FLASH EUROBAROMETRE 91

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1 FLASH EUROBAROMETRE 91 «Les PME face à l euro» (3) Réalisé pour : la Direction Générale «Entreprises» JANVIER 2001 Sondage géré et organisé par la Direction Générale «Education et Culture» (Analyse de l opinion publique) Réalisé par : EOS Gallup Europe SONDAGE : JANVIER 2001 RAPPORT ANALYTIQUE : 16/02/2001

2 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 2 PRESENTATION DE CETTE ANALYSE La Direction Générale «Entreprises» de la Commission européenne a souhaité connaître l'évolution des attitudes des dirigeants de PME, et de la préparation de leurs entreprises, durant les mois précédant l'introduction définitive de l'euro dans les pays concernés. C'est à cette fin qu'eos Gallup Europe, après deux sondages en juin et en septembre 2000, a interrogé 2828 dirigeants d'entreprises entre le 8 et le 15 janvier Les entreprises rentrant dans le cadre de ce sondage ont été définies par la Direction Générale Entreprises comme : toutes les entreprises - agriculture exceptée - qui emploient moins de 250 personnes et qui sont installées dans les douze «pays euro». La méthodologie de ce sondage est celle des FLASH EUROBAROMETRE - CIBLES SPECIFIQUES de la Direction Générale Education et Culture (unité «Analyse de l'opinion publique»), dont l'équipe a collaboré à la mise au point du questionnaire et a géré la réalisation du travail. Dun & Bradstreet a préparé les listes des entreprises qualifiées pour l'interview, en tirant un échantillon de leurs bases de données européennes. Cet échantillonnage a été réalisé selon trois critères : le pays, la taille de l'entreprise et le secteur industriel. Au sein de chaque cellule définie par ces critères, le tirage a été fait au hasard. La personne interrogée dans chaque entreprise est celle qui a la responsabilité de son organisation financière : Directeur Général, Directeur Administratif ou Directeur Financier. C'est l'interviewer qui s'assure de l'identité de cette personne, en même temps qu'il/elle contrôle l'exactitude des caractéristiques des entreprises, renseignées par Dun & Bradstreet, notamment: le nombre de personnes employées et le secteur industriel. Les résultats complets de ce sondage ont été édités sous forme de tableaux chiffrés, selon les règles habituelles des Flash Eurobaromètre - Cibles spécifiques. Une note technique relative à la réalisation des interviews, par les 12 instituts d'eos Gallup Europe, est jointe en annexe à ce document - ainsi qu'à chaque volume de résultats édité à l'occasion d'un FLASH EUROBAROMETRE de la Direction Générale Education et Culture. Cette note technique précise les modalités d'interview, ainsi que les intervalles de confiance (également appelés : marges statistiques d'erreur). Les pages qui suivent ont pour but de présenter les principaux résultats obtenus. Outre les résultats extrapolés à l'ensemble des douze «pays euro», nous ferons de brefs commentaires sur les différences de résultats observés selon : ** les pays couverts par le sondage ** les grandes catégories de secteurs d'activités : - "Services" (y compris le secteur des transports) - "Distribution" (commerce de gros et détail) - "Industrie" (entreprises manufacturières) - "Construction" (bâtiments et travaux publics) et - "Secteur primaire" (énergie, matières premières)

3 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 3 ** la taille de l'entreprise (volume de l'emploi) : - 1 à 9 travailleurs - 10 à 49 travailleurs - 50 à 249 travailleurs ** les réponses à la première question du sondage, portant sur la préparation des entreprises au passage définitif à l'euro : - "déjà prêtes" (la préparation n'est donc plus nécessaire) - "est nécessaire" - "pas nécessaire".

