FINANCEMENT DE L AGRICULTURE URBAINE ET PERIURBAINE: ETAT DES LIEUX ET STRATEGIES ALTERNATIVES. LE CAS DE L AFRIQUE DE L OUEST FRANCOPHONE 1
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- Amaury Michel
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1 FINANCEMENT DE L AGRICULTURE URBAINE ET PERIURBAINE: ETAT DES LIEUX ET STRATEGIES ALTERNATIVES. LE CAS DE L AFRIQUE DE L OUEST FRANCOPHONE 1 OBJECTIFS DE LA PRESENTATION Présenter un aperçu de l agriculture urbaine en Afrique de l Ouest francophone Analyser la demande et l offre de financement en matière d agriculture urbaine Identifier les difficultés et contraintes du financement de l agriculture urbaine S accorder sur des stratégies alternatives pour un meilleur accès de l agriculture urbaine au financement PLAN DE PRESENTATION Introduction 1. L agriculture urbaine : une activité importante mais méconnue et peu considérée 2. L agriculture urbaine : un secteur si proche et si éloigné des structures de financement Besoins de financement des activités agricoles urbaines Demande de financement Accès au financement Des stratégies de financement orientées vers les réseaux. 3. Contraintes et difficultés d accès au financement 4. Recommandations 5. Approches alternatives de financement 6. Cas pratique : plaidoyer pour l accès au financement des maraîchers de Porto-Novo (Bénin) 1 La présentation s appuie pour l essentiel sur les résultats du projet sous-régional «Financement et Agriculture urbaine. Stratégies alternatives de financement des agriculteurs et agricultrices urbains en Afrique de l ouest francophone» financé par le CRDI et coordonné par l IAGU. Elle s appuie également sur les résultats des activités de plaidoyer effectuées par la Fondation RUAF dans le cadre de l Initiative «From Seed to table» 1
2 INTRODUCTION La question du financement du secteur agricole urbain s inscrit parfaitement dans la problématique du financement du développement en général et celle des petites et moyennes entreprises en particulier. Les professionnels de l agriculture urbaine, comme la plupart des autres acteurs du secteur informel, ont souvent un accès difficile aux services des institutions de financement, en dépit de la prolifération de celles-ci. Aussi, se pose t-il avec acuité plusieurs questions sur le paradoxe ainsi constaté entre le dynamisme de l agriculture urbaine et la frilosité des institutions de financement à lui octroyer des crédits. 1. L AGRICULTURE URBAINE : UNE ACTIVITE IMPORTANTE MAIS MECONNUE ET PEU CONSIDEREE. Dans les villes d Afrique de l ouest, il existe principalement trois systèmes de production agricole mais à des degrés différents. Il s agit de la production végétale, la production animale et la production halieutique. A cela s ajoute d intenses activités de transformation et la commercialisation des produits agricoles dominés en majorité par les femmes. L agriculture mobilise à Dakar (Sénégal) près de chefs d exploitations qui cultivent sur 113 sites de production horticole. La zone des Niayes qui est le site de prédilection des cultures maraîchères au Sénégal assure près de 80 % de la production nationale. A Cotonou (Bénin), le maraîchage reste l activité de production végétale dominante et mobilise plus de 80% des producteurs. On compte parmi les exploitants de nombreux diplômés dits «sans emploi», des déflatés des sociétés d État et des personnes en rupture de scolarité. A Bobo-Dioulasso, l agriculture urbaine joue un rôle important dans le tissu urbain et concerne 7% de la population. Elle se pratique dans 24% des secteurs en milieu urbain. La production maraîchère à Bobo-Dioulasso représente 15% de la production nationale (Traoré 2006). A Porto-Novo (Bénin), l agriculture urbaine occupe près de 13% de la population. Il y a 2976 actifs agricoles et 1332 ménages agricoles selon le Plan de Campagne Agricole ( ). Il y existe une diversité d activités agricoles. La production végétale occupe une superficie d environ 710 ha soit 14% de la superficie totale de la ville. A Nouakchott (Mauritanie), les sites maraîchers représentent les seuls espaces verts de Nouakchott. Les produits issus de l agriculture urbaine constituent les seules sources d amélioration du régime alimentaire pour environ personnes (apport en minéraux et oligo-éléments surtout). L agriculture urbaine assure le revenu de ménages et contribue à la lutte contre la sécheresse et la désertification à travers le développement de l arboriculture. Près de 3670 palmiers et 1464 arbres fruitiers sont dénombrés sur les sites maraîchers (IAGU et Tenmiya, 2007). 2
