essai statique de fondations profondes
|
|
- Jean-Luc Beaudry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 essai statique de fondations profondes P R E S E N T A T I O N F. BAGUELIN Ingénieur des Ponts et Chaussées Chef de Section adjoint à la Section de Mécanique des Sols Laboratoire Central Responsable du G.E.E.S.F.0 P. En 7965 fut créé, à l'initiative du Laboratoire Central, du Service Central d'etudes Techniques et du Service Spécial des Autoroutes *, le Groupe d'etudes d'essais Statiques de Fondations Profondes ou G.E.E.S.F.O.P., avec notamment les objectifs suivants [2] : établir un mode d'exécution de l'essai statique, améliorer les méthodes d'interprétation, développer nos connaissances sur le comportement du pieu. En proposant un mode opératoire de l'essai statique, ** le G.E.E.S.F.O.P. franchit actuellement une étape importante, mais qui, pour être appréciée à sa juste mesure, doit être resituée dans le contexte général des études géotechniques et de l'état des connaissances en matière de fondations profondes ; et c'est bien là l'objet de l'article de MM. Jézequel et Marchai que l'on trouvera ci-dessous. Deux traits importants du mode opératoire peuvent être relevés : 7 - La qualité des mesures y est, à juste titre, un des soucis principaux. En effet, contrairement à une opinion assez répandue, l'interprétation d'un essai de pieu est délicate, et, l'essai étant onéreux, il est indispensable d'être en mesure de l'interpréter le plus correctement possible. 2- résulte d'un choix, portant notamment sur le programme de chargement : valeur, succession et durée des paliers. Choix raisonné, ainsi que le montre l'article, mais gardant néanmoins un caractère arbitraire. Il est cependant nécessaire que chacun se conforme scrupuleusement aux règles proposées, car la standardisation fût-elle relative est une condition essentielle aux progrès en matière de fondations profondes. Seule elle peut permettre de comparer valablement plusieurs essais effectués sur des pieux et des sites différents, et donc de porter une appréciation sur les méthodes de prévision actuellement disponibles et de les améliorer, ce qui est un des objectifs essentiel proposés au Groupe. Il ne faut pas perdre de vue, par ailleurs, que l'essai de pieu a, lui-même, un caractère relatif : il doit s'insérer dans une étude géotechnique complète et ne donne pas «ipso-facto» la réponse aux problèmes de fondations. Enfin, le mode opératoire proposé sera mis à l'épreuve sur une période de deux ans, c'est-àdire que ses insuffisances et ses défauts, constatés par les utilisateurs, devront être portés à la connaissance du Laboratoire Central pendant cette période, afin que les ajustements nécessaires soient ensuite effectués. Nous entrons donc dans une phase nouvelle de l'activité du Groupe, où la collaboration active des maîtres d'œuvre, entreprises et bureaux d'études de fondations, est sollicitée. Que ce travail soit de longue haleine et requiert un effort commun, il est facile à chacun de s'en convaincre en sachant que l'étape franchie aujourd'hui, très modeste par rapport à ce qui reste à faire, repose sur le travail de plusieurs années et sur l'expérience de la dizaine de membres du G.E.E.S.F.O.P., de provenances diverses, animé par M. Jézequel. Le faible niveau des connaissances sur le comportement des pieux et sur la prévision de ce comportement, reconnu universellement, doit cependant nous inciter à l'entreprendre. * Les deux derniers formant actuellement le Service d'etudes Techniques des Routes et Autoroutes (S.E.T.R.A.). ** Ce mode opératoire est mis en diffusion par le L.C.P.C., sous forma de projet, fin avril Bull. Liaison Labo. Routiers P. et Ch. n» 44 - Mars-Avril Réf. 843 r-
2 L'essai statique de fondations profondes, appelé plus couramment «essai de pieu», est un essai de mécanique des sols. Ceci peut paraître une évidence. Pourtant, combien d'essais de ce genre ont été réalisés sans que le spécialiste des sols ait eu à apprécier les trois points importants que sont : opportunité, réalisation et exploitation de l'essai. Cela tient à deux raisons principales : il est simple, en apparence, de charger un pieu : «on voit bien quelle charge il peut supporter» ; les récentes règles des Documents techniques unifiés (D.T.U.) [] mises à part, il n'existait pas de recommandations véritables pour la réalisation de ces essais. Pour combler cette lacune importante, il a été créé le Groupe d'études d'essais statiques de fondations profondes (G.E.E.S.F.O.P.) [2] dont le rôle premier est de répondre aux trois problèmes énoncés plus haut et de rédiger un mode opératoire sur l'essai. CONDITIONS GENERALES DE L'ESSAI CONSTATATIONS Dans ce qui suit, on traitera surtout de l'essai statique d'enfoncement de pieu. Mais la plupart des remarques s'appliqueront également aux autres types d'essais (arrachement, sollicitations horizontales en tête). L'essai de pieu - Ses limites Il est tout d'abord nécessaire de réfuter l'opinion trop répandue que l'essai de pieu suffit seul à résoudre tous les problèmes, qu'il dispense donc de sondages ou d'études de sols. Des sondages et des essais de sols sont indispensables car, d'une part, sans eux, sauf cas particuliers, on ne peut pas orienter, a priori, la solution vers les fondations profondes, d'autre part, si des fondations profondes sont nécessaires, le choix du type de pieux (ou puits) dépend essentiellement des résultats qu'ils auront fournis. Pour des fondations profondes, neuf fois sur dix, une adjudication «au moins disant» n'aurait pas de sens : chaque type de pieu a son domaine préférentiel d'utilisation et ses limites, que seule l'étude préalable permet de fixer dans chaque cas. L'essai statique de chargement de pieux ne renseigne que sur les charges nominales en tête et les déplacements correspondants. Or, sauf quelques cas célèbres, mentionnés dans la littérature, les fondations profondes insuffisamment dimensionnées pour les charges verticales de l'ouvrage seul sont rares. Par contre, les échecs graves sont très nombreux qui proviennent : de la mise en place de pieux ou de leur fabrication, des poussées horizontales des remblais sur les pieux, etc. L'essai statique ne renseigne en aucune manière sur ces phénomènes, pas plus que sur le frottement négatif ou l'effet de groupe. Mais s'il y a peu d'exemple de poinçonnement du sol par des pieux, cela ne veut pas dire que la mécanique des sols sait exactement prévoir ce comportement et que, donc, les essais de pieux soient inutiles. Le graphique de la figure i donne, par exemple, le frottement latéral limite, dans les argiles, suivant divers auteurs [ ] en fonction de la cohésion non drainée C u et pour différents types de pieux. On constate une très grande divergence qui s'accroit avec l'augmentation des qualités du terrain. Fig. - Valeurs du frottement latéral dans les sols argileux suivant certains auteurs. 62
