Anatomie générale du système squelettique. 1 Définition : 2 Rôles :
|
|
- Yolande Brisson
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Anatomie générale du système squelettique (Avertissement : Nous n exposerons pas la description de la partie cartilagineuse du squelette et la description d un os type est celle d un os long des membres.) 1 Définition : Le système squelettique comprend l ensemble des structures rigides qui contribuent au maintien de l organisme. Il peut être osseux ou cartilagineux. Chez l homme, il s agit d un endosquelette, c est à dire situé à l intérieur du corps, à l inverse d un exosquelette (ex : insecte) situé en surface de l organisme. Il est plurisegmentaire, divisé en squelette axial (où l on retrouve les vertèbres, le thorax, le bassin, la face et le crâne constitué de la voûte ou calvaria et de la base du crâne) et en squelette appendiculaire pour les membres. Il existe ainsi 206 os constants. L étude du système squelettique osseux constitue l ostéologie. Les os de la tête regroupent les os du crâne (pariétaux, temporaux, frontal, ethmoïde, sphénoïde, occipital), les osselets de l oreille moyenne (malleus, incus, stapès) et les os de la face (vomer, maxillaire, lacrymal, palatin, cornet nasal inférieur, nasal, zygomatique, mandibule). A la limite supérieure du cou se situe l os hyoïde. La colonne vertébrale est constituée de sept vertèbres cervicales, douze vertèbres thoraciques, cinq vertèbres lombaires, le sacrum et le coccyx. Le thorax est composé de douze paires de côtes et du sternum. Le squelette du membre supérieur comprend la clavicule, la scapula (qui forment la ceinture du membre supérieur), l humérus, l ulna, le radius, le carpe (scaphoïde, lunatum, triquetrum, pisiforme, trapèze, trapézoïde, capitatum et hamatum), cinq métacarpiens, et quatorze phalanges. Le squelette d un membre inférieur comprend un os coxal (qui forme avec son homologue controlatéral la ceinture du membre inférieur), le fémur, la patella, le tibia, la fibula, le tarse (calcaneus, talus, naviculaire, cuboïde, trois cunéiformes), les cinq métatarsiens et quatorze phalanges. Il existe par ailleurs des os surnuméraires, inconstants, comme les sésamoïdes et des os doubles, en deux parties comme la patella bipartite. 2 Rôles : En plus du rôle de maintien de l organisme, l appareil squelettique permet la mobilisation des différents segments les uns par rapports aux autres au sein des articulations. Il permet les attaches musculaires et ligamentaires. Les os ont aussi un rôle métabolique important, notamment dans les échanges et le stockage du calcium (près de 99% de la totalité du calcium de l organisme est contenu dans les os). Ils ont un rôle essentiel dans l hématopoïèse formation de cellules sanguines (surtout au niveau du sternum ou de l os iliaque chez l adulte) (fig 1). Certains os ont aussi un rôle de protection (exemple du crâne protégeant le cerveau).
2 Figure 1 : Rôles mécaniques, métaboliques et hématopoïétique du système squelettique osseux 3 Pathologies : Les fractures sont fréquentes. Les infections osseuses (ostéite suppurée, ostéomyélite) existent. L ostéoporose est l une des maladies épidémiques chez la personne âgée. Le rachitisme est fréquent dans pays sous-développés. Les cancers osseux primitifs sont heureusement rares, mais les cancers secondaires (métastases osseuses) sont fréquents. Les localisations osseuses de maladies du sang (myélome par exemple) sont classiques. L ostéogenèse imparfaite (maladie des os de verre) touche les enfants. L achondroplasie explique certains nanismes. 4 Organogenèse : Le système squelettique dérive d un mésenchyme totipotent, le mésoderme qui se sépare en dermotome pour le revêtement cutané, en myotome pour les muscles et en sclérotome pour le tissu conjonctif et le squelette. En dehors de la formation du crâne et de la face, le mésoderme est situé soit en position para-axial (à côté de l axe du corps, centré par la tige notochordale antérieure au tube nerveux primitif), soit dans les bourgeons des membres qui apparaissent lors de la quatrième semaine de vie in utero (fig 2). A ce moment, l embryon présente des bosselures dorso-latérales ou somites qui définiront les futurs étages (dermatomes, nerfs spinaux, vertèbres dont sept cervicales, douze thoraciques, cinq lombaires, cinq sacrées et trois à cinq coccygiennes). Les bourgeons des membres crâniaux (qui deviendront les membres supérieurs) se localisent entre le cinquième somite cervical et le premier somite thoracique. Les bourgeons des membres caudaux (qui deviendront les membres inférieurs) se localisent entre le quatrième somite lombaire et le troisième somite sacré.
