Modalités de financement des associations et fondations
|
|
- Ève Denis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Modalités de financement des associations et fondations Association Française des Trésoriers et Responsables d Associations (AFTA) le 13 décembre 2011
2 Plan de la présentation 1 2 Introduction... Frédéric Di Stasio, BNP Paribas Paris Associations Principes généraux du financement des associations et institutions... Frédéric Di Stasio, BNP Paribas Paris Associations Delphine Bretin, BNP Paribas Paris Associations Page 3 Page 3 3 Le leasing mobilier :... 4 Carine Garson, BNP Paribas Lease Group Le leasing immobilier : comment l utiliser?... Page 15 Page 27 Paul Fortier-Beaulieu, BNP Paribas Lease Group 5 Conclusion... Frédéric Di Stasio, BNP Paribas Paris Associations Page 42 2
3 Principes généraux du financement des associations 3
4 Financement bancaire des associations : nos constats La professionnalisation de la gestion des associations : Leur financement se rapproche de celui des entreprises, les équipes financières se sont professionnalisées. Mais la matière reste difficile (secteur hétérogène). Hétérogénéité par la taille : quelques bénévoles seulement ou plusieurs milliers de salariés. Hétérogénéité par le secteur d activité et donc par les sources de financement : cotisations et dons seulement ou 100 % financements publics. Un point commun majeur : la gouvernance et le rôle du C.A. (au moins Président et Trésorier) en plus d une éventuelle direction financière dans le dialogue avec la banque. Enjeux pour le banquier Un secteur mais des marchés Une gouvernance qui implique du temps pour décider 4
5 Financement bancaire des associations : nos constats Une faiblesse fréquente : insuffisance de fonds propres (sauf flux important de dons et legs) du fait d une culture non lucrative freinant à tort la constitution d un niveau minimum de réserves. Des perspectives d activité dépendantes de décisions politiques plus que des possibilités commerciales de marché mais nécessitant des capacités d anticipation et d adaptation équivalentes par ex. aujourd hui : Modification de l environnement médico-social (suppression des DASS, volonté d imposer regroupement des structures), Complexité des règles sociales et fiscales, Application progressive droit européen etc Enjeux pour le banquier Réserves de capital Cadre de travail «changeant» 5
6 Une recherche de financement aux motivations parfois complexes Une personne morale unique mais l association regroupe souvent des activités ou des établissements dont la gestion est différenciée, L association peut avoir la trésorerie nécessaire (si elle a des fonds propres) mais rechercher un financement : pour le faire prendre en charge par son financeur public, par pédagogie vis-à-vis des adhérents (bonne identification du coût de telle activité). 6
7 Une analyse financière spécifique Au niveau du bilan : Malgré le nouveau plan comptable, présentation des comptes très particulière : par ex.: résultats sous contrôle de tiers financeurs, fonds dédiés, subventions d investissement, fonds associatif avec ou sans droit de reprise. Conséquences de la non recherche de bénéfices : en l absence de fonds propres provenant de dons, legs (surtout associations anciennes), situation financière souvent légère. Mais le banquier doit exiger une structure équilibrée et s il doit s engager autrement qu à très court terme, un niveau de réserves en proportion avec niveau activité de l association. Risque sinon d être accusé de «légèreté fautive», même s il est confronté souvent avec l association aux incohérences des financeurs ( réduction brutale des financements, lenteurs de mise en œuvre des décisions etc ). 7
8 Une analyse financière spécifique Au niveau du compte de résultat Importance du poste salaires et charges (souvent de 60 à 75 % du budget ) De ce fait, adaptation des charges au niveau d activité : processus lent et coûteux, donc ratio important à suivre Vérifier (médico-social surtout) si possibilité de reprise de pertes par le financeur (établissements sous gestion contrôlée). Analyser répartition des produits, diversité ou non des financements, fragilité ou récurrence probable : difficile de parier sur comportement des financeurs à LT. 8
9 Les besoins de financement de l association A court terme : financement du BFR notamment en cas de financeurs publics : poste créances à recevoir important (délais de paiement longs) A long terme : financement de l investissement - Construction d un établissement nouveau - Travaux de rénovation/extension - Achat du siège 9
10 Financement du poste clients : les sujets Concerne surtout des créances sur l Etat, collectivités publiques, organismes sociaux : Le besoin de financement résulte du décalage entre le rythme des dépenses (charges de personnel notamment, càd mensuelles) et celui des encaissements (subventions, prix de journée, dotations globales, forfait enseignement) Forte amélioration récente pour certains secteurs avec facturation et règlement par télétransmission mensuelle, Mais détérioration pour d autres : délais d obtention de marchés publics, régionalisation financements et dispersion facturation. Problèmes notamment quand : Retard de signature convention ou avenant annuel, Paiement en 3 ou 4 fois par an (et non mensuel), Retard de prise en compte démarrage d une activité ou extension, Retard paiement déficit antérieur étalé sur 1 ou 2 ans. 10