4 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p LA NECESSITE DE PREPARER L'ENTREPRISE AU PASSAGE A L'EURO * (Question 1) * En janvier 2001, l'attitude des dirigeants de PME concernant la nécessité de préparer leur entreprise au passage à l'euro était globalement positive : un sur quatre la dit déjà prête, un sur deux estime qu'il est nécessaire de la préparer maintenant, et un sur quatre est de l'avis contraire. Il y a donc un progrès depuis septembre. En pourcentages par exemple la réponse "il n'est pas encore nécessaire de préparer mon entreprise" est tombée de 32% à 23% (-9%). On peut espérer que c'est une prise de conscience qui ne se relâchera pas dans les mois à venir. * Selon les pays individuels on peut dire que la situation a évolué de manière positive dans tous les pays, depuis septembre dernier. Le pourcentage des dirigeants qui considèrent leur entreprise "déjà prête" a augmenté dans 9 pays sur 12. Les trois exceptions sont la Belgique, le Portugal et la Finlande, mais en compensation le sentiment que la préparation est nécessaire dès maintenant y a augmenté, ce qui est rassurant. L'amélioration constatée en quatre mois ressemble bien à un mouvement général, commun à tous les pays de la future zone Euro Entreprises déjà préparées 1.2. Préparation pas nécessaire GR 6% 9% 30% GR 12 % 10% 20% D 29% 15% D 33% 40% 43% I 29% 22% 17 % I 7% 14% 17% E 29% 25% E 7% 8% 15% L 21% 27% L 17 % 24% 17% EU 12 26% 22% 17 % EU 12 23% 30% 32% A 25% 18 % 23% A 20% 26% F 24% 16% 18 % F 23% 33% 34% NL 19 % 18 % 12% NL 26% 37% 33% P 15 % 12% P 30% 33% FIN 9% 12% 14% FIN 26% 29% 39% B 9% 16% 25% B 24% 27% 27% IRL 8% 5% 3% IRL 14 % 13% 20% FL 81 FL 87 FL 91 FL 81 FL 87 FL 91 FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 1 FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 2

5 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 5 * Tous les types de PME ont participé à ce résultat favorable. Dans ce mouvement général il apparaît toutefois que les plus petites entreprises, mêmesi elles ont "suivi le mouvement" d'une certaine manière, restent moins convaincues de devoir faire des efforts dès maintenant. Il faut sans doute voir là la conséquence de leur situation même : une PME de 5 personnes a peut-être objectivement besoin de moins de temps pour se préparer qu'une PME de 150 personnes? * Notons que cette question nous servira dans la suite à ventiler les résultats, comme ce fut le cas dans les rapports de juin et de septembre derniers. Mais il faudra prendre garde au fait que même la catégorie «entreprise déjà prête», dans cette ventilation, doit être comprise comme un "état d'esprit des dirigeants" plutôt que comme une réalité concrète.

6 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p AVOIR UN «PLAN D'ACTION» OU PAS? 2.1. La préparation d'un «plan d'action» pour le passage à l'euro * (Question 2) * En janvier 2001, 51% des PME disent avoir arrêté un «plan d'action», ce qui nous amène un peu au-dessus du résultat que nous avions obtenu en juin 2000, et efface donc le recul observé en septembre (42%). L'amélioration des attitudes que nous avons relevée au chapitre précédent trouve donc une conséquence en ce qui concerne les plans des entreprises Avez-vous déjà arrêté un plan d'action dans le détail, seulement dans ses grandes lignes, ou ni l'un, ni l'autre? - EU 12 - ni l'un ni l'autre 52% 57% 47% grandes lignes plan détaillé 27% 24% 29% 21% 18% 22% nsp/sr 1% 1% 1% FL 81 FL 87 FL 91 FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 3 * Il n'y a que deux pays sur douze où l'adoption de plans d'action détaillés aurait reculé depuis septembre. Il s'agit de l'autriche, où les plans détaillés sont passés de 42% à 34% des réponses ; et du Portugal, où ils sont passés de à 21% des réponses. Malgré son recul, l'autriche reste parmi les pays où la fréquence des plans adoptés reste globalement plus élevée que la moyenne ; le Portugal en revanche devient le pays où nous en observons le moins. * Dans ce sondage de janvier 2001, une catégorie de PME n'a pas participé à l'accroissement des plans adoptés : il s'agit des PME du secteur industriel. Elles ne se distinguent donc plus particulièrement des trois autres secteurs, qui ont tous progressé sur ce plan (alors qu'en septembre nous avions trouvé les industries plus fréquemment «planificatrices» que toutes les autres PME). Et pour ce qui concerne la taille des entreprises :ilyaplus de plans en janvier 2001 qu'en septembre 2000 dans toutes les catégories, l'avancée est donc générale. Et la

