MEMOIRE DE FIN D ETUDES SUR LE THEME :
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- Albert St-Amand
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1 MEMOIRE DE FIN D ETUDES SUR LE THEME : DECENTRALISATION ET DEVELOPPEMENT LOCAL : EVALUATION DU PROGAMME D APPUI AU DEVELOPPEMENT LOCAL URBAIN (PADELU) DANS LA COMMUNE D ARRONDISSEMENT DE THIAROYE SUR MER Présenté par : EDOUARD NDECKY Sous la direction de : M. Amadou DIOP Dr MAME CHEIKH NGOM Maître de Conférences Secrétaire municipal CATSM Année universitaire :
2 DEDICACE A mon oncle Paul MALOU arraché à notre affection pendant que nous faisions ce travail. Qu il repose en paix. A ma famille, mon épouse Bélise et mes enfants Paul Christophe Cécilien et Roseline Edouarda. REMERCIEMENTS Qu il me soit permis de dire ici toute ma reconnaissance à : M. Amadou DIOP, directeur du master et à travers lui, tout le corps professoral ; M. Ndiaga NIANG, maire de la commune d arrondissement de Thiaroye sur mer ; M. Mame Cheikh NGOM, secrétaire municipal de la commune d arrondissement de Thiaroye sur mer pour son encadrement et sa générosité ; L ensemble de mes collègues, pour la pierre que chacun a apporté à l édifice, sans oublier mon ancien directeur et "camarade de classe", M. Ousmane NDIAYE, pour sa collaboration et son humilité ; Mes frères et sœurs, particulièrement Henri pour ses conseils et ses encouragements ; L ensemble des personnes qui m ont facilité la collecte de donnés. 2
3 LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS CA : Commune d Arrondissement CAE : Cellule d Animation Economique CATSM : Commune d Arrondissement de Thiaroye sur Mer CCDE : Comité Communal de Développement Economique CNCAS : Caisse Nationale de Crédit Agricole du Sénégal CREE : Créer son Entreprise DAO : Dossier d Appel d Offres DCL : Direction des Collectivités Locales DDI : Direction de la Dette et de l Investissement FED : Fonds Européen de Développement GA : Groupement d Affaires GERME : Gérer Mieux son Entreprise GIE : Groupement d Intérêt Economique GPF : Groupement de Promotion Economique ICS : Industries Chimiques du Sénégal MAEU : Micro Activités Economiques Urbaines MOS : Maître d œuvre Social MOT : Maître d œuvre Technique MPE : Micro et Petite Entreprise OCB : Organisation Communautaire de Base ONUDI : Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel PADELU : Programme d Appui au Développement Local Urbain PAPES : Projet d Appui aux Petites Entreprises du Sénégal RN1 : Route Nationale numéro 1 SAR : Société Africaine de Raffinage SCM : Société de Cautionnement Mutuel SLEC : Savoir Lire et Ecrire TDR : Termes De Référence UCD : Unité Communale de Développement 3
4 INTRODUCTION GENERALE Depuis la chute du mur de Berlin en 1989 et la fin de la guerre froide, le monde est devenu unipolaire avec pour doctrine la Démocratie. Et qui dit démocratie, dit la loi du grand nombre d où la nécessité de la participation de tous. Dans un tel contexte, la Décentralisation s avère incontournable comme politique de gestion des Etats. Et cela, le président français, François Mitterrand l avait très tôt vu venir, en atteste cette adresse au Conseil des Ministres du 15 juillet 1981 : «La France a eu besoin d un pouvoir fort et centralisé pour se faire. Elle a aujourd hui besoin d un pouvoir décentralisé pour ne pas se défaire». Le Sénégal n est pas en reste, il avance sur cette voie de la décentralisation depuis longtemps lentement mais sûrement. Cependant, la décentralisation n est pas une fin en soi, elle a pour but le développement des collectivités territoriales. Un vaste chantier qui nécessite des ressources humaines bien formées. Le master en Aménagement du territoire, Décentralisation et Développement Local trouve bien sa justification dans un tel contexte. Aussi, le Programme d Appui au Développement Local Urbain (PADELU) mis en œuvre au Sénégal entre 2000 et 2007 n avait-il pas les mêmes ambitions? Il avait une démarche innovante qui responsabilise les communes bénéficiaires. C est ainsi qu elles ont assuré la maîtrise d ouvrage de toutes les infrastructures qui ont été