manutention et les opérations pouvant affecter la prévention des risques de criticité. CONCLUSION Compte tenu des engagements pris par le CEA au cours de l instruction, qui viennent compléter le dossier examiné, et sous réserve des recommandations mentionnées ci-dessus, l IRSN considère que les dispositions de sûreté et de radioprotection présentées dans le dossier et dans le plan d actions transmis par le CEA en vue de poursuivre l exploitation de la station de traitement, d assainissement et de reconditionnement du CEA/Cadarache dans le cadre de son domaine de fonctionnement modifié sont convenables. 5/5

6 GROUPE PERMANENT D EXPERTS POUR LES INSTALLATIONS NUCLÉAIRES DE BASE AUTRES QUE LES RÉACTEURS NUCLÉAIRES À L'EXCEPTION DES INSTALLATIONS DESTINÉES AU STOCKAGE À LONG TERME DES DÉCHETS RADIOACTIFS Avis relatif au réexamen de sûreté de l'installation STAR du laboratoire d examen des combustibles actifs (INB n 55) du Centre CEA de Cadarache et à l extension du domaine de fonctionnement pour la réception, le traitement et le reconditionnement de combustible sans emploi 24 juin 2009 Réunion tenue à Paris le 24/06/2009

7 Avis du GPU du 24/06/ / 2 Conformément à la demande du Président de l Autorité de sûreté nucléaire, formulée par lettre ASN Dép-DRD du 20 août 2008, le groupe permanent d'experts pour les installations nucléaires de base autres que les réacteurs nucléaires, à l'exception des installations destinées au stockage à long terme des déchets radioactifs, a examiné, le 24 juin 2009 : - le dossier de réexamen de sûreté de l extension STAR (station de traitement, d assainissement et de reconditionnement) du laboratoire d examen des combustibles actifs (INB n 55) du CEA/Cadarache, transmis par le CEA e n février 2008 ; - le dossier de sûreté joint à la demande d évolution du domaine de fonctionnement de l extension STAR, transmis par le CEA en avril 2008, ainsi que le rapport de sûreté et les règles générales d exploitation applicables qui seront mis à jour par la déclaration d évolution du domaine de fonctionnement. L examen du groupe permanent a été effectué sur la base de l expertise des dossiers précités par l'institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Au cours de l instruction technique menée par l IRSN, le CEA a pris des engagements complémentaires à ses dossiers initiaux, transmis à l Autorité de sûreté nucléaire. Le groupe permanent a également entendu les explications et les commentaires présentés en séance par le CEA. L extension STAR est constituée d un bâtiment principal abritant un ensemble de trois cellules blindées de forte épaisseur réalisées en béton et surmontées d un sas d intervention pour la maintenance de matériels et l évacuation de déchets. Dans ces cellules sont réalisées des opérations de reconditionnement et des expérimentations mettant en œuvre des combustibles nucléaires irradiés. L évolution envisagée du domaine de fonctionnement de l extension STAR par le CEA doit permettre à ce dernier de reconditionner de nouveaux types de combustibles, notamment ceux qui sont actuellement entreposés dans l installation PEGASE (INB n 22) du CEA/Cadarache. Le groupe permanent relève que les actions réalisées par le CEA pour vérifier la conformité de l installation aux exigences associées à son décret de création dans le cadre de la démarche de réexamen de sûreté n ont pas conduit à identifier d écart significatif ; à cet égard, il souligne la qualité des actions menées par le CEA, avec notamment la mise en œuvre d un programme d inspections in situ adapté. S agissant de la prise en compte du vieillissement de l installation, le groupe permanent note que le CEA a mis en place un programme de surveillance du génie civil et des appuis parasismiques et a prévu de remplacer les matériels pour lesquels un risque d obsolescence a été identifié (certaines armoires électriques, des éléments de contrôle commande, la centrale d analyse des gaz). Il considère que les dispositions retenues par le CEA sont adaptées. Le groupe permanent estime par ailleurs que le retour d expérience d exploitation est satisfaisant ; en particulier, les doses annuelles reçues par les personnes les plus exposées ne dépassent pas quelques msv. En outre, le groupe permanent note que le CEA a réalisé une analyse approfondie et pertinente des risques liés aux facteurs organisationnels et humains qui montre une maîtrise satisfaisante de ces risques. Enfin, le groupe permanent souligne que le CEA a défini un plan d actions, complété par des engagements, qui contribuera à l amélioration de la sûreté de

