UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE
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- Gauthier Landry
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1 UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE V CONCEPTS ET LANGAGES EA 3559 RATIONALITÉS CONTEMPORAINES T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE Discipline/ Spécialité : PHILOSOPHIE Présentée et soutenue par : Krystèle APPOURCHAUX le : 12 décembre 2012 LE LIBRE ARBITRE AU RISQUE DES NEUROSCIENCES : L apport d une neurophénoménologie de l attention. Sous la direction de : M. Jean-Michel BESNIER Professeur, Université Paris-Sorbonne (Paris IV) JURY : M. Jean-Michel BESNIER Professeur, Université Paris-Sorbonne (Paris IV) M. Jérôme GOFFETTE Maître de Conférences, Université Claude Bernard (Lyon 1) M. Maximilian KISTLER Professeur, Université Panthéon Sorbonne (Paris I) M. Pascal LUDWIG Maître de Conférences, Université Paris-Sorbonne (Paris IV) Mme Claire PETITMENGIN Professeur, Institut Télécom (TEM)
2 Position de thèse Ce travail de thèse est né d une interrogation sur la pertinence des récentes avancées neuroscientifiques pour la définition du concept philosophique de libre arbitre. Nous examinons dans une première partie la menace que constitue le déterminisme causal pour le concept de libre arbitre. En effet, la démarche scientifique, qui vise à identifier des régularités au sein des phénomènes, semble avoir comme fondement le principe du déterminisme causal. Bien que le déterminisme rigide issu de la physique classique soit aujourd hui remis en question par la découverte d une indétermination au sein des phénomènes quantiques, le déterminisme causal constitue néanmoins un cadre prédominant puisqu il guide l acquisition de nos connaissances. Le premier chapitre s attache donc à étudier le débat contemporain concernant la compatibilité du libre arbitre et du déterminisme causal, en effectuant une conceptualisation précise de chacun de ces termes. Cet examen nous amène à défendre une position compatibiliste, le déterminisme causal en lui-même ne remettant pas en question, selon nous, le concept de libre arbitre, bien qu il soit alors nécessaire d évacuer l idée qu un agent puisse constituer la source ultime de ses actes. Nous examinons dans une deuxième partie la menace, liée aux neurosciences contemporaines, que constitue pour le libre arbitre l épiphénoménalisme de la conscience, c est-à-dire la conception selon laquelle la conscience ne serait que la conséquence du fonctionnement neuronal, mais ne jouerait aucun rôle causal sur ces mécanismes neuronaux sous-jacents. Nous tentons d esquisser une critique des thèses allant dans le sens de cet épiphénoménalisme, en montrant que ce type d interprétations des résultats expérimentaux est lié en dernière instance à la conception métaphysique qui est adoptée concernant la relation de l esprit et du cerveau. Après avoir recensé les différentes conceptions de cette relation, nous
3 montrons qu une «théorie du double aspect» permet de prendre en considération la complexité de l expérience humaine sans en évacuer aucun pan a priori, et nous défendons par conséquent cette position qui conduit à considérer à la fois les données obtenues «en troisième personne», c est-à-dire les données concernant les états cérébraux étudiés en tant qu objets, ainsi que les données «en première personne», faisant référence au vécu des sujets. Les expériences menées par Benjamin Libet dans les années 1980 sur le mouvement volontaire, ainsi que les expériences plus récentes qui réactualisent le protocole de Libet, sont examinées à la lumière de cette conceptualisation préalable. Bien que ces expériences semblent appuyer l épiphénoménalisme de la conscience, nous montrons qu un certain nombre de critiques conduisent à relativiser ces conclusions : en effet, les données expérimentales, bien qu identifiant les précurseurs inconscients de nos intentions conscientes, permettent néanmoins de concevoir la spécificité de celles-ci, nos intentions conscientes pouvant jouer un rôle causal à part entière au sein de l enchaînement déterministe des causes et des effets, ce qui leur permettrait ainsi d échapper au simple statut d épiphénomènes. La théorie défendue par le psychologue Daniel Wegner est également examinée, en ce qu elle constitue un type particulier d épiphénoménalisme, que le philosophe Eddy Nahmias nomme «épiphénomalisme modulaire». Selon cette théorie, la volonté consciente ne serait qu une illusion et ne constituerait pas la cause réelle de nos actions, mais un simple mécanisme nous permettant d inférer rétrospectivement un lien causal fondé sur les trois conditions que Wegner nomme, en faisant référence à la théorie humienne de la causalité, les conditions de priorité, de cohérence et d exclusivité. Cependant, nous montrons que les données expérimentales actuellement disponibles ne permettent pas d appuyer la théorie de Wegner puisque, selon ces données, nos intentions conscientes seraient bien en partie des préconstructions, et pas seulement des reconstructions a posteriori des causes de l action.
