GBIF (2008) Vers l établissement d un point nodal opérationnel de participants du GBIF : définitions et considérations générales.

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1 Titre: Type de document: Expéditeur: Auteur(s) principal(aux)/ contact(s): Vers l établissement d un point nodal opérationnel de participants du GBIF : définitions et considérations générales Présentation du concept Global Biodiversity Information Facility Secretariat Juan Carlos Bello Senior Programme Officer for Nodes, GBIF Secretariat (jbello@gbif.org) Version: Version 1.0 Juan Bello, October 2008 État: En progrès. Révision(s): [Simone Niedermüller, 20/10/08] Citation proposée: Éditeur: Mots clés: GBIF (2008) Vers l établissement d un point nodal opérationnel de participants du GBIF : définitions et considérations générales. Global Biodiversity Information Facility Secretariat, Copenhague. 9pp. Global Biodiversity Information Facility Secretariat GBIF, point nodal de participants, réseau d information sur la biodiversité Table des matières Introduction... 2 Qu est ce qu un point nodal de participants?... 2 Pourquoi a t on besoin d un point nodal de participants?... 2 Qu est ce qu un point nodal opérationnel?... 4 De qu est qu un point nodal de participant a t il besoin pour devenir opérationnel?... 5 Quelles qualités font d un point nodal, un point nodal avec du succès?... 6 Comment trouver le meilleur placement d un point nodal de participants GBIF?... 7 Conclusions Page 1

2 Introduction Selon le Protocole d accord ( ) sur le GBIF, un participant du GBIF devrait mettre en place un «point nodal de participants», généralement défini comme point de contact technique entre le participant (avec tous ses institutions et ses intervenants nationaux), autres participants et le Secrétariat du GBIF. La mise en place d un point nodal opérationnel est primordiale pour assurer que le participant du GBIF peut profiter et contribuer entièrement à la mission, aux buts et programme de travail du GBIF. Ce document vise à fournir des conseils et des directions aux participants, où et comment mettre en place un point nodal opérationnel. Qu est ce qu un point nodal de participants? La définition du point nodal de participants a évolué pendant les dernières années (Boîte 1). Dans le plan de travail pour , un point nodal de participants du GBIF a été défini comme «un service, une agence ou une institution désigné à coordonner le développement et les activités d un réseau ou d un système d information sur la biodiversité au niveau du participant (national, régional ou thématique)». Par conséquent le rôle principale d un point nodal de participants est de promouvoir, coordonner et faciliter la mobilisation et l utilisation des données sur la biodiversité parmi tous les intervenants du domaine du participant, essentiellement pour aider d adresser les besoins et les priorités d informations du participant. En outre un point nodal de participants sert comme passerelle de communication entre les participants et le Secrétariat, en contribuant et en profitant des services centraux, de l infrastructure et des capacités fourni par le GBIF comme réseau de réseaux, global et décentralisé. Pourquoi a t on besoin d un point nodal de participants? Les données et les informations sur la biodiversité sont par nature hétérogènes, tant en termes d envergure taxinomique, géographique, temporel ou thématique, que de formats et de méthodes utilisés pour la collection, le stockage, l échange et la publication de ces données. La complexité est accrue par le fait que ces données sont produites, détenues, usagées et utilisées d une variété d acteurs divers, pour des raisons diverses et dans beaucoup de situations différentes. Boîte 1. Définitions initiales d un point nodal de participants du GBIF Dans le premier protocole d accord sur le GBIF (GBIF Memorandum of Understanding MoU ) les points nodaux du GBIF ont été définis comme «un portail informatique stable qui permet les requêtes en temps réel et interopérables de multiples bases de données institutionnelles, nationales, régionales et/ou sous régionales, contenant des données primaires ou au niveau méta sur la biodiversité ( ) ou un serveur unique accessible via le web maintenant une ou plusieurs bases de données significatives sur la biodiversité.». Il est clair que dans cette définition l accent a été mis sur le procès technique de fournir accès aux données sur la biodiversité. Ce qu on a appris depuis cette première approche est que le procès de mobiliser des données ne peut pas être automatisé complètement. Tout d abord, on a besoin des personnes qui interagissent avec les technologies (hardware, logiciel et middleware) et les données (problèmes de interopérabilité), ainsi que, et ceci est peut être encore plus important, on a besoin de personnes qui interagissent avec d autres personnes (des activités de formation aux accords interinstitutionnel sur les politiques d accès et d utilisation des données). C est pourquoi dans le deuxième protocole d accord sur le GBIF ( ) un point nodal du GBIF a été redéfini comme «Mécanisme par lequel un participant coordonne et appuie ses activités d échange de données sur le GBIF. Un point nodal de participants comporte à la fois des infrastructures matérielles et des ressources humaines. En général, un point nodal de participants encourage et appuie les activités des fournisseurs de données du participant pour contribuer et utiliser à la fois les données servies par le GBIF, il procure des infrastructures et un savoir faire sur les technologies de l information pour les activités du GBIF et il fonctionne comme passerelle d information entre les participants, d autres partenaires et le Secrétariat.» Page 2