8 Avis du GPU du 24/06/ / 3 l installation ; dans ce cadre, la conduite de la ventilation en cas d incendie sera notamment améliorée par la mise en place de moyens de mesure et de gestion complémentaires. Pour ce qui concerne les risques liés aux séismes, les exigences de sûreté attribuées aux structures de génie civil du bâtiment principal et aux équipements de l extension STAR apparaissent respectées. Toutefois, concernant les risques d agression de l extension STAR par les ouvrages implantés autour du bâtiment principal en cas de séisme, le groupe permanent estime nécessaire que des vérifications complémentaires soient réalisées dans les délais prévus par le CEA pour justifier un comportement acceptable des ouvrages. Il en est de même pour le pont roulant principal de l installation. Pour ce qui concerne les risques liés aux opérations de manutention en dehors du bloc constitué par les cellules blindées et le sas supérieur, le groupe permanent relève que, d une part le dimensionnement des planchers du bâtiment principal de l extension STAR ne garantit pas leur tenue en cas de chute de charge, d autre part la démonstration du maintien de la sous-criticité en cas de chute d un colis de transport de matière radioactive doit être complétée pour certains types de colis. A cet égard, le CEA a initié un projet, dit «STEP», visant à réaliser les manutentions de colis essentiellement sur un même niveau à l aide de chariots et, pour quelques cas particuliers, à l aide de tables élévatrices. Le groupe permanent estime que le projet «STEP», dont l achèvement est prévu en 2014, apportera une réponse adaptée aux questions relatives aux manutentions. Le groupe permanent note que, dans l attente de la réalisation de ce projet, le CEA a mis en place des dispositions compensatoires, visant à réduire les risques de chute des charges. Toutefois, compte tenu des conséquences qui pourraient résulter de la chute d un colis manutentionné (dégradation du confinement des matières radioactives contenues), le groupe permanent insiste sur la mise en place au plus tôt des moyens de manutention prévus dans le bâtiment principal dans le cadre du projet STEP. Enfin, les compléments de démonstration de sûreté sur le risque de chute de colis devraient être apportés dans un délai de 6 mois. En conclusion, dans les conditions exposées ci-dessus, le groupe permanent : n a pas d objection à la poursuite de l exploitation de l extension STAR, estime que l évolution envisagée du domaine de fonctionnement, présentée par le CEA en avril 2008, ne met pas en cause la sûreté de l extension STAR, en particulier pour la prévention des risques de criticité.

9 asn ALITOME DE SÛRETÉ NiCLEAHRE RÉPUBHQUE FRANçAISE Direction des installations de recherche et des déchets N/Réf. : DRD-N Pans ' le 2 7 JR 2009 Monsieur le Directeur du Centre CEA de Cadarache BP ST PAUL LEZ DURANCE CEDEX Objet : Centre CEA de Cadarache - STAR (1NB te 55) Réexamen de sûreté de l'installation et extension du domaine de fonctionnement pour la réception, le traitement et _le reconditionnement de combustibles sans emploi Réf. : 111 Lettre Dép-DRO-N du 20 août Lettre CEA/DEN/CAD/DIR/CSN DO 90 du 15 février 2008 [3]Lettre CEA/DEN/CAD/DIR/CSN DO 277 du 23 avril 2008 [4]Lettre CEA/DEN/CAD/DIR/CSN DO 540 du 08 aout 2008 [5]Lettre CEA/DEN/CAD/DIR/CSN DO 244 du 15 avril 2009 [6]Note NT LECA-STAR/S5/NT - n 682 indice 1- juillet 2009 [7]Lettre CEA/DEN/CAD/DIR/CSN DO 453 du 10 juillet 2007 [8]Lettre DEP-MEA du 22 juillet 2009 Monsieur le directeur, Conformément à ma demande citée en référence Ill, le groupe permanent d'experts chargés des usines (GPU) s'est réuni le 24 juin 2009, afin d'examiner l'ensemble des dossiers relatifs au réexamen de sûreté de l'installation STAR, constituant avec le ITCA l'inb ri 55, à, l'extension dc son domaine de fonctionnement pour la réception, le traitement et le reconditionnement de combustibles usés sans emploi et l'augmentation de la capacité d'entteposage de crayons REP en fosse de la cellule 3 (de 50 à 80 crayons) que vous m'avez transmis par lettres citées en références [2] ä [5]. L'installation STAR est constituée d'un bâtiment principal abritant un ensemble de trois cellules blindées où sont réalisées des opérations de reconditionnement et des expérimentations mettant en œuvre des combustibles nucléaires irradiés. L'évolution envisagée du domaine de fonctionnement de l'installation STAR pat le CEA doit permettre à ce dernier de =conditionner de nouveaux types de combustibles, notamment ceux qui sont actuellement entreposés dans l'installation PEGASE (INB no 27) du Centre CEA de Cadarache )ace du Colonel Bourgoin Paris cedex 12 Térephorle Go Fax ol 4o