3 Malheureusement, la plupart des expérimentateurs ne définissent pas très clairement la façon dont ces valeurs ont été obtenues (par exemple, quel délai de repos a été respecté entre le battage éventuel et le chargement statique). On voit donc que si la mécanique des sols sait définir avec précision une cohésion C u, elle ne sait pas très bien qu'en faire ensuite (tout au moins en matière de fondations profondes). Opportunité de l'essai de pieu Dans certains cas, les essais de pieux ne sont donc pas inutiles. Encore faut-il les réaliser à bon escient. Circonstances où il est nécessaire d'effectuer l'essai Un essai de pieu sera conseillé lorsque : l'application des diverses méthodes de la mécanique des sols conduit à des résultats trop divergents ; ce sera souvent le cas pour des pieux très longs (au-delà de 5 à 20 mètres), surtout dans les matériaux silteux ou sableux, lâches et saturés ; les pieux reposent en pointe dans des craies altérées ou des marnes (même compactes), ces matériaux pouvant avoir un comportement particulier ; les pieux reposent en pointe dans des couches compactes de faible épaisseur ; les pieux métalliques (ou chemisés) travaillent au frottement latéral dans des argiles consistantes ou raides ; l'essai de pieu permet effectivement l'extrapolation des résultats à l'ensemble du site de l'ouvrage ; le mode de mise en œuvre peut provoquer un gain (ou une perte) important de charge nominale (notamment au frottement latéral), difficilement évaluable par l'étude de mécanique des sols. Circonstances où il est inutile de prévoir l'essai Un essai de pieu s'avérera généralement superflu lorsque : la pointe des pieux repose sur le rocher ou est encastrée de cinq à six diamètres dans un matériau pulvérulent compact régnant sur une forte épaisseur ; les pieux sont volontairement surdimensionnés pour résister à d'autres phénomènes (poussée des remblais, charges horizontales) ; il existe, au voisinage, des ouvrages dont les fondations sont bien connues et qui n'ont posé aucun problème ; le sol de fondation est très hétérogène. Il peut alors être préférable de multiplier les forages de reconnaissance et les essais en place (pressiomètre, pénétromètre...). Cas particuliers des formules de battage On évitera de faire un essai de pieu si les formules de battage conduisent à des charges nominales supérieures à la charge intrinsèque du pieu, c'est-àdire la charge obtenue en faisant travailler le béton au maximum de ses possibilités [7]. De même, si les résultats obtenus sont faibles, on se gardera de réaliser automatiquement des essais statiques : le G.E.E.S.F.O.P. considère, en effet, que l'application de telles formules ne peut conduire qu'à des résultats pessimistes dans la plupart des cas (frottement latéral très réduit par le battage). Un «rebattage» quelques heures ou quelques jours après suffit généralement à rassurer le maître d'œuvre. Choix du pieu d'essai Si l'essai est jugé opportun, deux cas peuvent se produire suivant que le pieu d'essai fait partie ou non de l'ouvrage. Dans le premier cas, les conditions de délais, d'accès, de mise en œuvre du dispositif de réaction seront primordiales, au point d'imposer le choix du pieu d'essai ; mais, chaque fois que celles-ci le permettront, le pieu d'essai devra être choisi parmi les pieux les plus chargés (en général les pieux périphériques, surtout s'il s'agit de pieux battus dans un sable, le phénomène de densification étant plus important au centre que sur les bords). Il faut également noter que, souvent, les maîtres d'œuvre hésitent à charger à plus de,5 fois la charge nominale QN un pieu inclus dans la fondation future ; cette crainte est, à notre avis, injustifiée dans le cas de pieux battus (il a bien fallu que le pieu soit amené à sa charge limite pour qu'il pénètre jusqu'à la cote voulue) ; dans le cas de pieux forés, la charge maximale d'essai peut être également majorée si le temps qui s'écoule entre l'essai et la construction de l'ouvrage (tablier en particulier) est suffisant pour permettre une reconstitution du sol (cf. «Délai de repos»). Dans le deuxième cas, le pieu devra être prédimensionné au plus juste et mis en place dans une zone reconnue comme étant peu différente de celle intéressée par l'ouvrage. Cette dernière solution est la plus intéressante et elle doit être retenue chaque fois que cela est possible : ou bien le chantier est en cours : l'essai statique pourra se dérouler normalement sans en gêner la marche ; ou bien le chantier n'est pas encore commencé : l'essai ne servira pas seulement de vérification, il permettra aussi de dimensionner au mieux la fondation réelle. Contrôle du pieu d'essai C'est une phase très importante qui devrait être systématiquement suivie par l'ingénieur responsable de l'essai statique. 63
4 Les points à surveiller particulièrement sont la verticalité, la cote atteinte par la pointe et les dimensions transversales tous les mètres, pour les pieux exécutés en place. Cette dernière précision, souvent difficile à obtenir pour certains types de pieux, est pourtant une donnée primordiale si l'on associe des mesures de contraintes par capteurs, placés à différents niveaux dans le fût du pieu. Réalisation de l'essai Le coût moyen d'un essai est actuellement de à francs ; I est bien plus élevé si, par exemple, les charges atteignent 500 ou 600 tonnes dans des sites difficiles. La part la plus importante de ces dépenses provient de la location et de la confection du dispositif de réaction et, éventuellement, de la fabrication du pieu d'essai (lorsque celui-ci est effectué isolément avant l'ouvrage réel). Pour les essais courants, les mesures proprement dites ont une incidence relativement faible sur le coût total de l'opération. Rien ne peut donc justifier que l'essai soit fait sommairement, comme c'est trop souvent le cas. La figure 2 représente deux courbes types de chargement de pieu. La courbe permet de distinguer trois phases principales (d'après Cambefort [8]) : une phase AB, domaine normal de travail du pieu, limitée supérieurement par la charge de fluage Q F, une phase BC, au cours de laquelle les enfoncements ne sont plus proportionnels aux charges en tête, une phase CD, au cours de laquelle le pieu s'enfonce rapidement