EDITORIAL. Sommaire. Bulletin Trimestriel d Information du Réseau National de Surveillance Epidémiologique Vétérinaire du Mali N : 043 MARS 2013

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1 Bulletin Trimestriel d Information du Réseau National de Surveillance Epidémiologique Vétérinaire du Mali N : 043 MARS 2013 EDITORIAL E n cette période de préoccupation majeure pour la sauvegarde de l évolution et de l adaptation des organismes vivants, y compris les animaux terrestres et aquatiques au regard du réchauffement climatique et d autres calamités, notre conception de la santé animale doit être dynamique et multidimensionnelle. La prise en compte de la biodiversité procède de cette logique et présage le renforcement des partenariats qui impliquent tous les acteurs concernés. Le terme biodiversité désigne la diversité du monde vivant à tous les niveaux : diversité des milieux (écosystèmes), diversité des espèces, diversité génétique au sein d'une même espèce. Sommaire EDITORIAL:..1 L Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) prend le devant dans ce sens en adaptant les normes aux diverses conditions susceptibles d être observées. L utilisation de ces normes aidera les Pays membres à concilier le respect de la variabilité des organismes vivants de toute origine avec la mise en œuvre des programmes de santé animale efficaces et durables. Ceci se fera évidemment dans le sens du concept «Une seule santé» en vue de renforcer davantage le partenariat entre les services vétérinaires et ceux de la santé publique, de l environnement et de la faune sauvage. Notre rapidité à nous approprier ces normes adaptées sera fonction de nos engagements en matière de conduite de systèmes de surveillance épidémiologique et des programmes de protection sanitaire et de santé publique vétérinaire. Cet état de fait interpelle les acteurs et partenaires du Réseau EPIVE-Mali en vue de resserrer davantage les rangs pour l application des normes adaptées à la biodiversité. Le processus devant être appuyé dans tous les cas par un programme d information et de sensibilisation soutenu en profondeur. Dr Mamadou Racine N DIAYE Coordinateur National PACE-Mali SITUATION SANITAIRE...2 POINT DE SUIVI DES MARCHES A VOLAILLES..3 PRINCIPALES NORMES - NOUVEL- LES OU AMENDÉES...4 BIODIVERSITE...6 FICHES D INFORMATION SUR LES MALADIES ANIMALES....7

2 SITUATION SANITAIRE DE LA PERIODE ALLANT DE JANVIER A MARS 2013 L a situation zoosanitaire de la période de référence a été relativement calme. Elle a été caractérisée par la suspicion d un foyer de PPCB à San dans la région de Ségou et un foyer de Maladie de Newcastle à Kati. (voir détails dans le tableau ci-dessous) Maladies suspectées Dates d apparition Régions Cercles Communes Localités Contaminés Malades Morts Abattus PPCB 18/01/2013 Ségou San Kononi Maladie de Newcastle Commentaire: 28/02/2013 Koulikoro Kati Ouinzindougou Régions Village s Nombres de troupeaux /exploitations Ov/ Cap Ca m Por cin Asin s Eqn Un nouveau foyer de PPCB a été suspecté dans la localité de San qui a contaminé 32 têtes de bovins, et occasionné 3 malades dont 2 morts et 01 abattu. Au quatrième trimestre de 2012, cette même maladie s était manifestée en deux foyers dans la région de Koulikoro et le District de Bamako d où elle a été absente pendant ce trimestre. Une nouvelle suspicion de foyer de Maladie de Newcastle a été faite dans la localité de Ouin zindougou (cercle de Kati). Elle a contaminé 4210 têtes de volaille, sur lesquelles 1452 sujets ont été malades dont 1202 morts. Cette maladie était absente pendant le dernier trimestre de l année Dans les deux cas des mesures de police sanitaire ont été prises pour circonscrire les foyers. ACTIVITES MENEES DANS LE CADRE DE LA SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES MA- LADIES PRIORITAIRES (JANVIER ( A MARS 2013) L a Surveillance épidémiologique des Les suivis ont porté sur les villages, troupeaux maladies prioritaires a été effectuée et animaux visités, les points de suivi des sur le terrain pendant la période sus marchés à volailles, et ensuite les informations sur les résultats des analyses des prélè- indiquée. Les informations ci-dessous ont été recueillies sur la base des fiches et autres documents de rapportage produits à cet effet. Vétérinaire de Bamako vements acheminés au Laboratoire Central (LCV) Villages, troupeaux/exploitations et animaux visités Nombre d animaux visités Bovins Ov/cap Cam Porc Asins Equi ns Bovins Volaille Volailles Kayes Kkoro Sikas Ségou Mopti Tbcto Gao Kidal BKO-D TOTAL ème Trim EPIVET-Info N 043 MARS 2013