3 Ainsi, n importe si le participant du GBIF est un pays ou une organisation internationale, il y a toujours le besoin d un mécanisme coordonnant qui s occupe et engage les parties prenantes (des détenteurs de données aux utilisateurs des données) d une manière adéquat, qui les assiste à mobiliser et à publier des données, et qui, au bout du compte, soutien le participant à répondre à ses besoins d informations et de données sur la biodiversité. En outre il est important d avoir un cadre de collaboration institutionnel (politiques, accords) et technologique (infrastructure) (Figure 1). Pourtant un tel cadre est inutile sans un service, une agence, ou une institution responsable de coordonner, promouvoir et faciliter l engagement et les interactions des personnes et des institutions impliquées. En effet il est maintenant largement reconnu que les plus grands défis pour le partage des données sur la biodiversité sont de nature sociologique plutôt que technologique. Figure 1. Components généraux d un réseau ou d un système d informations sur la biodiversité. Avec la création d un service de coordination mandaté de soutenir les détenteurs de données à partager et publier leurs données en utilisant des standards et des protocoles communs (c est à dire avec la création d un point nodal de participants) un participant du GBIF peut significativement augmenter les bénéfices des investissements dans le passé, en cours et dans le future qu il a fait dans la recherché scientifique et dans les collections de données sur la biodiversité. Un tel soutien est parmi d autres nécessaire afin d établir la pratique de publier les données primaires (en ce moment la publication des résultats de recherché est bien établi, mais pas des données primaires sur lesquelles sont basés ces résultat). La plupart des détenteurs de données a encore besoin de guidage dans les différentes étapes nécessaires pour la publication de données. Ceci concerne l organisation et la numérisation des données ainsi que l usage des technologies nécessaire pour améliorer la qualité et pour suivre l utilisation des données rendues accessibles via l internet. Dans beaucoup de cas les points nodaux de participants aide aussi les utilisateurs finals clés de retrouver les informations dont ils ont besoin et guide les utilisateurs. Ceci est particulièrement important pour garantir que l utilisation des données sur la biodiversité soit vraiment utile aux politiques et aux décideurs du secteur de la protection et de l utilisation durable de la biodiversité. Page 3

4 GBIF(2008)Versl établissementd unpointnodalopérationneldeparticipantsdugbif:définitionsetconsidérationsgénérales. Enfin,maistoutautantimportant,unpointnodaldeparticipantsdanssonrôledecoordinateur,esttrèsbien positionnépouraiderleparticipantàévaluerleslacunesdedonnées(taxinomiques,spatiales,temporelles et thématiques), pour comprendre les besoins de données et d informations, pour engager des nouvelles communautés (et mobiliser des nouveaux types de données) et pour concevoir des stratégies afin de répondre aux besoins d une manière efficace. Independent des moteurs ou des priorités qui motivent la mobilisation des données sur la biodiversité (Figure 2), un point nodal bien établi et opérationnel est instrumentalpouraiderleparticipantàatteindresesbutsetsesobjectifsliésàlabiodiversité. Figure2.LesMoteursetlesprioritéspourl implémentationd unréseaud informationsurlabiodiversitéqui définissentunpointnodaldeparticipants.endépendancedescesdeuxfacteurs,lepointnodalpeutévoluercomme tentativeessentiellementscientifique(aetc)oucommesystèmedesoutienauxpolitiques(betd). Qu estcequ unpointnodalopérationnel? Un point nodal de participants peut être considéré comme opérationnel lorsqu il soutien, avec succès, le participantàétablir,coordonneretmaintenirunréseauouunsystèmed informationsurlabiodiversité,en utilisant le cadre général, les principes et l infrastructure du GBIF. Entre outre un point nodal de participants: a) AideleparticipantduGBIFàévalueretadressersesbesoinsd informationssurlabiodiversité, b) Engageactivementlesdétenteursetlesutilisateursdedonnéesdansledomaineduparticipant, c) Assistelesdétenteursdedonnéesàpartageretàpublierleursdonnéessurlabiodiversité, d) Assisteàrenforcerlescapacitésdelabiodiversitéinformatiqueauniveauduparticipant, e) Promeutetfaciliteledéveloppementd applicationsafindeservirlesbesoinsdel utilisateurfinal, Page 4