7 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 7 liaison entre l'état de préparation et la taille des entreprises reste une évidence : au plus l'entreprise est grande, au plus elle se révèle planificatrice (ce qui, somme toute, est heureux?). * Quant à la ventilation des cas selon le sentiment de préparation à l'euro (la question précédente), elle confirme une nouvelle fois que la planification n'est pas indispensable aux dirigeants de PME pour se sentir déjà préparés : 31% des PME qui se disent «prêtes» n'ont arrêté aucun plan particulier pour ce faire...

8 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p La mise en oeuvre des mesures prévues dans un «plan d'action» * (Question 3) * Depuis septembre, le nombre de plans d'action arrêtés par les entreprises a augmenté, comme nous venons de le voir. En revanche leur mise en oeuvre concrète n'est pas beaucoup plus avancée qu'il y a quatre mois. Comme on peut le remarquer au tableau ci-contre les réponses restent très dispersées entre les différentes possibilités, mais le plus grand nombre des entreprises ayant arrêté un plan d'action en est toujours au stade de «quelques-uns unes (des mesures arrêtées) ont été mises en oeuvre concrètement» : 36% des réponses (parmi les seules PME ayant arrêté un plan d'action). Il reste donc au moins autant de chemin à parcourir qu'en juin et en septembre dernier. * Les situations dans chacun des pays ont peu évolué. Partout une grande dispersion des situations se constate, reflétant la très grande variabilité des situations individuelles des entreprises. Face à une telle variabilité il n'est pas possible de déceler une orientation significative, d'autant que les tailles d'échantillons disponibles comme bases statistiques sont ici, sans conteste, nettement trop faibles dans la plupart des cas. * Il en est de même selon les secteurs d'activités et les tailles d'entreprises : la variabilité des situations individuelles ne s'éclaircit pas lorsqu'on regroupe les PME selon ces catégories. * En revanche, on remarquera avec intérêt le résultat de notre dernière ventilation, selon les réponses à la première question. On y retrouve une situation où, parmi les PME qui se disent "déjà prêtes" et qui ont préparé un plan d'action, un tiers seulement ont mis en oeuvre la totalité des mesures prévues ; et il y en a même 7% qui n'auraient mis en oeuvre aucune des mesures prévues dans leur plan, au moment de ce sondage Les mesures mises en œuvre pour le passage à l'euro (Ventilation: Q.1 - nécessité de préparer l entreprise au passage à l euro) EU 12 22% 26% 36% 15% entreprise déjà prête 34% 32% 26% 7% préparation est nécessaire 17% 25% 42% 16% préparation pas nécessaire 8% 12% 47% toutes les mesures la plupart des mesures quelques mesures aucune mesure nsp/sr FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 4

