Intérêt des techniques hypnotiques dans la prise en charge de la douleur aigüe et chronique de l enfant

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1 Intérêt des techniques hypnotiques dans la prise en charge de la douleur aigüe et chronique de l enfant Chantal Wood Unité d Evaluation et de Traitement de la Douleur Hôpital Robert Debré Paris, France SAETD Annaba, Algérie, Avril 2009

2 L hypnose Large et al. Proceedings of the 10th World Congress on Pain. Progress in Pain Research and Management 2003; 24 : Une sensation de relaxation mentale Une attention concentrée et focalisée L absence de jugement ou de censure Une suspension d orientation de lieu ou de temps Une expérience de réponses quasi automatiques Permettant l incorporation de suggestions hypnotiques dont celles d analgésie

3 Bases Utiles A l hôpital l enfant est souvent focalisé sur sa peur et sa douleur Lors d un soin il est déjà en transe hypnotique si il a peur La situation crée une dissociation «naturelle» que le soignant va utiliser autrement Utiliser tout ce que le patient amène et le valider +++ Connaître le patient (âge cognitif), ses attentes, sa motivation

4 Pousser à une participation active : la technique est alors plus efficace Chercher à réduire l anxiété et à réinterpréter l expérience comme quelque chose d agréable (importance du contexte émotionnel dans la mémoire) Être créatif et intuitif Bases Utiles OSER PERSISTER GARDER LE LIEN CROIRE A CE QUE L ON RACONTE +++++

5 Importance du 1 er geste douloureux (PL ou PM) Douleur Oucher transformée en 0-10 Placebo lors du 1er soin suivi de Fentanyl lors des soins ultérieurs Fentanyl pour toutes les interventions 1ère 2ème 3ème 4ème 5ème Intervention Weisman SJ, Bernstein B, Schechter NL (1998). Consequences of inadequate analgesia during painful procedures in children. Arch Pediat Adol Med, 152, 147.

6 Deux types de mémoire La mémoire implicite Inconsciente Un souvenir enfoui, «rappelé» par une expérience identique, vient moduler sensation et émotion nouvelles Active à tout âge, seule en cause chez le petit La mémoire explicite Consciente L enfant peut raconter la douleur passée (siège, intensité, durée) Active seulement après 3 ou 4 ans Mémoires explicite comme implicite jouent un rôle : - l anticipation de l expérience suivante - conséquences à long terme de la douleur «enregistrée»

7 Descending analgesia When the spine echoes what the brain expects P Goffaux, WJ Redmond, P Rainville, S Marchand Pain 2007, 130 : Nos attentes concernant la douleur modifient le vécu de la douleur Nos attentes d hyperalgésie bloquent complètement les effets analgésiques de l inhibition descendante sur les reflexes nociceptifs spinaux La modulation de la douleur par nos pensées se fait autant sur la moelle que sur le cerveau La suppression de l inhibition spinale par nos attentes suggère que les effets des médicaments antalgiques pourraient être bloquées.

8 Que proposer? Nos mots? Nos attitudes? La distraction? L hypnose? En sachant que lorsqu on a peur et mal, on est déjà en hypnose, focalisé sur une région de notre corps.

9 La focalisation par distraction et ses effets La distraction et l attention : méthode la plus utilisée par les parents à adapter à l âge cognitif de l enfant, à sa fatigabilité mettre en jeu les différentes modalités sensorielles Parent attention versus distraction : impact on symptom complaints by children with and without chronic functional abdominal pain. Walker LS. et al. Pain 2006; 122 : les plaintes douloureuses sont doublées lors d une attitude attentive de la part du parent elles sont réduites de moitié lors d une distraction les parents des enfants malades pensent que la distraction a un effet négatif sur leurs enfants

10 Comment parler à l enfant? Rôle du soignant: un rôle de communication S adapter à l âge : 0 à 2 ans : bercement, tétine, chanson 2 à 4 ans : parler à l enfant à travers son jouet ou doudou favori, raconter une histoire, souffler des bulles 4 à 6 ans : raconter une histoire, souffler des bulles, faire «comme si» 6 à 11 ans : parler de son endroit favori (chambre etc) raconter une histoire regarder les nuages etc 11 à 18 ans : parler de son endroit favori, son sport etc

