Espoirs et défis de la coopération

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1 DOSSIER Pour beaucoup de malgaches, les initiatives locales et internationales de coopération au développement constituent une ultime initiative de surpasser la crise politique et la situation économique difficiles de l île. De l appui social et technique aux collectivités locales, en passant par le développement d entreprises à finalité socioéconomiqe, les actions de solidarité permettent à Madagascar de garder espoir. Madagascar, Espoirs et défis de la coopération A ussi vaste que la France et le Benelux réunis, Madagascar est la quatrième plus grande île au monde. Situé à 400 kilomètres de la côte orientale de l Afrique, ce territoire reste isolé du reste du continent africain. Ce confinement relatif lui confère, à lui et ses 19 millions d habitants, une extrême richesse en diversité biologique et culturelle. En apparence, l île cumule à elle seule tous les superlatifs. Mais derrière cette description flatteuse, Madagascar connaît une situation socioéconomique critique. e revenu moyen par tête d habitant plafonne à 989 $ (contre $ pour la Belgique) ; 70% de la population malgache vit en dessous du seuil de pauvreté ; 49% des enfants de moins de cinq ans sont atteints de malnutrition ; le taux de mortalité infantile et maternelle est incroyablement élevé et l espérance de vie est inférieure à 60 ans. es défis d amélioration des conditions de vie sont donc immenses et concernent l ensemble du pays. Face à ce sombre constat, l Etat mal- 1 gache semble dépourvu de moyens d actions, et ce, malgré de profondes réformes institutionnelles, notamment au niveau de la poursuite du processus de décentralisation engagé depuis En 2005, les autorités ont lancé une réforme ambitieuse associant les logiques de décentralisation et de déconcentration. Malheureusement, le conflit politique majeur qui a éclaté en janvier 2009 et la situation de transition que connaît actuellement la Grande Ile ont relégué au second plan les initiatives porteuses de développement et de bonne gouvernance. Un crise sans précédent De violentes manifestations et émeutes opposant les partisans du maire d Antananarivo, Andry Rajoelina, aux partisans de Marc Ravalomanana, Président de l île depuis 2002, ont secoué le pays. Environ 135 personnes sont mortes durant ces violences, soit lors de débordements, soit sous les coups de la garde présidentielle. Une action de l armée tente de porter le maire de la capitale à la tête de l île, mais les opposants des anciens présidents continuent à se livrer à un jeu d échec politique qui enfonce Ma- ES DOSSIERS D ISF Photo : Finanarantsoa, capitale de la région de Haute Matsiatra - A. Picavet dagascar dans une crise dont personne ne perçoit l issue. Cette lutte a entraîné la suspension des aides économiques de la communauté internationale (UE, BM, FMI, PNUD) en attendant de nouvelles élections et le retour à l ordre constitutionnel. Si quelques institutions locales et la société civile continuent de bénéficier des soutiens des bailleurs de fonds, l Etat lui doit arrêter ses grands programmes nationaux. es conséquences sont immédiates : baisse du taux de croissance (-3,7% en 2009), dépréciation de la monnaie, hausse des prix intérieurs (+9,8% en 2009), augmentation du chômage et de l insécurité. C est dans ce contexte difficile qu ISF reçoit une demande croissante d appuis de la part d acteurs malgaches. Ces sollicitations s inscrivant dans les différents programmes d action d ISF (Offre de Services, Assainissement, ), plusieurs projets de collaboration sont en train de naître. Ce dossier vous propose de découvrir Madagascar au travers d actions de membres et futurs partenaires d ISF Par G.M. & J.A.

