Implications à long terme de la chirurgie bariatrique : au-delà des carences
|
|
- Claire Jobin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 le point sur... Implications à long terme de la chirurgie bariatrique : au-delà des carences Rev Med Suisse 2014 ; 10 : L. Favre Dr Lucie Favre Division d endocrinologie, diabétologie et métabolisme CHUV, 1011 Lausanne lucie.favre@chuv.ch Long-term implication of bariatric surgery : beyong deficiencies Bariatric surgery frequently leads to several nutritional deficiencies that are well reported in the literature. However, numerous other aspects of the patients life are concerned by bariatric interventions, so that the follow-up of these patients after bariatric surgery does not only encompass a mere correction of the well-known nutritional deficiencies. Only a thorough knowledge of all possible consequences of bariatric interventions permits an adequate follow-up of these patients. Overtly addressing all these issues with the patients before performing a bariatric intervention is the best way for them to be prepared for the intervention itself and to understand the need of a life-long follow-up thereafter. 706 Revue Médicale Suisse 26 mars 2014 La chirurgie bariatrique engendre des carences nutritionnelles qui sont fréquemment rapportées et décrites dans la littérature. La prise en charge des patients après une chirurgie bariatrique ne se résume cependant pas à la substitution de ces carences. Une bonne connaissance des implications de l opération sur d autres aspects permet de les accompagner plus adéquatement après une telle intervention et d éviter des com plications qui auraient pu être prévenues. Ces éléments devraient être expliqués aux patients avant la réalisation d une chirurgie afin de leur permettre de mieux se préparer et de bien évaluer tous les impacts de l intervention, au-delà de la perte pondérale attendue et des carences nutritionnelles souvent exposées. introduction L obésité est un problème de santé publique et la prise en charge chirurgicale est le meilleur moyen actuellement à disposition permettant d obtenir une perte pondérale significative et sur le long terme pour des patients avec une obésité. Le nombre d interventions de chirurgie bariatrique effectuées en Suisse ne cesse d augmenter et l opération de type Roux-en-Y bypass gastrique (RYGB) reste l intervention la plus souvent pratiquée. Les recommandations du Swiss Study Group for Morbid Obesity (SMOB) 1 pour la prise en charge de l obésité sont une obésité avec IMC M 35 kg/m 2 avec un essai infructueux de prise en charge conservatrice de l obésité durant deux ans au minimum (une année en cas d IMC M 50 kg/m 2 ). Il est également précisé, dans ces mêmes directives, que les patients doivent accepter un suivi postopératoire. Ce suivi est essentiel pour éviter les carences nutritionnelles mais également en raison de différents problèmes pouvant survenir après une chirurgie bariatrique. grossesse et contraception Les complications obstétricales sont augmentées chez les femmes obèses, et les études ont montré que l outcome des grossesses des femmes après chirurgie bariatrique est meilleur que celui des femmes obèses et qu il est comparable à celui de la population générale. 2 La grossesse est cependant contre-indiquée durant les mois suivant une intervention chirurgicale bariatrique. 3 En effet, c est durant cette période que la perte pondérale est la plus importante et une grossesse pourrait alors se compliquer d une malnutrition du fœtus, avec un risque de faible poids de naissance ou de malformation. Le risque de déficit nutritionnel est accru durant la grossesse puisque les besoins en nutriments sont physiologiquement augmentés durant cette période. Les patientes doivent être informées que leurs besoins nutritionnels seront différents de ceux d une grossesse habituelle. Un bilan biologique préconceptionnel complet doit être effectué et devra être répété durant la grossesse, particulièrement chez celles qui présentent des nausées ou vomissements. Un suivi par une nutritionniste est nécessaire. Les patientes ressentent en effet une sensation