et dont la valeur asymptotlque permet, en principe, de définir la charge limite Q L. Il est souvent difficile d'obtenir le domaine limite pour les pieux de très forte capacité portante (limite du dispositif de réaction). En toute rigueur, on ne sait même pas définir la charge limite : toute augmentation de charge en tête se traduit simplement par une vitesse d'enfoncement supérieure du pieu, la limite étant fixée par les possibilités de l'ensemble vérin-pompe. L'obtention de QF est donc primordiale dans bien des cas. Malheureusement, le phénomène n'est pas toujours net et les déplacements correspondants peuvent être très faibles (de l'ordre de quelques millimètres ou nettement moins pour des pieux flottants). Deux conditions doivent être nécessairement respectées pour obtenir une courbe type : Le délai de repos Comme indiqué précédemment, le fait de battre un pieu remanie le terrain s'il s'agit de matériaux argileux, silteux ou de sables lâches saturés. Les craies, matériaux thixotropes, sont également très affectées par les vibrations dues au battage. De même que l'application des formules de battage est alors très défavorable, la réalisation d'essais statiques, peu après le battage, conduit à des résultats très pessimistes. D. Pasturel [9] en donne un exemple clair à partir de trois essais réalisés sur un même site. Délai de repos (jours) Charge statique limite QL (tonnes) Charge dynamique limite (tonnes) Ecart relatif (%) Q F Charges en tête Q Essai Essai Essai On constate bien que l'amélioration de la charge limite statique augmente avec le délai de repos. Si le délai de repos est insuffisant, on obtient des courbes qui sous-évaluent fortement les possibilités du pieu (fig. 2 - courbe 2). Des mesures correctes L'essai de pieu ne peut être improvisé et il est bon que le chantier soit préparé et dirigé par un spécialiste. Fig. 2 - Courbes types de chargement. Le massif de réaction : Il joue un rôle très important, mais est hélas souvent imposé par des conditions de crédits, de délais, d'accès, de manutention, de disponibilité de matériel, etc. I64
5 Chaque fois que le sol de surface le permet, il est préférable d'utiliser des massifs de réaction «poids» plutôt que des ancrages. Ces derniers sont onéreux et nécessitent des délais supplémentaires. De plus, on connaît mal leur influence sur le pieu lui-même et, en cours d'essai, il peut être nécessaire de rattraper les déplacements excessifs de certains ancrages. Si la réaction est prise sur les pieux voisins de l'ouvrage, il est intéressant d'exploiter l'information qui peut être ainsi obtenue (fig. 3). Les massifs de réaction «poids» ne doivent pas être improvisés : des entreprises spécialisées disposent de massifs bien conçus, stables et surtout au platelage rigide, ce qui permet de solliciter au mieux la réaction en toute sécurité (fig. 4). Il faut, dans la mesure du possible, proscrire les édifices comme ceux des figures 5 et 6. Dans le cas présenté par la figure 6, l'essai dut être momentanément interrompu durant la nuit ; du fait de craquements inquiétants dans l'amas de palplanches. a) vue d'ensemble du chantiei b) vue de détail Fig. 4 - Un massif de réaction bien conçu - Chargement de la cuve. Fig. 3 - Essai de pieu avec réaction sur les pieux voisins de l'ouvrage. 65
6 Fig. 5 et 6 - Massifs de réaction improvisés. Les bases fixes (ou bases de mesure) : Il est vain de disposer de comparateurs au /00 de millimètre, si les bases de mesures ne sont pas rigoureusement fixes ; c'est une des conditions essentielles de la réussite de l'essai si l'on veut obtenir la charge de fluage (mesure de l'enfoncement au /0 de millimètre près). Les fluctuations des bases de mesure peuvent provenir : a) de leur flexibilité propre (effet du vent) ou des effets thermiques : Fig. 7 - Bases «fixes» - Dispositifs à proscrire. Des dispositifs tels que celui de la figure y sont donc à rejeter : il est dérisoire lorsque l'on songe que cet essai a coûté par ailleurs près de francs (964). Les bases fixes de l'essai de la figure 6 reposaient sur le rideau de palplanches : la mesure a été grandement affectée par les dilatations thermiques du rideau. La figure 8 représente un essai sur pieu métallique. Les bases fixes sont constituées par quatre madriers liés, deux à deux, par boulonnage et reposant sur le sol par l'intermédiaire de poteaux fichés en terre à trois mètres de profondeur. Des cornières perforées servent de support aux palpeurs, les comparateurs étant fixés au pieu à l'aide d'une collerette. L'utilisation de madriers semble intéressante car elle supprime les dilatations thermiques et permet de fixer aisément les comparateurs. Fig. 8 - Essai de pieu métallique - Bases fixes et supports de comparateurs (4 comparateurs verticaux et 2 comparateurs pour les mouvements horizontaux parasites). b) du mouvement du sol sur lequel elles reposent -. enfoncement du sol autour du pieu en surface dans la première phase AB (collage entre le pieu et le sol) ; remontée du sol au voisinage des camarteaux lorsque la réaction est transférée sur le pieu. 66
7 J. Fig. 9 Autre disposition pour les bases fixes. Fig. 0 - Dispositif de contrôle des bases de mesure. La figure ç montre un dispositif simple : les deux poutrelles métalliques sont liées au pieu. Les supports de comparateurs sont cependant trop tributaires des mouvements du sol en surface. pis * a3e rigide Il faut donc toujours vérifier la fixité des bases de mesure soit par nivellement, soit plutôt comme indiqué à la figure 0. Ce dernier dispositif doit cependant être réservé aux massifs de réaction très importants (500 à 600 tonnes) reposant sur des sols médiocres. fêêêmm û Camarteaux i g RM I Dispositif decontrol* des La figure u montre une courbe de chargement obtenue au cours d'un essai durant lequel les bases de mesure ont manifestement bougé. La courbe est inexploitable pour l'évaluation de la charge de fluage. S'agissant d'un pieu flottant, c'est une lacune grave. bases démesure Le vérin : La connaissance précise des charges appliquées au pieu impose de placer, en série, des manomètres rigoureusement étalonnés de différentes sensibilités. La charge doit, en outre, être parfaitement centrée sous le massif de réaction et sur le pieu. Un mauvais centrage peut conduire à des courbes d'allure «arrondie» et, lors du déchargement, on note parfois des remontées très importantes de la tête à l'enlèvement des dernières charges (fig. 2). Pour pallier cet inconvénient, il est nécessaire que le vérin soit muni d'une rotule et que l'on ait procédé, la veille de l'essai, à un premier chargement, très léger, afin de vérifier le bon centrage de la charge sur le pieu. E * E Charges en tête Q,en tonnes , Valeurs corrigées du mouvement des bases de référence S + Il est recommandé de disposer de deux comparateurs pour mesurer les déplacements horizontaux de la tête du pieu. _ Valeurs non corrigées Fig. - Courbes de chargement d'un pieu. Influence du mouvement des bases de référence. 67 t-
