«Impact de la décentralisation sur les politiques familiales et sociales dans les départements»
|
|
- Joseph St-Arnaud
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intervention de Jean-Louis SANCHEZ «Impact de la décentralisation sur les politiques familiales et sociales dans les départements» I. L observatoire National de l action sociale décentralisée Cette Institution, peu connue, tient pourtant une place exceptionnelle dans le paysage français, dans la mesure où elle constitue l une des rares structures indépendantes d évaluation des politiques publiques. Celle-ci a fait des choix très exigeants lors de sa création en 1990 : le choix de l œcuménisme politique, l indépendance à l égard des courants institutionnels tout en regroupant l ensemble des forces et le choix d un budget volontairement limité à 1 million d euros dont le financement est quadripartite. Elle regroupe, dix ans après sa création, la quasi-totalité des départements, l ensemble des communes de France, tous les organismes de protection sociale et les grandes associations nationales. Elle est la seule Institution financée chaque année par l Assemblée Nationale. Compte tenu de cette diversité de partenaires, l Observatoire National de l Action Sociale Décentralisée est contraint à adopter un regard impartial sur la problématique sociale. II. Le contexte actuel La France, malgré son immense potentiel, s est un peu endormie parce que nous n avons pas su expliciter aux citoyens que la question sociale changeait de nature. La précarité économique est certes inquiétante tant elle n est plus le fait de quelques-uns. Mais, deux autres formes de précarité le sont tout autant. La précarité relationnelle Sur ce point, la pudeur tient à de l enfermement. La valorisation constante de la consommation fait que nous ne nous occupons plus suffisamment de nos voisins et collègues. Le service public s endort dans une logique de métiers, en opposition à une logique de mission. Certaines administrations ont même évolué vers une logique de loisirs, ce qui pose problème quant à la pertinence du service public. La précarité identitaire Celle-ci se nourrit de la précarité relationnelle. Nos enfants sont aujourd hui en danger, non pas du fait de la précarité économique, mais du fait de l absence de repères, d identité et de perspective. Or, ce problème ne se traite pas par l intervention publique. Il relève de la société entière. La question des personnes âgées en constitue un deuxième exemple. La France est l un des rares pays à considérer la vieillesse comme une faiblesse et non comme une force. Et le processus de vieillissement s accompagne d un processus d isolement. Chacun se sent aujourd hui concerné par l exclusion, mais nous n osons ni le dire ni agir en conséquence. Il faut pourtant intégrer cette problématique dans notre raisonnement quotidien, dans une quête de survie et d épanouissement individuel. Face à cette nouvelle question sociale apparaît le besoin d une nouvelle réponse sociale. Cette dernière repose sur une solidarité de droit. Et à ce titre, je salue les progrès sociaux réalisés ces dernières années avec l apparition de la CMU, de
2 l APA ou de la nouvelle prestation pour les personnes handicapées qui participent au contrat social et au vivre ensemble ; mais cela ne suffit pas. Notre solidarité de droit doit, de manière urgente, s enrichir d une solidarité d implication. Nous devons faire preuve tous de vigilance vis-à-vis des autres et agir dans le domaine de la solidarité. III. Vers une solidarité d implication Cette solidarité d implication nécessite une intervention publique différente et doit évoluer d une action sociale vers un développement social. Le public de l action sociale n est plus le public marginal des années 70. Aujourd hui, toute la société est en danger. Nous ne pouvons donc plus nous contenter de réponses sectorisées et sociales. Il nous faut désormais faire en sorte que l ensemble des politiques publiques concourent au bien social qu elles soient éducatives, culturelles, sportives, d urbanisme ou d habitat. Ceci n est pas une utopie. La dernière enquête réalisée auprès des Maires de France le prouvent : ceux-ci sont aujourd hui disponibles pour utiliser l ensemble des leviers à leur disposition comme des leviers d actions sociales pour répondre à la détresse qu ils perçoivent souvent plus facilement que d autres acteurs politiques. 