Programme canadien antidopage (PCA) de 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Programme canadien antidopage (PCA) de 2015"

Transcription

1 Programme canadien antidopage (PCA) de 2015 FAQ sur la transmission de renseignements au Centre canadien pour l éthique dans le sport (CCES) de la part d organismes d application de la loi Pourquoi est-il si important pour le CCES de recevoir des renseignements de la part d organismes d application de la loi afin de lutter contre le dopage dans le sport? Nous savons que les organismes d application de la loi, l Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) et la Gendarmerie royale du Canada (GRC), découvrent des substances interdites dans le sport dans l exercice de leurs fonctions respectives. Par exemple, les stéroïdes sont la deuxième substance la plus saisie au Canada et la substance la plus saisie au Québec 1. Par les médias qui annoncent d importantes saisies de drogues, nous savons que ces drogues comprennent souvent des substances interdites. Les responsables de l application de la loi connaissent souvent le produit utilisé et le destinataire prévu. Selon des cas vécus dans d autres pays, notamment en Australie, aux États-Unis et au Royaume-Uni, nous savons dans quelle mesure la coopération entre les organismes d application de la loi et de lutte contre le dopage peut être primordiale pour déterminer les substances et les comportements qui peuvent entraîner une violation des règles antidopage. N oublions pas les principales percées en matière de lutte contre le dopage et le rôle de l application de la loi : l équipe de ski autrichienne à Torino, Balco aux États-Unis, l affaire Armstrong et le rapport de l Australian Crime Commission. Plus près de nous, et à titre d exemple uniquement, le CCES a appris d autres sources que dans une affaire au criminel, des chefs d accusation contre un individu ont été retenus et que l intervention du service de police n a plus été nécessaire. L individu en question est assujetti au Code mondial antidopage. Les allégations sur lesquelles le service de police a enquêté renvoyaient à la définition de diverses violations des règles antidopage. Le service de police a aidé le CCES, mais il ne pouvait pas partager les renseignements et les preuves qu il avait découverts au cours de son enquête sans le consentement de l individu. Le CCES n a pas consulté les documents, mais a eu droit à un résumé des renseignements que le service de police avait en sa possession sous le sceau du secret. Par conséquent, nous savons qu une violation des règles antidopage a été commise, mais nous ne pouvions pas le confirmer. À l avenir, si un tiers comme un organisme d application de la loi possède des renseignements impliquant un athlète du groupe national d athlètes (GNA) qui aurait commis une violation des règles antidopage, le CCES croit qu il est totalement approprié qu il soit avisé. 1 Selon les données de l Agence des services frontaliers du Canada recueillies de 2005 à 2011.

2 Le Code mondial antidopage de 2015 exige-t-il que les organismes d application de la loi transmettent des renseignements sur les violations des règles antidopage? Le Code de 2009, le Code de 2015 et la Convention internationale contre le dopage dans le sport de l Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture (UNESCO) s attendent à ce que les gouvernements mettent en place les dispositions nécessaires afin que les organismes d application de la loi partagent des renseignements avec les organismes de lutte contre le dopage. De plus, le Code de 2015 exige que le CCES élabore des processus d enquête et de collecte de renseignements nécessitant clairement la coopération des organismes d application de la loi et la capacité de recevoir des renseignements et des preuves de leur part. Selon l article 5.1.2(b) du Code, le CCES a le mandat de rassembler des renseignements ou des preuves, notamment, des preuves non analytiques visant à déterminer si une violation des règles antidopage a été commise. De plus, selon l article 5.8 du Code, le CCES a le mandat d'obtenir, évaluer et traiter des renseignements antidopage émanant de toutes les sources disponibles pour servir de base pour les enquêtes portant sur une ou plusieurs violation(s) éventuelle(s) des règles antidopage. Le CCES a-t-il souligné le besoin de coopérer avec les organismes d application de la loi auprès des partenaires potentiels qui possèdent des renseignements sur le dopage? Au cours des dernières années, le CCES a établi des partenariats dans divers secteurs : o Comité permanent de la Chambre des communes : le rapport du Comité permanent du patrimoine canadien axé sur les préparatifs du Canada en vue des Jeux de 2014 incluait la recommandation suivante : «Le Comité recommande que le gouvernement du Canada envisage de collaborer avec les acteurs concernés à long terme afin de mieux protéger nos athlètes contre le dopage par inadvertance et les blessures graves, comme les commotions»; o Stratégie nationale antidrogue; o Service des poursuites pénales du Canada; o Réunions avec la GRC; o Réunions avec l Agence mondiale antidopage (AMA); o Partenariat avec la Commission des courses de l Ontario; o Réunions avec le Service canadien de renseignements criminels. Pourquoi l athlète doit-il donner son consentement pour que des renseignements soient divulgués au CCES? La capacité de l ASFC et de la GRC à partager les renseignements en leur possession avec d autres organismes et individus que ceux identifiés de manière précise selon la loi comme étant des destinataires appropriés est très restreinte (surtout selon la Loi sur la protection des renseignements personnels et la Loi sur les douanes, mais également selon d autres lois). Par conséquent, ces entités peuvent uniquement divulguer au CCES des renseignements afin de 2