3 Il existe deux types de transformation du mésoderme en squelette osseux, l ossification de membrane et l ossification endochondrale. Figure 2 : Schéma en vue latérale d un embryon à 4 semaine de vie intra-utérine 4.1 L ossification de membrane : Des cellules ostéoblastiques envahissent du centre vers la périphérie le mésoderme. L envahissement se produit en «tâche d huile». Le plus souvent, l os ainsi formé est un os plat appelé diploïque, composé d une table interne et d une table externe entre lesquelles se trouve de l os spongieux appelé diploé. Cette formation intéresse essentiellement le crâne et certains os de la face (fig 3). Figure 3 : Principes de l ossification de membrane. A : Envahissement du mésenchyme totipotent par un tissu osseux. B : Ossification en tâche d huile. C : Os plat issu d une ossification de membrane
4 4.2 L ossification endochondrale : Dans l ossification endochondrale, ce sont des cellules cartilagineuses (chondroblastes) qui envahissent le mésoderme jusqu à former dans un premier temps un noyau cartilagineux. Ce noyau cartilagineux est entouré d une gaine fibreuse appelé virole périchondrale. Des ostéoblastes envahissent le centre de ce noyau cartilagineux pour former le noyau d ossification primaire. Cette transformation osseuse est centrifuge jusqu à la virole périchondrale qui devient alors le périoste. La couche osseuse située juste en profondeur du périoste est responsable de la croissance de l os en largeur. C est la croissance périostée. Le noyau d ossification primaire est ensuite creusé par un pédicule vasculaire dont l artère nourricière de l os. Le plus souvent et pour l exemple du squelette appendiculaire, les extrémités du noyau restent cartilagineuses. Ces extrémités sont ensuite envahies par d autres noyaux osseux appelés noyaux d ossification secondaires. Il reste une surface chondrale recouvrant les noyaux d ossification secondaire dont une partie forme le cartilage articulaire et dont l autre partie est au contact du noyau d ossification primaire. Ce cartilage compris entre les noyaux d ossification primaire et secondaire est appelé cartilage de croissance, ou cartilage de conjugaison. Il est responsable de la croissance en longueur de l os. Ils disparaissent au fur et à mesure de la croissance par soudure des noyaux d ossification pour ne laisser qu une pièce osseuse unique (fig 4). Figure 4 : Schémas de l ossification endochondrale
5 La différenciation cartilagineuse débute à la cinquième semaine de la vie in utéro et l ossification proprement dite (noyau d ossification primaire) débute à la fin de la période embryonnaire. Les noyaux d ossification secondaire apparaissent après la naissance. La croissance osseuse est sous la dépendance de nombreux facteurs génétique, hormonal (hormone de croissance, hormones sexuelles, hormone thyroïdienne) nutritionnel (vitamine D), et mécanique (sport, activités physiques, ). Pour chacun des os des membres, les cartilages de croissance les plus actifs sont situés près des genoux et loin des coudes. Le cartilage de croissance n est pas visible sur des radiographies, contrairement aux noyaux d ossification. Il est alors possible de définir un âge osseux en fonction (fig 5). Cette croissance liée au cartilage de conjugaison est déficitaire dans le nanisme achondroplasique. Elle