Comment la pratique intensive du sport peut être considérée comme une source d addiction?
|
|
- Colette Lavallée
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PSIR SEP (2016) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) Comment la pratique intensive du sport peut être considérée comme une source d addiction? V. Absalon, V. Bacheville, B. Darcel, C. De Fabritiis, V. Philippon, M. Colette* Groupe esaip 18 rue du 8 mai 1945, CS St Barthélémy d Anjou Cedex ARTICLE INFO Date : 18 février 2016 Mots clés: Sport Addiction Bigorexie Endorphine Effets ABSTRACT Nowadays, addictions to tobacco, drugs and other substances are a major problem which touch society. But other less known addictions exist, particularly the addiction to sport. The latter, named bigorexia is developed with the lifestyle of today s society, for example selfimage. The objective of this article is to understand how sport practice has become an addiction and to determine bigorexia s positive and negative effects. 1. INTRODUCTION Dans le contexte de sédentarité de la société dans lequel nous nous situons actuellement, les bienfaits de la pratique d une activité physique régulière sont désormais avérés et vantés par les organismes de santé. De son rôle dans la prévention des maladies cardio-vasculaires et de l obésité à l amélioration des conditions physiques en passant par la procuration de bien-être, le sport fait partie des bonnes habitudes de vie à adopter. L Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande «la pratique d un minimum de 150 minutes hebdomadaires d une activité physique intense, ou une combinaison équivalente d activité physique d intensité modérée à forte», pour les individus ayant entre 18 et 64 ans. Cependant, dans certain cas, les pratiques physiques peuvent elles-mêmes souffrir de leurs propres maux (Abadie Stéphane, 2007). En effet, elle pourrait conduire à des comportements addictifs dans lesquels une pratique excessive de sport vient se substituer à la «bonne pratique sportive». Encore dénommée bigorexie, cette addiction est définie par le centre d études et de recherches en psychopathologie de Toulouse (CERPP), comme étant «le besoin irrépressible et compulsif de pratiquer régulièrement et intensivement une ou plusieurs activités physiques et sportives en vue d obtenir des gratifications immédiates et ce, malgré des conséquences négatives à long terme sur la santé physique, psychologique et sociale». Elle peut également être qualifiée d addiction «sans substance» car elle ne passe pas par l étape d absorption de substances génératrices d addiction comme c est le cas dans la plupart des addictions (alcoolisme, drogues ). En d autres termes, il s agit d une addiction comportementale. Elle se traduit par un état de mal être en cas de non pratique de sport. La bigorexie est à ce jour reconnue par l OMS comme une maladie. C est la recherche permanente du plaisir engendrée par la libération prolongée de l hormone endorphinique, par l hypothalamus et l hypophyse, venant hyperstimuler les neurones dopaminergiques qui suite à leur dépolarisation demeurent excités. Ce mécanisme neuro-endocrinien serait ainsi l origine d un bien-être et d une sensation de plénitude pouvant conduire à une véritable compulsion (Dr Pierrick Hordé et Al, 2015). *Contact : mcollette@esaip.org Fig.1. Cercle de mise en place de la dépendance à l effort liée à la libération des endorphines lors de l exercice
2 V. ABSALON, V. BACHEVILLE, B. DARCEL, C. DE FABRITIIS, V. PHILIPPON / PSIR SEP/ (2016) 2 D autre part, les différentes études menées sur la bigorexie démontrent que celle-ci ne peut être dissociée des aspects psychologiques et/ou psychiques de sa nature qui viennent renforcer son côté «addictogène». En effet, la pratique intensive d une activité sportive chez les sportifs de haut niveau ou les amateurs, permet de mettre également en évidence des troubles dysmorphophobiques (de l image de soi) se manifestant dans le cadre d un syndrome d Adonis (Dan Véléa,2002). Fig.2. Processus multifactoriel de dépendance à l effort (d après VELEA, 2002) Il s agira dans cet article de démontrer comment la pratique intensive de sport peut être considérée comme une source d addiction. Bien que la pratique sportive soit unanimement considérée comme favorable au maintien de la santé et du bien-être, l associer à la notion d activité addictive lui donne instinctivement un aspect bien plus négatif. C est pourquoi, selon le docteur William Glasser (1985), cette addiction se distinguerait des autres addictions qu il définit comme une «addiction positive». Mais, cette appellation se voit également discutée par d autres, comme le docteur Véléa, qui soulève tout de même des conséquences graves à ce type d addiction. En effet, cette dépendance occasionnerait chez l individu des souffrances aussi dangereuses qu une addiction classique. Cela passerait par des états dépressifs en cas de sevrage, des comportements excessifs occasionnant des blessures graves voire irréversibles, un délaissement de la