6 & 7 décembre ATELIER N 28 LES OUTILS DE PILOTAGE DE LA GESTION DELEGUEE DES SERVICES PUBLICS SYNTHESE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "6 & 7 décembre 2006 www.inet-ets.net ATELIER N 28 LES OUTILS DE PILOTAGE DE LA GESTION DELEGUEE DES SERVICES PUBLICS SYNTHESE"

Transcription

1 6 & 7 décembre ATELIER N 28 LES OUTILS DE PILOTAGE DE LA GESTION DELEGUEE DES SERVICES PUBLICS SYNTHESE

2 Sommaire Atelier n 28 / Les outils de pilotage de la gestion déléguée des services publics... 3 Le banquier : un allié objectif...3 Faire du rapport annuel du délégataire un outil de pilotage...4 Les apports du décret du 14 mars Les conditions de réussite...4 Des relations équilibrées...5 Illustration à Nantes...5 Les relations avec le déléguant...5 Echanges avec la salle...5 Organisateurs de l atelier Association Finances-gestion-évaluation des collectivités territoriales (AFIGESE-CT) coordination@afigese.asso.fr Caisse nationale des Caisses d Epargne Observatoire Territoria Intervenants Marie-Christine JUNG, déléguée générale de l observatoire Territoria Serge BAYARD, directeur de l immobilier et des opérations complexes, Caisse nationale des caisses d épargne Laurent DJEZZAR et Maud RAFFRAY, Association finances - gestion - évaluation des collectivités territoriales (AFIGESE) Paul BILLAUDEAU, directeur général adjoint, SAEM d exploitation de la cité internationale des congrès de Nantes Métropole Nota : ce document est une synthèse des interventions et des échanges. Les propos ne sont pas repris dans leur intégralité mais condensés. Ils n engagent que leurs auteurs. 2

3 Atelier n 28 / Les outils de pilotage de la gestion déléguée des services publics Animatrice : Marie-Christine JUNG. MARIE-CHRISTINE JUNG Déléguée générale de l observatoire Territoria Que faut-il introduire dans les contrats de coopération public / privé quelle que soit leur forme pour maintenir de bonnes relations entre les parties? Que faire au cours d un contrat pour le faire évoluer et garantir son efficacité? Le banquier : un allié objectif SERGE BAYARD Directeur de l immobilier et des opérations complexes, Caisse nationale des caisses d épargne Les banquiers sont autant attentifs à la bonne réalisation d un contrat que les parties elles-mêmes, puisqu ils sont impliqués au côté des partenaires sur de très longues durées (des dizaines d années le plus souvent). Les Caisses d épargne financent des partenaires privés comme des acteurs publics. Depuis deux ans, le cadre législatif s est stabilisé avec l apparition du partenariat public / privé (PPP), lequel insiste sur les performances : l acteur public achète le service, le pilote et l évalue. Mais les sanctions en cas de non respect des engagements ne sont pas suffisamment mentionnées. Or, les banquiers seront très attentifs aux pénalités. Le manque de clarté sur ces dernières fait naître un risque que les banquiers feront payer. Un partenariat public / privé est doublement piloté : - par le partenaire public via des pénalités liées à des obligations de résultats, qui impactent directement le loyer versé ; - par les partenaires investisseurs et par les financeurs, puisque leur rémunération dépend des performances de leurs partenaires. Le contrôle de la mise en œuvre des obligations des partenaires est donc crucial. A titre d illustration, si la Caisse d épargne investit dans une société de projet, elle n a pas intérêt et le partenaire public non plus à laisser les budgets dériver et les délais s allonger. Une fois «le ruban coupé», la vigilance baisse. Un banquier sera donc rassuré par l existence d un groupe de pilotage (interne ou externe à la collectivité) assurant le suivi. La présence du banquier dans un consortium est intéressante à tous points de vue pour la collectivité : voilà un allié objectif, n ayant aucun moyen de facturer des avenants pour problème technique, présent 3

