PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS D EXPERTISE-COMPTABLE
|
|
- Guillaume Généreux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS D EXPERTISE-COMPTABLE étudiées par Interfimo Edition de février 2011 disponible sur Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle, est interdite sans le consentement d INTERFIMO (loi du 11 mars 1957) 1
2 SOMMAIRE CARACTERISTIQUES DES TRANSACTIONS 1. Typologie des transactions 2. Statut des acquéreurs 3. Profil des acquéreurs PRIX DE CESSION 1. Critères géographiques 2. Prix de cession selon la typologie des transactions 3. Prix de cession des fonds libéraux 4. Prix de cession des parts de sociétés d expertise comptable 5. Prix de cession selon la nature de la prestation 6. Prix et rentabilité LEXIQUE ET METHODOLOGIE 2
3 CARACTERISTIQUES DES TRANSACTIONS Notre étude porte sur 100 transactions de cabinets d expertise comptable dont 68 concernent des fonds libéraux et 32 des participations dans des sociétés d exercice dont le fonds a été réévalué. I. TYPOLOGIE DES TRANSACTIONS (voir lexique page 13) Croissance externe de l'acquéreur 39% Installation de l'acquéreur Vente entre associés ou intégration d'un tiers 20% 23% Intégration d'un collaborateur 8% OBO ("owner buy out") 10% Les opérations de croissance externe concernent près de 40% des transactions. Elles sont réalisées pour moitié par des acquéreurs dont le chiffre d affaires dépasse 1 M. Près d 1 cédant sur 2 est en phase de départ en retraite : 28% départs en retraite immédiats 20% départs progressifs en retraite. 36% des acquéreurs sont en phase d installation : 35% 1ères installations 1% réinstallation. 6 fois sur 10, il s agit d installations indépendantes via des achats de cabinets ou de clientèles partielles.. 3
4 II. STATUT DES ACQUEREURS Statuts choisis par les acquéreurs de fonds Statuts choisis par les acquéreurs de parts 10% 7% 4% 6% 25% 16% En nom propre SARL / EURL 72% En nom propre 59% SAS SA SEL SARL / EURL SAS Le mode d exercice privilégié des acquéreurs de fonds libéraux étudiés par INTERFIMO est la SARL ou l EURL (72%). Rappelons que plus de 60% des sociétés d expertise comptable sont des SARL / EURL. Près de 60% des acquisitions de parts sont réalisées par des SARL / EURL faisant fonction de holding ; 25% se font par des SAS, 16% en nom propre. Globalement, 90% des acquisitions incorporelles - fonds et parts - se font sous couvert d emprunteurs au régime fiscal de l I.S. 4
5 III. PROFIL DES ACQUEREURS % sur nombre % sur montant Tranche d âge transactions transactions % 2,6% % 21% % 19% % 4% 60 et + 1% 1% Associés d âges disparates 39% 53% Total 100% 100% % 2,6% % 21% % 19% % 4% 60 et + Associés d'âges disparates 1% 39% Nbre % 53% K L âge moyen des experts-comptables acquéreurs étudiés par INTERFIMO s établit à 43 ans : 41 ans pour les acquéreurs de parts et près de 44 ans pour les acquéreurs de fonds. Les moins de 40 ans représentent 33% des acquéreurs mais seulement 24% du montant total des transactions. Les transactions de montant important sont réalisées en majorité par des coacquéreurs d âges disparates qui exercent en association ou qui s associent pour acheter. Femmes Hommes 17% 83% La clientèle d INTERFIMO est essentiellement masculine : les femmes ne constituent que 17% des acquéreurs, ce qui est cohérent avec la féminisation de la profession (19%). 5
6 PRIX DE CESSION Le prix de cession moyen, France entière, s établit à 85% du CA H.T., 60% des transactions s inscrivant dans une fourchette de 72% à 100%. Rappel études 2006 et 2009 : moyenne France entière 86% du CA H.T., 60% des transactions dans une fourchette de 71% à 100%. Globalement, le prix de cession moyen est stable depuis 5 ans. I. CRITERES GEOGRAPHIQUES NORD EST OUEST 91% IDF 84% 84% région PRIX DE CESSION % 60% des transactions entre SUD OUEST 79% 65% 91% RAA 83% 63% 100% NORD EST 84% 76% 91% SUD OUEST 79% RAA 83% PARIS IDF 84% 71% 98% OUEST 91% 78% 102% SUD EST 91% 79% 100% TOTAL 85% 72% 100% SUD EST 91% 6
