Comite de Bâle sur le contrôle bancaire
|
|
- Huguette Tassé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 info note BÂLE III
2 Comite de Bâle sur le contrôle bancaire C'est quoi? Le Comité de Bâle a été créé en 1974 par les gouverneurs des 10 banques centrales, parmi lesquelles la belge. Ceci, à la suite de la faillite d'une petite banque allemande (Bankhaus Herstatt) et des problèmes qui en ont résulté sur les marchés financiers. Le comité se charge de l'harmonisation internationale du contrôle des institutions financières en diffusant des informations, en donnant des formations et en proposant des standards sur le sujet. Ce dernier aspect n'a cessé de gagner en importance au cours des dernières années. Le comité n'a, en soi, aucun pouvoir légal. Chaque membre (pays) détermine lui-même de quelle manière il transpose les recommandations. Dans l'union européenne, les recommandations sont habituellement transposées dans une directive qu'entérinent ensuite les États membres dans la législation nationale. Le Comité de Bâle forme avec ses organisations sœurs, l'international Organization of Securities Commissions (IOSC) et l'international Association of Insurance Supervisors (IAIS), ce que l'on appelle le Joint Forum pour les 3 secteurs précités. Qui? Actuellement, 27 pays sont représentés dans le Comité de Bâle par le biais de leurs banques centrales et contrôleurs. Des représentants de la Banque nationale et de la CBFA y participent pour la Belgique. Quand? Le Comité de Bâle se réunit environ 4x par an, mais a aussi un secrétariat permanent.
3 Bâle I, II, III, Le Comité de Bâle s'est surtout fait connaître dans le secteur financier, mais aussi loin en dehors, grâce aux standards internationaux Bâle I, II et depuis peu aussi, III. Bâle I (1988) Capital Accord (Accord sur les fonds propres) objectif Eviter que les banques ne soient sous-capitalisées en raison de la concurrence sévère. Mesures Focus sur les risques de crédit 5 catégories de pondération de risque: 0%, 10%, 20%, 50%, 100% Exigence de capital minimum de 8% par rapport aux encours de crédits, après pondération du risque Subdivision du capital bancaire en Tier 1 et Tier 2 Tier 1 = le capital principal (patrimoine en actions et réserves de bénéfices) Tier 2 = capital complémentaire (certaines réserves, dette subordonnée, ) Formule : Montant des encours de crédits après pondération du risque * 8% < capital bancaire (= Tier 1+2) Bâle II (2004) New Capital Framework (nouveau cadre en matière de fonds propres) objectif Affiner Bâle I (Bâle I a été dépassé par l'apparition de produits structurés et est donc devenu moins efficace). Mesures Rendre l'affectation de capital encore plus sensible au risque (cela avait des conséquences notamment sur l'octroi de crédits et les tarifs des crédits pour entreprises) Distinguer les risques opérationnels des risques de crédit Mettre en phase le capital régulier et le capital économique pour éviter l'arbitrage Plus de compétences et d'instruments pour les contrôleurs Plus de transparence dans le reporting public des banques.
4 Bâle III ( ) objectif Rendre les banques plus résistantes à la crise en abaissant vulnérabilité aux risques du marché. Mesures Plus grandes réserves de capital! L'exigence de capital de 8% sur les actifs pondérés par les risques est maintenue dans un premier temps, mais à partir de 2013, la qualité devra être accrue (plus de Tier 1) et à partir de 2016, l'exigence de capital augmentera aussi petit à petit pour s'établir à 10,5% à partir de Les contrôleurs nationaux peuvent par ailleurs imposer un tampon anticyclique de maximum 2,5%. Introduction de 2 nouveaux ratios (voir tableau page suivante) : Liquidity Coverage Ratio Net Stable Funding Ratio Timing Malgré l'approche phasée autorisée, il y a de fortes chances que les banques veuillent se recapitaliser au plus vite, d'une part sous la pression morale des régulateurs, mais aussi en raison de la concurrence sur les marchés d'actions (premier arrivé, premier servi?). Le 12 septembre 2010, la Deutsche Bank a directement levé 9,8 milliards de capital supplémentaire. Les prochaines étapes sont d'ores et déjà la discussion de l'accord par le G20 (novembre 2010) et ensuite la transposition de Bâle III dans une directive européenne et dans la législation belge.