3 Commentaire: Il ressort de ce tableau qu il y a eu une augmentation des effectifs visités sauf pour les volailles par rapport au trimestre précédent. Point du suivi des marchés à volailles-foires hebdomadaires et exploitations avicoles (Octobre, Novembre et Décembre 2012) Régions à volail- Structures visitées Espèces visitées Situation Foires Exploitations Poulets Pintades Canarddongeonmiologi Din- Pi- Oies Epidé- à volaille avicoles le que Marchés Kayes Kkoro Sksso Ségou Mopti Tbctou Gao Kidal Dist.Bk TOTAL è Trim Source: DNSV Commentaires :Par rapport au trimestre dernier, les structures visitées ont été en hausse pendant ce trimestre sauf pour les volailles avec : 134 contre 47 marchés à volailles ; 431 contre 158 foires hebdomadaires ; 3128 contre 3498 exploitations avicoles Par contre par rapport à la même période de référence les effectifs visités ont été en baisse à l exception des canards et dindons. La situation se présente ainsi : poulets contre au trimestre dernier ; pintades contre ; canards contre ; 6264 dindons contre 5932 ; pigeons contre ; 2794 oies contre Diagnostic de confirmation des foyers de maladie (premier trimestre 2013) PROVENANCE ESPECES NATURE DES PRELEVEMENTS NBRE SUSPICIONS RESULTATS JANVIER 2013 RAS FEVRIER 2013 Ouezindougou (Kati) Poulet Poumon, encéphale, intestin 01 Maladie de Newcastle Positif en PCR Kononi (San) Bovine Poumon, Ganglion PPCB Négatif en culture MARS2013 Kolongo (Macina) Bovine Sérum 02 PPCB 01 positif à l Elisa de Compétition Source: LCV 3 EPIVET-Info N 043 MARS 2013

4 PRINCIPALES NORMES - NOUVELLES OU AMENDÉES - ADOPTÉES AU COURS DE LA 80 E SESSION GÉNÉRALE (SUITE) N ous soumettons à votre lecture, le tements obligatoires, les usages et l élimination des sous-produits animaux ; troisième extrait de la législation vétérinaire (chapitre nouveau), c) prévoir l enregistrement et, si nécessaire, adoptée par la 80 ème session générale de l agrément des entreprises ainsi que les règles l OIE. Article sanitaires relatives aux opérations effectuées, et Dispositions sanitaires relatives à la production animale 1) L identification et la traçabilité cadre pour traiter tous les éléments figurant au point 6 de l article ) Marchés et rassemblements d animaux Pour les marchés d animaux et autres rassemblements d animaux ayant une importance commerciale ou épidémiologique, la législation vétérinaire devrait : a) imposer l enregistrement de tous les marchés et autres rassemblements d animaux ; b) prescrire les mesures sanitaires susceptibles d éviter la transmission des maladies, notamment le nettoyage et la désinfection, et les mesures de bientraitance des animaux, et Chapitre 3.4. Législation vétérinaire OIE Code sanitaire pour les animaux terrestres c) prévoir les contrôles vétérinaires. 3) La reproduction des animaux La législation vétérinaire devrait prévoir la réglementation des aspects sanitaires relatifs à toute activité de reproduction animale. La réglementation sanitaire peut être appliquée au niveau des animaux, du matériel génétique, des établissements et des opérateurs. 4) L alimentation animale cadre pour : a) les normes de production, de composition et de contrôle qualité des aliments pour animaux ; b) l enregistrement et, si nécessaire, l agrément des entreprises et les règles sanitaires relatives aux opérations effectuées, et c) le retrait du marché de tout produit susceptible de représenter un danger pour la santé humaine ou animale. 5) Les sous-produits animaux cadre pour traiter tous les éléments figurant ci-dessous : a) donner une définition des sous-produits animaux susceptibles de législation ; d) définir les règles applicables par les propriétaires des animaux. 6) Désinfection cadre pour la réglementation et l utilisation des produits et des méthodes de désinfection dans le cadre de la prévention et du contrôle des maladies animales. Article Maladies des animaux cadre permettant à l Autorité compétente de gérer les principales maladies du pays et de dresser une liste de ces maladies, à l aide des recommandations prévues aux chapitres 1.1. et ) La surveillance cadre pour organiser la collecte, la transmission et l exploitation des données épidémiologiques relatives aux maladies listées par l Autorité compétente. 2) La prévention et la lutte contre les maladies a) La législation vétérinaire devrait prévoir des mesures générales en matière de santé animale applicables à toutes les maladies et, si nécessaire, des mesures supplémentaires ou spécifiques portant par exemple sur la surveillance, l instauration d un programme de réglementation ou d une intervention d urgence à l égard de certaines maladies listées dans le pays. Chapitre 3.4. Législation vétérinaire 2012 OIE Code sanitaire pour les animaux terrestres 7 b) La législation devrait également définir un cadre pour les plans d urgence afin de couvrir les points suivants au moment des interventions : i) organisation administrative et logistique ; ii) pouvoirs exceptionnels de l Autorité compétente, et iii) dispositions particulières et temporaires au regard de tous les risques encourus pour la santé humaine ou animale. c) La législation vétérinaire devrait prévoir b) déterminer les règles de collecte, les trai- 4 EPIVET-Info N 043 MARS 2013