10 A ma demande, le GPU a tout particulièrement examiné : la conformité de l'installation aux exigences associées à son décret d'autorisation de création ; les dispositions apportées ou proposées par l'exploitant pour pallier les éventuels écarts â la réglementation et aux règles techniques en vigueur, en particulier pour ce qui concerne les risques liés au séisme et à la manutention des emballages ; les dispositions d'exploitation adoptées à, l'égard de la prévention des risques de criticité, eu égard à. la déclaration de modification du domaine de fonctionnement ; les dispositions d'exploitation adoptées à l'égard de la prévention des risques liés aux facteurs organisationnels et humains. Le réexamen de sûreté de STAR vous a conduit â proposer des améliorations synthétisées dans la note citée en référence 161, et certains points soulevés au cours de l'instruction, qui ont été exposés en séance, ont fait l'objet d'engagements de votre part que vous avez confirmés pat lettre citée en référence [7]. Le GPU a tendu son avis cité en référence [8] à l'issue de la fermion du 24 juin Je note tout d'abord que les actions que vous avez réalisées pour vérifier 12 conformité de l'installation aux exigences associées â son décret d'autorisation de création dans le cadre de la démarche de réexamen de sûreté n'ont pas conduit a identifier d'écart significatif S'agissant de la prise en compte du vieillissement de l'installation, je note également que vous avez mis en place un programme de surveillance du génie civil et des appuis parasismiques et avez prévu de remplacer les matériels pour lesquels un risque d'obsolescence a été identifié. je considère que ces dispositions sont adaptées. j'estime par ailleurs que le retour d'expérience d'exploitation est satisfaisant, en particulier en matière de radioprotection et de rusitise des risques liés aux facteurs organisationnels et humains. Pout ce qui concerne les risques liés aux séismes, les exigences de sûreté attribuées aux structures de génie civil du bâtiment principal et aux équipements de STAR apparaissent respectées. Toutefois, concernant les risques d'agression de STAR par les ouvrages implantés autour du bâtiment principal en cas de séisme, j'estime nécessaire que des vérifications complémentaires soient réalisées dans les délais que vous avez annoncés dans les engagements que vous avez plis pour justifier un comportement acceptable des ouvrages. Il en est de même pour le pont roulant principal de kq. Pour ce qui concerne les risques liés aux opérations de manutention en dehors du bloc constitué par les cellules blindées et le sas supérieur, je relève que le dimensionnement des planchers du bâtiment principal de STAR ne garantit pas leur tenue en ra s de chute de charge. Par pilleurs, la démonstration du maintien de la sous-criticité et de la tenue du corps et du couvercle de l'emballage en cas de chute d'un colis de transport de matière radioactive doit être complétée pour certains types de colis. A cet égard, vous avez initié un projet, dit o STEP», visant â réaliser les manutentions de colis essentiellement sur un même niveau â l'aide de chariots, et pour quelques cas particuliers, à l'aide de tables élévatrices. J'estime que ce projet, dont l'achèvement est prévu en 2014, apportera une réponse adaptée aux questions relatives aux manutentions. 2

11 Je note que, dans l'attente de la réaliation du projet «STEP», vous avez mis en place des dispositions compensatoires, visant à réduire les risques de chute des charges. Toutefois, j'insiste sur la nécessité d'achever au pins tdt la mise en place de toutes les dispositions liées au projet «STEP». De plus, vous devrez apporter, dans mi délai de 6 mois, les compléments de démonstration de sûreté sur les risques associés A la chute d'un colis (démonstration du maintien de la sous-ctiticité et de la tenue du corps et du couvercle de l'emballage en cas de chute d'un colis de transport de matière radioactive). Je vous demande de vous engager sur ce point sous un mois. En conclusion, compte tenu des actions d'amélioration de la sûreté prévues pour l'installation, complétées par vos engagements, je n'ai pas d'objection A la poursuite de l'exploitation de STAR. et A l'évolution envisagée de son domaine de fonctionnement_ Les règles générales d'exploitation (RGE) de l'installation devront être mises A jour, en préalable à. cette extension du domaine de fonctionnement en tenant compte des engagements pris par lettre citée en référence [71 et du projet de mise à jour des RGE transmis per lettre citée en référence [4]. Cette mise à jour devra faire l'objet d'une déclaration en application de Particle 26 du décret n du 2 novembre 2007 relatif aux installations nucléaires de base et au contrôle en marii-re de sûreté nucléaire, du transport de substances radioactives. Les actions d'amélioration de la sûreté et vos engagements devront être réalisés dans les délais affichés dans la note citée en référence [6] et la lettre citée en référence [7]. Je souhaite que leur suivi fasse l'objet d'un document présentant semestriellement leur avancement. Enfin, je vous informe que je proposerai prochainement au Collège de FASN d'encadrer les activités de STAR à la suite de ce réexamen de sûreté par des prescriptions prises au titre de la loi relative i. k transparence et à la sécurité en matière nucléaire du 13 juin Z Je vous prie d'agréer, Monsieur le directeur, Pexpression de ma considération distinguée.