4 pendant toute la durée du partenariat. Les intérêts des sociétés du consortium, eux, ne sont pas nécessairement convergents aujourd hui ou demain. Le principal facteur de risque reste la durée extrêmement longue du partenariat. Faire du rapport annuel du délégataire un outil de pilotage LAURENT DJEZZAR ET MAUD RAFFRAY Association finances - gestion - évaluation des collectivités territoriales (AFIGESE) L AFIGESE a monté un groupe de travail sur le rapport annuel du délégataire. Souvent perçu, au mieux, comme un outil de contrôle, au pire comme une obligation légale 1, ce rapport pourrait devenir un bon outil de pilotage tout n omettant pas l usager. Les apports du décret du 14 mars 2005 En matière de contrôle, non seulement les collectivités restent démunies, mais surtout, il n est certainement pas un levier suffisant pour un partenariat efficace. Le rapport du délégataire, annuel, est donc une occasion rêvée de suivre les engagements réciproques. Ce rapport, en vertu du décret du 14 mars 2005, comporte une partie comptable, une analyse de la qualité du service public, et enfin les conditions d exécution du service public. Il permet des rendez-vous périodiques avec le délégataire, il constitue un outil d amélioration continue de la performance ; les collectivités ont évidemment toute liberté pour demander des indicateurs de qualité complémentaires à ceux prévus au décret. Le rapport est aussi un outil de communication au service de la transparence, et finalement, jette les bases d un processus dynamique, à mi-chemin entre la synthèse annuelle et le pilotage quotidien. Les conditions de réussite La co-construction d une relation partenariale équilibrée traduite dans un rapport de qualité requiert deux conditions : - les partenaires doivent affirmer leur volonté commune d instaurer un pilotage de la gestion déléguée ; en amont, précédant l arrivée du rapport, une concertation avec le délégataire doit avoir lieu. - la collectivité doit assumer ses responsabilités de déléguant de manière pérenne ; il lui faut veiller à la cohérence des objectifs donnés à la délégation, préserver la connaissance métier et développer des compétences d autorité délégante 2, animer une organisation transversale du pilotage qui favorise la transparence des circuits informationnels et décisionnels. Dans notre collectivité, un délégataire nous a, par exemple, demandé un interlocuteur unique, ce qui est apparu très judicieux : ne transmettons pas nos risques et nos incertitudes chez nos délégataires. 1 Quand il existe, ce rapport est souvent vu comme une formalité (informations illisibles, incomplètes, trop anciennes ). 2 La collectivité doit prendre du recul sur le quotidien du service et s appuyer en interne ou en externe sur des experts. Cette dimension exigeant un travail transversal est relativement nouvelle pour elle. 4

5 Des relations équilibrées PAUL BILLAUDEAU Directeur général adjoint, SAEM d exploitation de la cité internationale des congrès de Nantes Métropole Les SAEM sont les précurseurs des dispositifs de pilotage organisés, en situation de dialogue permanent avec le délégant. Proches par essence du pouvoir public, elles n ont pas eu besoin d un décret pour appréhender le pilotage. Illustration à Nantes Un pilotage réussi nécessite une bonne réflexion préalable au contrat et une formalisation des objectifs. C est après cette réflexion seulement que la «boîte à outils» (dont font partie les indicateurs de gestion) prendra tout son sens. Ainsi à Nantes, la SAEM délégataire dresse un reporting trimestriel à l attention du déléguant. Chaque année, elle balaye le programme d investissements avec lui, rendez-vous auquel le contrôle de gestion du déléguant est étroitement associé. Tous les 3 ans, les résultats sont évalués. Le délégataire a tout à gagner de la transparence sur ses coûts de réalisation et sur l imputation des coûts directs / directs. Les relations avec le déléguant Nous devons construire un rapport équilibré, ce qui sous-entend que la collectivité connaisse encore le métier qu elle délègue. A cette condition expresse, le délégant peut procéder à l analyse, allant au delà du contrôle. Le délégataire se situant dans un univers concurrentiel, la collectivité doit être en mesure de lui répondre très rapidement. En ce sens, l initiative de l interlocuteur unique à Nantes ne peut être que saluée. Les collectivités doivent enfin particulièrement veiller aux clauses des contrats verrouillant toute capacité d innovation et de créativité du délégataire. Marie-Christine JUNG Un bon pilotage n omettra pas d intégrer les attentes et les évaluations des bénéficiaires du service public, aspects qui devront être mesurés à la fois par le délégant et par le délégataire. Echanges avec la salle Le rapport du délégataire est une conclusion d activité à présenter absolument à l usager. Il est d autant plus indispensable qu en 30 ans (durée de certains contrats dans l eau par exemple), les besoins évoluent. Loin d être un abandon du service public, la gestion déléguée est une gestion d un service au public. 5