11 Financement du poste clients : solution Signature d une convention cadre client-banque cf. loi Dailly Transmission bordereau cession créances (règlement domicilié à la banque) de justificatifs, certifiés par un mandataire de l association Vérification par la banque exigibilité de la créance : engagement du financeur, réalisation par l association des conditions requises : appel de fonds, rapport d activité Ceci suppose étude approfondie de la convention et du marché public et bonne connaissance des modes de fonctionnement des financeurs Notification au financeur Mise à disposition d avances totales ou partielles (cadencées en fonction des besoins de trésorerie). Suivi très précis des rentrées. 11
12 Financement du poste clients : coté clients & coté banques Pour l association : Système très bien adapté aux associations sans problème d image vis-à-vis du débiteur notifié ( entreprise), Mobilisation rapide et souple, plus facile à obtenir et moins coûteuse que le découvert. Pour la banque : Point fort : devient propriétaire de la créance et donc récupération (remboursement) même en cas de défaillance de l association, Risque : suppose que l association ait bien respecté ses engagements vis-à-vis du financeur, ce qui n est pas toujours facile à vérifier. 12
13 Financement de l investissement En théorie, toutes les solutions utilisées pour les entreprises peuvent l être par les associations : prêts à déblocage progressif, à taux variables, rythme d amortissements sur mesure, caps, swaps mais il y a des contraintes spécifiques : processus de décision : vérifier conformité aux statuts de l objet du prêt, et ce qui est prévu pour décision d emprunter et le cas échéant d octroyer des garanties (cf. + loin), (relèvent de l Assemblée Générale, du C.A., du Bureau..) autorisation préalable du Préfet si association RUP accord et exigences des tutelles si prise en charge du remboursement de l emprunt et des frais financiers 13
14 Financement de l investissement Le mode de pilotage de l association amène souvent deux conséquences : Le souci de réduire l impact de la charge annuelle de l emprunt sur le budget de fonctionnement conduit souvent la tutelle à exiger durée longue ( ans) ou très longue (30-35 ans) : difficile à gérer pour une banque par rapport à l évolution du coût de ses ressources et plus coûteux pour l association. Le souci de connaître le coût définitif de l emprunt la conduit à privilégier taux fixe au taux variable 14
15 Le leasing mobilier : Une solution pour ses investissements courants (et récurrents) 15
16 Les produits financiers : L OFFRE BNP PARIBAS LEASING SOLUTIONS 16
17 Les produits classiques Le crédit-bail C est un bail à durée irrévocable (location pour une durée déterminée) avec la possibilité pour le client d acquérir le matériel au terme de la location. C est un contrat de location d un bien à usage professionnel assorti d une promesse unilatérale de vente en fin de contrat au profit du locataire pour un prix convenu à l avance (la valeur résiduelle) le contrat est souscrit entre le client final et BPLS les fonds sont versés au vendeur du matériel à compter de la mise à disposition du matériel, le client final est ensuite prélevé de loyers Levée de l option d achat Définition Contrat de crédit-bail Loyers BPLS Règlement Facture CLIENT Choix du matériel Mise à disposition du matériel FOURNISSEUR 17
18 Les produits classiques La location Définition C est un bail à durée irrévocable sans option d achat au terme de la location. C est un contrat de location d un bien à usage professionnel sans promesse unilatérale de vente. le contrat est souscrit entre le client final et BPLS les fonds sont versés au vendeur du matériel et leur montant ne figure pas sur le contrat à compter de la mise à disposition du matériel, le client final est ensuite prélevé de loyers CLIENT Loyers Contrat de location BPLS Choix du matériel Mise à disposition du matériel Règlement Facture FOURNISSEUR 18
19 Les produits classiques Propriété du matériel Qui est propriétaire du matériel? CREDIT-BAIL LOCATION BNP PARIBAS LEASING SOLUTIONS C est un contrat de location : - le client choisit son matériel, - BPLS l achète pour son compte et le reloue ensuite, - le client peut devenir propriétaire du matériel en fin de contrat, après paiement de la valeur résiduelle. C est un contrat de location : - le client choisit son matériel, - BPLS l achète pour son compte et le reloue ensuite, - le client ne devient pas propriétaire du matériel. 19
20 Les produits classiques Durée de financement Les durées dépendent des règles fiscales et de la nature du matériel CREDIT-BAIL 36 à 84 mois 36 mois est notre durée minimale d amortissement. La durée du financement dépend de la durée d amortissement fiscal du bien financé. L administration tolère une durée inférieure de 20% à celle de l administration fiscale Durée standard : 3 à 7 ans. Se référer à la table des matériels. Il ne faut pas de sur-amortissement LOCATION 24 à 84 mois 24 mois est notre durée minimale d amortissement en location. On amortit plus vite qu en crédit-bail. Durée standard : 3 à 5 ans. Se référer à la table des matériels. Amortissement Financement 3 ans 3 ans 4 ans 3/4 ans 5 ans 4/5 ans 6/7 ans 5/6 ans 10 ans 7 ans 20
