Calcul d'un pieu vissé moulé dans une argile plastique

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1 Calcul d'un pieu vissé moulé dans une argile plastique Michel BUSTAMANTE Docteur-ingénieur Luigi GIANESELLI Technicien Section des fondations Laboratoire central des Ponts et Chaussées Jean-Claude CAMBIER Bureau d'études Géoméca RÉSUMÉ L'article présente les résultats d'un essai de chargement effectué sur un pieu vissé moulé dans l'argile des Flandres. L'essai avait pour buts : - la vérification de la capacité portante réelle de ce type de pieu qui suscitait fréquemment de vives discussions entre spécialistes en raison du manque de méthode de calcul reconnue ; - de chiffrer les valeurs des différents paramètres de calcul, q s> kp, k c afin d'élaborer une méthode de calcul basée sur l'interprétation des essais pressiométriques et pénétrométriques. Le dépouillement des résultats a montré que la portance globale de ce type de pieu était élevée, malgré une fiche et un diamètre somme toute modeste, et que par conséquent la technique du pieu vissé moulé était bien adaptée aux argiles plastiques du Nord de la France. MOTS CLÉS : 42 - Calcul - Portance - Pieu - Béton coulé sur place - Essai - En place - Charge - Statique - Argile - Pressiomètre Essai de pénétration statique -/Pieu vissé moulé. Dans le cadre d'une étude de fondation pour un ensemble d'immeubles d'habitation, étude réalisée par la société Géoméca, il a été demandé au LCPC de vérifier, par un essai préalable de chargement en vraie grandeur, la portance réelle d'un pieu vissé moulé. Paradoxalement, ce type de pieu, d'ailleurs bien adapté aux sols cohérents du nord de la France et de la Belgique, et commercialisé déjà depuis de nombreuses années, suscitait fréquemment, au stade du projet, de vives discussions entre spécialistes en raison du manque de méthode de calcul reconnue. L'essai envisagé eut donc pour but : de vérifier tout d'abord que le dimensionnement des pieux effectué au niveau du projet était non seulement satisfaisant, c'est-à-dire garantissait les marges de sécurité réglementaires, mais évitait tout dimensionnement abusif; d'apporter une idée précise du comportement général sous charge statique; de montrer comment s'effectue la distribution effective du frottement latéral et de l'effort de pointe sous différents taux de charge appliquée en tête ^t notamment sous les charges caractéristiques nominales Q N, de fluage Q C et limite QL, d'indiquer éventuellement quels pouvaient être les éléments de la mise en œuvre susceptibles d'avoir une répercussion sur la portance globale ou l'une de ses composantes; 53 Bull, liaison Labo. P. et Ch sept.-oct Réf. 2826

2 de chiffrer, enfin, les valeurs limites unitaires du frottement latéral q s et de la résistance de pointe Ql/S P pour être en mesure, à partir des caractéristiques géotechniques du sol, d'élaborer une méthode de calcul pour les pieux vissés moulés mis en œuvre dans les argiles plastiques, en raison de leur importance pour tout le nord de la France. RECONNAISSANCE ET DONNÉES GÉOTECHNIQUES DU SITE D'ESSAI La première campagne de reconnaissance effectuée en 1980 par la société Simecsol comprenait (fig. 1): sept sondages pénétrométriques statiques Parez ( l ) (Ps. 1 à Ps. 7); trois sondages carottés (S. 1 à S. 3); trois sondages pressiométriques Ménard (Pr. 1 à Pr. 3); la mise en place de trois piézomètres. A la demande du LCPC, cette première campagne fut complétée par un sondage au pressiomètre autoforeur PAF, modèle 76, utilisable en étude courante. Ce sondage de 20 m de profondeur a été réalisé par le Laboratoire de Lille au voisinage immédiat du pieu d'essai (moins de 2 m). En outre, quatre sondages au pénétromètre statique Gouda ( 2 ) de 101 furent réalisés à moins de 1,5 m