8 ' C harges en tete <J,en tonnes N. i V VI appliquée par incréments de 25, 50, 75, 00, 25, 50, 75 et 200 % de cette charge supposée. Les enfoncements doivent être mesurés avec une précision de /00 de pouce avant et après l'application d'un nouvel incrément de charge... On n'appliquera pas de nouvelle charge tant que le tassement ne sera pas inférieur à /00 de pouce en une heure ou alors au bout de deux heures...» Chargement progressif, avec déchargements intermédiaires i s. t V Fig. 2 Courbes de chargement et de déchargement. Influence de l'excentrement. Programmes de chargement Le programme de chargement, c'est-à-dire la loi de variation des charges en fonction du temps, a certainement une influence sur la courbe charges-enfoncements, au moins dans les phases précédant le déchargement. Il est évident que les enfoncements seront fonction de la durée d'application des paliers. Il est également reconnu que, lorsqu'on décharge complètement un pieu, les contraintes dans le fût ne s'annulent pas instantanément : le frottement latéral peut agir en sens inverse et s'opposer à la décompression du fût. Il existe cependant un grand nombre de programmes de chargement. On peut en distinguer trois types : - En cours de chargement, on peut procéder à un ou plusieurs déchargements complets intermédiaires. La règle D.T.U. [] déjà citée, préconise un déchargement complet intermédiaire. La règle D.I.N. [] ainsi que Chellis [2] recommandent, comme de nombreux auteurs, des déchargements complets en nombre suffisant pour pouvoir tracer la courbe des enfoncements permanents (f'9-3). Programmes particuliers Il s'agit d'appliquer sur le pieu des charges de telle façon que la charge de fluage soit nettement matérialisée. C'est la méthode de Van Weele [3] (appliquée avec succès au pont d'oissel [9]) ou de Szechy [4]. Ces méthodes sont malheureusement assez difficiles de réalisation et nécessitent des mesures très sérieuses. D'autres auteurs préconisent de simuler l'action de l'ouvrage sur le pieu : chargement progressif jusqu'au poids propre, puis cycles successifs de chargement du poids propre à la charge maximale. Mais, quel que soit le programme adopté, on se heurte toujours à la même difficulté qui est l'exploi- Chargement progressif C'est le programme le plus simple. Le pieu est chargé progressivement par palier jusqu'à la limite ou jusqu'à une charge préalablement définie, égale généralement au double de la charge nominale. On peut faire varier la durée des paliers ou l'incrément de charge : plus les paliers seront nombreux, plus les courbes de chargement seront détaillées. Les critères, pour passer d'un palier au suivant, sont très variables : soit que la durée des paliers est constante, soit que l'on adopte un critère d'enfoncement limite. La norme A.S.T.M. [0] fait partie de cette catégorie : «La charge maximale totale doit être le double de la charge de travail supposée du pieu. Elle doit être Temp3,en heures '20, Charges,en tonnes Fig. 3 - Programme de chargement et représentation (d'après Chellis). 68
9 tation de l'essai. Il n'existe que des règles empiriques pour exploiter les essais de chargements qui sont basées : soit sur l'enfoncement total sous charge, soit à partir de l'enfoncement rémanent après déchargement complet, soit à partir de vitesses d'enfoncements, etc. Aux Etats-Unis, des règles de ce genre sont très courantes. L'ouvrage de Chellis [2] en donne quelques-unes : déterminer la charge pour laquelle l'enfoncement total n'excède pas 6 mm en 48 heures et utiliser un coefficient de sécurité de 2 (Louisiana Department of Highways) ; considérer la charge qui provoque un accroissement de l'enfoncement disproportionné avec l'augmentation de la charge et appliquer un coefficient de sécurité de 2 (Los Angeles Building Code) ; la charge maximale sera le double de la charge nominale supposée et elle sera maintenue constante, pendant au moins 24 heures, jusqu'à ce que l'enfoncement ne dépasse pas 5,6 mm. La charge de travail adoptée ne dépassera pas la moitié de la dernière charge d'essai pour laquelle n'apparaît aucun signe de «rupture» sur la courbe charges-enfoncements et l'enfoncement résiduel en tête, après déchargement complet, ne devra pas dépasser 2 mm (Boston Building Code). Fletcher [5] s'est livré à une étude de seize règlements différents. Les analogies entre les règlements sont les suivantes : un coefficient de sécurité de 2 est appliqué dans tous les cas, la charge d'essai atteint toujours 200 % de la charge nominale, quatorze règlements sur seize utilisent l'enfoncement permanent. Par contre, les divergences sont importantes : dix règlements limitent l'enfoncement à /00 de pouce par tonne. Les autres règlements sont plus restrictifs ; les enfoncements limites sont choisis arbitrairement et varient dans des proportions importantes depuis /4 de pouce ; généralement, on impose un temps durant lequel aucun enfoncement n'est toléré sous la charge totale mais la durée de cette période varie de 6 à 48 heures. L'auteur a ensuite appliqué ces seize règlements à un essai de pieu particulier : cinq règlements conduisaient à un rejet du pieu, dix lui assignaient une portance de 60 à 75 tonnes, un seul admettait 00 tonnes. On voit clairement la difficulté de telles formules : elles sont peut-être acceptables dans des zones localisées ou dans des sols particuliers mais leur extrapolation hâtive à n'importe quel essai peut conduire à des résultats aberrants. C'est pourquoi, certains auteurs ont tenté de rationaliser la méthode d'exploitation pour les chargements progressifs avec ou sans déchargements intermédiaires [6-7] : comme la courbe charges-déplacements ne présente pas toujours une charge de fluage nette, on tente d'obtenir cette valeur par construction graphique. Pour cela, on porte sur un diagramme, pour chaque palier, l'enfoncement en fonction du logarithme du temps (fig. 4a). Au bout d'un certain temps, les points représentatifs sont alignés. On calcule la pente des droites correspondantes (appelées parfois droites de stabilisation) et on porte sur un autre graphique (fig. 4b) ces pentes en fonction de la charge en tête. Le diagramme correspondant