ONCO-GÉRIATRIE et CHIRURGIE DIGESTIVE
|
|
- Hervé Vinet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GÉNÉRALITÉS (Re)placer la chirurgie digestive dans la réflexion onco-gériatrique Avant au siècle dernier: La chirugie digestive existait avant l onco-gériatrie Le chirurgien opérait des sujets âgés depuis longtemps Le but était parfois de les guérir lorsque la chirurgie résumait le traitement du cancer Dns le cas contraire la chirurgie était dite «palliative» ou de «propreté» Aujourd hui au XXIème siècle 2 évolutions La chirurgie ne résume plus le traitement des cancers digestifs place de la chimiothérapie et de la radiothérapie On prend en compte la morbi-mortalité post-opératoire par une approche pré-opératoire multidisciplinaire
2 GÉNÉRALITÉS (Re)placer la chirurgie digestive dans la réflexion onco-gériatrique concept de stratégie thérapeutique = approche globale et multidisciplinaire. La chirurgie ne résume plus le traitement du cancer Sa place doit être évaluée avec ses conséquences sur les suites opératoires et l état général du patient: État général État cognitif et sensoriel État nutritionnel État fonctionnel
3 Stratégie pluri-disciplinaire - de multiples questions En cas de Prise en charge chirurgicale seule Pb du bilan pré-opératoire et d évaluer les conséquences d un geste sur le patient âgé Comorbidités ne résument pas le risque chez le sujet âgé En cas de Stratégie radio ou radio/chimiothérapie préopératoire ( néo-adjuvant) Quel impact sur le patient âgé? Quelles conséquences sur le geste chirurgical qui suivra En cas de Stratégie de chimiothérapie post-opératoire Quel état post-chirurgical pour évaluer l indication d une chimio Quel type de chimio? Quelle impact sur le patient âgé
4 Un Pronostic du cancer digestif chez le sujé âgé? NON : Des pronostics.. La rapidité évolutive d un cancer digestif détermine beaucoup le type de prise en charge Les cancers colo-rectaux ont un pronostic suffisamment bon pour pour pouvoir les protocoles multimodaux Les cancers du pancréas ou estomac sont plus problématiques ( stades avancés, rapidité évolutive chirurgie plus lourde)
5 SERIE PERSONNELLE Base de reflexion par une approche non spécialiste de la chirurgie digestive chez le sujet âgé Revue rétrospective des patients de plus de 80 ans opérés d un cancer digestif entre 2012 et patients 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Répartition par tranche d'âge 64% 22% 12% ans plus Répartition par tranche d'âge
6 SERIE PERSONNELLE Types de Cancer 9.60% 6% 3% 12% 74% colon estomac foie vb pancreas grele %age Chir réglée /urgente 19.35% 80.65% chir reglée chir en urgence
7 SERIE PERSONNELLE Pourcentage de suites simples troublées compliquées 3.00% 16.60% 80.00% suites simples Dc post-op Complications
8 SERIE PERSONNELLE 70% 60% 64% Répartition par tranche d'âge 50% 40% 30% 20% 10% 22% 12% Répartition par tranche d'âge 0% ans plus
9 SERIE PERSONNELLE CO-MORBIDITES
10 SERIE PERSONNELLE 34% ont plus de 85 ans Prédominance féminine Prépondérance des cancers colo-rectaux Incidence des cancers vus en urgence augmente avec l âge Co-morbidité et score ASA Co-morbidités variées Cardiologiques rythmiques ischémiques Insullfisance cardiaque palce des anticoagulants Neurologiques: antecedents d AVC : Pneumologiques vasculaires EP, Endocrinien ( thyroide Insuf renale Rhumato.. État nutritionnel Influence des chirurgie palliatives sur les suites
11 Résultats ONCO-GÉRIATRIE et CHIRURGIE DIGESTIVE Bonne prise en compte du sujet âgé dans l analyse des comorbidités et du risque opératoire mais QUE les comorbidités dommage.. Déficit d évaluation des effets à moyen et long terme sur le patient au delà de la période peri-opératoire Évaluation trop exclusivement chirurgicale Prise en compte insuffisante de l âge dans les choix stratégiques médico-chirurgicaux
12 ONCOGERIATRIE ET CANCER DIGESTIFS 3 phases: Avant-Pendant-Après la chirurgie Évaluation avant tout traitment pour réflechir aux stratégies à la lumière d une évaluation onco-gériatrique Reflexion de prise en charge spécifique du sujet agé dans la phase chirurgicale s apparente au contrôle des comorbidités mais aussi à La prise en compte du concept de fragilité Evaluation ou reevaluation avant tout traitement adjuvant tenant compte Du pronostic De la contrainte du traitement proposé 4 ème Phase: Evaluation onco-gériatrique des suites apres traitement des patients de retour dans leur environnement