6 Le PPP requiert-il des outils financiers particuliers? Serge BAYARD Oui, bien sûr, certains véhicules financiers sont spécifiques au PPP. Mais finalement, tous les modes de gestion se valent, l essentiel reste la manière dont ils sont mis en œuvre. On évoque souvent le terme «co-gestion» pour qualifier un bon partenariat. Mais l on ne peut pas sans cesse co-gérer : «on ne co-gère pas le beefsteak de son boucher, on l achète!». Laurent DJEZZAR Avant même l apparition du décret du 14 mars 2005, beaucoup de collectivités avaient déjà défini des indicateurs. Mais depuis le 1 er janvier 2006, le décret s applique à tous les délégataires. Et l avenant au contrat est une bonne opportunité de refaire le point sur les indicateurs. Ma collectivité est de petite taille : je ne dispose que de 3 personnes pour le suivi des délégations. Paul BILLAUDEAU De mon point de vue, il revient au délégataire de devancer les réponses qu on ne lui a pas posées faute de ressources internes suffisantes. Serge BAYARD Malheureusement, les experts dans ce domaine sont rares et chers, et préfèrent souvent travailler dans le secteur privé que pour le compte de collectivités. Pourtant, les débats entre acteurs public et privé sont assainis lorsque l expertise est externe. Ma collectivité vient de signer une délégation de service public (DSP) de 300 millions d euros (en matière de chauffage urbain), et les seuls coûts de montage atteignent euros. Maud RAFFRAY Fonder un projet DSP sur la seule recherche d économies budgétaires est une erreur. L externalisation moins chère est un mythe : les coûts du pilotage doivent être anticipés, faute de quoi le service sera progressivement abandonné. La Ville de Paris, en déléguant partiellement la gestion de crèches, avait l intention de tester de nouveaux horaires dans les structures afin de répondre à la demande. Cette délégation partielle a en outre créé une saine émulation. Serge BAYARD Une délégation partielle consistant à exercer le même service avec les mêmes outils est très délicate. Le modèle de gestion n en ressort pas optimisé et nous le déconseillons. Conserver la compétence métier pour la collectivité est effectivement un impératif. Comment procéder? 6

7 Paul BILLAUDEAU A titre d illustration, si une collectivité délègue sa politique de la petite enfance, il lui faut absolument conserver les personnes en interne qui sauront définir les axes stratégiques. A défaut, le dialogue risque d être très difficile. - Encore faut-il savoir expliquer à l élu que le personnel est conservé alors que le service est délégué - Savoir pourquoi l on délègue est vraiment une question clé. A ce sujet, l association Service public 2000 peut fournir un appui, à la fois sur les motivations de la délégation et sur le cahier des charges. - L énorme avantage des SAEM reste le droit de regard du pouvoir public sur les comptes de la société. J entends la vertu d un dialogue équilibré. Mais pour avoir fait l expérience d atterrir au milieu d un vieux contrat, dont la collectivité s était retirée, la reprise du pilotage s apparente davantage à un rapport de forces qu à un dialogue. Serge BAYARD A propos de l intérêt de la délégation, une collectivité délègue avant tout parce que le sujet devient très complexe. Au sujet des compétences, il faut noter qu il ne s agit pas des mêmes pour la phase du cahier des charges que pour la phase de suivi : les équipes sont différentes. Quant aux relations avec les délégataires, pour les avoir vécues avec de grands groupes, je parlerais davantage de respect mutuel que de rapport de forces. Laurent DJEZZAR Le rapport de forces quand il existe est à la hauteur de l abandon du service par la collectivité. Mais à l inverse, si le délégataire s aperçoit que la collectivité reprend le pilotage en main, il en retire parfois une certaine satisfaction. Faut-il se doter de la compétence en interne pour de nouveaux services comme le haut débit? Dans notre collectivité, l équipe projet dans la phase de définition du cahier des charges sur le haut débit a compté jusqu à 10 personnes. Aujourd hui, autant de personnel ne correspond plus au besoin et les compétences requises pour le suivi de la délégation sont bien différentes. Je suis heureux que l atelier ne soit pas tombé dans l angélisme sur la relation entre déléguant et délégataire. Les rapports de force existent incontestablement. Aux parties d en prendre conscience et de s en servir pour justement bâtir la confiance traduite en actes. La question centrale est celle des expertises à mettre en place en interne ou en externe. En effet, pour piloter avec les exigences passées en revue aujourd hui, une collectivité comme la communauté d agglomération Nice Côte d Azur devrait compter dans chaque métier des compétences techniques, juridiques, financières, une expérience des DSP, des grands groupes, la connaissance des vieux 7