3 l aider à mettre en application le PCA si l individu à qui les renseignements font référence consent à les divulguer. Il s agit de l intention de la clause 4 du contrat de l athlète. Il faut souligner que le consentement de l athlète à divulguer des renseignements ne garantit nullement que les renseignements puissent être partagé ou le seront avec le CCES. Cette décision repose entièrement sur l organisme qui possède les renseignements, ce qui fait directement référence à la nécessité pour le CCES d établir des partenariats axés sur la confiance et la crédibilité en matière de divulgation potentielle de renseignements. Plus particulièrement, les divulgations potentielles de renseignements selon le consentement de l athlète dans le contrat de l athlète doivent tenir compte du fait que le CCES respectera toutes les restrictions confidentielles imposées et utilisera les renseignements qui peuvent être divulgués SEULEMENT à des fins de lutte contre le dopage et de mise en place du PCA. Les organismes d application de la loi travaillent tous dans des environnements strictement réglementés et doivent considérer plusieurs autres facteurs concernant la divulgation des renseignements en leur possession, tout comme le CCES est contraint par le Standard international pour la protection des renseignements personnels (SIPRP) de l AMA. Par exemple, le service de police ne partagera jamais de preuves avec le CCES (ou avec n importe qui d autre) si un procès doit avoir lieu et que d autres organismes exercent leur pouvoir discrétionnaire à savoir s ils devraient partager les renseignements en leur possession avec un tiers. En d autres mots : le consentement de l athlète représente une condition préalable nécessaire pour divulguer des renseignements (selon la Loi sur la protection des renseignements personnels et la Loi sur les douanes), mais il n oblige ou ne garantit absolument pas une telle divulgation au CCES. Cette méthode ne démontre-t-elle pas clairement une violation de la vie privée et que la lutte contre le dopage va trop loin? Le CCES admet que le fait d exiger le consentement pour divulguer les renseignements qu il a insérés dans la clause 4 du contrat de l athlète constitue une restriction des droits de la protection des renseignements personnels au Canada en général. Toutefois, le CCES croit que cette exigence qui s adresse aux athlètes du GNA est raisonnable, proportionnée et justifiée. Au Canada, les athlètes collaborent étroitement à la lutte contre le dopage. Le PCA représente un contrat consensuel entre les athlètes, leur organisme de sport et le CCES visant à éliminer le dopage dans le sport. En effet, plusieurs autres dispositions du PCA restreignent considérablement les droits de la protection des renseignements personnels d une personne, notamment en matière de prélèvement d échantillons d urine et de sang, d analyse des échantillons entraînant des sanctions sévères, de soumission des renseignements sur la localisation des athlètes, etc. Toutes ces dispositions sont entièrement uniques au sport et ne seraient pas nécessaires ou justifiées si elles s adressaient à une personne ordinaire de la société. Ces restrictions sont considérées comme faisant partie intégrale des efforts déployés à l échelle internationale pour attraper les drogués persévérants et sophistiqués. Les athlètes d un peu partout dans le monde consentent à ces dispositions et les acceptent, car ils désirent un 3

4 sport sain. L objectif du CCES d éliminer le dopage dans le sport au Canada exige, selon toute norme objective, que de telles mesures sensées et calculées soient également prises ici. Le CCES ne croit pas qu il va trop loin en demandant aux organismes d application de la loi de leur transmettre des renseignements avec le consentement de l athlète. Le Code mondial antidopage envisage clairement ce type de divulgation de renseignements. Plusieurs autres organismes antidopage s y adonnent déjà aux quatre coins de la planète. Ce qui importe, c est que le consentement se limite aux renseignements provenant des organismes d application de la loi ou d autres tiers à l intention du CCES et aux renseignements sur le dopage permettant au CCES de mettre en place et d appliquer le PCA. Le CCES n a pas l intention d effectuer «le travail du service de police» ou de se servir du consentement afin de fournir le profil complet de l athlète au service de police. Les renseignements divulgués au CCES seront utilisés uniquement pour lutter contre le dopage. Quand le CCES recevra les renseignements, le cas échéant, toutes les protections du SIPRP de l AMA s appliqueront et seront respectées. Est-ce que toute l information que le CCES recevra parce que j y aurai consenti sera utilisée à titre de preuve contre moi? Pas du tout. Le CCES se servira de la plupart des renseignements (s ils sont considérés comme étant fiables et crédibles) qu il recevra pour documenter d autres étapes d une enquête ou pour porter une attention particulière à des contrôles du dopage ciblés. Certains renseignements sont divulgués au CCES selon le principe qu ils ne peuvent pas être utilisés comme preuves. Le CCES respectera cette exigence. Les renseignements reçus ne constituent pas automatiquement des «preuves». Des preuves sont des renseignements que le CCES peut utiliser dans le cas d une audience sur le dopage afin de prouver que certains faits nécessaires sont directement liés à une violation confirmée des règles antidopage (à savoir, que le trafic a eu lieu ou que l athlète a refusé de subir un contrôle du dopage). Afin que des renseignements soient utilisés comme des preuves, ils doivent avoir été obtenus de manière appropriée, conformément à la violation confirmée des règles antidopage, et ils doivent être fiables. Les différends à ce sujet sont résolus par un arbitre indépendant dans le cadre d une audience dans un tribunal antidopage. Le principe de la «responsabilité stricte» s applique-t-il aux renseignements que le CCES a reçus? Non. La responsabilité stricte s applique uniquement pour les violations en matière de présence et d usage quand l athlète est toujours responsable des substances détectées dans son système. Dans de tels cas, seule la faute de l athlète pour la présence ou l usage d une substance interdite n est pas considérée comme pertinente. Cependant, le CCES trie et évalue tous les renseignements qu il a reçus (peu importe la source) afin de déterminer leur fiabilité et leur crédibilité avant de s en servir. Le CCES n effectue pas d enquête ou ne confirme pas de violations des règles antidopage à la légère. En fait, il est reconnu pour être très prudent et il peut prouver la grande majorité des violations qu il confirme. 4

