LA MISE EN PLACE D UNE BANQUE DE DEVELOPPEMENT EST-ELLE LA SOLUTION A LA PROBLEMATIQUE DU FINANCEMENT DE L ECONOMIE MALAGASY?

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1 LA MISE EN PLACE D UNE BANQUE DE DEVELOPPEMENT EST-ELLE LA SOLUTION A LA PROBLEMATIQUE DU FINANCEMENT DE L ECONOMIE MALAGASY? Dr Amélie VONINIRINA Juillet 2014 Economiste en Chef

2 Plan de la présentation Présentation de la problématique Bref aperçu du système financier malagasy Revue de littérature Présentation de la méthode utilisée Résultats empiriques Propositions de stratégie pour améliorer le financement de l économie malagasy

3 PROBLEMATIQUE

4 CONTEXTE DEUX TENDANCES CONTRADICTOIRES : 1. Hausse constante des crédits bancaires à l économie : 84% et 89% des crédits CT en 2011 et 2012, et 65.24% et 61.66% des crédits à MLT 2. Faible profondeur (crédit bancaire au secteur privé/pib) du système financier malagasy : crédit au secteur privé/pib : 11% - actifs des banques/pib : 13,7% en 2011

5 PROBLEMATIQUE DU FINANCEMENT DE L ECONOMIE MALAGASY : La mise en place d une banque de développement est-elle soutenable? Quelle est la stratégie de financement adéquate pour l économie malagasy?

6 BREF APERCU DU SYSTÈME FINANCIER MALAGASY

7 BREF APERCU DU SYSTÈME FINANCIER MALAGASY Prédominance du secteur bancaire : 94,7% des bilans, 96,8% de dépôts, 92,5% de crédits et 92,1% de résultats nets.

8 EVOLUTION DU SYSTÈME BANCAIRE

9 Ressources ESSENTIELLEMENT DEPOTS DE LA CLIENTELE DEPOT A VUE : 80,8% au 31 décembre 2012 RESSOURCES A TERME : 40,2%.

10 Crédits octroyés Crédits à CT dont les parts représentent respectivement % et 54,38% en décembre 2011 et décembre 2012; 46,45% et 45,12% de crédits à MLT sur la même période

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13 2. Accès des entreprises aux services bancaires Comptes bancaires : 99% et près de 95% respectivement des grandes et moyennes entreprises 93% des petites entreprises. Accès au crédit bancaire : 28% des grandes entreprises et près de 27% des moyennes entreprises 15% des petites entreprises

14 Garanties exigées : Proportions 97.6% des crédits aux petites entreprises (81,4% ASS) 75.5% et 89.4% pour les moyennes et grandes entreprises (ASS : 75,5% et 89,4%). Montants entre 90.7% du montant du crédit (petites entreprises) et 123.2% (moyennes entreprises) ASS : >170%

15 Contribution à l emploi des entreprises selon leur taille : Volume d emplois : Petites entreprises : 16,48% Moyennes entreprises : 23.82% Grandes entreprises (65.91%) Création d emplois : Petites entreprises : 45.43% Moyennes entreprises : 28,32% Grandes entreprises : 26,25%

16 Revue de littérature

17 Gerschenkron (1962) : premier à attribuer un rôle développementaliste aux activités des banques en tant qu instrument de développement (exemple de la Russie du 19è siècle), Banque de développement : pallier aux lacunes des banques privées (Stiglitz, 1993; Yeyati, Micco and Panizza 2005 ), Banque de développement : soutien politique (La Porta, Lopezde-Silanes et Shleifer, 2002), Impact négatif des banques de développement sur le développement du système financier et de la croissance économique à LT (Barth, Caprio et Levine, 2001), etc.

18 PRESENTATION DE LA METHODE UTILISEE

19 Concepts et Définitions Efficience (Farell 1957) Efficience technique : capacité de l entreprise à obtenir un maximum d output pour un niveau donné d input; Efficience allocative (de prix) : capacité de l entreprise à utiliser les entrées (ou inputs) dans des proportions optimales étant donné leur prix respectif. Frontière d efficience : Est construite à partir de points dont la frontière est déterminée par des unités de décisions (decision making units ou DMU) efficientes au sens de Pareto. DMU : Est responsable du contrôle du processus de production et de la prise de décision à tous les niveaux incluant l opération quotidienne, la tactique à court terme et la stratégie à long terme.

20 Banque de développement (publique) : Une banque ou une institution financière dont 30% au moins des actions appartiennent à l Etat qui a reçu un mandat juridique explicit d'atteindre les objectifs socioéconomiques dans la région, secteur ou segment de marché particulier (in Luna-Martinez et Vicente, 2012). Dans la définition de la Banque mondiale (2011), la proportion des actions appartenant à l Etat s élève à 50% (adoptée dans la présente étude).

21 L efficience technique = efficience technique pure et en efficience d échelle efficience technique pure : capacité d une entreprise à optimiser sa production pour un niveau donné d'intrants et, symétriquement, à minimiser ses consommations en ressources pour un niveau donné de production.