12 Copie interne : MFA Division de Marseille (MB) Copies externes IRSN/DSU IRSN/DSU/SSTC/BELCY - Les Angles 4

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-056821 Nantes, le 22 décembre 2014 Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX Objet Contrôle des installations

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection

Plus en détail

«Actualités réglementaires en radioprotection»

«Actualités réglementaires en radioprotection» Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l

Plus en détail

BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS

BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS MonsieurleProcureurdelaRépublique TribunaldeGrandeInstancedeMontauban Placeducoq 82000MONTAUBAN Paris,le20octobre2010 LR+AR

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection

Plus en détail

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté

Plus en détail

Maîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif

Maîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif Maîtrise des Fournisseurs La CAEAR Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif 1 La CAEAR : Définition Commission interne au CEA, Elle a pour mission la présélection des entreprises

Plus en détail

Lyon, le 17 septembre 2013

Lyon, le 17 septembre 2013 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON N/Réf. : CODEP-LYO-2013-052873 Lyon, le 17 septembre 2013 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Bugey Electricité de France CNPE

Plus en détail

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection

Plus en détail

URANUS, URANUS. Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois. secteurs, le Nucléaire, l Aéronautique et

URANUS, URANUS. Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois. secteurs, le Nucléaire, l Aéronautique et Ingénierie et Services Une jeune entreprise Une volonté de développement Une expertise en calculs et analyses URANUS, Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois secteurs,

Plus en détail

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

Document propriété du CEA Reproduction et diffusion externes au CEA soumises à l autorisation de l émetteur CEA - Cadarache PAGE 1

Document propriété du CEA Reproduction et diffusion externes au CEA soumises à l autorisation de l émetteur CEA - Cadarache PAGE 1 PAGE 1 Cadarache : un centre au cœur de la région Préparer les réacteurs de demain Hautes-Alpes Soutenir le parc actuel Vaucluse Alpes-de-Haute-Provence Alpes-Maritimes Bouches-du-Rhône Cadarache Var Promouvoir

Plus en détail

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

Autorité de Sûreté Nucléaire. Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire. Agence fédérale de Contrôle nucléaire

Autorité de Sûreté Nucléaire. Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire. Agence fédérale de Contrôle nucléaire Autorité de Sûreté Nucléaire Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire Agence fédérale de Contrôle nucléaire Association Vinçotte Nucléaire Rapport global de l audit axé sur la sûreté nucléaire

Plus en détail

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 CLI de Saint-Alban / Saint-Maurice l Exil 19 mai 2014 19/05/2014 1 L Autorité de sûreté

Plus en détail

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise

Plus en détail

nucléaire EXIGENCE, FIABILITÉ, SÉCURITÉ

nucléaire EXIGENCE, FIABILITÉ, SÉCURITÉ nucléaire EXIGENCE, FIABILITÉ, SÉCURITÉ UN GROUPE SOLIDE, SPÉCIALISÉ ET RECONNU Avec plus de 2 300 collaborateurs, 625 M d euros de chiffre d affaires et une activité en pleine croissance, Le Groupe GCC

Plus en détail

Bilan 2011 DOSSIER DE PRESSE. Conférences de presse : 7 septembre 2012 à Montpellier 11 septembre 2012 à Marseille 12 septembre 2012 à Nice

Bilan 2011 DOSSIER DE PRESSE. Conférences de presse : 7 septembre 2012 à Montpellier 11 septembre 2012 à Marseille 12 septembre 2012 à Nice DIVISION DE MARSEILLE L Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en régions Provence-Alpes-Côte d Azur, Languedoc- Roussillon et Corse Bilan 2011

Plus en détail

1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS

1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS Fontenay-aux-Roses, le 9 juillet 2014 Monsieur le président de l Autorité de sûreté nucléaire Avis/IRSN N 2014-00265 Objet : Réacteurs électronucléaires EDF - Réacteur EPR de Flamanville 3 Conception détaillée

