Épreuve écrite de SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Épreuve écrite de SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE"

Transcription

1 Banque Agro Veto. Session 2012 Rapport sur les concours A TB Épreuve écrite de SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Concours Nb cand. Moyenne Ecart type TB ENSA- ENITA Note la plus basse Note la plus haute 90 11,9 3, TB ENV 59 12,34 3, TB ARCH BIO 80 11,94 3, L'épreuve consistait à étudier l'adaptation des Angiospermes à des conditions de vie difficiles. Dans une première partie, les candidats devaient montrer, à l'aide de leurs connaissances, comment les Angiospermes herbacées peuvent supporter le passage de l'hiver et assurer ainsi la pérennité de l'espèce. Un exposé structuré, avec un plan apparent, une courte introduction et une courte conclusion était attendu. Dans une seconde partie, une analyse de documents, structurée en trois thèmes, était demandée. À la fin de chaque thème, une courte conclusion, s'appuyant sur un schéma bilan était attendue. Répartition des notes Les notes s'étalent de 4 à 20. L'épreuve a mis en évidence des candidats qui présentaient des difficultés dans l'élaboration d'un travail de synthèse ou dans l'analyse de documents (notes en deçà de 9). D'autres candidats ont présenté une maîtrise souvent pas assez solide de l'analyse de documents et une maîtrise variable de l'exercice de synthèse (notes entre 9 et 12). Enfin, les candidats ayant une note supérieure à 12/20 ont globalement compris l'ensemble du sujet. Ils ont montré qu'ils maîtrisaient les deux types d'exercices, même si les deux parties ou les différents thèmes de la seconde partie ont été traités de façon inégale selon les candidats. Première partie : Forme : L'introduction, brève, doit définir les termes du sujet (Angiospermes, herbacées, hiver, espèce, pérennité), présenter la problématique et annoncer le plan. La conclusion doit résumer les grandes idées et ouvrir le problème. Le plan, apparent, traduit de façon concise le cheminement de l'exposé. Titres, paragraphes et schémas permettent de construire un exposé répondant à la problématique posée et de faire ressortir clairement l'argumentation. Un réel effort a été fourni par les candidats sur la définition des termes, et peu de copies ont présenté de hors-sujet important. Quelques candidats ont rappelé brièvement les limites du

2 sujet (Gymnospermes, plantes ligneuses) en introduction. Une telle démarche est encouragée car elle permet notamment aux candidats de mieux cibler leur argumentation et d'éviter quelques paragraphes hors-sujet. Des progrès notables dans la formulation des titres et dans la précision du vocabulaire ont été observés. Enfin, plusieurs candidats ont montré des difficultés à équilibrer leur argumentation sur l'ensemble de leur exposé. Le jury conseille aux candidats de traiter l'ensemble du sujet de manière équilibrée. Éléments de correction : En région tempérée, la survie des espèces d'angiospermes herbacées à l'hiver est permise par des modifications affectant les organismes, des organes aux cellules, ou par la mise en place de structures spécialisées. La perte des organes aériens, la protection des organes de résistance, les mécanismes cellulaires et moléculaires limitant le gel permettent aux Angiospermes herbacées de supporter l'hiver. Les organes et molécules de réserve, le métabolisme ralenti des organismes assurent la pérennité de l'espèce. Les modifications affectant les organismes sont synchronisées avec les saisons : la mise en réserve est contrôlée, la sortie de la vie ralentie l'est également. Seconde partie : Forme : Si les documents sont souvent décrits, les interprétations sont assez souvent absentes ou imprécises. Le jury rappelle que toute observation doit être interprétée. La formulation d'hypothèses, le lien avec les autres documents ne peuvent qu aider les candidats à comprendre la progression d'ensemble de chaque thème. Les bilans en fin de chaque thème ont permis à nombre de candidats de faire valoir une bonne compréhension du problème alors que leurs analyses, documents après documents, étaient parfois incomplètes. Éléments de correction : Thème 1 : les mécanismes de la photosynthèse des plantes CAM Document 1.1 : Observation : la PEPc est présente chez les plantes CAM dans le cytosol. Interprétation : il y a donc possibilité de photosynthèse en C4 comme pour les plantes en C4. Document 1.2.A : Observation : pour l'espèce à métabolisme en C3, il y a absorption de CO 2 le jour et rejet la nuit. Interprétation : le jour, les enzymes du cycle de Calvin sont actives, et la RuBisCO fixe plus de CO 2 que la respiration n'en libère ; la nuit, il y a uniquement respiration de la plante. Observation : pour l'espèce à métabolisme CAM, il y a absorption de CO 2 la nuit, et quasi compensation entre absorption et rejet le jour. Interprétation : la fixation du CO 2 a donc lieu la nuit, soit par la RuBisCO, soit par la PEPc. L'absence d'échanges gazeux traduit une adaptation au milieu aride (limitation de l'évapotranspiration). Document 1.2.B : Observation : chez les plantes CAM étudiées, l'activité de la PEPc est plus importante la nuit que le jour. C'est l'inverse pour l'activité de la RuBisCO. Interprétation : d'après les documents 1 et 2, on peut donc conclure que le CO 2 est fixé la nuit par la PEPc située dans le cytosol (hypothèse : photosynthèse en C4), qu'un intermédiaire moléculaire est