3 L agriculture urbaine joue un rôle important dans la satisfaction des besoins alimentaires, dans la création d emplois et de revenus et dans la gestion de l environnement à travers des aménagements paysagers et la réutilisation des eaux usées traitées et le recyclage des déchets en compost. Selon Drechsel et al, l agriculture urbaine mobilise au moins 20 millions de personnes en Afrique de l ouest et fournit Selon les périodes, entre 60 et 100% des produits frais périssables en Afrique de l ouest et dans de nombreuses villes, % des légumes périssables consommés sont produits dans les limites de la ville. En dépit de ses fonctions l agriculture urbaine, l agriculture urbaine ne bénéficie pas encore de toute l attention de la part des décideurs politiques. De façon spécifique, les contraintes sont les suivantes : - un manque de considération de l agriculture urbaine dans l élaboration des politiques macro-économiques et sectorielles, - une absence de concertation et de coordination intersectorielle des activités entre les différents acteurs du secteur (producteurs, chercheurs, association de consommateurs, opérateurs économiques, etc.), - une faible prise en compte de l agriculture urbaine dans les instruments de planification urbaine, - une insuffisance de connaissance de l agriculture urbaine et de son potentiel de production par manque de données statistiques et cartographiques fiables, Toutefois, des avancées sont notées depuis quelques années à travers l intervention de la Fondation RUAF mais plusieurs efforts restent encore à faire pour ancrer l agriculture urbaine dans les politiques locales et municipales de développement. Parmi ces avancées, on peut citer : - La mise en place de Plateforme Multi-Acteurs sur l agriculture urbaine dans plusieurs villes, - La création de cellules «Agriculture urbaine» au sein de certaines mairies, - L élaboration de plan stratégique pour le développement de l agriculture urbaine dans plusieurs villes. - La mise en place d arrêtés municipaux destinés à la sauvegarde des espaces à vocation agricole. 2. L AGRICULTURE URBAINE : UN SECTEUR SI PROCHE ET SI ELOIGNE DES STRUCTURES DE FINANCEMENT Besoins de financement des activités agricoles urbaines Les besoins de financement de l agriculture urbaine sont généralement de deux types : Les besoins de fonctionnements constitués des dépenses quotidiennes nécessaires à la conduite de l activité (intrants, matières premières, main d œuvre, etc.); Les besoins d investissements regroupent l ensemble des besoins initiaux de démarrage (acquisition de terre, construction d enclos, aménagements pour l accès à l eau, etc.), de remplacement et d extension. 3
4 Il existe une variabilité des besoins de financement de l agriculture urbaine en fonction des secteurs d activités, de l étendue de celles-ci et de la dimension genre. En comparant la production végétale d avec les productions animale et halieutique, les activités qui viennent en tête, en termes de besoins de financement, sont l élevage et la pêche. En outre, il a été noté que la moyenne des besoins financiers exprimés par les femmes est inférieure à la moyenne des besoins exprimés par les hommes. Demande de financement Malgré l importance des besoins de financement de leurs activités, les producteurs/trices, dans leur grande majorité, n ont jamais demandé de crédit auprès d une structure de financement. Dans une étude conduite par l IAGU dans quatre villes d Afrique de l ouest, le taux d expression d une demande de crédit ne dépasse pas 40%. Il est de 36,92% à Cotonou (40,66% des hommes et 28,20 % des femmes), 15 % à Nouakchott (8% des hommes et 31 % des femmes) et 40% au Sénégal. Les raisons avancées pour expliquer le