2 Renouer le fil entre acteurs locaux et internationaux Depuis mars 2009, Madagascar est plongée dans une crise politique majeure acculant le pays dans une situation économique et sociale désastreuses. es acteurs locaux et étrangers sont dépourvus de moyens et peinent à coordonner leurs actions pour rétablir les services de base aux populations. Quelques associations locales subsistent pour les appuyer dans cette étape indispensable pour relancer l économie du pays. a population malgache est confrontée à une situation économique et sociale désastreuse. Depuis 2009, plusieurs partenaires techniques et financiers (PTF) ont, soit quitté le pays, soit arrêté momentanément leurs activités d appui au développement de Madagascar, en attendant le retour à l ordre constitutionnel. Cette situation a des impacts sur les acquis de la coopération internationale depuis plusieurs années d activités. En effet, tout est à recommencer pour retrouver le niveau d avancement de mars Dans le domaine de l appui au processus de décentralisation à Madagascar, en particulier, le transfert financier prévu par les lois de finances 2009, au bénéfice des régions, a été interrompu ; le Fonds de Développement ocal qui devait servir de levier pour augmenter les capacités financières et d investissements des communes a été privé de l aide des principaux bailleurs de fonds (Banque mondiale, UE, Suisse, etc.) et a réduit ses apports à un strict minimum. Heureusement, quelques PTF subsistent et restent actifs en s engageant dans un vaste programme d harmonisation et de consolidation des outils d appui aux communes, comme le guide d élaboration de budget, en collaboration étroite avec le Ministère de l Aménagement du Territoire et de Décentralisation. Par ailleurs, deux grands ateliers sur la coopération décentralisée ont été organisés en 2010 par le Ministère de la décentralisation et France Volontaires, l un axé sur l accompagnement des collectivités territoriales décentralisées dans leurs initiatives de développement l autre sur la présentations des impacts positifs des actions de coopération décentralisé en temps de crise politique. En effet, pour certaines localités, la présence des actions de coopération a contribué à amortir les effets néfastes de «l absence de l Etat». Dans le cas contraire, les habitants seraient tombés dans une situation désastreuse. Au niveau du ministère, il a été institué une Commission Nationale de la Coopération Décentralisée (CNCD), dont l enjeu majeur est de renforcer capacités et rôles des Collectivités Territoriales Décentralisées (CTD) dans la gestion, le développement et l aménagement de leurs territoires respectifs, de promouvoir et accompagner les initiatives des CTD malgaches dans la recherche de partenariats avec les CTD extérieures. Risques et opportunités des partenariats Nord-Sud Malgré des avancées significatives, la coopération décentralisée entre CTD du Nord et du Sud est toujours à TERRITOIRE ET DEVEOPPEMENT sens unique. es CTD du Nord sont perçues comme bailleurs et les CTD malgaches sont quémandeuses de fonds. es aspects échange de savoirfaire et enrichissement mutuel entre les deux partenaires sont quasi absents, de même qu au niveau de l assistance technique du Nord, perçue comme porteuse de toutes les connaissances visà-vis de la localité où elle est présente. Ce positionnement biaise le partenariat et ne contribue guère au renforcement des compétences locales et entraîne une dépendance. Il existe toutefois très peu de consortium d ONG Nord et Sud qui mettent en œuvre conjointement un programme de développement à Madagascar. Une des raisons est le peu d intérêt des acteurs Nord en général pour le développement des capacités en milieu urbain au profit du développement technique rural. Relever ces défis constitue les principales orientations pour l avenir de la coopération malgache Aimé François Jaony Territoire et Développement, organisation non gouvernementale (ONG) de nationalité malgache, a vu le jour en Elle est le fruit d une accumulation d expériences, en Europe et en Afrique, dans le domaine du développement local et de l appui au processus de décentralisation. T&D œuvre pour le co-développement, les échanges et la coopération entre les acteurs (Nord-Sud et Sud-Sud) comme source d enrichissement mutuel des actions menées au service des populations locales. T&D a comme mission d accompagner les initiatives des collectivités et société civile locales pour le développement de leur territoire dans le respect des valeurs socioculturelles des populations. Son objectif principal consiste à renforcer les capacités des acteurs locaux à concevoir et à mettre en œuvre des programmes et des actions de développement local en cohérence avec la politique de déconcentration et de décentralisation à Madagascar. Plus d informations sur ou par à terrdev@moov.mg E S D O S S I E R S D I S F 2

