Prévisions mondiales actualisées
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- Fabien Mathieu
- il y a 8 ans
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1 Pas assez de moteurs pour propulser la croissance Le rythme de croissance de la production mondiale reste très modéré, conséquence de la sous-performance cyclique persistante de nombreuses nations et des ajustements structurels en cours dans divers pays économiquement importants. Une faiblesse chronique de la demande globale reste un obstacle important à l affermissement de la croissance à l échelle mondiale. En outre, les économies sont menacées par des difficultés temporaires causées par des intempéries, dont une sécheresse importante et des incendies dans plusieurs régions, par la baisse de confiance liée aux conséquences des démêlées de la Grèce avec ses créanciers ou par la nouvelle chute des valorisations boursières mondiales, particulièrement en Chine. La détérioration des statistiques du commerce continue de témoigner de la sousperformance économique. Le volume des échanges mondiaux la combinaison des exportations et des importations s est contracté au cours de quatre des cinq premiers mois de 1, ramenant sa progression sur douze mois tout juste sous la barre des %. Cette performance est non seulement bien en dessous de la moyenne de % enregistrée depuis l'an, mais elle est aussi plus faible que la timide avancée d environ 3 % de la croissance de la production mondiale. La persistance de la faiblesse des échanges mondiaux est inquiétante parce qu elle touche simultanément les économies des marchés avancés et des marchés émergents. La demande atone et l accroissement d'une offre déjà excédentaire continuent de peser sur de nombreux marchés et sur les investissements des entreprises. Le tassement généralisé des marchés des produits de base, où un dollar américain fort s ajoute aux risques de contraction, en est un exemple. La timidité des investissements peut aussi refléter des changements structurels : des centres manufacturiers intégrés plus efficaces dans les économies des marchés émergents dont la croissance est plus rapide et, dans certains cas, l augmentation du protectionnisme qui va à l encontre des pressions exercées pour réduire les barrières contre les échanges internationaux En dehors de certains secteurs, notamment la construction automobile et l'aérospatiale, la production industrielle reste au plus bas dans le monde et la * Prévisions des Études économiques de la Banque Scotia pour 1. Sources : BPC, Bureau d analyse faiblesse persistante des commandes souligne la lenteur du retour de la des politiques économiques des Pays-Bas, FMI, production mondiale à une croissance plus solide. Pour la plupart, les entreprises Études économiques de la Banque Scotia. s appliquent à leur consolidation et à leur restructuration pour affronter les difficultés que pose la persistance d une croissance atone, comme le prouve l accélération des opérations de fusions et d acquisitions. L'essentiel des incertitudes économiques porte sur la Chine. La deuxième économie mondiale reste comparativement surperformante, et les récentes initiatives monétaires et budgétaires semblent avoir apporté un certain soutien à un secteur immobilier languissant. Cependant, le pays poursuit sa transition vers une trajectoire de croissance globale beaucoup plus modérée, en comptant davantage sur la consommation et beaucoup moins sur les investissements publics et sur les emprunts plus sensibles aux aléas du marché du crédit. La tendance au ralentissement de la croissance et la réduction de la demande de produits de base et d intrants manufacturés ont eu des répercussions sur les chaînes d approvisionnements régionales et mondiales, et ont touché tout l'éventail des