peut être atteinte (par décollement épiphysaire traumatique, par exemple) sur tout ou partie du cartilage de croissance, c est l épiphysiodèse qui peut se compliquer ultérieurement d une désaxation de l extrémité osseuse (fig 6). Figure 5 : Exemple d évaluation de l âge osseux et du potentiel de croissance restante selon Risser. Il est réalisé à partie d une radiographie standard de l os coxal et s intéresse à l ossification de la crête iliaque Au stade 0, il n existe pas d ossification de la crête iliaque. Au stade 1, le noyau d ossification secondaire apparaît dans la portion latérale. Au stade 2, le noyau d ossification a envahi plus de la moitié du cartilage primitif. Au stade 3, la crête est complètement ossifiée. Au stade 4, le noyau d ossification se soude de dedans en dehors à l aile iliaque par disparition du cartilage de croissance. Au stade 5, il est pratiquement complètement fusionné. Au stade 6, il est d aspect adulte. Figure 6 : Schéma montrant le cartilage de croissance distal de l humérus atteint par un traumatisme de type décollement épiphysaire («étoile») et l évolution possible avec une désaxation en valgus de l épiphyse (axe «B») par rapport à l axe d une croissance normale (axe «A»).
6 5 Structure : Dans l exemple type (fig 7), un os du squelette appendiculaire est donc recouvert de cartilage articulaire à chaque extrémité. Dans sa partie centrale, il est formé d un os périphérique appelé os cortical entouré d un périoste et d un os central appelé os spongieux au sein de laquelle se trouve une cavité appelée cavité médullaire. Le périoste est une membrane fibreuse périosseuse très résistante, surtout chez l enfant. Il contribue aux attaches musculaires, tendineuses ou ligamentaires par sa couche externe et contribue à l ostéogenèse par sa couche interne. L os cortical est très dur et très résistant. L os spongieux est moins résistant et de disposition plus éparse. Hormis quelques os qui possèdent une moelle hématopoïétique ou moelle rouge dans l os spongieux, la cavité médullaire contient surtout des lobules graisseux décrivant la moelle jaune. Mais la cavité médullaire contient aussi le pédicule vasculo-nerveux nourricier de l os. L os est aussi vascularisé aux extrémités par les artères péri-articulaires nombreuses et par les artères musculaires qui donnent des branches au périoste alors très vascularisé. Enfin, les vaisseaux lymphatiques existent surtout à la surface du périoste. En cas de fracture, l os saigne. Par exemple, une fracture de la diaphyse fémorale peut entraîner une hémorragie de plus d un litre de sang. Cependant, certaines parties de quelques os comme la tête fémorale possède une vascularisation dite terminale. L atteinte des vaisseaux nourriciers entraîne alors une nécrose osseuse. L existence de vaisseaux intramédullaires explique la possibilité de métastases. L innervation explique les douleurs osseuses. Figure 7 : Schéma de la structure générale d un os du squelette appendiculaire
