Intoxications alimentaires
|
|
- Odette Aline Ricard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intoxications alimentaires N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique Un groupe de quatre amis se présente aux urgences de l hôpital dans un tableau de gastro entérite fait de diarrhées, vomissements et de douleurs abdominales. A l examen ils sont fébriles. L interrogatoire retrouve la notion d ingestion de «Mâakouda», qui est vendue par certains gargotiers de la vieille Médina, et préparée à base d œufs et de pommes de terre. Le médecin de garde désirant avoir plus de renseignements sur le germe incriminé, la conduite à tenir devant cette intoxication, et ayant le souci de déclarer cette intoxication collective, contacte le Centre Anti Poison du Maroc (CAPM). 2. Introduction : Les intoxications alimentaires constituent le 3 ème motif d appel au Centre Anti Poison du Maroc avec environ 15 %, avec une nette augmentation au fil des années. Les intoxications alimentaires regroupent les toxi-infections alimentaires et les intoxications alimentaires au sens strict. 3. Définitions : 3.1. Intoxications alimentaires : Elles sont en rapport avec des aliments vénéneux ou toxiques par eux même tels que certains poissons vénéneux, mollusques, crustacés, certains végétaux ainsi que certains champignons. Elles peuvent aussi être dues à des aliments contaminés par divers polluants comme les métaux lourds, les pesticides, les nitrites, les résidus des médicaments vétérinaires Toxi-infections alimentaires (TIA) : Elles sont dues à des germes pathogènes ou à des toxines libérées par des germes présents dans l aliment ou aux deux. L aliment peut alors jouer un rôle passif de simple véhicule pour le germe, ou un rôle actif en permettant la multiplication des germes ou la production de toxines par eux. Plusieurs facteurs interviennent : un délai élevé entre la cuisson et la consommation de l aliment, une température ambiante dépassant en général 20 C dans les lieux de préparation avec des temps de refroidissement lents, l anaérobiose qui facilite le développement de germes anaérobies. Le mécanisme d action des germes permet de classer les toxi-infections alimentaires en deux types : TIA à symptomatologie digestive (Salmonelles, staphylocoques ). TIA à symptomatologie nerveuse engendrée par le clostridium botulinum. 4. Toxi-infection alimentaire : 4.1. Toxi-infection alimentaire à symptomatologie digestive : Les salmonelloses : Elles constituent l une des causes les plus fréquentes des TIA à côté du staphylocoque. Mode de contamination et mécanisme d action: 1
2 Les salmonelles possèdent un réservoir essentiellement animal. La contamination est favorisée par l abattage incorrect ou l abattage d animaux malades, la rupture de la chaîne de froid, la consommation d aliments congelés ou surgelés mal conservés ou l usage de matériel souillés (hachoir, plan de travail ). La notion de porteurs sains ou de ménagères malades doit toujours être recherchée. Le mécanisme d action est caractérisé par l invasion de la muqueuse intestinale par les germes qui pénètrent dans les cellules épithéliales, subissent une multiplication et provoquent des ulcérations avec réaction inflammatoire. Les aliments incriminés Ils sont surtout d origine animale (œufs et dérivés, lait, glace, pâtisserie, volailles, viande surtout du cheval, charcuterie, abats, coquilles ) Tableau clinique et traitement: L apparition des signes est précédée par une incubation de 6 à 24h au terme de laquelle survient un tableau de gastroentérite aigue fébrile avec diarrhée liquidienne abondante, fétide et parfois hémorragique. Le diagnostic repose sur l anamnèse, la clinique, l isolement du germe à la coproculture et par les examens bactériologiques au niveau des aliments suspects. Le traitement est essentiellement symptomatique avec régime pauvre en résidus, réhydratation et antispasmodiques. L antibiothérapie est très discutée, et est réservée aux formes graves ou aux sujets fragiles. Sous traitement, l évolution est favorable en 2 à 5 jours Le staphylocoque : Mode de contamination et mécanisme d action : Parmi les germes souvent impliqués dans les intoxications alimentaires à manifestation digestive, on cite le staphylocoque dont le réservoir est essentiellement humain, en particulier le personnel de cuisine présentant une lésion cutanée à staphylocoque. Parfois il s agit d un porteur sain. Le mécanisme d action est caractérisé par la non invasion de la muqueuse par les germes, qui adhèrent à la surface de l intestin et produisent une entérotoxine sans léser l épithélium. Cette entérotoxine