5 Annex 2: Phase-in arrangements (shading indicates transition periods) (all dates are as of 1 January) As of 1 January 2019 Leverage Ratio Supervisory monitoring Parallel run 1 Jan Jan 2017 Disclosure starts 1 Jan 2015 Migration to Pillar 1 Minimum Common Equity Capital Ratio 3.5% 4.0% 4.5% 4.5% 4.5% 4.5% 4.5% Capital Conservation Buffer 0.625% 1.25% 1.875% 2.50% Minimum common equity plus capital conservation buffer 3.5% 4.0% 4.5% 5.125% 5.75% 6.375% 7.0% Phase-in of deductions from CET1 (including amounts exceeding the limit for DTAs, MSRs and financials) 20% 40% 60% 80% 100% 100% Minimum Tier 1 Capital 4.5% 5.5% 6.0% 6.0% 6.0% 6.0% 6.0% Minimum Total Capital 8.0% 8.0% 8.0% 8.0% 8.0% 8.0% 8.0% Minimum Total Capital plus conservation buffer 8.0% 8.0% 8.0% 8.625% 9.125% 9.875% 10.5% Capital instruments that no longer qualify as non-core Tier 1 capital or Tier 2 capital Phased out over 10 year horizon beginning 2013 Liquidity coverage ratio Observation period begins Introduce minimum standard Net stable funding ratio Observation period begins Introduce minimum standard
6 Conséquences économiques de Bâle III En raison des exigences plus élevées en termes de capital, les banques auront besoin ces prochaines années de centaines de milliards de capital supplémentaire pour les mêmes activités. Cela peut avoir diverses conséquences: Pour les clients (particuliers, entreprises et pouvoirs publics) : augmentation des tarifs. Les crédits, en particulier, pourraient devenir plus chers et un frein pourrait aussi être mis à l'octroi des crédits. Cette menace est déjà avancée par les banques. Pour les actionnaires: dilution de l'intérêt des actions, dividende moindre. Pour le personnel: voir ci-dessous. Pour le secteur financier dans son ensemble, Bâle III pourrait signifier le départ d'une nouvelle vague de consolidations au niveau national (par ex. l'allemagne), européen ou mondial. Conséquences sociales Si les banques décident de maximaliser de manière presque illimitée le rendement pour les actionnaires, comme elles l'ont fait ces dernières décennies, l'on n'acceptera pas de retour sur capitaux propres réduit (return on equity - ROE) et l'on voudra donc épargner ailleurs. Le personnel risque donc d'être visé de nouveau. Une éventuelle consolidation dans le secteur financier aurait sans aucun doute aussi des répercussions négatives sur l'emploi. Pour les membres du CE : demandez une formation Bâle III et des informations sur les conséquences concrètes pour votre institution financière.
7 Socialement parlant, le principe de Bâle III n'est pas une mauvaise chose. Il instaure davantage de garanties pour éviter que les banques ne rencontrent des problèmes. Mais La capacité de Bâle III à éviter de futures crises financières est sérieusement mise en doute. Le lobby des banques a atteint en grande partie son objectif grâce à toutes sortes de menaces comme l'octroi plus restreint de crédits et les conséquences négatives sur la croissance économique. Résultat: les mesures sont plus faibles qu'attendu et n'entrent en vigueur que par phases, au grand plaisir des bourses, qui ont récompensé directement les banques avec les augmentations de cours cyniques connues entre-temps. Par ailleurs, il est bien établi maintenant que les banques doivent instaurer davantage de garanties. Et la logique financière nous apprend ceci: les garanties (sécurités) coûtent de l'argent. La question est de savoir qui doit payer l'addition.selon le SETCa, certainement pas le personnel, ni la clientèle, ni les pouvoirs publics!