21 Les produits classiques Présentation comptable CREDIT-BAIL LOCATION Le client n est pas propriétaire. C est BPLS qui amortit le matériel. Au bilan : Pas d inscription puisque le client n est pas propriétaire du matériel (le crédit-bail apparaît en annexe 11 dans les Engagements hors bilan) Au compte de résultat : CHARGES Charges d exploitation : Loyers PRODUITS Le crédit-bail et la location étant des contrats de location, les loyers figurent avec les autres charges d exploitation (comme des frais de fonctionnement). Le loyer inscrit en charges comprend capital et intérêts et est totalement déductible (sauf exception). L administration fiscale considère le crédit-bail comme un financement et contrôle le paiement des loyers. L administration fiscale ne considère pas la location comme un mode de financement : les loyers sont considérés uniquement comme des charges de fonctionnement. 21
22 Les produits classiques La fin du contrat CREDIT-BAIL LOCATION 3 options au terme du contrat : ❶ achat pour la valeur résiduelle - elle est fixée avec le client en pourcentage du prix d origine du matériel dès le départ, - elle dépend de la durée de financement et de la valeur d occasion du matériel au terme du contrat, - son paiement rend le locataire propriétaire du matériel. ❷ restitution : le client peut nous rendre le matériel sans payer la valeur résiduelle. ❸ relocation 2 options au terme du contrat : ❶ restitution : le client doit nous rendre le matériel. ❷ relocation : avant la fin du contrat, nous proposons au client une relocation par tacite reconduction. Si le client ne reloue pas, nous nous chargeons de revendre le matériel à un tiers. A noter que la location peut être souscrite, dès le départ, avec ER, c est-à-dire Engagement de Rachat du matériel par le fournisseur à la fin du contrat. 22
23 LE CONTRAT CADRE
24 Le Contrat Cadre : Un outil souple pour un financement simple Un contrat UNIQUE permettant la mise en place d une enveloppe renouvelable tous les ans, pour financer vos investissements à votre rythme et selon vos besoins ÉVOLUTIF par simple avenant pour intégrer un nouveau besoin ALLEGEANT vos charges administratives, - Un simple avenant et une facture fournisseur acceptée par vos soins valant procès-verbal de réception pour réaliser vos financements - Un seul contrat pouvant inclure les financements de vos différents sites - Les avenants sont établis soit à votre nom, pour compte de vos différents sites, soit au nom de ceux-ci DES CONDITIONS FINANCIERES CLAIRES pouvant être établies, selon votre choix : - Selon un barème envoyé mensuellement, - A chaque demande d utilisation de votre enveloppe. - Selon un calendrier Un ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE
25 Le Contrat Cadre : un outil sécurisants Vous harmonisez les tarifications locatives de l ensemble de vos sites Vous maîtrisez les budgets d investissement de vos sites désignés au contrat En les intégrant dans votre enveloppe autorisée En leur fixant une ligne d investissement Vous déléguez en toute sécurité En désignant une ou plusieurs personnes habilitées à signer les avenants Vous préservez vos relations fournisseurs et négociez en amont vos conditions d acquisition du matériel
26 L EXPERTISE DE BNP PARIBAS Leasing Solutions A VOTRE SERVICE Vos interlocutrices : Carine GARSON Véronique FEUVRIER A tous les moments de la vie du contrat BNP PARIBAS Leasing Solutions vous accompagne pour adapter au mieux le contrat cadre à vos besoins et leurs spécificités en totale collaboration avec votre Chargé d Affaires.
27 Le leasing immobilier : Une solution alternative au crédit classique Vos interlocuteurs BNP Paribas : Paul Fortier-Beaulieu +33(0)
28 Le crédit-bail immobilier : Les Principes Opération de location immobilière, assortie d une promesse de vente des locaux loués au profit du crédit preneur : Le crédit preneur choisit librement son implantation, ses locaux et ses partenaires (architecte, entreprises de travaux ) BNP PARIBAS LEASING SOLUTIONS achète ou fait construire les locaux et les lui loue pour une durée de 8 à 15 ans (voire jusqu à 20 ans sous conditions) En fin de location (ou par anticipation), le crédit preneur devient propriétaire des locaux, moyennant un prix fixé dès le départ (le plus souvent égal à 1 en fin de contrat)
29 Le crédit-bail immobilier : Quel montage? Crédit-bailleur CBI loyer de CBI Institutions, Associations
30 LES REPONSES DU CBI
31 Préserver sa Trésorerie : Intervention sur 100% TTC y compris les honoraires, frais et taxes Financement complet La trésorerie est préservée
32 Optimiser le budget de fonctionnement : Loyers = Charges déductibles du budget de fonctionnement Des plans financiers souples et modulables = Une charge accéléré pendant la durée du contrat et/ou adapté à la trésorerie de l entreprise
33 Bénéficier de conseils d experts : Le crédit-bailleur est un professionnel de l immobilier d entreprise Une expertise : Des conseils d expert - technique, - financière, - juridique, - fiscale. Le client est suivi à chaque étape de son projet
34 Se constituer un patrimoine : Locataire pendant la durée du contrat Propriétaire à la fin du contrat en payant l option d achat Sans inscription de l immeuble à l actif du bilan (optimisation bilantielle / économie de fonds propres) Constitution d un patrimoine
35 . Tout en faisant évoluer son immeuble L évolution de l activité peut nécessiter d adapter l immeuble ou de ne plus l utiliser Financement des travaux d extension, d aménagement ou de mise aux normes Rachat anticipé Cession du crédit-bail Souslocation