partenaires commerciaux, régionaux et internationaux du pays. Le fort dégagement sur le marché boursier chinois ajoute un niveau supplémentaire d incertitude à des perspectives économiques déjà moins vigoureuses. La croissance a ralenti dans la plupart des grands pays exportateurs de produits de base. Pour beaucoup d entre eux, dont le et l Australie, la divergence des performances économiques reflète la vivacité sous-jacente des secteurs de la consommation et du logement, sensibles aux taux d intérêt, qui s appuient sur la bonne tenue générale des secteurs Table des matières Présentation Prévisions International Produits de base... Amérique du Nord... Provinces... 6 Marchés financiers Ralentissement de la croissance de la production dans le monde; le commerce mondial est encore plus lent var (%) d une année sur l autre PIB réel mondial* Commerce mondial Études économiques de la Banque Scotia Scotia Plaza,, rue King Ouest, 63 e étage Toronto (Ontario) MH 1H1 Tél. : Téléc. : Courriel : scotia.economics@scotiabank.com Le présent document a été préparé par Études économiques de la Banque Scotia, comme ressource pour les clients de la Banque Scotia. Les opinions, les estimations et les projections contenues dans le présent document sont les nôtres à la date de ce dernier et sont sujettes à changement sans préavis. Les renseignements et les opinions présents dans ce document sont tirés de sources considérées comme fiables, mais aucune garantie n est donnée concernant leur exactitude et leur exhaustivité. 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2 de l emploi et des services. Mais la poursuite de la consolidation de la plupart des secteurs des produits de base sera nécessaire pour réaligner plus exactement la production et la rentabilité sur la faiblesse de la demande et la dégradation des termes de l échange sur le plan international. Cette consolidation affectera la production et la monnaie de certains pays précis. Parmi les autres grandes économies mondiales, le R.-U. a nettement pris la tête de ses homologues européens. Cette année et la suivante, l Inde devrait afficher le taux de croissance le plus élevé au monde. Les deux pays sont soutenus par une relance de la demande intérieure. L activité de la zone euro prend doucement de la vitesse, sous l impulsion de l Espagne et de l Irlande, qui profitent de la relance de leur compétitivité, et de l Allemagne, qui continue de montrer une croissance relative équilibrée. Après un autre début d année au ralenti, l économie américaine semble reprendre de la vitesse. Les consommateurs ont progressivement ouvert leur portefeuille. Les ventes de voiture sont au plus haut depuis 1 ans et les grands projets d achat sont à la hausse. L activité immobilière connaît aussi une reprise sans précédent depuis plusieurs années, à la fois dans les ventes de logement et dans la construction. L assouplissement progressif des conditions de crédit, combiné à une accessibilité encore raisonnable, l'accélération de la formation des ménages et l amélioration du marché de l emploi devraient protéger la reprise malgré une remontée prochaine des coûts du financement. La forte progression de l emploi un record de 1,8 millions nets de nouveaux emplois ont été créés dans le secteur privé depuis le début de la reprise, il y a environ six ans a contribué à ramener le taux de chômage global à son plus bas niveau depuis sept ans (soit,3 %), et les mesures alternatives pour remédier à la sous-utilisation de la main-d œuvre continuent de progresser. Les revenus sont à la hausse, stimulés par la chute des prix à la pompe, et les bilans des ménages bénéficient à la fois de la réduction de l'endettement et de la hausse de la valeur des actifs. L'importance considérable de la demande à combler