1. L action sociale, pilier du développement social Mais dans ce combat, l action sociale doit rester le levier du développement social. En effet, il n est pas possible de réaliser un diagnostic social sans connaître la détresse des gens. Les statistiques ne peuvent être décryptées sans le concours de tous les professionnels du secteur social. Et face aux grands constructeurs qui proposent de construire des maisons de retraite pour faire face au vieillissement de la population, je rétorque que la génération actuellement vieillissante aime la liberté et l autonomie ; les gens resteront chez eux jusqu aux derniers instants de leur vie. A mon sens, la crise des EPAD est imminente et pour éviter de créer des ghettos de personnes âgées, nous devons envisager une nouvelle forme d habitat, intermédiaire entre habitat individuel et habitat collectif. L action sociale connaît la détresse, mais elle a également une éthique sans laquelle les habitants ne pourront être impliqués dans le développement social. Ceci étant, le travail social doit se remettre en question. 2. La place du bénévolat Aux côtés des politiques publiques et de l action sociale, la question du mouvement associatif et du bénévolat doit être traitée. En effet, la reconstruction de l action sociale dans un concept de développement social ne peut se faire qu avec le concours du mouvement associatif, pensé comme un mouvement qui exprime des valeurs et montre son attachement au bénévolat. Or, je crains que le mouvement associatif ait parfois pêché par excès de professionnalisation, ne laissant plus la place à l expression des bénévoles. Il est indispensable de reconquérir le terrain du bénévolat et des valeurs. Mais le bénévolat de militance se fait rare, à l inverse du bénévolat de consommation qui lui, se porte bien. Il faut donc le reconstruire autour de l organisation d une architecture du bénévolat impliquant les collectivités locales pour qu elles fassent naître une multitude d espaces de bénévoles dans les services publics et les associations familiales. Or, pour donner envie d être bénévole, il faut solliciter quotidiennement les citoyens. Et le mouvement associatif doit accueillir les nouveaux bénévoles autour de valeurs tant le besoin de retrouver un sens est prégnant.
3 Le mouvement associatif doit ouvrir le débat de l interdépendance et de l autonomie. Peut-on penser pouvoir construire une vie autonome sans la contribution des autres? Comment réussir? Nous avons aujourd hui la possibilité, en France, d avancer dans la voie d un retour aux sources de la solidarité : la solidarité du quotidien, familiale, du respect et de l entraide. Mais il faut faire le pari de la décentralisation. IV. Le pari de la décentralisation La décentralisation n est pas seulement un moyen d optimiser la réponse publique, c est aussi un outil de démocratisation. Elle rapproche la décision du citoyen, sans pour autant générer plus d inégalités. Au contraire, la décentralisation les a réduites de 30% à 40% dans la plupart des segments de politique sociale. Ceci est notamment vrai pour les personnes handicapées et les personnes âgées ainsi que pour la protection de l enfance. Du fait du rapport de proximité entre élus et habitants, les élus sont contraints à agir. La proximité régule parfois mieux que la norme, surtout lorsque la norme est inflationniste. Mais aujourd hui, on est en train de faire des départements des outils de gestion administrative alors que nous attendions les départements dans un positionnement beaucoup plus stratégique, beaucoup plus démocratique, notamment vis-à-vis du mouvement associatif. Je crains que cette disponibilité vers vous que l on attendait des départements se ternisse dans l avenir du fait de cette difficulté majeure. Mais je voudrais être précis. Il faut se méfier en France de notre tendance à croire que les réformes d organisation vont régler les problèmes. Nombreux sont ceux qui parlent aujourd hui d un acte III de la décentralisation. Ségolène Royal voulait que ce soit les régions. Du côté de Nicolas Sarkozy, on entend parler beaucoup d intercommunalités. Je pense qu il faut faire très attention parce qu à force d organiser, on ne s occupe plus des problèmes des gens. Or, il faut d abord penser à leurs problèmes. C est pour cela que, lorsque je parle d un échec de la