de l'axe du pieu pour le plus proche (P. 3 et P. 4). L'ensemble des sondages a mis en évidence : une couverture de limons d'épaisseur variable (4 à 8 m) avec quelques passées sableuses, une couche d'argiles plastiques de l'yprésien, reconnue jusqu'à 25 m de profondeur. Au droit du pieu d'essai, la couche de limons atteint une épaisseur de 6 m, le niveau de la nappe phréatique oscillant entre 1,15 et 1,50 m du terrain naturel. Les figures 2, 3 et 4 synthétisent les différentes caractéristiques géotechniques obtenues pour les sondages les plus proches du pieu d'essai. On remarquera qu'en ce qui concerne les sondages pressiométriques type Ménard, le plus proche (Pr. 1) reste situé à quelques 50 m du pieu, ce qui est considérable pour un terrain indiquant une hétérogénéité certaine. Ainsi, lors des interprétations ultérieures liées aux méthodes pressiométriques de calcul (voir Méthodes pressiométriques) on s'alignera sur le sondage établi au PAF. Le fait que celui-ci ait été réalisé à moins de 2 m du pieu d'essai, et la qualité des corrélations «p x -p 2Q» dont on dispose à ce jour pour les argiles plastiques [1] autorisent à prendre ce sondage comme référence. On notera également les faibles valeurs q c obtenues dans les argiles de compacité p x ou p 20 comprises entre 1,5 et 1,8 M Pa. De même le rapport moyen qjp 20 égal sur ce site à 2,4 est nettement en dessous des rapports habituels obtenus pour ce type de matériau, estimés par certains auteurs [2] de 3 à 3,5. Le tableau I récapitule les valeurs moyennes des paramètres pénétrométriques et pressiométriques pour les différentes sous-couches. TABLEAU I Pénétromètre statique Pressiomètre Nature des sols Type Parez * Type Gouda Sonde Ménard * Sonde PAF 76 le (MPa) le (MPa) PY (MPa) Pio (MPa) Limons : là 5 m 1,0 à 2,0 0,1 à 1,5 0,15 à 0,45 0,3 A Pénétromètre statique Parez Pressiomètre Ménard o Sondage carotté Pénétromètre statique Gouda m Fig. 1. Implantation des sondages de reconnaissance par rapport au pieu d'essai. Argile des Flandres : 5à 9m 9 à 14 m 14 à 17m 1,0 à 2,5 2,0 à 4,0 2,0 à 4,0 1,0 à 2,0 0,6 à 1,3 1,5 à 3,0 1.0 à 1,40 1,5 à 4,0 1.1 à 1,85 0,7 0,9 1,5 * Valeurs données à titre d'information en raison de l'éloignement des sondages par rapport au pieu d'essai. (') Diamètre de la pointe: 45 mm, vitesse de fonçage : 2 cm/s. ( 2 ) Mis en œuvre par la société France-Atlas. Diamètre de la pointe : 36 mm, vitesse de fonçage : 2 cm/s. 54

3 ESSAIS AU PRESSIOMETRE AUTOFOREUR SONDAGE PAF: 1. D»«. 1S-2au MOUVAUX 1591 Pqrc du Haut mont Coordonnées Lambert x:65f)10 v. 334 DO Cote NGFdedépart : ~36 m Niveau d'eau : 1,50m Fig. 2. Coupe pressiométrique obtenue au pressiomètre autoforeur PAF modèle

4 CONFECTION DU PIEU D'ESSAI Afin de limiter la gêne occasionnée au chantier par la préparation et le déroulement de l'essai, on a préféré tester un pieu situé en dehors de l'emprise des futurs bâtiments (fig. 1). Le pieu d'essai a été réalisé et équipé le entre 15 h 15 min et 17 h 45 min. La succession des différentes phases de sa confection est schématisée et illustrée par les figures 5, 6 et 7. Phase 1 (fig. 6a, b) Mise en place de la pointe perdue (fig. la) sur la tarière à hélice saillante (de diamètre maximal D H = 575 mm et de diamètre nominal D N = 410 mm) et accouplement sur le tube de fonçage (0 273 mm). Fonçage de l'ensemble par rotation et vérinage jusqu'à 18 m de profondeur. Cette opération, réalisée avec une machine Atlas (fig. 1b), a duré 31 min (cf. fig. 5). Phase 2 (fig. 6a) Mise en place du béton par l'intermédiaire du tube de fonçage. Cette opération avait été précédée, dans le cas présent, par la descente à l'intérieur du tube de fonçage d'un tube-logement métallique (0 50/55 mm) (fig. 7c) destiné par la suite à recevoir un train d'extensomètres