7 Commentaires : La stabilité du prix de cession moyen masque des évolutions régionales contrastées. Cependant, comme dans notre précédente étude, nous avons enregistré peu de cessions dans la moitié nord de la France, Ile de France excepté. Les moyennes des régions Ouest et Nord- Est s établissent donc sur des échantillons de petite taille. Dans le Nord-Est, les cabinets se sont vendus à un prix de cession moyen de 84%, soit une baisse de 4 points par rapport à notre étude de Aucune cession à plus de 100% du CA H.T. n y a été enregistrée en A l inverse, l Ouest présente un prix de cession moyen de 91%, bien supérieur à notre précédente étude : une cession à 122% a eu une incidence à la hausse sur le prix moyen. La région parisienne et Rhône Alpes Auvergne, affichent un prix de cession moyen proche de la moyenne nationale et identique à celui observé en Le marché reste dynamique, en particulier en Ile de France. Le Sud-Ouest, qui se situait dans la moyenne nationale en 2009, apparaît comme la région la moins chère (79%) : plusieurs cessions se sont négociées autour de 60 70%. Cette région reste cependant marquée par un nombre faible de transactions. Le Sud-Est, toujours dynamique, reste comme en 2009 la région la plus chère : plusieurs transactions de 100% ou plus du CA H.T. ont été constatées en PACA. 7
8 II. PRIX DE CESSION SELON LA TYPOLOGIE DES TRANSACTIONS Prix de cession moyen 85% du CA H.T. Croissance externe de l'acquéreur (39 % des transactions) 87% Installation de l'acquéreur (23 % des transactions) 85% Vente entre associés ou à un tiers (20 % des transactions) 80% Intégration d'un collaborateur (8 % des transactions) 85% OBO ("owner buy out") 88% (10 % des transactions) 78% 82% 86% 90% La typologie des transactions n apparaît pas comme un critère de valorisation déterminant en 2010, sauf pour les ventes entre associés où les cabinets se négocient à des prix inférieurs à la moyenne. Dans les opérations de croissance externe et d installation de l acquéreur, les risques d évasion de clientèle liés au départ du cédant sont souvent compensés par des clauses de garantie du chiffre d affaires ou des clauses de crédit vendeur. Contrairement aux constatations des années précédentes, la plupart des associations de collaborateurs ne donne pas lieu à décote ; le nombre de transactions de ce type n est cependant pas suffisant pour affirmer qu il s agit là d une évolution structurelle. 8
9 III. PRIX DE CESSION DES FONDS LIBERAUX (ou de clientèles partielles) 68 % «acquisitions de fonds libéral» sur les cessions étudiées par INTERFIMO. Prix de vente : Le prix de vente des fonds (ou de clientèles partielles) étudiés par INTERFIMO s établit en moyenne à 275 K (contre 225 K en 2009). Nous avons relevé sur les dossiers étudiés 35% d opérations supérieures ou égales à 300 K. Prix des 4 plus grosses acquisitions de fonds libéraux : 820 K - Ouest 760 K - Sud-Est 650 K - Sud-Est 630 K - Paris Prix de cession : La valorisation de la clientèle lors des cessions de fonds libéraux s établit à 85% du CA H.T., 60% des cessions s inscrivant dans une fourchette de 73% à 100% du CA H.T. Rappel étude 2009 : moyenne France entière 89% du CA H.T., 60% des transactions dans une fourchette de 76% à 100%. Critères liés aux prix de cessions peu élevés : Transmission familiale Risque de déperdition de la clientèle lié : à l âge du cédant, à l âge de la clientèle, à la part des «clients importants», à l équilibre financier de la clientèle Absence de garantie de Chiffre d Affaires ou de crédit vendeur Critères liés aux prix de cessions élevés : Pas ou peu de risque de déperdition de la clientèle Clause de garantie de Chiffre d Affaires (réduction si le CA n atteint pas le montant escompté) Crédit vendeur Connaissance de la clientèle par les acquéreurs Solidité de la structure cédée Accompagnement du cédant : l accompagnement peut se réaliser avec ou sans rémunération. Interdiction de se réinstaller pendant 5 ans : fait nouveau, cette interdiction s accompagne parfois d une indemnité qui augmente alors le prix de vente. 9