9 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p CE QUE LES PME ONT DEJA FAIT DANS LA PERSPECTIVE DE L'EURO * (Question 4) Nous présentons ci-contre une vue d'ensemble des actions prises par les PME dans la perspective de l'abandon des monnaies nationales. Toutes les PME sont ici concernées, et pas seulement celles qui disent avoir arrêté un «plan d'action» : nous avons vu en effet que la notion de planification n'était pas indispensable au sentiment de préparation des dirigeants. * Comme lors des sondages précédents nous remarquons que les mesures prises ont toujours des "popularités" extrêmement variables, allant de 20% pour la mesure la moins fréquente jusqu'à 67% pour la mesure la plus fréquente, avec un nombre moyen de 4,0 mesures prises. Cette moyenne nous ramène pratiquement au résultat de juin 2000 (4,2 mesures en moyenne), après le creux de septembre où la moyenne des mesures prises était tombée à 3,4 par entreprise. Ceci étant dit, la structure des mesures prises - leurs "popularités" relatives - n'a pas changé depuis le début : - Les mesures les plus fréquentes, prises par deux PME sur trois : - choisi les responsables des opérations : 67% (58% en septembre) - défini les adaptations informatiques nécessaires 65% (57% en septembre) - Au-dessus de 50% on trouve ensuite : - l'information du personnel : 57% (52% en septembre) - l'établissement de prix en euros : 52% (45% en septembre) - Ensuite on trouve, pratiquement au même niveau : - l'identification de l'impact fonction par fonction : 39% (29% en septembre) - l'information des partenaires de l'entreprise : 36% (30% en septembre) - l'évaluation des besoins budgétaires : 35% (29% en septembre) - l'évaluation des besoins en formation de personnel : 31% ( en septembre) - La mesure la moins fréquente, à l'heure actuelle, reste donc toujours : - l'ouverture d'un compte bancaire en euros : 20% (17% en septembre) choisir les responsables des opérations définir les adaptations informatiques nécessaires informer le personnel établirdesprixeneuros identifier l'impact fonction par fonction informer les partenaires de l'entreprise évaluer les besoins budgétaires évaluer les besoins en formation de personnel 29% * Dans chacun des pays individuels la hiérarchie générale des mesures prises par les PME ouvrir un compte bancaire en 22% 17% esteuros proche de celle présentée 20% ci-dessus, avec toutefois des inversions de popularité notamment entre les quatre mesures les plus fréquentes - toutes celles prises par plus de la FL 81 FL 87 FL 91 moitié des PME. FLASH EB 91 janvier 2001 fig Mesures prises par les PME dans la perspective de l'euro -EU12-37% 34% 30% 36% 34% 29% 35% 34% 31% 39% 45% 58% 57% 62% 52% 57% 52% 56% 67% 65% 71% 73%

10 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 10 Et de nouveau on vérifie ci-contre que l'ouverture d'un compte bancaire en euros reste la moins fréquente des mesures prises dans tous les pays, sauf dans les trois pays du Benelux : Belgique, Luxembourg et Pays-Bas. * La structure des résultats ne change pas, quels que soient les secteurs ou les tailles des entreprises, mais les grandes PME ont déjà pris un plus grand nombre de mesures que les autres : on passe de 3,6 mesures prises par les plus petites PME, à 4,8 par les PME moyennes et enfin à 5,9 mesures prises par les plus grandes PME. * A propos de la ventilation selon le sentiment de préparation (question 1) on observera bien évidemment que les PME préparées ont pris bien plus de mesures que les autres ; et que les PME jugeant la préparation nécessaire ont pris plus de mesures que celles jugeant la préparation pas encore nécessaire. Mais il n'est pas indifférent de constater que même les PME pour qui la préparation n'est PAS nécessaire, ont néanmoins déjà pris quelques mesures comme le choix du responsable, l'adaptation des systèmes informatiques, et l'information du personnel. Au demeurant, la hiérarchie des mesures prises dans ce segment en principe peu motivé est globalement identique à celle des autres : elle doit donc correspondre à une "logique" commune, à un ordre naturel des mesures à prendre pour préparer les entreprises à l'introduction de l'euro?