2 Irbésartan-Mepha / Irbésartan-HCT-Mepha Tout vient à point à qui sait attendre admis par les caisses maladie 1:2 1:2 Irbésartan-Mepha Comprimés filmés 150 mg, 300 mg Irbésartan-HCT-Mepha Lactab 150 /12.5, 300/12.5, 300/ * Pour pouvoir scanner le «QR-Code» avec le smartphone, vous nécessitez d une application que vous pouvez télécharger par exemple dans l App Store sous «Scan» ou sous «QR». Irbésartan-Mepha C: 1 comprimé filmé contient 150 mg ou 300 mg d irbésartan. I: Hypertension essentielle, néphropathie chez les patients souffrant d hypertension et de diabète sucré de type 2. P: Dose initiale et dose d entretien: 150 mg et jusqu à au max. 300 mg 1 fois par jour. Néphropathie diabétique: dose d entretien en cas de néphropathie 300 mg 1 fois par jour. CI: Hypersensibilité au principe actif ou à l un des excipients, patients ayant des antécédents d angio-œdème héréditaire ou d œdème angioneurotique lors d un traitement par inhibiteurs de l ECA ou antagonistes des récepteurs de l angiotensine II. Grossesse/allaitement, insuffisance hépatique sévère, enfants et adolescents. PC: Déplétion du volume intravasculaire, insuffisance hépatique, hypertension rénovasculaire, sténose de la valve aortique et mitrale, cardiomyopathie obstructive hypertrophique, hyper aldostéronisme primaire, hyperkaliémie, insuffisance rénale et transplantation rénale, insuffisance cardiaque sévère ou maladie rénale, cardiomyopathie ischémique, maladie cardiovasculaire ischémique, nouveau-nés dont les mères ont été traitées par l irbésartan pendant la grossesse. EI: Céphalées, obnubilation, fatigue, nausées, vomissements. IA: Traitement préalable par de fortes doses de diurétiques, supplément en potassium et diurétiques épargneurs de potassium, glucosides digitaliques, certains antiarythmiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)/inhibiteurs sélectifs de la COX-2. Liste: B. [0913]. Pour des informations complémentaires sur les médicaments consulter Vous trouverez d autres informations sur Irbésartan-Mepha à l adresse de notre Service Littérature: medizinschweiz@mepha.ch Irbésartan-HCT-Mepha C: Irbésartan-HCT-Mepha 150/12.5: Lactab à 150 mg d irbésartan et 12.5 mg d hydrochlorothiazide. Irbésartan-HCT-Mepha 300/12.5 et 300/25: Lactab à 300 mg d irbésartan et 12.5 mg ou 25 mg d hydrochlorothiazide. I: Hypertension artérielle essentielle, lorsque l effet d une monothérapie reste insuffisant, traitement initial en cas d hypertension prononcée. P: Tension artérielle insuffisamment contrôlée par l hydrochlorothiazide et/ou l irbésartan. Dose initiale selon le degré de sévérité, 1 Lactab 1 fois par jour au cours ou en dehors des repas. Des doses supérieures à 300 mg d irbésartan et 25 mg d hydrochlorothiazide 1 fois par jour ne sont pas recommandées. Instructions spéciales pour la posologie, voir l information professionnelle. CI: Hypersensibilité au principe actif, à l un des excipients ou à d autres dérivés des sulfamides. Patients atteints d un angio-œdème héréditaire ou chez lesquels un œdème angioneurotique s est développé lors d un traitement antérieur par un inhibiteur de l ECA ou par un antagoniste des récepteurs de l angiotensine II. Anurie, grossesse, insuffisance hépatique et insuffisance rénale sévères, hypokaliémie, hyponatrémie, hypercalcémie et hyperuricémie symptomatique réfractaires au traitement. PC: Hypotension par déplétion hydrique ou sodée, troubles de la fonction hépatique, hypertension rénovasculaire, insuffisance rénale et transplantation rénale, sténose de la valve aortique et mitrale, cardiomyopathie obstructive hypertrophique, hyperaldostéronisme primaire, troubles du métabolisme du glucose et des lipides, hyperuricémie, troubles hydro-électrolytiques, test anti-dopage, insuffisance cardiaque sévère ou maladie rénale, cardiomyopathie ischémique, maladie cardiovasculaire ischémique, sympathectomie, réactions d hypersensibilité, lupus érythémateux disséminé, myopie aigüe et glaucome aigu par fermeture de l angle, nouveau-nés dont les mères ont été traitées par l irbésartan pendant la grossesse, allaitement. Enfants et adolescents. EI: Céphalées, vertiges, fatigue, nausées/vomissements, troubles mictionnels, hypokaliémie. IA: Diurétiques, autres antihypertenseurs, traitement antérieur par des diurétiques à dose élevée, lithium, apport en potassium et diurétiques épargneurs de potassium, certains antiarythmiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), inhibiteurs sélectifs de la COX-2, alcool, barbituriques, Vous trouverez les données narcotiques, antidiabétiques (insuline et antidiabétiques oraux), résines telles que cholestyramine et colestipol, corticostéroïdes, glucocorticoïdes, ACTH, diurétiques kaliurétiques, amphotéricine B, de bioéquivalence et le profil carbénoxolone, pénicilline G, salicylates, glycosides digitaliques, sympathomimétiques, myorelaxants, anesthésiques, médicaments contre la goutte, vitamine D, bêtabloquants, diazoxide, cytostatiques, de la préparation sur internet anticholinergiques, amantadine, méthyldopa, ciclosporine, carbamazépine. Liste: B. [4513]. Pour des informations complémentaires sur les médicaments consulter Vous trouverez à l adresse: d autres informations sur Irbésartan-HCT-Mepha à l adresse de notre Service Littérature: medizinschweiz@mepha.ch Professionnels, Qualidoc ou Mepha Pharma SA, 4010 Bâle, Téléphone , Fax , via QR-Code.* Les médicaments à l arc-en-ciel