5 f) Partage ses capacités et ses expériences avec d autres point nodaux de participants, en particulier avec ceux dans une phase de développement non avancé, g) Aide au développement, à l implémentation et à la mise en marche de l infrastructure informatique du GBIF et h) Contribue activement afin d accomplir la mission du GBIF et d atteindre les buts et les objectifs du GBIF. De qu est ce qu un point nodal de participant a t il besoin pour devenir opérationnel? Afin de réalisé son rôle de coordinateur, un point nodal de participants a besoin, au minimum, de : a) Un mandat clair (officiel ou institutionnel) par lequel on charge le point nodal de participants officiellement de la responsabilité de coordonner, promouvoir et faciliter le partage des données sur la biodiversité parmi les institutions pertinentes, les partenaires et les intervenants nationaux. Un tel mandat devrait idéalement être part d un cadre collaboratif qui a été construit et sur lequel ont agréé les acteurs pertinents. En général, une institution désignée fourni ce mandat. Comme serait expliqué ci dessous, il est essentiel quelle place le point nodal prendra par rapport à cette institution désignée pour assurer le succès de son exercice. b) Une équipe pour l implémentation du mandat du point nodal de participants, ce qui inclut la formulation et l implémentation de son plan de travail. A part du personnel (tout le monde ou au moins une partie significative du personnel ayant reçu de la formation en biodiversité informatique) l équipe consiste aussi de l infrastructure physique nécessaire (des complexes de bureaux à l informatique). c) Un niveau de soutien institutionnel et financier satisfaisant afin d effectuer les activités de coordination, de promotion et de facilitation au niveau correspondant au plan de travail. Le soutien institutionnel peut être en forme d aide administratif, hébergement (bureau) ou d approbation politique pour l engagement des partenaires clés, l augmentation de l intérêt, de la visibilité et de la mobilisation de fonds. Dans ce contexte la communication fluide et transparente entre l équipe du point nodal et les membres de la structure de gouvernance est particulièrement pertinente afin de guider les activités de partage de données au niveau du participant (ceci inclue la délégation du membre GBIF). d) Finalement, un point nodal a certainement besoin de l accès aux outils correctes, aux pratiques courantes, aux occasions de formation et à la documentation pour pouvoir exécuter ces fonctions au meilleur niveau possible. La plupart de ces services fait partie des services centraux du Secrétariat du GBIF ou est contribué par d autres participants du GBIF. Il est évident comme le manque d un ou plusieurs de ces conditions pourrait affecter la fonctionnalité générale du point nodal. Un point nodal qui ne manque par exemple que d un mandat clair pourrait facilement échouer dans ses interactions interinstitutionnelles et dans son rôle de coordinateur. D autre part un manque de personnel pourrait limiter les capacités de répondre effectivement aux besoins du participant, même si assez de ressources sont disponibles. Un autre exemple est celui d un point nodal qui dispose d un mandat très clair et fort, d assez de personnel et d infrastructure, d un niveau de financement adéquat, mais qui manque de soutien institutionnel (en particulier de la part de l institution qui fourni les Page 5