5 le financement de mesures de contrôle des maladies animales, telles que les frais opérationnels et, le cas échéant, la compensation des propriétaires en cas de mise à mort ou d abattage des animaux, saisie ou destruction des carcasses, de la viande, des aliments pour animaux ou d autres matériels. 3) Les maladies émergentes La législation vétérinaire devrait prévoir des mesures permettant de mener des investigations sur les maladies émergentes et de mettre en place une action rapide pour y faire face. Article Bien-être animal 1) Dispositions générales cadre pour répondre aux exigences prévues par le Code terrestre en matière de bien-être animal. À cette fin, la législation devrait au moins qualifier l infraction de mauvais traitement, et prévoir l intervention directe de l Autorité compétente en cas de carence des détenteurs. 2) Chiens errants et divagation d autres animaux cadre pour répondre aux exigences figurant au chapitre 7.7. et prévoir l interdiction de l abandon des animaux ainsi que la prise en charge des animaux abandonnés, notamment le transfert de propriété, les interventions vétérinaires et l euthanasie. Article Médicaments vétérinaires et produits biologiques cadre permettant de garantir la qualité des médicaments vétérinaires et des produits biologiques, et de réduire au minimum les risques associés à leur utilisation pour la santé publique, la santé animale et l environnement. 1) Mesures générales cadre pour traiter tous les éléments figurant ci-dessous : a) donner une définition des médicaments vétérinaires et des produits biologiques en prévoyant les exclusions éventuelles, et b) réglementer l importation, la fabrication, la distribution, l usage et le commerce des médicaments vétérinaires et des produits biologiques. Chapitre 3.4. Législation vétérinaire OIE Code sanitaire pour les animaux terrestres 2) Matières premières destinées aux médicaments vétérinaires et aux produits biologiques cadre pour traiter tous les éléments figurant ci-dessous : a) de fixer les normes de qualité des matières premières entrant dans la fabrication ou la composition des médicaments vétérinaires et des produits biologiques et d assurer leur contrôle ; b) d imposer des temps d attente et des limites maximales de résidus pour les médicaments vétérinaires et les produits biologiques chaque fois que nécessaire, et c) d imposer des obligations relatives aux substances présentes dans les médicaments vétérinaires et les produits biologiques pouvant, de par leurs effets, interférer avec les contrôles vétérinaires. 3) Autorisation des médicaments vétérinaires et des produits biologiques a) La législation vétérinaire devrait prévoir qu aucun médicament vétérinaire ou produit biologique ne puisse être mis sur le marché du territoire national sans une autorisation. b) Des dispositions particulières devraient concerner : i) les aliments médicamenteux ; ii) les produits préparés par des vétérinaires ou des pharmaciens habilités, et iii) les situations d urgence ou temporaires. c) La législation vétérinaire devrait prévoir les conditions techniques, administratives et financières d octroi, de renouvellement, de refus et de retrait des autorisations. d) La procédure d instruction et de délivrance des autorisations devrait : i) décrire le fonctionnement de l Autorité compétente concernée, et ii) fixer les règles de transparence en matière de prise de décision. e) La législation vétérinaire pourrait prévoir la possibilité de fixer les conditions de reconnaissance de l équivalence des autorisations délivrées par d autres pays. 4) Qualité des médicaments vétérinaires et des produits biologiques La législation vétérinaire devrait prévoir : a) la réalisation par le fabricant d essais cliniques et non cliniques permettant de vérifier toutes les caractéristiques annoncées ; b) les conditions de réalisation des essais ; c) la qualification des experts intervenant 5 EPIVET-Info N 043 MARS 2013