décentralisation du RMI, ce n est pas pour la remettre en question, mais c est surtout pour rediscuter de son mode de financement, comme celui de l allocation de l APA, et comme celui de l allocation de l APCH. Il faut que ces financements redeviennent des financements nationaux parce que les problèmes de péréquation ne règlent rien ; on détourne par la complexité quelque chose qui pourrait être réglé directement par l Etat. En revanche, que les départements soient beaucoup plus impliqués dans le RMI me paraît être une bonne chose. C est là où l on voit que le bilan de la décentralisation est effectivement un bon bilan. Très honnêtement, il fallait essayer de mettre en œuvre plus efficacement le problème de la contractualisation des bénéficiaires de minima sociaux. Il est vrai que de nombreuses familles pauvres, dans ce pays, se lèvent tous les matins pour aller travailler et constatent que les bénéficiaires de minima sociaux vivent parfois plus facilement que d autres. L intérêt d avoir uniformisé l intervention sur le RMI fait que la contractualisation des bénéficiaires du RMI a été multipliée par trois depuis la décentralisation du RMI. Un rapport récent de l UNIOPSS l a d ailleurs confirmé. Mais d autre part, je vous assure qu il est très étonnant de voir les initiatives se multiplier au niveau local pour essayer de trouver de nouvelles réponses pour que les bénéficiaires du RMI aient une activité. C est pour cela que je pense que ce n est pas franchement, aujourd hui, la question
4 de revenir en arrière. En revanche, il faut repenser la question du financement. Sur l école, il est clair que, si nous sommes courageux, nous devons nous attaquer à la tendance de l école à la fermeture. L école devrait être en France l espace privilégié de socialisation, non simplement des enfants mais également des familles. Je suis de ceux qui prônent qu il y ait, dans chaque école, un club intergénérationnel, où les gens du quartier vont aider les enfants et, ce faisant, reçoivent une aide de la part des enfants. Je vais prendre un seul exemple : le journal de l action sociale parlait d une action de soutien scolaire dans une école. Comme l histoire était bien racontée, j ai appelé la directrice de la maison de retraite et je lui ai demandé pourquoi elle avait fait du soutien scolaire dans l école. Elle m a répondu en toute franchise : «Monsieur Sanchez, je l ai fait parce que je n avais plus de client et je voulais donner une image de modernité à ma maison de retraite». Et elle a ajouté : «Mais il s est passé quelque chose de miraculeux. On ne pensait pas que les personnes dépendantes participeraient au soutien scolaire parce qu on considérait qu elles étaient perdues. Or elles s y sont mises. Elles sont parfois les personnes qui sont le plus demandées par les enfants». Cela fonctionne tellement bien qu ils ont été obligés de ne faire qu une séance, un mercredi sur deux, parce que les enfants étaient trop nombreux. Les personnels ne voient plus les personnes âgées comme des malades mais comme des personnes. La collectivité fonctionne globalement beaucoup mieux. Elle m a dit : «J étais partie d une démarche de communication, et je suis bouleversée par l influence qu a eue cette pénétration d enfants sur le fonctionnement de la maison de retraite» et, c est moi qui le dit, sur la tonicité du lien social dans la maison de retraite. Je pose une question à tout le monde : «pourquoi n y a-t-il pas dans toutes les maisons de retraite de France du soutien scolaire?» Voilà une note d espoir : nous pourrions si nous le voulions transformer le rapport à la fraternité. V. Les rapports des collectivités locales entre-elles et avec le mouvement associatif Les collectivités locales entre-elles doivent passer du stade de la défiance au stade de la confiance. Depuis 15 ans, le scénario en vigueur désespère les militants associatifs. En obtenant une subvention de la commune, celle du Conseil Général n est généralement pas versée, et vice-versa. Il faut - par un partenariat de connaissances - parvenir à un diagnostic commun entre les différentes collectivités territoriales et les organismes de l action sociale. Le partenariat de complaisance doit laisser place à un partenariat de conviction, ce qui nécessite peut-être de clarifier le rôle de chacun. L ODAS va s y employer, les 6 et 7 juillet, en montrant que les villes