amovibles. On notera que pour éviter tout étranglement du béton lors de sa mise en place, on a utilisé un béton très plastique (cône de 21/22) dosé de la façon suivante : ciment CLK 325 : 350 kg, eau : 200 kg. Phase 3 (fig. 6a) Relevage du tube de fonçage et bétonnage du pieu. Ces opérations sont réalisées en inversant le sens de la rotation et en remontant simultanément le tube. Le béton remplit alors l'empreinte laissée par la tarière à hélice saillante (fig. Id). Le pieu d'essai, équipé après bétonnage d'une cage d'armature sur les sept premiers mètres, avait une fiche dans le sol de 18 m. Plusieurs éprouvettes de béton furent prélevées lors du bétonnage pour déterminer par la suite les valeurs des modules E B, nécessaires pour l'interprétation de l'essai. Pour six éprouvettes d'âge égal à celui du béton du pieu le jour de l'essai, on a mesuré les valeurs suivantes E B : , , , , , MPa. On notera que le dégagement du pieu effectué uniquement sur les trois premiers mètres, après réalisation de l'essai statique de chargement, a permis de vérifier que le fût était en fait très régulier, ne présentant que de très faibles ondulations. Le diamètre moyen mesuré, pour ces trois premiers mètres, était de l'ordre de 550 mm. Cette valeur a été retenue lors de l'interprétation ultérieure, mais il n'est pas interdit de penser que dans les couches plus compactes, près de la pointe, le diamètre moyen ne soit très légèrement plus faible. granulai 0/5 : 900 kg, granulai 7/14 : 950 kg, 20 temps de vérinage (s) Í MOUVAUX pieu VMO Exécuté le Fig. 5. Vitesse de fonçage relevée lors de l'exécution du pieu d'essai vissé moulé (VMO). Fig. 6a. Phases caractéristiques de l'exécution d'un pieu vissé moulé. S 15 0/v(mm) DH (mm) Arrêt du vérinage l Fig. 6b. Diamètres caractéristiques des outils de fonçage. 56

5 DISPOSITIFS DE CHARGEMENT ET DE MESURE Le massif de réaction retenu fut le système France- Atlas constitué par quatre cuves à eau de 45 m 3 chacune (fig. 8) permettant de développer, après remplissage et lestage complémentaire, une poussée maximale de 2,0 MN. En raison du mode de solidarisation des cuves, le pieu dut être dégagé sur le premier mètre afin de pouvoir le charger par la suite. La fiche totale dans le sol valait donc finalement 17 m (fig. 9). L'application de la charge fut assurée par un vérin simple effet, alimenté par une pompe manuelle. Le contrôle de la charge fut assuré à l'aide d'un peson annulaire type LCPC de 2,5 MN. Les enfoncements de la tête du pieu ont été mesurés à l'aide de quatre comparateurs électriques (précision 1/100) disposés autour de la tête du pieu et montés sur une base de référence réputée fixe. Les mesures des raccourcissements unitaires (A///) des tronçons fictifs du fût ont été effectuées à l'aide d'un extensomètre amovible comprenant sept bloqueurs dilatables, modèle 72 [3]. 57

6 Plate - forme NGF L IMON ARGILE des FLANDRES Fig. 9. Géométrie du pieu d'essai et des tronçons fictifs de mesure. _7flm Fig. 8. Système de réaction constitué par quatre cuves à eau. Niveaux des extensomètres ESSAI DE CHARGEMENT ET INTERPRÉTATION DES MESURES Le chargement du pieu a eu lieu trois semaines après sa confection, le 29 octobre Le programme de chargement, conforme aux directives générales du mode opératoire des LPC [4] ou du DTU 13-2 «Fondations profondes» [5], comportait un cycle unique de chargement de douze paliers de 0,16 MN. Le temps d'application de chacun de ces paliers a été limité à une heure, à l'exception du dernier qui n'a pu être maintenu que 25 minutes. Les mesures d'enfoncement de la tête du pieu ont permis d'établir les relations caractéristiques des figures 10, 11 et 12 : enfoncement de la tête (y 0 ) - charge en tête (Q 0 ), enfoncement de la tête (y 0 ) - logarithme du temps (0, vitesse de fluage (a) - charge en tête (Q 0 ). La courbe de la figure 10 montre que la charge limite Q L a été très nettement atteinte lors du 12 e palier correspondant à l 920 kn. Il est à noter que cette 1500 Fig. 10. Courbe de chargement du pieu d'essai. 58