Plus en détail

Rapport d information sur la sûreté nucléaire et la radioprotection du site de Romans Edition 2012

Rapport d information sur la sûreté nucléaire et la radioprotection du site de Romans Edition 2012 Rapport d information sur la sûreté nucléaire et la radioprotection du site de Romans Edition 2012 Ce rapport est rédigé au titre de l article 21 de la loi de transparence et sécurité en matière nucléaire

Plus en détail

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte

Plus en détail

La politique de recours à la sous-traitance au CEA. Situation de Cadarache. Réunion de la CLI de CADARACHE 4 juillet 2012 PAGE 1

La politique de recours à la sous-traitance au CEA. Situation de Cadarache. Réunion de la CLI de CADARACHE 4 juillet 2012 PAGE 1 La politique de recours à la sous-traitance au CEA Situation de Cadarache Réunion de la CLI de CADARACHE 4 juillet 2012 PAGE 1 LE RECOURS A LA SOUS-TRAITANCE 1/2 Comment définit-on la sous-traitance au

Plus en détail

Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol. De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté

Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol. De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté Illustration 1 : Les installations du SCK CEN à Mol Synthèse L exploitation

Plus en détail

Rapport d information sur la sûreté nucléaire et la radioprotection du site AREVA la Hague. Édition 2013

Rapport d information sur la sûreté nucléaire et la radioprotection du site AREVA la Hague. Édition 2013 Rapport d information sur la sûreté nucléaire et la radioprotection du site AREVA la Hague Édition Ce rapport est rédigé au titre de l article L 125-15 du code de lʼenvironnement AREVA / Site de la Hague

Plus en détail

PROJET DE LOI N 142-12 RELATIVE A LA SURETE ET A LA SECURITE NUCLEAIRES ET RADIOLOGIQUES ET A LA CREATION DE L'AGENCE CHARGEE D'EN ASSURER LE

PROJET DE LOI N 142-12 RELATIVE A LA SURETE ET A LA SECURITE NUCLEAIRES ET RADIOLOGIQUES ET A LA CREATION DE L'AGENCE CHARGEE D'EN ASSURER LE PROJET DE LOI N 142-12 RELATIVE A LA SURETE ET A LA SECURITE NUCLEAIRES ET RADIOLOGIQUES ET A LA CREATION DE L'AGENCE CHARGEE D'EN ASSURER LE CONTROLE 1152 TITRE PREMIER DE LA SURETE ET DE LA SECURITE

Plus en détail

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire Référence : DEP-Bordeaux-0538-2009 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP n 64 86320 CIVAUX Bordeaux, le 15 avril 2009 Objet : Réf. : Contrôle des installations nucléaires de base Centre nucléaire

Plus en détail

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la

Plus en détail

Contrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012.

Contrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012. REPUBLIQUE FRANCAISE Division de Caen Hérouville-Saint-Clair, le 20 février 2012 N/Réf. : CODEP-CAE-2012-008140 Monsieur le Directeur de l Aménagement de Flamanville 3 BP 28 50340 FLAMANVILLE OBJET : Contrôle

Plus en détail

Le code INF et les navires spécialisés

Le code INF et les navires spécialisés WNTI W O R L D N U C L E A R T R A N S P O RT I N S T I T U T E BROCHURE Le code INF et les navires spécialisés Dédié au transport sûr, efficace et fiable des matières radioactives Le code INF et les

Plus en détail

Lyon, le 25 juin 2014

Lyon, le 25 juin 2014 Réseau "Sortir du nucléaire" Fédération de plus de 920 associations et de 60 100 personnes Agréée pour la protection de l'environnement 9 rue Dumenge 69317 Lyon Cedex 04 tel : 04.78.28.29.22 http://www.sortirdunucleaire.org

Plus en détail

BILAN 2014 ET PERSPECTIVES

BILAN 2014 ET PERSPECTIVES CNPE de Cattenom BILAN 2014 ET PERSPECTIVES Commission Locale d Information 19 mai 2015 BILAN 2014 Ce document est la propriété d EDF. Toute diffusion externe du présent document ou des informations qu

Plus en détail

Réf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40

Réf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON Lyon, le 30 décembre 2011 N/Réf. : CODEP-LYO-2011-072087 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin CNPE du Tricastin BP 40009

Plus en détail

Invitation à soumissionner n PTD/10/056. Annexe I Cahier des charges

Invitation à soumissionner n PTD/10/056. Annexe I Cahier des charges Invitation à soumissionner n PTD/10/056 Annexe I Cahier des charges Sommaire : I II III IV Introduction générale Descriptif des bâtiments à libérer (P&G et CAM) Descriptif du bâtiment à occuper (Nouveau

Plus en détail

: Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la tran sparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40.

: Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la tran sparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Douai, le 13 octobre 2011 CODEP-DOA-2011-57631 LD/NL Monsieur le Directeur du Centre Nucléaire de Production d Electricité B.P. 149 59820 GRAVELINES Objet : Contrôle

Plus en détail

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-

Plus en détail

RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE. NSTN Paul LIVOLSI

RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE. NSTN Paul LIVOLSI RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE NSTN Paul LIVOLSI 27 MARS 2013 QU'EST-CE QUE LA RADIOPROTECTION? Définition : La radioprotection est l'ensemble des mesures prises pour

Plus en détail

Philippe BERNET. Philippe LAUNÉ. Directeur-adjoint du CIDEN. Chef de la division déconstruction

Philippe BERNET. Philippe LAUNÉ. Directeur-adjoint du CIDEN. Chef de la division déconstruction Philippe BERNET Directeur-adjoint du CIDEN Philippe LAUNÉ Chef de la division déconstruction Centre d Ingénierie Déconstruction et Environnement 154 avenue Thiers 69006 Lyon Diaporama propriété d EDF.

Plus en détail

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION

Plus en détail

Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE

Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 GASN ASSOCIATION DES RETRAITÉS DU GROUPE CEA GROUPE ARGUMENTAIRE SUR LE NUCLÉAIRE LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE 1. INTRODUCTION La gestion de crise dans

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014

DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE CAEN Caen, le 8 août 2014 N/Réf. : CODEP-CAE-2014-036582 Monsieur le Directeur du CNPE de Paluel BP 48 76 450 CANY-BARVILLE OBJET : Contrôle des installations nucléaires

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

La Commission. canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence nationale sur l assurance au Canada. suretenucleaire.gc.

La Commission. canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence nationale sur l assurance au Canada. suretenucleaire.gc. La Commission Terry Jamieson Vice-président, Direction générale du soutien technique Commission canadienne de sûreté nucléaire Le 23 septembre 2014 canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence

Plus en détail

Tests de résistance belges. Rapport national pour les centrales nucléaires. Evénements liés à l activité humaine. («man-made events»)

Tests de résistance belges. Rapport national pour les centrales nucléaires. Evénements liés à l activité humaine. («man-made events») Tests de résistance belges Rapport national pour les centrales nucléaires Evénements liés à l activité humaine («man-made events») Ce rapport national est fourni par l autorité de sûreté belge dans le

Plus en détail

16 novembre 2010. Didier Rocrelle Directeur d établissement

16 novembre 2010. Didier Rocrelle Directeur d établissement CLI AREVA Romans 16 novembre 2010 Didier Rocrelle Directeur d établissement Sommaire de la présentation L actualité de Romans depuis la dernière CLI Plan de surveillance environnementale AREVA Romans Questions

Plus en détail

CENTRE NUCLÉAIRE D ÉLÉCTRICITÉ. EDF Nogent-sur-Seine

CENTRE NUCLÉAIRE D ÉLÉCTRICITÉ. EDF Nogent-sur-Seine CENTRE NUCLÉAIRE DE PRODUCTION D ÉLÉCTRICITÉ EDF Nogent-sur-Seine Le groupe EDF DES ENJEUX ÉNERGÉTIQUES MONDIAUX SANS PRÉCÉDENT LA CROISSANCE DÉMOGRAPHIQUE ET ÉCONOMIQUE VA ENTRAÎNER L AUGMENTATION DES

Plus en détail

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS CAHIER DES CHARGES RELATIF A UN AUDIT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE DE L'INSTITUT FRANÇAIS DE MECANIQUE AVANCEE Date limite d envoi de l'offre : 30 avril

Plus en détail

Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la

Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la Édition 2013 Charte de bonnes pratiques Préface Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la radiographie industrielle ne se produisent heureusement que rarement. Pour autant,

Plus en détail

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus

Plus en détail

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté

Plus en détail

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée

Plus en détail

OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION

OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION Service Santé Sécurité au Travail Maison des Communes Cité Administrative Rue Renoir BP 609 64006 PAU Cedex

Plus en détail

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont

Plus en détail

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le

Plus en détail

Atelier sur l utilisation des sources d énergie nucléaire dans l espace: application en cours et prévue et défis

Atelier sur l utilisation des sources d énergie nucléaire dans l espace: application en cours et prévue et défis Nations Unies A/AC.105/C.1/L.318 Assemblée générale Distr. limitée 10 janvier 2012 Français Original: anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Sous-Comité scientifique