doivent être avant tout les constructeurs du vivre ensemble en utilisant l ensemble des leviers à leur disposition. Les départements doivent, par ailleurs, être reconnus dans leur responsabilité fondamentale vis-à-vis des publics défavorisés et admettre, par exemple, que les enfants ne doivent pas être pris en charge lorsqu ils sont déjà dans un processus de désintégration mais en amont, ce qui nécessite l appui constant des Maires. Dans l affaire d Angers, tout le monde a fait son métier, mais dans une logique de métier et non de mission. Les habitants savaient eux aussi, mais leur indifférence a constitué la première source de maltraitance des enfants concernés. Ainsi, il convient de repenser le rapport de tous les habitants aux efforts de solidarité
5 en direction des enfants, des personnes âgées et de tous ceux qui sont privés du lien à l emploi. Il faut également que les collectivités locales reconnaissent le mouvement associatif dans sa dimension de partenaire, apte à apporter une lecture différente, et pas seulement dans sa dimension de prestataire de services. Je crois qu il est aujourd hui nécessaire d ouvrir un débat sur la responsabilité universelle de la France. La France est un pays dont le monde entier attend les signes qui la réconcilie avec l espoir de croire encore que l avenir de l homme ne sera pas fait que de barbarie mais de valeurs des encyclopédistes. La responsabilité universelle implique une responsabilité nationale. Comment les enfants issus de l immigration pourraient-ils aimer la France si notre pays ne s aime pas, n aime pas les anciens et ne fait pas de la diversité de l âge une force plutôt qu une faiblesse? Le 19 ème siècle fut un siècle de liberté, et le 20 ème siècle un siècle d égalité. Faisons ensemble du 21 ème siècle un siècle de fraternité!
Bonsoir, Mesdames et Messieurs,
Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailGarth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailPAS SI DUR QUE ÇA! * La super chaussure qui donne envie de faire du sport! Flash basket*
COMMENCER LE SPORT PAS SI DUR QUE ÇA! * La super chaussure qui donne envie de faire du sport! Flash basket* La sédentarité liée à nos modes de vie participe à une augmentation de risques pour la santé
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détailTÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire
TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire Démarche sur l aide financière aux participantes Marie-Lourdes Pas beaucoup d argent pour tout ce qu il faut
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailUn atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes
Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la
Plus en détailMISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA
MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes
Plus en détailLA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?
LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailAssemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA
Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Bonjour à toutes et à tous, Merci d être présents nombreux pour cette 20 ème assemblée générale. Créée en 1994, par des militants
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détailVolume 1 Numéro 2 Février 2009
Volume 1 Numéro 2 Février 2009 Sommaire Lancement du concours Je prends ma place...1 Lancement du concours Je prends ma place Entrevue avec Annie Patenaude, lauréate 2008...2 En collaboration avec le Secrétariat
Plus en détail1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE
ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailDROIT, BONHEUR ET CONSTITUTION
DROIT, BONHEUR ET CONSTITUTION de François ROUX, Chef du bureau de la défense, Tribunal Pénal International pour le Liban J ai quitté hier un pays dans lequel je vis depuis quelques mois, et dont les deux
Plus en détailNOUVEAU TEST DE PLACEMENT. Niveau A1
NOUVEAU TEST DE PLACEMENT Compréhension écrite et structure de la langue Pour chaque question, choisissez la bonne réponse parmi les lettres A, B, C et D. Ne répondez pas au hasard ; passez à la question
Plus en détailUNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer
MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social
Plus en détailLe premier Coup de Gueule de la saison A la recherche des équipements du volleyeur marquettois.