11 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p LA FACTURATION EN EUROS * (Question 5) * Nous venons de voir que l'ouverture d'un compte en euros est en un certain sens la "dernière" mesure à être adoptée par les PME. On ne s'étonne donc pas que seulement 12% disent facturer en euros dès maintenant. Nous en sommes donc à un niveau proche de ce que l'on pouvait attendre, sur la base des sondages précédents. En revanche, les perspectives futures seraient meilleures que celles observées en septembre dernier, lorsqu'on cumule les intentions jusqu'au 1/1/2002 : ceci nous ferait un total de 64% des PME à facturer en euros le jour du basculement, alors qu'elles n'étaient que 44% en juin et 49% en septembre dernier. Mais cette amélioration est entièrement attribuable à un transfert de réponses "quand ce sera obligatoire" sur la réponse "le 1/1/2002". Le pourcentage de PME qui envisagent une facturation avant terme ne s'est pas élevé du tout depuis septembre et reste au total de 33% (contre 34% en septembre dernier) (voir graphe page suivante). Finalement donc, si les perspectives semblaient meilleures en première analyse, il n'est pas sûr que nous ayons réellement progressé. En tout cas, les dirigeants de PME ne ressentent toujours pas davantage le besoin de basculer leur comptabilité vers l'euro AVANT TERME. * Selon les Pays, la facturation en euros serait actuellement pratiquée par entre 5% des PME (au Portugal) et 20% des PME (en Autriche et en Grèce). * Si on s'intéresse au cumul des anticipations, c'est-à-dire le total des PME qui ont l'intention de facturer en euros avant le terme obligatoire, nous arrivons à des extrêmes de 17% (au Portugal) à 56%(en Grèce). (voir graphe page suivante) Outre le Portugal, on trouverait parmi les traînards la Finlande (21%), l'espagne et le Luxembourg (27%) et la France (). Et parmi les premiers, outre la Grèce on trouverait : l'irlande (49%), les Pays-Bas (48%), la Belgique et l'autriche (43%). Ces intentions, bien entendu, sont à prendre avec réserves, surtout sur de petits échantillons comme les nôtres. Nous ne nous expliquons pas le résultat du Luxembourg, par exemple : en comparaison avec le sondage de septembre, les intentions d'anticiper le passage à l'euro y auraient chuté de 30% (passage de 57%, résultat le plus élevé de l'époque, à 27% actuellement). Une évolution aussi brutale doit nous rendre prudents, mais ne doit pas nous empêcher de prendre l'ensemble des résultats en considération. C'est ainsi que le brutal écart qui était apparu pour la Grèce entre juin et septembre (passant de à 56% en trois mois seulement) était parfaitement justifiable, et le haut niveau des intentions d'anticipation en Grèce a d'ailleurs été confirmé cette fois-ci ; de plus, les autres écarts de sondage en sondage sont tous dans les limites réalistes pour une question de ce genre.

12 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 12 (Le graphe ci-dessous fait l objet de commentaires à la page précédente) 4. Ont l'intention de facturer AVANT le terme obligatoire (cumul des anticipations) -EU12- GR IRL NL B A I 56% 49% 48% 43% 43% 37% 56% 49% 52% 47% 42% 47% 41% 42% 44% 35% 37% EU12 33% 33% 34% D F E L FIN P 32% 22% 21% 27% 27% 21% 18% 21% 25% 25% 17 % 36% 38% 35% 36% 51% 57% FL 81 FL 87 FL 91 FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 6 * Selon les secteurs, peu de différences apparaissent dans la situation actuelle ou pour les intentions futures. Quant aux catégories de tailles, les résultats actuels confirment une observation faite depuis juin dernier : plus les PME sont petites, moins pressées elles sont d'anticiper le basculement de leur facturation. * On remarquera enfin que les attitudes relatives à la préparation des entreprises ont une influence certaine sur les intentions d'anticipation de la facturation en euros, mais dans une marge bien inférieure à ce que l'on aurait pu obtenir en théorie. C'est ainsi que 42% des entreprises qui se sentent "déjà prêtes", 36% de celles pour qui la préparation est nécessaire, et 18% de celles pour qui la préparation n'est pas nécessaire, pensent avoir anticipé le basculement de leur facturation avant le 1/1/2002 : être préparé n'entraîne pas forcément le désir d'anticiper...