devrait soutenir la reprise des dépenses des ménages et, plus important encore, donner une nouvelle impulsion tardive aux investissements des entreprises aux États-Unis. Cependant, la dynamique globale de l activité industrielle et des investissements des entreprises manque de nerf en raison de la faiblesse des ventes à l exportation, de l'érosion des bénéfices due à la force du dollar américain, de la baisse importante des activités de forage pétrolier et gazier et de l incertitude entourant les mesures de resserrement de la Réserve fédérale. Pendant ce temps, les sociétés ont bénéficié de conditions très favorables sur les marchés boursiers et obligataires pour améliorer leurs bilans, et elles ont emprunté pour financer leurs nombreuses opérations de fusions et d acquisitions. L augmentation des commandes américaines de biens durables en juin laisse présager une certaine relance des projets d'investissement en immobilisation pour les mois à venir. Alors que la vigueur du dollar américain et la mollesse de la croissance mondiale pèsent sur les exportations, la bonne tenue des ventes sur le marché intérieur devrait étayer la progression de la production manufacturière. En même temps, l économie américaine profite de l augmentation des dépenses fédérales et des États et de l'assouplissement des mesures d'austérité budgétaires du gouvernement fédéral. L économie du s est considérablement ralentie à cause de l anémie persistante des exportations et des investissements des entreprises. La mauvaise influence du secteur de l énergie, aggravée par la rechute des prix du pétrole, se fait toujours sentir dans les provinces productrices principalement l Alberta, la Saskatchewan et Terre-Neuve-et-Labrador même si toutes les régions sont touchées par la faiblesse de la demande de produits manufacturés et de services aux entreprises, ayant rapport avec l'énergie. L importance du secteur énergétique dans la performance du se reflète dans ses parts de marché le pétrole et les combustibles minéraux représentent 7 % des exportations canadiennes, un pourcentage équivalent à celui des quatre secteurs combinés des véhicules et des pièces automobiles, de la machinerie, des pierres et des métaux précieux, et du matériel informatique. L hiver dernier, la baisse de presque 8 % de l ensemble de la production liée à l énergie a déjà réduit la croissance de la production nationale d environ un demi-point de pourcentage. La faiblesse actuelle de l'économie canadienne devrait laisser la place à une reprise graduelle puisque les exportations non énergétiques pourraient profiter de l amélioration des conditions au Sud de la frontière. Le taux de change nettement plus bas devrait aussi favoriser la rentabilité des exportations le recul du huard face au billet vert a atteint 3 % au total depuis son sommet de 1, $ US à la mi-11 même si la position concurrentielle globale du pays doit être analysée d un point de vue international. Beaucoup de nos partenaires commerciaux et de nos concurrents directs à l échelle mondiale assistent aux mêmes ajustements monétaires et de taux d intérêt, que ce soit le Mexique, l Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud ou la zone euro. Malgré tout, le secteur de l aérospatiale devrait tirer son épingle du jeu puisque les avionneurs mondiaux accélèrent leur production pour répondre à un carnet de commandes bien rempli. La remise en production de la plus grande usine de montage d automobiles au, après plusieurs mois de réoutillage, dynamisera aussi les exportations canadiennes de véhicules et de pièces automobiles. L industrie chimique, qui profite de la baisse des prix des matières premières, devrait continuer de surperformer. L'accentuation du profil de croissance attendue aux États-Unis devrait aussi