peut parfois être libérée au préalable dans l aliment avant son ingestion. Les aliments incriminés : Ils sont constitués essentiellement par les préparations culinaires (crèmes, pattes, plats cuisinés, produits de la charcuterie, conserves de poissons ), restes de plats peu ou pas réchauffés. Tableau clinique et traitement : Après une incubation de courte durée, en général moins de 6h après l ingestion ou même au cours du repas, apparaît brutalement une douleur abdominale aigue avec nausées, vomissements et diarrhées hydriques abondantes pouvant entraîner une déshydratation dans les âges extrêmes. La fièvre est habituellement absente ou modérée. Le diagnostic repose sur l anamnèse, la clinique et la recherche bactériologique par coproculture et dans l aliment suspect. Le traitement reste symptomatique ; basé surtout sur la réhydratation orale ou parentérale. Les sujets fragiles nécessitent une hospitalisation. 2
3 Toxi-infections alimentaires à symptomatologie digestive Type de diarrhée sécrétoire invasive Mécanisme Localisation Aspect des diarrhées Signes cliniques Principaux germes Toxine bactérienne Grêle Aqueuse Déshydratation Douleurs abdominales V. Choléra S. Aureus E. Coli (ETEC) B. Cereus C. Perfringens Invasion cytotoxique Colon Dysentérique Fièvre Douleurs abdominales Salmonelle C. Jejuni Shighella E. Coli (EIEC) Y. Enterocolitica 4.2. Toxi-infection alimentaire à symptomatologie nerveuse : Botulisme Introduction : C est une intoxication qui est due à une neurotoxine bactérienne produite par le Clostridium botulinum. Il s agit de bactéries anaérobies strictes présentes dans l environnement (sol, eau et sédiment aquatiques) et saprophytes de l intestin de l homme et l animal. Sept types de toxines botuliques sont connues (A à G), dont trois seulement sont pathogènes pour l homme : A, B et C. Mode de contamination et Mécanisme d action : La forme la plus commune est liée à l ingestion de toxine préformée dans l aliment. Cependant, il existe la forme par colonisation liée à la formation endogène de toxine après ingestion de spores, et se voit surtout chez le nourrisson. La symptomatologie résulte de l inhibition par la toxine de la libération d acétylcholine au niveau des jonctions neuromusculaires. Aliments incriminés : Les aliments incriminés sont constitués essentiellement par les conserves et semi conserves de fabrication artisanale, produits décongelés et recongelés, jambon salés ou fumés, légumes et fruits. La viande peut être contaminée lors de l abattage d un animal en période digestive, ou par l intermédiaire d une souillure à partir du contenu intestinal. Tableau clinique et traitement : Le diagnostic est orienté par la clinique et confirmé par la mise en évidence du germe dans l aliment suspect et la recherche de toxine dans le sérum du malade. L incubation est le plus souvent de 12 à 72 heures, mais peut varier de 2h à 8 jours, selon la quantité de toxine ingérée. La clinique est faite de troubles digestifs très inconstants, et ne se voient que dans le 1/3 des cas. La symptomatologie nerveuse est toujours au premier plan, commençant le plus souvent par des troubles oculaires par paralysie musculaire avec diplopie, trouble de l accommodation, abolition du réflexe photo moteur, strabisme, ptôsis et ophtalmoplégie. Par la suite s installe 3
4 une dysphagie avec sécheresse des muqueuses et réduction des sécrétions salivaires, lacrymales, digestives et cutanées troubles de déglutition, paralysie du voile du pharynx et voix nasonnée. La constipation, la dysurie et l asthénie sont des signes constants. Une paralysie flasque des membres est possible avec au maximum une atteinte des muscles respiratoires. Le traitement repose sur des mesures de réanimation basées sur la ventilation assistée qui permet de sauver le malade en cas de paralysie respiratoire. La sérothérapie peut être utilisée même tardivement. L antibiothérapie est discutée. Le reste du traitement est symptomatique Intoxications histaminiques : C est une intoxication assez fréquente par mauvaise conservation des aliments. Elle est classée parmi les TIA pour le rôle joué par le germe dans la transformation de l histidine contenue dans certains aliments en histamine dite alors exogène. Certains aliments sont eux même riches en histamine d origine endogène (thon, maquereau, sardine ). Il ne s agit pas de réaction allergique et peut se produire à la première ingestion. La symptomatologie débute 30 minutes à 2h après l ingestion par un tableau brutal, fait d une vasodilatation avec malaise général, céphalées, vertiges, érythème intense surtout au niveau du