faible taux de demande de crédit sont, entre autres : - Le manque d information sur les opportunités et les conditions d octroi de crédit. - l absence de garantie, - les lourdeurs administratives dans la constitution des dossiers de financement, - le délai et les fréquences de remboursement des crédits trop courts, - les taux d intérêt souvent élevés, - la crainte des représailles en cas de non remboursement des prêts, - le manque d envie de s endetter, - la faible capacité des producteurs/trices dans le montage de dossiers de crédit, - La longueur du temps de mise à disposition du crédit. Il est à noter que ce sont les hommes qui sont expriment plus de demandes de crédits en dépit de l existence de plusieurs portefeuilles de financement qui ciblent essentiellement les femmes. La plupart des demandes de crédits agricoles sont destinées aux investissements de remplacement et d extension (achat d équipements et de consommables). Accès au financement Dans l offre de financement à l agriculture urbaine, les institutions de micro finance (IMF) sont les plus présentes en raison des facilités d accès et des conditions favorables offertes, notamment par rapport à la garantie. En guise d exemple, la plus grande partie des crédits obtenus par les producteurs/trices de Nouakchott ont été octroyés par les mutuelles et coopératives d épargne et crédit (75 %), les ONG ou les projets étatiques (17 %), les institutions de crédit direct (04%) et les préteurs individuels (04%). Cette situation est généralement la même dans toutes les villes. 4
5 Dans la zone des Niayes (Dakar, Sénégal), l offre de crédits est largement dominée par les mutuelles (89 %). Les banques classiques représentent seulement 7%. Le reste des financements provient des institutions de crédit direct (2%), des ONG (1 %) et des prêteurs individuels (1%). Même, ce sont les IMF qui offrent le plus de financement à l agriculture, le taux de pénétration des activités agricoles y est très faible en comparaison avec les autres activités (commerce, services, etc.). Caractéristiques des crédits octroyés aux producteurs/trices - Les crédits octroyés sont majoritairement de type individuel (par exemple : 57,14% à Nouakchott, 79 % dans la zone des Niayes). Ce choix des institutions de financement n encourage pas la dynamique associative des producteurs et montre bien que l affiliation associative n est pas un facteur d accès aux crédits. Le primat accordé aux crédits individuels incite à réfléchir davantage sur la viabilité économique des regroupements d agriculteurs/trices urbains/nes et leur capacité à être des structures d intermédiation entre leurs membres et les institutions de financement. - Les taux d intérêt des crédits accordés sont généralement élevés. Ils varient entre 3 et 30% avec une moyenne de 16%. - Le délai de remboursement se situe entre 3 et 24 mois avec une moyenne de 12 mois. - Il subsiste un écart moyen de 15 % entre les montants sollicités et ceux octroyés par les institutions de financement. Les crédits octroyés par les IMF, au regard des délais de remboursement et des taux d intérêts fixés, répondent mal à la diversité des besoins de l agriculture urbaine et ne sont pas adaptés aux conditions d exercice de l activité agricole. De façon générale, le taux de pénétration des activités agricoles dans les institutions de financement est faible, surtout dans les banques. Cette situation est liée à : - la méconnaissance par les institutions de financement de l agriculture urbaine, - l inexistence en leur sein d un personnel qualifié pour analyser de façon judicieuse les dossiers de financement ; - la crainte de prendre des risques pour un secteur exposé à l insécurité foncière. - Des Ressources financières limitées pour le long terme Des stratégies de financement davantage orientées vers les réseaux sociaux Les producteurs/trices développent des stratégies d autofinancement et mettent à profit les systèmes d épargne et les réseaux informels sociaux et familiaux pour financer leurs activités. Mais ces mécanismes ne permettent pas d innover et d accroître la production. A cet effet, on peut souligner : 5