8 contrats, etc. En permanence, nous nous trouvons confrontés à cette question de la mobilisation de ces «moutons à 5 pattes», qu ils soient internes ou externes. 8

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

La fonction achats fonction achats internes extérieur

La fonction achats fonction achats internes extérieur L objectif de la fonction achats est de mettre à la disposition des utilisateurs internes de l entreprise des biens et/ou des services acquis à l extérieur dans les meilleures conditions de prix, de délais,

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions.

La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. Paris, le 4 Février 2013 La Caisse d Epargne dispose depuis plus de vingt

Plus en détail

Questionnaire Entreprises et droits humains

Questionnaire Entreprises et droits humains Membres du Avec & Asset Management Questionnaire Entreprises et droits humains 1 2 Présentation des organisations Le CCFD-Terre Solidaire est la première association française de développement. Elle a

Plus en détail

«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance»

«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance» «La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance» FANAF 2014 Ouagadougou www.theoreme.fr Présentation Max de Font-Réaulx Président de la société Théorème (www.theoreme.fr)

Plus en détail

rojet réussi La garantie d un projet réussi

rojet réussi La garantie d un projet réussi un projet réuss rojet réussi La garantie d un projet réussi Faites des économies Quelle garantie vous rembourse une part importante des sommes versées initialement? Avec Crédit Logement vous ne cotisez

Plus en détail

Rapport technique n 8 :

Rapport technique n 8 : Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions

Plus en détail

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux

Plus en détail

Cahier des charges assistance juridique de l Apur 13 août 2013

Cahier des charges assistance juridique de l Apur 13 août 2013 Cahier des charges assistance juridique de l Apur 13 août 2013 1 Présentation de l Apur 2 1.1 Création, missions 2 1.2 Statuts et membres 2 1.3 Fonctionnement 2 2 Contexte général de la mission 3 3 Prestation

Plus en détail

Textes de référence : articles 223-1, 223-2 et 223-9 du règlement général de l AMF

Textes de référence : articles 223-1, 223-2 et 223-9 du règlement général de l AMF Position AMF n 2009-14 Information financière diffusée par les sociétés en difficulté Textes de référence : articles 223-1, 223-2 et 223-9 du règlement général de l AMF L Autorité des marchés financiers,

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

Piloter le contrôle permanent

Piloter le contrôle permanent Piloter le contrôle permanent Un cadre règlementaire en permanente évolution L évolution des réglementations oblige les institutions financières à revoir leur dispositif de contrôle Secteur bancaire CRBF

Plus en détail

DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER

DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER Pour les banques, le papier devrait servir à imprimer des billets ; pas à en garder la trace dans

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres. 18 septembre 2012

Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres. 18 septembre 2012 Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres 18 septembre 2012 Sommaire Communiqué de synthèse P. 1 Le projet de regroupement des fonctions support : un projet stratégique P.

Plus en détail

Programme national «très haut débit»

Programme national «très haut débit» Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique

Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique APPEL D OFFRES N 01/2015/IE Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique ACCORD CADRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) ARTICLE 1 OBJET DE L ACCORD CADRE Le présent accord-cadre

Plus en détail

Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique

Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique APPEL D OFFRES N 01/2015/IE Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique ACCORD CADRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) ARTICLE 1 OBJET DE L ACCORD CADRE Le présent accord-cadre

Plus en détail

REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE

REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Un contrôle citoyen avec les entreprises

Un contrôle citoyen avec les entreprises Un contrôle citoyen avec les entreprises mai 2014 2 L objectif du plan d action La grande majorité des entreprises s inscrivent dans une démarche citoyenne et veillent à acquitter correctement leurs impôts.