présente, en général, deux parties linéaires : l'intersection de ces deux parties est la charge de fluage Q F. Mais cette méthode est, elle-même, parfois défaillante car les points représentatifs ne se distribuent pas toujours comme l'indique la figure 4b. Bien souvent la dispersion peut être mise sur le compte de mesures douteuses (fluctuation des bases de mesure) ou de-paliers de durées trop inégales. On rencontre aussi de nombreux graphiques présentant trois parties droites (fig. 4c). De tels essais ne sont pas interprétables seuls ; ils nécessitent un examen comparatif avec les essais de mécanique des sols. Des mesures des efforts dans le fût du pieu auraient été, dans ce cas, de la plus grande utilité : pour la figure 4c, il serait en effet trop expéditif de placer la charge de fluage vers 50 tonnes. LE MODE OPERATOIRE DU L.C.P.C. L'idée de base qui a guidé le G.E.E.S.F.O.P. dans l'élaboration de ce mode opératoire est la standardisation, étant donné la prolifération des méthodes actuellement utilisées. En dépit de tentatives récentes [8], la prévision du comportement des fondations profondes est toujours difficile et des règles empiriques seront longtemps encore nécessaires : il faudra procéder par corrélations entre les essais géotechniques habituels (essais en place et en laboratoire) et les résultats d'essais de chargements. 69
10 igt Mais, pour que des corrélations soient valables, les méthodes d'essais géotechniques et d'essais de pieux doivent être clairement définies et surtout respectées. Or, pour qu'un mode opératoire soit respecté, il faut qu'il soit simple. Préparation de l'essai Cette phase est très importante car elle conditionne le succès de l'essai lui-même. Elle ne peut que suivre l'étude géotechnique. Elle nécessite le conseil d'un ingénieur spécialisé, qui doit contrôler la confection du pieu d'essai et définir les caractéristiques géométriques à respecter pour la mise en place du dispositif de réaction et des appareils de mesure. a) droites de stabilisation Le vérin doit être muni d'une rotule, d'une vis de blocage et ses caractéristiques (dimension, section utile et section d'embase) doivent être connues. La pompe hydraulique, qui peut être manuelle, doit être équipée d'une rampe de manomètres de diverses sensibilités, correctement étalonnés. Ç> G>2 etc Q F Charges b) Q F : intersection de deux parties linéaires Les mesures des déplacements de la tête du pieu se font : à l'aide de quatre comparateurs au /00 de millimètre de 5 centimètres de course pour les déplacements verticaux et deux comparateurs identiques pour les déplacements horizontaux parasites ; à l'aide d'un niveau optique qui permet également de contrôler les mouvements du massif de réaction et des bases de mesures ; à l'aide d'un réglet (fixé au pieu) qui se déplace devant une pointe sèche (liée aux bases fixes) et qui prend le relais des comparateurs lorsque la course de ceux-ci est dépassée. L'utilisation de flexigraphes n'est pas indispensable. Un schéma de principe du montage est indiqué à la figure 75. Délais de repos Sauf cas particuliers, la règle suivante est appliquée : Sables compacts Limons et sables lâches saturés Argiles Pieux exécutés en place mois mois mois Charges,en tonnes c) trois parties linéaires, non interprétables seules Pieux battus 8 jours 20 jours mois par cons Fig. 4 - Recherche de la charge de fluage QF truction graphique. Inversement, il n'est pas conseillé de laisser s'écouler plus de 3 à 6 mois entre la mise en place du pieu et l'essai statique. 70
11 ni» Programme de chargement Le programme de chargement a été conçu de façon telle que : - la durée de l'essai proprement dit n'excède pas une semaine (amenée et retrait du matériel de mesure compris). 2 - qu'il n'y ait pas de trop grande divergence avec la seule règle existant en France à notre connaissance : la règle D.T.U. []. de pouvoir éventuellement recentrer judicieusement la charge et de rattraper la remontée des ancrages de réaction. 0 Q N 3 - que l'essai soit simple et laisse peu de place à des variantes souvent inopportunes. Le programme comporte deux cycles (fig. 6), basés sur la charge nominale ON déduite de l'étude géotechnique préalable. Ceci présente l'avantage : de libérer le personnel durant la nuit ; de décharger complètement le pieu, donc de connaître l'enfoncement permanent sous la charge nominale Q N ; Fig Temps 6 - Programme de chargement du mode opératoire L.CP.C. 7
12 L'inconvénient est connu : on ne sait pas déterminer l'influence exacte du premier cycle sur le second (contraintes résiduelles dans le fût avant le nouveau chargement). La charge maximale demandée est -2 Q N. Dans bien des cas, le domaine limite ne sera pas atteint. Cependant, imposer une charge plus élevée conduirait à des dépenses prohibitives pour la confection des dispositifs de réaction. Pour un cycle donné, les paliers seront de durée rigoureusement égale ; pour le premier cycle, leur durée sera de h 30. Les incréments de charge seront constants durant tout l'essai et égaux à ON/5. Là se situent les différences principales avec les règles D.T.U. dans lesquelles la durée des paliers est variable : «On admet que la stabilisation est obtenue quand l'enfoncement du pieu pendant une heure est inférieure au /5 000 de son diamètre ou de son côté.» Outre l'arbitraire de cette règle, l'expérience a montré qu'il était préférable d'adopter, a priori, une durée constante pour tous les paliers : procéder d'une autre manière serait introduire un risque supplémentaire de dispersion. Il est évident que la durée d'application d'une charge est un élément important dans l'amplitude de la déformation. Réaliser un palier de 0 minutes entre deux paliers d'une heure, par exemple, serait inscrire automatiquement une discontinuité dans la courbe chargesenfoncements en tête (fig. 7) C harges en tonne s i faner maintenu trop peu de temps y -v s / (par exemple, pieux dans des argiles raides ou dans des marnes). C'est seulement alors qu'il sera possible de juger si le fait de charger rapidement un pieu nuit à son comportement et il en sera tenu compte dans les règles d'exploitation de l'essai standard. Les résultats obtenus en cours d'essai seront consignés sur une fiche d'essai, dont le fac-similé est présenté par la figure 8. A cette fiche doivent être jointes toutes les courbes utiles à l'exploitation complète de l'essai (courbes de battage éventuelles, etc.) et obligatoirement la feuille d'essais par sondage précédemment mise au point par le Laboratoire Centra! (feuille qui récapitule tous les essais de sols