3 DOSSIER Vingt ans après, retour d un ingénieur sur le canal En octobre dernier, un ingénieur d ISF s est rendu sur la côte est de Madagascar afin d effectuer une mission d identification des besoins des habitants vivant le long d une partie du canal des Pangalanes. Récit d un homme qui connaît bien la région puisqu il y a déjà travaillé vingt ans auparavant. e demi-cylindre de métal brille sous le soleil de Mananjary. Atelier de Construction Navale qu il abrite y fait la sieste depuis «Vous venez rouvrir le chantier, Monsieur?» Ces mots prononcés en août 2006 par le gardien de ce bâtiment atypique ont depuis fait leur chemin dans ma tête. Et pourquoi pas? Ces lieux, je les ai connus pleins de vie, d enthousiasme, de compétences. Des barges, des pousseurs, des pirogues descendaient régulièrement et majestueusement le slipway menant au canal des Pangalanes, 500 mètres en contrebas. De Toamasina à Manakaravoie cette voie d eau de 600 kilomètres parallèle à l océan Indien n en n est parfois séparé que de quelques mètres, mais il offre un chemin tellement plus sûr, à l abri de ses puissants rouleaux de vagues, de ses courants et de ses vents muables en cyclones qui régulièrement balaient la côte Est de Madagascar. Ce canal, le général Gallieni en a ordonné les titanesques travaux en 1901 : plus de dix années pour relier entre eux lacs, lagunes et cours d eau afin d assurer une navigation continue, grignotée dans un empire végétal, alternant forêts primaires et mangroves où se mêlent bois de rose, ébène, ravenala, pandanus, raphias... Une vie au long fleuve tranquille? Dans les années 80, un effort de réhabilitation largement financé par des institutions internationales fut centré sur la portion nord du canal. Il a permis l installation de ports fluviaux, d un chantier naval, d une flottille de bateaux et de structures publiques d entretien et d exploitation. Jeune ingénieur en service civil, je fus témoin et modeste acteur dans cette ambitieuse tentative de renaissance. e retournement politique de 1995 en a sonné le glas et placé depuis cette région en léthargie. Arrêt des constructions, des dragages et des struc- 3 Chantier naval de Mananjary, côte-est de Madagascar tures d exploitation. e canal s ensable, les bâtiments s effritent, les arbres replantent leurs racines dans le lit du canal. Mais les besoins de la population n ont pas changé pour autant. Ce fil d eau est souvent le seul accès à des dizaines de villages, pour des centaines de pêcheurs et d agriculteurs. Ici pour vendre un poisson ou troquer des produits issus des ressources et de l artisanat local, il faut marcher ou pagayer, parfois longtemps. e potentiel commercial est non négligeable et la nature n est pas avare dans cette région : outre les produits de pêche, on trouve litchis, poivre, cannelle, girofle, café Il ne manque que les moyens de les convoyer vers les marchés. De fil en aiguille, de Google en Chaka, quatre années se sont écoulées et la question du gardien a trouvé un écho : une association de piroguiers de Manakara nous a demandé un appui à leur dynamique de développement tournée vers les villages du canal entre Manakara et Mananjary. es premiers contacts évoquent des besoins en eau potable et en énergie, en ES DOSSIERS D ISF Photo M. Joie transport et embarcations, en pontons, matériels de pêche et agricoles pour une communauté de quinze villages dispersés sur 130 kilomètres, soit vingt mille personnes. association est jeune, légitime et motivée. es projets sont accessibles, mais nombreux, trop nombreux. Rencontrer les acteurs et comprendre de plus près les réalités du terrain est la première démarche à effectuer. Retour aux sources Me voilà de retour dans la capitale, Antananarivo, Tana pour les locaux, puis dans la région du canal des Pangalanes pour une mission d identification de projet avec différents acteurs locaux. association Canal-Evasion, par exemple, vise à sortir ces villages de l oubli en même temps que de leur précarité, en soutenant leur développement par l organisation de prestations touristiques mélange d aventure, de nature et de rencontres culturelles. es rémunérations générées par les visites sont reversées à des groupements de pêcheurs ou d agriculteurs que l association appuie dans