réalisées. Cela a été rendu possible par l option de l appui budgétaire utilisée par le programme. Les fonds passaient par le trésor public et étaient pris en compte dans le budget de la commune bénéficiaire. Pour relever le pari de cette innovation, le PADELU avait mis à la disposition de chaque commune un maître d œuvre technique pour le suivi de la réalisation des infrastructures et un maître d œuvre social pour assurer l appropriation du programme par les populations bénéficiaires et prendre en charge la gestion et l entretien des infrastructures. Des opérateurs qui ont été recrutés par les communes elles-mêmes. Mais aussi, le PADELU a assuré, à travers plusieurs sessions de formation et séminaires, le renforcement de capacités des agents des services techniques communaux. Poursuivant toujours son objectif de lutte contre la pauvreté, le PADELU a mis œuvre le volet Micro Activités Economiques Urbaines qui vise la création d emplois et de revenus pour les bénéficiaires. La commune d arrondissement de Thiaroye sur mer figure parmi les communes bénéficiaires du programme. Côté infrastructures, grâce au PADELU, la commune a pu 4
5 répondre au besoin exprimé par les populations avec la construction d une maternité doublée du logement de la sage-femme et une maison de la femme pour un coût global de plus de cent millions de francs CFA. Bénéficiaire également du volet MAEU, la commune a pu mettre en réseaux ses nombreux acteurs sur le plan socio-économique et renforcer leurs capacités. Il était important pour nous d en savoir plus sur ce programme qui est un terrain approprié d expérimentation des enseignements de ce master et une occasion pour la commune de faire le point sur ce programme. 5
6 PROBLEMATIQUE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Le Sénégal a une longue tradition de décentralisation qui remonte à la période de la colonisation avec la création des quatre communes à Saint Louis et Gorée en 1872, à Rufisque en 1880 et à Dakar en Différentes étapes ont ponctué ce processus depuis l accession du pays à la souveraineté internationale en Nous pouvons citer parmi les plus marquantes : - l élargissement de la décentralisation au monde rural en 1972 par la création des communautés rurales par la loi du 19 avril 1972; - l uniformisation du statut des communes en 1990 (par la loi du 09 octobre 1990) qui deviennent toutes de droit commun et le transfert de la gestion du budget de la communauté rurale du sous-préfet au président du conseil rural ; - la régionalisation doublée du transfert de compétences aux collectivités locales dans neuf domaines par les lois du 22 mars 1996 et l institution d un contrôle allégé dit de simple légalité. Il apparaît donc que le Sénégal est dans l optique d une politique de décentralisation progressive, prudente, mais irréversible. La politique de décentralisation a cependant pour objectif, le développement local. Or, il est établi que ce dernier ne pourra être atteint que par la démarche de projets, en particulier, les projets structurants. Mais face à la modicité des ressources des collectivités locales, l Etat du Sénégal, de concert avec ses partenaires a élaboré et mis en œuvre des projets et programmes de développement local dès 1998 parmi lesquels nous pouvons citer : - le Programme d Appui aux Régions (PAR) ; - le Programme d Appui aux Communes (PAC), financé par la Banque Mondiale. Il est exécuté en trois phases : PAC1, PAC2, PAC3 par l intermédiaire de l Agence de Développement Municipal (ADM) ; - la Programme National d Infrastructures Rurales (PNIR), financé par la Banque Mondiale ; - l Agence du Fonds de Développement Social (AFDS) financée par l Association Internationale pour le Développement (AID) ; 6