3 exporté dans le chloroplaste où le CO 2 est libéré et fixé, le jour, par la RuBisCO sur une molécule à 3 carbones (photosynthèse en C3). Il y a donc découplage temporel (et non spatial comme les plantes en C4) des carboxylations en C4 et en C3. Document 1.3 : Observation : la quantité de malate augmente la nuit et diminue le jour. Interprétation : il y a donc synthèse de malate la nuit et utilisation le jour. La nuit, la PEPc fixe donc le CO 2 et permet la synthèse du malate, utilisé le jour et fournissant le CO 2 à la RuBisCO. Bilan 1 : La nuit, les stomates des plantes CAM sont ouverts, la RUBisCO est inactive et la PEPc située dans le cytosol fixe le carbone, permettant ainsi la synthèse du malate. Le jour, la PEPc devient moins active et la RuBisCO active fixe, dans le chloroplaste et au cours du cycle de Calvin, le CO 2 libéré par la molécule à 4 carbones. Cette étape, réalisée stomates fermés et utilisant l'énergie lumineuse, permet de limiter l'évapotranspiration. Thème 2 : adaptations morphologiques, anatomiques et physiologiques des plantes à métabolisme CAM Document 2.1 : La plante CAM présente des feuilles épaisses et une surface foliaire réduite (A), ce qui diminue l'évapotranspiration. La coupe transversale de l'une de ses feuilles montre une cuticule épaisse (B+C) ce qui permet de limiter les pertes d'eau. Elle présente deux types de parenchymes (B+D) : l'un est périphérique, à petites cellules photosynthétiques, l'autre est central à grandes cellules riches en mucilage (parenchyme aquifère) ayant donc un rôle dans le stockage de l'eau. La feuille de cette plante a donc un rôle permettant de stocker l'eau et de limiter sa perte (adaptation à des conditions arides). Document 2.2 : Observation : les plantes CAM ont globalement des feuilles et un mésophylle plus épais, des cellules du mésophylle plus grandes que les plantes en C3. Interprétation : la présence de telles structures favorise vraisemblablement la formation d'un parenchyme aquifère développé et donc le stockage important d'eau. Document 2.3 : Observation : le mésophylle de plantes CAM comporte un mucilage occupant presque tout l'espace intrafoliaire et présente un potentiel hydrique plus négatif que les plantes en C3. Interprétation : l'eau diffuse par osmose vers le mésophylle de faible potentiel hydrique et est ainsi stockée dans le parenchyme aquifère riche en mucilage. Document 2.4 : Observation : le pôle à degré de succulence le plus faible a un métabolisme de type C3 et le pôle à degré de succulence le plus fort a un métabolisme de type CAM. Interprétation : il semble qu'il y a une corrélation entre le degré de succulence et le type de métabolisme. Le métabolisme CAM et un degré de succulence élevé traduisent tous deux une adaptation au milieu aride (limitation de l'évapotranspiration et stockage d'eau). Document 2.5 : Observation : suite à la baisse des précipitations, le potentiel hydrique du sol diminue et le degré de fermeture des stomates augmente. Interprétation : on peut donc penser que la baisse du potentiel hydrique du sol (dû ici à la baisse des précipitations, donc à une augmentation de l'aridité du milieu) entraîne la fermeture des stomates et limite ainsi les pertes en eau de la plante.