6 locaux d hébergement). Dans ces cas le point nodal peut très facilement s épuiser dans les efforts de surmonter les barrières interinstitutionnelles (politiques, gestion ou administration). Quelles qualités font d un point nodal, un point nodal avec du succès? Toutes les activités effectuées par un point nodal de participants GBIF se tournent essentiellement autour des interactions avec autres à des multiples niveaux. Un point nodal de participants a besoin d être compétent non seulement dans les affaires techniques, mais aussi dans la communication, l engagement et les interactions avec des personnes et des organisations de différents domaines. Ces compétences sont critiques pour surmonter les barrières sociologiques et pour résoudre des conflits reliés au partage de données, à la participation, à l attribution, etc... Pour avoir du succès les qualités les plus importantes d un point nodal sont : a) La neutralité: Un point nodal de participants établi pour coordonner, promouvoir et faciliter les activités le partage de données entre des multiples institutions devrait, idéalement, ne pas être impliqué dans la production ou l utilisation des données. Si le point nodal est impliqué dans des activités de recherche scientifique sur la biodiversité quelconques il est bien probable que d autres institutions et partenaires impliqué dans les même (ou dans similaires) domaines percevraient les tentatives du point nodal comme guidées d intérêt particulier, ce qui pourrait, au bout du compte, mener à une réticence de participer dans le partage des données. Même si le point nodal ne rivalise pas pour les mêmes ressources et s il n utilise pas sa position pour obtenir des résultats avec les données d autres, le simple fait d être directement impliqué dans n importe quel type de base de données, de numérisation, ou d analyse inspirera de la méfiance des institutions lesquelles il devrait assister et coordonner. La neutralité du service de coordination ou de l institution est essentielle pour surmonter les obstacles sociologiques liés à la publication des données primaires sur la biodiversité via le web. Le point nodal devrait être capable de travailler avec toutes les communautés pertinentes sans avoir des préférences ou des priorités qui n ont pas été définies ou agrées par la communauté entière. Le placement institutionnel d un point nodal est décisif pour sa neutralité (voir la section suivante). De même, la neutralité est essentielle pour gagner la confiance de la communauté dans les activités de partage de données à tous niveaux. b) Une approche orienté service: Un point nodal de participants du GBIF est établi pour assister une communauté de personnes et d institutions à partager, publier et utiliser les données et les informations sur la biodiversité dans le domaine du participant. Par conséquent un point nodal de participants du GBIF devrait être équipé et préparé d offrir le meilleur soutien technique à cette communauté et être en perpétuelle veille pour rendre la mobilisation et l utilisation des données facile et pour des faibles coûts. Le point nodal est là pour servir et non pas pour imposer. Comme telle une approche orienté service devrait imprégner toutes les activités effectuées par le point nodal. c) Les capacités: L équipe d un point nodal doit être compétente et qualifiée dans les différents domaines de la biodiversité informatique afin de fournir les services requis à la communauté du participant. Cette capacité technique comprend la connaissance technique (savoir faire, meilleures pratiques), la connaissance des technologies (logiciels, hardware), le personnel (assez de personnel pour couvrir tout les domaines pertinents définis dans le plan de travail du point nodal) et un mandat (le point nodal devrait avoir le pouvoir d accomplir ces devoirs et ses fonctions sur un niveau adéquat). Un point nodal capable et efficace sera définitivement dans la meilleure position d engager la communauté du participant et d aider le participant à atteindre ses buts et ses objectifs d informations. Page 6

7 d) Leadership et initiative: Un point nodal de participant est responsable d évoquer l intérêt et d animer des personnes et des organisations à publier et utiliser les données sur la biodiversité. Le point nodal devrait être une inspiration, capable de réunir des différentes communautés et de promouvoir effectivement la participation et la collaboration pour créer ainsi tout les types de synergies possibles. Comment trouver le meilleur placement d un point nodal de participants GBIF? Le positionnement d un point nodal est un choix décisif pour tout participant GBIF qui n a pas encore établi un réseau ou un système d information sur la biodiversité (avant la signature du Protocole d Accord sur le GBIF). La position va déterminer les relations du point nodal avec les autres institutions du domaine du participant et ses moyens de disposer des qualités nécessaires comme la neutralité, l approche de service, les capacités nécessaires et le «leadership». Le placement institutionnel d un point nodal de participants dépend bien sûr de : a) le paysage institutionnel au niveau du participant (nombre et types d institutions, leurs rôles, le contexte socio économique, la tradition de recherche scientifique), b) les intérêts, les besoins et les priorités du participant concernant les données et les informations sur la biodiversité et c) les capacités actuelles et potentielles du participant (financement, infrastructure, personnel). Ces facteurs sont différent d un participant à l autre, ce qu il le rend très difficile de faire des généralisations. Quoi qu il en soit, il est possible d indiquer de recommandations générales qui peuvent être appliquées dans plusieurs situations. Le scénario idéal est que le point nodal soit fondé comme secrétariat du réseau ou du système d information sur la biodiversité, officiellement établi au niveau du participant. Dans ce cas le point nodal du participant constitue une part intégrale de ce réseau ou système, et répond aux conseils d administration et à l affiliation (comité de pilotage, conseil du réseau, assemblée générale). Tableau 1. Exemples des différentes combinaisons pour la mise en place d un point nodal de participants, en indiquant quelques pours et contres pour chaque scénario. La situation Les pours Les contres a) La mission et le mandat de l institution désignée sont précisément de coordonner, promouvoir et faciliter les activités de partage des données sur la biodiversité au niveau du participant b) Le point nodal est hébergé d une institution désignée, mais ne fait pas part de celle ci Ceci est, dans plusieurs aspects, la situation idéale La plus grande flexibilité et autonomie possible Des meilleures possibilités d atteindre la neutralité Des meilleures possibilités d être orienté comme service Un niveau maximal d expertise et de spécialisation, c est à dire capacité de servir la communauté du participant Plus d autonomie et de flexibilité pour l implémentation du plan de travail du point nodal Plus de temps disponible pour se concentrer sur les activités spécifiques du point nodal Plus grandes chances de créer son propre image de marque (en terme de neutralité, de capacités) Cette situation a besoin d un maximum d investissements (demande beaucoup de ressources), et est plus sensitive aux changements des priorités du participant (avec des implications budgétaires) Un risqué d un manqué de soutien institutionnel Un besoin potentiel d investissements dans le personnel et dans l infrastructure 8dans les cas où ceci n est pas fourni de l institution hôte) Page 7