10 IV. PRIX DE CESSION DES PARTS DE SOCIETES D EXPERTISE COMPTABLE 32 % «acquisitions de parts de sociétés» sur les cessions étudiées par INTERFIMO. Prix de vente : Le prix de vente des parts de sociétés d expertise comptable étudiées par INTERFIMO s établit en moyenne à 815 K (contre 600 K en 2009). Cependant, cette moyenne masque de fortes disparités puisque les acquisitions de parts s échelonnent entre 44 K et 3900 K. Prix des 4 plus grosses acquisitions de parts de sociétés : 3900 K - Ile de France 2700 K - Est 2520 K - Ouest 2500 K - Paris Valorisation du fonds : A partir du bilan de la société et du prix de 100% des parts (au prorata de celui de la participation cédée), l actif immobilisé (ou fonds libéral) est réévalué ; puis le ratio «fonds libéral réévalué» / CA H.T. est calculé, comme dans le cas de la cession d un cabinet individuel. La valorisation du fonds dans les acquisitions de parts étudiées par INTERFIMO s établit à 85% du CA H.T., 60% des cessions s inscrivant dans une fourchette de 73% à 99% du CA H.T. Rappel étude 2009 : moyenne France entière 82% du CA H.T., 60% des transactions dans une fourchette de 70% à 94% On retrouve les mêmes critères de prix que pour les acquisitions de fonds : risques ou non de déperdition de clientèle, clause de garantie de CA, crédit vendeur. A noter : Cette approche mathématique ne rend pas compte de décotes / surcotes éventuelles selon la quotité du capital acquis (majorités, minorités de blocages ) 10
11 V. PRIX DE CESSION SELON LA NATURE DE LA PRESTATION Plusieurs niveaux de valorisation sont appliqués selon la nature de la prestation : Les missions comptables traditionnelles ont un caractère récurrent. Un portefeuille avec une clientèle jeune, diversifiée, sans prédominance de quelques gros clients, se négocie couramment à 100% ou plus du CA H.T. Le commissariat aux comptes est en moyenne la prestation la plus valorisée : entre 90% et 120% du CA HT avec une décote ou sur-cote éventuelle en fonction de la date d échéance des mandats ou de la qualité de la clientèle CAC. A l inverse, les missions de conseil, malgré leur forte rentabilité, présentent une volatilité qui minore leur prix. Elles sont valorisées en moyenne à un coefficient bien inférieur aux missions comptables, autour de 50% en règle générale. 11
12 VI. PRIX ET RENTABILITE 5 PV/EBE PV/CA HT en % 0 40 % 60 % 80 % 100 % 120 % Deux ratios ont été comparés par les analystes d Interfimo : le prix de cession par rapport au Chiffre d Affaires, le prix de cession par rapport à l Excédent Brut d Exploitation retraité (avant rémunérations et cotisations sociales des titulaires). Chaque point représente la cession d un cabinet d expertise comptable dont le prix a été exprimé : en pourcentage du CA HT en abscisse en multiple de l EBE retraité en ordonnée. Le prix de vente des cabinets d expertise comptable s établit en moyenne à 2,8 fois l EBE retraité, 60% des transactions se situant entre 1,6 et 3,5 fois l EBE retraité. La dispersion du nuage de point témoigne d une certaine hétérogénéité du marché au regard du critère Prix / Rentabilité. Saisissez en ligne votre demande de financement ou celles de vos clients P.L. en toute sécurité sur 12
13 LEXIQUE ET METHODOLOGIE LEXIQUE : terminologie utilisée par INTERFIMO pour qualifier les transactions de fonds libéral ou de parts de sociétés d expertise comptable Croissance externe de l acquéreur : acquisition d un nouveau cabinet par un cabinet existant (achat de fonds ou participation majoritaire). Installation de l acquéreur : acquisition d un cabinet (ou d une clientèle partielle) par un collaborateur ou par un tiers, en 1 ère installation ou en réinstallation Vente entre associés ou intégration d un tiers : cession de parts entre associés ou constitution d une association entre un (des) titulaire(s) et un (des) associé(s) nouveau(x). Intégration d un collaborateur : intégration d un collaborateur en qualité d associé. OBO ( owner buy out ) : cession à une société dans laquelle le