8 Plus d'infos sur les finances Tous vos contacts sur Novembre E.R. : Jean-Michel Cappoen, Pia Desmet, SETCa, rue Haute 42, 1000 Bruxelles
Institutions financières coopératives: collecte d épargne et financement des entreprises. Francine Swiggers Présidente du Comité de Direction
1 Institutions financières coopératives: collecte d épargne et financement des entreprises Francine Swiggers Présidente du Comité de Direction 2 Groupe ARCO : Groupe coopératif Holding Financier + Holding
Plus en détailBâle III : les impacts à anticiper
FINANCIAL SERVICES Bâle III : les impacts à anticiper Mars 2011 2 Bâle III Bâle III 3 1. Contexte Bâle III a été entériné en novembre 2010 lors du sommet du G20 de Séoul. De nouvelles règles annoncées
Plus en détailRéférentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit
Annexe Circulaire _2009_19-1 du 8 mai 2009 Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Champ d'application: Commissaires agréés. Réglementation de base Table
Plus en détailRapport financier semestriel relatif à l exercice 2014/2015
, Leuven, relatif à l exercice 2014/2015 Lors des six premiers mois de l'exercice 2014/2015, KBC Ancora a affiché un résultat négatif de 10,7 millions d euros. Ce résultat a été déterminé en grande partie
Plus en détailB. Réglementation prudentielle
B. Réglementation prudentielle 1. Introduction Au cours de l année sous revue, les travaux sur la réforme du cadre réglementaire prudentiel se sont poursuivis. La transposition des mesures en droits belge
Plus en détailMise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)
Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle
Plus en détailAsset Quality Review
Asset Quality Review Eclairage, par Harwell Management 1 Table des Matières En quelques mots... 3 Contexte : une confiance sur la santé des bilans des banques européennes fragile... 3 Objectifs et Enjeux...
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA Résultats exceptionnels d Argenta pour l année de crise 2011 La cinquième banque de Belgique n a pas désappris le métier du banquier de détail.
Plus en détailLes réformes prudentielles : évolutions et impacts sur la gouvernance des établissements
Les réformes prudentielles : évolutions et impacts sur la European Institute of Financial Regulation Paris Matinale EIFR du 17 mai 2010 Danièle NOUY Secrétaire Général de l Autorité de Contrôle Prudentiel
Plus en détailRéduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2)
Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Une précédente analyse 1 a introduit le concept d'effet de levier, procédé visant à s'endetter pour chercher à accroître
Plus en détailRapport de gestion sur l exercice 2005 (consolidation)
Rapport de gestion sur l exercice 2005 (consolidation) L exercice 2005 de Keytrade fut particulièrement réussi sur le plan commercial et financier. Le nombre de clients et les avoirs déposés ont crû de
Plus en détailExigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Exigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles Juin 2012 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute
Plus en détailPlan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017
Paris, le 13 novembre 2013 Plan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017 Pour toute information complémentaire, consultez la présentation complète disponible sur le site internet du Groupe BPCE : www.bpce.fr
Plus en détailMANUEL D UTILISATION DU PLAN START-UP
MANUEL D UTILISATION DU PLAN START-UP MANUEL D UTILISATION DU PLAN START-UP Ce document a pour but de fournir des informations aux entrepreneurs, investisseurs et citoyens intéressés par le Plan Start-up.