8 c) L institution désignée agit comme le point nodal même si son champ de travail et ses activités sont plus larges. d) Le point nodal est un service ou une équipe dans une institution désignée e) L institution désignée agit seulement comme contact technique pour les communications avec le secrétariat du GBIF Plus grandes chances de répondre à un partenariat ou à un groupe d institutions plutôt qu à une seule institution Il peut y avoir un mandat très fort et très solide, avec un soutien institutionnel très fort Des grandes chances d avoir un bon niveau de capacités techniques «L institut national de la biodiversité» établi pour répondre à la Convention sur la diversité biologique est un très bon exemple de cette situation Des bas investissements au niveau de l infrastructure, personnel ou autres Le point nodal peut être facilement aligné dans le cadre de l institution Ceci devrait seulement être une situation passagère Selon le champ de travail de l institution, ce placement peut compromettre la neutralité Ce placement peut aussi compromettre l approche orienté service Les résultats vont dépendre largement de l institution dans laquelle se trouve le point nodal Un risque que le personnel du point nodal soit impliqué profondément dans les activités internes de l institution Il sera plus difficile de répondre aux besoins d un groupe d institutions (l équipe du point nodal dépend et répond normalement tout d abord à l équipe de gestion de son institution hôte) Le point nodal reste inconnu aux autres institutions Le point nodal risque de devenir réactif plutôt que proactif Le placement institutionnel du point nodal devrait être étroitement lié à son mandat. Le placement devrait rendre possible l autonomie requise mais aussi le soutien institutionnel et financier nécessaire pour accomplir sa mission et réaliser ses objectifs. Par conséquent la position relative à l institution hôte d un point nodal dans une l institution peut faire une grande différence. Le tableau 1 indique quelques pours et contres des différentes options de placement d un point nodal. En outre (particulièrement concernant les combinaisons a, b, c et d présentée dans le tableau 1) le type d institution ou est placé le point nodal est extrêmement important. Une liste d exemples généralistes de la circonscription du GBIF est donnée dans le tableau 2. Tableau 2. Exemples de types d institution qui est normalement désignée d héberger ou d agir comme point nodal de participants du GBIF. Ces exemples sont très généralistes et peuvent variés en relation à la situation spécifique du participant. Ils sont plutôt des exemples trouvés dans les pays membres que les organisations membres du GBIF. Type de hôte / institution désignée Les pours Les contres a) Une Collection d Histoire naturelle Pleine connaissance des défis et des exigences de la numérisation des données d histoire naturelles Risque d avoir besoin de grands efforts pour montre la neutralité (dans le cas où il s agit d une collection zoologique il faudrait montrer la capacité de travailler avec d autres types de collections, ou qu il n y a pas de concurrence pour des fonds de numérisation entre le point nodal et d autres institutions) Un risque de difficultés d engager d autres communauté qui détienne d autres types de données (observations, données écologiques) Page 8