cédant est associé unique ou largement majoritaire. METHODOLOGIE : des données de cette étude reposent sur des retraitements comptables et financiers effectués par les analystes d INTERFIMO pour étudier les demandes de crédit des experts-comptables. Valorisation du fonds dans les acquisitions de parts : A partir du bilan de la société et du prix de 100% des parts (au prorata de celui de la participation cédée) l actif immobilisé (ou fonds libéral) est réévalué ; puis le ratio «fonds libéral réévalué» / CA est calculé, comme dans le cas de la cession d un cabinet individuel. Excédent Brut d Exploitation retraité : Les EBE sont retraités de manière à neutraliser le coût des charges sociales et / ou des rémunérations des dirigeants dans le cas des exercices en SEL afin de créer un indicateur commun à toutes formes d exercice. 13
PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES
PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES étudiées par Interfimo Edition de janvier 2015 disponible sur www.interfimo.fr Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle,
Plus en détailCession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie
Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100
Plus en détailEVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET
EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET La notion de «fonds libéral», instituée par la Cour de Cassation il y a quelques années simplifie juridiquement la cession des cabinets libéraux. Auparavant, les juristes
Plus en détailLa protection sociale du travailleur indépendant
La protection sociale du travailleur indépendant RSI Ile-de-France Centre 1.12.08 Alhambra L activité et la structure juridique Conditionnent la protection sociale L activité et la structure juridique
Plus en détailFiche TransEntreprise confidentielle
La Chambre de Commerce et d'industrie met à la disposition des chefs d entreprise ainsi que des propriétaires de pas-de-porte ou locaux commerciaux/industriels, le réseau TRANSENTREPRISE pour diffuser
Plus en détailobservatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr
observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport
Plus en détailFIP OTC PME Index. la marque d OTC Asset Management
la marque d OTC Asset Management FIP OTC PME Index FIP éligible à la réduction d ISF* ou «d IR*» - les parts du FIP sont bloquées pour une durée de 6 ans minimum et de 8 ans maximum sur décision de la
Plus en détailRégime social et fiscal Bien choisir votre statut de consultant
Régime social et fiscal Bien choisir votre statut de consultant Pierre SAUREL Thémistocle Avocats 1 Les statuts permettant d exercer comme consultant Entrepreneur individuel ou en nom propre Dirigeant
Plus en détailOPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable DESS en Banques et Finances Commissaire aux Comptes et Professeur de droit fiscal OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER www.editions-organisation.com/livres/denos
Plus en détailSalon des Entrepreneurs Paris 2007-14ème Édition. Entreprise individuelle ou société? Gérant minoritaire ou majoritaire? Quel statut choisir?
Salon des Entrepreneurs Paris 2007-14ème Édition Entreprise individuelle ou société? Gérant minoritaire ou majoritaire? Quel statut choisir? Intervenants Angèle CAMUS Expert-comptable Philippe SAUZE Gan
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailGestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes
Gestion de comptes - Rapport d étude Auteur Pôle Banque Finance et Assurance N étude 1400127 Février 2014 1 Gestion de comptes Sommaire 1. La méthodologie 3 2. Les résultats de l étude 6 3. Annexes 12
Plus en détailPropriété de la CNET - Reproduction interdite. Année de référence 2009
Année de référence 2009 L Observatoire L Observatoire est un outil de la CNET qui permet aux chefs d entreprise de : Avoir une vision claire et précise du marché; Comparer quelques éléments clé de leur
Plus en détailRémunération du Dirigeant : Faut il transformer les SARL en SAS?