dynamiser les secteurs canadiens de l industrie forestière, de la fabrication et des services axés sur l exportation. Même si l économie canadienne fait face à de sérieux défis, la consommation et l immobilier restent assez dynamiques dans les régions de Toronto et de Vancouver. Cette année, ces deux secteurs ont été soutenus par les baisses de taux directeurs de la Banque du et par la poursuite de la création d'emplois dans le secteur privé. Le coût des emprunts est à un plancher historique et la faiblesse des prix de l énergie augmente le pouvoir d achat. Par ailleurs, les dépenses d infrastructure fourniront un soutien opportun. Même si les marchés des changes sont de plus en plus volatils, la valeur du dollar canadien se maintiendra probablement en dessous de celle du dollar américain, et peut-être encore plus que maintenant, donnant un solide coup de pouce au tourisme intérieur et à l industrie du divertissement.
3 International p 16p PIB réel Monde (en parité de pouvoir d achat) 3,9 3, 3,1 3,,, 1,, États-Unis 1,8,,3,8 Mexique,,1, 3,1 Royaume-Uni 1,8 3,,6,3 Zone euro 1,,9 1, 1,7 Allemagne 1, 1,6 1,7 1,9 France 1,, 1,1 1, Italie, -,, 1, Espagne 1,7 1, 3,, Russie,9,6 -,9, Turquie,,9 3, 3, Chine 9,1 7, 7, 6, Inde 7, 7, 7, 7,7 Japon,9 -,1 1, 1, Corée du sud, 3,3,7 3, Indonésie,8,,9, Australie 3,,7,,8 Thaïlande,,9 3, 3,7 Brésil 3,,1-1,8, Colombie,,6 3, 3, Pérou,6, 3,1,1 Chili, 1,9, 3,1 Prix à la consommation * indice des prix de gros utilisé antérieurement à 1 (variation annuelle, en %) (variation sur 1 mois, fin de l'année, en %), 1,9 1,8, États-Unis, 1, 1,, Mexique,7,1 3,1 3,8 Royaume-Uni,3,, 1, Zone euro, -,,6 1, Allemagne 1,7,1,7 1, France 1,8,1, 1,1 Italie,3 -,1, 1, Espagne,7-1,, 1, Russie 11, 11, 1, 7, Turquie 16,6 8, 7, 6,3 Chine, 1, 1,7,1 Inde* 1,,3,8 6, Japon -,1,,7 1, Corée du sud,9,8 1,7, Indonésie,6 8,,6,1 Australie 3, 1,7 1,9, Thaïlande,6,6,6, Brésil 6, 6, 9,3 6, Colombie,1 3,7 3,8 3, Pérou,6 3, 3, 3, Chili 3,,6 3,,9 Prévisions modifiées International Les prévisions de croissance du PIB du Brésil en 1 et en 16 ont été revues à la baisse à -1,8 % (au lieu de -1, %) et à, % (au lieu de,8 %) respectivement, puisqu une plus grande austérité budgétaire et un réencadrement sévère du crédit se répercutent sur le moral et la demande intérieure. En Allemagne, la dynamique économique s est affaiblie dans les derniers mois en raison des inquiétudes suscitées par le problème grec et d une demande mondiale relativement atone, ce qui nous a amenés à ramener nos prévisions de croissance du PIB réel pour l Allemagne à 1,7 % en 1 et à 1,9 % en 16. Cependant, les données issues des enquêtes régulières auprès des entreprises laissent toujours présager un rythme soutenu de croissance économique en Allemagne pendant la seconde moitié de l année, principalement stimulé par des fondamentaux intérieurs solides. En Europe, les perspectives d inflation se sont aussi réduites à cause du recul des prix mondiaux du pétrole et de l affaiblissement du coût des denrées alimentaires et des autres produits de base. Nous pensons que l'inflation des prix à la consommation dans la zone euro s établira à,6 % en 1 et à 1, % en 16. Ces derniers mois, la demande intérieure en Corée du Sud s est ressentie de l épidémie de MERS (coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient) et la croissance du PIB réel est descendue à, % en glissement annuel au T 1. Par conséquent, nous avons réduit nos prévisions de croissance de la production à la baisse pour la Corée du Sud à,7 % pour 1 et à 3, % pour 16 (plutôt que 3, % et 3, %, respectivement). Nous avons révisé nos prévisions de croissance du PIB réel de la Thaïlande à la baisse et nous estimons maintenant que l économie va croître cette année de 3, % (contre 3,7 % dans la prévision précédente) et de 3,7 % en 16 (, % précédemment). L activité du secteur de la fabrication est entravée par des difficultés persistantes à l exportation, par la lenteur des dépenses d infrastructure et par les risques politiques élevés dans le pays. 3