7 - le Programme National de Développement Local (PNDL), fruit de la synthèse du PNIR et de l AFDS est un ambitieux programme financé par la Banque Mondiale et l Etat du Sénégal à hauteur de 100 milliards de francs CFA ; - le Programme de Renforcement et d Equipement des Collectivités Locales (PRECOL) sur financement de l Etat du Sénégal, de la Banque Mondiale et de l Agence Française de Développement (AFD) ; - le Programme de Soutien aux Initiatives de Développement Local (PSIDEL) destiné aux communautés rurales et financé par l Union Européenne ; - le Programme d Appui à la Décentralisation en Milieu Rural (PADMIR) fonctionne sur financement du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), du Fonds d Equipement des Nations Unies (FENU) et de la Coopération Luxembourgeoise ; - le Projet de Promotion des Communautés Rurales (Pro-CR) intervenant dans le bassin arachidier sur financement de la Coopération Allemande (GTZ/KFW) ; - le Programme d Appui à la Décentralisation et au Développement Local (PRODDEL) qui a pris le relais du Pro-CR. A ceux-là s ajoute entre autres, le Programme d Appui au Développement Local Urbain (PADELU) qui était le pendant du PNIR en milieu urbain. Il est mis en œuvre entre 2001 et 2007 et a donné le relais au Programme d Appui au Développement des Collectivités Locales (PADEC/PADELU). Le PADELU est un important programme national d un financement de 6,2 milliards de francs CFA (9,5 millions d euros) de l Union Européenne dans le cadre du huitième Fonds Européen de Développement (8 ème FED) qui a été mis en oeuvre dans 17 Communes et communes d arrondissement parmi lesquelles la commune d arrondissement de Thiaroye sur mer, objet de notre étude. Thiaroye sur mer fait partie des communes de la deuxième génération et a mis en œuvre le programme entre 2003 et 2007 avec un important volet infrastructures à travers la construction d une maison de la femme pour un coût de F et une maternité avec le logement de la sage-femme d un coût de F et un volet communication et renforcement de capacités non moins important qui a permis à la commune d arrondissement de mener à bien la maîtrise d ouvrage de ce programme. Un troisième volet qui est aussi d une grande importance, c est le volet Micro Activités Economiques Urbaines (MAEU) mis en œuvre par le Projet d Appui aux Petites Entreprises du Sénégal (PAPES/ONUDI) et qui a consisté à l encadrement des Groupements d Affaires (GA) de la CA pour qu ils puissent bénéficier de financements à 7
8 la Caisse Nationale de Crédit Agricole du Sénégal (CNCAS) grâce à un fonds de garantie de 340 millions de francs CFA qui y est logé par le PADELU. Deux ans après la fin de la mise en œuvre, que reste-il du programme PADELU? Qu en est-il de la fonctionnalité des infrastructures que le programme a aidé à réaliser, au regard du mode de gestion préconisé? L entretien de ces infrastructures obéit-il au guide édicté par le programme? Est-ce que la responsabilisation de la CA à travers la maîtrise d ouvrage a favorisé une plus grande appropriation des infrastructures par les populations? Le volet MAEU a-t-il permis aux groupements de la CA de mener des activités génératrices de revenus afin de lutter contre la pauvreté? Quel est le résultat de ces activités économiques menées par les groupements d affaires. Voila un ensemble de questions qui, si elles sont bien répondues, permettront d avoir une idée précise de l apport du PADELU dans la CATSM. 2. LES OBJECTIFS DE RECHERCHE Objectif général : L objectif général de cette étude est d évaluer l impact de la mise en œuvre du PADELU dans la vie de la commune d arrondissement de Thiaroye sur mer. Objectifs spécifiques : Pour mesurer l impact du PADELU dans la CA de Thiaroye sur mer, nous nous intéresserons particulièrement à: 1- Evaluer la fonctionnalité et le système de gestion et d entretien des infrastructures mises en place dans le cadre du PADELU à la lumière des guides de gestion et d entretien édités par le programme. 2- Evaluer le système mis en place par le PAPES/ONUDI dans le cadre du volet MAEU et les activités menées par les groupements d affaires bénéficiaires du crédit CNCAS. 3. LES HYPOTHESES DE RECHERCHE Hypothèse principale : 8