Rémunération du Dirigeant : Faut il transformer les SARL en SAS? Quel est l'impact des nouvelles mesures au 1er janvier 2013 pour le DIRIGEANT TNS? Modifications sociales pour les TNS (Dirigeants assimilés
Plus en détailBien choisir son statut : la personnalisation est essentielle. Animé par : Aurélien DEMAURE
Bien choisir son statut : la personnalisation est essentielle Animé par : Aurélien DEMAURE Le cadre juridique L entreprise en nom propre L EIRL La société Les critères à retenir Le régime fiscal de l entrepreneur
Plus en détailCréation d entreprise, mode d emploi 13/11/14 2
13/11/14 1 Création d entreprise, mode d emploi 13/11/14 2 Les intervenants Séverine GERVAIS CCI Caen Normandie Boris FLECHE Fédération Française de la Franchise Yvon BEAUFILS Cabinet Tacher Isabelle ANDRIES-LAUDAT
Plus en détailCentre d Analyse Stratégique
Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel
Plus en détailDroit des sociétés 2015/16. Elise Grosjean-Leccia Christiane Lamassa Marie-Claude Rialland
Droit des sociétés 2015/16 Elise Grosjean-Leccia Christiane Lamassa Marie-Claude Rialland Dans la même collection Auto-entrepreneur 2015/2016 Droit de l immobilier 2015/2016 Droit des assurances 2015/2016
Plus en détailAffectation du résultat et prélèvements sur les dividendes dans une SARL à l IS
Affectation du résultat et prélèvements sur les dividendes dans une SARL à l IS FORMALITES au moment de la clôture de l exercice comptable Inscrire les modalités d affectation du résultat dans le PV de
Plus en détailRegards croisés sur l auto-entrepreunariat
Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Septembre 2013 Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : «Sondage OpinionWay pour l Union des Auto-Entrepreneurs
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailACTE DE VENTE D'UN NAVIRE DE PLAISANCE
Entre les sssignés : ACTE DE VENTE D'UN NAVIRE DE PLAISANCE et Nom :... Prénom :... Date et lieu de naissance :... Adresse de la résidence principale :...... Nationalité :... Vendeur, d'une part Nom :...
Plus en détailDÉCLARATION DE CONSTITUTION D UNE SOCIÉTÉ À RESPONSABILITÉ LIMITÉE RÉSERVÉ AU CFE M G U I D B E F K T
1 2 3 7 8 9 12 13 14 15 16 17 18 19 M0 N 11680*02 DÉCLARATION DE CONSTITUTION D UNE SOCIÉTÉ À RESPONSABILITÉ LIMITÉE RÉSERVÉ AU CFE M G U I D B E F K T SARL, SELARL y compris à associé unique (EURL) sauf
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailImmobilier de bureaux
Immobilier de bureaux Observatoire Nantais de l Immobilier Tertiaire L année en chiffres Nantes Métropole AURAN Édito 5 ans déjà! En 2009, le CINA décidait d organiser la collecte des transactions du marché
Plus en détailAujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»!
1 Aujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»! La démarche rationnelle qui vise à élaborer un projet de création ou de reprise d entreprise doit se traduire
Plus en détailConférence du 5 décembre 2011 Cabinet CJFS Evreux. Stratégies patrimoniales au regard des réformes fiscales récentes
Conférence du 5 décembre 2011 Cabinet CJFS Evreux Stratégies patrimoniales au regard des réformes fiscales récentes Plan Partie 1 : Evolutions législatives récentes 1 Projets de loi de finances rectificatives
Plus en détailL ATTITUDE DES FRANÇAIS A L EGARD DE
L ATTITUDE DES FRANÇAIS A L EGARD DE LA SUPPRESSION SIMULTANEE DE L ISF ET DU BOUCLIER FISCAL - Sondage de l'institut CSA - N 1001375A Octobre 2010 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 CSA
Plus en détailRégime matrimonial : Votre conjoint participe-t il (elle) à votre projet : Oui Non
BUSINESS PLAN Présentation du porteur de projet et de ses associés Etat Civil Nom : Prénom : Adresse : Code postal : Ville : Téléphone : Télécopie : Portable : Date de naissance : Lieu de naissance : Nationalité
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailEXTRAIT DU COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 6 FEVRIER 2015
EXTRAIT DU COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 6 FEVRIER 2015 Le compte-rendu de la réunion précédente est lu et approuvé. Désignation des délégués à Evolis 23 Le Maire rappelle au Conseil Municipal que
Plus en détailTogo. Loi relative aux entreprises d investissement à capital fixe
Loi relative aux entreprises d investissement à capital fixe Loi uniforme n 2009-23 du 14 octobre 2009 [NB - Loi uniforme n 2009-23 du 14 octobre 2009 relative aux entreprises d investissement à capital
Plus en détailCédants et Repreneurs d Affaires 22 juin 2010. Rémunération du repreneur en LBO : Optimisations fiscale et sociale
Cédants et Repreneurs d Affaires 22 juin 2010 Rémunération du repreneur en LBO : Optimisations fiscale et sociale Optimisation fiscale : Maître Sylvie Lérat, avocat associé spécialiste en droit fiscal
Plus en détailATELIER DE TRAVAIL. Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé»
ATELIER DE TRAVAIL Mardi 27 mars 2012 Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé» Animé par Valérie Tandeau de Marsac, Avocat-
Plus en détail5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*
Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détail' ()*+,-./! 01 2120 21"33345 % %!' -7 8 & %! #6 ' 21$ 96 211:4 '%! -)' $6 211: #6 21#4 , ' &./ 211 12#6 '! 2#16 215 , 7 & 8' ' ; & 2#6 $##64 !