4 3 1-1 International p 16p Solde du compte courant -,1 (% du PIB) -,1-3, -,8 États-Unis -, -, -, -,6 Mexique -1, -, -, -,3 Royaume-Uni -, -,9 -,6 -, Zone euro -,1,,,1 Allemagne,1 7, 6,6 6, France -, -1, -,8 -,6 Italie -1,1 1,9,3,1 Espagne -,,8,6, Russie,7 3,,, Turquie -, -,9 -,9 -,1 Chine,3,1,8, Inde -1, -1, -1, -1,7 Japon,9,,6, Corée du sud,1 6,3 7,8 6,7 Indonésie 1, -,9 -, -, Australie -, -,8-3,3-3, Thaïlande, 3,3,6 3,7 Brésil -1, -, -,6 -, Colombie -1,9 -,3-6, -,8 Pérou -1,3 -, -3,9-3,7 Chili,3-1, -,7-1, Produits de base PIB des provinces Variation annuelle 1* 1p 16p Tendances des prix des produits de base Indice : T1 = 1 Gaz naturel (moyenne annuelle) Pétrole WTI ($ US/baril) Pétrole Brent ($ US/baril) Gaz naturel sur le NYMEX ($ US/million de BTU),3,8,9 3, Cuivre ($ US/lb),3 3,11,6,6 Zinc ($ US/lb),79,98,96 1, Nickel ($ US/lb) 7,8 7,6 6, 8, Or, à Londres en après-midi ($ US/once) Pâte ($ US/tonne) Papier journal ($ US/tonne) Bois d oeuvre ($ US/Mpmp) Nickel Pétrole WTI Cuivre Prévisions modifiées Produits de base L indice Scotia des prix des produits de base a rebondi de 9, % au T 1, principalement à cause de la légère remontée des prix du pétrole (aussi bien sur les marchés nationaux qu internationaux). Cependant, les prix des produits de base ont encore nettement chuté en juillet avec l évolution négative de la situation sur trois fronts : les inquiétudes liées aux retombées du problème de la dette grecque sur la zone euro, la nette correction des marchés boursiers chinois et le retour vraisemblable du pétrole iranien sur les marchés mondiaux à la suite de l accord sur le nucléaire (probablement pas avant 16). En outre, un dollar américain très fort lié à une hausse potentielle du taux des fonds fédéraux dès le mois de septembre a eu un effet déflationniste sur le prix des produits de base dans le monde. Le prix de l or LBMA a atteint un creux de cinq ans. La Chine représente presque la moitié de la demande mondiale des métaux de base et la récente correction des marchés boursiers a fait chuter l ensemble de leurs prix. Cependant, le cuivre à la LME est survendu à,38 $ US la livre. Les stocks de cuivre sur le marché à terme de Shanghai (SHFE) sont bas et l arbitrage positif entre des prix à la LME plus ou moins élevés entraînera une relance des achats par la Chine cet automne. Le prix du pétrole a évolué à la baisse en raison des inquiétudes suscitées par la mollesse de l économie mondiale et de la lutte que se livrent les producteurs du Golfe persique et ceux de pétrole de schiste américain pour des parts de marché. Pour l instant, rien n'indique une réduction importante de la production mondiale de pétrole, malgré une chute de % des dépenses mondiales d exploration et de nouveaux projets, cette année. Les prévisions concernant le prix des produits de base à court terme ont par conséquent été révisées à la baisse NL PE NS NB QC ON MB SK AB BC * PIB pour 1 : estimations préliminaires par secteur. Sources : Statistique, Études économiques de la Banque Scotia. 1 Or Sources : Bloomberg, Études économiques de la Banque Scotia.