13 ONCOGERIATRIE AVANT LE TRAITEMENT DU CANCER Dépistage avec le G8 Place de la consultation d onco-gériatrie qui à partir du PPS saura donner une évaluation globales du parcours de soins et des différents risques
14 ONCOGERIATRIE PENDANT LA PHASE CHIRURGICALE gestion du geste opératoire Adaptation des choix thérapeutiques au risque Prise en compte préventivement et en post-op des risques Place du Fast Track ( RRAC)
15 ONCOGERIATRIE APRES LA CHIRURGIE Appréciation des possibilités d un traitement complémentaire Evaluation bénéfice-risque Intérêt d une réévaluation onco-g
16 ONCOGERIATRIE EN FIN DE TRAITEMENT peu ou pas d évaluation sur le retour à domicile
17 Concept de fragilité et Chirurgie Digestive Quels aspects de cette spécialité peuvent entrainer des conséquences notables dans cette approche? ( critères de FRAIL?) Fatigue? En pré-opératoire evaluation des conséquences probable d un geste lourd»l œil du maquignon» Résistance? Incidence des durées opératoires ( hypothermie,variations hémodynamiques per-op, decollements des meso, trauma SNA, vagal, troisieme secteur) Types de resection intestinale, conséquences sur le transit, Ambulation? type d incision, stomies, douleur post-op Illness Retentissement des comorbidités associées au stress chirugical Loss(Perte) de poids Fatigue, cicatrisation, asthénie dénutrition immuno dénutrition
18 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance (ADLet IADL) Vie sociale Médicaments Fonctions sensorielles Thymie cognition Equilibre et marche Co-morbidités
19 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance ( IADL et ADL): relation indirecte entre chirurgie et dépendance Altérations cognitives post-opératoires Syndrome confusionnel transitoire(reversible) Aggravation d un état cognitif dèjà altéré Incidence post-opératoire des troubles de transit Conséquences d un trouble de la continence Prise en charge d une stomie ( place de l aidant)
20 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance Vie sociale Peu d effet direct Seul problème d une Stomie +++
21 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance Vie sociale Médicaments Aucune intéraction ( malabsorption des gastrectomies? Pas spécifiques de l âge)
22 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance Vie sociale Médicaments Fonctions sensorielles Pas d intéraction majeure en chirurgie digestive
23 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance Vie sociale Médicaments Fonctions sensorielles Thymie cognition Pas d interaction spécifique sur le syndrome dépressif plus que toute autre chirurgie Gestion du syndrome confusionnel post-opératoire +++ Altération cognitive ; syndrome de glissement
24 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance Vie sociale Médicaments Fonctions sensorielles Thymie cognition Equilibre et marche Impotence liée à une laparotomie+++coelio+++ Facteurs intercurrents de l état de la paroi abdominale ( éventration; hernie volumineuse ) Intéraction avec surpoids et pb rhumato
25 Concept de fragilité et chirurgie digestive Les critères de l EGS étant Dépendance Vie sociale Médicaments Fonctions sensorielles Thymie cognition Equilibre et marche Co-morbidités : Gestion pré et per-opératoire Rôle essentiel de l anesthésiste++
26 Concept de fragilité et récupération rapide après chirurgie La RRAC prend en compte beaucoup des critères de la fragilité
27 PRINCIPES DE LA RRAC
28 PRINCIPES GENERAUX DE LA RRAC Approche multidisciplinaire (Kehlet 1995) Travail de sensibilisation pré-opératoire auprès du patient Travail auprès des équipes de soignant Sensibilisation de toute la chaine de prise en charge du patient ( de l ASH à l infirmière en passant par le kiné la dieteticienne)
29 PRINCIPES et BUTS de la RRAC Ils repose sur la combinaison entre: une diminution de la durée du jeûne l absence de préparation colique et la chirurgie laparoscopique, l analgésie péridurale, une diminution des apports liquidiens périopératoires la réalimentation précoce et la mobilisation rapide des patients
30 BUTS de la RRAC réduire la douleur et les différentes dysfonctions organiques induites par le stress chirurgical. diminuer le temps d hospitalisation à 2-3 jours après la chirurgie colo-rectale ouverte. faciliter le rétablissement et le confort des patients diminuer la morbidité, la durée d hospitalisation et les coûts
31 PRINCIPES DE LA RRAC-Organisationnels excellente collaboration conjointe du chirurgien, de l anesthésiste et d'une équipe infirmière formée. l'élément le plus important reste un patient: motivé bien informé avant l'opération du programme de réhabilitation qu il suivra.