7 6 Classifications morphologiques : Les os peuvent être décrit de différents types selon leur forme. S il existe des variations de dimensions d un individu à l autre, les os d un même individu ont des rapports proportionnels avec la taille et entre eux, en fonction de l âge, du sexe ou parfois d appartenance à un groupe ethnique. 6.1 Les os longs : Les os longs sont définis par une longueur nettement supérieure à la largeur ou à l épaisseur (fig 8). Ce type concerne la plupart des os du squelette appendiculaire (par exemple au membre supérieur : humérus, radius, ulna, métacarpiens, phalanges). Pour ces os, les extrémités sont appelées épiphyses proximale ou distale. La partie centrale, où se trouve l essentiel de l os cortical est appelée diaphyse. La diaphyse est divisée en tiers proximal, moyen et distal. La partie intermédiaire, reliant la diaphyse à l épiphyse est appelée métaphyse. Figure 8 : Schéma d un os long exemple du fémur droit
8 6.2 Les os courts : Ils sont définis par des dimensions sensiblement identiques (par exemple : la patella ou les os du carpe) (fig 9). 6.3 Les os plats : Figure 9 : Exemples d os courts. A gauche : la patella en vue antérieure et en vue latérale droite. A droite : les os du carpe droit en vue antérieure Ils sont définis par une faible épaisseur. La plupart d entre eux dérivent d une ossification de membrane, mais pas tous. Il s agit essentiellement des os de la calvaria, des os de la face, mais aussi du sternum, par exemple (fig 10). Certains os, très minces, sont appelés papyracés, comme la lame perpendiculaire de l ethmoïde ou le vomer dans les fosses nasales. Figure 10 : Exemples d os plats. A gauche : le crâne en vue latérale droite. A droite : Le sternum en vue antérieure et en vue latérale droite
9 6.4 Les os irréguliers : Ils sont ainsi appelés car leurs formes ne correspondent à aucune des descriptions précédentes. L exemple type est la vertèbre (fig 11). 6.5 Autres : Figure 11 : Exemple d un os irrégulier : la vertèbre type. A gauche : vue supérieure. A droite : Vue latérale gauche Certains os sont creux et contiennent un organe (par exemple, l os pétreux contient l oreille interne). D autres sont pneumatiques et contiennent de l air (par exemple, l os maxillaire (fig 12), l os frontal, l ethmoïde, le sphénoïde, le temporal sont creusés de sinus ou de cellules). Figure 12 : Exemple d un os pneumatique : le maxillaire droit en vue antérieure, montrant la présence d une cavité, le sinus maxillaire, qui communique avec les fosses nasales.
10 7 Caractères morphologiques externes Les os ne possèdent pas de surface strictement lisse et régulière. Ils sont formés de reliefs (pour les insertions musculaires, tendineuses ou ligamentaires, par exemple) et de dépressions (pour laisser cheminer un tendon, un muscle, un vaisseau ou un nerf, par exemple) (fig 13). 7.1 Les reliefs : Ils sont appelés tête lorsqu il s agit d une portion nettement détachée et articulaire, condyle lorsqu il s agit d une portion articulaire mais nettement moins détachée, processus lorsqu il s agit d une excroissance osseuse volumineuse nettement détachée de l os, tubérosité lorsqu il s agit d une saillie moins développée et moins détachée de l os, tubercule lorsque la saillie est peu étendue, épine lorsqu elle a une forme globale de pointe, crête lorsqu elle a d aspect linéaires. 7.2 Les dépressions : Elles sont appelées fosse lorsqu elle situe une insertion musculaire étendue, sillon lorsqu elle laisse un passage étroit à un tendon, un nerf ou une vaisseau, incisure lorsqu il s agit d une encoche sur un bord de l os, foramen lorsqu il s agit d un véritable trou dans l os.