5 Mon consentement forcera-t-il la divulgation de renseignements médicaux ou légaux fournis en toute confidentialité? Non. Le consentement d un athlète ne force jamais la divulgation de renseignements. Il permet plutôt de divulguer des renseignements au CCES si d autres restrictions propres à la divulgation n existent pas ou ne sont pas annulées. Par exemple, les renseignements médicaux confidentiels ou les discussions privilégiées avec un avocat ne sont jamais «inventé(e)s» par le signataire du consentement. Plusieurs divulgations potentielles de renseignements au CCES ont lieu dans des environnements sévèrement réglementés et devront respecter leurs propres contraintes en matière de divulgation. Une fois que le CCES a reçu les renseignements, avec qui peut-il les partager? Dans la plupart des cas, les renseignements reçus avec le consentement de l athlète seront uniquement utilisés au sein du CCES. Dans tous les cas, le SIPRP de l AMA s applique et le CCES s y conformera concernant l usage et la divulgation de renseignements. La section 8.3 du SIRPR y fait référence. Il est permis de partager des renseignements entre les organismes antidopage afin de lutter contre le dopage. Cette situation est fréquente. Le CCES peut partager les renseignements avec d autres avec consentement. De plus, le CCES peut partager les renseignements en sa possession avec le service de police ou d autres tiers quand il doit le faire, selon la loi ou d autres processus judiciaires obligatoires, comme une citation à comparaître. En dernier lieu, si les renseignements sont pertinents et que les organismes d application de la loi ne peuvent pas les obtenir autrement, les renseignements en possession du CCES peuvent être divulgués au service de police afin de faciliter une enquête criminelle ou une violation du Code de l AMA. Cette situation est-elle déjà survenue au Canada? Oui. Pendant les Jeux olympiques et paralympiques d hiver à Vancouver, le Comité international olympique (CIO) et le Comité international paralympique (CIP) ont exigé le consentement des athlètes afin que l ASFC leur divulgue ses renseignements afin de s assurer que la lutte contre le dopage au Canada puisse être aussi efficace que possible. Cette méthode est-elle économique? Absolument. Quand le CCES pourra recevoir des renseignements des organismes d application de la loi, il pourra porter une plus grande attention aux cas de dopage graves, ceux qui pourraient impliquer plusieurs athlètes. Cette méthode permettra également d informer et de guider le programme de contrôle du dopage du CCES afin qu il cible les bons athlètes au bon moment. Qu advient-il si le CCES n adopte pas cette méthode? 5

6 Le Canada serait considéré comme un pays qui ne prend pas au sérieux la lutte contre le dopage. D autres organismes antidopage importants d un peu partout dans le monde ont intégré ou tentent d intégrer ce type de divulgation de renseignements afin de s assurer que le sport est sain. Le Royaume-Uni et l Australie sont deux exemples d organismes qui ont adopté une telle méthode il y a déjà plusieurs années. 6

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration

Plus en détail

CODE MONDIAL ANTIDOPAGE STANDARD INTERNATIONAL POUR LES CONTRÔLES ET LES ENQUÊTES

CODE MONDIAL ANTIDOPAGE STANDARD INTERNATIONAL POUR LES CONTRÔLES ET LES ENQUÊTES CODE MONDIAL ANTIDOPAGE STANDARD INTERNATIONAL POUR LES CONTRÔLES ET LES ENQUÊTES JANVIER 2015 Standard international pour les contrôles et les enquêtes Le Standard international pour les contrôles et

Plus en détail

Lutte contre le dopage Faits importants et extraits du Guide du sportif de l AMA. En un clin d'oeil

Lutte contre le dopage Faits importants et extraits du Guide du sportif de l AMA. En un clin d'oeil Lutte contre le dopage Faits importants et extraits du Guide du sportif de l AMA En un clin d'oeil Qu est-ce que l AMA? L Agence mondiale antidopage (AMA) est une organisation internationale indépendante

Plus en détail

NOTE IMPORTANTE : cette version est une traduction de la version originale anglaise.

NOTE IMPORTANTE : cette version est une traduction de la version originale anglaise. NOTE IMPORTANTE : cette version est une traduction de la version originale anglaise. CENTRE DE RÈGLEMENT DES DIFFÉRENDS SPORTIFS DU CANADA (CRDSC) SPORT DISPUTE RESOLUTION CENTRE OF CANADA (SDRCC) AFFAIRE

Plus en détail

Contrat de courtier. Entre : (ci-après nommée «Empire Vie») (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité :

Contrat de courtier. Entre : (ci-après nommée «Empire Vie») (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité : Contrat de courtier Entre : L EMPIRE, COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE (ci-après nommée «Empire Vie») et (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité : Province : Code postal : Date d effet

Plus en détail

1. Politiques en matières d appel. 2. Définitions. 3. Portée de l appel

1. Politiques en matières d appel. 2. Définitions. 3. Portée de l appel 1. Politiques en matières d appel L Association Québec Snowboard ( ci-après désignée par AQS ) reconnaît le droit de tout Membre d en appeler des décisions de l AQS et offre par les présentes un processus

Plus en détail

DIRECTIVES ET NORMES EN MATIÈRE DE PRINCIPE

DIRECTIVES ET NORMES EN MATIÈRE DE PRINCIPE Les versions courantes des documents sont mises à jour en ligne. Les copies imprimées ne sont pas contrôlées. Page 1 de 5 DIRECTIVES ET NORMES EN MATIÈRE DE PRINCIPE POUR LES PERSONNES SOUMISES À DES RESTRICTIONS