faits au voisinage du pieu d'essai). CONCLUSIONS La G.E.E.S.F.O.P. propose un projet de mode opératoire pour l'essai statique de fondations profondes qui définit des règles minimales à respecter. Si ces règles élémentaires n'étaient pas respectées, il serait préférable de renoncer à cet essai, et de procéder à des sondages et essais de sols complémentaires, car si l'essai de pieu est coûteux, rien n'est plus coûteux qu'un essai inexploitable. ha méthode standardisée proposée devrait permettre d'établir des règles sûres pour l'exploitation des essais. L'examen comparatif de nombreux essais permettra de proposer des règles basées sur les critères suivants : charge limite Q L ou charge maximale de l'essai 2Q N ; charge de fluage Q F ; enfoncement total et enfoncement permanent (ou rapport entre ces deux valeurs) pour les charges ON et2q N - Provisoirement, on pourra adopter comme charge nominale réelle du pieu testé la plus faible des deux valeurs suivantes : LU Fig Influence de la durée du palier sur l'enfoncement de la tête du pieu. Et puis au-delà de la charge de fluage, lorsque l'enfoncement au cours du temps devient important, quel critère adopter pour passer au palier suivant? Chaque fois que cela sera possible et intéressant, il sera recommandé de réaliser un second essai de chargement avec des paliers beaucoup plus longs 2,5 < N < 2 sous réserve que la charge Q L soit véritablement la charge limite (valeur asymptotlque à la courbe charges en tête-enfoncements ou charge qui correspond à un enfoncement du pieu égal au /0 de son diamètre) ; et QF,6 < O 9 f ON < y 2_ où QF est la charge de fluage qui sera définie, soit directement sur la courbe charges en tête-enfoncements, soit à partir du diagramme des pentes des droites de stabilisation. 72
13 li Fig. 8 MINISTERE DE L'EQUIPEMENT ET DU LOGEMENT LABORATOIRE CENTRAL des PONTS et CHAUSSEES G.E.E.S.F.O.P. PIECES - FEUILLE D'ESSAI PAR SONDAGE JOINTES FICHE D'ESSAI STATIQUE DE CHARGEMENT N TY P E D'ESSAI Chargement statique de pieu OUVRAGE A U T O R O U T E CARACTERISTIQUES DE L'OUVRAGE P 5 largeur 22 metres L travées I - k,l U.k- mètrp<; I TYPE DE FONDATION Pieu» fore's à tube re'cuppré ffl U r m Pt <ti 56cm MAITRE D'ŒUVRE Ministère de l'équipement BUREAU D'ETUDE SE.T.RA CONSEIL FONDATIONS. ENTREPRISE DE FORAGES ET D'ESSAIS DE SOL. ENTREPRISE FONDATIONS ENTREPRISE OUVRAGE COUT TOTAL DE L'OUVPAGE. COUT DES FONDATIONS COUT DE L'ESSAI. OBSERVATIONS SCHEMA D'IMPLANTATION DES APPUIS, DE L'ESSAI STATIQUE ET DES ESSAIS GEOTECHNIQUES SCHEMA DE Appui N 3 L'APPUI Echelle /250 Echelle / 500 O CHARGE DE SERVICE POUR L'APPUI SUR LEQUEL EST FAIT L'ESSAI : 75 fnnnpii Q Pieu d'essai DONT 50 tonnes MANENTE DE CHARGE PER Q Pressioni être 9 Sondage carotté NOMBRE rie Pieu».POUR L'APPUI INTERESSE: 8
14 - Tube bat. t u Matériaux extraits à la soupape -Bétonnage par tube plongeur jusqu'au niveau du sol, puis remontée du tube, le béton étant vibré simultanément. ' ArdiU Ciment CIK -Armatures : 350 kg Grave ^rgilcuac 0 mp ICt4-5 <è 2 HA sur circonférence Q> 300 mm - spires $ 6 au pas de 50 mm Charge intrinsèque 75 tonnes Aroilt Grave pro?(«(i) identification : à partir des matériaux extraits à la soupape argile w L = 60 I? = 32 w * 35 '4 grave argileuse w L =30 I 3 = T2 w 5 % (2) Essais pressiométriques (valeurs moyennes) : pressiomètre standard type E Forage à la tarière à main à injection, puis carottier battu <b 63 argile * 4 bars E = 50 bars grave argileuse Pj ~ 8 bars F. = 70 bars grave propre Pj si 0 bars E = 90 bars (3) Essais en laboratoire à partir de sondages carottés de 0 à 6 mètres Carottier battu V = T.,85 t/m3 Y =2,65 Triaxial : essai non consolidé non drainé C u =0,5 bar tedomètre C c =0,20 e 0 =0,75 ^ / ^ =3 Calcul de la charge nominale Méthode pressiométrique : a. charge limite en pointe K = 5,2 q = 7 tonnes b frottement amélioré sur 3 diamètres à partir de la base (s =,5 bar) Qpj = 24 tonnes frottement latéral normal (s 0,5 i)ar) '^'c"2 ~ tonnes soit avec 3 de sécurité sur la pointe et 2 au frottement latéral Qfj = 75 tonnes
15 MATS oí Jl&U/éMT/û// J7_ 9 I list ~n/icac JUT. 9 6 _ /fat J2/ Z- />// SSA/ _ W I 0 9S» MASSIF de if FACTION Itmmìiìfde. réaction eut tnnttìlui. al une cuve rempli'*, dispam^tuñun plitclage. en bäswmgs rt/asant 'es ipa/^ le. taut plac JUAZ tdmarteaux, / alise* par alea maalrìer* e.f a/et p/trztl Lipipe dei ele. hitan If taction disponible. ZoaJt^ / finn ole 2oot AUmtnhatioa-i- pompe manuelle* tfeswe eli ftttilsian juaf^manomktre. Misure <Je.-jdtpl3ceme.nr-i 6comparateurs au it/oa*- - /- / Nit eau i Difht.tamt.trJL- JYC. ay Sy/oo*' S tf M I " u Pot Iff I Lf II N 2 to, *l lp Irl r-c ' "X = P lutr r 2r N 3C 0 / llz nt r tmp i»l»«* i nt r tmp i»l / / - J7e m m nl. v M h i J7e m m nl. l> lai K i l X - r i >*. ftt su ppo > ^> i» í y j s cun Ipil rs Coir par Si rs ^ u j s r 4- I J' J r MI Fl txir, rmp F Ha itcu r dc Cl m a tta ux J,7! m mini,«m TttX I -- - T No J. k 's ' e< -i - T' a V II c C i - - V 0 m D«tl«ctom««r«JYC T
16 AU/SA 4y 2 4 4y «kr *% 4 4S. IS So 6o 7S 5 3o 4S So 75 9o ios fio f3s S< no 9o S7ir,r,*a) t </i m r/i f/l -/ *n i ffl "?t m % f/l f/x l 0,5,7 2, ,6 S3 3.9 */* i~,o S-,7 6,7 a, 3 (0,4 w 7 t6,3 íf.s, i 9 f. /o S to 7S 9o»S» f fft ro t &t 3S < ÇF < ÍAS rotm±sl 'trtjêl xyu/f/- fait íjan.t des c arlaíltiajis normales, ^ /tsn/ ahnifiggrnir nij petjh prendra Linr. seeunh e/t -/» fur OF soi/- <? A fannt.s
17 La marge sur la sécurité est faite pour tenir compte : de la «fiabilité» des mesures ; du délai de repos qui fluctue nécessairement autour de limites très larges ; de la nature des charges que le pieu aura à supporter (augmenter la sécurité vers,6 si des vibrations ou des fluctuations de charge très importantes sont possibles). De toute manière, jamais un essai de pieu ne peut être exploité seul. Il faut systématiquement tenir compte de l'étude de sol. Une fois adoptée la charge nominale ON réelle du pieu, on aura la charge admissible QA en prenant en compte l'effet de groupe et les tassements de groupe qui ne sont pas mis en évidence par l'essai rapide sur pieu isolé. Dans certains cas particuliers (silos, réservoirs, etc.), il pourra être intéressant de réaliser des programmes de chargements avec de nombreux déchargements intermédiaires complets. Il sera alors souhaitable de réaliser également (si les crédits le permettent), le mode opératoire standard qui vient d'être défini. De même, on ne peut qu'encourager la mise en place de capteurs dans le fût du pieu et dans le sol (capteurs de contraintes et de déplacements). Ces mesures sont onéreuses et très délicates mais ce sont vraiment les seules qui permettront de faire avancer la connaissance du comportement des fondations profondes [8]. B I B L I O G R A P H I E Travaux de fondations profondes pour le bâtiment, Document Technique Unifié (D.T.U.), 32 (mars 966). 