22 Efficience d'échelle :permet de rapporter la mesure de l'efficience technique aux rendements d'échelle obtenus pour les niveaux d activité optimaux. Une entreprise est inefficace d'échelle si sa situation initiale est caractérisée par des rendements d'échelle croissants ou décroissants

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25 Max ( Sous contrainte : m n + r=1 s r + k=1 s k ) p j=1 λ j. y kj s + k = y ki (k= 1..n) p j=1 λ j x rj + s r = θx ri (r = 1..m) Une unité j fait partie de l ensemble de référence de l unité i sous étude si et seulement si j i et que j 0. La performance d une DMU est efficiente si et seulement si θ = 1 et s r = s k + = 0. λ j, s k +, s r 0 s k + et s r représentent les excès d input et les déficits d output. λ j est le facteur de pondération de l unité j.

26 Les variables Variables d entrée La propriété étatique des banques (GB) dans le système bancaire; La proportion de crédits exigeant des garanties (COLLAT); La marge d intérêt (SPREAD). Variables de sortie Le taux de croissance du PIB (GDPGROWTH) ; Le crédit bancaire au secteur privé /PIB (PRIVC).

27 Des variables de contrôle comme le taux de croissance du PIB par tête initial (IGDPCAPGROWTH), l inflation mesurée par le taux d inflation moyen (AVERAGEINFL)

28 Résultats empiriques

29 Résultats empiriques

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35 Propositions de stratégies pour améliorer le financement de l économie à Madagascar : grandes lignes

36 Scénario 1 : Mise en place d une banque de développement Le capital social 50% à 100% étatique. Sources de financement i) les transferts de l Etat central, ii) iii) iv) des revenus de l Etat provenant de l exploration de pétrole, de charbon et d autres ressources minières, les redevances et impôts de celles-ci, des fonds du public, des activités de crédit ou de gestion de la banque, v) et éventuellement d emprunts sur les marchés financiers.

37 Mission : i) financer des projets économiquement ou socialement rentables pour le pays, non éligibles au financement des bailleurs de fonds étrangers, ii) soutenir les petites et moyennes entreprises en leur offrant des services financiers et de gestion adaptés à leurs besoins : d octroi de crédit, conseil, gestion financière, formation, etc. Secteurs ciblés : Suivant critères définis dans la mission Modalités d intervention : Prêter directement aux clients finals ou passer par d autres intermédiaires financiers. La durée des crédits octroyés : Long terme

38 Subvention des taux d intérêts et/ou garantie des crédits Défis liés à l instauration d une banque de développement Souci de rentabilité des opérations; Caractère contraignant de la règlementation bancaire : ratios prudentiels Asymétrie de l information lors de l octroi de crédit; Intervention de la politique dans les décisions

39 Scénario 2 : création d un fonds souverain = fonds d investissements publics : trois critères principaux : i) gérés ou contrôlés par un gouvernement national ; ii) gèrent des actifs financiers dans une logique de long terme ; iii) leur politique d investissement vise à atteindre des objectifs précis, (épargne intergénérationnelle, diversification du PIB, ou lissage de l activité). Bref rappel de l historique des fonds souverains dans le monde première génération : ceux apparus dans les pays du Golfe (Emirats Arabes Unis, Koweït, Qatar), en Norvège et au Canada; Seconde génération : fonds d investissement de la Chine et de la Russie ; Troisième génération : ceux qui seront créés par des pays émergents ou de nouvelles puissances disposant d excédents structurels en de matières premières.

40 Quelques exemples de fonds souverains en Afrique subsaharienne Actifs gérés par les fonds souverains d Afrique : 2% en 2012 a) Le Pula Fund du Botswana (1994) : 6,9 milliards d USD b) Le Fundo Soberano de Angola (FSDEA) (2012) : 5 milliards d USD c) Le fonds souverain d investissement stratégique du Sénégal : (FONSIS) (2012) : 1 milliard d USD Les arguments en faveur de la mise en place d un fonds souverain à Madagascar Existence de nombreuses ressources naturelles == sources de financement du développement

41 Les avantages et les défis soulevés par les fonds souverains Investir les revenus provenant des ressources naturelles au profit des générations présentes et futures; Rehausser le niveau technologique du pays par l établissement de partenariats industriels et faciliter l accès à des marchés étrangers. Cibles : a) secteurs stratégiques pour le pays b) secteurs qui ne sont pas profitables pour le privé Exemples : énergies renouvelables, industries extractives, agriculture, renforcement des fonds de garantie existants, infrastructures, écotourisme.

42 Avantages et défis : Gestion ne nécessite pas le déploiement de moyens importants, Grande liberté dans la sélection des actifs considérés appropriés pour l investissement. Rentabilité des opérations, Interférence de l Etat dans la gouvernance du fonds, Le manque de transparence = contrôle du Parlement, diffusion du niveau d information adéquat au public pas seulement àl Etat

43 Conclusion et Recommandations 1. Mise en place d une banque de développement : une solution mais pas une panacée pour résoudre tous les problèmes de financement, 2. Deux scénarios de stratégie de financement : mise en place d une banque de développement et/ou d un fonds souverain 3. Politique financière : un volet de la politique économique = définition des grandes orientations, des objectifs, des secteurs prioritaires, des modes de financement de l économie, etc. 4. Bonne gouvernance des fonds 5. Transparence des stratégies et de la gestion

44 MISAOTRA TOMPOKO

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