3 impact de la chirurgie bariatrique sur la fonction rénale Evaluation avant bypass gastrique : discussion et introduction d une contraception efficace, non orale, avec le médecin gynécologue Chirurgie bariatrique Poursuite de la contraception jusqu à stabilisation pondérale mais minimum durant mois Substitution nutritionnelle habituelle. Suivi du taux acide folique (substitution préconceptionnelle habituelle de 0,4 mg/jour souvent insuffisante) Bilan biologique complet et corrections d éventuelles carences Arrêt de la contraception en accord avec le médecin gynécologue Grossesse : suivi nutritionnel régulier bilan biologique 1 x/3 mois, plus souvent en cas de nausées et vomissements Figure 1. Prise en charge conseillée chez les patientes en âge de procréer avant et après chirurgie bariatrique de satiété très précoce après un RYGB, qui est renforcée durant la grossesse. Un fractionnement des repas est souvent indispensable pour assurer des apports suffisants (figure 1). Contraception Les patientes obèses ont souvent des cycles anovulatoires, a fortiori lorsqu elles présentent un syndrome des ovaires polykystiques. Elles considèrent ainsi que leur probabilité de tomber enceinte est faible, mais la perte pondérale permet souvent le retour à des cycles ovulatoires et il est donc essentiel que ces femmes soient correctement informées de la nécessité d avoir une contraception efficace afin d éviter une grossesse durant la première année postopératoire. Ceci est d autant plus important que la contraception par voie orale ne doit pas être considérée comme efficace ni adéquate. En effet, l absorption des pilules contraceptives est insuffisante après une chirurgie bariatrique malabsorptive. 4 Elle n est pas adéquate non plus puisque ces femmes restent obèses durant la phase de réduction pondérale et la contraception orale combinée augmente le risque de maladie thromboembolique. Une contraception par un autre mode doit donc être dé butée (stérilet, patch, anneau vaginal) avant l intervention. Ceci souligne l importance d une collaboration efficace entre les intervenants préparant à une chirurgie bariatrique et les médecins gynécologues. L obésité per se est désormais reconnue comme un facteur de risque d insuffisance rénale. 5 L obésité s accompagne initialement d une augmentation du GFR (glomerular filtration rate) (hyperfiltration) avec augmentation du flux sanguin rénal et microalbuminurie. L évolution se fait ensuite vers l apparition de lésions histologiques définitives qui en traînent une diminution progressive du GFR. La chirurgie bariatrique de type RYGB a un impact favorable en cas d hyperfiltration en lien avec l obésité. On observe géné ralement une réduction de cette hyperfiltration et une diminution de la microalbuminurie. Toutefois, des études prospectives man quent pour caractériser l évolution de la fonction rénale chez les patients avec une fonction rénale abaissée (GFR l 60 ml/min) avant la chirurgie bariatrique. De plus, le risque d insuffisance rénale aiguë est non négligeable après une intervention de type RYGB en lien avec des difficultés d hydratation, mais également en lien avec un risque de rhabdomyolyse augmenté chez ces patients obèses. Néphrolithiase Le risque de néphrolithiase est augmenté chez les patients obèses 6 et le RYGB accroît également ce risque en raison de deux éléments : la faible hydratation et l excès d oxalate. Une évaluation régulière de l hydratation est nécessaire après RYGB chez les patients qui ne peuvent plus boire durant les repas. La prise hydrique doit donc être planifiée en dehors des repas et les patients oublient fréquemment cet aspect. La malabsorption des graisses entraîne par ailleurs une saponification du calcium qui n est plus en mesure de lier l oxalate dans le tube digestif. Il en résulte une augmentation de la réabsorption de l oxalate à l origine de possibles calculs d oxalate de calcium (figure 2). L administration de calcium per os permet de lier l oxalate libre dans le tube digestif et de réduire le risque de lithia se. Une supplémentation en citrate est parfois proposée puisqu il permet de diminuer la formation de calculs. evolution pondérale La perte de poids faisant suite à une intervention chirurgicale dépend de