32 PRINCIPES DE LA RRAC -Organisationnels certains critères doivent être respectés avant le retour à domicile des patients: - - les douleurs doivent être contrôlées par une antalgie simple - - le patient doit se réalimenter normalement - - le patient doit retrouver son autonomie physique
33 PRINCIPES DE LA RRAC -Organisationnels IMPORTANCE d avoir un réseau social adapté et un suivi clinique disponible, les patients peuvent rentrer à domicile 2 à 4 jours après chirurgie colorectale. Dans ces conditions, la chirurgie Fast Track n'augmente ni les complications ni le taux de réadmission.
34 PRINCIPES DE LA RRAC aspect nutritionnel Importance de la nutrition pre- et post-opératoire 2 aspects: Charge en hydrates de carbone en pré-opératoire Précocité de la réalimentaion en post-opératoire alimentaion orale précoce Alimentation entérale précoce
35 PRINCIPES DE LA RRAC aspect nutritionnel Charge en hydrates de carbone préopératoire Le jeûne préopératoire est remis en question. Son but initial est de prévenir le risque d inhalation àl induction anesthésique. Études récentes mettent en avant un bénéfice à l administration jusque dans l heure avant l anesthésie de boissons riches en hydrates de carbone (eau sucrée sans lipides) permettant une diminution des complications, de l inconfort du patient préopératoire, une préservation de la masse musculaire, une diminution du risque de nausées vomissements, par réduction des mécanismes d insulinorésistance postopératoire.
36 PRINCIPES DE LA RRAC aspect nutritionnel QUE SIGNIFIE LA RÉALIMENTATION PRÉCOCE EN CHIRURGIE DIGESTIVE? Réalimentation postopératoire précoce données expérimentales et cliniques ont démontré :diminution du risque de fistule anastomotique [5-6]. méta-analyse (plus de 4000 patients) pas de bénéfice à une aspiration nasogastrique systématique en postopératoire [7]. Une renutrition précoce après chirurgie prévient une augmentation de la perméabilité muqueuse intestinale, permet une balance azotée positive, augmente lesapports caloriques globaux et réduit le taux de complications infectieuses [8,9]., deux méta-analyses : tendance à une amélioration des suites dans le groupe précoce notamment sur le taux de complications et la durée d hospitalisation
37 Alimentation orale précoce PRINCIPES DE LA RRAC aspect nutritionnel L alimentation orale précoce après chirurgie sous méso-colique a été démontrée comme faisable et sûre,réduisant le risque infectieux et la durée moyenne d hospitalisation [12,13], mieux tolérée après laparoscopie car moins de manipulations intestinales( non démontré?) Peu de données concernant la réalimentation orale précoce après chirurgie du tube digestif supérieur. Réalimentation dans les 48h après gastrectomie =pas d augmentation de la morbidité et baisse de la durée d hospitalisation. faisabilité et intérêt sur la diminution des complications après hépatectomie. Compléments oraux dans la phase postopératoire: faciliter la reprise alimentaire précoce diminuer la perte de poids et la morbidité.