Avertissement : Cette fiche a une vocation pédagogique, elle ne constitue pas l analyse exhaustive de la FNME-CGT. Les tableaux et références de cette fiche sont tirés des dispositions de la loi Fillon
Plus en détailEdition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502
1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous
Plus en détailBaromètre sur le financement et l accès au crédit des PME
pour Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 18 - Mai 2013 Note méthodologique Etude réalisée pour : KPMG et CGPME Echantillon : Echantillon de 401 dirigeants d entreprise, représentatif
Plus en détailDE LA HOLDING ANIMATRICE A LA HOLDING PATRIMONIALE : QUELLES CONSEQUENCES? 15 septembre 2014
DE LA HOLDING ANIMATRICE A LA HOLDING PATRIMONIALE : QUELLES CONSEQUENCES? 15 septembre 2014 1 Pourquoi une holding? Pour geler la taxation de dividendes exigés par d autres Pour réinvestir, rapidement
Plus en détailLES MATINALES DU CRA
LES MATINALES DU CRA 11 MARS 2014 COMMENT OPTIMISER VOTRE REVENU DANS LE CADRE D UN LBO? Intervenant : Christelle POULIQUEN Avocat associé Société d avocats AFFIS 1 Rue de Villersexel 75007 PARIS Comment
Plus en détailLE STATUT JURIDIQUE ET SOCIAL DU CONSULTANT
LE STATUT JURIDIQUE ET SOCIAL DU CONSULTANT 1. Préambule Préalablement à toute intervention pour l une des sociétés SIGMA Conseil, SIGMA Opérations ou CONCEPT RISK, le consultant doit disposer d un cadre
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE LA SARL
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable et Commissaire aux Comptes DESS en Banques et Finances GUIDE PRATIQUE DE LA SARL et de l EURL Création et gestion de la SARL, de l EURL, de la SELARL, de la SELU
Plus en détailSPFPL : Tout ça pour ça!
SPFPL : Tout ça pour ça! Animée par JM. BURTON et G. DE MARCHI 31/03/2014 1 CGP 31/03/2014 2 SOMMAIRE SPFPL : Quelle est la problématique? La SPFPL en pratique Propositions d aménagements 31/03/2014 3
Plus en détailSIMPLE, ADAPTÉE AUX TPE-PME
entreprise LA SANTÉ DANS MON ENTREPRISE UNE MUTUELLE SIMPLE ET AVANTAGEUSE POUR TOUS LA BRANCHE COURTAGE DU GROUPE LA BRANCHE COURTAGE DU GROUPE Dans le cadre de la loi de Sécurisation de l Emploi du 14
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détail«Photographie statistique» des entreprises parisiennes engagées dans le secteur de la construction en 2008 et 2009
«Photographie statistique» des entreprises parisiennes engagées dans le secteur de la construction en 2008 et 2009 Septembre 2009 Introduction Le Greffe du tribunal de commerce de Paris a réalisé à la
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailDévelopper les missions de Conseil en Gestion de Patrimoine via l optimisation de la rémunération du dirigeant AGF FINANCECONSEIL ARCHE EXPERTISE
Développer les missions de Conseil en Gestion de Patrimoine via l optimisation de la rémunération du dirigeant AGF FINANCECONSEIL ARCHE EXPERTISE OBJECTIFS DE L ATELIER Réfléchir au positionnement de l
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailRéforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution?
Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Constats LFSS 2014 : modification des taux obligatoires (TNS et salariés) Loi de finances 2013 : fiscalité des dividendes LFSS 2011 :
Plus en détailLes critères d éligibilité aux outils HDSI
Les critères d éligibilité aux outils HDSI Etat d avancement du projet Réalisation d une étude de marché (incluant une étude de terrain) 1 ère évaluation des besoins de financements (si besoin) Le local
Plus en détailISF Point information Octobre 2014. Audit Expertise comptable Conseil
ISF Point information Octobre 2014 ISF Point information 2 SOMMAIRE Pages RAPPEL DE QUELQUES REGLES 3 à 6 PROBLEMATIQUE LIEE AU PATRIMOINE PROFESSIONNEL 7 à 13 LES CLIGNOTANTS FISCAUX 14 ISF Point information
Plus en détailDOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI
DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI 30/01/2014 La domiciliation de l entreprise, correspond à l adresse administrative de l entreprise, qui doit être déclarée au CFE (Centre
Plus en détail04/02/2015. Transmission d une entreprise : anticiper pour optimiser sa fiscalité
04/02/2015 Transmission d une entreprise : anticiper pour optimiser sa fiscalité 1 Intervenants: Laurence Gumuschian : avocate cabinet Bastille avocats Véronique Nouvel : avocate, cabinet Fidal Jérôme
Plus en détailLA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT
LA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT 1 La protection sociale du dirigeant 1 - Qu est-ce que la Protection Sociale? 2 - Le Statut social des dirigeants - Salarié - Non Salarié (TNS) 3 Les garanties des régimes
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailFORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga
FORUM PROFESSIONNEL Fédération Nationale des Enseignants de Yoga Syndicat National des Professeurs de Yoga Divers statuts : I - Salarié (Association, Comité d entreprise, Société de portage, Entreprise
Plus en détailL ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME
L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME Conditions de l enquête Du fait des difficultés économiques actuelles, la restriction de l accès au crédit pour les PME devient une préoccupation majeure.
Plus en détailPRESENTATION DU LOGICIEL
PRESENTATION DU LOGICIEL Le logiciel permet de réaliser des études précises, claires, accompagnées d un rapport détaillé à remettre à votre client dans les domaines suivants : Choix du statut social du
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailINFORMATIONS POUR LES JEUNES AVOCATS
INFORMATIONS POUR LES JEUNES AVOCATS COTISATIONS ORDINALES POUR 2011 Barème des cotisations en euros Les assurances responsabilités civiles professionnelles et prévoyance sont forfaitaires selon l ancienneté
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes...
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 La valeur et le temps... 15 I. De la difficulté d estimer la valeur d un bien... 15 A. La valeur est une rente... 16 B. La valeur est un retour sur investissement... 18 II.
Plus en détailLes infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus
Communiqué de presse 2 ème édition du Baromètre Appel Médical des salaires de la santé Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus
Plus en détailL assurance chômage de l entrepreneur et du mandataire social
L assurance chômage de l entrepreneur et du mandataire social 1 PLAN DE LA PRESENTATION :! Le Régime GSC! Les dirigeants et la perte d emploi! Les solutions proposées! Les conditions requises 2 Le Régime
Plus en détailRCBF EXECUTIVE SEARCH BANQUE FINANCE ASSURANCE DEPUIS 1995
RCBF EXECUTIVE SEARCH BANQUE FINANCE ASSURANCE DEPUIS 1995 vous présente les résultats de son ETUDE DE REMUNERATION DEDIEE AUX METIERS DE LA BANQUE FINANCE - ASSURANCE JANVIER FEVRIER 2012 Note : Tous
Plus en détailISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions
ISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions L ISF : Un barème très élevé Seuil d imposition : 1 300 000. Tranche Taux Calcul < 800 000 0% Assiette x 0 Entre 800 000 et 1 300 000 0,50% (A x
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détailN 20 14 / 001 14/02/2014
N 20 14 / 001 14/02/2014 Origine : Direction de la Règlementation et des Affaires Juridiques Contact : Département de la Règlementation du Recouvrement Draj.reglementationrecouvrement@rsi.fr Annexes :
Plus en détailDOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE
DOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE SOMMAIRE I. PRÉSENTATION DU PORTEUR DE PROJET. PAGE 3 I.1- Présentation générale I.2- Situation familiale I.3- Scolarité et formation professionnelle II.