plusieurs facteurs, notamment du type de chirurgie bariatrique, de l excès de poids initial, de l âge et du sexe. Cependant, ces éléments ne sont pas suffisants pour expliquer l écart qui existe au final en termes de résultat pondéral. Un élément essentiel reste l éventuel trouble du comportement alimentaire sous-jacent. En effet, si ce dernier n est pas correctement pris en charge avant l intervention chirurgicale, les patients trouveront aisément des moyens de contourner la restriction imposée. Il est important de rappeler que la chirurgie bariatrique ne permet pas de régler le trouble du comportement alimentaire. De plus, durant les premiers mois qui suivent une intervention chirurgicale, les apports alimentaires sont très faibles et il est recommandé aux patients de favoriser les protéines et les féculents afin d éviter une perte musculaire trop importante et d assurer les besoins énergétiques. Cependant, lorsque le poids se stabilise, la reprise d une alimentation équilibrée est nécessaire. Il est de ce fait 708 Revue Médicale Suisse 26 mars 2014
4 A Lumière intestinale Ca Ox CaOx B Lumière intestinale Acides gras Ca Sels biliaires Situation normale Après RYGB Figure 2. Excrétion ou absorption de l oxalate dans le tube digestif A. Mécanisme normal de l excrétion d oxalate de calcium dans les selles ; B. après RYGB (Roux-en-Y bypass gastrique), la malabsorption des graisses provoque une saponification du calcium. Ceci diminue le calcium libre pour se lier à l oxalate. L oxalate est réabsorbé et il en résulte une hyperoxalurie. La malabsorption des sels biliaires favorise également l absorption de l oxalate. impératif de suivre ces patients régulièrement, particulièrement durant la période mois postopératoire où la reprise pondérale peut débuter et de chercher en à comprendre l origine. Des études ont récemment montré que les patients qui venaient régulièrement aux consultations après l intervention chirurgicale obtenaient une perte de poids significativement plus importante que les patients n ayant pas de suivi régulier. 7,8 L impact sur la tolérance alimentaire et sur l évaluation de la qualité de vie était également significativement meilleur chez les patients qui consultent régulièrement. L essentiel est donc de maintenir une bonne alliance thérapeutique et d informer les patients qu ils peuvent être réadressés à des équipes multidisciplinaires pour les aider en cas de reprise pondérale. risque de dépendances Après une intervention de type RYGB, la réduction de la taille de l estomac et sa vidange accélérée entraînent une absorption rapide et importante d alcool au niveau du jéjunum. De plus, le métabolisme de l éthanol par l alcool déshydrogénase dans l estomac est nettement diminué. Il est montré qu une faible consommation d alcool après RYGB entraîne une concentration d alcool sanguine disproportionnellement augmentée 9 et il est essentiel d informer les patients sur ces changements, notamment en ce qui concerne les risques en lien avec la conduite automobile. Il est intéressant de noter que cette modification du métabolisme de l alcool n est pas observée après un anneau gastrique ou après une sleeve gastrectomie. 10 Le risque de développer une dépendance à l alcool après une intervention de chirurgie bariatrique est reconnu depuis longtemps et il était souvent postulé que ce risque était essentiellement en lien avec un transfert de dépendance de la nourriture vers l alcool (figure 3). En effet, le liquide est plus facilement absorbable après ce type d intervention et peut être consommé en quantité importante en cas de pulsion. Toutefois, des études récentes ont montré que le risque de développer une dépendance à l alcool n était pas identique pour tous les types de chirurgie bariatrique (figure 4). 11,12 Ce risque est significativement plus important après un RYGB qu après une intervention de type anneau gastrique ou gastroplastie verticale calibrée. Cependant, ces deux dernières interventions entraînent également une restriction alimentaire. Les mécanismes expliquant ces différences ne sont pas encore élucidés mais le seul transfert d une addiction à une autre ne permet de toute évidence pas de les expliquer. Les modifications marquées du métabolisme de l alcool après un RYGB pourraient expliquer ces différences. Une attention particulière doit donc être apportée à ce problème, particulièrement auprès des patients avec RYGB et une évaluation régulière de la consommation d alcool doit être réalisée. risque suicidaire La majorité des patients rapportent une amélioration de leur problème de santé après une chirurgie