9 La mise en œuvre du PADELU dans la CA de Thiaroye sur mer a eu un impact positif pour la commune. Hypothèse secondaire 1 : La communication et le renforcement de capacités par le PADELU ont permis la mise sur pied d un système performant de gestion, de maintenance et d entretien des infrastructures et équipements de la commune. Hypothèse secondaire 2 : A travers les MAEU, le PADELU a permis aux groupements d affaires de créer de la richesse et de lutter contre la pauvreté. 4. DISCUSSION CONCEPTUELLE Dans le souci de lever toute ambiguïté et de faciliter la compréhension des termes clés de cette étude, nous rappelons ici l acception qu il faut en avoir dans ce contexte. Décentralisation : Les échecs répétés des politiques de centralisation et les crises de gouvernabilité qui s ensuivirent ont précipité le processus de transformation du paysage institutionnel et consacré la décentralisation. La décentralisation en Afrique de l Ouest prend son essor dans les années 1990 avec des réformes institutionnelles profondes. D après le Toupictionnaire 1, «la décentralisation est une politique de transfert des attributions de l Etat vers les collectivités territoriales ou des institution publiques pour qu elles disposent d un pouvoir juridique et d une autonomie financière. Le transfert de ces attributions, qui restent néanmoins sous la surveillance de l Etat, permet à ce dernier de décharger ses administrations centrales et de confier les responsabilités au niveau le plus adapté.» Elle est entendue ici comme une option politique par laquelle, l Etat délègue un certain nombre de ses prérogatives à des collectivités locales. Le pouvoir de décision, naguère exercé par l Etat dans la conduite de certaines activités au niveau local est donné à des personnes publiques élues par les administrés au sein d une collectivité territoriale déterminée. Ainsi, le pouvoir de décision est détenu par les entités émanant de la volonté populaire et non par des agents ou des personnalités nommées par le pouvoir central. 1 Dictionnaire multimédia, disponible sur 9
10 La décentralisation vise à donner aux collectivités locales des compétences propres, distinctes de celles de l'état, à faire élire leurs autorités par la population et à assurer ainsi un meilleur équilibre des pouvoirs sur l'ensemble du territoire. La décentralisation rapproche le processus de décision des citoyens, favorisant l'émergence d'une démocratie de proximité. Ceci, pour mettre en pratique le principe de subsidiarité qui veut qu une responsabilité soit exercée par le plus petit niveau d'autorité publique compétent pour résoudre le problème. C'est donc, pour l'action publique, la recherche du niveau le plus pertinent et le plus proche des citoyens. Il conduit à ne pas faire à un échelon plus élevé ce qui peut être fait avec la même efficacité à un échelon plus bas. Le niveau supérieur n'intervient que si le problème excède les capacités du niveau inférieur (principe de suppléance). Le Petit Larousse 2 définit la décentralisation comme étant un système d organisation des structures administratives de l Etat qui accorde des pouvoirs de décision et de gestion à des organes autonomes régionaux ou locaux (collectivités locales, établissements publics). La décentralisation consiste donc en un transfert de responsabilités ou de compétences et de ressources du pouvoir central à des autorités ou collectivités sous nationales relativement indépendantes et autonomes et responsables devant le citoyen et l état central. Elle a été marquée au Sénégal par le transfert de compétences, en 1996, dans 9 (neuf) domaines aux élus et l érection de la Région comme collectivité territoriale depuis cette date. La décentralisation permet d améliorer la participation des populations dans le processus décisionnel. Sur le plan économique et social elle peut rendre plus efficiente et plus efficace la mise en œuvre des politiques publiques locales; La décentralisation crée les conditions pour l émergence d une gouvernance territoriale qui a pour objectif le développement local. Développement local : L émergence du local trouve ses racines dans les années et a une signification du rejet du pouvoir central et apparaît comme une réponse à la mondialisation. «Le développement local est l expression de la solidarité locale créatrice de nouvelles relations sociales et manifeste la volonté des habitants d une micro-région de valoriser les richesses locales, ce qui est créateur de développement économique» 3. 2 Le Petit Larousse JL Guigou, colloque de Poitiers sur le thème du développement local 1983 p3 10