4 Bilan 2 : L'adaptation des plantes CAM à l'aridité se traduit par des adaptations au niveau de la feuille et de ses tissus (feuille épaisse, parenchyme aquifère développé, cuticule épaisse), au niveau des stomates (ouverture contrôlée par l'aridité du milieu), au niveau moléculaire (métabolisme CAM). Ces adaptations permettent de limiter les pertes d'eau et d'assurer son stockage. Thème 3 : induction du métabolisme CAM chez Mesembryanthemum crystallynum au cours d'un stress hydrique Document 3.1 : Observation : pour toutes les conditions d'expérience, le témoin de charge (Fnr1) présente une quantité constante d'adnc du gène Fnr1. La quantité d'adnc de Fnr1 est la même que celle observée pour le gène PEPc dans des extraits de feuilles mis en présence d'eau de 0 à 9h ou des conditions d'aridité à 0h. Par contre, la quantité d'adnc augmente dès 3h dans des conditions d'aridité (milieu déshydraté ou salé). Interprétation : on peut donc supposer que l'absence d'eau ou la présence de NaCl du milieu active l'expression du gène PEPc. L'aridité entraînerait donc le passage d'un métabolisme en C3 à un métabolisme CAM. Document 3.2 : Observation dans le cas d'une première incubation dans de l'eau sans inhibiteur : en présence de NaCl lors de la deuxième incubation, la quantité d'adnc de la PEPc est plus importante qu'en présence d'eau seule. Interprétation : ceci confirme l'hypothèse d'activation de l'expression de la PEPc par un stress hydrique. Observation dans le cas d'une première incubation dans de l'eau avec inhibiteur de protéines kinases calcium/calmoduline dépendantes : en présence ou non de NaCl lors de la deuxième incubation, la quantité d'adnc de la PEPc reste faible. Interprétation : on peut donc supposer que l'activation de l'expression du gène PEPc met en jeu des protéines kinases calcium/calmoduline dépendantes. Document 3.3 : Observation : suite à un stress salin, la quantité de cytosine méthylées dans la région entourant le promoteur du gène de la PEPc augmente. Interprétation : l'activation de la transcription de la PEPc met donc en jeu la méthylation des cytosines situées à proximité du promoteur. Document 3.4 : Observation : la représentation de Lineweaver et Burk permet de comparer l'activité de la PEPc par l'étude de la constante de Michaelis et de la vitesse initiale maximale. Un stress hydrique ne modifie pas la vitesse intiale maximale mais modifie la constante de Michaelis. Cette constante est plus faible (1/5) en cas de stress hydrique (contrôle = 1/4). Interprétation : le stress hydrique entraîne donc une augmentation de l'affinité de la PEPc pour son substrat. Bilan 3 : L'aridité du milieu active donc la transcription du gène de la PEPc : un stress hydrique entraînerait une augmentation de la concentration intracellulaire en calcium, qui activerait les protéines kinases calcium/calmoduline dépendantes. Ces protéines activeraient la transcription du gène de la PEPc en méthylant les cytosines situées autour de son promoteur. L'aridité a également un effet post-traductionnel : un stress hydrique augmente l'activité enzymatique de la PEPc. L'aridité exerce donc un contrôle au niveau transciptionnel et post-traductionnel.

5 Conclusion Les deux parties du sujet ont été abordées par l'ensemble des candidats (à quelques rares exceptions pour la première partie). Dans la première partie, la majorité des candidats est arrivée à dégager les grandes idées permettant de répondre au problème. Cette partie a permis de discerner les candidats présentant une argumentation structurée et équilibrée et ceux présentant une argumentation plus confuse et/ou déséquilibrée. Dans la seconde partie, la majeure partie des documents a été abordée par les candidats (seul le dernier document a rarement été abordé). Cette partie a permis de distinguer les candidats présentant des difficultés dans la description des documents et/ou dans leur interprétation de ceux plus à l'aise dans l'analyse des documents. Correctrice : Mme GOUDARD

Cycle de production et cycle des déchets

Cycle de production et cycle des déchets Cycle de production et cycle des déchets la solution informatique et gestionnaire de SISTEMA AMBIENTE DIGITALIS S.r.l. www.sistemaambiente.net digitalis@iride.to.it 1 La solution informatique donne la