Plus en détail

Statut concernant le dopage 2015

Statut concernant le dopage 2015 Statut concernant le dopage 2015 Adopté le 28. novembre 2014 Contenu Préambule... 3 Organes... 3 Compétences... 3 Article 1 Définition du dopage... 4 Article 2 Violations des règles antidopage... 4 Article

Plus en détail

Autorisation d usage à des fins thérapeutiques (AUT) Aide-mémoire et formulaire de demande

Autorisation d usage à des fins thérapeutiques (AUT) Aide-mémoire et formulaire de demande Autorisation d usage à des fins thérapeutiques (AUT) Aide-mémoire et formulaire de demande Diabète de type 1 Avant de remplir un formulaire de demande d AUT, assurez-vous de lire les informations se rapportant

Plus en détail

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières L obligation de déposer un rapport Guide à l intention des employeurs, exploitants et infirmières Table des matières Introduction.... 3 Pourquoi faut-il déposer un rapport?... 3 Que fait l Ordre lorsqu

Plus en détail

Réponses aux questions Concours Cassin 2014

Réponses aux questions Concours Cassin 2014 Réponses aux questions Concours Cassin 2014 Paragraphe 1 1 Est-ce que la Fédération gimondienne de cyclisme est une personne morale de droit public? Non 2 La procédure de contrôle anti-dopage inopinée

Plus en détail

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière

Plus en détail

Ry Moran Directeur de la consignation des déclarations de la CVR, responsable du Centre national de recherches

Ry Moran Directeur de la consignation des déclarations de la CVR, responsable du Centre national de recherches Compte rendu de la deuxième conférence téléphonique : Appel de propositions pour héberger en permanence le Centre national de recherches sur les pensionnats indiens Date : Mercredi 11 janvier 2012 Endroit

Plus en détail

les bulletins de participation admissibles reçus dans chacune des régions décrites ci-après entre le

les bulletins de participation admissibles reçus dans chacune des régions décrites ci-après entre le Règlement Concours de Cooperators 2015 Prix en argent de 57 000 $ Aucun achat requis. Le concours commence le 1 er janvier 2015 à 0 h 1 s HNE et se termine le 31 décembre 2015 à 23 h 59 min 59 s HNE (la

Plus en détail

Tendances de l insolvabilité au Canada

Tendances de l insolvabilité au Canada Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de

Plus en détail

Bulletin de l ACFM. Principe directeur. Aux fins de distribution aux parties intéressées dans votre société

Bulletin de l ACFM. Principe directeur. Aux fins de distribution aux parties intéressées dans votre société Association canadienne des courtiers de fonds mutuels Mutual Fund Dealers Association of Canada 121 King Street W., Suite 1600, Toronto (Ontario) M5H 3T9 Tél. : (416) 361-6332 Téléc. : (416) 943-1218 SITE

Plus en détail

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise MODÉRATEUR : Eric Simard Fasken Martineau PANÉLISTES : Martin Sheehan Fasken Martineau Anne Granger Fasken Martineau 3e Symposium

Plus en détail

Code d Éthique ArcelorMittal

Code d Éthique ArcelorMittal Code d Éthique ArcelorMittal ArcelorMittal a une réputation d honnêteté et d intégrité dans ses pratiques de gestion ainsi que dans toutes les transactions commerciales. Pour la société, y compris chaque

Plus en détail

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique CCRRA Le 30 mars 2004 Madame, Monsieur, Au nom du Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance (CCRRA), je suis heureux de vous annoncer la publication d un document de consultation

Plus en détail

Foire aux questions (FAQ)

Foire aux questions (FAQ) Règlement (CE) n 924/2009 concernant les paiements transfrontaliers dans la Communauté (Règlement concernant l égalité des frais pour les paiements nationaux et transfrontaliers) Foire aux questions (FAQ)

Plus en détail

Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires

Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle entre l Institute of Actuaries of Australia et l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle TABLE DES MATIÈRES 1. CONTEXTE 1 2. CONDITIONS CONVENUES

Plus en détail

33e congrès Société de criminologie du Québec

33e congrès Société de criminologie du Québec 33e congrès Société de criminologie du Québec Présentation de M. Michel Sarrazin Directeur principal Sécurité corporative Banque Nationale du Canada Atelier 9 : Vol d identité, un crime toujours en hausse

Plus en détail

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB

Plus en détail

Politique de confidentialité

Politique de confidentialité Politique de confidentialité OPGI Management GP Inc., en tant que gestionnaire d immeuble du centre commercial des Promenades Cathédrale au nom de ses propriétaires (collectivement désignés aux présentes

Plus en détail

DAS Canada Legal Protection Insurance Company Limited. («DAS Canada») CONVENTION DE COURTAGE

DAS Canada Legal Protection Insurance Company Limited. («DAS Canada») CONVENTION DE COURTAGE DAS Canada Legal Protection Insurance Company Limited («DAS Canada») CONVENTION DE COURTAGE En soumettant les informations relatives à vos activités de courtage sur le formulaire d enregistrement en ligne

Plus en détail

Code de conduite destiné à l industrie canadienne des cartes de crédit et de débit. Le présent code vise à montrer l engagement de l industrie à :

Code de conduite destiné à l industrie canadienne des cartes de crédit et de débit. Le présent code vise à montrer l engagement de l industrie à : Code de conduite destiné à l industrie canadienne des cartes de crédit et de débit Objet Le présent code vise à montrer l engagement de l industrie à : 1. veiller à ce que les commerçants soient pleinement