vie sociale. Fréquente chez les sportifs de haut niveau, la bigorexie peut aussi concerner les sportifs à l activité moyenne. Cette addiction se manifeste plus spécifiquement dans les sports d endurance qui sont plus endorphinogènes, comme la course à pied ou encore les bodybuilders. Il existe plusieurs échelles d évaluation de l addiction au sport qui différencient les coureurs de fonds (The Running Addiction Scale, Champan et Castro, 1990) des bodybuilders, culturistes (D.Smith, 1998). Ainsi, l on trouverait plus triathlètes en suspicion de dépendance à la pratique sportive en comparaison avec les autres types de sports. C est donc au travers de ces hypothèses que le présent article traitera d un sujet d actualité peu répandu à ce jour. 2. METHODE ET PROCEDURE La rencontre avec un psychologue spécialisé ainsi que la réalisation d un questionnaire ont permis de vérifier les hypothèses formulées. La rédaction de cet article a été réalisée avec l aide de M. Porro Bertrand. Ce dernier est un psychologue spécialisé dans le sport ainsi qu un chercheur en cancérologie et un ingénieur en statistique. Il enseigne également la psychologie à l université Paul Valery de Montpellier. Il a apporté son point de vue sur la bigorexie et son aide à la finalisation de l élaboration d un questionnaire. Ce questionnaire a été élaboré afin de valider, ou d invalider, les hypothèses citées précédemment. Il a été réalisé au moyen du site internet d «evalandgo», logiciel professionnel de sondage en ligne. Ce questionnaire est divisé en deux parties : le questionnaire sociodémographique et le questionnaire d indépendance au sport nommé «The Running addiction scale» de Chapman et Castro (1990). La partie sociodémographique permet d identifier la personne qui répond (sexe, âge, type de sport, dépendance autre que le sport, etc ). Avec ses 11 questions, le questionnaire de Chapman et Castro permet de déterminer si une personne est dépendante au sport sans la catégoriser. Il a été validé en France le 1 er juin 2007 par Laurence Kern. Le questionnaire a été diffusé via les réseaux sociaux pendant une semaine en visant plus particulièrement les triathlètes et les personnes pratiquant le sport en salle afin de pouvoir différencier les triathlètes des autres sportifs et de répondre à l une des hypothèses. Lorsqu un nombre de sportifs jugé suffisant y ont répondu (30 triathlètes et 30 autres sportifs), les résultats ont été analysés. Au total, 75 personnes ont été interrogées dont 60% d hommes ainsi que 48% de triathlètes et 52% de personnes pratiquant le sport en salle. Fig. 3. Caractéristiques des personnes ayant répondu L histogramme ci-après représente le nombre de personnes en fonction de l âge.
3 V. ABSALON, V. BACHEVILLE, B. DARCEL, C. DE FABRITIIS, V. PHILIPPON / PSIR SEP/ (2016) 3 Fig. 4. Représentation de l âge des personnes interrogées La moyenne d âge des personnes interrogées est de 29,88ans avec un écart type de 10, RESULTATS 10 0 Représentation des âges Le questionnaire publié a permis de faire ressortir des résultats significatifs. Ceux-ci permettent de mettre en évidence certaines affirmations, précédemment formulées. La majorité des personnes interrogées explique faire du sport pour des raisons de santé ou de bien-être. Effectivement, 77,33% effectuent des activités sportives pour maintenir leur état de forme et également pour le plaisir qu elles procurent. fréquence de 3 entrainements par semaine ou plus, déclarent : à 61% n avoir eu aucune addiction contre 79% aujourd hui, 18% au tabac contre 7% aujourd hui, 4% aux drogues contre 5% aujourd hui et 14% à la nourriture contre 2% aujourd hui. Les résultats démontrent que les addictions diminuent dans le temps par la pratique du sport intensive contrairement à une évolution de l estimation à l addiction aux drogues. En ce qui concerne les personnes interrogées pratiquant plus de 3 fois par semaine une activité physique, 66.7% déclarent avoir déjà annulé des activités avec des amis pour pratiquer une activité physique, 42% disent ne pas avoir arrêté la pratique d une activité physique pendant au moins une semaine pour des raisons autres que des blessures, 41% pratiquent une activité physique même quand elles ont mal, et 57.7% répondent que certains jours, même si elles n ont pas le temps, elles pratiquent quand même une activité physique. Parmi les 27 questions du questionnaire, quelquesunes renseignent sur le niveau d addiction des triathlètes par rapports aux autres sportifs, pratiquant du sport en salle (comme la musculation, cours collectifs etc..). Les résultats seront présentés de manière à comparer les triathlètes aux autres sportifs et ainsi répondre à l hypothèse émise. Ainsi, 48% des répondants pratiquent le triathlon et 52% le sport en salle, c est à dire le développement physique/musculaire, culture du corps. 