bariatrique. Adams et coll. 13 montraient, en 2007, que ce type de chirurgie permettait de réduire la mortalité à long terme en lien avec les maladies coronariennes, le diabète ou les cancers par rapport à un groupe contrôle. Cependant, il était noté dans cette étude que le risque d accidents et de suicides était significativement plus important chez les patients opérés d une chirurgie bariatrique. Ceci a été confirmé Consommation d alcool Stress/tension Colère Tristesse Fatigue Frustration Figure 3. Risque de transfert d une dépendance à la nourriture à une dépendance à l alcool après chirurgie bariatrique Ne pas pouvoir manger aussi facilement Comme les liquides passent plus facilement : compensation/réconfort/détente?! Risque de consommation d alcool excessive, voire d alcoolisme Risque de reprise pondérale 0 Revue Médicale Suisse 26 mars 2014 Revue Médicale Suisse 26 mars
5 conclusion Kaplan-Meier cumulative incidence of alcohol abuse diagnosis 0,14 0,12 0,10 0,08 0,06 0,04 0,02 0,00 Number ar risk GBP (16 events) Banding (10 events) VBG (45 events) Control (33 events) Log-rank test p l 0, Follow-up time, years GBP Banding VBG Control Figure 4. Incidence d abus de consommation d alcool après différents types de chirurgie bariatrique (D après réf. 11 ). GBP : bypass gastrique ; banding : anneau gastrique ; VBG : Vertical banded gastroplasty (gastroplastie verticale calibrée). par la suite par plusieurs études 14 et différents postulats ont été émis pour expliquer ces différences. 15 On retrouve notamment une désinhibition ou impulsivité qui pourrait être secondaire à la consommation d alcool et à son métabolisme modifié tel que décrit ci-dessus, les hypoglycémies hyperinsulinémiques qui pourraient être à l origine d accidents de voiture, des troubles de l absorption des médicaments antidépresseurs habituels ou une difficulté à intégrer les modifications corporelles faisant suite à la perte pondérale et notamment l excès cutané. Les évaluations psychiatriques préchirurgie bariatrique sont obligatoires mais la situation peut évoluer après la chirurgie et devrait être discutée avec les patients. Le suivi des patients après une chirurgie bariatrique ne peut donc se résumer à une substitution des carences. Il est essentiel d évaluer d autres aspects et complications qui peuvent survenir, en lien avec la chirurgie directement ou avec la réduction pondérale. Les patients, après ce type de chirurgie, décrivent souvent une phase de satisfaction remarquable en lien avec la perte pondérale rapide et importante tant attendue. Il pourrait être supposé que cet état perdure mais la persistance de problèmes de santé, l insatisfaction de la perte pondérale ou la gêne en lien avec les excès cutanés, la non-réalisation d attentes magiques sur le plan personnel ou professionnel suite à la réduction pondérale, peuvent affecter profondément ces patients. Un suivi médical attentif, ciblé sur ces différents aspects, peut permettre d accompagner les patients et d éviter des complications somatiques, ainsi que de les aider à gérer des éventuelles difficultés psychologiques. L auteur n a déclaré aucun conflit d intérêts en relation avec cet article. Implications pratiques La contraception orale n est pas efficace après un RYGB (Roux-en-Y bypass gastrique) et une contraception alternative doit être débutée avant l intervention chirurgicale Les patientes qui ont une grossesse après une chirurgie bariatrique doivent être informées que leurs besoins nutritionnels sont différents de ceux d une grossesse habituelle Le risque de lithiase rénale est augmenté après une chirurgie bariatrique et la fonction rénale doit être régulièrement évaluée Les patients qui sont suivis régulièrement après une intervention chirurgicale ont un risque de reprise pondérale moins important Le risque de dépendance à l alcool et le risque suicidaire sont augmentés après la chirurgie bariatrique. Ces aspects doivent être évoqués et évalués en consultation Bibliographie 1 Directive du SMOB pour le traitement chirurgical de l obésité : R Thèmes R Assurance-Maladie R Bases légales et d exécution R Droit applicable R Documents de référence relatifs à l OPAS et ses annexes R Maggard MA, Yermilov I, Li Z, et al. Pregnancy and fertility following bariatric surgery : A systematic review. JAMA 2008;300: * Magdaleno R, Pereira BG, Chaim EA, et al. Pregnancy after bariatric surgery : A current view of maternal, obstetrical and perinatal challenges. Arch Gynecol Obstet 2012;285: ** Heber D, Greenway FL, Kaplan LM, et al. Endocrine and nutritional management of the post-bariatric