7 Fig. 11. Relations enfoncement de la tête du pieu - logarithme du temps. TABLEAU II Charges (kn) QL = Enfoncements (mm) Tête (v ) Pointe (y p ) 15,5 à la l re min 32,0 à la 15'min 62,0 à la 25' min 12,5 à la \" min 28,9 à la 15'min 59,1 à la 25'min Qc = ,2 3,7 QH = 964 3,5 1J I 1m n MOUVAUX (59) pieu vissé moulé essai du Après déchargement complet Environ 64 fx(mm) 1920 kn MOUVAUX (59) pieu vissé moulé essai du C =1350 kn / 1 / «charge n'a pu être maintenue que pour les toutes premières minutes, la vitesse d'enfoncement du pieu ne pouvant être compensée dans les minutes qui suivirent par le système pompe-vérin. A la 25 e minute, la charge limite Q L finit par se stabiliser aux alentours de kn et cela, après un enfoncement de la tête y 0 de plus de 60 mm, soit plus de 1/10 du diamètre du pieu. Entre la 15 e et la 25 e minute d'application du palier, intervalle au cours duquel on put observer très nettement le phénomène de poinçonnement, la vitesse d'enfoncement de la tête atteignit 3 mm/min. On a pu également vérifier par la suite que la vitesse d'enfoncement de la pointe était du même ordre (fig. 10). Partant des relations y 0 lg / (fig. 11) exprimant l'évolution du fluage, on a déterminé (fig. 12) la valeur de la charge critique de fluage Q c. Cette dernière a été estimée à kn, ce qui après application d'un coefficient de sécurité égal à 1,4, conduit à une charge nominale (admissible) Q N = 964 kn. Le tableau II récapitule l'ensemble des charges caractéristiques mesurées et des enfoncements associés. L'interprétation des résultats fournis par l'extensomètre amovible (fig. 13) permet de connaître la 500 Fig. 12. Charge en tête ( kn ) J i > - Détermination graphique de la charge critique de fluage O... Déformations unitairesai/l S0 HO-6} Fig. 13. Distribution des raccourcissements unitaires A/// le long du fût. 59

8 distribution des efforts le long du fût (fig. 14) et d'établir la loi de mobilisation du frottement latéral unitaire q s (fig. 15) en fonction du déplacement par rapport au plan de référence des bases fixes, pour chacun des tronçons de mesure : A, B, C, D, E et F. L'examen des courbes de la figure 14 montre que la pointe du pieu est sollicitée dès les premiers paliers pour atteindre 432 kn sous la valeur maximale de la charge limite (1 920 kn) à la première minute. On observera par la suite : et Qi = 585 kn à la 15 e min, Ql = 675 kn à partir de la 25 e min. Toutefois, à cette augmentation de l'effort sous la pointe correspondait, au fur et à mesure de l'enfoncement, une chute concomitante très nette du frottement latéral, expliquant la réduction d'environ 12 % de la charge limite QL initiale (1 750 au lieu de kn). Le fait que la charge limite QL passe par un pic est intéressant à noter. Cela amène à conclure que, pour les pieux fichés dans les argiles plastiques, les coefficients de sécurité pris sur QL constituent un maximum susceptible de chuter, si pour une raison ou une autre le pieu venait à être surchargé. Pour ce qui est des valeurs limites du frottement latéral unitaire q s correspondant à la charge limite maximale, on a mesuré pour les différents niveaux (fig. 15) : 5 à 10 kpa pour les limons de couverture et les premiers mètres de la couche d'argiles altérées des Flandres; 85 à 120 kpa pour les argiles des Flandres comprises entre 9 et 18 m avec une valeur moyenne de 105 kpa. On remarque les très faibles valeurs mesurées sur les premiers mètres. Celles-ci sont nettement inférieures (d'au moins 50 %) à ce que l'on a pu mesurer