2J J. JEZEQUEL, Le Groupe d'etude d'essais Statiques de Fondations Profondes (G.E.E.S.F.O.P.), Bull, de Liaison des Labo. Routiers des P. et C, 24 (marsavril 967), I, -9. F3J L. MENARD, Calcul de la force portante des fondations sur la base des résultats des essais pressiométriques, Sols Soils, 5 (juin 963). 4J TOMLINSON, The adhésion of piles driven in Clay Soils, C.R. du 4 Congrès International de Mécanique des Sols et des Travaux de Fondations (Londres - 957». [5] A. CAQUOT et J. KÉRISEL, Traité de Mécanique des Sols, Gauthier-Villars, 4 e Ed. (966). 6 B.BROMS, Methods of ralculating the Ultimate Bearing Capacity of Piles, Sols Soils, 8 (966); 7 M. ADAM, J. JEZEQUEL et J. MARCHAL, Terminologie en matière de fondations profondes, Bull, de Liaison des Labo. Routiers des P. et C, 33 (août-sept. 968), [8j H. CAMBEFORT, Essai sur le comportement en terrain homogène des pieux isolés et des groupes de pieux, Annales de l'i.t.b.t.p., 204 (fév. 964). 9] ). PASTUREL, Essais de chargements de pieux dans la craie altérée, Bull, de liaison des Labo. Routiers des P. et C. 29 (janv.-fév. 968), 6, -24. [0J Projet de méthode d'essai concernant la relation charge-tassement pour des pieux isolés chargés de façon verticale et cintrée, A.S.T.M., Réf. D II 43 6 T (950). LU] Charge admissible des fondations, Règle D.I.N., 054. [2 R.D. CHELLIS, repris dans l'ouvrage de G.A. LEO NARDS, Les fondations, Dunod (Paris, 968), VAN WEELE, A method of separating the bearing capacity of a fof est pile into skin friction and pointresistance, C.R. du 4 Congrès International de Mécanique des Sols et des Travaux de Fondations (Londres, 957).. [4) SZECHY, C.R. du 5' Congrès International de Mécanique des Sols et des Travaux de Fondations (Paris), Vol. 3 (96). [5 G.A. FLETCHER, Les essais de pieux et leur exploitation, Field Testing of Soils, ) H. CAMBEFORT et R. CHADEISSON, Critères pour l'évaluation de la force portante d'un pieu, C.R. du 6"' Congrès International de Mécanique des Sols et des Travaux de Fondations (Montréal - 965). f 7 L. A. PAREZ, Discussion, C.R. du 6' Congrès International de Mécanique des Sols et des Travaux de Fondations, 3 (Montréal - 965). [8] J. JEZEQUEL et J. MARCHAL, Mesure des contraintes dans les pieux, Bull, de Liaison des Labo. Routiers des P. et C, 42 (déc. 969),
Les mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES
ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION
Plus en détailLES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES
LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien
Plus en détailDouille expansibleécarteur
08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il
Plus en détailPROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES
Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.
Plus en détailAugmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert
Augmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert www.keller-france.com Keller Fondations Spéciales 1 Présentation du projet Avenue du Général Leclerc Data Center de
Plus en détailDéformabilité des sols. Tassements. Consolidation
Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailPoint n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,
Point n 3 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de Fr. 111'456.- pour la réfection des pieux du débarcadère d Auvernier Monsieur le président,
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailLe boulon d ancrage sert à fixer les pattes d attache des panneaux de coffrage pour murs alignés d un seul côté.
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Le coffrage une face Rédaction : Adrian Vonlanthen / Etudiant ETC 3 Date : 7 octobre 2008 Système d ancrage et de stabilisation Les systèmes
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailMESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation
COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,
Plus en détailä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë=
= Note d'information ^ìíéìêë=w=p íê~= o ëé~ì=`bqb= à~åîáéê=ommv= = ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë= `Ü~ìëë Éë= a ééåç~ååéë= NNU= Les différents guides techniques et autres
Plus en détailExemples de Projets SAFI
Exemples de Projets SAFI Analyse sismique simplifiée (CNB-95) Société Informatique SAFI Inc. 3393, chemin Sainte-Foy Ste-Foy, Québec, G1X 1S7 Canada Contact: Rachik Elmaraghy, P.Eng., M.A.Sc. Tél.: 1-418-654-9454
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailLE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU
LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détail50.01 DETERMINATION DES COEFFICIENTS DE COMPRESSIBILITE M 1 et M 2.
50. Terrassements 50.01 DETERMINATION DES COEFFICIENTS DE COMPRESSIBILITE M 1 et M 2. 50.02 REGULARITE DE SURFACE RELEVEE A LA REGLE DE TROIS METRES OU A L AIDE D UN GABARIT APPROPRIE. 50.03 ESSAI DE PENETRATION
Plus en détailFixateurs pour murs périmétriques 3.2.4. 3.2.4.1 Description de l'application. 3.2.4.2 Description du produit. 3.2.4.3 Composition.
s pour murs périmétriques.....1 de l'application Les murs périmétriques, en tant que partie intégrante des murs-rideaux et des charpentes claires, sont courants dans les structures métalliques. Des profilés
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailCOMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS
1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détailLe défi : L'avantage Videojet :
Note d'application Impression-pose d'étiquettes Améliorez votre rendement : passez des applicateurs mécaniques à l'étiquetage Direct Apply TM Le défi : Au cours de ces 20 dernières années, les systèmes
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailACCESSIBILITÉ AFEB COMMISSION PROFESSIONNELLE RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS
ACCESSIBILITÉ RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS Le présent document établi par la Commission Professionnelle de l'afeb récapitule et précise certaines exigences applicables
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailÉtude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux
Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailAider à la décision. - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto - Les arbres d objectifs - Le diagramme d affinités - La méthode Philips 6.