4 Nous retenons néanmoins de cette théorie la notion d «interprétation consciente fictionnelle», également appuyée par la psychologie expérimentale, selon laquelle le cerveau fonctionne de manière à produire des rationalisations conscientes de nos actions qui ne correspondent pas nécessairement à l identification de leurs causes réelles. Nous considérons dans une troisième partie les implications de ces limites de la conscience pour les notions de «contrôle» et de «soi», en étudiant les mécanismes inconscients mis en évidence par les neurosciences contemporaines, notamment à travers les expériences de Lionel Naccache et de Stanislas Dehaene sur l «inconscient cognitif». Celles-ci mettent au jour l étendue des processus cognitifs qui opèrent au-dessous du seuil de la conscience, ce qui retentit sur la notion d un soi conscient entièrement maître de ses actes, et relativise l étendue du contrôle que nous pouvons exercer sur nos actions. Nous faisons le parallèle entre l inconscient cognitif et l inconscient psychanalytique, en montrant leurs similarités ainsi que leurs divergences, afin d étudier ce que cette confrontation peut apporter à une théorisation de l action volontaire, qui passe nécessairement par une étude précise de ce qui définit un agent. Nous montrons que la prise en compte des processus inconscients conduit à considérer le soi comme une entité profondément plurielle, mais que cette pluralité peut être dépassée si nous redéfinissons le soi comme un «soi étendu» aux processus inconscients qui nous constituent également en tant qu organismes biologiques. Cette redéfinition de l agent comme une entité qui doit réintégrer et faire siens les processus inconscients qui l influencent nous amène, dans une quatrième partie, à montrer l intérêt qu il pourrait y avoir, pour notre sujet, à développer une démarche neurophénoménologique. Ce courant initié par Francisco Varela permettrait en effet de donner à la fois un nouvel éclairage sur l étude expérimentale de la prise de décision, mais également de concevoir une définition du libre arbitre comme liberté d auto-détermination qui soit en accord avec les données issues des neurosciences.
5 En mettant l accent sur la prise en considération conjointe des données en première et en troisième personne, la démarche neurophénoménologique pourrait nous conduire à reprendre et améliorer le protocole expérimental utilisé par Libet, en recueillant une description plus précise de ce que vivent les sujets, et en corrélant cette description aux résultats expérimentaux. Ceci permettrait de développer notre connaissance théorique de la prise de décision volontaire. Mais nous montrons également que la démarche neurophénoménologique, par l entraînement des capacités attentionnelles qu elle suppose, permet de penser une définition du libre arbitre comme apprentissage, c est-à-dire comme la capacité qu a l être humain de développer, de manière longitudinale, la maîtrise de ses capacités attentionnelles. Cette intuition concernant l importance de l attention pour une redéfinition du libre arbitre à la lumière des neurosciences contemporaines est selon nous appuyée par l étude neuroscientifique des mécanismes attentionnels ainsi que par les expériences qui montrent l intérêt de l utilisation des techniques de redirection de l attention, telles que la méditation ou l hypnose, à des fins thérapeutiques. Nous concluons ainsi sur ce que le concept de libre arbitre perd en teneur métaphysique au vu des récentes découvertes, et notamment sur l abandon de la notion d un soi conscient tout-puissant se situant en-dehors du monde phénoménal, qui pourrait être, à l occasion d actions réellement libres, l initiateur d une nouvelle chaîne causale. Les théorisations incompatibilistes concevant l existence d une seconde forme de causalité, la causalité de l agent, sont ainsi évacuées au profit d une réintégration de l agent au sein des phénomènes naturels, tout en accordant un réel rôle causal à la conscience dans l enchaînement déterministe des causes et des effets. Néanmoins, le libre arbitre n est pas évacué, puisqu il trouve aujourd hui une assise scientifique : sous la forme minimale du contrôle de soi, qui est en accord avec les données issues des neurosciences et les différentes modélisations du contrôle exécutif ; mais également sous la forme plus fondamentale de cette
6 capacité à maîtriser nos capacités attentionnelles afin de faire advenir à la conscience des processus qui restent habituellement de l ordre du «pré-réfléchi» bien que faisant partie intégrante de notre «soi étendu», et qui sont par conséquent constitutifs d une nouvelle définition de l agent. Cette forme d apprentissage pourrait selon nous être considérée comme ce que Robert Kane a nommé les libertés d auto-détermination et d auto-formation. Il ne s agit dès lors pas d une capacité absolue donnée de manière inconditionnelle aux êtres humains et les rendant responsables de leurs actes, mais d une capacité relative qui s étend avec la pratique d un apprentissage. Seul le développement de cette capacité permettrait d accomplir ce qu Harry Frankfurt théorise sous la forme d une unification du vouloir, bien que cette unification ne passe pas seulement par l unification des désirs de premier et de second ordre, comme le pensait Frankfurt, mais également par l unification des processus conscients et inconscients. D autre part, cette maîtrise de nos capacités attentionnelles permettrait d aller plus loin en modifiant, par l extension de notre champ d expérience, des caractéristiques fondamentales de notre personnalité, nous conduisant à développer une réelle liberté d autoformation. L aboutissement de ce travail nous a ainsi permis de concilier les récentes avancées faites en neurosciences avec la possibilité du libre arbitre, en surmontant les obstacles du déterminisme causal et de l épiphénoménalisme de la conscience. Mais il nous a également permis de redéfinir le soi afin d y intégrer les processus inconscients qui sont à l œuvre dans la prise de décision et qui semblent relativiser l étendue du contrôle que nous pouvons exercer sur nos actions, tout en permettant à l agent ainsi conceptualisé d exercer une réelle liberté d auto-détermination et d auto-formation passant par la maîtrise de ses capacités attentionnelles.
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