9 Type de hôte / institution désignée b) Un ministère (de science, d environnement, ou autre) c) Un institut de recherche scientifique sur la biodiversité ou la biologie d) Un conseil ou un comité de recherche ou commission des sciences & des technologies e) Une Organisation sans but lucratif f) Un département ou faculté d université Les pours Un mandat très fort, la capacité d influencer et d aider les politiques et les décideurs Facilement aligné avec les politiques, les stratégies et le programme nationales de la biodiversité Un grand potentiel de développer, d une façon facile et rapide, des capacités dans la biodiversité informatique Pleine connaissance du domaine de la recherché scientifique sur la biodiversité Possibilité d avoir un mandat institutionnel trés clair et fort Une position excellente pour la coordination, la promotion et la facilitation Facile d aligner avec les politiques de recherche scientifiques, les stratégies et les programmes nationaux Les contres Dans certains cas ce placement complique le service aux utilisateurs hors de la communauté scientifique (ou même hors de la communauté des collections d Histoire naturelle) Des défis d opérer au niveau technique et de fournir du soutien technique (á la communauté scientifique) Pourrait être facilement affecté des changements politiques Un risque d avoir des problèmes de neutralité, ceci dépendra comment l institut se place dans l ensemble du paysage institutionnel (en considérant des aspects comme complémentarité ou singularité chevauchante) Un besoin potentiel d investissements supplémentaires pour avoir la capacité de fournir du soutien technique Risque de devenir trop impulsé des sciences, de ne plus se concentrer assez sur le soutien des politiques et des décisions de la protection et de l utilisation durable de la biodiversité De la flexibilité et de l autonomie Risque de perte du mandat, difficultés de s engager avec d autres institutions officiellement Risque de devenir très dépendant de projets Grand potentiel pour développer facilement et rapidement de la capacité dans la biodiversité informatique Potentiel d imprégner les phases différentes du procès de la recherche scientifique sur la biodiversité Risque d avoir des problèmes de neutralité Risque de devenir très dépendant de projets Comme déjà indiqué la situation des participants du GBIF peut être très différente les uns des autres, et il est possible que les pours et les contres présentés dans ces exemples ne sont pas applicable (partiellement ou complètement). Par conséquent la manière la plus judicieuse de placer un point nodal est de répondre aux questions suivantes : a) Quel placement institutionnel offrirait la plus grande neutralité? b) Quel placement institutionnel serait le plus adéquat pour créer un point nodal orienté service? c) Quel placement institutionnel permettrait au point nodal de développer ses capacités et d exécuter son rôle de coordinateur au meilleur niveau possible? d) Quel placement institutionnel offrirait une stabilité maximale et une perspective à long terme? e) Quel placement institutionnel permettrait une visibilité optimale et permettrait d engager, au niveau du participant, tous les acteurs pertinents et les intervenants nationaux? Page 9

10 f) Quel placement institutionnel permettrait au point nodal de répondre aux besoins et aux priorités du participant? Il est peut être vrai qu il sera difficile ou même impossible de trouver la situation absolument idéale pour mettre en place le point nodal, il faudra donc compromettre. La résolution finale dépendra toujours de la vision du participant concernant le partage et l utilisation des données sur la biodiversité, autant que du rôle que le participant prévoit pour le point nodal pour accomplir cette vision. Conclusion Après 7 ans d existence de GBIF, la leçon le plus importante est peut être que les barrières et les complexités sociologiques sont souvent les plus difficiles à surmonter pour un propre développement et fonctionnement du réseau GBIF. C est pourquoi il est essentiel de mettre l accent sur le rôle de coordinateur, promoteur et facilitateur du point nodal de participants du GBIF. D autre part il est important de souligner qu un point nodal de participants devrait être établi avec le but principal de répondre aux besoins et aux priorités du participant. Ceci dit, il sera aussi nécessaire de reconnaître qu un point nodal de participant a besoin d engager et de travailler avec une variété de personnes et d institutions, chacune avec des niveaux de capacités, des intérêts et des aspirations différentes. Il est donc fondamental d assurer qu un point nodal soit neutre, qu il dispose des capacités nécessaires afin de pouvoir soutenir la communauté du participant et d assurer qu il sera capable de maintenir l approche orienté service, dés sa mise en place. Pour réaliser ceci un point nodal de participant a besoin d un mandat fort et d un niveau de soutien institutionnel et financier adéquat. Dans ce contexte il est clair que la décision où placer le point nodal est déterminante pour le succès de son implémentation. Page 10

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