36 Exemple : acquisition de bureaux ancien à Paris avec travaux Budget : frais inclus dont 3 M de travaux Objectif : charge de remboursement annuelle < à 1 M Crédit Crédit-bail immobilier Financement travaux : 7 ans 15 ans Financement acquisition : 15 ans 15 ans Frais de notaires : autofinancés inclus Valeur résiduelle : néant 15 % Progressivité : néant 1 % l an Apport (hors frais de notaires): 13 %(*) 10 % Charge de remboursement / an : 907 k 692 k Les ressources de fonctionnement sont préservées L apport (avance preneur) est rémunéré sur la durée de financement (*) 20% au total
37 Evolution dans le temps Crédit-bail Immobilier vs Crédit La charge de remboursement est lissée dans le temps + Elle suit une progression stable CBI Crédit 400 La Valeur Résiduelle peut être refinancée à l échéance ans 5 ans 7 ans 10 ans 15ans
38 Le Lease-back Immobilier Principe : le propriétaire d un immeuble à usage professionnel le vend à sa valeur de marché à un crédit-bailleur, qui lui redonne immédiatement en location dans le cadre d un contrat de créditbail immobilier, avec promesse de vente au profit du locataire. Pourquoi réaliser ce type d opération avant le 31 décembre 2012? UN AVANTAGE FISCAL si le preneur est fiscalisé La plus-value immobilière réalisée à la vente de l immeuble au crédit-bailleur peut être étalée sur toute la durée du crédit-bail (jusqu à 15 ans, par fractions annuelles constantes). Cet étalement de la plus-value de cession reste acquis au client tant qu il est titulaire du crédit-bail. L immobilier est monétisé et refinancé sur la durée du crédit-bail immobilier
39 Le Lease-back Immobilier Les avantages du Lease-back : Un coût de financement amoindri Une meilleure adéquation entre emplois / ressources Un cash flow amélioré par une dette plus longue donc des charges plus faibles L étalement de la plus-value ( 31/12/2012) si le preneur est fiscalisé Favoriser un développement serein
40 Lease-back et avance preneur L avance preneur est un prêt consenti par le preneur au crédit-bailleur avec les avantages suivants : - Apport rémunéré à des conditions attractives sur la durée du crédit-bail immobilier - Apport pouvant atteindre 35 % du financement Le cash du Lease back peut être réinjecté en avance preneur afin de piloter la charge de loyer
41 Dans quel contexte mener une opération de Lease-back? Pour dégager des liquidités : pour financer ou renforcer son besoin en fonds de roulement, pour refinancer des crédits plus courts et/ou plus chers par une dette plus longue et moins coûteuse, pour saisir des opportunités de nouveaux investissements... Pour réaliser des travaux dans son immeuble : L opération est alors complétée par le financement des travaux dans le cadre du même contrat de crédit-bail. Les droits de mutation sont à taux réduit La pleine propriété de l immeuble est acquise à la levée d option d achat
42 Contacts BNP Paribas : Centre d Affaires Paris Associations Adresse : 37-39, rue d Anjou PARIS Point d entrée : Madame Carole ZAJAC Téléphone : carole.zajac@bnpparibas.com 42
26 Contrat d assurance-vie
42 26 Contrat d assurance-vie est un contrat par lequel un assureur s engage à verser un capital en cas de vie ou de décès de l assuré, au profit du souscripteur ou d un tiers, moyennant une prime. Placement
Plus en détailC e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications
Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détailCrédit bail : traitement comptable CGNC et Norme IAS 17 Comptabilité approfondie. Chapitre 1 Chapitre 1 : Le crédit bail selon le CGNC
Plan : Chapitre 1 Chapitre 1 : Le crédit bail selon le CGNC i. Définition ii. Principes de fonctionnement iii. Types de contrats de crédit bail iv. Traitement comptable CGNC 1. L enregistrement des opérations
Plus en détailLE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES
LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.
Plus en détailLa location de son entreprise
La location de son entreprise La location-gérance permet à un dirigeant d une entreprise de mettre en location son entreprise. La location-gérance se fait pour un temps défini et permet au bailleur de
Plus en détail10 questions/10 réponses
Le crédit-bail immobilier 10 questions/10 réponses Sommaire Une solution pour financer votre immobilier à usage professionnel 1. Pourquoi recourir au crédit-bail immobilier? 2. Comment intervient le crédit-bailleur?
Plus en détailLA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011
LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?
Plus en détailCrédit Bail immobilier Fructicomi
Crédit Bail immobilier Financez votre immobilier de façon souple avec. EN BREF Le crédit-bail immobilier est une solution de financement performante dédiée intégralement à votre actif immobilier. Points
Plus en détailFinancement des investissements. CR ÉDIT- BAIL IMMOBILIER Notre solution pour financer votre immobilier à usage professionnel
entreprises Financement des investissements CR ÉDIT- BAIL IMMOBILIER Notre solution pour financer votre immobilier à usage professionnel Les caractéristiques du crédit-bail immobilier Le crédit-bail immobilier
Plus en détailCrédits. Trésorerie, Financement, Création et Rachat d entreprise... Des solutions de crédit pointues et adaptées à vos besoins!