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DES ENTREPRISES FAMILIALES
VALÉRIE TANDEAU DE MARSAC Préface de Luc Darbonne GUIDE PRATIQUE DES ENTREPRISES FAMILIALES Manuel opérationnel, juridique et fiscal Schémas en ligne sur : www.editions-organisation.com, 2011 ISBN : 978-2-212-54927-0
Plus en détailCapital Requirement Regulation
Capital Requirement Regulation Sommaire du règlement UE n 575/2013 Exigences prudentielles applicables aux établissements de crédit et entreprises d investissement La directive CRD IV et le règlement
Plus en détailL UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION
1. L UNION BANCAIRE Dans la zone euro, l extension de la crise à certains marchés de dettes souveraines a illustré qu une union monétaire réclame, outre une coordination renforcée des politiques budgétaires
Plus en détailFiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1
Fortis AG - Vos assurances chez votre courtier Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1 1 Cette fiche d information financière décrit les modalités du produit qui sont d application
Plus en détailPAR_20141217_09543_EUR DATE: 17/12/2014. Suite à l'avis PAR_20141119_08654_EUR
CORPORATE EVENT NOTICE: Emission avec maintien du droit préférentiel de souscription, d obligations convertibles en actions ordinaires nouvelles assorties de bons de souscription d action («OCABSA») -
Plus en détailChiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM
Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Contenu 1. Facultés : la Belgique reste dans le top 15... 2 2. La branche CMR reste dans le vert... 3 3. Corps fluviaux... 4 4. Corps maritimes...
Plus en détailAnalyse des états financiers de
Analyse des états financiers de Comptabilité de gestion MBA 8514 Présenté à : M. Ahmed Naciri Préparé par : André Bélanger Patrick Caya Lorraine Deslauriers Le 15 juin 2008 TABLE DES MATIÈRES 1. Une industrie
Plus en détailE 6221 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.
E 6221 ASSEMBLÉE NATIONALE TREIZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 4 mai 2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 4 mai 2011 TEXTE
Plus en détailRapport semestriel. 30 juin 2014 PRIM PRECIOUS METALS. Forme Juridique : Fonds Commun de Placement
PRIM PRECIOUS METALS Rapport semestriel 30 juin 2014 Forme Juridique : Société de Gestion : Dépositaire : Commissaire aux Comptes : Fonds Commun de Placement PRIM' FINANCE 41 boulevard des Capucines -
Plus en détailVOTRE GESTIONNAIRE DE PATRIMOINE, TENEZ LE A L OEIL!
VOTRE GESTIONNAIRE DE PATRIMOINE, TENEZ LE A L OEIL! Que vous réserve la Bourse? Stremersch, Van Broekhoven & Partners (SVBP) ne disposent pas d une boule de cristal, mais ils ont développé Portefeuille
Plus en détailCheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations. Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) CONSOLIDATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Cheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) SOR/2002-39 DORS/2002-39 Current to
Plus en détail4- Analyse économique de la réglementation bancaire
4- Analyse économique de la réglementation bancaire Réglementation financière = ensemble de règles, d'incitations et de pratiques des autorités publiques qui vise à instaurer et à maintenir la stabilité
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailName Use (Affiliates of Banks or Bank Holding Companies) Regulations
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Name Use (Affiliates of Banks or Bank Holding Companies) Regulations Règlement sur l utilisation de la dénomination sociale (entités du même groupe qu une banque ou société
Plus en détailRésumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?
Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées
Plus en détailL influence possible de Bâle III sur les relations entreprises - banques : financements, placements, flux, instruments de couverture
Université d Orléans Laboratoire d Économie d Orléans Master 2 Finances L influence possible de Bâle III sur les relations entreprises - banques : financements, placements, flux, instruments de couverture
Plus en détailSEPA Direct Debit La domiciliation dans un marché unifié pour les paiements européens au 1er février 2014
SEPA Direct Debit La domiciliation dans un marché unifié pour les paiements européens au 1er février 2014 CONTENU 1. LES DOMICILIATIONS SEPA 2. LES DOMICILIATIONS ET SEPA 3. FONCTIONNEMENT DE LA DOMICILIATION
Plus en détailFrequently Asked Questions
GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the
Plus en détailItinérance: la Commission intervient pour faire baisser les prix des SMS et du transfert de données à l étranger
IP/08/1386 Bruxelles, le 23 septembre 2008 Itinérance: la Commission intervient pour faire baisser les prix des SMS et du transfert de données à l étranger Les utilisateurs de téléphone portable peuvent
Plus en détailAtradius Commercial Finance. Nous sécurisons vos liquidités
Atradius Nous sécurisons vos liquidités Vos comptes clients: une valeur à mobiliser Faites le bon calcul Votre entreprise est florissante et vos ventes sont en hausse constante. Mais pour être sûr que
Plus en détailLe point sur... La réglementation des marchés. 3 ème. Informations fournies par le ministère fédéral des Finances
Version de : avril 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances La réglementation des marchés financiers Sur la voie de l Union de la stabilité 3 ème 1 2 4 volet Editorial
Plus en détailINVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001
FINANCIAL ADMINISTRATION ACT INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001 LOI SUR LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre
Plus en détailCIRCULAIRE PPB-2007-6-CPB-CPA relative aux attentes prudentielles de la CBFA en matière de bonne gouvernance des établissements financiers
Politique prudentielle Bruxelles, 30 mars 2007 CIRCULAIRE PPB-2007-6-CPB-CPA relative aux attentes prudentielles de la CBFA en matière de bonne gouvernance des établissements financiers Madame, Monsieur,
Plus en détailFini. les comptes à vue trop chers. Post-Multifix SIMPLISSIMO. Comprendre avant d investir. Virement européen : mode d emploi
Les primeurs et les infos de Banque de La Poste n 13 - Janvier 2011 Fini les comptes à vue trop chers Post-Multifix SIMPLISSIMO Comprendre avant d investir Virement européen : mode d emploi Simple, sûre
Plus en détailAgrica.Epargne.Roche-Brune.Eur.Act
Agrica.Epargne.Roche-Brune.Eur.Act DOCUMENT D'INFORMATION PERIODIQUE AU 31/03/2015 FORME JURIDIQUE DE L'OPC FCPE nourricier Multi-Entreprise CLASSIFICATION FCPE Actions des pays de l'union Européenne AFFECTATION
Plus en détailAddendum belge au prospectus d émission
Addendum belge au prospectus d émission Octobre 2012 Threadneedle Investment Funds ICVC Société d'investissement à capital variable et à responsabilité limitée conforme à la Directive 2009/65/CE (la «Société»)
Plus en détail«Quelle fiscalité pour le capital à risque?»
Réception de Nouvel An «Quelle fiscalité pour le capital à risque?» Bruno Colmant Administrateur délégué d Euronext Belgique, Docteur en Economie Appliquée (ULB) Membre du Conseil Supérieur des Finances,
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailEtablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé
Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:
Plus en détailN 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994. Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION
N 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION PRÉSENTÉE EN APPLICATION DE L'ARTICLE 73 BIS DU RÈGLEMENT, sur la proposition
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 30 janvier 2009 8h55 Dexia met en œuvre son plan de transformation pour consolider son redressement et devrait enregistrer
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle Octobre 2013 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté,
Plus en détailAXA WORLD FUNDS Société d Investissement à Capital Variable domiciliée au Luxembourg
AXA WORLD FUNDS Société d Investissement à Capital Variable domiciliée au Luxembourg Siège : 49, avenue J. F. Kennedy L-1855 Luxembourg Registre du Commerce : Luxembourg, B-63.116 INFORMATION AUX ACTIONNAIRES