Plus en détail

Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre

Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

Détermination des enjeux exposés

Détermination des enjeux exposés RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre

Plus en détail

Baccalauréat technologique

Baccalauréat technologique Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9

Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés

Plus en détail

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Les plantes et la lumière

Les plantes et la lumière Les plantes et la lumière Première partie : la lumière comme source d énergie Pierre.carol@upmc.fr http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/photosynthese-cours/index.htm 1. Introduction La lumière est la source

Plus en détail

GUIDE DU CANDIDAT INDIVIDUEL (CNED salariés ex-apprentis ex-scolaires ex-formation continue)

GUIDE DU CANDIDAT INDIVIDUEL (CNED salariés ex-apprentis ex-scolaires ex-formation continue) GUIDE DU CANDIDAT INDIVIDUEL (CNED salariés ex-apprentis ex-scolaires ex-formation continue) Direction des Examens et Concours DEC4 Affaire suivie par Annick HOUSSAT-SALLE Téléphone 05 61 17 71 38 Télécopie

Plus en détail

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser

Plus en détail

PRÉSENTATION DE LA MAINTENANCE INFORMATIQUE

PRÉSENTATION DE LA MAINTENANCE INFORMATIQUE 1000. PRÉSENTATION DE LA MAINTENANCE INFORMATIQUE En informatique, la notion de maintenance n'est pas figée et comporte des prestations de natures forts différentes qui vont du simple dépannage des équipements

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST 1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES

CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES concernant le Comité d'action pour le Progrès Economique et Social Haut-Rhinois (C.A.H.R) Exercice 1994 à 1997 1. Les comptes et la situation

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Guide de référence utilisateur

Guide de référence utilisateur EHBH04CA EHBH08CA EHBH16CA EHBX04CA EHBX08CA EHBX16CA EHVH04S18CA EHVH08S18CA EHVH08S26CA EHVH16S18CA EHVH16S26CA EHVX04S18CA EHVX08S18CA EHVX08S26CA EHVX16S18CA EHVX16S26CA Français Table des matières

Plus en détail

MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES

MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES Sous-direction des affaires financières et générales 182, rue Saint-Honoré 75033 Paris cedex 01 Service bénéficiaire :

Plus en détail

S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte

S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte Il s'agit d'effectuer une correspondance entre le lieu où l'on se trouve

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS SUITE A DONNER SOURCE. Note du collectif d associations de consommateurs sur le format d affichage

COMMENTAiRES/ DECISIONS SUITE A DONNER SOURCE. Note du collectif d associations de consommateurs sur le format d affichage Plate-forme d'échanges Date : 2011-06-10 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org Affichage environnemental des produits grande consommation Numéro du document:

Plus en détail

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu

Plus en détail

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe «Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter

Plus en détail

Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC

Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Les emplois repères de cette enquête sont disponibles selon les trois blocs suivants

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

Fiche FOCUS. Les téléprocédures. Opter pour l'accès sans certificat hors espace professionnel

Fiche FOCUS. Les téléprocédures. Opter pour l'accès sans certificat hors espace professionnel Fiche FOCUS Les téléprocédures Opter pour l'accès sans certificat hors espace professionnel Dernière mise à jour : avril 2015 Table des matières 1. Présentation...3 1.1 Objet de la fiche...3 1.2 A qui

Plus en détail

Autogestion = Gestion d'une entreprise, d'une collectivité, par ceux qui y travaillent.

Autogestion = Gestion d'une entreprise, d'une collectivité, par ceux qui y travaillent. Règlement Intérieur 1. Idées fondatrices Nouveau lieu de spéculation par excellence des entreprises du secteur marchand, l'internet a vu se développer, ces dernières années, de plus en plus de services

Plus en détail

Equipement d un forage d eau potable

Equipement d un forage d eau potable Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de

Plus en détail

Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015

Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015 Pages 38 à 41. Pourquoi on a fait l'euro. Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015 - situe en 1970 le projet de créer une monnaie unique au sein de la Communauté économique européenne

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

1 Le chauffage des serres agricoles

1 Le chauffage des serres agricoles 1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment

Plus en détail

TIC. Panorama. L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise

TIC. Panorama. L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise TIC (Technologies de l'information et de la communication) Panorama L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise La taille du marché (en PIB réel) des technologies

Plus en détail

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!! Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens

Plus en détail

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop

Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop par Rémi BORNET le 29/12/2009 Beaucoup de personnes n'arrivent pas à obtenir de bons résultats en photos sous UV et ne trouvent pas de conseils. Cet

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Chapitre IV : La Tenue Des Livres Le journal Le grand Livre

Chapitre IV : La Tenue Des Livres Le journal Le grand Livre Chapitre IV : La Tenue Des Livres Le journal Le grand Livre A - Notion sur la tenue des livres : 1) Notions Générales : La tenue des livres consiste à inscrire sur des registres comptables les différentes

Plus en détail

REALISER UN SITE INTERNET AVEC IZISPOT SOMMAIRE

REALISER UN SITE INTERNET AVEC IZISPOT SOMMAIRE REALISER UN SITE INTERNET AVEC IZISPOT Voici un tutoriel pour vous aider à réaliser un petit site internet (4 pages) à l'aide du logiciel gratuit IZISPOT. Dans l'exemple qui suit, il s'agit de mettre en

Plus en détail

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles

Plus en détail

β-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)

β-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P) bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du

Plus en détail

Reaper : utilisations avancées

Reaper : utilisations avancées Reaper : utilisations avancées Reaper dispose de ressources qui, sans être cachées, ne sont pas toujours faciles à trouver, d'autant plus que souvent on n'imagine même pas que ces choses soient possible!...

Plus en détail

Fait opinion. Département EEO CUEEP-USTL

Fait opinion. Département EEO CUEEP-USTL Fait opinion Département EEO CUEEP-USTL Avril 2007 Table des Matières ChapitreI. Exercices d'observation... 4 A. Exercice d'observation n 1...4 A.1. Réponses attendues...5 B. Exercice d'observation n 2...5

Plus en détail

MANUEL D'UTILISATION Téléphone Aastra 6753i, PoE

MANUEL D'UTILISATION Téléphone Aastra 6753i, PoE MANUEL D'UTILISATION Téléphone Aastra 6753i, PoE 1. Combiné 9. Menu (accès aux paramètres) 2. Ecran 10. Mise en attente 3. Touches fonctionnelles 11. Clavier de saisie 4. Voyant lumineux 12. Casque (On

Plus en détail

TRAVAUX DIRIGÉS D'ÉLECTRONIQUE DE PUISSANCE

TRAVAUX DIRIGÉS D'ÉLECTRONIQUE DE PUISSANCE TRAVAUX DIRIGÉS D'ÉLECTRONIQUE DE PUISSANCE COMPARAISON DE PROCESSUS DE CHAUFFAGE DE L'EAU, ÉTUDE DE LA TARIFICATION EDF : coût de l'élaboration quotidienne d'une tasse de café Objectifs du TD : vous faire

Plus en détail

Union Suisse des Fiduciaires USF

Union Suisse des Fiduciaires USF Union Suisse des Fiduciaires USF Règlement sur l approbation des statuts des sections et la qualité de membre d une section de l USF (Règlement des membres) du 26 novembre 2005 Préambule Conformément à

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance

Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Domaine : Bâtiment, éco-construction, rénovation Durée : 5 mois ROME : F603 Code AFPA : 9 Objectifs : Poser,

Plus en détail

Chapitre Ier : Qualifications.

Chapitre Ier : Qualifications. G / Vte fds comm forma Décret n 98-246 du 2 avril 1998 relatif à la qualification professionnelle exigée pour l'exercice des activités prévues à l'article 16 de la loi n 96-603 du 5 juillet 1996 relative

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

1 sur 5 26/12/2008 21:02

1 sur 5 26/12/2008 21:02 Souvent, lorsqu'on achète une deuche sortie de grange, dans le meilleur des cas on a la clé de contact... mais elle n'ouvre pas les portes... en tout cas pour moi c'était comme ça. Comme j'essaie de limiter

Plus en détail

CCSP EN UN COUP D OEIL. Chapitre SP 4250 Présentation des entités contrôlées et apparentées dans les états financiers des organismes sans but lucratif

CCSP EN UN COUP D OEIL. Chapitre SP 4250 Présentation des entités contrôlées et apparentées dans les états financiers des organismes sans but lucratif CCSP EN UN COUP D OEIL Chapitre SP 4250 Présentation des entités contrôlées et apparentées dans les états financiers des organismes sans but lucratif Mars 2014 Chapitre SP 4250 Présentation des entités