Pour en savoir plus sur les solutions CRÉDITS du Crédit Mutuel, appelez votre conseiller au : Connaissez-vous Bail-Immo-Nord? Filiale spécialisée dans le Crédit Bail Immobilier, Bail Immo Nord vous apporte
Plus en détailLe PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé
Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes
Plus en détailINFIRMIER(E)S EN EXERCICE LIBÉRAL
INFIRMIER(E)S EN EXERCICE LIBÉRAL À VOS CÔTÉS AVEC DES OFFRES DÉDIÉES ÉTUDES INSTALLATION DÉVELOPPEMENT DE VOTRE ACTIVITÉ RETRAITE Vous avez choisi de dédier votre vie professionnelle à la santé des autres,
Plus en détailVente immobilière Mode d emploi
Vente immobilière Mode d emploi Quels documents dois-je fournir? Dès qu un accord est trouvé avec l acquéreur, je remets au notaire Les documents portant sur ma situation personnelle Si je suis un particulier
Plus en détailConjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale
L anticipation des nouvelles normes environnementales Lors de la constitution d un patrimoine immobilier à travers la création d une nouvelle SCPI, PERIAL Asset Management s efforcera de prendre en compte
Plus en détailB A R E M E T T C H O N O R A I R E S C A P I IMMOBILIER TRADITIONNEL ANCIEN
APPLICABLE A COMPTER DU 01 OCTOBRE 2014 A L EXCLUSION DU NEUF (VEFA), COMMERCES, IMMOBILIER D ENTREPRISE Centre d Affaires des Professionnels de l Immobilier SAS CAPI au capital de 100 000 - L Aéroplane
Plus en détailExamen décembre 1994
Examen décembre 1994 QUESTION REDIGEE Temps conseillé: 2 heure 30 minutes noté sur 100 points ENONCE: FRANCOTRANS SA, entreprise de transport public de marchandises, ayant l usage de 15 ensembles identiques
Plus en détailNos bureaux sont ouverts toute l année et une équipe de 8 personnes au total vous reçoit :
www.grenecheimmo.fr Le Cabinet GRENECHE Immobilier est l une des plus anciennes agences de la ville d Evian et de la région, présente dans l ensemble des activités immobilières : - ventes : traditionnellement
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailS I M O N, D A C O S T A & C A T R O U
S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U N O T A I R E S OUVERTURE DE SUCCESSION LISTE DES PIECES A FOURNIR AU NOTAIRE Concernant le défunt : - Deux extraits de son acte de décès, - Livret de famille et
Plus en détailPlan comptable des associations et fondations
Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6
Plus en détailAchat immobilier Mode d emploi
Achat immobilier Mode d emploi Acheter un bien immobilier relève souvent du parcours du combattant. Quelles précautions prendre? Rencontrez votre notaire en amont de votre projet et surtout, ne signez
Plus en détailRégime matrimonial : Votre conjoint participe-t il (elle) à votre projet : Oui Non
BUSINESS PLAN Présentation du porteur de projet et de ses associés Etat Civil Nom : Prénom : Adresse : Code postal : Ville : Téléphone : Télécopie : Portable : Date de naissance : Lieu de naissance : Nationalité
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailFAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008
SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés
Plus en détailLes Crédits et ouverture de crédit
Les Crédits et ouverture de crédit Contexte général Besoin d une nouvelle voiture, votre machine à lessiver tombe en panne ou besoin d effectuer quelques travaux dans votre maison? De grosses dépenses
Plus en détailPactivités de bureau on entend des activités principalement
Étude comparative des dispositifs de financement locatif des équipements bureautiques Au regard du coût de certains matériels et de leur rapide obsolescence, il peut être intéressant, pour les personnes
Plus en détailLe financement locatif
Équipement des entreprises Le financement locatif Crédit-bail Location financière 10 questions /10 réponses L investissement est un acte économique fondamental pour l entreprise et une des clefs de sa
Plus en détail- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :
CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE
Plus en détailCrédit à la consommation: Principes généraux
Crédit à la consommation: Principes généraux Protection du consommateur: Pour tout achat faisant appel à un crédit, vous bénéficiez de la protection prévue dans le droit de la consommation (obligation
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION
N à compléter Mise à jour : le 13/09/2007 FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION AIDE A L EQUIPEMENT DES ENTREPRISES DE MOBILISATION DES PRODUITS FORESTIERS (DISPOSITIF 123B DU PLAN DE DEVELOPPEMENT RURAL
Plus en détailSpécialiste. en location évolutive. Cap vers la performance
Spécialiste du financement en location évolutive des nouvelles technologies Cap vers la performance Une structure centrée sur la recherche de votre performance Globalease, spécialiste du financement en
Plus en détailPROPOSANT (sera le Preneur d Assurance si le contrat est souscrit)
FORMULAIRE DE DÉCLARATION DE RISQUE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNEL DE L IMMOBILIER COURTIER Nom du Cabinet Nom et prénom du représentant Email Téléphone Adresse N Type de voie Nom de la voie Code
Plus en détailLes moyens de financement du commerce international :
Les moyens de financement du commerce international : CREDIT DE PRE FINANCEMENT : C est un crédit contracter par l exportateur au prés de sa banque pendant la période de fabrication parce que les acomptes
Plus en détailMECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP)
MAPPP/12-16 FICHE : CRISTALLISATION DES TAUX MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP) Introduction Cette note examine les différentes modalités de couverture du risque
Plus en détailCOMPTES 2007-2008. 01.10.2007 au 31.12.2008
COMPTES 2007-2008 01.10.2007 au 31.12.2008 TABLE DES MATIERES PREAMBULE I COMPTES DE FONCTIONNEMENT ET COMMENTAIRES RECAPITULATION PAR NATURE ET RESULTAT 1 BILAN 4 ANNEXE AUX COMPTES 5 1 CHARGES 1000 Personnel
Plus en détailC V 1 Extrait du Plan Comptable Général
C.V Extrait du Plan Comptable Général C V 1 Extrait du Plan Comptable Général Sont reproduits les seuls comptes détaillés dans ce cours ou ceux qui nous semblent compréhensibles. Les comptes spécifiques
Plus en détailCRÉER SON ENTREPRISE AVEC L UMM
CRÉER SON ENTREPRISE AVEC L UMM PLAN DE FINANCEMENT ET D AFFECTATION Le schéma de réponse ci-après vous permettra de préciser dans la première partie, la nature et le montant de vos investissements. Dans
Plus en détailCOMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL
COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,
Plus en détailQUESTIONS / REPONSES
QUESTIONS / REPONSES Peut-on tout acheter avec un crédit personnel? Oui, dans la mesure où le montant du crédit correspond à votre besoin. Jusqu à 75000 maximum, votre prêt personnel peut répondre à tous
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE DE FINANCEMENT
Nom Prénom : Activité : Ecrivez dans les cases grises DOSSIER DE DEMANDE DE FINANCEMENT LA DEMANDE Prêt NACRE : Quel Montant? Quelle durée? Affectation? Prêt d honneur : Quel Montant? Quelle durée? Quel
Plus en détailInvestissement immobilier: la fin des SCPI?