11 Un projet de développement local est un projet qui s efforce de changer la situation d un territoire. Pour la DATAR 4 le développement local est «La mise en œuvre le plus souvent, mais pas exclusivement, dans un cadre de coopération communale, d un projet global associant les aspects économiques, sociaux, culturels du développement». Généralement initiée par des élus locaux, un processus de développement local s élabore à partir d une concertation large de l ensemble des citoyens et des partenaires concernés et trouve sa traduction dans une maîtrise d ouvrage commune. Pour Xavier Greffe «Le développement local est un processus de diversification et d enrichissement des activités économiques et sociales sur un territoire à partir de la mobilisation et de la coordination de ses ressources et de ses énergies. Il sera donc le produit des efforts de sa population, il mettra en cause l existence d un projet de développement intégrant ses composantes économiques, sociales et culturelles, il fera un espace de contiguïté, un espace de solidarité». A travers ces définitions, nous notons que le développement local ne se limite pas seulement aux aspects économiques mais tient compte des aspects sociaux et culturels. Il nécessite la mobilisation de la population locale autour du projet et l utilisation des ressources locales. Il s organise autour du triptyque territoire, acteurs et gouvernance territoriale. Le couplage des deux termes «développement» et «local» appelle l articulation de deux caractéristiques essentielles : la durée qui doit marquée toute démarche de développement, et l espace, c est-à-dire le territoire local concerné par cette démarche. Il a été défini par Jacqueline MENGIN 5 comme «une intervention structurée, organisée, à visée globale et continue dans un processus de changement des sociétés locales en proie à des déstructurations et des restructurations» L aspect durabilité a amené les auteurs à parler de développement durable défini dans le rapport Brundlandt «Our Common Future» publié en 1987, comme «un développement répondant aux besoins actuels sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs.» 4 Délégation à l Aménagement du Territoire et à l Action Régionale 5 MENGIN (J),Guide du développement local, l Harmattan,
12 Partant de cette définition, le développement durable se caractérise par trois principes fondamentaux : La responsabilité des générations actuelles envers les générations futures La gestion rationnelle des ressources naturelles L équivalence des intérêts sociaux, écologiques et économiques Mais la définition qui correspond le mieux à notre contexte d étude est celle de LONGHI 6 selon laquelle «le développement local est un mouvement ascendant, un processus de développement reposant sur une démarche de mobilisation des acteurs d une zone géographique donnée, désireux de prendre en charge leur avenir autour de projets autonomes». Appui budgétaire : Il consiste pour un partenaire au développement à accepter que son concours financier (investissements retenus) soit inscrit dans le budget de la collectivité locale bénéficiaire et que les dépenses soient exécutées conformément aux règles de la comptabilité publique nationale. Ainsi, le financement s effectue à travers les circuits du Trésor Public pour assurer une meilleure traçabilité des dépenses. De manière plus générale, «l appui budgétaire est une modalité de mise en oeuvre de l aide au développement qui consiste à apporter des aides financières aux Trésors des pays bénéficiaires. Ces aides permettent d augmenter les ressources de l État bénéficiaire pour exécuter son propre budget selon ses propres procédures» 7. Maîtrise d ouvrage : On appelle maître d'ouvrage (parfois maîtrise d'ouvrage, notée MOA) l'entité porteuse du besoin, définissant l'objectif du projet, son calendrier et le budget consacré à ce projet. Le résultat attendu du projet est la réalisation d'un produit, appelé ouvrage. La maîtrise d'ouvrage maîtrise l'idée de base du projet, et représente à ce titre les utilisateurs finaux à qui l'ouvrage est destiné. Ainsi, le maître d'ouvrage est responsable de l'expression fonctionnelle des besoins mais n'a pas forcément les compétences techniques liées à la réalisation de l'ouvrage. Dans le cadre du PADELU, la maîtrise d ouvrage est assurée par les collectivités locales que sont les communes, une manière pour le programme de les responsabiliser pleinement. 