Plus en détail

La relation des PME avec leurs banques : constats et solutions

La relation des PME avec leurs banques : constats et solutions DOSSIER : Gestion d entreprise 37 La relation des PME avec leurs banques : constats et solutions Olivier AVRIL Gérant Associé d Acting-finances oavril@acting-finances.com 35, rue Arthème Genteur 92150

Plus en détail

60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés.

60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés. Laurent HABIB réunit les agences LIGARIS 1, PLAN CRÉATIF 2 et MINISTÈRE 3 pour créer la 1 ère agence globale indépendante du marché. Une agence de 180 personnes, à 60% digitale, intégrant tous les métiers

Plus en détail

Coût des opérations bancaires

Coût des opérations bancaires Bureau de la consommation Coût des opérations bancaires Coût des opérations bancaires On peut obtenir cette publication sur demande en médias substituts. Communiquer avec le Centre de diffusion de l information

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

Association des Responsables de Copropriété

Association des Responsables de Copropriété Association des Responsables de Copropriété L ARC, Association des Responsables de Copropriété, est une association à but non lucratif (loi de 1901) créée en 1987. Elle est implantée, en 2015, sur plus

Plus en détail

Le mécénat d entreprise

Le mécénat d entreprise Le mécénat d entreprise Ubiqus Paris, le 1 er octobre ] Sommaire Ouverture... 3 Georges CHABIN, Directeur de la communication... Qu est-ce que le mécénat?... 3 Maxine HEBERT, Responsable du Mécénat, société

Plus en détail

Plus de prospects, plus de clients, plus de chiffre d affaires DEVELOPPEMENT COMMERCIAL DES ENTREPRISES

Plus de prospects, plus de clients, plus de chiffre d affaires DEVELOPPEMENT COMMERCIAL DES ENTREPRISES Plus de prospects, plus de clients, plus de chiffre d affaires DEVELOPPEMENT COMMERCIAL DES ENTREPRISES PLUS DE PROSPECTS? De l étude préalable au plan d action, musclez votre organisation commerciale

Plus en détail

Le point de vue de l UNSA

Le point de vue de l UNSA Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise

Plus en détail

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales

Plus en détail

LA GESTION DE LA RELATION CLIENT

LA GESTION DE LA RELATION CLIENT Conquérir un prospect coûte beaucoup plus cher que de fidéliser un client. C est la raison pour laquelle un grand nombre d entreprises orientent leur stratégie autour des services proposés à leurs clients.

Plus en détail

Les leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs

Les leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs Les leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs Synthèse Petit-déjeuner «Démat-finance» Octobre 2012 SOMMAIRE I. LA PERFORMANCE DU PROCESSUS ACHATS FOURNISSEURS 2 II. GRANDS ENSEIGNEMENTS

Plus en détail

TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE

TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS

Plus en détail

Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques!

Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques! Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques! les facteurs exogènes n ont pas un pouvoir explicatif déterminant de l efficacité commerciale d un point de vente «j

Plus en détail

Les basiques du Supply Chain Management

Les basiques du Supply Chain Management V3 - Mai 2011 Les basiques du Supply Chain Management Héritage et évolutions Le concept de Supply Chain est un héritage et une évolution des pratiques logistiques, industrielles et managériales. On y retrouvera

Plus en détail

22 avril 2009. l investissement responsable de la maif

22 avril 2009. l investissement responsable de la maif Charte 22 avril 2009 l investissement responsable de la maif objectifs considération sur l investissement responsable les axes d engagement l investissement responsable de la maif /// Préambule La MAIF

Plus en détail

CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS

CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS Projet de loi no 27 Loi sur l économie sociale Mémoire présenté au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire dans le cadre

Plus en détail

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec

Plus en détail

Réussir sa création d entreprise

Réussir sa création d entreprise Chambre des Experts Comptables du Cœur d Hérault Réussir sa création d entreprise Les conseils de l expert-comptable Support téléchargeable sur : www.cecch.fr CSOEC 2012 Comité Création d Entreprise La

Plus en détail

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance

Plus en détail

MAÎTRISEZ VOTRE PATRIMOINE

MAÎTRISEZ VOTRE PATRIMOINE MAÎTRISEZ VOTRE PATRIMOINE Olifan Group innove dans le domaine du conseil en stratégie patrimoniale et en investissements avec un mode de gouvernance unique en Europe. Olifan Group, première société paneuropéenne