Investissement immobilier: la fin des SCPI? La SCPI figure comme le premier véhicule structuré d investissement en immobilier. A l origine de ces investissements, des sociétés civiles se sont développées
Plus en détailLe point EURUS. Immobilier de l entreprise : Louer? Détenir? Externaliser? Démembrer?
Le point EURUS Immobilier de l entreprise : Louer? Détenir? Externaliser? Démembrer? Sommaire Le point EURUS «Immobilier de l entreprise : Louer? Détenir? Démembrer? Externaliser?» I La location 3.4 Fiscalité
Plus en détailPRÊT D HONNEUR / PRÊT NACRE DOSSIER DE DEMANDE
PRÊT D HONNEUR / PRÊT NACRE DOSSIER DE DEMANDE NOM, Prénom : Activité : Commune : Tél. personnel : Tél. entreprise : E-mail : LE DEMANDEUR NOM, Prénom : Organisme : Téléphone : E-mail : L ACCOMPAGNATEUR
Plus en détailNous présentons ici les caractéristiques communes aux deux dispositifs puis leurs spécificités à jour au 1 er septembre 2009.
Le Pass foncier Introduction Conçu par les partenaires sociaux du 1% logement et mis en place par une convention signée entre l UESL et l Etat en décembre 2006, le Pass foncier 1 est un mécanisme destiné
Plus en détailNous sommes là pour vous aider COLLECTIVITES & ENTREPRISES DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION APPEL A PROJET
Nous sommes là pour vous aider COLLECTIVITES & ENTREPRISES DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION APPEL A PROJET Cocher la case correspondant à votre situation : première demande renouvellement d une demande
Plus en détailL essentiel sur. Le crédit immobilier
L essentiel sur Le crédit immobilier Emprunter pour devenir propriétaire Le crédit immobilier est, pour la plupart des ménages, le passage obligé pour financer l achat d un bien immobilier. C est un poste
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Pour qu il y ait location d immeuble, il faut qu il y ait un «bail» Le bail est le contrat par lequel une personne (appelée le bailleur) s engage à faire jouir une autre personne
Plus en détailAPPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE
APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations
Plus en détailSalon du Crédit et de l Assurance ZA. Présentation DEMETRIS. Kinépolis, Imagibraine Braine-L Alleud, 18/02/2014
Salon du Crédit et de l Assurance ZA Présentation DEMETRIS Kinépolis, Imagibraine Braine-L Alleud, 18/02/2014 1 DEMETRIS Qui est Demetris? Demetris fait partie du groupe BNP Paribas Filiale à 100% de BNP
Plus en détailPrésentation DEMETRIS Salon du Crédit et de l Assurance ZA. 23/02/2015 - Kinepolis Imagibraine - Braine l Alleud
Présentation DEMETRIS Salon du Crédit et de l Assurance ZA 23/02/2015 - Kinepolis Imagibraine - Braine l Alleud Demetris Qui est Demetris? Demetris sa fait partie d un groupe solide, BNP Paribas Group
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION
PREFET DU LOIRET Ce dossier est à adresser DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION - Collectivités ou organisme public maître d'ouvrage - en 2 exemplaires signés au Cabinet du Préfet (dont 1 original) 1 exemplaire
Plus en détailAssociations Accompagnez les propriétaires privés dans leur déclaration de revenus
Associations Accompagnez les propriétaires privés dans leur déclaration de revenus Mode d emploi des formulaires de déclaration 2044 et 2044 Spéciale Mise à jour 2014 Chaque année, les propriétaires privés
Plus en détailOPTIM-IS ENFIN UNE BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2013
OPTIM-IS ENFIN UNE BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2013 La pression fiscale ne cesse de croître et les entreprises sont désormais touchées au même titre que les particuliers. Il y a peu de chance
Plus en détailImagine Canada États financiers
États financiers 31 décembre 2014 Table des matières Page Rapport de l auditeur indépendant 1-2 État des produits et des charges 3 État de l évolution des actifs nets 4 État de la situation financière
Plus en détailLA COMPTABILITE ASSOCIATIVE
LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?