Plus en détail

Enseignement secondaire technique

Enseignement secondaire technique Enseignement secondaire technique Régime technique Division de la formation administrative et commerciale Cycle moyen Comptabilité Classe de 10CM Nombre de leçons: 3.0 Nombre minimal de devoirs: 2 devoirs

Plus en détail

Théories de la Business Intelligence

Théories de la Business Intelligence 25 Chapitre 2 Théories de la Business Intelligence 1. Architectures des systèmes décisionnels Théories de la Business Intelligence Depuis les premières requêtes sur les sources de données OLTP consolidées

Plus en détail

Guide du tuteur en entreprise

Guide du tuteur en entreprise Brevet de Technicien Supérieur Assistant Gestion PME - PMI Guide du tuteur en entreprise LYCEE LA MENNAIS 2 rue Général Dubreton (site général-technologique) Directeur : Ihsan JAAFAR 3 rue de Guibourg

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

Concours du second degré Rapport de jury. Concours : CAPLP externe. Section : économie et gestion option transport et logistique.

Concours du second degré Rapport de jury. Concours : CAPLP externe. Section : économie et gestion option transport et logistique. Concours du second degré Rapport de jury Concours : CAPLP externe Section : économie et gestion option transport et logistique Session 2014 Rapport de jury présenté par : Pierre VINARD www.education.gouv.fr

Plus en détail

Code de la publicité écologique

Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément

Plus en détail

Bonnes pratiques concernant l usage de la messagerie

Bonnes pratiques concernant l usage de la messagerie Bonnes pratiques concernant l usage de la messagerie But Ce document vise à fournir des bonnes pratiques pour la gestion des messages électroniques produits ou reçus dans le cadre des activités du service.

Plus en détail

CONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE

CONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ AGENCEMENT INTÉRIEUR CONCOURS EXTERNE ET INTERNE CONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE NATURE DES ÉPREUVES Arrêté du 24 janvier 1992 (publié au Journal officiel du 14 février 1992) Les épreuves

Plus en détail

PLATEFORME HORIZONS EMPLOI Métiers et professions

PLATEFORME HORIZONS EMPLOI Métiers et professions PLATEFORME HORIZONS EMPLOI Métiers et professions Dessinateur-projeteur/dessinatrice-projeteuse en électricité et électronique (52132 ) Informations sur le groupe de métiers Les métiers du groupe Dessinateur-projeteur

Plus en détail

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Cour de cassation chambre sociale Audience publique du mardi 9 novembre 2010 N de pourvoi: 08-40535 Publié au bulletin Rejet Mme Collomp (président), président SCP Lyon-Caen, Fabiani et Thiriez, SCP Masse-Dessen

Plus en détail

Enseignement secondaire technique

Enseignement secondaire technique Enseignement secondaire technique Régime technique Division de la formation administrative et commerciale Cycle moyen Comptabilité Classe de 11CM Nombre de leçons: 3.0 Nombre minimal de devoirs: 2 devoirs

Plus en détail

www.frigro.be/export FRIGRO EXPORT

www.frigro.be/export FRIGRO EXPORT FRIGRO EXPORT Frigro sa Établie en 1980 par Mr. André Decuypere, actuellement gérer par Koen et Bert Decuypere t tb td Grossiste et fabricant des solutions frigorifique Distributeur officiel de marques

Plus en détail

NÉGOCIER LES ACHATS. durée 2x2 jours

NÉGOCIER LES ACHATS. durée 2x2 jours Catalogue Achats NÉGOCIER LES ACHATS durée 2x2 jours L'OBJET DE LA NEGOCIATION Fixer les objectifs à atteindre d'une négociation interne ou externe à l'achat. Préparer cette négociation en structurant

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires La combinaison naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Informations préliminaires 2 Le futur c'est maintenant 3 et le futur est plus respectueux de l'environnement,

Plus en détail

Congélateur très basse température ULTRA.GUARD

Congélateur très basse température ULTRA.GUARD Série UF V 700 Congélateurs très basse température Congélateur très basse température ULTRA.GUARD Le nouveau congélateur très basse température BINDER ULTRA.GUARD garantit le stockage longue durée et fiable

Plus en détail

ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE

ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE P. Baudet, C. Azzaro-Pantel, S. Domenech et L. Pibouleau Laboratoire de Génie Chimique - URA 192 du