38 PRINCIPES DE LA RRAC aspect nutritionnel Alimentation entérale précoce nutrition entérale précoce via une sonde nasojéjunale ou de jéjunostomie a été montrée comme faisable, bénéfique avec un bon rapport coût-efficacité Elle permet de prévenir l augmentation de la perméabilité intestinale, la réponse inflammatoire inappropriée post-opératoire, l oxydation lipidique, le catabolisme protéique et la perte de poids marquée postopératoire. quelques études ne montrant pas de bénéfice. Des complications ont été rapportées avec la nutrition entérale précoce, (i) liés à la sonde telles que chute de sonde, obstruction,infection, occlusion, nécrose intestinale, pneumatose, fuite de nutriments en intrapéritonéal, (ii) liée à lanutrition précoce, telles que crampes, vomissements, météorisme, diarrhées, gastroparésie, inhalation. Le taux de complications majeures est faible inférieur à 1,5% avec plus de problèmes liés à la sonde en cas de nasojéjunale comparativement à la jéjunostomie. La recommandation est donc de commencer une alimentation entérale progressive avec le but d atteindre le volume nutritionnel cible en 5 à 7 jours.
39 CHIRURGIE MINI-INVASIVE ET RRAC Modalités de prise en charge Fast Track Objectifs Supplémen nutritionnelle et immuno nutrition Réduire le taux d infection post opératoire Absence de préparation colique Réduire la morbidité du geste opératoire Analgésie efficace, péridurale thoracique (pas d opiacés Accélérer la mobilisation du patient Réduire l ileus post opératoire Pas de drainage abdominal systématique Pas de bénéfice prouvé du drainage systématiqu Accélérer la mobilisation du patient Pas de sonde naso gastrique systématique Réduire la morbidité pulmonaire Réduire l ileus post opératoire Reprise alimentaire < 24 heures22 Réduire le catabolisme et morbidité post opératoire Mobilisation précoce Absence de preuve Accélérer la réhabilitation du patient
40 RRAC Immuno-nutrition La chirurgie majeure = état d immunosuppression = risque de mortalité et de complications infectieuses. L utilisation de différents nutriments permettant de moduler la réponse immunitaire (acidesaminés, acide oméga-3, nucléotides, vitamines ) permet de diminuer significativement les complications en particulier infectieuses postopératoires et la durée d hospitalisation
41 RRAC ONCO-GÉRIATRIE et CHIRURGIE DIGESTIVE IMMUNO NUTRITION les patients soient dénutris ou non, l immunonutrition entérale(oral Impact, Impact Nestlé Clinical Nutrition) est plus efficace qu une nutrition standard de même niveau énergétique et azoté, permet de diminuer significativement la morbidité infectieuse et diminue la durée d hospitalisation et les coûts. Elle est donc recommandée en préopératoire pendant une semaine chez tous les patients soumis à une chirurgie digestive carcinologique quel que soit leur état nutritionnel et poursuivie en postopératoire chez les patients dénutris.
42 Aspects fonctionnels de la chirurgie digestive chez le sujet âgé. Conséquences d une geste de résection sur le transit Conséquences d un geste de résection sur la continence anale Conséquences nutritionnelles d une geste sus mésocolique (gastrectomie totale? subtotale?)
43 CANCERS DIGESTIFS et SUJET AGE Problématiques pratiques Siège et nature du cancer Type de présentation ( réglée urgence) Type de prise en charge
44 cancer colorectal Epidémiologie 2000 nouveaux cas par an Entre 50 et 75 ans mais +++aussi au delà 3 ème cancer chez l homme 2 ème chez la femme Circonstance de diagnostic Dépistage diagnostic plus précoe Réduction mortalité Généralités Survie 5 ans globale touts stades 54% h 60%
45 Chirurgie du colon droit Circonstances diagnostique: Révélée par anémie Parfois forme occlusive (asymptomatique au début) Chirurgie simple souvent coelio assistée Durée courte Anastomose iléo-colique non protégée Suites généralement simples Pas de conséquences post-op a distance Stomies exceptionnelles- iléostomie
46 Chirurgie du colon gauche et sigmoide Même tableau que colon droit En réglé le plus souvent En cas d urgence : risque de stomie Chirurgie sous coelioscopie Durée d intervention plus longue Anastomose plus à risque de fistule Suites généralement simple Aucune séquelles a distance Risque de stomie temporaire plus grand ( urgence)
47 Chirurgie du rectum Tout autre problématique Anastomose sous péritonéale à risque de fistule Chirurgie plus longue et délicate Sous coelio mais conditions anatomiques variables Distinguer SIÈGE de la lésion +++ Approche multidisciplinaire Place de la radiothérapie? Chimiothérapie?