Plus en détail

Avis public : Rapport spécial sur les CHÈQUES ET MANDATS FALSIFIÉS

Avis public : Rapport spécial sur les CHÈQUES ET MANDATS FALSIFIÉS Avis public : Rapport spécial sur les CHÈQUES ET MANDATS FALSIFIÉS Résumé Les organismes de réglementation et d application de la loi au Canada et aux États-Unis ont récemment observé une hausse considérable

Plus en détail

Politique Utilisation des actifs informationnels

Politique Utilisation des actifs informationnels Politique Utilisation des actifs informationnels Direction des technologies de l information Adopté le 15 octobre 2007 Révisé le 2 juillet 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. OBJECTIFS... 3 2. DÉFINITIONS... 3

Plus en détail

Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C

Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Secret de la défense nationale Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Textes source : Articles 413-5, 413-7, 413-9 à 413-12,

Plus en détail

Code de conduite pour les responsables de l'application des lois

Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Adopté par l'assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169) Article premier Article 2 Les responsables de

Plus en détail

Cour suprême. simulation d un procès. Canada. Introduction génér ale. Comment réaliser une simulation de procès?

Cour suprême. simulation d un procès. Canada. Introduction génér ale. Comment réaliser une simulation de procès? simulation d un procès Introction génér ale Un procès criminel se déroule devant un juge seul, parfois assisté d un jury composé de jurés. L avocat de la défense représente l accusé, qui est présumé innocent,

Plus en détail

Loi modifiant la Loi sur l Autorité des marchés financiers et d autres dispositions législatives

Loi modifiant la Loi sur l Autorité des marchés financiers et d autres dispositions législatives PREMIÈRE SESSION TRENTE-HUITIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 64 Loi modifiant la Loi sur l Autorité des marchés financiers et d autres dispositions législatives Présentation Présenté par Madame Monique

Plus en détail

Proposition d Assurance acheteur unique ou d Assurance frustration de contrat Remplir le présent formulaire et le présenter à EDC

Proposition d Assurance acheteur unique ou d Assurance frustration de contrat Remplir le présent formulaire et le présenter à EDC RÉSERVÉ À EDC : CI # : Proposition d Assurance acheteur unique ou d Assurance frustration de contrat Remplir le présent formulaire et le présenter à EDC 1 RENSEIGNEMENTS SUR LE CLIENT Nom légal de l entreprise

Plus en détail

Sportifs et médicaments Questions et réponses

Sportifs et médicaments Questions et réponses Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance

Plus en détail

«LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE)

«LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE) «LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE) SOMMAIRE Introduction PREMIERE PARTIE: LES RÈGLES RÉGISSANT LA PROTECTION DES SOURCES

Plus en détail

VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE INTRODUCTION

VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE INTRODUCTION VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT : Le présent certificat d assurance est

Plus en détail

Demande d obtention de permis d exercice ou de certificat de spécialiste

Demande d obtention de permis d exercice ou de certificat de spécialiste Demande pour une inscription en (mois/année) : NATURE DU PERMIS OU DU CERTIFICAT DEMANDÉ Note : une demande séparée est nécessaire pour chaque type de permis, certificat ou inscription. GÉNÉRAL SPÉCIALITÉ

Plus en détail

Conditions générales d utilisation

Conditions générales d utilisation Conditions générales d utilisation L utilisation du site internet www.fastt-mut.org (le Site) est régie par les présentes Conditions générales d utilisation. Les présentes Conditions générales d utilisation

Plus en détail

Accès des gouvernements aux données du secteur privé

Accès des gouvernements aux données du secteur privé Accès des gouvernements aux données du secteur privé Jérusalem, le 28 octobre 2010 (32 e conférence internationale des commissaires à la protection des données et de la vie privée) Giovanni Buttarelli

Plus en détail

Demande de règlement d invalidité de longue durée

Demande de règlement d invalidité de longue durée Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n

Plus en détail

Concours 25 000 $ de prix en argent offerts par le Programme d assurance automobile et habitation CIBC (le «Concours»)

Concours 25 000 $ de prix en argent offerts par le Programme d assurance automobile et habitation CIBC (le «Concours») Concours 25 000 $ de prix en argent offerts par le Programme d assurance automobile et habitation CIBC (le «Concours») EN PRENANT PART AU CONCOURS, CHAQUE PARTICIPANT ACCEPTE D ÊTRE LIÉ PAR LE RÈGLEMENT

Plus en détail

Sollicitation commerciale et protection des renseignements personnels

Sollicitation commerciale et protection des renseignements personnels Sollicitation commerciale et protection des renseignements personnels Présenté par M e Karl Delwaide Associé principal et membre-fondateur du groupe de pratique national Protection de l information et

Plus en détail

Négociants en métaux précieux et pierres précieuses : CE QuE. Vous. DEVEz savoir

Négociants en métaux précieux et pierres précieuses : CE QuE. Vous. DEVEz savoir Négociants en métaux précieux et pierres précieuses : CE QuE Vous DEVEz savoir septembre 2012 CE QuE Vous D Ce dépliant est destiné aux négociants en métaux précieux et pierres précieuses au Canada. Il

Plus en détail

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS Règlement 22(1) La demande de licence pour fournir et offrir des services de garderie familiale comporte les éléments suivants : (b.1) une copie du code de conduite

Plus en détail

Préservez votre crédit. Empêchez le vol d identité. GUIDE DES AVANTAGES

Préservez votre crédit. Empêchez le vol d identité. GUIDE DES AVANTAGES Préservez votre crédit. Empêchez le vol d identité. GUIDE DES AVANTAGES Bienvenue au programme Surveillance d identité Félicitations! Vous avez posé un geste important pour vous protéger des conséquences

Plus en détail

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4

Plus en détail

Programme de bourses de recherche de l UEFA Edition 2014

Programme de bourses de recherche de l UEFA Edition 2014 Programme de bourses de recherche de l UEFA Edition 2014 Règlement Règlement du Programme de bourses de recherche de l UEFA 1. Conditions de participation Tout candidat à ce programme doit: posséder un

Plus en détail

ARROW ELECTRONICS, INC.