Plus en détailSelon la charte de l expertise en évaluation immobilière, 3 ème édition Juin 2006, la valeur vénale est :
COMPAGNIE NATIONALE DES EXPERTS IMMOBILIERS * 1 Alain MANZON Expert Immobilier-Consultant JANVIER 2013 N d agrément - 1004 - Diplômé de l Enseignement Supérieur RD559 Beauvallon Guerre vieille 83310 GRIMAUD
Plus en détailCentre National d Animation et de Ressources Financement
Centre National d Animation et de Ressources Financement Répertoire des solutions de financement LES FINANCEMENTS COURT TERME Fiche 1 : La facilité de caisse... page 1 Fiche 2 : Les différentes formes
Plus en détailCOMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010
F D C N FDC COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010. ACTIF. PASSIF. RESULTAT 2 BILAN ACTIF CONSOLIDATION durée de l'exercice 12 mois Brut Am.& Prov. ACTIF IMMOBILISE Immobilisations
Plus en détailSéance du 5 décembre 2014 : avis rendus par le comité de l abus de droit fiscal commentés par l'administration (CADF/AC n 10/2014).
DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES SERVICE JURIDIQUE DE LA FISCALITE Sous-direction du contentieux des impôts des professionnels Bureau JF 2 B 86, allée de Bercy - Teledoc 944 75572 PARIS cedex
Plus en détailPlus-values immobilières des particuliers
> Fiscalité patrimoniale Fiscalité personnelle Plus-values immobilières des particuliers Abattement pour durée de détention Abattement identique pour tous les biens >> Abattement pour durée de détention
Plus en détailMicro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank
Micro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank BIM n 114-3 avril 2001 Karin BARLET Le crédit-bail ou leasing est une opération simple, pratiquée depuis longtemps dans de nombreux pays. Aujourd hui
Plus en détailQuestionnaire à renvoyer sur : contact@cabinetvallois.fr. 1- Informations sur le Proposant
Questionnaire à renvoyer sur : contact@cabinetvallois.fr 1- Informations sur le Proposant Nom : Prénom : Raison sociale : Sigle ou nom commercial : Adresse : Code postal : Commune : Téléphone : Email :
Plus en détailcréation oseo.fr Pour financer et accompagner les PME
création oseo.fr OSEO Document non contractuel Réf. : 6522-02 Janvier 2007 Pour financer et accompagner les PME création oser pour gagner! Que la création porte sur une activité traditionnelle avec un
Plus en détailLISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE
2015-1 - 1 Cette liste n'est pas exhaustive. L'Administration se réserve le droit de demander tout document complémentaire qui lui apparaîtrait nécessaire lors de l'instruction du dossier. Aucun document
Plus en détailASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants
SOCIÉTÉ CANADIENNE D HYPOTHÈQUES ET DE LOGEMENT ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants À titre d organisme national responsable de l
Plus en détailEVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET
EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET La notion de «fonds libéral», instituée par la Cour de Cassation il y a quelques années simplifie juridiquement la cession des cabinets libéraux. Auparavant, les juristes
Plus en détailFORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION
FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables
Plus en détailAujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»!
1 Aujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»! La démarche rationnelle qui vise à élaborer un projet de création ou de reprise d entreprise doit se traduire
Plus en détailPARA HÔTELLERIE & LMP/LMNP
BIENVENUE AU DOMAINE DU GRAND TOURTRE UN SÉJOUR DE VACANCES INOUBLIABLE 18 place de l Hôtel de Ville 16 210 CHALAIS Tel: +33(0)5 45 98 31 56 Fax: +33(0)5 45 98 31 55 Email: france@shelbournedevelopment.com
Plus en détailProgramme ESSEC Gestion de patrimoine
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement
Plus en détailCANEVAS DE DEMANDE DE CREDIT D INVESTISSEMENT
CANEVAS DE DEMANDE DE CREDIT D INVESTISSEMENT canevas crédit d'investissement PAGE 1/14 CANEVAS CREDIT D INVESTISSEMENT I. RENSEIGNEMENTS SUR LE PROMOTEUR 1. IDENTITE DU PROMOTEUR Nom et prénom N CIN Date
Plus en détailTable des matières. 1. Qu entend-on par là? 2. Quel est l avantage fiscal? 3. Quelles sont les règles du jeu? 4. Quelques conseils indispensables
Table des matières Partie 1 : Anticiper un investissement 1.1. Un investissement........................................... 3 1.2. Pour qui est-ce intéressant?.................................. 3 1.3.
Plus en détailL immobilier est il encore un placement intéressant? Wavre, le jeudi 03 avril 2014
L immobilier est il encore un placement intéressant? Wavre, le jeudi 03 avril 2014 SOMMAIRE Comportement de l immobilier belge Qui sommes-nous? Structure et méthodologie L investissement immobilier en
Plus en détailun logement à louer Vous cherchez Vous êtes jeunes
Vous êtes jeunes Vous cherchez un logement à louer auprès d un particulier ou d un organisme social et vous devez faire face aux premières dépenses pour entrer dans les lieux? > Des aides peuvent vous
Plus en détailLA LOCATION DE LOCAUX EQUIPES
LA LOCATION DE LOCAUX EQUIPES Un schéma d optimisation d fiscale et patrimoniale 1 place du 18 juin 1940-74940 ANNECY LE VIEUX Tél. : 04.50.23.10.40 fax : 04.50.23.39.83 Mél. : contact@agika.fr Document
Plus en détailPROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731.
PROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731.338 2 SOMMAIRE 1. Qu est-ce qu un crédit hypothécaire? 2. Qui peut
Plus en détailMa banque. Les prêts hypothécaires BCJ
Les prêts hypothécaires BCJ Ma banque Simple et avantageux, les prêts hypothécaires BCJ. Vous pensez qu il est plus avantageux d acheter son logement que de continuer à payer un loyer à fonds perdus?