Plus en détailPRÊT D HONNEUR / PRÊT NACRE DOSSIER DE DEMANDE
PRÊT D HONNEUR / PRÊT NACRE DOSSIER DE DEMANDE NOM, Prénom : Activité : Commune : Tél. personnel : Tél. entreprise : E-mail : LE DEMANDEUR NOM, Prénom : Organisme : Téléphone : E-mail : L ACCOMPAGNATEUR
Plus en détailPerte d Emploi du dirigeant Principales caractéristiques de l offre
Perte d Emploi du dirigeant Principales caractéristiques de l offre Code partenaire 201435884 Perte d Emploi du dirigeant 1- Principe * Qui est concerné? P.3 * Quelles garanties P.4 2- Notre Offre Perte
Plus en détailMARCHE PUBLIC n AC 2014-01 ACTE D ENGAGEMENT. Pouvoir adjudicateur :
MARCHE PUBLIC n AC 2014-01 ACTE D ENGAGEMENT Pouvoir adjudicateur : Objet de la consultation : Accompagnement du Syndicat Mixte Ouvert dans l organisation d un colloque le 26 juin 2014 (6èmes rencontres
Plus en détailAcheter-Louer.fr Augmentation de capital Mai 2010
Acheter-Louer.fr Augmentation de capital Mai 2010 1 Souscrire à l augmentation de capital est une opportunité car Acheter-Louer.fr est : Leader de la presse gratuite immobilière en Ile de France L interlocuteur
Plus en détailLes Français et l assurance santé
Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :
Plus en détailFD/FACD N 1-6598 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Flore-Aline Colmet Daâge
FD/FACD N 1-6598 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Flore-Aline Colmet Daâge Les Français et les médecines naturelles Résultats détaillés Novembre 2007 Sommaire Pages - 1 - La méthodologie...1-2 - Les résultats
Plus en détailAu second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :
11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010
Plus en détailTHÈME. Imposition des produits. Exercice 1. Produits d exploitation
Imposition des produits THÈME 1 Exercice 1 Produits d exploitation L entreprise Pan est spécialisée dans la vente de panneaux solaires. Elle a vendu des panneaux courant novembre N à divers clients. Les
Plus en détail12.1. Le cumul emploi-retraite
12.1. Le cumul emploi-retraite Le cumul emploi-retraite est un dispositif qui permet de cumuler le bénéfice d une pension avec la perception de revenus d activité. Dans un premier temps soumis à certaines
Plus en détailInvestir dans des projets d entreprises
OFFRE DE PME LIÉES Investir dans des projets d entreprises En application des articles L. 41-1 et L. 61-8 du Code monétaire et financier et de son Règlement général, notamment de ses articles 11-1 à 16-1,
Plus en détailAnduze, tour des Cévennes
Anduze, tour des Cévennes 240,1 kilomètres; 4 heures, 2 minutes 0 10 20 30 40 Page 1 09:00 0,0 1 Départ de Anduze sur D907 [Plan de Brie] (ouest) pendant 3,2 09:04 3,2 Prendre D982 à DROITE (sud) pendant
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailORGANISER VOTRE PATRIMOINE ET PREPARER LA TRANSMISSION DE VOTRE CABINET
ORGANISER VOTRE PATRIMOINE ET PREPARER LA TRANSMISSION DE VOTRE CABINET Le professionnel libéral aspire, comme tout le monde, à la sécurité contre les accidents de la vie et les aléas professionnels, à
Plus en détailChaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé
Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension
Plus en détailRéunion entrepreneurs Conseil départemental des Vosges. La société holding Mardi 14 avril 2015
Réunion entrepreneurs Conseil départemental des Vosges La société holding Mardi 14 avril 2015 1 Sommaire 1/ Qu est ce qu une holding Définition / Principes et caractéristiques Illustration 2/ Les bonnes
Plus en détail3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives
4 ème édition Paris, le 27 janvier 2012 3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives Les points clés Le régime de l auto-entrepreneur, un potentiel énorme de croissance
Plus en détailRésultats d Etude. L étude de marché. Résultats d Etude N 1889 : Conciergerie privée. Testez la fiabilité de votre projet.
Résultats d Etude L étude de marché Testez la fiabilité de votre projet 1 Sommaire : Introduction... 4 Synthèse... 6 PAGE 1 :... 7 Question 1/13... 7 Vous vivez :... 7 PAGE 2 :...10 Question 2/13...10
Plus en détailConférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010
Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE
Plus en détailTrébeurden Synthèse financière
Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,
Plus en détail