11 Figure 13 : Exemples de pièces osseuses montrant des reliefs et des dépressions. A : Vue antérieure de la symphyse pubienne. B : Vue antérieure de l extrémité supérieure du fémur. C : Vue latérale droite d un os coxal. D : Vue antérieure de la scapula et de l extrémité supérieure de l humérus
12 8 Aspects fonctionnels : L os se doit d être à la fois léger, rigide, résistant et élastique. 8.1 Rappels histologiques : L unité histo-physiologique de base est l ostéon. Elle est constituée par un canalicule vasculaire et des lamelles concentriques (fig 14). Les ostéoblastes produisent la substance osseuse composée de substance fondamentale (mucoprotéines imprégnées de sels minéraux sous forme de cristaux) dans laquelle sont noyées des fibres collagènes et élastiques. L activité de ces ostéoblastes diminue lorsque ces cellules sont englobées au sein de l ostéon. A l inverse, les ostéoclastes résorbent la substance osseuse. Il y a donc un remodelage, c est à dire une balance formation - résorption de matière osseuse permanente tout le long de la vie, mais ralentissant avec un âge avancé. A la coupe, l os présente de l extérieur vers l intérieur de l os compact ou cortical, de l os spongieux et une cavité médullaire (fig 15). L indice d épaisseur cortico-médullaire définit le rapport du diamètre de la cavité médullaire sur le diamètre externe de l os. Il est variable selon l âge, de 0,34 chez l enfant à 0,50 chez l adulte (fig 16). Figure 14 : Ostéon Figure 15 : Schéma de l organisation structurelle des ostéons. Figure 16 : Mesure de l indice cortico-médullaire défini par M/C
13 8.2 Forces exercées : Même dans des conditions normales, l os est soumis à des contraintes permanentes. Il existe ainsi des contraintes en compression axiale (comme le poids s opposant à la réaction du sol) contre lesquelles l os à une résistance approximative de 2000 kgs/cm². Il existe aussi des contraintes en traction (résistance de 1000 kgs/cm²), des contraintes en torsion, en cisaillement ou en flexion. L excès d intensité de ces contraintes ou la répétition de ces contraintes peut aboutir à une rupture de l os, c est à dire à une fracture (fig 17). Figure 17 : Principales contraintes exercées sur un os long. A : en compression (tibia). B : en traction (humérus). C : en torsion (humérus). D : en cisaillement (tibia). E : en flexion (radius) 8.3 Os compact : Il constitue la coque externe et comprend des lamelles concentriques et des ostéons disposés de façon dense et orienté dans l axe général de l os. La disposition en lamelles concentriques permet d absorber une partie des forces entre chaque lamelle et ainsi de protéger d une fracture complète (fig 18). La disposition très dense de l os compact permet de supporter l essentiel des contraintes axiales soumises à l os. Figure 18 : Lors d un mécanisme de fracture, une partie de l énergie traumatique est absorbée entre les lamelles de l os cortical.
14 8.4 Os spongieux Il est plus friable. Il est aussi composé de lamelles et d ostéons plus éparses, mais parfois regroupés en trabécules dont l orientation répond aux contraintes mécaniques qui s y exercent. L os spongieux s adapte à la fonction de l os. Ainsi, des dispositions particulières de ces trabécules sont retrouvées aux épiphyses et métaphyses de façon à diriger les forces exercées soit d une surface articulaire vers l os compact, soit de l os compact vers la surface articulaire. Il est ainsi décrit un système trabéculaire classique ogival (par exemple au tibia proximal) (fig 19). Ces travées peuvent expliquer l existence d éperon osseux (par exemple au fémur proximal) ou l existence de zone de fragilité intraosseuse (par exemple au col du fémur ou entre les massifs trochantériens fémoraux expliquant la fréquence des fractures du col du fémur chez la personne âgée dont l os est devenue porotique, c est à dire moins dense, ou encore au sein du corps vertébral expliquant la fréquence des tassements vertébraux de la même personne âgée). Figure 19 : Schémas montrant les dispositions des trabécules de l os spongieux. A : au tibia proximal avec un système ogival classique (P : poids du corps). B : au fémur proximal avec un renforcement cortical médial très dense et des points de fragilité expliquant les fractures (P : poids du corps et F : traction des muscles fessiers). C : au sein d une vertèbre montrant la répartition des trabécules entre le corps vertébral et les processus articulaires.
Articulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détail... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7
BIOLOGIE --1 LE SYSTÈME SQUELETTIQUE ET MUSCULAIRE CHEZ L HUMAIN BIO 5066-1 Novembre 2004 Table des matières Page INTRODUCTION... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6 Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailC est un ensemble qui comprend les os unis entre eux par des articulations et mis en mouvement par des muscles.
C est un ensemble qui comprend les os unis entre eux par des articulations et mis en mouvement par des muscles. Généralités : Les os s articulent entre eux pour fixer le squelette sur lequel s insèrent
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détailQuel athlète ce squelette!