Tu n as toujours pas rendu ton équipement (maillot et short) de la saison passée!!! Mais comment je vais m entraîner si je n ai plus le short du club.?? Le premier Coup de Gueule de la saison A la recherche
Plus en détailDans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche
ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la
Plus en détailDiscours d Anne Hidalgo, Maire de Paris
Discours d Anne Hidalgo, Maire de Paris Seul le prononcé fait foi Mes cher(e)s collègues, Dimanche, les Parisiens m ont fait confiance pour être la première femme maire de Paris. Ce choix m'honore et m'oblige.
Plus en détailRemise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ----------
Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ---------- Cher David Lasfargue, Mesdames, Messieurs, C est toujours un honneur et un plaisir pour un Ambassadeur
Plus en détailDossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,
Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous
Plus en détail1 von 5 07.05.2013 11:59. Vie numérique Dimanche5 mai 2013
1 von 5 07.05.2013 11:59 Vie numérique Dimanche5 mai 2013 Par Propos recueillis par Mehdi Atmani «Je pars en guerre contre le Big Data» Le préposé fédéral à la protection des données et à la transparence,
Plus en détailHier, Mathilde rencontrer son professeur. A pu A pue. Les animaux.malades pendant une courte période. Sont été Ont été Sont étés
Hier, Mathilde rencontrer son professeur. A pu A pue Les animaux.malades pendant une courte période. Sont été Ont été Sont étés Le facteur.le paquet à la vieille dame. Est monté A monté Marie 7 ans la
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailIntroduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015
NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détail26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général
26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement
Plus en détailen parle débats en magasin bien vieillir chez soi : cela se prépare! PARIS-BEAUBOURG 07 septembre 2006
MAISon en parle débats en magasin bien vieillir chez soi : cela se prépare! MAISon PARIS-BEAUBOURG 07 septembre 2006 Leroy Merlin Source réunit des chercheurs, des enseignants et des profession- en parle
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailLancement du Budget Participatif 2015
Dossier de presse Lancement du Budget Participatif 2015 Mardi 13 janvier Contact presse : Quitterie Lemasson / presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 1 Sommaire Edito d Anne Hidalgo 3 Bilan de l édition 2014
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détail8.6. Tableau synthétique présentant les principales caractéristiques des salariés de GAZ rencontrés
8.6. Tableau synthétique présentant les principales caractéristiques des salariés de GAZ rencontrés Salarié Age Statut Diplôme de GAZ Responsable exploitation 51 Cadre (depuis 2004) Animateur sécurité
Plus en détailIDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M
IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M La loi de la protection de l enfance La loi du 5 mars 2007 insiste sur la prévention et confie au Président du Conseil Général le soin d organiser,
Plus en détailLa transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio
Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailLe diagnostic Partagé,
Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase
Plus en détailLES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE?
LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE? Anne CHATAURET Volet Interfaçage QU EST-CE QU UNE PLATEFORME INITIATIVE? 2 Les «Plateformes
Plus en détailRapport de fin de séjour Mobilité en formation :
Rapport de fin de séjour Mobilité en formation : A. Vie pratique : J ai effectué mon Master 1 de droit public en Erasmus à Copenhague d août 2009 à fin mai 2010. Logement : Accès au logement : J ai pu
Plus en détailPACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE
PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large
Plus en détailObjet : POLITIQUE D ACCUEIL DES CHERCHEURS, ÉTUDIANTS ET STAGIAIRES EN RECHERCHE
Objet : POLITIQUE D ACCUEIL DES CHERCHEURS, ÉTUDIANTS ET STAGIAIRES EN RECHERCHE Direction émettrice: Qualité, Mission universitaire et Ressources Informationnelles Q-18 Page 1 de 5 Champ d application
Plus en détailL Economie Sociale et Solidaire
1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES
Plus en détailBusinessHIGHLIGHT L EXPÉRIENCE CLIENT : Inspirer. n 1022011 .../... UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER SOMMAIRE L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT
BusinessHIGHLIGHT Inspirer L EXPÉRIENCE CLIENT : UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT SOMMAIRE L apparition de l expérience client Notre définition de l expérience
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL SUR LES RÉGIMES DE RETRAITE PRIVÉS DU MINISTÈRE DES FINANCES (JANVIER 2009)
RÉPONSE DU SYNDICAT CANADIEN DES COMMUNICATIONS, DE L ÉNERGIE ET DU PAPIER au DOCUMENT DE TRAVAIL SUR LES RÉGIMES DE RETRAITE PRIVÉS DU MINISTÈRE DES FINANCES (JANVIER 2009) «Renforcer le cadre législative
Plus en détailCours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»
«LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du
Plus en détailJe veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant. Texte de la comédie musicale. Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques
Je veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant Texte de la comédie musicale Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques Les Serruriers Magiques 2013 2 Sommaire Intentions, adaptations, Droits
Plus en détailConseil Diocésain de Solidarité et de la Diaconie. 27 juin 2015. «Partager l essentiel» Le partage est un élément vital.