5 Amérique du Nord p 16p (variation annuelle, en %) PIB réel,, 1,, Dépenses de consommation 3,,7,1, Investissement dans le secteur résidentiel 3,8,7, -,6 Investissements des entreprises 3,7 -,1 -,, Gouvernement,7 -,3,, Exportations,8,,, Importations 3,3 1,8 1,,9 PIB nominal,7,3 1,1,3 Indice implicite du PIB, 1,8 -,,3 Indice des prix à la consommation, 1,9 1,3, Indice de référence 1,8 1,8,,1 Bénéfices des sociétés avant impôts,1 8,8-1, 8, Emploi 1,,6,8,8 milliers d emplois Taux de chômage (en %) 7,1 6,9 6,8 6,7 Solde des paiements courants (en G$ CA) -6, -1, -68, -7, Balance commerciale (en G$ CA) 33,9, -7,3-16, Solde budgétaire fédéral (en G$ CA) -, 1,,3,8 pourcentage du PIB -,3,1,, Mises en chantier (en milliers) Ventes de véhicules motorisés (en milliers) Production de véhicules motorisés (en milliers) Production industrielle,,1,1,6 États-Unis PIB réel 1,8,,3,8 Dépenses de consommation,,7 3, 3,1 Investissement dans le secteur résidentiel -, 1,8 8,6 7, Investissements des entreprises,1 6,,7,8 Gouvernement 1,1 -,6,3,7 Exportations, 3, 1,9, Importations 3,3 3,8,7,1 PIB nominal,,1 3,3,6 Indice implicite du PIB,1 1,6 1, 1,8 Indice des prix à la consommation, 1,6,3, Indice de référence, 1,7 1,8,1 Bénéfices des sociétés avant impôts 6,6 1,7-1,, Emploi, 1,9,1 1,6 millions d emplois,1,63,9,3 Taux de chômage (en %) 6, 6,,3, Solde des paiements courants (en G$ US) Balance commerciale (en G$ US) Solde budgétaire fédéral (en G$ US) pourcentage du PIB -, -,8 -, -, Mises en chantier (en millions) 1,31 1, 1,1 1,3 Ventes de véhicules motorisés (en millions) 1, 16, 17, 17,3 Production de véhicules motorisés (en millions) 1, 11,7 1,1 1,3 Production industrielle,7 3,7, 3,1 Prévisions modifiées et États-Unis Nous avons ramené notre prévision de croissance du PIB canadien de 1,6 % à 1, % cette année. Même si la consommation et l'immobilier résidentiel restent raisonnablement dynamiques, la faiblesse actuelle des investissements des entreprises et des exportations pèsent sur la croissance globale. À terme, nous pensons toujours qu une augmentation de la demande américaine combinée à la faiblesse du dollar canadien fortifiera les exportations et l activité industrielle en relevant la croissance de la production à, % l année prochaine. Nos prévisions de croissance du PIB américain pour cette année et la suivante restent inchangées, à,3 % et,8 %, respectivement. L économie américaine montre des signes de rebond après un début d année assez moyen, appuyée par la consommation et le secteur du logement. La solide création d emplois, l augmentation des salaires, la faiblesse des prix du carburant et la demande à combler devraient soutenir la relance des dépenses des ménages jusqu à l année prochaine, tandis que la progression des ventes devrait inciter les entreprises à accroître leurs investissements. Au, le prix des produits de base non durables et la faiblesse de la croissance de la production devraient rendre difficile le maintien des excédents budgétaires prévus pour les années 1-16 et 16-17, malgré le gel des budgets de fonctionnement des ministères jusqu au 31 mars 16. Aux États- Unis, le maintien du déficit budgétaire fédéral à, % du PIB au cours du présent exercice et du prochain nécessitera de compenser les dépassements de coûts, comme celui de la croissance des dépenses en santé annuelle qui excédera probablement de nouveau, %. Mexico PIB réel,,1, 3,1 Indice des prix à la consommation (fin d année),7,1 3,1 3,8 Solde des paiements courants (en G$ US) -13,7-6, -6,7-3, Balance commerciale (en G$ US) -6, -, -,8-7,
6 Provinces -13 1p 1p 16p p 16p PIB PIB réelreel* Soldes Soldes budgétaires*, exercice au au mars mars (variation annuelle, annuelle, en %) en %) (millions de $) de $),, 1,, Terre-Neuve-et-Labrador 3,1 -,9-1,1 -, Île-du-Prince-Édouard 1,9 1,3 1, 1, Nouvelle-Écosse 1, 1,6 1, 1, Nouveau-Brunswick 1,3,,9 1, Québec 1,8 1, 1,6, Ontario 1,9,3,1, Manitoba Manitoba, 1,1 1,9,3-6 ** Saskatchewan Saskatchewan, 1,, 1, *** Alberta Alberta 3,3, -,8 1, s.o. Colombie-Britannique Colombie-Britannique,6,6,, *1 * PIB data are pour preliminary 1 GDP : by estimations industry estimates. préliminaires * AB * FY1-FY16: 1 Provinces' et AB estimates. 