La Borréliose. I Loeckx Septembre 2006
|
|
- Florine Beaudoin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Borréliose I Loeckx Septembre 2006
2 Un petit peu d histoire 1909: première description de l Erythème migrans par Afzelius (dermatologue suédois) qui avait déjà lié la maladie à la morsure de tique : descriptions de séquelles neurologiques succédant à l EM à travers toute l Europe. 1970: description d un cas associant EM, manifestations neurologiques et symptômes articulaires aux Etats-Unis par Scrimenti. 1975: épidémie d arthrites juvéniles chroniques (Lyme Connecticut). L entité fera l objet d une description, elle est nommée «Lyme disease».
3 Un petit peu d histoire 1979: identification par Spielman de l espèce de tique à l origine de la transmission de la maladie: Ixode dammini. 1980: Steere et son équipe mettent au point le traitement par pénicilline ou tétracycline. 1982: mise en évidence d un spirochète dans l intestin des tiques par Burgdorfer (NY) 1983: Johnson démontre que le spirochète est une espèce encore inconnue de Borrelia et l appelle burgdorferi. La maladie devient donc la «borréliose».
4 Borrelia Spirochète = bactéries hélicoïdales très souples et très mobiles grâce à leurs flagelles qui se regroupent pour former une tresse hélicoïdale. Sous-groupe des Spirochétacés (microaérophiles): donc très difficile à cultiver (NB: même sous-groupe que les Tréponèmes, ce qui explique les similitudes de la maladie avec la syphilis). Trois sortes circulent en Europe: B burgorferi, B afzelii et B garinii; seul B burgdorferi circule en Amérique du Nord.
5 Tiques: cycle de vie Famille des Ixodes, genre ricinus - I ricinus en Europe, I dammini et I pacificus aux USA, I persucaltus en Asie. - les Borrelia peuvent infecter d autres types de tiques, de mouches ou de moustiques, mais ils ne sont alors pas infectants. Cycle de vie très complexe, étalé sur deux ans. Epidémies saisonnières (mars à octobre). Multiples hôtes.
6 Tiques: transmission de la maladie
7 Tiques: mesures préventives Eviter les zones endémiques et dans celles-ci, éviter les activités en zone forestière et en clairière, rester sur les chemins. Porter des vêtements couvrants (chemise à longues manches rentrée dans le pantalon, jambes du pantalon rentrées dans les chaussettes), clairs (afin de mieux repérer les tiques) et imprégnés de répulsif (DEET par exemple). Répulsif à étaler sur la peau. Examen soigneux de la totalité de la peau tous les jours. Exérèse de la tique dans les 48 heures suivant la morsure, de préférence à l aide d une pince adaptée et sans chercher à l endormir ou à la tuer. Surveillance de la zone de morsure et éducation aux éventuelles lésions à repérer.
8 Tiques: mesures de prévention
9 Tiques: exérèse après morsure
10 Tiques: zones endémiques en Belgique
11 Vaccination Vaccination contre la lipoprotéine de surface OspA exprimée par le borrelia dans l intestin de la tique les Ac sont aspirés lors du repas sanguin de la tique, tuent les borrelia qui sont injectés morts lorsque la tique se décroche. Efficacité après 2 injections : 49%. Efficacité après rappel à 1 an: 76%. Pas de rappel naturel. Aucune expérience concernant la fréquence des rappels. Effets secondaires: inflammation locale, syndrome grippal. Actuellement d autres vaccins sont en développement (plusieurs protéines de surface en combinaison).
12 Clinique Trois stades successifs: - Early localized Lyme disease (stade 1): 4 à 21 jours après la morsure - Early disseminated Lyme disease (stade 2): quelques semaines à quelques mois après la morsure - Late Lyme disease (stade 3): quelques mois à quelques années après la morsure Spécificités pédiatriques. Borréliose et grossesse.
13 Clinique: Early localized LD Erythème migrans: - Papule érythémateuse centrée le plus souvent sur la morsure, devenant annulaire par l éclaircissement du centre et grandissant de plusieurs mm par jour (centrifuge). - Parfois associé à des petites paresthésies inconstantes. - Peut être difficile à reconnaître en fonction de la localisation (cuir chevelu, ). - Plus souvent au niveau du visage chez les enfants à 80% des personnes infectées en fonction de l espèce de Borrelia concernée - Si l EM est reconnu et traité rapidement, il disparaît en quelques jours et la maladie ne progresse plus. Eventuel syndrome grippal modéré (céphalées, fébricules, myalgies/arthralgies).