13 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p L'«EUROCOMPATIBILITE» * (Question 6) * En janvier 2001, 11% des dirigeants pensent que leur entreprise est déjà «eurocompatible» aujourd'hui, résultat inférieur de 3% à celui qui aurait pu être pronostiqué en septembre dernier (12% + 2% d'ici la fin de l'année 2000). C'est un nouveau recul par rapport à juin dernier où le résultat pronostiqué aurait été de 20% (15% +5%). Et pour les perspectives futures nous pourrions reproduire ici les commentaires du chapitre précédent, avec une pointe de pessimisme en plus : - un nouveau progrès quand on cumule les intentions jusqu'au 1/1/2002 compris, mais : - ce progrès est exclusivement attribuable à un report de réponses "quand ce sera obligatoire" sur la réponse "1/1/2002" ; et : - en fait le total des intentions (ou espoirs?) de pouvoir anticiper l'eurocompatibilité a reculé de 4%, passant de 37% à 33% aujourd'hui. Cette note pessimiste se remarque assez bien sur la réponse "après le 1/1/2002", qui représentait 6% des opinions en septembre et en représente 12% aujourd'hui. A la seule exception des Pays-Bas, tous les pays ont vu le nombre de ces réponses augmenter, particulièrement en France (+12%), en Italie (+13%), en Irlande et au Portugal (+10%). Certes les fréquences de cette réponse sont encore faibles dans l'absolu ; mais c'est peutêtre avec elles que l'on pourra surveiller au plus près, dans les mois qui viennent, les risques courus par les PME au moment du passage à l'euro. * Les secteurs d'activité ne suscitent ici aucun commentaire particulier. * Quant aux tailles d'entreprises, elles influencent les réponses dans le sens attendu : au plus la PME est importante, auplus tôt elle s'attend à être «eurocompatible». Mais toutes voient les choses un peu moins proches - dans le temps -que ce n'était le cas en septembre dernier. * On remarquera enfin que les attitudes relatives à la préparation des entreprises ont une influence sur les intentions ou les espoirs d'«eurocompatibilité», mais dans une marge bien inférieure à ce que l'on aurait pu obtenir en théorie. C'est ainsi que 46% des entreprises qui se sentent "déjà prêtes", 35% de celles pour qui la préparation est nécessaire, et 19% de celles pour qui la préparation n'est pas nécessaire, pensent être eurocompatibles avant le 1/1/2002 : être préparé n'entraîne pas forcément un optimisme sans réserves sur sa propre eurocompatibilité...