6 Longhi Ch.,Spindler J., 2000, Le développement local, L.G.D.J., Coll. Politiques Locales, Paris. 7 L appui budgétaire «Et si on essayait le respect et la confiance» Louis Michel Communautés européennes,
13 Maîtrise d œuvre sociale : La maîtrise d œuvre sociale est un concept innovant qui a vu le jour au Sénégal avec l avènement du PADELU. Le Maître d œuvre Social (MOS) est une personne physique ou morale chargée de la vulgarisation, la sensibilisation et l implication des acteurs au processus d appropriation et d entretien des infrastructures mises en place. «A l image du Maître d œuvre Technique (MOT) qui est le réceptacle de toutes les considérations techniques au cours de la construction d une infrastructure, le MOS est le réceptacle de toutes les préoccupations d ordre social dans le cadre de la réalisation de l infrastructure» 8. Le MOS a principalement un rôle de facilitateur du processus d ingénierie sociale à jouer pour que la finalité de l ouvrage puisse correspondre aux attentes des bénéficiaires. 5- APPROCHE METHOLOGIQUE 5-1. La revue documentaire Cette phase a commencé dès le choix du thème et s est déroulée en deux étapes. Dans un premier temps, l objectif était d approfondir les concepts qui font le contour de notre question de recherche tels la décentralisation, le développement local, la gouvernance, la proximité, le jeu des acteurs etc. Pour ce faire, nous avons exploité les ouvrages qui était à notre disposition dont principalement : «Développement local, gouvernance territoriale : Enjeux et perspectives» de A. Diop; «Economie de proximité» de Pecqueur B. et Zimmermann J. B. ; «Les acteurs, ces oubliés du territoire» de Hervé Gumuchian, Eric Grasset, Romain Lajarge, Emmanuel Roux. D autre part, pour mieux cerner les attentes des uns et des autres sur notre thème qui porte sur l évaluation du PADELU dans la commune d arrondissement de Thiaroye sur mer, nous avons approché, eu des entretiens et recueilli une documentation technique et pratique auprès des autorités municipales, de la Direction des Collectivités Locales (DCL) et du secrétariat permanent du PADEC/PADELU La collecte de données sur le terrain a) Le choix des structures à enquêter 8 Guide pratique d entretien et de maintenance des infrastructures et équipements urbains, PADELU, Décembre
14 La méthodologie utilisée aussi bien pour le volet infrastructures que pour le volet micro activités économiques urbaines, est un choix raisonné tenant compte de certains acquis. C est ainsi qu en ce qui concerne le volet infrastructures, précisément la maison de la femme, un travail avait été fait par le maître d œuvre social à partir d une base de données (non disponible) d environ 80 groupements de femmes répartis dans cinq unités communales de développement (UCD), un comité de gestion a été mis en place avec 25 femmes dont cinq par UCD. Partant de cet acquis, nous avons accès notre travail de collecte sur le comité de gestion jugé représentatif de tous les groupements de femmes. S agissant du volet micro activités économiques urbaines, notre méthodologie est le prolongement du travail de la cellule d animation économique qui avait fait le recensement de l ensemble des micro entreprises, GIE, réseaux de GIE et ASC. La synthèse de cette base de données est présentée ci-dessous : Tableau N 1 : Base de données des MPE de la CATSM MPE Micro entreprises/ OCB/ASC GIE et réseaux ateliers Nombre Source : Rapport d exécution technique du PAPES juin 2007 A partir de cette base de données, la cellule