6 - Les relations entre les producteurs/trices et les femmes commerçantes de légumes: Le préfinancement des femmes commerçantes se passe directement de la commerçante au producteur sans concertation avec le groupement, - Les relations entre les producteurs/trices et les fournisseurs d intrants/équipements : Le fournisseur d intrants met à la disposition des producteurs des quantités d intrants (semences, engrais, pesticides, etc.) selon leur besoin. Le remboursement se fait à la fin de la campagne au prix d achat de l intrant en cours sur le marché. En définitive, l offre de financement est constituée par : - Les banques, - Les institutions de microfinance (IMF), - Institutions étatiques (centrales et municipales), - Programmes de développement (ONG, agence d appui au développement) Contrairement à une idée très répandue, la question du financement de l agriculture urbaine ne se limite pas seulement aux crédits. D autres mécanismes mis en place par l Etat, les projets et les ONG existent pour permettre l accès de l agriculture urbaine au financement. Toutefois, les producteurs urbains n ont pas encore suffisamment accès aux projets étatiques ou aux programmes de développement. Ce sont surtout les projets de développement portés par les ONG qui apportent aux producteurs/trices des appuis en nature ou en espèces. 3. CONTRAINTES ET DIFFICULTES D ACCES AU FINANCEMENT Les contraintes et difficultés de financement de l agriculture urbaine sont nombreuses et variées: Pour les producteurs, on peut citer, entre autres : - Le manque d information sur les opportunités de financement - L inexistence des garanties exigées par les institutions de financement, - L inadéquation des modalités du crédit (taux d intérêt, délai de remboursement,) - L insuffisance de capacités pour la formulation des dossiers de financement, - Le faible accompagnement des structures étatiques pour la formulation de dossiers bancables, - Le manque d appui technique dans la confection de dossiers de financement - Les lourdeurs administratives dans les procédures de demande de financement - La non-conformité de la période de mise à disposition du financement avec le cycle de production, - Le manque d organisation des producteurs, - La non-tenue de la comptabilité, même simplifiée, - L absence de données précises sur l activité (superficie emblavée, rendement, etc.) - L Insécurité foncière. Pour les institutions de financement, on peut citer, entre autres : - Le caractère limité des ressources financières pour des crédits à long terme - La mauvaise formulation des projets soumis par les producteurs 6
7 - Le coût élevé du service du crédit (identification des clients et étude de faisabilité du projet, suivi des crédits octroyés), - La non maîtrise du secteur agricole (Méconnaissance du cycle et du processus de production), - L absence de ressources humaines qualifiées pour traiter les dossiers de crédits - La méconnaissance de la rentabilité des filières agricoles urbaines. 5. RECOMMANDATIONS Aux institutions de financement 1. Adapter les mécanismes d offre de crédit (taux d intérêt, délai de remboursement, différé, etc.) aux besoins et capacités des producteurs/trices et en fonction des spécificités du secteur agricole urbain. 2. Appuyer, orienter et encadrer les agriculteurs/trices urbains/nes dans la préparation et le montage des dossiers de crédits et alléger les formalités et les procédures de demande de financement. 3. Renforcer les capacités techniques du personnel des institutions de financement afin d un traitement diligent et adéquat des demandes de crédits sur l agriculture urbaine 4. Développer une politique de communication à l endroit des producteurs/trices afin des les informer sur les opportunités de financement et les conditions d éligibilité aux différents services offerts. 5. Différencier les produits de crédit selon le genre. En effet, les hommes s activent généralement dans la production et ont des besoins financiers plus élevés de crédit que les femmes qui évoluent le plus souvent dans la transformation et la commercialisation. 