Guide méthodologique du travail en commun Aider à la décision > Hiérarchiser les priorités > Choisir les bonnes solutions > Hiérarchiser les priorités - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto
Plus en détailTEST ET RÉGLAGE DES SUSPENSIONS
TEST ET RÉGLAGE DES SUSPENSIONS Généralités En règle générale, toutes les suspensions pour les motos standard sont réglées pour un conducteur d'un poids moyen de 70 kg. Généralement, le poids moyen du
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailREMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON
REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de
Plus en détailL'apport du logiciel ANGELINE aux études géotechniques de tracés
L'apport du logiciel ANGELINE aux études géotechniques de tracés Hervé HAVARD Directeur adjoint Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées d'angers Gilles SINOIR Technicien supérieur Division Informatique
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détailESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%
ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,
Plus en détailLE GÉNIE PARASISMIQUE
LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège
Plus en détailINBTP-TECHNOBAT-LECON_011
CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailInterprétation automatique des sondages électriques
H.LAKSHMANAN Ingénieur géologue Directeur technique de la Cie de prospection géophysique française Interprétation automatique des sondages électriques Y. BERTRAND Ingénieur géologue chargé de cours i l'ecole
Plus en détailMARNE REIMS PALAIS DU TAU
CENTRE DES MONUMENTS NATIONAUX DIRECTION REGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES DE CHAMPAGNE-ARDENNE, Maître d'ouvrage délégué CONSERVATION REGIONALE DES MONUMENTS HISTORIQUES 3, FAUBOURG SAINT-ANTOINE 51
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailRapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation
CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailProjet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen
Génie Civil Septembre 2006 Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen Tournier Guillaume, élève ingénieur 5 ème année Partie résidentielle Atrium & jardins intérieurs Espace
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailLA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec
LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec Introduction L'un des principes directeurs de la politique
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailN 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992
N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI
Plus en détailMANUEL D UTILISATION MODE D EMPLOI ALT 600 MODE D EMPLOI ALT 600 FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE
1. Présentation. FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION La société ASD est spécialisée dans la conception et le développement de systèmes de levage spécifique à l environnement du spectacle
Plus en détailIntroduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.
Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis
Plus en détail30% SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et. Valoriser les combles perdus. Economies. Valoisation de votre habitation
SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et Valoriser les combles perdus s Un bâtiment perd de la chaleur par le haut, car la chaleur monte. L isolation de la toiture est donc la priorité. 30
Plus en détailTRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO
TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailCapteur mécanique universel HF 32/2/B
Capteur mécanique universel HF 32/2/B Instructions matériel conforme aux directives CE d emploi et d entretien MS 32/2/B R 3/3 CONSIGNES PRIORITAIRES 2 INSTALLATION DU CAPTEUR HF 32 3 4-5 INSTALLATION
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailINSTRUCTIONS COMPLÉTES
INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailmodélisation solide et dessin technique
CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir
Plus en détailNORMES FRANÇAISES. I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public
NORMES FRANÇAISES I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public II. Garde-corps pour terrasses techniques inaccessibles au public I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation
Plus en détailLa conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA)
La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) I. L'intérêt de la conversion de données, problèmes et définitions associés. I.1. Définitions:
Plus en détailPARTIE NUMERIQUE (18 points)
4 ème DEVOIR COMMUN N 1 DE MATHÉMATIQUES 14/12/09 L'échange de matériel entre élèves et l'usage de la calculatrice sont interdits. Il sera tenu compte du soin et de la présentation ( 4 points ). Le barème
Plus en détailCOMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI
COMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI SOMMAIRE ESCALIER UNIVERSEL TM SOMMAIRE GÉNÉRALITÉ... 3 Introduction... 4 PRINCIPAUX ELEMENTS... 5 Accroches... 5 ASSEMBLAGE... 7 Assemblage de base... 7 ACCROCHES
Plus en détailINSTALLATION POUR LA MESURE EN CELLULE BLINDÉE DU VOLUME DES AIGUILLES COMBUSTIBLES PROKUDANOV D.L., TROITSKII S.V.
CEA CEN-SACLAY Service de Documentation Groupe "Traductions" CEA-TR- 2266 R2 91191 GIF sur YVETTE CEDEX INSTALLATION POUR LA MESURE EN CELLULE BLINDÉE DU VOLUME DES AIGUILLES COMBUSTIBLES PROKUDANOV D.L.,
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailLa correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables
La correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables Après l'étude des différents types d'erreurs en comptabilité (Section 1) nous étudierons la cause des erreurs (Section 2) et les techniques
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détailConstruire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88
Construire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88 P.Dantec (consultant expert) Ch.Peyral (DIRMC) PLAN Enjeux et risques
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailAdaptation d'un véhicule au revêtement de la piste
Adaptation d'un véhicule au revêtement de la piste Théo ZIMMERMANN, 2010-2011 Introduction J'ai travaillé en relation avec l'équipe de Marc Denante, ingénieur chez Eurocopter, qui participe au Marathon
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailINSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES. du 15 janvier 2003
INSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES du 15 janvier 2003 Travaux de consolidations souterraines exécutés par injection pour les carrières de Calcaire Grossier, de gypse, de craie et les marnières 3, AVENUE
Plus en détailLA QUALITE DU LOGICIEL
LA QUALITE DU LOGICIEL I INTRODUCTION L'information est aujourd'hui une ressource stratégique pour la plupart des entreprises, dans lesquelles de très nombreuses activités reposent sur l'exploitation d'applications
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailRÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES
RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES Sommaire 1 Méthodes de résolution... 3 1.1. Méthode de Substitution... 3 1.2. Méthode des combinaisons linéaires... 6 La rubrique d'aide qui suit s'attardera aux
Plus en détailLes connexions. Multifonctions. Avantage. Forme ronde et non carrée :
Les connexions Multifonctions Avantage Forme ronde et non carrée : En plus d une esthétique agréable et assortie à la forme ronde des tubes et joints LeanTek, la forme arrondie des F-M Trilogiq permet
Plus en détail