16 ** MB:FY-FY13; : Estimations AB:FY-FY13; des SK:FY16 ex pen par secteur aux prix de base provinces. accrual adjustment. ** MB : AB-AB13; AB : AB-AB13; SK : AB16 à l exclusion de l'ajustement des droits à pension. Emploi Emploi Taux Taux de chômage de chômage (en %) (variation annuelle, annuelle, en %) en %) (moyenne annuelle, annuelle, en %) en %) 1,,6,8,8 7,1 6,9 6,8 6,7 Terre-Neuve-et-Labrador 1,3-1,7 -,9 -,8 1,6 11,9 1,8 13, Île-du-Prince-Édouard 1, -,1 -,,6 11,3 1,6 1,6 1,6 Nouvelle-Écosse,8-1,1,3,6 8,9 9, 8,9 8,7 Nouveau-Brunswick,6 -, -,, 9, 9,9 1,1 9,9 Québec 1,,,9,8 8,1 7,7 7, 7,3 Ontario 1,,8,9 1, 7, 7,3 6,7 6,6 Manitoba Manitoba 1,,1 1,3,8,,,, Saskatchewan Saskatchewan 1,3 1,,,3,9 3,8,9,1 Alberta Alberta,7,,3,,8,7,9 6,1 Colombie-Britannique Colombie-Britannique 1,3,6,7,9 6,7 6,1,9,8 Mises en chantier en chantier (annuelles, milliers milliers d'unités) d'unités) Ventes de véhicules automobiles (annuelles, milliers d'unités) d'unités) Atlantique Québec Ontario Manitoba Saskatchewan Alberta Colombie-Britannique Prévisions modifiées Provinces Après le lent démarrage de l année, la croissance du PIB réel pour 1 a été revue à la baisse pour la Colombie-Britannique ainsi que pour les provinces centrales et les provinces de l Atlantique. L accélération prévisible de la croissance de la production dans ces provinces valide notre opinion selon laquelle les allégements fiscaux inscrits au budget fédéral et l amélioration des prestations pour enfants aideront la consommation, tandis que les sociétés en dehors du secteur minier devraient profiter de la faiblesse du huard et du renforcement de la demande américaine. Plusieurs évènements non récurrents, comme le redémarrage d une importante usine d assemblage automobile réoutillée, dynamiseront aussi la croissance. Cependant, la sécheresse en Alberta et dans certaines régions de la Saskatchewan pèsera sur la production agricole. La faiblesse des prix du pétrole que l on prévoit maintenant pour 16 limitera encore plus les gains de productivité dans les trois grandes provinces productrices du : l Alberta, la Saskatchewan et Terre- Neuve-et-Labrador. Au T, la progression de 1, % en glissement annuel de l emploi à temps plein est une bonne nouvelle puisqu elle compense une perte équivalente d emplois à temps partiel. La croissance de l emploi à temps plein au T en glissement annuel a été tirée à la hausse par un bond de 3, % au Manitoba et par une progression de 1,7 % au Québec et à Terre-Neuve-et-Labrador. La baisse à deux chiffres en glissement annuel des dépenses de construction de nouveaux logements a ralenti la croissance pendant les cinq premiers mois de 1, à Terre-Neuve-et-Labrador, au Nouveau-Brunswick, au Québec, au Manitoba et en Saskatchewan. Les Comptes publics de l année budgétaire 1-1 pour la Colombie-Britannique, l Alberta et la Saskatchewan font état d un excédent total sur une base consolidée de presque,9 milliards de dollars, une amélioration bienvenue d un peu plus de milliards de dollars par rapport au budget. Les annonces en cours sur l aide fédérale pour des projets provinciaux importants devraient renforcer l importance des investissements en infrastructures prévus par la majorité des provinces en 16. 6
7 Prévisions trimestrielles T3 T T1 T T3p Tp T1p Tp T3p Tp PIB réel (variation annualisée sur trois mois, en %) 3,, -,6,,,,1,,,3 PIB réel (variation annuelle en %),6,,1 1,,9,8 1,,1,1, Prix à la consommation (variation annuelle en %),1 1,9 1,1,9 1,3 1,8,,,1, Indice de référence (variation annuelle en %),,,,,3,,1,1,,1 États-Unis PIB réel (variation annualisée sur trois mois, en %),3,1,6,3, 3, 3,,8,, PIB réel (variation annuelle en %),9,,9,3 1,8,,7,8,8,7 Prix à la consommation (variation annuelle en %) 1,8 1, -,1,, 1,,1,1,, Indice de référence (variation annuelle en %) 1,8 