Plus en détail

Sécurisation du patrimoine immobilier associatif et levier de financement d'investissement

Sécurisation du patrimoine immobilier associatif et levier de financement d'investissement Sécurisation du patrimoine immobilier associatif et levier de financement d'investissement Laurent WARNIER, Directeur Conseil Immobilier en charge du secteur associatif Crédit Foncier Immobilier Crédit

Plus en détail

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 Manuel Qualité Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 CIS Valley Manuel Qualité- MAQ_V08 page 1/16 Engagement

Plus en détail

Marketing des territoires : la «french touch»

Marketing des territoires : la «french touch» Marketing des territoires : la «french touch» Présentation pour : Vincent GOLLAIN, Directeur ARD IDF - DADT, Mai 2010 L Agence Régionale de Développement en bref. Nom : Paris Ile-de-France ARD. Adresse

Plus en détail

aux entreprises textiles Le parte n aire dédié www.sc-2.com Mail : commercial@sc-2.com

aux entreprises textiles Le parte n aire dédié www.sc-2.com Mail : commercial@sc-2.com 8 rue des 2 communes 94300 Vincennes, France Fax : +33 (0)1 70 70 21 30 SC-2 accompagne les entreprises textiles en leur apportant ses compétences multiples et significatives acquises au sein d enseignes

Plus en détail

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...

Plus en détail

Comment surmonter le plafond de verre dans la fonction publique?

Comment surmonter le plafond de verre dans la fonction publique? Premier ministre Ministère des Droits des Femmes Ministère de la Réforme de l État, de la Décentralisation et de la Fonction publique Parcours au féminin Comment surmonter le plafond de verre dans la fonction

Plus en détail

Comment préparer une demande de financement

Comment préparer une demande de financement Comment préparer une demande de financement SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Présenter votre entreprise Cibler vos points forts Faire les démarches SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Obtenir des sommes d argent

Plus en détail

ÉVALUATION INTERNE Synthèse des résultats

ÉVALUATION INTERNE Synthèse des résultats Saint-Brieuc le 30 janvier 2012 ÉVALUATION INTERNE Synthèse des résultats Madame, Monsieur, L Association de Protection des Majeurs Côtes d Armor, son groupe de pilotage évaluation interne et moi-même

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte

Plus en détail

B - La lecture du bilan

B - La lecture du bilan 8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé

Plus en détail

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources

Plus en détail

Délibération au Conseil Municipal du lundi 20 février 2012

Délibération au Conseil Municipal du lundi 20 février 2012 Délibération au Conseil Municipal du lundi 20 février 2012 19 Charte projet ''services mobiles sans contact''. Dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de développement de l économie numérique,

Plus en détail

Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse

Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction

Plus en détail

Réforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014

Réforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par

Plus en détail

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre

Plus en détail

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1 Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2 e édition... XXI 1 Définir le tableau de bord...1 1 Quelle définition peut-on donner au vocable tableau de bord?...3 2 Quelle est

Plus en détail

Synthèse du bilan carbone

Synthèse du bilan carbone Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence

Plus en détail

Gestion Participative Territoriale :

Gestion Participative Territoriale : !!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet

Plus en détail

Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance

Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Deux outils d Amélioration Continue en Facilities Management chez Merck Millipore à Molsheim Thèse professionnelle présentée

Plus en détail

RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES

RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES LA GARANTIE DE L AUTOMOBILE LA COMPAGNIE AUTOMOBILE D ASSURANCE ET DE REASSURANCE ASSOCIÉES est une société de souscription et de gestion en assurance et en réassurance qui RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR

Plus en détail

Le Prêt Social de Location Accession PSLA

Le Prêt Social de Location Accession PSLA Le Prêt Social de Location Accession PSLA LES OBJECTIFS Favoriser l accession sociale à la propriété Faciliter le parcours résidentiel Permettre aux ménages à revenus modestes de devenir propriétaires

Plus en détail

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI

Plus en détail

Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint. Actes du Colloque Xerfi

Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint. Actes du Colloque Xerfi Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint Finance emploi relocalisations Actes du Colloque Xerfi Michel Aglietta Eric Bourdais de Charbonnière Jérôme Cazes Louis