Plus en détailLes financements bancaires de l exploitation et des investissements
Les financements bancaires de l exploitation et des investissements M. Daniel CHANE YOCK NAM Directeur adjoint Agence de Saint Denis Banque de la Réunion M. Olivier SAURIER Responsable de service BPI M.
Plus en détailTRANSMISSION Tirez parti des opportunités fiscales avant fin 2012
14 NOVEMBRE 2011 CCI RENNES BRETAGNE TRANSMISSION Tirez parti des opportunités fiscales avant fin 2012 14 NOVEMBRE 2011 LES INTERVENANTS Me Hervé ORHAN Me Alexandre RUDEAU Arnaud DE KERMADEC Félix JOLIVET
Plus en détailInvestissement immobilier
Association Française des Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés CGPC* *Association déclarée loi du 1 er juillet 1901 (et textes subséquents) Membre du Financial Planning Standards Board (FPSB) EXAMEN
Plus en détailOPTIM-IS LA BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2014
OPTIM-IS LA BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2014 La pression fiscale ne cesse de croître et les entreprises sont désormais touchées au même titre que les particuliers. Il y a peu de chance de voir
Plus en détailSALON DU CRÉDIT et de L ASSURANCE ZA
SALON DU CRÉDIT et de L ASSURANCE ZA PRÉSENTATION DEMETRIS Kinépolis, Imagibraine Braine-L Alleud, 19/02/2013 11 DEMETRIS Qui? Quoi? Qui est Demetris? Demetris fait partie du groupe BNP Paribas Filiale
Plus en détailfaites Pétiller vos idées
Avec Chrysalis, faites Pétiller vos idées du 6 janvier au 14 février 2014 c o n c o u r s à la création d entreprise Dossier de candidature Renseignements : Tél : 05 65 43 63 63 - Email : chrysalis@cc-decazeville-aubin.fr
Plus en détailDIFFERENTES FORMES DE LOCATION
Crédit-bail Hervé Stolowy, Professeur au Groupe HEC, expert comptable diplômé Plan de l article Différentes formes de locations Les textes Crédit-bail Location simple Cession-bail DIFFERENTES FORMES DE
Plus en détailProspectus Crédit d investissement hypothécaire
Prospectus Crédit d investissement hypothécaire ÉDITION N 1 D APPLICATION A PARTIR DU 18 AOUT 2015 Elantis, votre spécialiste du crédit hypothécaire Quels sont les buts admis? Les crédits hypothécaires
Plus en détailI. DEFINITION DE NOTRE MISSION
N/Réf. : LETTRE DE MISSION DE SURVEILLANCE Paris, le.. M.......... Cher (chère) Monsieur ou Madame, Nous vous remercions de la confiance que vous voulez bien accorder à notre Cabinet en envisageant de
Plus en détailOPTELIA INTELLIS. Nos domaines d activités
OPTELIA INTELLIS Optelia Intellis est une entreprise indépendante des constructeurs et des établissements financiers. Depuis 2004, nous sommes au service de nos partenaires et clients avec un objectif
Plus en détaille PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr
IMMOBILIER le PARCOURS de vente L acte de vente www.notaires.paris-idf.fr Le parcours de vente LʼACTE DE VENTE Toute vente immobilière doit être constatée par acte notarié. Après la signature de l avant-contrat
Plus en détailARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)
1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport
Plus en détailXXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm. Cahier 4. La sécurisation Hlm
XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm Cahier 4 La sécurisation Hlm La sécurisation Hlm en bref Extrait du «guide de la sécurisation Hlm», A.RE.COOP., mars 2008 FONCTIONNEMENT
Plus en détailLes tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse
Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité
Plus en détailLE CREDIT BAIL IMMOBILIER Février 2015
LE CREDIT BAIL IMMOBILIER Février 2015 CREDIT BAIL IMMOBILIER - Sommaire 2 DEFINITION 3 Crédit-bail 3 Différents types de crédits-bails 3 ASPECTS COMPTABLES ET FISCAUX 4 Pendant la période couverte par
Plus en détailCOMMENT FINANCER VOS INVESTISSEMENTS?
Aujourd hui, le mode de financement des équipements informatiques peut devenir un paramètre important dans la gestion d une entreprise. En effet, plusieurs formules sont offertes : achat sur fonds propres
Plus en détailLes moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie
Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie Les entreprises industrielles s appuient régulièrement sur des moyens de financement autres que les fonds propres, afin de développer
Plus en détailDEMANDE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE
CAISSE DE PENSIONS DE LA FONCTION PUBLIQUE DU CANTON DE NEUCHÂTEL RUE DU PONT 23 CH 2300 LA CHAUX-DE-FONDS DEMANDE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE Données personnelles - Données de l objet Plan financier Veuillez
Plus en détail1. Censure constitutionnelle de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus CEHR
Information Rappel : Cette newsletter a pour objectif d attirer votre attention sur des points d actualité, des nouvelles dispositions légales et des lacunes éventuelles dans votre exploitation sur lesquelles
Plus en détailLa Colocation mode d emploi
04-236 MCE 8 pages colocation V 26/04/06 10:42 Page 2 Dessins : Gérard Gautier - Création et réalisation : Esprit Graphique F. Fullenwarth - Impression : www.hautsdevilaine.com g La Colocation mode d emploi
Plus en détail