Plus en détail

La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire, une production d électricité au cœur de la région Centre

La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire, une production d électricité au cœur de la région Centre DOSSIER DE PRESSE JANVIER 2012 La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire, une production d électricité au cœur de la région Centre Contact presse : Laurence Poussel Tél : 02-48-54-50-11 e-mail : laurence.poussel@edf.fr

Plus en détail

Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage

Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage Sommaire L Andra dans l Aube : un exploitant industriel exemplaire Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage

Plus en détail

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations

Plus en détail

Atelier «Innovation et Société»

Atelier «Innovation et Société» Atelier «Innovation et Société» Journée de présentation AAP Andra,15 décembre Luis Aparicio, Direction R&D Andra Les installations à l arrêt ou en démantèlement en France Usines de retraitement de La Hague

Plus en détail

DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011. Inspection n INSSN-BDX-2011-0839 du 23 au 25 août 2011 Retour d expérience Fukushima

DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011. Inspection n INSSN-BDX-2011-0839 du 23 au 25 août 2011 Retour d expérience Fukushima RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011 Référence courrier : CODEP-BDX-2011-049254 Référence affaire : INSSN-BDX-2011-0839 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP 64

Plus en détail

PROGRAMMES ET DES PARTENARIATS EN MATIÈRE D'ÉDUCATION ET DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL INFRASTRUCTURES COMMUNAUTAIRES

PROGRAMMES ET DES PARTENARIATS EN MATIÈRE D'ÉDUCATION ET DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL INFRASTRUCTURES COMMUNAUTAIRES RAPPORT AU COMITÉ D ÉVALUATION (CVÉ), DE MESUR DU RENDEMENT ET D EXAMEN EN DATE DU 30 SEPTEMBRE 09 1) Le Ministère devrait continuer de fournir de l assistance aux Premières nations pour la construction,

Plus en détail

Cahier des Charges Techniques Particulières

Cahier des Charges Techniques Particulières Cahier des Charges Techniques Particulières Entretien et maintenance des onduleurs ORIGINAL SOMMAIRE 1. OBJET DU CCTP 1 2. NATURE DES INSTALLATIONS 1 3. NATURE DES PRESTATIONS 1 3.1. Details des prestations

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève CONSEIL EXÉCUTIF EB136/39 Cent trente-sixième session 12 décembre 2014 Point 13.2 de l ordre du jour provisoire Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève Rapport du Directeur

Plus en détail

Séminaire ANCCLI IRSN Les enjeux du démantèlement. 16 juin 2014

Séminaire ANCCLI IRSN Les enjeux du démantèlement. 16 juin 2014 Séminaire ANCCLI IRSN Les enjeux du démantèlement 16 juin 2014 Retrouver toutes les présentations de cette journée : http://www.irsn.fr/fr/connaissances/nucleaire_et_societe/expertise-pluraliste/irsn-anccli/pages/11-

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

LOI Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transp arence et à la sécurité en matière nucléaire (1). NOR: DEVX0100081L

LOI Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transp arence et à la sécurité en matière nucléaire (1). NOR: DEVX0100081L Le 18 juin 2009 LOI Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transp arence et à la sécurité en matière nucléaire (1). NOR: DEVX0100081L Version consolidée au 1 novembre 2008 TITRE Ier : DISPOSITIONS

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

REGLEMENT DE CONSULTATION

REGLEMENT DE CONSULTATION Réf. 15/2.214.682a REGLEMENT DE CONSULTATION concernant le remplacement des réseaux extérieurs d'eau glacée sur le Centre de Bretagne Date de remise des offres : Jeudi 30 Juillet 2015 à 12h00 1 1 OBJET

Plus en détail

Le marché du démantèlement des installations nucléaires d EDF.

Le marché du démantèlement des installations nucléaires d EDF. Le marché du démantèlement des installations nucléaires d EDF. ITER & nucléaire civil 2012 Saint-Etienne, le 30 novembre 2012 Rhône 9 réacteurs en déconstruction en France 1 réacteur à eau pressurisée

Plus en détail

Monsieur Manuel Valls Premier ministre

Monsieur Manuel Valls Premier ministre Cour des comptes Le Premier président Le à Monsieur Manuel Valls Premier ministre Réf. : no 68814 Objet : traitement du dossier des déchets de Stocamine, filiale à 100 % des Mines de potasse d'alsace (MDPA)

Plus en détail

Guide utilisateur de l application PASS

Guide utilisateur de l application PASS SISERI PASS Guide utilisateur - Ind1 Guide utilisateur de l application PASS 1 - Présentation générale du PASS L application PASS pour Protocole d Accès Sécurisé à SISERI permet aux entreprises et aux