surgery patient : An Endocrine Society Clinical Practice Guideline. J Clin Endocrinol Metab 2010;95: Wahba IM, Mak RH. Obesity and obesity-initiated metabolic syndrome : Mechanistic links to chronic kidney disease. Clin J Am Soc Nephrol 2007;2: Taylor EN, Stampfer MJ, Curhan GC. Obesity, weight gain, and the risk of kidney stones. JAMA 2005; 293: Compher CW, Hanlon A, Kang Y, et al. Attendance at clinical visits predicts weight loss after gastric bypass surgery. Obes Surg 2012;22: Keren D, Matter I, Rainis T, et al. Getting the most from the sleeve : The importance of post-operative follow-up. Obes Surg 2011;21: Steffen KJ, Engel SG, Pollert GA, et al. Blood alcohol concentrations rise rapidly and dramatically after Roux-en-Y gastric bypass. Surg Obes Relat Dis 2013; 9: Changchien EM, Woodard GA, Hernandez-Boussard T, et al. Normal alcohol metabolism after gastric banding and sleeve gastrectomy : A case-cross-over trial. J Am Coll Surg 2012;215: * Svensson PA, Anveden Å, Romeo S, et al. Alcohol consumption and alcohol problems after bariatric surgery in the Swedish obese subjects study. Obesity 2013;21: Ostlund MP, Backman O, Marsk R, et al. Increased admission for alcohol dependence after gastric bypass surgery compared with restrictive bariatric surgery. JAMA Surg 2013;148: Adams TD, Gress RE, Smith SC, et al. Long-term mortality after gastric bypass surgery. N Engl J Med 2007; 357: Peterhänsel C, Petroff D, Klinitzke G, et al. Risk of completed suicide after bariatric surgery : A systematic review. Obes Rev 2013;14: Mitchell JE, Crosby R, de Zwaan M, et al. Possible risk factors for increased suicide following bariatric surgery. Obesity 2013;21: * à lire ** à lire absolument 710 Revue Médicale Suisse 26 mars 2014
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLa chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure
REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailChirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!
Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques
LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques Dr D.Nocca, Dr C. de Seguin de Hons,Dr V.Salsano, Dr PM.Blanc, Dr E.Deneve, Dr S.Faure, Dr R.Altwegg, Dr M.Veyrac, Dr P.Bauret, Dr JC Valats, Pr D.Larrey, V.Harivel,
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailNurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailDIAMICRON MR (Gliclazide) Monographie de produit Page 1 de 5
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr DIAMICRON MR Gliclazide Comprimés à libération modifiée de 30 mg Comprimés sécables à libération modifiée de 60 mg Le présent dépliant constitue la troisième
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailVivez votre féminité sans souffrir.
Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailAvis 20 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 20 novembre 2013 COVERSYL 2,5 mg, comprimé pelliculé B/30 (CIP : 34009 366 587 5 2) B/90 (CIP : 34009 366 590 6 3) COVERSYL 5 mg, comprimé pelliculé sécable B/30 (CIP
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE
Université d Angers, UFR des sciences Médicales, Ecole de Sages-Femmes René ROUCHY, Diplôme d Etat de Sage-Femme LA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE Etude rétrospective réalisée au CHU d Angers. Soutenue
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailFCC 8. Les perturbations endocriniennes après. chirurgie de l obésité
Congrès de l Association Française de Chirurgie Paris du 30 septembre au 2 octobre 2009 Séance de Formation Chirurgicale Continue FCC 8 Les perturbations endocriniennes après chirurgie de l obésité Organisateur
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailGrossesse et rôle parental après une transplantation: Ce que vous devriez savoir
Grossesse et rôle parental après une transplantation: Ce que vous devriez savoir Transplantation et grossesse La transplantation offre une seconde chance de vivre à bon nombre de personnes atteintes d
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013 1 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR ALEVE 220 mg, comprimés pelliculés Naproxène sodique Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailLe traitement en effet est, au début, une épreuve pour tout le monde : la malade d abord, les parents ensuite et même les thérapeutes.
Les troubles du comportement alimentaire (TCA) sont l expression d un mal-être et d un manque de confiance en soi. Anorexie et boulimie sont des maladies douloureuses et il faut du temps pour s en sortir.
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détail