14 Erythème migrans
15 Clinique: Early disseminated LD 1. Manifestations cutanées: Lésions d EM secondaires multiples (15 à 50% des patients) Lymphocytome cutané bénin: - prolifération dermique lymphoréticulaire localisée - au niveau du lobe de l oreille ou du mamelon - uniquement dans les formes européennes (un seul cas décrit en Amérique) Formes diverses: urticaire localisé ou généralisé, éruption maculeuse généralisée, érythème noueux, rash malaire,
16 Lymphocytome cutané bénin
17 Clinique: Early disseminated LD 2. Manifestations musculosquelettiques: Mono-arthrite ou oligo-arthrite migratoire des grosses articulations: - 50% des patients atteints de LD stade 2 présentent au moins un épisode d arthrite/arthralgie durant les deux premières années de la maladie. - 90% des patients présentant des symptômes articulaires à ce stade se plaignent de leur genou. - inflammation dans le liquide synovial: 500 à GB/mm³ avec prépondérance de polymorphonucléaires et parfois d éosinophiles.
18 Clinique: Early disseminated LD Syndrome temporo-mandibulaire. Implication unique d une articulation métacarpo-phalangienne ou de la première articulation métatarso-phalangienne. Panniculite et fasciite Myosite: élévation simple des CPK en général; parfois jusqu à la myopathie nécrosante! Fibromyalgie: certaines formes de fibromyalgie pourraient faire partie du spectre de la borréliose (y penser )
19 Clinique: Early disseminated LD 3. Manifestations neurologiques: Méningite à Borrelia: - céphalées d intensité variable, accompagnées de photophobie, de nausées et d une raideur de nuque en fin de course. - en général, pas de Kernig, ni de Brudzinski - LCR: pléiocytose lymphocytaire (100 à 500 lymphocytes) avec hyperprotéinorachie et glycorachie parfois un peu basse. Culture rarement positive, recherche par PCR et dosage d Ig) Paralysie d un ou plusieurs nerfs crâniens (en général VII)
20 Paralysie faciale
21 Clinique: Early disseminated LD Encéphalite: - fatigue importante/chronique, irritabilité, troubles de l humeur - troubles cognitifs avec pertes de mémoire, parfois même démence - ataxie cérébelleuse, chorée - EEG sans particularité, parfois anomalies à la résonance magnétique ou au scanner cérébral (zones hyperdenses). Vasculite cérébrale, AVC Névrite périphérique, radiculonévrite, Guillain-Barré (phénomène de démyélinisation probablement auto-immun)
22 Clinique: Early disseminated LD 4. Manifestations cardiaques (4 à 8%): Bloc atrio-ventriculaire (90% des cas): - premier ou second degré (Wenckebach), parfois fluctuant - troisième degré (nécessitant parfois un pace-maker transitoire) Bloc sino-atrial, bloc de branche, retard de conduction intraventriculaire, dysfonction du nœud sinusal. Péricardite, myocardite, insuffisance ventriculaire gauche, cardiomégalie. Un cas décrit de décès par pancardite.