4 Carnet de bord la mise en place de projets de développement local. es quelques jours prévus avec Sylvain, directeur de l association Canal Evasion, et son équipe ont un triple objectif : identification des besoins essentiels exprimés par les villages du canal, évaluation de l état de la voie d eau et de sa navigabilité entre Manakara et Mananjary, évaluation de l association et de sa légitimité régionale comme partenaire potentiel d ISF. Aller chercher ces réponses est une aventure en soi : deux jours de route depuis Tana pour rallier la côte, quatre jours de pirogue avec pour seuls moteurs cinq paires de biceps pour pagayer ou porter la pirogue en basses eaux, trois nuits de bivouac sous la Croix du Sud. Ces cent trente kilomètres durement gagnés par nos piroguiers m ont donné la dimension de l isolement quotidien des villages visités. Ce n est pas tous les jours qu un «vazaha», l étranger version malgache, se déplace jusque dans leur case centrale, la «trano be» ou grande maison, pour leur demander comment ils vivent, avec quelles difficultés. Ça mérite une grande réunion, notables en tête, discours et échanges colorés. Des neuf villages visités et questionnés, il ressort des besoins homogènes et conformes aux premiers échos reçus de Canal Evasion : accès à l eau et à l énergie pour communiquer et réfrigérer, du transport vers les villages voisins et les villes de marché qui offrent aussi les structures sanitaires les plus proches. Mais une demande constante, qui n avait pas fait surface auparavant, concerne la disponibilité d une maison communautaire, suffisamment grande et solide, pour abriter les habitants lors des alertes cycloniques. e pas- sage d Hubert, meurtrier cyclone de mars 2009, a laissé des plaies encore ouvertes. «e canal maudit» introduction dans les villages aurait été mission impossible sans le concours de Sylvain, charismatique sociologue partageant les racines et le destin des gens rencontrés. Son association est connue et appréciée des villageois. Elle présente un solide vecteur de communication vers les communautés dispersées. a navigabilité ne pose pas de problème majeur pour une modeste pirogue de 7 mètres comme la nôtre. a largeur du canal, à de rares exceptions, permet à deux embarcations de se croiser. a hauteur libre n est que rarement entravée par des obstacles aériens. e tirant d eau réduit présente les difficultés principales : il nous a forcés à débarquer et pousser ou porter à trois endroits : 10 kilomètres après le départ, 10 kilomètres avant d arriver, et pile-poil au milieu du trajet, dans une zone surnommée «canal maudit» tant l étroitesse, l ensablement et la densité de végétation semblent de connivence pour repousser le visiteur. Forcer ce verrou demanderait logistique et énergie, mais sa situation n empêche pas les échanges sur des zones de 60 kilomètres autour de Manakara et de Mananjary, les principaux marchés régionaux. Je quitte mes piroguiers à Mananjary, à l endroit où le canal s élargit et permet une navigation motorisée. C est là que j ai finalement rendez-vous pour visiter le chantier naval endormi. J y constate que le bâtiment est remarquablement conservé, que les outils de barges et pousseurs sont toujours là, et qu à ma grande surprise il y a encore un contremaître et quelques ouvriers mobilisables. es compétences ne sont donc pas totalement perdues. Après une mémorable «chasse aux moules» dans les rizières environnantes, nous parvenons à rassembler suffisamment de ces «outils» pour reproduire en fibre de verre les plus petites pirogues, celles adaptées au gabarit du canal que je viens de parcourir. Ce qu il ressort de cette première mission concrétise les besoins des villages en services essentiels comme l eau, l électricité ou encore la protection contre les intempéries. a route fluviale, nécessaire pour les étudier et les assouvir, est praticable moyennant deux interventions ponctuelles d envergure raisonnable. Ce sera sans doute le challenge d un futur projet : équiper cette voie de quelques pirogues utilitaires pour raviver les compétences d une structure de production locale génératrice d emploi. Nous avons un navigateur pour ce projet. En prendrons-nous la barre? Michel Joie E S D O S S I E R S D I S F 4