6 L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ ANIMALE (OIE) ET LA BIODIVERSITÉ L OIE en rapport avec ses partenaires et les Pays membres adapte au besoin les normes sanitaires de détection, prévention et de contrôle des maladies, actualise régulièrement les mécanismes de notification des maladies et appuie les Pays à renforcer leurs Services vétérinaires afin de protéger la santé animale. La Convention sur la diversité biologique définit la biodiversité comme la «variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes» (voir convention/articles/?a=cbd-02). Biodiversité des écosystèmes Biodiversité des espèces La variabilité est essentielle pour l évolution et l adaptation des organismes vivants, y compris des animaux tant sauvages que domestiques, et constitue un vaste champ de recherche. Ainsi, les recherches menées dans ce domaine permettront de mieux comprendre les écosystèmes et de découvrir diverses molécules avec d éventuels bénéfices pour l humanité. La protection de la biodiversité est donc capitale tant pour les animaux que les êtres humains, en particulier à une époque où la planète doit relever de nombreux défis, dont une population humaine croissante ; la circulation accrue des biens, des animaux et des individus, accompagnée de celle des agents pathogènes et des espèces envahissantes ; et le changement climatique, pour n en citer que quelques uns. Forte d un mandat destiné à améliorer la santé animale, la santé publique vétérinaire et le bien-être animal dans le monde, l OIE, avec le concours d autres organisations internationales et de ses Pays Membres, a un rôle clé à jouer dans la sauvegarde de la biodiversité. La protection de la biodiversité est également l une des plateformes où la collaboration intersectorielle entre la santé animale, humaine et environnementale doit être développée et renforcée dans le cadre des initiatives «Une seule santé». Conformément à son mandat et en vue de soutenir la sauvegarde de la biodiversité, l OIE : élabore des normes reposant sur des fonde -ments scientifiques, qui couvrent la détection, la prévention et le contrôle des maladies, ainsi que des mesures destinées à assurer des échanges commerciaux sûrs, en vue d harmoniser les politiques en matière de risques sanitaires aux interfaces entre la faune sauvage, les animaux domestiques et l homme ; soutient et actualise régulièrement les mécanismes de notification des maladies animales par le biais de ses systèmes mondiaux d information, WAHIS et WAHID-Wild aide les Pays Membres à renforcer leurs Services vétérinaires afin de protéger la santé animale, y compris les aspects ayant trait à la 6 EPIVET-Info N 043 MARS 2013