83% des triathlètes pratiquent leur activité dans un club. 47 % des triathlètes pratiquent une activité physique entre 3 et 5 fois par semaine contre 36% de ceux faisant du sport en salle. Fig.5. Motifs de la pratique d une activité sportive En accord avec ces proportions, l intégralité des personnes, soit 75 individus, ont affirmé se sentir beaucoup mieux après avoir fait du sport. D autre part, concernant l aspect «négatif» de l étude, plus de la moitié (53,33%) des personnes sondées avouent avoir laissé de côté leur vie sociale pour faire du sport. Les résultats peuvent être également mis en valeur par rapport à la fréquence de la pratique du sport. Sur l ensemble des personnes interrogées, 60% déclarent pratiquer du sport au moins 3 à 5 fois par semaine ou plus. Parmi celles-ci, l intégralité des personnes sont conscientes qu il est possible d être dépendant au sport et 71.1% d entre elles s estiment dépendantes au sport. En ce qui concerne les autres addictions telles que le tabac, les drogues, l alcool, etc. déjà eue dans le passé, les personnes pratiquant du sport intensivement, soit à une Fig.6. Fréquence d entrainement des sportifs interrogés 88,9% des triathlètes font de la compétition. 56,5 % au niveau départemental et 35,48 % au niveau régional. 97 % des triathlètes savaient qu il était possible d être addicte au sport.
4 V. ABSALON, V. BACHEVILLE, B. DARCEL, C. DE FABRITIIS, V. PHILIPPON / PSIR SEP/ (2016) 4 Parmi les triathlètes, 13,8% d entre eux ont eu une addiction au tabac et 11 % à la nourriture, contre respectivement 30,5% et 25 % des autres sportifs. A présent, du fait de la pratique du sport, seulement 3% sont toujours addictes au tabac et à la nourriture contre respectivement 22% et 13,8% des autres sportifs de salle. Parmi les triathlètes, 91% n ont actuellement aucune addiction à des substances. 58% d entre eux ont déjà annulé une activité avec des amis pour pratiquer une activité physique, contre 48,7% de ceux faisant du sport en salle. 4. DISCUSSIONS Fig.7. Taux d addiction au sport Les résultats obtenus permettent de discuter les hypothèses émises précédemment. La première concernant l aspect «positif» comme «négatif» de l addiction au sport. Grâce au questionnaire, il est évident que le sport rentre dans les critères des addictions comportementales, établis par le psychiatre américain Aviel Goodman (1990), qui apparaissent ci-dessous : A. Impossibilité de résister aux impulsions à réaliser ce type de comportement B. Sensation croissante de tension précédant immédiatement le début du comportement C. Plaisir ou soulagement pendant sa durée. Classiquement, le temps passé et l intensité de la pratique ne rentrent pas à eux seuls dans les critères de dépendance. D. Sensation de perte de contrôle pendant le comportement E. Présence d au moins cinq des neuf critères suivants : 1. Préoccupation fréquente au sujet du comportement ou de sa préparation 2. Intensité et durée des épisodes plus importantes que souhaitées à l origine 3. Tentatives répétées pour réduire, contrôler ou abandonner le comportement 4. Temps important consacré à préparer les épisodes, à les entreprendre ou à s en remettre 5. Survenue fréquente des épisodes lorsque le sujet doit accomplir des obligations professionnelles, scolaires ou universitaires, familiales ou sociales 6. Activités sociales, professionnelles ou récréatives majeures sacrifiées du fait du comportement 7. Perpétuation du comportement, bien que le sujet sache qu il cause ou aggrave un problème persistant ou récurrent d ordre social, financier, psychologique ou psychique 8. Tolérance marquée: besoin d augmenter l intensité ou la fréquence pour obtenir l effet désiré, ou diminution de l effet procuré par un comportement de même intensité F. Agitation ou irritabilité en cas d impossibilité de s adonner au comportement. Cependant cette addiction se distingue des autres, comme par exemple l addiction aux drogues, alcool, etc... En effet l activité sportive est définit comme une «addiction positive». Ce terme a vu le jour en 1976 avec le docteur William Glasser (1985), il la qualifie ainsi afin de la distinguer des addictions classiques considérées comme négatives. La pratique excessive du sport apparait ainsi comme une forme d'addiction sans drogue. Comme pour d'autres comportements addictifs, on peut considérer que l'addiction sportive commence par des excès, par la recherche de sensation de plaisir et de désinhibition à travers la pratique sportive, qui va aboutir à l'installation d'un besoin irrépressible et dans certains cas des signes de sevrage. Le sportif dépendant s'installe alors dans une situation routinière (la pratique d'un geste répétitif, sans satisfaction immédiate), afin d'obtenir une augmentation de l'estime de soi, à travers une multitude d'effets physiques et/ou psychiques. Fig.8. Cycle de l addiction au sport Le ressenti de bien-être et d euphorie est retrouvé parmi les résultats de l étude, avec la totalité des individus qui affirmaient ressentir cette sensation positive après une activité sportive. Mais cette appellation «positive», se voit également discutée par d autres, comme le docteur Véléa, qui soulève tout de même des conséquences graves à ce type d addiction. En effet, cette dépendance occasionne chez l individu des souffrances aussi désastreuses qu une addiction «classique» avec substances. Cela se