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

Présentation. Procédure

Présentation. Procédure CAP Agent d'entreposage et de Messagerie Activités professionnelles Livret de suivi de l élève : Période 1 :... / Période 2 :... / Présentation Les élèves handicapés scolarisés dans un dispositif ULIS

Plus en détail

Point d actualités du site AREVA Tricastin

Point d actualités du site AREVA Tricastin Point d actualités du site AREVA Tricastin Frédéric De Agostini Directeur d AREVA Tricastin CLIGEET du 21 juin 2012 Direction Tricastin Journée sécurité des chantiers du Tricastin Plus de 1200 participants

Plus en détail

FOURNITURE DE MATERIEL DE SERRURERIE. Marché à bons de commande C.C.A.P.

FOURNITURE DE MATERIEL DE SERRURERIE. Marché à bons de commande C.C.A.P. FOURNITURE DE MATERIEL DE SERRURERIE Marché à bons de commande C.C.A.P. MAITRISE D OUVRAGE et MAITRISE D ŒUVRE HABITAT 70 (OPH) 26 rue de Fleurier B.P. 70309 70006 VESOUL Cedex 03.84.96.13.50-03.84.96.13.74

Plus en détail

AVIS DE PUBLICITE GENERALITES

AVIS DE PUBLICITE GENERALITES AVIS DE PUBLICITE Date de mise en ligne : 05/06/2014 Objet : APPEL D OFFRES OUVERT «FOURNITURE DE GAZ MEDICAUX» (VRAC-CONDITIONNES TELESURVEILLANCE) MARCHE A BON DE COMMANDE SANS MINIMUM NI MAXIMUN GENERALITES

Plus en détail

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont la

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel.

Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Alain BONTEMPS, Directeur du CEFRI -NOMBRE DE TRAVAILLEURS EXPOSES (Nucléaire): Total: 60

Plus en détail

N 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7

N 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7 N 24 avril 2015 Secrétariat de la CCMOSS 1/7 ACTUALITES Publication d un «mode d emploi sur les achats socialement responsables»..... 3 D E F I N I T I O N Qu est-ce que le système de management environnemental

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Mise en service. Préamplificateur. VEGABAR série 80. Document ID: 45054

Mise en service. Préamplificateur. VEGABAR série 80. Document ID: 45054 Mise en service Préamplificateur VEGABAR série 80 Document ID: 45054 Table des matières Table des matières 1 À propos de ce document 1.1 Fonctions... 3 1.2 Personnes concernées... 3 1.3 Symbolique utilisée...

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire.

La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Protéger l environnement des hommes et des lieux, Contribuer à la sécurité des interventions

Plus en détail

Les Fiches de projet et leur canevas

Les Fiches de projet et leur canevas Les Fiches de projet et leur canevas République du Burundi Ministère de la Sécurité Publique Agence nationale d exécution : Fiche de Projet1 Titre du Projet : Renforcement des capacités de planification

Plus en détail

A N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21

A N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21 A N N E X E 1 Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7 Référentiel de certification page 21 - Compétences professionnelles page 21 - Connaissances associées page 55 - Unités constitutives

Plus en détail

Gestion d un chantier nucléaire

Gestion d un chantier nucléaire Gestion d un chantier nucléaire Michel TACHON CEA - Marcoule Sommaire Généralités - phases d un chantier nucléaire -organisation Prise en compte des exigences de sûreté-sécurité-radioprotection Préparation

Plus en détail

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine

Plus en détail

JALON 2009 HA-MAVL - du stockage en formation géologique profonde SOMMAIRE

JALON 2009 HA-MAVL - du stockage en formation géologique profonde SOMMAIRE Sommaire JALON 2009 HA-MAVL - du stockage en formation géologique SOMMAIRE Sommaire 3 Table des illustrations 5 Résumé 6 1. La démarche pour définir les conditions de réversibilité 8 1.1 Une démarche ouverte

Plus en détail

CONTRAT D EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE POUR CHAUDIERES MURALES

CONTRAT D EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE POUR CHAUDIERES MURALES CONTRAT D EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE POUR CHAUDIERES MURALES Entre les soussignés : OUEST DEPANNAGE ci-après dénommé le S.A.V. D une part, Et : SDC Les Zurbaines de Malakoff 9 passage du Théâtre 92240

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône.

DOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône. DOSSIER DE PRESSE L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône 17 novembre 2014 Surveiller la radioactivité dans l environnement : les attentes

Plus en détail