Plus en détail

DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR

DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS DE LA BRANCHE PROFESSIONNELLE DE LA PROMOTION CONSTRUCTION OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION

Plus en détail

«Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de

«Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de 1 2 «Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de Copie, seules les références bibliographiques peuvent

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

Études des solutions de financement online. Dossier de presse

Études des solutions de financement online. Dossier de presse Études des solutions de financement online Dossier de presse La première plateforme en ligne de recherche de financements publics et bancaires à destination des dirigeants d entreprise Près de 6 000 aides

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux

atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux RENDU DOCUMENTAIRE 3 - DÉCEMBRE 2014 Sommaire les attentes croisées la synthèse des attentes l étude de potentiel

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET

CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET Février 2010 Fondation Condorcet / Paris Dauphine Bureau B019 - Place du Maréchal de Lattre de Tassigny - 75775 Paris cedex

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Les ressources numériques

Les ressources numériques Les ressources numériques Les ressources numériques sont diverses et regroupent entre autres, les applications, les bases de données et les infrastructures informatiques. C est un ensemble de ressources

Plus en détail

Crédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011

Crédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011 Crédit Consommation Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011 Sommaire Les points clés de la réforme Les changements Notre philosophie de la réforme Les changements Notre philosophie Le crédit : - est

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

Enquête ITIL et la performance en entreprise 2007 CONNECTING BUSINESS & TECHNOLOGY

Enquête ITIL et la performance en entreprise 2007 CONNECTING BUSINESS & TECHNOLOGY Enquête ITIL et la performance en entreprise 0 CONNECTING BUSINESS & TECHNOLOGY CONTEXTE L enquête «ITIL et la gestion de la performance en entreprise» 0 de Devoteam Consulting a permis de recueillir 1

Plus en détail

Document d information n o 1 sur les pensions

Document d information n o 1 sur les pensions Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que

Plus en détail

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération

Plus en détail

«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP

«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP «TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP I. Présentation de l action La Région Rhône-Alpes a lancé en 2007, en partenariat avec l Union régionale des Scop (Urscop),

Plus en détail

GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE

GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE Avril 2013 Sommaire SYNDIC DE COPROPRIÉTÉ 6 FONCTIONNEMENT ET VIE DE LA COPROPRIÉTÉ Quel est son rôle? Comment est rémunéré votre syndic? Les différents acteurs Assemblée Générale

Plus en détail

Le cabinet de conseil 100% e-commerce et relation client multicanale

Le cabinet de conseil 100% e-commerce et relation client multicanale Le cabinet de conseil 100% e-commerce et relation client multicanale La société Fondée par Catherine Barba, Malinea Conseil accompagne depuis 2004 les marques, les enseignes et les e-commerçants dans le

Plus en détail

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS Appel à projet hébergement et accompagnement éducatif MIE JMIE octobre 2014 1

Plus en détail

Exprimer sa reconnaissance

Exprimer sa reconnaissance Atelier - le 30 juin 2010 dans le management au quotidien :, consultante RH Une rencontre organisée par Les principaux besoins par rapport au travail 1 TABLEAU RÉCAPITULATIF SUR LES SIGNES DE RECONNAISSANCE

Plus en détail

Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013

Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves

Plus en détail

Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche

Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet

Plus en détail

Ressources APIE. La comptabilisation des frais de R&D. de l immatériel. Pour agir. En bref. Agence du patrimoine immatériel de l État

Ressources APIE. La comptabilisation des frais de R&D. de l immatériel. Pour agir. En bref. Agence du patrimoine immatériel de l État Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l État La comptabilisation des frais de R&D En bref Des moyens considérables sont alloués par les autorités publiques aux efforts de recherche

Plus en détail

Le Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :

Le Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : Le Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : CHAPITRE I er. Dispositions générales et définitions Article premier Le présent décret règle, en application de l article

Plus en détail

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large

Plus en détail

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de

Plus en détail

La coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence.

La coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence. 1 Une mission «coopération décentralisée» existe depuis 8 ans à l ARENE Île-de-France. Résultat d une délibération sur l action internationale votée par la Région Île-de-France souhaitant que celle ci

Plus en détail

26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général

26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général 26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement

Plus en détail

Améliorer l efficacité de votre fonction RH

Améliorer l efficacité de votre fonction RH Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes

Plus en détail