5 V. ABSALON, V. BACHEVILLE, B. DARCEL, C. DE FABRITIIS, V. PHILIPPON / PSIR SEP/ (2016) 5 manifeste par des états dépressifs lorsque le sportif est sevré, des comportements excessifs occasionnant des blessures graves pouvant s avérer irréversibles, un délaissement de la vie familiale et professionnelle conduisant parfois à des divorces et à des pertes d emploi, les souffrances physiques et psychologiques sont souvent extrêmes. Cet aspect est également vérifié avec les résultats de l étude, dans laquelle la majorité des individus avouaient avoir délaissé leur vie sociale pour effectuer une activité sportive. De plus, le docteur Dan Véléa, relève un autre point concernant le fait que beaucoup de pratiquants addictés aux sports ont souvent un lien avec des addictions considérées négatives. Celles-ci correspondent en grande majorité à la consommation de tabac, d alcool ou des drogues. Sur la même thématique, M. Nicolas Odier doctorant à la faculté de médecine de Marseille, a étudié les liens entre différentes addictions et déterminé les principales coaddictions. En ce qui concerne le sport et d après son étude (cf. figure 9 ci-dessous), M. Nicolas Odier montre que chez les personnes souffrant d une addiction au sport : 50% sont soit alcooliques, soit tabagiques, ou encore ont une utilisation abusive d internet ou ont des comportements d achats abusifs et 25% consomment soit du cannabis, soit de la cocaïne, soit d autres drogues ou ont une utilisation abusive des jeux vidéo. Fig.9. Les co-addictions Les résultats du questionnaire reflètent qu une infime partie des personnes interrogées étaient dépendantes à des substances. Malgré des résultats différents avec ceux de l étude de la figure 9, le sport peut induire en effet d autres addictions et ainsi devenir néfaste pour la santé. La première hypothèse est donc validée, l étude a confirmé que la bigorexie est un phénomène ayant un caractère à la fois «positif» comme «négatif». Concernant la seconde hypothèse, les résultats obtenus via le questionnaire permettent de déterminer une certaine tendance à l addiction au sport chez certains types de sportifs. Ce sondage vise particulièrement deux catégories de sportifs : ceux faisant du sport en salle et les triathlètes : cela, afin d utiliser comme base les travaux et critères d addiction de A. Goodman (1990). Les résultats obtenus sont commentés selon l ordre et les thématiques des différents critères de ces derniers. Il aborde ainsi le ressentis, la fréquence et l aspect social. Ressentis Si 100% des interrogés confient se sentir mieux après une activité sportive, il est pourtant difficile de recueillir des informations sur cette thématique. En effet, il peut exister des milliers de mots pour décrire un ressentis propre à chacun. Pourtant, certains sont communs. Du côté des triathlètes, l inactivité sportive entraîne un mal être à la fois physique et psychique. Certains se sentent triste ou encore frustré et coupable de ne rien faire. D autres ressentent un sentiment de manque au bout d une courte période d arrêt et expliquent même avoir des problèmes comportementaux s ils ne peuvent pas faire de sport au moins une fois par jour. D un autre point de vue, le sport est décrit comme vital et répondant à un besoin. Il participe aussi, d après une personne sondée, à leur «équilibre et au bien être psychique». Parmi ceux faisant du sport en salle, on retrouve à nouveau ce besoin abordé par certains triathlètes mais aussi, cette nécessité quotidienne de faire du sport pour se défouler, extérioriser tout en se procurant du plaisir. Le manque et le sentiment de mal être apparaissent aussi au bout d une courte période d arrêt comme la baisse de moral ou encore de motivation. Certains se sentent aussi nerveux, oppressés et les nerfs à vif. A travers ces témoignages, on retrouve quelques critères de dépendance déterminés par A. Goodman comme, «l impossibilité de résister aux impulsions» à réaliser une activité physique, «la sensation croissante de tension» en pratiquant, le «plaisir ou soulagement» éprouvé tout au long de l activité sportive ou encore, le sentiment «d agitation ou d irritabilité» en cas de non pratique. Si l on retrouve des discours et des ressentis communs entre chaque groupe de sportifs, les triathlètes reconnaissent davantage être addictes au sport que les autres sportifs. Fréquence d entrainement Le nombre d heures d entrainement est significativement plus élevé chez les triathlètes que pour ceux pratiquant du sport en salle (+28,8%). Ce constat s explique par la diversité d entrainement qu impose le triathlon afin d être performant à la fois en natation, en vélo et en course à pied. En effet, 100% des triathlètes révèlent pratiquer une activité physique très souvent et régulière contre 82% des autres sportifs de salle. De plus, près de 83% des triathlètes font de la compétition le plus souvent au niveau départemental et régional. De nombreux évènements sportifs sont proposés tout au long de l année et accessible à la fois aux triathlètes amateurs comme aux professionnels. Si les entrainements se déroulent en grande partie en semaine, les compétitions sont organisées sur le temps des weekends.