6. Nouer des partenariats avec des projets et des structures d encadrement des producteurs/trices en vue d un accompagnement de ces acteurs dans leur démarche d accès aux crédits et dans la gestion de ceux-ci. 7. Assurer un meilleur suivi de la gestion des crédits octroyés aux producteurs/trices à travers une présence plus fréquente sur le terrain. Aux décideurs politiques 1. Elaborer et mettre en œuvre une politique favorable au développement de l agriculture urbaine et périurbaine et mettant principalement l accent sur l intégration de ce secteur d activités dans les instruments de gestion urbaine. 2. Développer des partenariats avec les organisations de producteurs/trices pour atténuer les nuisances de l environnement urbain à travers le recyclage des ordures ménagères en compost et la réutilisation des eaux usées traitées en agriculture urbaine. 7
8 3. Mettre en place dans les institutions de financement des lignes de crédits destinés à faciliter l accès au financement des producteurs/trices. 4. Mettre en place au niveau des institutions de financement, selon les cas, un fonds de garantie ou un fonds de calamités pour prendre en charge les risques inhérents à l offre de crédit au secteur agricole. 5. Mettre en place un mécanisme d appui aux institutions mutuelles de crédits et aux banques pour les amener à prendre en charge adéquatement les services non financiers offerts aux producteurs/trices dans les domaines du montage de dossier de crédits, du suivi des prêts et du renforcement de capacités. 6. Orienter et encadrer les producteurs/trices pour la mise en place de micro ou petites et moyennes entreprises viables susceptibles de nouer des partenariats avec les institutions de financement et d autres acteurs du développement urbain. 7. Prévoir dans le budget des municipalités une ligne budgétaire destinée au financement des activités agricoles. Aux producteurs/trices 1. Mettre en place des mécanismes de concertation entre les professionnels et de coordination des activités agricoles 2. Mettre en place des organisations économiquement viables et légitimes susceptibles de jouer un rôle d intermédiation entre les producteurs/trices et les décideurs politiques, les institutions de financement et les autres acteurs du développement urbain. 3. Engager une démarche de professionnalisation des activités agricoles urbaines à travers notamment l utilisation de matériels agricoles performants, l adoption d itinéraires techniques éprouvées et la mise en place d un système de comptabilité simple et fiable. 4. Identifier et mettre l accent, selon les cas, sur les filières agricoles porteuses pour davantage renforcer la contribution de l agriculture urbaine sur les plans économique et social. 6. APPROCHES ALTERNATIVES DE FINANCEMENT DE L AGRICULTURE URBAINE - Internalisation du crédit : il s agit de mettre en place un système de crédit interne au sein des organisations de producteurs qui octroient le crédit à leurs membres. Les ressources financières peuvent être mobilisées auprès d un partenaire technique et financier ou d un projet de développement. - Création d IMF «fille» : Cette stratégie peut être mise en œuvre après une expérimentation de crédit internalisé. L organisation de producteurs décide de créer une unité spécialisée dans la fonction de services financiers, ayant statut d institution de microfinance (IMF). Cette IMF devient le «bras financier» de l Organisation mais ayant une gouvernance autonome, mais qui reste proche d elle 8
9 par son fonctionnement (statut coopératif, certains élus participent aux deux organisations, etc.). - Conception d un produit financier basé sur une responsabilisation Multi-Acteurs : il s agit à travers cette approche d impliquer d autres acteurs pour minimiser les risques et renforcer la confiance. Par exemple, l implication des décideurs politiques est essentielle pour sécuriser les sites de production à travers un statut foncier approprié et mettre en place des fonds de garantie ou des lignes de crédits. De même, la contribution des services techniques agricoles et des ONG est indispensable pour renforcer les capacités des producteurs et les accompagner dans la mise en œuvre d innovations techniques et organisationnelles. - Promotion des chaînes de valeurs pour mutualiser les efforts et répartir le risque entre les institutions de financement et les différents acteurs de la chaîne. 