1,7 1,7 1,8 1,8 1,9,,,1,1 Marchés des capitaux Taux des banques centrales Amérique (en %, à la fin de la periode) Banque du 1, 1,,7,7,,,,,, Réserve fédérale des États-Unis,,,,,,,7 1, 1, 1,7 Banque du Mexique 3, 3, 3, 3, 3, 3,7,,,,7 Banque centrale du Brésil 11, 11,7 1,7 13,7 1, 1, 1, 13, 1,7 1, Banque de la République de Colombie,,,,,,,,,7, Banque centrale de réserve du Pérou 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, Banque centrale du Chili 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, 3, Europe Banque centrale européenne,,,,,,,,,, Banque d Angleterre,,,,,,,7,7 1, 1, Banque nationale suisse, -, -,7 -,7 -,7 -,7 -,7 -,7 -,7 -, Asie/Océanie Banque centrale d Australie,,,,,,,,,, Banque populaire de Chine 6,,6,3,8,6,6,6,6,6,6 Banque de réserve de l'inde 8, 8, 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7, Banque de Corée,, 1,7 1, 1, 1, 1, 1, 1,7, Banque centrale de l'indonésie 7, 7,7 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7, Banque de Thaïlande,, 1,7 1, 1, 1, 1, 1, 1,7, Bon du Trésor à 3 mois,9,9,,8,,,,,,8 Obligation du à ans 1,1 1,1,1,8,,7 1, 1,3 1,6 1,8 Obligation du à ans 1,63 1,3,76,8 1, 1, 1, 1,8,, Obligation du à 1 ans,1 1,79 1,36 1,68 1,6 1,9,1,,3, Obligation du à 3 ans,67,3 1,98,3,3,,6,7,7,8 États-Unis Bon du Trésor à 3 mois,,,,1,3,8 1,1 1, 1,8,1 Obligation du Trésor à ans,7,66,6,6,8 1,3 1,6 1,9,3,6 Obligation du Trésor à ans 1,76 1,6 1,37 1,6 1,8,,1,3,,7 Obligation du Trésor à 1 ans,9,17 1,9,3,,6,8,9,9 3, Obligation du Trésor à 3 ans 3,,7, 3,1 3, 3, 3,3 3,3 3, 3, Écarts -États-Unis Bon du Trésor à 3 mois,9,88,3,7,1 -,3 -,6-1, -1, -1, ans,6,3 -, -,16 -,3 -, -,6 -,6 -,7 -,8 ans -,13 -,31 -,61 -,83 -,8 -,7 -,6 -, -, -, 1 ans -,3 -,38 -,6 -,67 -,8 -,6 -,6 -,6 -, -, 3 ans -,3 -,1 -,6 -,8 -,8 -,7 -,7 -,6 -,6 -,6 7
8 Marchés des capitaux Taux de change T3 T T1 T T3p Tp T1p Tp T3p Tp Amérique (à la fin de la periode) Dollar canadien (USD/CAD) 1,1 1,16 1,7 1, 1,3 1,33 1,3 1,9 1,8 1,7 Dollar canadien (CAD/USD),89,86,79,8,7,7,77,78,78,79 Peso mexicain (USD/MXN) 13,3 1,7 1,6 1,7 1,99 1,86 1,63 1,38 1,33 1,1 Real brésilien (USD/BRL),,66 3, 3,1 3, 3,3 3,3 3, 3, 3, Peso colombien (USD/COP) Nouveau sol - Pérou (USD/PEN),89,98 3,1 3,18 3, 3, 3,9 3,3 3,8 3,9 Peso chilien (USD/CLP) Taux croisés avec le dollar canadien Euro (EUR/CAD) 1,1 1,1 1,36 1,39 1,6 1, 1,37 1,3 1,31 1,7 Livre sterling (GBP/CAD) 1,8 1,81 1,88 1,96,7,1 1,96 1,9 1,9 1,93 Yen - Japon (CAD/JPY) Dollar australien (AUD/CAD),98,9,97,96,97,93,9,93,93,9 Peso mexicain (CAD/MXN) 11,99 1,69 1,3 1,6 11,8 11,9 1,3 11,9 11,98 1,1 Europe Euro (EUR/USD) 1,6 1,1 1,7 1,11 1,8 1, 1, 1, 1, 1, Livre sterling (GBP/USD) 1,6 1,6 1,8 1,7 1,3 1,1 1,1 1,1 1, 1, Franc suisse (USD/CHF),96,99,97,9,98 1, 1,3 1, 1,8 1,1 Couronne suédoise (USD/SEK) 7,1 7,81 8,63 8,8 8,6 8,7 8,6 8,6 8,6 8,6 Couronne norvégienne (USD/NOK) 6,3 7, 8,6 7,8 8, 8,3 8, 8,1 8, 7,9 Rouble russe (USD/RUB) 39,6 6,7 8,,3 6, 6,,,, 3, Livre turque (USD/TRY),8,3,6,68,77,8,78,7,69,6 Asie/Océanie Yen - Japon (USD/JPY) Dollar australien (AUD/USD),87,8,76,77,7,7,71,7,73,7 Yuan - Chine (USD/CNY) 6,1 6,1 6, 6, 6,1 6,1 6,8 6, 6,3 6, Roupie - Inde (USD/INR) 61,8 63, 6, 63,7 6, 66, 66, 66,8 67,1 67, Won - Corée du sud (USD/KRW) Rupiah - Indonésie (USD/IDR) Baht - Thaïlande (USD/THB) 3, 3,9 3, 33,8 3, 3, 3,6 3,8 3,9 36, Taux des banques centrales Inflation mondiale Rendements des obligations à 1 ans 7 % 1 variation sur 1 mois (%) 7 % 6 États- Unis Royaume- Uni 8 6 Chine prévision 6 États- Unis prévision 3 prévision 3 1 Zone euro Sources : Bloomberg, Études économiques de la Banque Scotia. - États- Unis Zone euro Sources : Bloomberg, Études économiques de la Banque Scotia Sources : Bloomberg, Études économiques de la Banque Scotia. 8
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