6 V. ABSALON, V. BACHEVILLE, B. DARCEL, C. DE FABRITIIS, V. PHILIPPON / PSIR SEP/ (2016) 6 Cela révèle une préoccupation importante et fréquente des triathlètes pour leur discipline à travers le temps consacré et l intensité des entrainements. Aspect social A travers cette charge d entrainements et pour répondre aux exigences physiques qu impose le triathlon, des concessions sont faites. En effet, les triathlètes ont confié à 58% avoir préféré annuler une activité entre amis pour se consacrer à leur activité sportive. Ces résultats ne permettent pas de conclure à un isolement social car près de 83,3% des triathlètes pratiquent au sein d un club de triathlon. L aspect social est très important et développé au sein de ces organisations sportives. Ainsi, le sport entraîne des choix en matière de vie social. S il ne favorise pas les amis ou la famille, il n isole pas non plus les sportifs de tout contact et échanges humains. Addictions négatives et positives Si l addiction au sport, dite «positive» se distingue des addictions aux substances, considérées comme «négatives» d après le docteur William Glasser (1985), il convient de s intéresser au lien existant et révélé par le questionnaire. Cette thématique ne fait pourtant pas partie des critères établit par A.Goodman mais est tout autant intéressante à prendre en considération. Le questionnaire permet de s intéresser aux précédentes et actuelles addictions des sportifs. On constate que les triathlètes ont peu d addictions négatives et que cela diminue considérablement au moment où ils sont interrogés : environs 18,7% d entre eux non plus aucune addiction actuellement. Ce phénomène est beaucoup moins appréciable du côté de ceux pratiquant dans une salle de sport avec une évolution de seulement 2,8%. Si les triathlètes sont moins concernés par les addictions dites négatives, ils reconnaissent pourtant à 61% être addictes au sport et donc avoir une addiction qualifiée de «positive» contre 43,6% des autres sportifs. Ils sont aussi davantage conscients de l existence de cette dépendance. C est donc en toute connaissance de cause que les triathlètes ont répondu. 5. LIMITES DE L ETUDE La réalisation d une étude telle que celle décrite précédemment est pour le moins complexe et présente certaines limites qu il est important d évoquer. Le questionnaire élaboré, bien que révélateur, manque de pertinence en raison du faible choix de réponses de certaines interrogations. De plus, l emploi du logiciel de sondage en ligne (evalandgo) s est avéré être efficient mais limité en raison des soucis d extraction et de croisement des données qui auraient permis une meilleure exploitation et interprétation de celles-ci. L utilisation d une version supérieure aurait donc été plus judicieuse. D autre part la notion de pratique de sport en «salle de sport» nécessite d être bien définie et précisée, en ciblant plus particulière la pratique de musculation intensive dans un but de renforcement musculaire et considérant que celle-ci peut être pratiqué ailleurs que dans une «salle» de sport. En effet, le questionnaire s est révélée être confus pour les pratiquants de judo ou karaté par exemple. La contrainte de temps a limité l étude à un seul questionnaire, alors qu à l issu des réponses du premier questionnaire un ciblage des triathlètes aurait pu aboutir à un deuxième questionnaire portant sur le degré de dépendance de ces derniers. 6. CONCLUSION Cette expérience a permis de confirmer qu il existe un lien entre la pratique du sport et le phénomène d addiction. En effet, la bigorexie possède les critères d une addiction «positive», tels que la sensation de plaisir et soulagement, le temps conséquent consacré à l activité et le sacrifice d activités sociales au profit d une activité physique. Cependant, elle peut engendrer des conséquences négatives sur le plan physique, psychologique et social, caractéristiques des addictions. Une spécificité de la bigorexie a été révélée par l étude, montrant que les sportifs d endurance, notamment les triathlètes, sont plus touchés par ce phénomène. Cela s explique par le caractère endorphinogène plus marqué chez ce profil de sportif. Face à ce phénomène de plus en plus répandu et connu de certains, serait-il possible de prévenir les risques de cette maladie? A travers les différentes thématiques développées et en lien avec les critères de dépendance de A. Goodman les triathlètes se démarquent seulement par rapport au temps conséquent consacré à la pratique de leur sport alors que le plan social et le ressentis sont communs aux différents sportifs. Ces résultats permettent de valider l hypothèse selon laquelle les triathlètes sont plus dépendants au sport que les personnes pratiquant du sport en salle.