6 CAS PRATIQUE : PLAIDOYER POUR L ACCES AU FINANCEMENT DES MARAICHERS DE PORTO-NOVO (BENIN) Les principales phases sont les suivantes : 1. La conduite d une étude diagnostique sur le financement de l agriculture urbaine 2. L organisation d un atelier de restitution de l étude et d esquisse de produits financiers pour financer l agriculture urbaine 3. La mise en place d une équipe de plaidoyer composée de : - d un Représentant de la Plateforme Multi-acteurs sur l agriculture urbaine, - d un représentant d une institution de microfinance, - de deux représentants des maraîchers de Porto-Novo, - de l Assistant technique local de l IAGU, - du consultant chargé de l étude diagnostique, - d un représentant du service agricole (CECPA). 4. L élaboration d un produit financier pour l accès des producteurs de tomates au crédit. Ce produit financier est défini comme suit: - un crédit pour l accès aux équipements et aux intrants à rechercher auprès des IMF, - l engagement des services agricoles (CeCPA) et d une ONG local à apporter l appui technique nécessaire, - l engagement des producteurs/trices à mobiliser un apport personnel préalable - Une subvention octroyée par la Mairie, - L engagement de la Mairie à sécuriser les sites de production pour la durée du crédit. Deux IMF à savoir l IAMD et le PADME ont été identifiées comme partenaires potentiels. 9
10 5. Elaboration de plans d affaire sur la base d un canevas proposé par les institutions de financement ciblées. Les plans d affaire ont été élaborés pour les producteurs/trices avec l appui de la cellule «Agriculture urbaine» de la Mairie 6. La soumission des plans d affaires à l IAMD qui a accepté d ouvrir une ligne de crédit aux maraîchers producteurs de tomate. Au total 35 maraîchers ont soumissionné pour une demande de crédit d un montant de FCFA (12195,92 Euros). 7. L accès au crédit de 19 maraîchers (16 hommes et 3 femmes) pour un montant total de FCFA (2195,26 Euros). Ce crédit est caractérisé par un taux d intérêt bonifié, une absence de différé mais un remboursement intégral à faire à la fin de la campagne. Références consultées: - Drechsel, P.; Graefe, S.; Sonou, M.; Cofie, O. O Informal irrigation in urban West Africa: An overview. IWMI Research Report IAGU (2007). Etude de cas sur le financement de l agriculture urbaine dans la zone des Niayes (Sénégal). Rapport de recherche. IAGU, Dakar, Sénégal. - IAGU (2007). Etude de cas sur le financement de l agriculture urbaine à Cotonou et environs (Bénin). Rapport de recherche. IAGU, Dakar, Sénégal. - IAGU (2008). Consultation sous-regionale. Financement de l agriculture urbaine et periurbaine en Afrique de l ouest francophone :Defis et options stratégiques. Organisée les 26, 27 et 28 MARS 2008 à Dakar. - IAGU et 2iE (2007). Etude de cas sur le financement de l agriculture urbaine à Ouagadougou (Burkina Faso). Rapport de recherche. IAGU, Dakar, Sénégal. - IAGU et CAB (2002). Interactions entre la problématique foncière et le développement durable de l agriculture urbaine. Profil de la Ville de Cotonou. Rapport de recherche. IAGU, Dakar, Sénégal. - IAGU et Tenmiya (2007). Etude de cas sur le financement de l agriculture urbaine à Nouakchott (Mauritanie). Rapport de recherche. IAGU, Dakar, Sénégal. - IAGU-RUAF (2011). Rapport sur le plaidoyer pour un meilleur accès de l agriculture urbaine au financement. le cas de Porto-Novo (Bénin) - Mairie de Bobo-Dioulasso, IAGU, Etude exploratoire sur l agriculture urbaine à Bobo-Dioulasso, Burkina Faso. - Mairie de Porto-Novo, IAGU, Etude exploratoire sur l agriculture urbaine à Porto-Novo, Bénin. - Ndèye Fatou Diop Guèye, Salimata Seck Wone et Moussa Sy, Agriculteurs dans les villes ouest-africaines : enjeux fonciers et accès à l'eau. Paris, Karthala. - Traoré S., Production maraîchère et approvisionnement de la ville de Bobo. Rapport de fin de stage ATAS, Centre Agricole Polyvalent de Matourkou. 10
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