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailAllianz Invest 1. Type d'assurance-vie. Public cible. Rendement. Garanties. Fonds
Fiche Info Financière Assurance-Vie branches 21 et 23 Allianz Invest 1 Type d'assurance-vie Allianz Invest est une assurance-vie combinant : Un rendement garanti de 0% par la compagnie d assurances et
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailLA REFORME DE BÂLE III
LA REFORME DE BÂLE III CHRISTIANE RUBEIZ Chargée d enseignement à la FGM RÉSUMÉ La crise financière qui a fortement impacté l économie mondiale ces dernières années a mis en évidence les faiblesses du
Plus en détailRÉSULTATS AU 31 MARS 2015
RÉSULTATS AU 31 MARS 2015 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 avril 2015 FORTE PROGRESSION DES REVENUS DES PÔLES OPÉRATIONNELS - TRÈS BONNE PERFORMANCE DE CIB ET DES MÉTIERS SPÉCIALISÉS - PROGRESSION DE
Plus en détailRésultats annuels 2005
Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailLes ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme
Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document
Plus en détailNouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision
www.pwc.ch Nouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision Aperçu des modifications du Code des obligations suisse Décembre 2011 Un document PwC destiné aux responsables de la
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailL impact de la réglementation de «Bâle III» sur les métiers des salariés des banques
SEPTEMBRE 2012 L impact de la réglementation de «Bâle III» sur les métiers des salariés des banques 1ère partie : Bâle III, explication du dispositif Dhafer Saïdane Maître de conférences, habilité à diriger
Plus en détail1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
Rapport Pilier 3 Informations au 31 décembre 2012 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. INTRODUCTION...1 adéquation DES FONDS PROPRES...7 POLITIQUE DE GESTION DES FONDS PROPRES ET DES RISQUES.... 17 RISQUE DE CRÉDIT
Plus en détailRÉSUMÉ (TRADUCTION) Credit Suisse International
RÉSUMÉ (TRADUCTION) Credit Suisse International Notes zéro coupon, liées à un indice, remboursables automatiquement, d un montant maximum total de EUR 100.000.000, échéance 2011, Série NCSI 2006 469 ISIN
Plus en détailAccor : une nouvelle dynamique
Communiqué de presse Paris, le 19 mai 2010 Accor : une nouvelle dynamique Accor devient un «pure player» hôtelier concentré sur : Son portefeuille de marques et ses clients Son métier d opérateur et de
Plus en détailLes établissements de crédit et la communication financière
Les établissements de crédit et la communication financière INTRODUCTION La montée récente de certains risques (risques-pays, risques sur les entreprises) a souligné l importance pour les grands groupes
Plus en détailRÉSULTATS AU 30 JUIN 2014
RÉSULTATS AU 30 JUIN 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 31 juillet 2014 CHARGES EXCEPTIONNELLES RELATIVES A L ACCORD GLOBAL AVEC LES AUTORITÉS DES ÉTATS-UNIS 5 950 M AU 2T14 DONT : - PÉNALITÉS* : 5 750
Plus en détailDiscours de M. Bruno SALMON, Président de l ASF, à l occasion de l Assemblée Générale du 7 juin 2011
Discours de M. Bruno SALMON, Président de l ASF, à l occasion de l Assemblée Générale du 7 juin 2011 Madame, Je vous remercie très sincèrement d avoir répondu à notre invitation et d être venue à la rencontre
Plus en détailJPMorgan Liquidity Funds Société d Investissement à Capital Variable (la «SICAV») de droit Luxembourgeois Registered Office:
JPMorgan Liquidity Funds Société d Investissement à Capital Variable (la «SICAV») de droit Luxembourgeois Registered Office: European Bank & Business Centre, 6 route de Trèves, L-2633 Senningerberg, Grand
Plus en détailRÉSUMÉ DESCRIPTION GENERALE DES ÉMETTEURS LA BANQUE ET LE GROUPE
RÉSUMÉ Ce résumé a été rédigé conformément à l'article 5(2) de la directive sur les prospectus (directive 2003/71/CE) (la «Directive Prospectus») et doit être considéré comme une introduction au Prospectus
Plus en détailRapport annuel DEXIA CRÉDIT LOCAL. Document de référence
Rapport annuel DEXIA CRÉDIT LOCAL Document de référence Document de référence 2014 2 58 84 Comptes consolidés 182 Comptes sociaux 220 Le présent document de référence a été déposé auprès de l Autorité
Plus en détailComment investir en sicav?