7 V. ABSALON, V. BACHEVILLE, B. DARCEL, C. DE FABRITIIS, V. PHILIPPON / PSIR SEP/ (2016) 7 REFERENCES ABADIE, S. (2007). Procédés autocalmants, gestion d'un manque affectif: deux raisons possibles à la dépendance sportive. CAIRN.INFO. ABADIE, S. (2007). Procédés autocalmants, gestion d'un manque affectif: deux raisons possibles à la dépendance sportive. CAIRN.INFO. BATTAGLIA, N., BRUCHON SCHWEITZER, M., & DECAMPS, G. (2010). Introduction. Esquisse d'une approche intégrative du concept d'addiction: regards croisés. Elsevier Masson France. CARON-LAIDEZ, V. (2010). La dépendance à l'effort. Université de Lille II. CARRIER, C. (2002). Modèle de l'investissement sportif de haut niveau, sensation de la vitesse du mouvement et excitation addictive. Elsevier Masson France. GUILLOU-LANDREAT, M., GRALL-BRONNEC, M., & VENISSE, J.-L. (2012). Addictions comportementales. Elsevier Masson France. KERN, L. (2006). Dépendance et exercice physique: une échelle de dépendance à l'exercice physique. Elsevier Masson France. KOTBAGI, G., MULLER, I., ROMO, L., & KERN, L. (2014). Pratique problématique d'exercice physique: un cas clinique. Elsevier Masson France. MIDDLETON, O. (2002). Pratiques sportives et prévention des conduites à risque. CAIRN.INFO. PETITGENET, C. (2012). Recommandations d'une activité physique régulière en médecine générale. Université de Lorraine. VELEA, D. (2002). L'addiction à l'exercice physique. CAIRN.INFO. VELEA, D., & VALLEUR, M. (2002). Les addictions sans drogue(s). Thema. ODIER, N., (2014). Apports des sciences sociales à la compréhension des addictions : un enjeu de santé publique?
Comportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailL'addiction au sport
GYMNASE AUGUSTE PICCARD 31 octobre 211 L'addiction au sport Cas des élèves sportifs des classes spéciales du GAP Travail de maturité en éducation physique et sportive Réalisé par Dany Sannicandro, 3MS3
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailFaire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes
Faire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes Dossier de presse Janvier 2015 CONTACT PRESSE Inpes
Plus en détailSOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE?
SOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE? Les changements de l humeur constituent un phénomène normal de la vie. Cependant, dans la maladie bipolaire, ces changements sont hors de proportion avec les énervements.