Quel athlète ce squelette! Situation d apprentissage sur le squelette humain Durée : 4 à 8 périodes Deuxième cycle du primaire 68 - Deuxième cycle du primaire Quel athlète ce squelette! Liens avec le Programme
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailDouleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie.
www.cliniquephysioplus.com Une solution naturelle pour vous aider à vous rétablir : la physiothérapie Douleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie. ÉRIC GUY PHYSIOTHERAPEUTE EST : par
Plus en détailSystème LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied.
Système LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied. Technologie à compression Technologie de verrouillage à angle
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailTUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION.
FACULTE De PHARMACIE TUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION. ANATOMIE BASSIN OSSEUX ET ARTICULATIONS Séance préparée par Anne G. et Nicolas T. QCM n 1 :C. Après la naissance... Au
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailComment Ne Plus Souffrir. Du Mal Au Dos
Guide pratique pour apprendre comment soigner ses maux de dos Comment Ne Plus Souffrir Du Mal Au Dos Daniela Vannuchi Experte en Biokinétiques (C.S.C.S) Je ne veux Plus Souffrir! Table des matières MAL
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailCavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS
Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer
Plus en détaildos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n
dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous
Plus en détailRééducation Posturale Globale
Rééducation Posturale Globale R.P.G. Créateur de la méthode : Philippe E. SOUCHARD France Petit guide à l attention de nos patients La Rééducation Posturale Globale est apparue en 1980 à la suite de plus
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailAppareil Thérapeutique pour le Soin du Dos
Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos des instruments ayant une très faible efficacité. Le Nubax Trio est maintenant soutenu par de nombreux brevets et distributeurs à travers le monde. Cet appareil
Plus en détailL utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées
L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées Mohamed Ahmed Samir Kassem Chef de clinique assistant Hôpitaux Universitaires d Alexandrie, Egypte INTRODUCTION La
Plus en détail7. Annexes. 7.1 Les différents constituants de la colonne vertébrale et leurs rôles
7. Annexes Certaines notions abordées dans les chapitres précédents sont expliquées en détail dans les annexes suivantes. Segment vertébral de profil Segment vertébral de profil: les ligaments (F), les
Plus en détailLes PETITS ATELIERS Du DOS» avec Totor
Les PETITS ATELIERS Du DOS» avec Totor Un programme pour apprendre à connaitre et protéger son dos * Programme «les petits ateliers du dos» * Introduction * Présentation 1. Finalités 2. Public cible 3.
Plus en détailLexique. ADN Type Classe 1 Tests réalisés en utilisant les techniques ADN pour déterminer le type HLA- A,B,C, d'un individu au niveau allélique.