Plus en détail

Master Sales Analysis. Analyse et développement des compétences de vente

Master Sales Analysis. Analyse et développement des compétences de vente Master Sales Analysis Analyse et développement des compétences de vente L'essentiel L essentiel à propos du système MSA 360 Description résumée du système MSA 360 Le système Master Sales Analysis (MSA)

Plus en détail

LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES

LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

INTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X

INTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

AVENANT N 2 DU 23 JUIN 2014 à l avenant du 4 novembre 2004 relatif au CQP «Technicien-vendeur en produits de sport»

AVENANT N 2 DU 23 JUIN 2014 à l avenant du 4 novembre 2004 relatif au CQP «Technicien-vendeur en produits de sport» MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3049 Convention collective nationale IDCC : 1557. COMMERCE DES ARTICLES DE SPORT

Plus en détail

Instructions d'utilisation

Instructions d'utilisation U22 K 7208 5500 0/2003 FR (FR) Pour l'opérateur Instructions d'utilisation Chaudière à condensation à gaz Logamax plus GB22-24/24K Prière de lire ces instructions avec soin avant l'utilisation Avant-propos

Plus en détail

Journal Officiel de l'union Européenne

Journal Officiel de l'union Européenne Journal Officiel de l'union Européenne N de l'annonce Date de parution Mode de passation Type du marché Pays - ville 136/2007-167709-2007 18/07/2007 1 - Procédure ouverte 4 - Marchés publics de services

Plus en détail

GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE

GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE COLLEGE SAINTE-VERONIQUE ET MARIE-JOSE IMPLANTATION MARIE-JOSE 1 7P GESTION DE TRES PETITE ENTREPRISE PRESENTATION DE LA SECTION I. INTRODUCTION La 7P-GTPE est une année dédiée à la formation de gestionnaires

Plus en détail

Sage 50 Comptabilité. Solutions logicielles en nuage, sur place et hybrides : Qu'est-ce qui convient le mieux à votre petite entreprise?

Sage 50 Comptabilité. Solutions logicielles en nuage, sur place et hybrides : Qu'est-ce qui convient le mieux à votre petite entreprise? Sage 50 Comptabilité Solutions logicielles en nuage, sur place et hybrides : Qu'est-ce qui convient le mieux à votre petite entreprise? À titre de propriétaire de petite entreprise, vous devez bien sûr

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous

Plus en détail

FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ)

FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ) Certificats d économies d énergie Fiche explicative n FE 50 FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ) Fiches d opérations standardisées concernées : N BAT-SE-02 et IND-SE-01. Ce document

Plus en détail

Le besoin en fonds de roulement (BFR) et la trésorerie

Le besoin en fonds de roulement (BFR) et la trésorerie Mois AAAA Mois décembre AAAA 2009 mise à jour décembre 2010 Préambule Les associations du secteur social et médico-social qui gèrent un ou plusieurs établissements ou services et proposent des prestations

Plus en détail

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale

Plus en détail

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data!

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Pierre Jouniaux http://www.safety line.fr CV : Pierre Jouniaux, ingénieur aéronautique, pilote

Plus en détail

Le Diplôme d Instructeur Fédéral

Le Diplôme d Instructeur Fédéral Le Diplôme d Instructeur Fédéral La F.F.S.T agréée par le Ministère des Sports assure une mission de service public. Pour mener à bien cette mission elle assure notamment des formations d enseignants,

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

Bilan d'émissions de GES

Bilan d'émissions de GES 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : Code NAF : Code SIREN : Adresse : Nespresso France 1, Boulevard Pasteur 75015 PARIS Bilan d'émissions de GES Nespresso France SA Nombre de

Plus en détail

quartier.lamartinette@fonsorbes.fr

quartier.lamartinette@fonsorbes.fr Composition du bureau : Présidente : Samira Didi Vice-Présidente : Sandrine Lemaistre Secrétaire : Laurence Frassetto Composition du bureau : Président : Philippe Serre Vice-Président : Gregory Montalban

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

Les ateliers : Complément.

Les ateliers : Complément. Les ateliers : Complément. PGI EBP - Les Ateliers Nadros Isabelle - Enseignante formatrice Lardeux Landry - Enseignant formateur Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Partage des Conditions Initiales

Plus en détail