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailIMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES
Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailSynthèse. Jeux d argent. Internet et jeux vidéo. Comparaison avec les apprentis
ENQUÊTE SUR LA PRATIQUE D INTERNET, DES JEUX VIDEO ET JEUX D ARGENT PAR DES COLLEGIENS PAS C AL E SCH AL B E T T E R, LIC.ES.SOC. C O L L AB O R AT R I C E S C I E N T I F I Q U E AD D I C T I O N VAL
Plus en détailPAS SI DUR QUE ÇA! * La super chaussure qui donne envie de faire du sport! Flash basket*
COMMENCER LE SPORT PAS SI DUR QUE ÇA! * La super chaussure qui donne envie de faire du sport! Flash basket* La sédentarité liée à nos modes de vie participe à une augmentation de risques pour la santé
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailAnalyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes
Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Territoire de Thourotte (60) 2014 Depuis 2013, la Mutuelle Familiale en partenariat avec l IRBMS sensibilise ses adhérents à la consommation
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailAddictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailSPORT : LES FRANÇAIS DEPENSENT EN MOYENNE 226 PAR AN
SPORT : LES FRANÇAIS DEPENSENT EN MOYENNE 226 PAR AN Si 59% des Français ont conservé le même budget sport que l an dernier, 19% l ont diminué et 10% l ont augmenté [1] Une relation durable : 59% des Français
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détailConférence sur l addiction au numérique du 21 mars 2013
Conférence sur l addiction au numérique du 21 mars 2013 Intervenants : Dr NEKAA (addictologue praticien hospitalier) Mme Crouzet (police nationale) Dr NEKAA Il ne faut pas diaboliser les jeux vidéo, internet
Plus en détailBILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)
Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS
Plus en détailCoûts sociaux du jeu dans les casinos
BÜRO FÜR ARBEITS- UND SOZIALPOLITISCHE STUDIEN BASS AG KONSUMSTRASSE 20. CH-3007 BERN. TEL +41 (0)31 380 60 80. FAX +41 (0)31 398 33 63 INFO@BUEROBASS.CH. WWW.BUEROBASS.CH Coûts sociaux du jeu dans les
Plus en détailExpertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.
Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s
Plus en détailLes Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication
Les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication Diaporama réalisé à partir des résultats du questionnaire passé par 648 lycéens du Lycée Hector Berlioz Définition des nouvelles technologies
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailMotards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité sur la route, mais toujours des prises de risque
Communiqué de presse Mardi 16 septembre 2014 Baromètre AXA Prévention sur le comportement des Français en deux-roues motorisés Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailLe dispositif de la maladie imputable au service
LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailEtre parent-s d adolescent-e
LA LETTRE AUX PARENTS N o 1 Chers parents, Etre parent d un-e adolescent-e n est pas toujours une chose facile, vous le savez bien! Bien sûr, vous vous réjouissez de voir grandir votre enfant, et de lui
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailLE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)
LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein
Plus en détailAlcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop
Alcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop Dossier de presse Novembre 2013 CONTACTS PRESSE Inpes : Vanessa Lemoine Tél : 01 49 33 22 42 Email : vanessa.lemoine@inpes.sante.fr TBWA \ Corporate :
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailDossier de presse. - Juillet 2015 - #sportsurordonnance #maif. Contacts presse :
Dossier de presse - Juillet 2015 - #sportsurordonnance #maif Contacts presse : MAIF Sylvie Le Chevillier 05 49 73 75 60 / sylvie.le.chevillier@maif.fr Garry Menardeau 05 49 73 75 86 / garry.menardeau@maif.fr
Plus en détailAnnée de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015
Appel à candidatures : Année de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015 Etablissement : UNIVERSITE DE PAU Lieu d'exercice des fonctions : Tarbes Section1
Plus en détailLa prévention des risques hors du cadre professionnel habituel
La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel Sommaire 1- La responsabilité du chef d établissement à l égard de l organisation des missions en France ou à l étranger 2- La responsabilité
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailBaromètre : Le bien être psychologique au travail
Contacts Ifop : Rudy BOURLES/Isabelle MANDERON 6-8, rue Eugène Oudiné 75013 Paris tél 01 45 84 14 44 fax 01 45 85 59 39 Etude 23384 Baromètre : Le bien être psychologique au travail Septembre 2008 vague
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailSmoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD
Smoke Without Fire De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD 10/07/2013 CIGARETTE ELECTRONIQUE L OUTIL CARACTÉRISTIQUES DIFFÉRENTS MODÈLES LES ENJEUX ET
Plus en détailLe réseau fribourgeois du jeu excessif
Le réseau fribourgeois du jeu excessif Prévention REPER Téléphone : +41 26 322 40 00 Adresse postale : Route du Jura 29 1700 Fribourg projets@reper-fr.ch Description : En réponse aux risques que présentent
Plus en détailTROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS. Damien FOUQUES ET Lucia ROMO
Conférence Argos 2001 du 27/01/2011 au FIAP (30 rue Cabanis - 75014 Paris) TROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS Damien FOUQUES ET Lucia ROMO Psychologues cliniciens, maîtres de conférences à l Université
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailLe chapitre 12 : Le Sport Professionnel
Le chapitre 12 : Le Sport Professionnel Préambule La Convention Collective Nationale du Sport applicable depuis le 25 novembre 2006 comprend un chapitre 12 relatif au sport professionnel. Bien que sur
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailLes Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008
Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailS ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE
S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février
Plus en détailGérer son crédit. Introduction. Clientèle cible : Élèves des niveaux postsecondaires. Objectifs :
Introduction Auteure : Nicole Racette (Équipe de production) Gérer son crédit Objectifs : Atteindre une santé financière afin d avoir une meilleure qualité de vie; Considérer l épargne comme une solution
Plus en détailBILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010
Formation préventive et accompagnement psychologique des agents 51 11 46 / 01 53 33 11 46 victimologie@sncf.fr BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Permanence Téléphonique Prise
Plus en détailChallenges. Seniors. des. Dossier de presse. Village santé
Challenges des Seniors Dimanche 9 octobre 2011 Dossier de presse Epreuves challenges Village santé Activités déc couvertes Contact presse : Direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale
Plus en détailPrévention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) VILLE DE LANDERNEAU
Prévention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) VILLE DE LANDERNEAU SOMMAIRE 1/ Pourquoi cette démarche? 2/ Les TMS 3/ Les caractéristiques de la démarche 4/ Méthodologie :. Principes pris en compte.