48 CHIRURGIE DU RECTUM Conséquences chirurgicales ( anastomose sous peritonéale) fistule post-opératoire Gravité ( fistule borgne ou en peritoine libre) Traitement( médical reprise chirurgicale Abces pelvien (chirurgie- radiologie) Justifie le recours «facile «à une stomie Iléostomie colostomie
49 CHIRURGIE DU RECTUM Place de la colostomie Terminale Temporaire ( hartman) ( 6 mois) Définitive ( amputation abdomino-périnéale) Latérale Temporaire de protection ( 2 mois)
50 CHIRURGIE DU RECTUM Place de la stomie
51 CHIRURGIE du RECTUM Iléostomie
52 CHIRURGIE DU RECTUM CONSÉQUENCES FONCTIONNELLES Perte de la charnière recto-sigmoidienne Réduction de la taille de l ampoule rectale (anastomose basse) Fractionnement impériosité continence
53 CHIRURGIE DU RECTUM Anastomoses basses ( colo-rectale,colo-susanale,colo-anale, resection trans-sphinctérienne)
54 CHIRURGIE DU RECTUM Les raisons des troubles de la continence
55 CHIRURGIE DU RECTUM Améliorer les suites fonctionnelles : Types de réservoir colique
56 Onco-gériatrie et autres cancers digestifs Cancer gastrique Cancer pancréas Cancer œsophage Cancer voies biliaires Cancer foie
57 Onco-gériatrie et autres cancers digestifs Cancer gastrique Chirurgie =gastrectomie partielle ou totale Chimiothérapie = souvent lourde Gestes palliatifs? Patients métastatiques?
58 Onco-gériatrie et autres cancers digestifs Cancer œsophage Chirurgie lourde+++ thoracotomie Chimiotherapie radiotherapie Gestes endoscopiques endoprothèses Aspects nutritionnels
59 Onco-gériatrie et autres cancers digestifs Cancer voies biliaires Peu chimiosensibles Chirurgie souvent lourde resection associée à hépatectomie Place des traitements palliatifs endoscopiques
60 Onco-gériatrie et autres cancers digestifs Cancer pancréas Chirurgie lourde DPC ou pancréatectomie distale Chimiothérapie possible..efficacité limitée Pronostic redoutable Gestes palliatifs? Prise en charge de la douleur et aspect nutritionnel
61 Oncogeriatrie et autres cancers digestifs Cancer foie Lésions primitives exceptionnelles sur foie sain CHC sur cirrhose Métastases hépatiques Chirurgie du foie bien maitrisée Suites opératoires: % foie réséqué % foie restant Suites souvent simples si hépatectomie raisonnable Place alternatives: radiofréquence radiothérapie
62 Chirurgie en urgence sur cancer digestif` Occlusion intestinale et sujet agé Carcinose péritonéale et sujet âgé Infection péritonéale Hémorragie sur tumeur digestive
63 Chirurgie en urgence sur cancer digestif` Occlusion intestinale et sujet agé Problème de la stomie.. Sur occlusion colique : préférer une résection étendue avec anastomose sans stomie
64 Chirurgie en urgence sur cancer digestif` Carcinose péritonéale et sujet âgé Tableau occlusifs ttt médical palliatif Infection péritonéale Péritonite- abcès..chirurgie de propreté pronostic redoutable morphine?? Info famille+++
65 Chirurgie en urgence sur cancer digestif` Hémorragie sur tumeur digestive Contexte aigu Place du geste endoscopique ou radiologique Rarement chirurgie d hemostase en urgence Contexte d anémie chronque récidivante Parfois resection chirurgicale de propreté (si geste raisonnable) a discuter cas par cas Transfusions? Rythme fréquence??
66 FIN
Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:
ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailSpécialiste en chirurgie
SIWF ISFM Spécialiste en chirurgie y c. formations approfondies en - chirurgie générale et traumatologie - chirurgie viscérale Programme de formation postgraduée du 1 er juillet 2006 (dernière révision:
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailChirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!
Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailFeuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté
Feuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté Conseils pratiques : > Nous voulons que votre client puisse remplir le questionnaire médical sans
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLa chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE
La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détail