ARROW ELECTRONICS, INC. 7459 South Lima Street Englewood, Colorado 80112 Aout 2013 P 303 824 4000 F 303 824 3759 arrow.com CODE DE CONDUITE DES PARTENAIRES COMMERCIAUX ARROW ELECTRONICS, INC. Cher partenaire commercial, Le succès

Plus en détail

Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie

Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Assurance-vie essentielle pour enfants Premiers Pas Dans la présente police, «nous» et «nos» renvoient à Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie. Nous nous engageons

Plus en détail

Partir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE

Partir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE Partir en toute assurance PARTOUT DANS LE MONDE L information contenue dans ce document l est à titre indicatif et n engage en rien la responsabilité de la Société de l assurance automobile du Québec.

Plus en détail

ENTENTE DE PRESTATION DU COURS

ENTENTE DE PRESTATION DU COURS ENTENTE DE PRESTATION DU COURS D AMBASSADEUR (Trainer Course) INDIVIDUEL avec Assurance - PRINCIPES ET TECHNIQUES 151, Boulevard Ste Rose, Laval, Québec, H7L1L2 Tél : 1-877-238-9343 Fax : 1-450-661-3884

Plus en détail

responsable? Qui est Sinistres «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas»

responsable? Qui est Sinistres «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas» Sinistres Qui est responsable? «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas» Comment l expert en sinistres détermine la responsabilité L incidence de la responsabilité Possibilités d appel Mars

Plus en détail

CONCOURS PHOTOS ÉTUDIANTS

CONCOURS PHOTOS ÉTUDIANTS RÈGLEMENT OFFICIEL CONCOURS PHOTOS ÉTUDIANTS Le Concours de photos des étudiants (le «concours») débute à minuit une HE le 23 avril 2015 («date de début du concours») et se termine à 23 h 59 HE le 26 juin

Plus en détail

Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification

Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification Foire aux questions Documents mentionnés dans la liste de vérification Questions 1) Quelle longueur doit avoir la lettre d accompagnement et quel doit être son contenu? 2) Pouvez-vous m envoyer un exemple

Plus en détail

Travailleurs étrangers temporaires. Vos droits sont protégés

Travailleurs étrangers temporaires. Vos droits sont protégés Travailleurs étrangers temporaires Vos droits sont protégés Bienvenue au Canada! Le Canada est un ardent défenseur des droits de la personne, au pays comme à l étranger. Cette brochure a été préparée pour

Plus en détail

DEMANDE DE COMMENTAIRES

DEMANDE DE COMMENTAIRES DEMANDE DE COMMENTAIRES Avis et demande de commentaires Publication du projet de Règle MB 001 sur la délivrance de permis et obligations continues des courtiers en hypothèque et du projet de Règle MB 002

Plus en détail

APPLICATION POUR FRANCHISÉ

APPLICATION POUR FRANCHISÉ APPLICATION POUR FRANCHISÉ Ce formulaire a pour but de fournir l information nécessaire afin de permettre à notre équipe de gestion de déterminer si vous répondez aux critères établis pour devenir un franchisé.

Plus en détail

ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA PRINCIPAUTE DU LIECHTENSTEIN ET LE MATIERE FISCALE

ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA PRINCIPAUTE DU LIECHTENSTEIN ET LE MATIERE FISCALE ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA PRINCIPAUTE DU LIECHTENSTEIN ET LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE RELATIF A L ECHANGE DE RENSEIGNEMENTS EN MATIERE FISCALE Considérant que le Gouvernement de

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES

CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES informatiques d Inria CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES Table des matières 1. Préambule...3 2. Définitions...3 3. Domaine d application...4 4. Autorisation d accès aux ressources informatiques...5

Plus en détail

( ) Fax : ( ) Courriel : Veuillez annexer une liste des adresses de toutes les succursales ou bureaux du proposant.

( ) Fax : ( ) Courriel : Veuillez annexer une liste des adresses de toutes les succursales ou bureaux du proposant. Chubb du Canada Compagnie d Assurance Montréal Toronto Oakville Calgary Vancouver PROPOSITION POLICE POUR DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES Responsabilité civile professionnelle pour les planificateurs financiers

Plus en détail

AVIS DE RÈGLEMENT PROPOSÉ

AVIS DE RÈGLEMENT PROPOSÉ AVIS DE RÈGLEMENT PROPOSÉ Markson c. Banque MBNA Canada À: Tous les détenteurs, passés et actuels, de cartes de crédit de la Banque MBNA Canada et de CUETS Financial VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT CET AVIS,

Plus en détail

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également

Plus en détail

Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme

Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme public Juin 2015 1 INTRODUCTION... 4 À QUI S ADRESSE

Plus en détail

Avis de consultation de télécom CRTC 2014-604

Avis de consultation de télécom CRTC 2014-604 Avis de consultation de télécom CRTC 2014-604 Version PDF Ottawa, le 20 novembre 2014 Numéro de dossier : 8690-C12-201411868 Instance de justification Date limite de dépôt des interventions : 8 janvier