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailLa consommation de tabac chez les jeunes, de 2001 à 2009/10
Psychologisches Institut Sozial- und Gesundheitspsychologie Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung La consommation de tabac chez les jeunes, de 200 à 2009/0 Résumé du rapport de recherche 20 Monitorage
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailLes français et les jeunes conducteurs
DOSSIER DE PRESSE Paris, 4 mai 2015 www.jeune-conducteur-assur.com Les français et les jeunes conducteurs Révélation de l étude Jeune Conducteur Assur / Ifop Enquête menée auprès d un échantillon de 1000
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailPREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION
PREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION La présente demande d assurance comprend deux formulaires : Preuve d assurabilité Description de la protection et Questionnaire relatif aux renseignements
Plus en détailN O S L I M I T E S?!
NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive
Plus en détailLes stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
Créé en 2005, l Institut Mots pour Maux est une association d accompagnement et d aide à la personne. Son objectif est de favoriser et de développer l amélioration de la condition de l être humain et son
Plus en détailBibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes
Bibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes Dans le cadre du baromètre social institutionnel, vous avez la possibilité de poser quelques questions spécifiques à votre organisme et à
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailAtelier : Plates-formes d apprentissage électronique. Réunion des écoles avec label Swiss Olympic, le 11 septembre 2013
Atelier : Plates-formes d apprentissage électronique Réunion des écoles avec label Swiss Olympic, le 11 septembre 2013 Aperçu Cours en ligne Clean Winner Jeu pour appareils mobiles Jeu pour appareils mobiles
Plus en détailLes Français et le Tour de France 2015
Les Français et le Tour de France 2015 Juillet 2015 Sondage réalisé par pour et LEVEE D EMBARGO : SAMEDI 4 JUILLET A 18H Diffusion et levée d embargo Ce sondage est réalisé pour et o Diffusé samedi à 18h00
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailTa mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi. Bonne nouvelle! Pour toi, un coach en recrutement!* mutuelle mclr
mutuelle mclr Bonne nouvelle! Ta mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi Pour toi, un coach en recrutement!* (*) sous réserve du respect des conditions d accès à l offre Édito 40 ans d expérience à l
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailLe coût social de la consommation de drogues illégales en Suisse
Le coût social de la consommation de drogues illégales en Suisse Rapport final Claude Jeanrenaud Gaëlle Widmer Sonia Pellegrini Institut de recherches économiques et régionales 2005 TABLE DES MATIERES
Plus en détailRésultats de l enquête Sport & Entreprise. mars 2009
Résultats de l enquête Sport & Entreprise mars 2009 I. LE CONTEXTE DE L ENQUETE : LES RELATIONS SPORT / ENTREPRISE Une brève histoire des liens sport / entreprise La domination du modèle industriel paternaliste
Plus en détailAttentes et transitions vers les études postsecondaires : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes
: sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes Introduction Collaboration CESPM N.-B. N.-É. Î.-P.-É. Description du projet Dans le cadre de son programme de sondages auprès des diplômés, la Commission
Plus en détailComment Réussir sa vie par la PNL
1 Comment Réussir sa vie par la PNL Condensé de la conférence de Didier Pénissard 1 Ce compte-rendu à été réalisé par Françoise (membre du club) et au nom du groupe, je la remercie chaleureusement Nous
Plus en détail