dans de pareils matériaux pour des pieux forés [6]. Cela ne peut s'expliquer que par le remaniement provoqué par le refoulement de matériaux sensibles sous vitesse de fonçage relativement élevée, estimée dans le cas présent à 3 m/min. Dans les couches d'argiles plus compactes, mais où la vitesse de fonçage était plus faible, de l'ordre de 1 m/min, on a mesuré des valeurs q s non seulement élevées, mais supérieures en moyenne à ce que l'on a l'habitude d'obtenir pour des sols identiques le long de pieux forés [7]. CALCUL DES PIEUX VISSÉS MOULÉS DANS L'ARGILE PLASTIQUE Partant de l'ensemble des résultats obtenus lors de l'essai de chargement, on a chiffré les valeurs des coefficients de portance caractéristiques associés à la méthode pressiométrique Ménard [8, 9] ainsi qu'à la méthode développée à partir du PAF[10, 11], cela dans le but de pouvoir rattacher le calcul des pieux vissés moulés à chacune de ces méthodes de prévision. La même démarche a été faite pour le pénétromètre statique. Méthodes pressiométriques Pressiomètre Ménard Les facteurs de portance /c p correspondant aux différentes valeurs de la résistance de pointe valent (voir annexe) respectivement : k~ p = 1,03, après la l r e min, /tp = 1,47, à la 15 e min, k~ p = 1,73, à partir de la 25 e min. 60

9 Si l'on retient les deux dernières valeurs comme plus représentatives en raison des enfoncements du pieu, on obtient une valeur moyenne de 1,60. On propose pour tout pieu vissé moulé dans les limons ou argiles plastiques, et dont la fiche est supérieure à l'encastrement critique, de calculer sa charge limite Q L de la manière suivante : QL = Ql + Ql ou selon Ménard : la résistance de pointe limite Q F L = k p. S p (p 1 P 0 ) + S P-QO et le frottement latéral limite Ql = q si A si i mais où les valeurs k p et q si seraient déterminées à partir des abaques [12] des figures 16 et 17. L'abaque de la figure 17 est à utiliser en respectant les directives du tableau III. Abaques Ql Pi (MPa) TABLEAU III Méthode pressiométrique Commentaires sur les conditions d'exécution < 0,5 Conditions habituelles prévues par le DTU Q.2 > 0,7 Ne retenir pour les argiles et limons de /7j < 1,0 MPa que lorsque la vitesse de fonçage est faible (moins de 1 m/min) sinon adopter Q.I. Q3 > 1,5 Ne retenir pour les argiles et limons que lorsque la vitesse de fonçage est faible (moins de 1 m/min), sinon adopter Q.2. Enfin, on proposera pour le calcul de la charge nominale d'adopter un même coefficient [12] pour la pointe et le frottement, soit 2 : ' kp pour he/d>à l'encastrement critique Q n Ql Ql ~Y 2 2,0. 1,0 On peut vérifier (voir les calculs en annexe) que la prise en compte de ces recommandations conduit à une charge limite calculée Q L = kn, à comparer à la charge mesurée Q L = kn, et une charge nominale Q N = 997 kn qui est à comparer à Q N = 964 kn. r 1 \-P 0(MPa) 0 1,0 2,0 3,0,0 Fig. 16. Abaque pour l'évaluation du facteur de portance k p (pressiomètre Ménard). L'application des règles Ménard (ou FOND 72) conduirait à une valeur Q L = kn, surestimant dangereusement la portance limite. Cela est dû principalement à l'obligation d'avoir à prendre en compte k p = 3,6 pour des argiles relevant de la catégorie II. Pressiomètre autoforeur a qs(mpa) La résistance limite unitaire q x de la fondation est calculée par une relation dérivée de la méthode Ménard de la forme : 1i <lo où (j; est le facteur de portance. = i>(p2o Po)> 0 0,5 1,0 1,5 2, ,0 3,5 Fig. 17. Abaque pour l'évaluation du frottement latéral unitaire q s (pressiomètre Ménard). Point important pour le calcul de la section de la pointe S p et des tronçons de surfaces latérales du fût A si, on proposera de retenir, dans la pratique, le diamètre suivant : D = 0,9 D H où D H correspond au diamètre maximal de l'hélice saillante (fig. 6b). Les valeurs effectives de $ qui varient d'ailleurs assez sensiblement en fonction de p 0 (voir annexe) sont égales suivant le terme de pointe à : 5 = 1,48 à 0,99, après la l r e min, $ = 2,11 à 1,41, à la 15 e min, <!