Plus en détail

Montrer que la gestion des risques en sécurité de l information est liée au métier

Montrer que la gestion des risques en sécurité de l information est liée au métier Montrer que la gestion des risques en sécurité de l information est liée au métier Missions de l entreprise Risques métier Solutions pragmatiques et adaptées Savoir gérer la différence Adapter à la norme

Plus en détail

Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition

Plus en détail

Tes droits lorsque tu parles à la police

Tes droits lorsque tu parles à la police LE MAINTIEN DE L ORDRE ET LA SOCIÉTÉ 68 Module 7 Tes droits lorsque tu parles à la police Question centrale Quels sont tes droits lorsque tu parles et interagis avec la police? Aperçu Dans ce module, nous

Plus en détail

1. À PROPOS DE COURTIKA

1. À PROPOS DE COURTIKA Conditions d utilisation du site web des sociétés Assurances Morin et Associés Inc., Services Financiers Morin Inc. et Lambert Jutras Assurances Inc. (ci-après «Courtika») Bienvenue sur le site Web de

Plus en détail

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines

Plus en détail

Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial

Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial Mars 2013 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA COTE DE RENDEMENT AU COLLÉGIAL CREPUQ AVANT-PROPOS Ce document apporte des réponses aux principales questions

Plus en détail

Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture

Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture juillet 2012 SOMMAIRE 3 I. CONTEXTE ET PRÉSENTATION 6

Plus en détail

Plan Protection Plus Certificat d assurance - Assurance vie et invalidité

Plan Protection Plus Certificat d assurance - Assurance vie et invalidité Page 1 de 5 Le présent certificat d assurance (le «certificat») renferme des détails importants sur votre couverture d assurance ; veuillez le garder en lieu sûr. La correspondance ultérieure pourrait

Plus en détail

Réglementation des jeux de casino

Réglementation des jeux de casino Chapitre 4 Section 4.01 Commission des alcools et des jeux de l Ontario Réglementation des jeux de casino Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.01 du Rapport annuel 2010 Contexte

Plus en détail

LA SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (S.A.A.Q.) DÉCISION

LA SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (S.A.A.Q.) DÉCISION Y.D. c. Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) Commission d accès à l information du Québec Dossier : 09 03 82 Date : Le 20 octobre 2009 Commissaire : M e Jean Chartier 2009 QCCAI 226 Y D Demandeur

Plus en détail

Que pourrait-on donner comme exemples d organismes à but non lucratif? Est-il interdit aux organismes à but non lucratif de faire de l argent?

Que pourrait-on donner comme exemples d organismes à but non lucratif? Est-il interdit aux organismes à but non lucratif de faire de l argent? ORGANISMES À BUT NON LUCRATIF UN GUIDE JURIDIQUE La présente brochure a pour but principal de donner des renseignements généraux aux groupes communautaires et aux organismes à but non lucratif qui envisagent

Plus en détail

DEMANDE D'UNE CARTE DE RÉSIDENT PERMANENT

DEMANDE D'UNE CARTE DE RÉSIDENT PERMANENT Citoyenneté et Immigration Canada Citizenship and Immigration Canada PROTÉGÉ UNE FOIS REMPLI - B PAGE 1 DE 5 DEMANDE D'UNE CARTE DE RÉSIDENT PERMANENT Vous êtes confus au sujet d'une question? Voir étape

Plus en détail

Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels

Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels Recueil de gestion POLITIQUE Code : 1511-00-12 Nombre de pages : 6 Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels Amendée par le Comité exécutif le 4 octobre 2006

Plus en détail

Adresse : Ville : Pays : Code Postal:

Adresse : Ville : Pays : Code Postal: En tant que société «équitable», c'est la politique de RusticCo, LLC, (la «Compagnie») de traiter tous les employé(e)s et tous les candidats à l'emploi de façon égale sans tenir compte de leur race, religion,

Plus en détail

Loi modifiant la Loi sur la protection du consommateur et la Loi sur le recouvrement de certaines créances

Loi modifiant la Loi sur la protection du consommateur et la Loi sur le recouvrement de certaines créances DEUXIÈME SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 48 Loi modifiant la Loi sur la protection du consommateur et la Loi sur le recouvrement de certaines créances Présentation Présenté par M.

Plus en détail

Conférence d Oslo. Présentation générale des premières décisions à adopter. par le Comité de suivi de la convention. par Marie-Françoise Glatz

Conférence d Oslo. Présentation générale des premières décisions à adopter. par le Comité de suivi de la convention. par Marie-Françoise Glatz Conférence d Oslo Présentation générale des premières décisions à adopter par le Comité de suivi de la convention par Marie-Françoise Glatz Le Comité de suivi va devoir, dès sa première réunion, travailler

Plus en détail

ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D'ÉTABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT RETRAITÉS. Assurance vie Catégories 100, 110, 200

ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D'ÉTABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT RETRAITÉS. Assurance vie Catégories 100, 110, 200 ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D'ÉTABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT RETRAITÉS Assurance vie Catégories 100, 110, 200 Dernière modification prenant effet le : 1 er janvier 2015 RÉGIME D'ASSURANCE

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

RÈGLEMENT OFFICIEL DU CONCOURS «Quiz Mise-O-Jeu»

RÈGLEMENT OFFICIEL DU CONCOURS «Quiz Mise-O-Jeu» RÈGLEMENT OFFICIEL DU CONCOURS «Quiz Mise-O-Jeu» 1. CONCOURS ET DURÉE DU CONCOURS Aucun achat requis. Le concours «Quiz Mise O Jeu» se tiendra dans tous les restaurants La Cage aux Sports et se déroulera