23 Clinique: Early disseminated LD 5. Manifestations oculaires: conjonctivite transitoire, iritis, choriorétinite, panophtalmite (un cas décrit de cécité séquellaire), névrite optique, œdème maculaire, pseudotumor cerebri, diplopie par paralysie oculomotrice, kératite par défaut de fermeture palpébrale dans la paralysie faciale. 6. Autres manifestations: lymphadénopathies régionales ou généralisée, hépatite récurrente, splénomégalie, orchite, hématurie ou protéinurie, gorge érythémateuse avec tous sèche irritative, ARDS
24 Clinique : Late LD Acrodermatite chronique atrophiante: Longue évolution concerne en général les patients âgés
25 Clinique: Late LD Crises d arthrite récidivantes, bursites, tendinites Neuroborréliose tertiaire: - neuropathie périphérique - encéphalomyélite progressive (paralysie de nerfs crâniens, paraplégie et tétraplégie spastique, troubles sphinctériens, ataxie, démence) - production intrathécale d anticorps contre borrelia
26 Clinique: Late LD Lésions synoviales irréversibles avec hypertrophie villositaire et dépôt de fibrine, infiltrat de cellules inflammatoire important, hypersécrétion d IL-1, collagénase et PG-E2 et sur-expression d HLA-DR Kératite interstitielle (analogue à la kératite syphilitique) Certaines formes de syndrome de fatigue chronique Certaines formes de fibromyalgie Implication probable de réactions immunogénétique, influence des groupes HLA-DR (phénomènes auto-immuns, )
27 Spécificités pédiatriques EM moins fréquemment observé. Lorsque l EM est observé, il se situe plus souvent sur le visage que chez l adulte (taille moins élevée la tique accède plus facilement à la tête). Arthrite 2 x plus fréquente que chez l adulte, mais de durée plus limitée. Attention, parfois confondue avec une arthrite juvénile chronique Arthrite développée plus tôt dans l évolution. Pas plus de complications neurologiques ou cardiaques que chez l adulte, on observerait même moins de polynévrite.
28 Borréliose et grossesse Description d éruption vésiculaire néonatale, de syndactylie, de cécité corticale, de malformation cardiaque, de retard de développement, de prématurité et de mort intra-utérine. Mais les études épidémiologiques en zone endémique ne montrent pas d excès de malformation congénitale ou de complications obstétricales. Donc la borreliose congénitale, si elle existe, doit être extrêmement rare! En outre, il n existe aucun cas documenté de passage du borrelia dans le lait maternel.
29 Diagnostic différentiel Grippe ou mononucléose infectieuse Erythème noueux Erysipèle Réaction d hypersensibilité sur piqûre d insecte Erythème marginé ou multiforme Cellulite streptococcique ou staphylococcique Myocardite virale ou RAA Méningite virale ou tuberculeuse Paralysie idiopathique de Bell Syndrome de Guillain-Barré Neurosyphillis Sarcoïdose Désordres psychotiques Arthrite séronégative Syndrome de Reiter Arthrite septique Fièvre rhumatoïde
30 Diagnostic Première étape: sérologie (immunofluorescence ou ELISA) Deuxième étape en cas de doute: Western blot Culture peu rentable (germe microaérophile), milieu de culture coûteux, croissance lente Examen direct en coloration argentique (Warthin-Starry ou Dierterle modifié Immunofluorescence
31 Diagnostic: sérologies IgM spécifiques apparaissant après environ 3 W, maximales après 6 à 8 W, et diminuant ensuite (attention, un taux élevé persistant ne signifie pas que le traitement est inefficace) IgG spécifiques apparaissant après 6 à 8 semaines, maximales après 4 à 6 mois et restant élevées par la suite Nombreux faux positifs et faux négatifs En zone endémique, nombreuses personnes immunisées asymptomatiques Réflexion sur les probabilités pré-test avant le dosage En cas d érythème migrans, les IgM peuvent ne pas encore être apparues (donc dosage inutile)
32 Probabilités prétest
33 Diagnostic: démarche
34 Traitement chez l enfant Manifestations dermatologiques (EM et lymphocytome): - < 8 ans: Amoxi 50 mg/kg/j pd 21J - > 8 ans: Amoxi 50 mg/kg/j pd 21J ou Doxycycline 4 mg/kg/j pd 21J Manifestations neurologiques: - paralysie faciale périphérique ou autre nerf crânien: R/ identique à l EM - méningite ou encéphalite: Ceftriaxone mg/kg/j IV ou IM pd 2W Manifestations cardiaques: Ceftriaxone mg/kg/j IV ou IM pd 2W