& Sicav Comment réaliser de bons placements quand on n a pas le temps ou les connaissances suffisantes pour s en occuper? Opter pour une ou plusieurs sicav peut être utile! Comment investir en sicav? Société
Plus en détailBNP PARIBAS B FUND I Equity Belgium
BNP PARIBAS B FUND I Equity Belgium Prospectus simplifié Informations concernant la sicav Dénomination BNP PARIBAS B FUND I Date de constitution 15 mai 1991 Durée d existence Illimitée Etat membre où la
Plus en détailQuel financement pour les PME? 7 recommandations de base pour l entrepreneur en recherche de financement externe
Quel financement pour les PME? 7 recommandations de base pour l entrepreneur en recherche de financement externe TRANSMISSION D'ENTREPRISE Remise au sein de la famille Séparation du capital et du management
Plus en détailNE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE OU AU JAPON
Modalités principales de l émission des obligations à option de conversion et/ou d échange en actions Nexans nouvelles ou existantes (OCEANE) sans droit préférentiel de souscription ni délai de priorité
Plus en détailENTRETIEN AVEC ULRICH SCHRÖDER, PRESIDENT DE DIRECTOIRE DE LA KFW : LES PME,PMI.EN PREMIERE LIGNE PAR FARIDA MOHA
ENTRETIEN AVEC ULRICH SCHRÖDER, PRESIDENT DE DIRECTOIRE DE LA KFW : LES PME,PMI.EN PREMIERE LIGNE PAR FARIDA MOHA Ce sont les PME, PMI, TPE qui sont le moteur du développement, de la création d emplois,..l
Plus en détailANANTA PATRIMOINE PRESENTATION
ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailRÉSULTATS AU 31 DÉCEMBRE 2014
RÉSULTATS AU 31 DÉCEMBRE 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 5 février 2015 - PROGRESSION DES REVENUS DANS TOUS LES PÔLES - TRÈS BONNE PERFORMANCE DES MÉTIERS SPÉCIALISÉS PRODUIT NET BANCAIRE : + 3,2%*
Plus en détailLE CASH AU CŒUR DU SYSTEME DE L ENTREPRISE
LE CASH AU CŒUR DU SYSTEME DE L ENTREPRISE TOP DAF 2014 - DEAUVILLE Hervé GARABEDIAN MAI 2014 1 ANALYSE DE LA DEPENDANCE DES ENTREPRISES AUX RESSOURCES EXTERNES Hervé GARABEDIAN MAI 2014 2 DÉPENDANCE AUX
Plus en détailChiffres secteur des OPC 2ème trimestre 2011
Association Belge des Asset Managers Communiqué de presse Chiffres secteur des OPC 2ème trimestre 2011 Léger redressement au cours du deuxième trimestre de 2011. Executive Summary Au cours du premier trimestre
Plus en détailSommaire. Informations clés... 04. Profil... 06. Corporate et Institutional Banking... 08. Retail Banking... 10. Private Banking...
_ FR Sommaire Informations clés... 04 Profil... 06 Corporate et Institutional Banking... 08 Retail Banking... 10 Private Banking... 12 Treasury et Financial Markets... 14 La BIL à votre service depuis
Plus en détailAddendum belge au prospectus d émission
Addendum belge au prospectus d émission Octobre 2012 Threadneedle Specialist Investment Funds ICVC Société d'investissement à capital variable et à responsabilité limitée conforme à la Directive 2009/65/CEE
Plus en détailUNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL. N 73 Mars 2004
Lab.RII UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL N 73 Mars 24 La Bourse en Chine : éléments clés Peng YANG 1 La Bourse en Chine : éléments
Plus en détailQUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL AMÉRICAIN POUR LES CANADIENS
février 2015 TABLE DES MATIÈRES Comment s applique l impôt successoral Historique de l impôt successoral Taux et exemptions de l impôt successoral Idées de planification Résumé QUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL
Plus en détailInvestir à votre rythme.