Plus en détail

Ministère de la Santé et des Soins de longue durée

Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Lignes directrices du OBJECTIF Inciter les infirmières et infirmiers des régions rurales et éloignées à pratiquer dans des collectivités admissibles de

Plus en détail

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine

Plus en détail

Table des matières. L assurance de la copropriété... 23. Avant-propos... 15 Remerciements... 17 Introduction... 19. chapitre I

Table des matières. L assurance de la copropriété... 23. Avant-propos... 15 Remerciements... 17 Introduction... 19. chapitre I Table des matières Avant-propos............................. 15 Remerciements............................ 17 Introduction.............................. 19 I L assurance de la copropriété............ 23

Plus en détail

DIRECTIVES. 2. Vous devez joindre au présent formulaire les documents originaux ou des copies certifiées conformes à l original suivants :

DIRECTIVES. 2. Vous devez joindre au présent formulaire les documents originaux ou des copies certifiées conformes à l original suivants : DEMANDE DE RECONNAISSANCE D UN DIPLÔME OU D UNE FORMATION EN VUE DE L EXERCICE DE LA PHARMACIE AU QUÉBEC DIRECTIVES 1. Veuillez écrire en lettres moulées de façon lisible. Le présent document doit être

Plus en détail

TELUS Corporation. Programme de vente pour actionnaires détenant 99 actions ordinaires ou moins le 16 septembre 2015. Brochure d information

TELUS Corporation. Programme de vente pour actionnaires détenant 99 actions ordinaires ou moins le 16 septembre 2015. Brochure d information Programme de vente pour actionnaires détenant 99 actions ordinaires ou moins le 16 septembre 2015 Brochure d information Lisez attentivement toute l information fournie avant de décider de participer au

Plus en détail

INDEX ANALYTIQUE. Accident d aviation. «Competence of Tribunal Interjurisdictional Aviation Accidents», 169-182

INDEX ANALYTIQUE. Accident d aviation. «Competence of Tribunal Interjurisdictional Aviation Accidents», 169-182 INDEX ANALYTIQUE Note: Sous chaque entrée de l index analytique vous trouverez les informations nécessaires pour repérer les articles ou les chroniques de la Revue du Barreau, soit le titre suivi, en caractère

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ CLT-10/CONF.204/6 PARIS, le 14 septembre 2010 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT

Plus en détail

Programme d assurance-invalidité de courte durée

Programme d assurance-invalidité de courte durée Programme d assurance-invalidité de courte durée Votre trousse de six pages Aperçu Le Programme d assurance-invalidité de courte durée (PAICD) assure un traitement uniforme pour tous les employés lorsqu

Plus en détail

UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS

UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS Page 1 de 9 UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS CONTEXTE La Commission scolaire doit s assurer d un usage adéquat des ressources informatiques mises à la disposition des

Plus en détail

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines

Plus en détail

Comment se défendre devant le tribunal pénal

Comment se défendre devant le tribunal pénal Community Legal Information Association of Prince Edward Island, Inc. Comment se défendre devant le tribunal pénal Si vous êtes accusé d avoir commis une infraction criminelle, une infraction contre certaines

Plus en détail

Assurance vie permanente. Avantage simplifié Pour les personnes de 40 à 80 ans, sans examen médical

Assurance vie permanente. Avantage simplifié Pour les personnes de 40 à 80 ans, sans examen médical Assurance vie permanente Avantage simplifié Pour les personnes de 40 à 80 ans, sans examen médical Avantage simplifié Jusqu à 100 000 $ 1 d assurance vie par assuré, sans examen médical Avantage simplifié

Plus en détail

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples

Plus en détail

FORMULAIRE OBLIGATOIRE CONTRAT DE COURTAGE EXCLUSIF COPROPRIÉTÉ DIVISE FRACTION D UN IMMEUBLE PRINCIPALEMENT RÉSIDENTIEL DÉTENU EN COPROPRIÉTÉ DIVISE

FORMULAIRE OBLIGATOIRE CONTRAT DE COURTAGE EXCLUSIF COPROPRIÉTÉ DIVISE FRACTION D UN IMMEUBLE PRINCIPALEMENT RÉSIDENTIEL DÉTENU EN COPROPRIÉTÉ DIVISE NOTE Le présent formulaire doit être utilisé lorsqu un contrat de courtage est conclu avec une personne physique. 1. IDENTIFICATION DES PARTIES FORMULAIRE OBLIGATOIRE CONTRAT DE COURTAGE EXCLUSIF COPROPRIÉTÉ

Plus en détail

Pour toutes vos questions et préoccupations, veuillez contacter le Directeur Général ou la Directrice Financière.

Pour toutes vos questions et préoccupations, veuillez contacter le Directeur Général ou la Directrice Financière. General Logistics Systems France Siège social 14, rue Michel labrousse BP 93730-31037 Toulouse Cedex 1 Téléphone 0825 34 34 34 (0,15 TTC/Min) Fax +33 (0)5 34 619 620 Internet www.gls-group.eu Politique

Plus en détail

Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires

Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)

Plus en détail

PROFIL DU POSTE. GESTIONNAIRE, Opérations des Jeux

PROFIL DU POSTE. GESTIONNAIRE, Opérations des Jeux PROFIL DU POSTE GESTIONNAIRE, Opérations des Jeux Objectifs associés au poste Le ou la gestionnaire, Opérations des Jeux, gérera les volets opérationnel et logistique des préparatifs des Jeux qui lui ont

Plus en détail