27 juin 2015 Le partage est un élément vital. Notre démarche Notre chemin Dans un premier temps, nous sommes partis de mots qui expriment ce qui est essentiel pour nous, indispensable pour bien vivre.
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA
ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement
Plus en détailCommission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI
35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте
Plus en détailBanque aurait dû travailler seule et prendre des mesures beaucoup plus drastiques pour contrer cette poussée inflationniste.
Propos tenus par M. Rundheersing Bheenick, Gouverneur de la Banque de Maurice, lors de la conférence de presse, au lendemain de la réunion du Comité de Politique Monétaire du 28 mars 2011 Le but de cette
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailBTS (brevet de technicien supérieur) DUT (diplôme universitaire de technologie) Filière santé (médecine, pharmacie, sage-femme, dentaire)
Un BTS ou un DUT, une prépa ou une université, ou bien une école spécialisée? Choisir son orientation après le bac n'est pas toujours facile. Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous proposons quelques
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailCRT Picardie. Enquête auprès des acteurs du tourisme
CRT Picardie Enquête auprès des acteurs du tourisme 1 Votre entreprise ou structure / organisme institutionnel Votre nom : Votre titre : Votre e-mail : (pour pourvoir vous envoyer le résultat de l enquête)
Plus en détailBilan de mission. Au collège : «Les clés de la culture»
Bilan de mission Au collège : «Les clés de la culture» La co-intervention en 6 e La formation des Assistants pédagogiques Dans le R.A.R. : Accompagner le projet «chorale» par l histoire Histoire de Montpellier
Plus en détail23. Les mutations de l investissement
23. Les mutations de l investissement Le Cercle des économistes présente sa Déclaration finale. Il s agira de discuter ses propositions afin de dégager les grandes transformations nécessaires pour inventer
Plus en détailMonsieur le Préfet, j ai porté une grande attention sur le chapitre relatif à la sauvegarde de l emploi et au développement économique.
Question de M. Michel PETIT, Conseiller Général du canton de Beaumetz-les-Loges, Président du groupe Union@ction.62, à M. Denis ROBIN, Préfet du Pas-de-Calais, sur les mesures en matière de soutien à l
Plus en détailPortrait de Femme Meryem Benotmane SSM
Portrait de Femme Meryem Benotmane SSM Etre un homme ou une femme ne fait pas grande différence au fond au regard du projet. Ce qui importe c est l investissement de chacun et la richesse des collaborations.
Plus en détailLe Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens!
Le Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens! Daniel est un étudiant de quatrième année en génie minier à l Université de la Colombie-Britannique. Il aimerait travailler pour
Plus en détailsatisfaction client Relation client : satisfaction? fidélisation?