Flexinvest Investir à votre rythme. FINTRO. PROCHE ET PRO. 2 Les avantages des placements et la facilité de l'épargne Flexinvest est un plan d'investissement gratuit qui vous permet de placer chaque mois
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE
C 352/4 FR Journal officiel de l'union européenne 7.10.2014 III (Actes préparatoires) BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE AVIS DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 25 juillet 2014 sur une proposition de directive
Plus en détailNécessité d un «électrochoc» fiscal
Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses
Plus en détailL assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010
L assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010 L impact de la crise financière récente sur le secteur financier et les économies a été extrêmement
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 juillet 2015 RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 Croissance des résultats opérationnels Produit Net Bancaire : 2 929 millions d euros (+ 2.9
Plus en détailDEMANDE D ADMISSION A LA NEGOCIATION DES ACTIONS NOUVELLES SUR EURONEXT BRUSSELS
société anonyme, SICAF immobilière publique de droit belge, ayant son siège social Avenue Louise 331-333, 1050 Bruxelles (Belgique), numéro d entreprise 0877.248.501 NOTE D OPERATION RELATIVE A L OFFRE
Plus en détailPOST-FIX FUND POST-Multifix PROTECT
POST-FIX FUND POST-Multifix PROTECT Prospectus simplifié Informations concernant la sicav Dénomination POST-FIX FUND Date de constitution 7 mai 2003 Durée d existence Illimitée Etat membre où la sicav
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. Accompagnant le document
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 20.7.2011 SEC(2011) 950 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT Accompagnant le document Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT
Plus en détailRapport semestriel. 30 juin 2014 GESTION FLEXIBLE INTERNATIONALE. Forme Juridique : Fonds Commun de Placement
GESTION FLEXIBLE INTERNATIONALE Rapport semestriel 30 juin 2014 Forme Juridique : Société de Gestion : Dépositaire : Commissaire aux Comptes : Fonds Commun de Placement Société Privée de Gestion de Patrimoine
Plus en détailProjet du 5 octobre 2006. du [date] 2006. (Adaptation des fonds propres de base) Sommaire
Circ.-CFB 06/_ Adaptation des fonds propres de base Page 1 Circulaire de la Commission fédérale des banques : Détermination du capital réglementaire en cas d utilisation d un standard comptable international
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailATELIER : INTERNATIONALISATION DE L INNOVATION ET LEVIERS EUROPEENS 1 PARTICIPATION AUX PROGRAMMES ACTUELS
ATELIER : INTERNATIONALISATION DE L INNOVATION ET LEVIERS EUROPEENS Ce doucement constitue la note préparatoire pour l atelier «internationalisation de l innovation et leviers européens» du 27 janvier
Plus en détailSéminaire 20 avril 2006 REMUNERATIONS VARIABLES. Options sur actions. Jean-Louis Davain
Séminaire 20 avril 2006 REMUNERATIONS VARIABLES Options sur actions Jean-Louis Davain Plan Mot introductif Options sur actions Aperçu des principales alternatives Comparaison chiffrée et juridique Conclusion
Plus en détailFiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901!
Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901 Cette fiche à vocation pédagogique a été conçue pour vous initier au droit des associations, tout en vous présentant
Plus en détailNouvelles règles fiscales de sous-capitalisation en France : Conditions de déductibilité des intérêts financiers*
Nouvelles règles fiscales de sous-capitalisation en France : Conditions de déductibilité des intérêts financiers* * sur compte courant ou prêt Sommaire 1. Avant propos 2. Ancien dispositif 3. Pourquoi
Plus en détailDescriptif du programme de rachat d actions propres approuvé par l assemblée générale mixte des actionnaires du 29 avril 2009
Société Anonyme au capital de 47 800 000 Euros Siège Social : 4, square Edouard VII 75009 Paris 712 048 735 R.C.S. Paris Descriptif du programme de rachat d actions propres approuvé par l assemblée générale
Plus en détailCommuniqué de presse
Communiqué de presse Zurich, le 30 septembre 2008 Groupe CREALOGIX: e-business toujours réjouissant, difficultés maîtrisées dans les activités ERP, confiance dans le nouvel exercice Au cours de l exercice
Plus en détail