5 CA BOUGE! Alternatives solidaires de développement socio-économique à Madagascar e Rapport Mondial sur le Développement Humain des Nations Unies place Madagascar à la 135 e place des pays les plus développés sur 174. e constat est sans appel, la situation économique de l île, victime de crises successives, peine à se redresser. économie malgache, comme dans beaucoup de pays en voie de développement, repose essentiellement sur l agriculture. activité industrielle y est peu développée et se limite à la transformation des produits agricoles, la production textile, les verreries ou encore les engrais et produits pharmaceutiques. Moribonde, elle est principalement localisée dans les villes d Antananarivo, de Majunga et de Tamatave (principal port commercial), où les friches industrielles et sites autrefois florissants sont laissés à l abandon. Certains acteurs avec lesquels collabore ISF, travaillent d arrache-pied pour redresser ces fleurons économiques ou lancer des alternatives de développement local. e Relais, ou l économie au service d un développement solidaire e Relais, membre du mouvement Emmaus, est un groupement d'entreprise à but socioéconomique créé il y a maintenant 25 ans. 'objectif principal est de mettre à profit l'outil économique et le contexte de mondialisation pour un modèle de développement qui soit à la fois durable pour l environnement et les communautés humaines. Actuellement, une vingtaine de Relais existent à travers la France, employant plus de 1500 personnes, et ayant essaimé depuis 2002 au Burkina Faso, au Sénégal et à Madagascar. Ce dernier groupement a commencé en 2008, dans la ville de Fianarantsoa, par l'ouverture d'un centre de tri textile destiné à générer de l'emploi pour des personnes exclues de la place du travail et ainsi leur redonner un avenir avec un métier. e Relais n'est ni une entreprise classique, ni une ONG, de par son souhait de ne pas chercher de subventions, ni de consacrer les bénéfices à d éventuels «actionnaires». En effet, l'économie d'entreprise repose sur son autofinancement de par la bonne gestion des activités dont les fruits sont réinvestis pour développer des nouveaux projets et éviter l'assistanat récurrent des politiques de développement habituelles. De plus, la participation des salariés dans la gestion de l entreprise au travers de réunions générales transparentes et d un plan de mise en place d activités de formations et sportives font partie de la politique qui a entre autre permis à une caisse de mutuelle santé et de micro-crédit gérées par les salariés de voir le jour. En deux mots, l expérience du Relais constitue une démarche expérimentale de construction sociétale et économique plus juste et efficace humainement, tournée vers le changement par l'exemple. uc Ronssin QUEQUES PROJETS e projet SOATAO Tout a commencé par la reprise de l'usine de construction automobile Karenjy à l'arrêt depuis 15 ans. 'année 2010 a permis la remise en route de l'outil industriel et la formation des équipes, et, les 10 premiers véhicules vendus. Une centaine d autres doivent être assemblés sur les deux prochaines années, sur la base d'un châssis mécanosoudé, d'une carrosserie en fibres de verre ainsi que l'électricité, capitonnage et sellerie faits localement. 'objectif, à terme, est la production d'un concept-car Concept-car «made in Mada» sortie des usines de Karenjy - Photo. Ronssin de niche pour le marché africain. e projet GASH'MAY e travail a constitué en la mise en route et la gestion d un atelier de confection textile, orienté haute-couture et créations uniques, à partir des "déchets textiles" récupérés au centre de tri. e public a très bien accueilli les défilés et la boutique écoule rapidement les créations réalisées par les couturières. 5 E S D O S S I E R S D I S F

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