35 Traitement chez l enfant Manifestations articulaires: Arthrites: - < 8 ans: Amoxi 50 mg/kg/j pd 1 à 2 M Ceftriaxone 50 mg/kg/j IV ou IM pd 2W - > 8 ans: Amoxi 50 mg/kg/j pd 1 à 2 M Doxycycline 4 mg/kg/j pd 1 à 2 M En cas de récidive après un traitement AB > 2 M et après une recherche négative de l ADN Bb dans le liquide synovial: - AINS - Corticoïdes intra-articulaires - Synoviorthèse ou synovectomie arthroscopique
36 Bibliographie Zech F. Microbiologie médicale: première partie. FUNDP 2000 pp Kazmierczack JJ, Davis JP. Lyme disease: Ecology, Epidemiology, Clinical Spectrum and Management. Arch Pediatr : Steere AC. Lyme disease. NEJM /9 : Brown SL, Hansen SL, Langone JJ. Role of Serology in the Diagnosis of Lyme Disease. JAMA /1 : Steere AC, Sikand VK, Meurice F, Parenti DL, Fikrig E, Schoen RT, Nowakowski J, Schmid CH, Laukamp S, Buscarino C, Krause DS and the Lyme Disease Vaccine Study Group. Vaccination against Lyme disease with recombinant Borrelia burgdorferi outer-surface lipoprotein a with adjuvant. NEJM /4 : Wormser GP, Dattwyler AJ, Shapiro ED, Rush TJ, Coyle PK, Fish D. Practice Guidelines for the Treatment of Lyme Disease. Clin Infect Dis /S1 : S1-14. Cavalier A, Sibilia J, Speeg-Schatz C, Lipsker D. La borreliose de Lyme chez l enfant: aspects cliniques et thérapeutiques. MT Pediatr /6 : Eichenfield AH, Athreya BH. Lyme disease: of ticks and titers. J Pediatr : Gerber MA, Shapiro ED. Diagnostic of Lyme disease in children. J Pediatr : Seltzer EG, Gerber MA, Cartter ML, Freudigman K, Shapiro ED. Long-term Outcomes of Persons with Lyme Disease. JAMA /5 :
Les conséquences pathologiques de la maladie de Lyme
Les conséquences pathologiques de la maladie de Lyme Travail de maturité réalisé au Lycée Jean-Piaget de Neuchâtel sous la direction de M. Latif Camara Lye Paillard Ce travail montre l intérêt que représente
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailInterprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012 Barbara KULI CHU de la Réunion Service de Médecine Interne, Unité des Maladies Infectieuses Service d'immunologie Clinique, CDAG, CIDDIST Cas Mr M 58 ans
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailComprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu
Comprendre son Psoriasis du Cuir Chevelu Vous avez un psoriasis du cuir chevelu ou une personne de votre entourage en est atteinte. Cette brochure vous est destinée. Grâce aux informations transmises,
Plus en détailLa borréliose chronique et persistante
Dr. Petra Hopf-Seidel Spécialisée en neurologie et psychiatrie Spécialisée en médecine générale Qualification complémentaire en chirothérapie Membre de la Deutsche Borreliose Gesellschaft Membre du Deutscher
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailSymptômes et caractéristiques
Maladie de Lyme Symptômes et caractéristiques Une compilation de la littérature revue par des pairs " Initialement considérée comme une affection commençant dans la peau et impliquant progressivement les
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSymptômes et caractéristiques
Maladie de Lyme Symptômes et caractéristiques Une compilation de la littérature revue par des pairs " Initialement considérée comme une affection commençant dans la peau et impliquant progressivement les
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailVivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique
PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailDermatologie buccale
Dermatologie buccale Sophie-Myriam DRIDI - Anne-Laure EJEIL Sophie KOSINSKI, Attachée, hôpital Albert Chenevier/Créteil, Paris. Anne-Laure EJEIL, MCU/PH, hôpital Bretonneau, Paris. François LEPELLETIER,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailEvalua&on tests diagnos&ques. Arnaud Fontanet
Evalua&on tests diagnos&ques Arnaud Fontanet Résultats d un test diagnos&que Maladie «Gold standard» Test expérimental + a b a+b - c d c+d a+c b+d Evaluation tests diagnostiques. Arnaud Fontanet 2 Résultats
Plus en détailCONFERENCE sur la BORRELIOSE (Maladie de Lyme)
RESUME de ma CONFERENCE sur la BORRELIOSE (Maladie de Lyme) Par Bernard CHRISTOPHE, Diplômé d Etat en Pharmacie, gérant de NUTRIVITAL (03 88 69 11 33) Spécialisé en Phytoaromathérapie et Recherche des
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détail