d animation économique, sur la base de critères et de concert avec les autorités municipales, a sélectionné 10 groupements d affaires (GA) qui devaient constituer la première vague de projets à financer. Il faut cependant préciser que ces GA sont des réseaux constitués de plusieurs GIE ou micro entreprises. Pour exemple, le GA des menuisiers regroupe les 18 ateliers de menuiserie recensés dans la base de données. Cela nous a amenés à considérer ces GA que nous avons enquêtés. b) Les instruments de collecte utilisés En ce qui concerne aussi bien le volet infrastructures du programme que le volet micro activités économiques urbaines (MAEU), des guides d entretien ont été utilisés pour collecter des informations auprès de certaines structures et leur offrir ainsi largement la possibilité de s exprimer. Il s agit des autorités municipales, du comité de gestion de la maison de la femme, 14
15 de la sage-femme, du comité de santé, de la société de cautionnement mutuel (SCM), de la fédération des SCM, de l animatrice du PAPES et de l animatrice locale. Par contre les dix groupements d affaires dans le cadre du MAEU ont été enquêtés sur la base de questionnaires Le traitement et l analyse des données Après dépouillement et afin de faciliter l analyse, les données collectées ont été organisées sous forme de tableaux. C est ainsi qu un tableau fait le point sur l utilisation des services offerts par la maternité, un autre livre la situation actuelle des groupements d affaires ou encore le compte d exploitation du groupement des femmes avicultrices qui est présenté afin d appréhender leur niveau de résultat. 15
16 I- PRESENTATION DU PADELU ET DE LA ZONE D ETUDE I-1. THIAROYE SUR MER, UNE COMMUNE ENTRE TRADITION ET MODERNITE I-1.1. Une commune littorale Carte N 1 : Situation de la commune dans la Région La commune d arrondissement de Thiaroye sur mer est une bande d environ 3 km² de terre comprise entre la route nationale N 1 (RN1) et l océan Atlantique. Elle s étire sur 6 km depuis l intersection du boulevard du centenaire de la commune de Dakar avec la RN1 jusqu à la route de l hôpital psychiatrique de Thiaroye. Cette commune de l ouest du département de Pikine est limitée : Au nord par la RN1 du pont de Pikine jusqu à la route de l hôpital psychiatrique de Thiaroye. A l est par la route de l hôpital de Thiaroye et son prolongement jusqu à la mer. A l ouest par le boulevard du centenaire de la commune de Dakar. Au sud par le littoral sud de l océan Atlantique. I-1.2. Les aspects physiques et démographiques 16
17 Au plan topographique, la commune de Thiaroye sur mer est relativement plate avec des sols sableux, par endroit hydromorphes où le maraîchage se pratique toute l année, la nappe phréatique étant à environ six mètres. Au plan démographique ; l évolution de la population se présente comme suit : Tableau N 2 : Estimation de la population de la CA de Thiaroye sur mer Années Nbre d hbts Sources : estimation de la population sénégalaise de 2005 à 2015 DPS janvier 2005 Comme dans toute la périphérie Dakaroise, la population de Thiaroye sur mer s accroît à un rythme soutenu. La population de Thiaroye sur mer est composée en majorité de wolofs, ensuite suivent les poulars et les sérères installés dans le village traditionnel de Mbatal. On note aussi la présence d autres ethnies minoritaires tels que les diolas. I-1.3. La vie économique à Thiaroye sur mer Elle tourne autour de la pêche qui constitue la principale activité économique pour les hommes et principalement les jeunes. C est pourquoi la forte pression sur la ressource halieutique qui a conduit à sa rareté ces dernières années a poussé les jeunes vers l émigration clandestine pour laquelle Thiaroye a payé un lourd tribut en vies humaines. Les femmes quant à elles s activent principalement dans la transformation et la vente de produits halieutiques, mais aussi le petit commerce. Au plan industriel, Thiaroye sur mer est une banlieue à forte concentration industrielle. On y dénombre plus de trente industries allant des industries alimentaires à celles textiles et mécaniques, en passant par les industries chimiques et plastiques. Cependant, ces industries loin d être une source de revenus pour la CATSM, constituent plutôt une source de pollution. I-1.4. Le cadre de vie L habitat 17