visage et du cou avec parfois une hypotension. Les troubles digestifs sont inconstants. L évolution est spontanément favorable en quelques heures. Le diagnostic repose sur la clinique et l identification de l aliment responsable. Le traitement peut être inutile ou symptomatique faisant recours à des anti histaminiques anti-h Intoxications aux mycotoxines : Les mycotoxines sont des métabolites toxiques synthétisées par des moisissures développées par certains aliments. On distingue surtout les aflatoxines sécrétées par une moisissure présente sur certaines graines oléagineuses comme les arachides. La toxicité aigue se traduit pour des doses massives et est passagère. L intoxication chronique présente essentiellement le risque de cancer du foie. 5. Intoxications alimentaires: 5.1. Toxines des fruits de mer : A l'origine de ces intoxications, on retrouve dans la plupart des cas, la saxitoxine qui est une toxine à tropisme neurologique produite par des dinoflagellés du genre Gonyaulax tamarins du phytoplancton maritime. La saxitoxine agit sur les membranes excitables, au niveau nerveux et au niveau du muscle squelettique, parfois même au niveau du muscle lisse cardiaque. Les manifestations cliniques sont généralement précoces. En quelques minutes à 3 heures après l'ingestion, apparaissent les premiers symptômes sous forme de paresthésies. Par la suite surviennent des manifestations neurologiques franches. Les signes gastro intestinaux constituent des signes précoces et inconstants. L'aspect paralysant de cette intoxication est à l'origine de détresse et d'arrêt respiratoires. La recherche de la saxitoxine au niveau des échantillons prélevés de fruits de mer peut se faire par essai biologique par injection aux souris (test pas très spécifique). La détection par chromatographie en phase liquide couplée à la fluorescence est la méthode la plus fiable. Le traitement spécifique n'existe pas. Le lavage gastrique est indiqué si le patient est vu précocement. L'utilisation du charbon activé ou d'un purgatif est recommandée. La surveillance du malade doit être de rigueur durant les 12 heures qui suivent l'ingestion car le 4
5 risque de détresse respiratoire reste menaçant. La disponibilité d'un respirateur artificiel est le moyen déterminant de la prise en charge de ce type d'intoxication. En cas d'hypotension, si l'expansion volémique reste inefficace il faut avoir recours aux drogues inotropes. L évolution est favorable dans la majorité des cas, en absence d'atteinte respiratoire et/ou cardiaque Autres intoxications alimentaires : Ces intoxications peuvent être secondaires à la consommation d aliments vénéneux comme certains poissons, certains champignons, etc. Par ailleurs les aliments peuvent être contaminés tout le long de la chaîne alimentaire (préparation, transport, stockage..) et engendrer des épidémies. Il peut s agir de pesticides, de métaux lourds, de résidus vétérinaires, etc. Les manifestations cliniques dépendent du toxique responsable et une enquête épidémiologique s impose pour poser le diagnostic. 6. Conduite à tenir devant une toxi-infection alimentaire collective : Devant toute intoxication alimentaire impliquant deux personnes ou plus, et pour les cas de suspicion de botulisme ou d intoxication paralysante aux mollusques ou de maladies sévères avec manifestations neurologiques secondaires à l ingestion d un aliment suspect, même avec un cas isolé, le médecin traitant devra: Contacter le centre anti poisons, car le médecin répondeur a la possibilité d orienter le médecin traitant et de déclencher une alerte si c est nécessaire. Demander à la famille de garder les aliments et l eau suspects au réfrigérateur ou au congélateur (si déjà congelé). Demander si possible une coproculture. Démarrer un traitement symptomatique. Si l aliment est acheté ou mangé dans un endroit connu (restaurant, établissement public, surface commerciale, gargotier ), le médecin de garde du CAP avisera le médecin du bureau municipal d hygiène de la commune concernée pour faire une enquête et des prélèvements aux points d achat. 7. Prévention : La prévention des intoxications alimentaires nécessite une bonne maîtrise des différents risques aux quels est exposée notre alimentation, aussi bien au niveau de l approvisionnement en matière première, de la transformation de ces matières qu au niveau de la distribution et de la consommation. Une bonne gestion des différents facteurs qui mettent en jeu la qualité des aliments s impose et doit s intéresser au transport, aux locaux, au matériel, aux conditions de préparation, à la chaîne de froid et à la conservation des aliments tout au long de la chaîne alimentaire Références: 1. Pierre V., Tchakamian S., Lequerrec F. Les toxi-infections alimentaires collectives en 1994, B.E.H. N 21/ Bismuth C., Baud F., Censo F., Fréjaville J.P, Garnier R. Intoxications alimentaires, Toxicologie clinique, 5 ème édition, Médecine science- Flammarion (Paris),