Lexique Le glossaire suivant a été établi par de nombreux pays européens impliqués dans le projet Eurocet, dans le but d'harmoniser la terminologie utilisée dans le domaine du don et de la transplantation
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailTechnique Opératoire. Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n
Technique Opératoire Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n PLAQUE POUR ARTHRODÈSE MÉTATARSO-PHALANGIENNE DU PREMIER RAYON. INDICATIONS CLINIQUES : Hallux Rigidus évolué,
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailOstéoarticulaire 363
Ostéoarticulaire 363 OS Fiche 1 Bilan avant prothèse pour omarthrose : radiographie Objectif Faire le diagnostic positif d omarthrose. Distinguer une omarthrose primitive d une omarthrose secondaire. Distinguer
Plus en détailFiche pathologie n 1 : Tendinopathie
Fiche pathologie n 1 : Tendinopathie Fiches pathologies du danseur Inflammation d un tendon ou des structures avoisinantes résultant d une surcharge de travail ou d une contrainte anormale. 4 stades (du
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailRÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS
RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 Le document a été préparé par la Direction des services médicaux en collaboration avec
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailMuscles de l'avant-bras et de la main
Muscles de l'avant-bras et de la main CHAPITRE PLAN DU CHAPITRE Vue d'ensemble des actions : muscles de l'articulation du coude et des articulations radio-ulnaires, 182 Vue d'ensemble des actions : muscles
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLes fractures chez les enfants un véritable casse-tête
L E S T R A U M A T I S M E S D U M E M B R E I N F É R I E U R Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête 5 par Marie-Andrée Cantin Maxime, 11 ans, s est fait bousculer en jouant au soccer
Plus en détailASSURANCES ACCIDENT ET DENTAIRE
ASSURANCES ACCIDENT ET DENTAIRE Voici un résumé des COUVERTURES EN ASSURANCES ACCIDENT ET DENTAIRE incluses dans les frais d affiliations à Softball Québec pour ses membres. Vous trouverez à la page 4
Plus en détailSOMMAIRE LE COU P.4 L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 LE TRONC P.12 LE GENOU P.16 LA CHEVILLE P.20 LE PIED P.22
SOMMAIRE LE COU P.4 - Collier cervical souple, semi rigide ou rigide L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 - La clavicule, l immobilisation d épaule - Coudière, soutien du bras - Immobilisation
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailPOZ IN FORM PHARMAOUEST INDUSTRIES
CARE CONCEPT POZ IN FORM PHARMAOUEST INDUSTRIES NOUVEAUTÉ CARE CONCEPT POZ IN FORM Lenzing FR PHARMAOUEST INDUSTRIES NOUVEAUTÉ AIDES TECHNIQUES DE POSITIONNEMENT EFFET MÉMOIRE HOUSSE AMOVIBLE CONFORTABLE
Plus en détailErgonomie au bureau. Votre santé avant tout
Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT
PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailLES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE
LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE La colonne vertébrale présente des courbures normales (physiologiques) : lordoses et cyphoses qu'il convient de différencier de courbures pathologiques (cyphose accentuée,
Plus en détailFONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE
FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailSommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18
Sommaire Introduction 5 I. Des rappels anatomiques et physiologiques 6 A. Les cellules du tissu osseux 7 1. Les ostéoblastes 8 2. Les ostéocytes 8 3. Les cellules bordantes 9 4. Les ostéoclastes 9 B. La
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailFonction et innervation des Muscles
Muscles Insertions : Adduction (rapproche) Sous centre de rota tete humerale Mémo : Imaginer le mouvement où le muscle se contracte ça donne sa fonction. (Si se contracte en flexion = flechisseur, en extension
Plus en détail9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014. ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos
9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014 ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos par Charbel Mawad, M.Sc. Hygiéniste industriel / Ergonome ASFETM Association sectorielle - Fabrication d équipement
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailFractures de l avant-bras de l adulte. Service d Orthopédie-Traumatologie, Hôpital Avicenne, Université Paris XIII, Bobigny
Fractures de l avant-bras de l adulte Service d Orthopédie-Traumatologie, Hôpital Avicenne, Université Paris XIII, Bobigny A n a t o m i e Le cadre radio-ulnaire Kapandji, Ann Chir Main, 1998 Stabilité
Plus en détailAmputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy
Amputations partielles traumatiques de la main Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles de la main Introduction Amputation et répercussions psychologiques Principes de rééducation
Plus en détailLe sport canin: les revers de la médaille
07 2011 InfoChiens COUP D ŒIL 25 Le sport canin: les revers de la médaille Les mouvements rapides sans échauffement préalable peuvent provoquer des blessures musculaires comme par exemple un claquage du
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailEvaluation de la gravité et complications chez un traumatisé des membres
Evaluation de la gravité et complications chez un traumatisé des membres Dr. C. LAZERGES, Dr. B. COULET, Pr. M. CHAMMAS Service de Chirurgie Orthopédique 2 et Chirurgie de la Main CHU Lapeyronie Montpellier
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détail