11 Hypnose conversationnelle Le cerveau n entend pas la négation.. «concentrez vous je ne veux pas que «vous pensiez à un éléphant rose» «n aies pas peur.. tu n auras pas mal» «ne t inquiètes pas..» «ne tombes pas...» «n oublies pas ton cartable» projeter le patient dans le futur du geste ou de la chirurgie.. «tu pourras tellement mieux jouer avec les copains si tu mets ton pyjama..» «tu pourras regarder la télé juste après que je t ai ausculté»

12 Hypnose conversationnelle l aider avec la régression en âge : je comprends que tu ne puisses bouger ta main. (ex : une algodystrophie) mais je sais que si tu fais de l exercice tous les jours..surtout si tu l aides avec l autre main.. Ta main, petit à petit, va retrouver les mouvements qu elle faisait. le moment de l ordonnance : un moment hypnotique ex. : en prenant ce médicament tu seras certainement très étonné de t apercevoir, que dès demain ou dans quelques jours, non seulement il va faire diminuer ta douleur, mais tu dormiras mieux et te donner beaucoup de confort, de plus en plus, chaque jour suivant

13 Hypnose et MEOPA (1) Largement employée à Robert Debré : surtout pour les soins douloureux soins dentaires ponctions lombaires ponctions de moelle ponctions biopsie rénale pansements divers luxations, fractures peu déplacées kinésithérapie précoce crises vaso-occlusives chez le drépanocytaire voies veineuses enfants anxieux ou phobiques

14 Hypnose et MEOPA (2) Le Gaz : Mélange Équimolaire d Oxygène et de Protoxyde d Azote (MEOPA) assure : analgésie de surface, sédation consciente, anxiolyse, euphorie, effet anti-nmda pourrait faciliter une focalisation sur «autre chose» pendant l inhalation, l enfant garde un contact verbal et interagit avec la personne qui «l accompagne»

15 Hypnose et MEOPA (3) avoir des repères sur le développement cognitif de l enfant établir une relation thérapeutique de qualité expliquer la méthode à l enfant obtenir son adhésion chercher à savoir ce que l enfant veut «vivre» pendant le geste utiliser des techniques d imagerie mentale se faire aider par les parents (les impliquer)

16 Hypnose et MEOPA (4) Avantages de la méthode : meilleure focalisation sur autre chose adhésion active méthode ludique donne l impression d avoir fait un rêve agréable peu ou pas d appréhension pour le geste futur les enfants témoignent de la supériorité de cette technique

17 Hypnose sans sédation médicamenteuse à l Hôpital Robert Debré Dans un contexte d Urgence Enfant inéxaminable, traumatisme. Ponctions veineuses.. D autres gestes douloureux Pendant une hospitalisation Pour entrer en contact avec un enfant (effrayé, mutique ) Pour des pansements fait sans analgésiques La kinésithérapie Phobie des piqûres, des PL. Relaxation Situations de «fin de vie»

18 Hypnose sans sédation médicamenteuse Douleur récurrente ou chronique : enfants adressés pour apprendre l hypnose Présentant des pathologies chroniques : Douleurs chroniques ou récurrentes : douleurs abdominales, céphalées, migraines, douleurs myofasciales, douleurs neuropathiques. Amputations Leucémie, cancer.(phobies des piqûres, des PL ) Scoliose, paraplégies Mucoviscidose, maladie de Cröhn.. Drépanocytose.

19 Hypnose avec ou sans sédation médicamenteuse Le but est de focaliser l attention sur autre chose 3 techniques : La distraction : bulles de savon, kaléidoscope, dessiner un dessin imaginaire qu il faut deviner, jouer avec les doigts.. les pieds (surtout pour les petits) La dissociation : être un peu ici et en même temps ailleurs, faire comme si L hypno-analgésie : suggestions centrées sur l analgésie ou la substitution sensorielle : corps cotonneux, appliquer une pommade magique, gant magique

20 Les sondes

21 Crème magique

22 Prise de sang

23 Conclusion Les techniques hypnotiques : améliorent le vécu de l enfant face à la douleur et à d autres problèmes de santé permettent de «faire face» en reprenant le contrôle et lui montre qu il a des ressources en lui sont complémentaires dans le traitement de la douleur aiguë ou chronique permettent la mise en place d un travail de collaboration entre l enfant, sa famille, l équipe soignante et le thérapeute.

24 CD de Techniques d Hypnose pour les parents : Sanofi-Aventis-Theraplix

25 Quelques lectures / infirmiers.douleur@rdb.aphp.fr

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