18 Carte N 2 : L habitat de la commune Au plan de l habitat, la CATSM présente deux visages : d un côté, nous avons la zone abritant le village originel qui garde l aspect traditionnel avec ses quartiers non lotis et d un autre côté, la zone Est donnant l exemple de zone d habitat régulier et planifié. On y dénombre 11 cités, signe de modernité et d un niveau de vie plus élevé. L environnement Il est fortement pollué par les industries qui sont sur le territoire de la commune d arrondissement ou à proximité. C est le cas de SENCHIM, des ICS ou de la SAR. Ces industries utilisant des produits hautement toxiques constituent une poudrière au milieu des habitations. La pression foncière aidant, les populations occupent des zones qui devaient être interdites à l habitation. C est le cas des emprises des pipe-lines, conduites souterraines d hydrocarbures allant du port de Dakar à la SAR. Un autre problème d environnement de la commune, c est la pollution de la baie transformée en dépotoir d ordures par les populations riveraines. Et quand elles se mélangent à des algues marines qui échouent à une certaine période de l année, le décor n est pas beau à voir. I-1.5. Les infrastructures et équipements de la commune 18
19 Carte N 3 : Les infrastructures et équipements de la commune Maternité + logement Maison de la femme Les infrastructures scolaires La commune compte quatre écoles primaires publiques dont deux dans un état de vétusté avancé. Il se pose également un problème de promiscuité et de suivi des élèves au niveau de ces écoles publiques où la moyenne est de 65 élèves par classe. Aucun établissement public moyen ou secondaire n existe dans la commune ce qui pose un problème de déplacement et de transport aux élèves après la classe de CM². Les établissements privés quant à eux sont plus nombreux mais ne sont pas toujours accessibles aux couches les plus démunies. Il en existe même deux d enseignement secondaires tous établis dans le quartier moderne de Thiaroye Azur mais aussi des écoles privées de type franco-arabe. Il faut noter aussi la présence de deux centres de formation sur le territoire communal. Il s agit du centre d enseignement technique féminin et du Centre National de Formation des Techniciens de Pêche et d Aquaculture (CNFTPA). Les infrastructures sanitaires 19
20 Elles sont constituées de deux postes de santé couplés chacun à une maternité et d une case santé. Ces deux postes de santé se trouvent, l un dans le noyau traditionnel, au quartier Mandiaye Diop et l autre dans le quartier Thiaroye Azur. Ce dernier vient d être complété par une maternité en 2007, grâce à l intervention du PADELU. La commune abrite également l hôpital psychiatrique de Thiaroye qui polarise tout le pays et même la sous région. Il a une capacité de 250 lits et a pour but d assurer des prestations de soins de santé mentale à toutes les populations et à moindre coût. A noter aussi que la commune dispose de deux infrastructures communautaires très modernes, en l occurrence, le foyer des jeunes et la maison de la femme. Cette dernière est construite et équipée dans le cadre du PADELU. I-1.6. L organisation administrative de la CATSM L organisation de l administration communale CONSEIL.MUNICIPAL 3 e ADJOINT 1 ER ADJOINT MAIRE 2 e ADJOINT 4 e ADJOINT Sec. Maire SEC. MUNICIPAL Sec.SM Recettes et fiscalité Administration Générale et Finance Etat Civil Graphique N 1 Organigramme de la CATSM Le conseil municipal est passé de 36 à 56 membres à l occasion de la présente législature. Il est l organe délibérant les décisions devant engager la commune, il est composé de commissions spécialisées qui sont au nombre de huit : -la commission santé ; -la commission éducation ; -la commission environnement ; -la commission pêche ; -la commission halles marchés et patrimoine Jeunesse Sports et loisirs 20
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