Relation client : satisfaction? fidélisation? Un pilier fondamental de la GRC : la satisfaction client La gestion de la relation client Les missions de l entreprise Créer de la valeur pour les clients
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailLe dispositif de la maladie imputable au service
LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au
Plus en détail«Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle coopératif»
Conférence de M. Claude Quintin Présentée lors de la journée de mobilisation et de consultation sous le thème; «Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap
LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailGuide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1. En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER +
Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1 En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER + Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 2 LEADER + Qu est-ce que c est? Liaison
Plus en détailIl y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à
Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses
Plus en détailMaison du droit et de la médiation www.ville-stains.fr
www.ville-stains.fr SOMMAIRE page 4 INFORMATION ET ORIENTATION page 6 ACCES AU DROIT page 8 AIDE AUX VICTIMES page 10 MEDIATION page 12 ECRIVAIN PUBLIC page 14 LEXIQUE + NOS PARTENAIRES EDITO Pour la Municipalité,
Plus en détaille Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs
LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel
Plus en détailCompte rendu : Bourse Explora Sup
Compte rendu : Bourse Explora Sup J ai effectué un stage d un mois et demi passionnant au sein de l école de langue anglaise LTC à Brighton. J ai eu par la suite la chance d être embauchée durant un mois
Plus en détailDiscours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie
Philippe MARTIN, Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Paris, le jeudi 6 février 2014 Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie
Plus en détailAssises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détailDiscours introductif du directeur du département. Mesdames Messieurs les professeurs, Mesdames Messieurs, Cher collègues, cher étudiants
CP du 18 février 2013 Etaient présents: voir feuille de présence ci jointe Discours introductif du directeur du département. Mesdames Messieurs les professeurs, Mesdames Messieurs, Cher collègues, cher
Plus en détail13 Quelle est l église du Nouveau Testament?
DU NOUVEAU TESTAMENT? 169 13 Quelle est l église du Nouveau Testament? Ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres (Rm 12.5). Par
Plus en détailATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle Projet d Appui Institutionnel
Plus en détailUne augmentation des prix du foncier et de l immobilier mais un secteur encore attractif
Deuxième rencontre de l observatoire de l habitat Drôme des Collines Jeudi 16 octobre 2008 à Margès Une demi-journée annuelle sur l habitat, consacrée aux personnes âgées. Le 16 octobre s est tenue la
Plus en détailGuide Confiance en soi
Guide Confiance en soi Phase Être en relation avec soi Guide.Confiance-juillet 2014.doc 27-07-14 Ce document, créé par ÉCOUTE TON CORPS, est destiné pour votre usage personnel seulement. Seuls nos diplômés
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailSéminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité»
Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité» Organisé dans le cadre du IX Congrès International des Villes Educatrices Le Mercredi 13 septembre 2006 A l Ecole Normale
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailau service de chacun!
Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou
Plus en détailLe Cloud et le Big Data annoncent le retour en grâce de la donnée consommateur
Le Cloud et le Big Data annoncent le retour en grâce de la donnée consommateur Better connections. Better results. Livre Blanc Acxiom Le Cloud et le Big Data annoncent le retour en grâce de la donnée consommateur
Plus en détailLa gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies
La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale
Plus en détailLA MAISON DE POUPEE DE PETRONELLA DUNOIS
LA MAISON DE POUPEE DE PETRONELLA DUNOIS Je suis une poupée dans une maison de poupée. Un jour j ai quitté mari et enfants, pourquoi? je ne sais plus très bien. À peine le portail s était-il refermé derrière
Plus en détailStage à la Société Générale Ingénierie Financière. Note de Prise de Recul
Stage à la Société Générale Ingénierie Financière Note de Prise de Recul I. Rôle et Missions Assignés a. Description de l environnement de travail Au cours de mon stage, je travaille au sein du département
Plus en détail3 thèses : Problématique :
LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience
Plus en détailAGIR ENSEMBLE POUR VOUS, PARTOUT
AGIR ENSEMBLE POUR VOUS, PARTOUT Deux grands acteurs de proximité s associent pour vous simplifier la vie. Tout près de chez vous. 2 LES CCAS/CIAS Plus de 7 500 Centres Communaux ou Intercommunaux d Action
Plus en détailLa Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011
+ La Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011 Présentation Cheikh Sow (Anthropologue au CLAP Sud-Ouest) et Mehdi Hazgui (Sociologue- Consultant)
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailPOLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY
POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler
Plus en détail