7 faune sauvage et à la biodiversité en utilisant, au besoin, le processus PVS de l OIE ; continue à développer et mettre à jour ses stratégies et ses politiques sur la faune sauvage et la biodiversité grâce au travail de la Commission scientifique et de son Groupe de travail sur les maladies des animaux sauvages ainsi qu au réseau de Laboratoires de référence et Centres collaborateurs de l OIE. Biodiversité génétique (Différentes races de lapins) POUR TOUT CONTACT, SAISIR LA COORDINATION NATIONALE DU PACE-MALI BP: E 1495 TEL/FAX : pace.mali@crsabamako.org Parc de Sotuba -Bamako FICHES D INFORMATION GENERALE SUR LES MALADIES ANIMALES Nous avons entrepris de rappeler à nos lecteurs les maladies sous surveillance du réseau EPIVET-Mali en cherchant dans le site : fr_diseasesecards.htm les fiches destinées au grand public se rapportant à ces maladies. Ici, nous vous proposons le dernier extrait dédié à la grippe aviaire. LA GRIPPE AVIAIRE OU INFLUENZA AVIAIRE Que fait-on pour prévenir et contrôler cette maladie? Mesures de prévention et de contrôle: Il est extrêmement important de disposer de systèmes de détection et d alerte rapide opérationnels dans le cadre d une stratégie efficace face à l IA. Ceci doit être accompagné d efforts du même ordre en matière de préparation permettant de faire face à l apparition d un foyer potentiel. Partout dans le monde, des mesures de surveillance ont été mises en place pour détecter la présence de l infection chez les volailles conformément aux normes pour la surveillance de l influenza aviaire de l OIE (Code sanitaire pour les Animaux Terrestres de l OIE). De plus, les programmes de surveillance observent l apparition, la prévalence et la caractérisation des virus de l IA trouvés chez les oiseaux sauvages. La surveillance des oiseaux sauvages prend en compte les différentes voies migratoires surtout aux points de rassemblement des oiseaux migrateurs en provenance de différents continents Les producteurs de volaille doivent appliquer des mesures de biosécurité pour éviter que le virus ne s attaque à leur élevage. Exemples de mesures à prendre à la ferme: tenir les volailles éloignées des zones de fréquentation d oiseaux sauvages ; exercer un contrôle de l accès des personnes et des équipements aux poulaillers ; éviter d aménager sur le terrain des dispositifs susceptibles d attirer les oiseaux sauvages ; assurer un bon état sanitaire de l exploitation, des poulaillers et de l équipement ; éviter d introduire dans l élevage des oiseaux dont l état sanitaire n est pas connu ; notifier les oiseaux morts et malades ; éliminer de façon appropriée les produits d origine animale et les volailles mortes. 7 EPIVET-Info N 043 MARS 2013

8 En cas de détection de la maladie, on a généralement recours à une politique d abattage (destruction) dans le cadre des efforts menés pour lutte contre la maladie. Ces efforts menés pour contrecarrer la maladie comprennent: la destruction sans cruauté de tous les oiseaux infectés et exposés (en respectant les normes pour l abattage d animaux à des fi ns sanitaires, Code Sanitaire pour les Animaux Terrestres de l OIE) ; élimination appropriée des carcasses et de tous les produits d origine animale (normes sur l élimination des carcasses, Code Sanitaire pour les Animaux Terrestres de l OIE) ; surveillance et recherche de volailles potentiellement infectées ou exposées ; quarantaine et contrôle stricts des déplacements des volailles et de tout véhicule à risque ; décontamination rigoureuse des lieux infectés ; respect d un délai minimal de 21 jours avant l introduction de nouvelles volailles. L abattage peut être complété par une politique de vaccination des volailles dans une zone à haut risque. La vaccination vise à protéger la population d oiseaux sensibles d une infection potentielle en réduisant l incidence ou la gravité de la maladie. Les stratégies de vaccination peuvent efficacement être utilisées comme mesure d urgence face à un foyer ou comme mesure de routine dans une zone endémique. Il faut examiner soigneusement la situation avant de mettre en place une politique de vaccination et suivre scrupuleusement les recommandations de l Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) sur la vaccination et les vaccins ( INFLUENZA\ Guidelines on AI vaccination.pdf). Toute décision de recours à la vaccination doit être assortie de l existence d une politique de fi n de vaccination. Les normes de l OIE soulignent que les mesures de prévention et de contrôle, comme la surveillance et la déclaration de cas d IA chez les oiseaux sauvages ainsi que la vaccination des volailles d élevage ne devraient pas se traduire par des restrictions commerciales injustifiées (Code Sanitaire pour les Animaux Terrestres de l OIE). Incinérations des carcasses de poulets contaminés PRODUCTION DIRECTEUR DE PUBLICATION : Mamadou Racine N DIAYE REDACTEUR EN CHEF : Adama SAMAKE COMITE DE REDACTION: Mahmoudou DIALL Drissa COULIBALY Satigui SIDIBE Mme SIDIBE Maïmouna SANOGO Ibrahima BAH SECRETARIAT : PACE-Mali IMPRESSION: MEGUETAN-TIRAGE 8 EPIVET-Info N 043 MARS 2013

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