6 3. Descotes J., Testud F., Frantz P. Intoxications alimentaires, les urgences en toxicologie, Maloine (Paris), 1992, pp : Baulande G., Bonnet G., Ducommun A., Schaller D. Hygiène alimentaire dans la restauration collective, pathologie professionnelle, EMC, Tome Czernichow P., Rocca M.C., Faou A.L. Toxi-infection alimentaires d origine microbienne, Intoxications, EMC, Tome Watters M.R. Organic neurotoxins in seafood, Clin-Neurosurg may, 97 (2): Narahaski T., Roy ML., Ginsburg KS. Recent advances in the study of mechanism of action of marine neurotoxins, Neurotoxicology. 1994, 15 (3) Pp: Sakamoto Y., Richard Lockey F., Joseph Krzanowski J. Shellfish and fich poisoning related to the toxic dinoflagellates. Southern Medical journal, July 1987, vol 80, n 7 9. Hans Bates A., Rapoport H. A chemical Assay for saxitoxin, the paralytic shellfish poison J. Agr. Food chem, vol. 23, n PP : Laurence JF., Menard C., Cleroux C. Evaluation of prechromatographic oxidation for liquid chromatographic determination of paralytic shellfish poisons in J-AOAC int Mar.-Apr., 78 (2). Pp:
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailMicro-organismes et parasites des viandes : les connaître pour les maîtriser, de l éleveur au consommateur. Avant-propos
Avant-propos Les Cahiers Sécurité des Aliments du Centre d Information des Viandes (CIV) ont pour objet de rendre plus facilement accessible l ensemble des données techniques, réglementaires et scientifiques
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailLes germes pathogènes dans l industrie agroalimentaire
Les germes pathogènes dans l industrie agroalimentaire VÉRONIQUE ZULIANI ET PASCAL GARRY CTSCCV, 7 avenue du Général de Gaulle, 94704 Maisons-Alfort Cedex Avec l aimable autorisation de la revue "Salles
Plus en détailLES TOXI - INFECTIONS ALIMENTAIRES
LES TOXI - INFECTIONS ALIMENTAIRES INFORMATIONS Pré-requis : Durée de l'item : Auteur(s) : Pr. N. MARTY (mail : ) Objectifs : I Introduction Les intoxications alimentaires sont fréquentes y compris dans
Plus en détailPartie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire
Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 1 : Informations générales 1 Textes 2 Réseau 3 Formations obligatoires 4 Offres de formations Année : 2005-2006 1 Textes (Extraits) J.O n 247 du
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailService Hygiène & Sécurité
Service Hygiène & Sécurité MAI Vous présente : N 16 Les locaux des cuisines de restauration collective, les matériels qu ils contiennent et les activités pratiquées exposent les agents et les consommateurs
Plus en détailGuide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs
Guide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs Edition 2011 ISBN : 978-2-11-076672-4 ISSN : 0767-4538 AVIS AUX PROFESSIONNELS DE L ALIMENTATION
Plus en détailCritères microbiologiques applicables aux denrées alimentaires Lignes directrices pour l interprétation
GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG MINISTÈRE DE LA SANTÉ DIRECTION DE LA SANTE SERVICE DE LA SECURITE ALIMENTAIRE Critères microbiologiques applicables aux denrées alimentaires Lignes directrices pour l interprétation
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailFORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle
FORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle 1 Le cadre réglementaire 2 Arrêté du 29 septembre 1997 fixant les conditions d hygiène applicables dans les établissements
Plus en détailLes toxi-infections alimentaires collectives : aspects cliniques et épidémiologiques
Les toxi-infections alimentaires collectives : aspects cliniques et épidémiologiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Description... 3 I.1
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détail2003-45 ème année - 3 ème Trim. - N 176
AAEIP 176.qxd:AAEIP 176.qxd 26/01/10 18:02 Page 53 ASSOCIATION DES ANCIENS ÉLÈVES DE L INSTITUT PASTEUR 2003-45 ème année - 3 ème Trim. - N 176 SOMMAI LE MOT DU PRESIDENT p. 54 TOXI-INFECTIONS PAR L EAU
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailLES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE
LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean
Plus en détailUn outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner!
Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre des petits chefs : un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailRestauration Collective. Lycée Stanislas Jeudi 27 mars 2014
Restauration Collective Lycée Stanislas Jeudi 27 mars 2014 Programme de la journée Restauration Collective Introduction Réglementation et sécurité alimentaire Organisation et Ressources Humaines La norme
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailDystrophie musculaire
Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailGESTION D UN CAS DE BOTULISME EN ELEVAGE DE POULET STANDARD : CONDUITE D UN LOT TOUCHE JUSQU A L ABATTAGE. Xavier Châtenet
GESTION D UN CAS DE BOTULISME EN ELEVAGE DE POULET STANDARD : CONDUITE D UN LOT TOUCHE JUSQU A L ABATTAGE Xavier Châtenet Docteur Vétérinaire, 85505 Les Herbiers Gestion d un cas de botulisme en élevage
Plus en détailLe système HACCP. Plan. Plan. Introduction :
Le système HACCP Introduction : Plan L importance de l alimentation Le risque alimentaire La gestion de la qualité : Les systèmes d assurance de la qualité Le système HACCP Origine Objectifs Principes
Plus en détailAVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le directeur général Maisons-Alfort, le 7 juillet 2015 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à «un guide de bonnes pratiques d hygiène
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES D HYGIÈNE DANS LA PRÉPARATION ET LA VENTE DES ALIMENTS DE RUE EN AFRIQUE. Outils pour la formation
LES BONNES PRATIQUES D HYGIÈNE DANS LA PRÉPARATION ET LA VENTE DES ALIMENTS DE RUE EN AFRIQUE Outils pour la formation Les appellations employées dans ce produit d information et la présentation des données
Plus en détailIntoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir
Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai
Plus en détailLe plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires?
Le plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires? Septembre 2011 Ministère de l Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement MEDDTL_PLOMB_12pages.indd 1 29/07/11
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailSOMMAIRE LE MOT DU CAFA INTRODUCTION REFERENCES REGLEMENTAIRES CHAPITRE 1 : FONCTIONNEMENT DE L ETABLISSEMENT
SOMMAIRE LE MOT DU CAFA INTRODUCTION REFERENCES REGLEMENTAIRES CHAPITRE 1 : FONCTIONNEMENT DE L ETABLISSEMENT FICHE D IDENTITE INTERLOCUTEURS SERVICE RESTAURATION RELATIONS EXTERIEURES, INTERNES, ACADEMIQUES
Plus en détailDANS LES CENTRES. «S approprier la méthode HACCP pour l appliquer à : des situations professionnelles, des situations pédagogiques»
ECORCE RÉSEAU D'ECHANGES POUR LA COHÉRENCE ET LA RÉFLEXION DANS LES CENTRES D'ÉDUCATION À L'ENVIRONNEMENT «S approprier la méthode HACCP pour l appliquer à : des situations professionnelles, des situations
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailassurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective
Les forces du changement en assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective La pénurie de main-d œuvre ralentira la croissance D ici 2030, il manquera 363 000 travailleurs
Plus en détailFiche pratique. Les règles d hygiène en restauration. Mai 2014
Fiche pratique Les règles d hygiène en restauration Délégation de Millau 38, bd de l Ayrolle BP 60145 12101 MILLAU cedex Tél : 05 65 59 59 00 17, rue Aristide Briand BP 3349 12000 RODEZ cedex 9 Tél : 05
Plus en détailPRODUITS PHYTOSANITAIRES
Un produit phytosanitaire est une préparation chimique constituée d'une ou de plusieurs matières actives qui détruisent ou empêchent l'ennemi de la culture de s'installer. De par leur nature et leur composition,
Plus en détailLes règles d hygiène en restauration
Les règles d hygiène en restauration Collection Entreprises - Tourisme et CHR Page 1/19 Sommaire Introduction 4 La réglementation applicable à la restauration 4 Les principes HACCP 5 Principales règles
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailPrévention des chutes
Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailPour ou contre le gluten? Qu est-ce que le gluten?
Pour ou contre le gluten? C est un peu la grande mode du moment : «ouaih moi, une semaine avant la course, je supprime tous les aliments contenant du gluten parce que c est mauvais» hum hum. Savez-vous
Plus en détailRÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détail22/12/11. Plan de la présentation
http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation
Plus en détail