/ = 2,48 à 1,66, après la 25 e min. Si l'on tient compte des valeurs if correspondant aux charges mesurées lors de la 15 e et de la 25 e minute (avec # 0 = 0,5 ou K 0 = 1,0) parce que plus représentatives en raison des enfoncements observés, on obtient une valeur moyenne de l'ordre de 1,55 à 1,65. Comme on peut le constater, ces valeurs sont pratiquement égales à la valeur moyenne k~ p associée au pressiomètre Ménard. 61

10 Cela inciterait à adopter pour le calcul du terme de pointe Q v h des valeurs de <\i prises sur un abaque semblable à celui de la figure 16, mais fonction de p* 0. Sols Niveau fictif du pieu Pio (kpa) TABLEAU IV Po O PÌo (kpa) (kpa) (%) "^max (kpa) (kpa) T max Pour ce qui est du frottement latéral, on peut également tenter d'établir une relation entre q s et /? 0 ou éventuellement r m a x à partir des données du tableau IV. Argiles des Flandres Limons Il est intéressant de constater que dans le meilleur des cas le frottement mesuré q s n'excède pas en moyenne 50 % de la résistance au cisaillement -r max mesurée au PAF. Il constitue une part infime de cette dernière, en moyenne 10 % pour les limons de couverture et le début du toit de l'argile, au travers desquels la vitesse de fonçage est restée élevée. Au vu des données du tableau IV, on peut proposer, pour le calcul du frottement le long d'un pieu vissé moulé, un système d'abaques apparenté à celui de la figure 17, mais aligné sur la caractéristique p* 0. Par analogie avec le pressiomètre Ménard, l'utilisation des abaques Q. 1, Q. 2 et Q. 3 impliquerait de satisfaire aux recommandations du tableau III dans lequel on substituerait p* 0 à p 1. A B C D E F (') Valeur calculée avec K, = 0,5 et y = 19kN/m ,46 0,34 0,71 0,04 0,08 0,18 plastiques et les limons, d'adopter pour le calcul du terme de pointe Q P L un facteur k c = 0,6. En ce qui concerne le calcul du frottement latéral, on propose pour l'estimation de q s d'utiliser les abaques de la figure 18 à partir des recommandations du tableau V. Abaques TABLEAU V Méthode pénétrométrique statique 1c (MPa) Commentaires sur les conditions d'exécution On peut vérifier (voir annexe) que le calcul de Q L sur ces bases conduirait aux charges caractéristiques : Q L = kn à comparer à Q L = kn, Q N = 923,5 kn à comparer à Q N = 964 kn. La méthode de calcul ainsi proposée paraît recevable, mais il y a lieu toutefois de vérifier sa validité pour plusieurs autres cas. Ql < 0,7 Conditions habituelles prévues par le DTU 13-2 Q.2 > 1,2 Ne retenir pour les argiles et limons de q c < 2,5 que lorsque la vitesse de fonçage est faible (moins de 1 m/min), sinon adopter Q. 1. Q.3 > 4,5 Ne retenir pour les argiles et limons que lorsque la vitesse de fonçage est faible (moins de 1 m/min), sinon adopter Q. 2. Méthode pénétrométrique statique On peut chiffrer, pour une valeur moyenne de q c = 3,5 MPa, les différentes valeurs du facteur de portance pénétrométrique /c c : /F c = 0,5 pour la l r e min, k~ c = 0,7 pour la 15 e min, = 0,7 pour la 15 min, = 0,8 à partir de la 25 e min. La valeur moyenne pour les dernières valeurs, qui vaut donc 0,75, est relativement élevée si on la compare aux valeurs k c proposées par certains auteurs [9, 13] et qui sont comprises entre 0,45 et 0,50 pour des argiles. Dans le cas présent, la différence de l'ordre de + J50 % résulte de l'obligation de prendre en compte une valeur q c relativement basse ( 3 ) pour des argiles de p 1 = 1,8 MPa. On peut proposer, pour les études courantes, pour dimensionner les pieux vissés moulés dans les argiles Fig. 18. Abaque pour l'évaluation du frottement latéral unitaire qs (pénétromètre statique). ( 3 ) Sur d'autres sites, on a fréquemment trouvé dans de pareilles argiles des valeurs q c de l'ordre de 4,5 à 5,0 MPa. 62