14 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p LES EVALUATIONS FAITES SUR LE PASSAGE A L'EURO : BENEFICES ET CONFIANCE? 6.1. Les conséquences de l'introduction de l'euro pour la compétitivité * (Question 7) * Pour 63% des PME l'introduction de l'euro sera SANS conséquence sur leur compétitivité (+7%): c'est le résultat le plus net de ces réponses dont, depuis septembre, les côtés négatifs diminuent et les côtés positifs augmentent à peine. Si on fait un index dont l'échelle varie de -100 à +100 points, selon que les conséquences perçues sont négatives ou positives, la moyenne des 12 pays concernés s'établit à +2,57 points, c'est-à-dire pratiquement au niveau d'équilibre de la réponse "sans conséquences". En juin on obtenait +2 points, en septembre -2 : les écarts sont trop faibles pour être significatifs, on en reste à la neutralité. * Selon les pays, les opinions varient très fortement entre d'un côté la Grèce, où les réponses restent nettement positives avec un index moyen très élevé de +31,21, et de l'autre côté la France et l'allemagne où la moyenne est juste en dessous de zéro avec un index de -2,30 pour la France et de -2,11 pour l'allemagne. Les situations extrêmes aux deux bouts de ce classement se trouvent donc re-confirmées depuis les sondages de juin et de septembre. Ceci étant dit, on notera que, à la seule exception de la Grèce, c'est l'opinion "sans conséquences" qui est majoritaire dans tous les pays, même si ceux qui sont situés en haut du tableau ci-contre ont des minorités appréciables de PME attendant des conséquences positives ou très positives sur leur compétitivité future. A ce sujet on notera que le seul changement significatif depuis septembre semble être la remontée de l'opinion en Belgique: on y était passé de +15,36 en juin à +1,34 seulement en septembre, et on obtient +11,71 aujourd'hui. Mais il ne faut pas perdre de vue les mises en garde précédentes sur la stabilité de ces variations isolées, observées sur de très petits échantillons Les conséquences de l'introduction de l'euro pour la compétitivité Index: -100 "conséquences très négatives" / +100 "conséquences très positives" EU12 2,6 2,1-2,1 GR IRL L B P I A E NL FIN 31,2 16, 8 15, 5 9,8 11, 7 1,3 8,9 10, 6 5,7 8,2 9,7 5 8,6 9,4 5,0 9,0 12,2 6,7 5,2 0,8 2,9 0,3 6,2 1,8 17,5 14,7 17,4 15,4 35,2 35,2-7,5 D -7,8-2,1 2,8 F -8,2-2, FL 81 FL 87 FL 91 FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 7

15 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p. 15 * La ventilation selon les secteurs ne montre pas de différences, mais l'attente d'effets positifs est d'autant plus marquée que l'entreprise est grande. Néanmoins on notera de nouveau que, dans tous les secteurs et pour toutes les catégories de PME, c'est l'opinion "sans conséquences" qui l'emporte et compte chaque fois une réponse sur deux ou davantage. * Quant à la ventilation des opinions selon les réponses à la première question, elle confirme le poids de la réponse "sans conséquences", qui est donnée plus de six fois sur dix, quelle que soit la catégorie.

16 FLASH EB N 91 «Les PME face à l euro/ 3» (01/2001) - Rapport - p La confiance en la réussite, par son entreprise, du passage à l'euro * (Question 8) * Nous avons noté depuis juin que les dirigeants de PME semblaient très sûrs d'eux dans la perspective du passage à l'euro. En septembre, un très petit recul s'est produit, plus sensible au niveau des pourcentages obtenus par la réponse la plus positive "tout à fait confiant" : de 62% à 53%, qu'au niveau de l'index de confiance, passé de +87 à +85 points (le maximum est +100). La confiance est de nouveau à la hausse en janvier 2001 : l'index est repassé à +87 points, et le pourcentage de "tout à fait confiants" à 57% Le degré de confiance dans la réussite du passage à l'euro - EU 12 - tout à fait confiance 62% 53% 57% plutôt confiance 32% 34% plutôt pas confiance pas confiance du tout nsp/sr 4% 3% 3% 2% 3% 1% 4% 8% 5% FL 81 FL 87 FL 91 FLASH EB 91 janvier 2001 fig. 8 * Selon les pays, tous les résultats restent très confiants, puisque l'index le plus bas se situe à +83 points! Et on notera à titre indicatif que, comme en juin et en septembre, ce sont les quatre pays les plus grands, en termes de nombre d'entreprises et de population, qui ont les index de confiance les plus faibles (avec le Portugal). * Quant à nos autres ventilations des réponses, les résultats sont ceux auxquels on pouvait s'attendre, compte tenu de tout ce qui précède : - pas de différences entre les secteurs - des PME d'autant plus confiantes qu'elles sont plus grandes - et une relation fort ténue entre la confiance et la "préparation subjective des PME" (question 1).

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