11 Dans le cas présent, pour un pieu de diamètre D = 0,9 D H fiché dans une argile de q e = 3,5 MPa, on arrive sur ces bases à des charges calculées : Q L = kn à comparer à Q M = kn, Q N = 890 kn à comparer à Q N = 964 kn. On a également pu appliquer l'ensemble des méthode's proposées au cas d'un pieu d'essai vissé moulé dans ces mêmes^argiles et réalisé en décembre 1977 sur un site expérimental de la région de Tourcoing. Il faut rappeler tout d'abord que cet essai, effectué à la demande du BRGM et suivi par la société Simecsol, intéressait un pieu de diamètre D H = 710 mm et de fiche 16,50 m. La pointe était encastrée dans une argile de q c = 2,5 MPa et p* = 0,73 MPa. Ce pieu, qui n'était pas instrumenté, a été poussé jusqu'à sa charge limite ( 4 ) Q L = kn. La charge critique de fluage Q c a été estimée à kn. Le tableau VI récapitule, pour le pieu de Tourcoing, l'ensemble des valeurs calculées et mesurées. Charge mesurée (kn) TABLEAU VI Méthodes proposées par Bustamante-Gianeselli Pressiomètre Ménard (kn) Pénétromètre statique (kn) QL Qc Q* 890 * * Par application d'un coefficient de 1,4 sur la charge critique de fluage. au niveau du comportement général sous charge statique, un pieu vissé moulé dans les argiles plastiques n'indique aucun particularisme, obéissant aux mêmes lois de mobilisation des efforts le long de son fût que les autres types de pieux forés ou battus; la portance globale de ce type de pieu s'avère élevée pour une fiche et un diamètre somme toute modestes. Cela résulte de l'importance du terme de pointe qu'assure le refoulement du sol (à l'instar des pieux battus) et des frottements unitaires conséquents pour des couches de compacité relativement moyenne (pour obtenir à coup sûr de tels frottements pour des pieux forés dans ces mêmes sols il y aurait lieu de recourir à l'artifice du grattage des parois); la technique du pieu vissé moulé, en raison même de sa rapidité d'exécution reste, bien évidemment dans les limites qui lui sont propres (longueur maximale 22 m et diamètre D H ^ 830 mm), très bien adaptée aux argiles plastiques du nord de la France. On conseillerait même, dans le but d'augmenter la rapidité du bétonnage, d'utiliser des bétons de très grande maniabilité, voire même des microbétons au mortier; il est possible de prévoir avec une bonne approximation la portance des pieux vissés moulés dans les argiles plastiques ou limons à partir des abaques proposés (voir partie consacrée au calcul) et l'exploitation d'essais pressiométriques (sonde Ménard ou même sonde PAF modèle 76) et pénétrométriques statiques CPT. On a considéré toutefois qu'en raison de leur plus grande sélectivité, le dimensionnement à partir des essais pressiométriques pouvait conduire parfois à une meilleure prévision des charges calculées. Enfin, compte tenu des avantages liés à la conception de ce type de pieu, il serait opportun de tester un pieu instrumenté confectionné cette fois dans les sables ou sables graveleux. CONCLUSIONS Au vu des résultats obtenus, il a été possible de conclure ce qui suit : le dimensionnement préalable des pieux du projet était satisfaisant puisque l'on aurait finalement adopté des fiches de 17,7 m pour reprendre des charges nominales de Q N = 659 kn. On a considéré, vu l'hétérogénéité certaine du site, qu'il était prudent de surdimensionner légèrement les fiches des pieux du projet; ( 4 ) Valeur mesurée à l'aide d'un peson à jauges. La valeur donnée par les manomètres (Q L = kn) pouvant être considérée comme non représentative. Il faut remarquer à ce propos, que la charge de kn obtenue lors du 9 e palier correspondait bien à un poinçonnement du sol sous la pointe et non à une rupture des ondulations du fût. On a bien vu, dans le cas du pieu de Mouvaux, que sous la charge Q L le pieu s'enfonçait brutalement. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES [1] JÉZÉQUEL J.-F., LE MEHAUTÉ A., Le pressiomètre autoforeur, Rapp. LR Saint-Brieuc, avr [2] VAN WAMBEKE A., D'HEMRICOURT J., Correlation between the results of static or dynamic probing and pressuremeter tests, Proceeding of 2nd European Symposium on Penetration Testing, Amsterdam, mai [3] BUSTAMANTE M., JÉZÉQUEL J.-F., Mesures des elongations dans les pieux et tirants à l'aide d'extensomètres amovibles, Travaux, 489, déc [4] LCPC, Projet de mode opératoire, Essai statique de fondations profondes, mai [5] CSTB, Fondations profondes, DTU, 13-2, juin [6] BUSTAMANTE M., GIANESELLI L., Calcul de la portance et de la capacité d'ancrage des fondations profondes dans l'argile des Flandres, Conf. CFMS, 26 avril 1982, Paris. [7] BUSTAMANTE M., GIANESELLI L., Portance de deux pieux forés tubes dans l'argile des Flandres, Rapp. LCPC, sept

12 [8] MÉNARD L., Calcul de la force portante des fondations sur la base des résultats des essais pressiométriques, Sols-Soils, 5, juin 1963, p [9] BUSTAMANTE M., GiANESELLi L., Prévision de la capacité portante des pieux isolés sous charge verticale. Règles pressiométriques et pénétrométriques, Bull, liaison Labo. P. et Ch., 113, mai-juin 1981, p [10] BAGUELIN F., JÉZÉQUEL J.-F., LE MÉHAUTÉ A., Le pressiomètre autoforeur et le calcul des fondations, Congr. de Brighton 1979, vol. 2. [11] BAGUELIN F., Rules of foundation design using selfboring pressuremeter tests results, Sympos. on the pressuremeter and its marine applications, Paris, avr [12] BUSTAMANTE M., GIANESELLI L., Calcul de la capacité portante des pieux isolés sous charge statique verticale, Rapp. LCPC, déc [13] PHILIPPONNAT G., Méthode pratique de calcul d'un pieu isolé à l'aide du pénétromètre statique, Rev. Fr. Géotech., 10, p ANNEXE A. PRESSIOMÈTRE MÉNARD Diamètre de l'hélice saillante : D H = 565 mm, Diamètre effectif : D = 550 mm, Section pointe présumée : S p = 0,237 m 2, avec y = 19 kn/m 3 à 17 m de profondeur q 0 = 323 kn/m 2 et d'où on a tiré : K 0 = 0,5, p 0 = 246 kpa, Pie - Po = = kpa, k~ p = 1,03 pour Q P L = 432 kn, k~ p = 1,47 pour Ql = 585 kn, k~ p = 1,73 pour Ql = 675 kn. Calcul de la charge limite Q L d'après les abaques des figures 15 et 16 (Bustamante, Gianeselli) : p* = kpa, k p = 1,75, S p = 0,20 m 2 Terme de pointe : Ql = 575 kn, Frottement : de là 5 m, abaque Q. 1, de 5 à 9 m, abaque Q. 1, de 9 à 14 m, abaque Q. 2, de 14 à 17 m, abaque Q. 3, (D = 0,9 D = 0,508 m) d'où 2 = 115, , , ,0 = kn Charge limite ôi. = = kn, QL Charge critique de fluage Q C = - = kn, QL Charge nominale Q N = = 997 kn. B. PRESSIOMÈTRE AUTOFOREUR MODÈLE 76 Calcul de la valeur : La valeur p 0 = 735 kpa mesurée en place au niveau de la pointe semblant trop élevée en raison d'un refoulement très probable du sol (bourrage de la trousse coupante et/ou vitesse de foncage trop grande), on a également calculé en tenant compte de plusieurs valeurs de K 0 à savoir K 0 = 0,5 et K 0 = 1,0. Ces dernières conduisent aux valeurs respectives de p 0 = 246 kpa et p 0 = 323 kpa. 64

13 Les valeurs correspondantes *]> valent ainsi : ( ' 9 9 i> = } 1,05 pour Ql = 432 kn ( 1,48 (! < 41 $ = J 1,50 pour Ql = 585 kn ( 2,11 ( 1,66 $ = î 1,76 pour Ql = 675 kn (2,48 Calcul de la charge limite Q L d'après les abaques des figures 15 et 16 Terme de pointe : Ql = 575 kn Frottement (calculé cette fois à partir de p\ 0 ) : p* 0 = kpa, $ = 1,75, S p = 0,20 m 2 Ql = 95, , , = kn, d'où 2Q L = = kn, Q N = 923,5 kn.

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