Projet de Fin d Etudes Spécialité Génie Civil Conformité acoustique et thermique «De la théorie à l exécution»

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1 Projet de Fin d Etudes Spécialité Génie Civil Conformité acoustique et thermique «De la théorie à l exécution» KADIRI Saâd Elève Ingénieur 5 e Année

2 Remerciements Je tiens { remercier l entreprise BALLESTRERO, filiale de BOUYGUES BATIMENT ILE-DE-FRANCE, de m avoir accueilli si chaleureusement pendant les 20 semaines, durée de mon Projet de Fin d Etudes. Cette expérience est venue concrétiser mon enseignement au sein de l INSA de Strasbourg. Bien entendu, je suis tout d abord redevable envers M. Jean-Bernard POULET, mon tuteur PFE et enseignant { l INSA de Strasbourg. Il a été d un grand appui lors de mon Projet et était d une grande disponibilité ; ses conseils furent précieux. Je suis particulièrement redevable envers M. Fernand COMINOTTO, directeur travaux chez BALLESTRERO, ainsi qu envers mon tuteur entreprise de PFE, M. Guillaume OLANIER, chef de Groupe Travaux, pour m avoir accepté au sein de l entreprise et m avoir témoigné leur confiance. De la même manière, je remercie très sincèrement M. Patrick GOMES, le conducteur de travaux en charge du chantier où s est déroulé mon PFE. Je n aurai pas pu espérer meilleurs professeurs que ces 3 personnes impressionnantes par leur rigueur, leur conscience professionnelle et leur disponibilité malgré des emplois du temps surchargés. Ces 3 personnes ont tout fait pour que je me sente { l aise au sein du chantier et que je n ai aucune difficulté pour m intégrer. Je remercie également M. David DUARTE, Directeur des Ressources Humaines BALLESTRERO, qui était { l écoute de la moindre difficulté lors de mon installation { Paris et qui n a pas hésité { trouvé des solutions pour me faciliter la tâche. Enfin, je salue tous les intervenants sur le chantier ; ils n ont pas hésité { me faire part de leurs connaissances et à partager leurs expériences avec moi. Je remercie plus particulièrement M. Michel DUARTE, le chef de chantier de l opération, pour sa disponibilité malgré la charge de travail, son écoute et sa sympathie qui ont notamment contribué au plaisir que j ai eu { travailler sur ce chantier. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-2 -

3 SOMMAIRE 1 Introduction Présentation du projet Etude acoustique et thermique Acoustique L étude Isolement aux bruits aériens Isolement aux bruits de choc Temps de réverbération Les perturbations acoustiques sur chantier Thermique Réhabilitation CLAE La problématique de l étude thermique Aspect conduite de travaux Suivi de l avancement des fenêtres Cuvelage de la fosse d ascenseur La chape de 5cm avec Assour Volets Battants Bois Métallerie/Serrurerie Le compte rendu échantillons architecte Côté administratif Sur le terrain Innovations sur le chantier Le COFFRADAL Zones de réalisation du COFFRADAL Phasage des travaux Cadence de pose et temps unitaires Le SYLVABAT : Phasage des travaux Renforcement des linteaux bois et des éléments de charpente Problématique Renforcement des Linteaux bois Renforcement des éléments de charpente Conclusion Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-3 -

4 TABLE DES ILLUSTRATIONS Figure 1 : Plan masse du projet Figure 2 : Exigences de l'arrêté du 25 avril Figure 3 : Exigences de l'arrêté du 25 avril 2003 pour les écoles maternelles Figure 4 : Tableau confrontation de prestation avec l étude acoustique en partie réhabilitée Figure 5 : Tableau confrontation de prestation avec l étude acoustique en partie réhabilitée Figure 6 : Tableau du classement UPEC Figure 7 : Tableau du classement UPEC par local Figure 8 : Confrontation étude/prestation pour bruits de choc Figure 9 : Norme concernant le temps de réverbération d'un local Figure 10 : Etude réalisée par le bureau d'études acoustiques concernant le temps de réverbération Figure 11: Emissions en db de matériels divers et risques auditifs Figure 12 : Exigences concernant l étude thermique pour les bâtiments neufs Figure 13 : Exigences concernant l étude thermique pour le bâtiment existant Figure 14 : Confrontation étude thermique-prestation Figure 15 : Répartition des températures extérieures de base Figure 16 : Déperditions pour la salle maternelle Figure 17 : Tableau de prestations techniques phase DCE Figure 18 : Plans DCE aves les débits d air Figure 19 : Tableau récapitulatif de l'étude thermique Figure 20 : Emissions calorifiques suivant la norme EN Figure 21 : Répartition des déperditions par genre Figure 22 : Nouvelles Déperditions pour la salle maternelle Figure 23 : Puissances des panneaux rayonnants PULSAR Figure 24 : Dispositifs de chauffage adoptés pour la salle maternelle Figure 26 : Plan de repérage des 2 types de garde corps dus au marché Figure 25 : Fixations envisagées Figure 27 : Mise en évidence des gardes corps du bâtiment Figure 28 : Quantitatifs des éléments du lot métallerie/serrurerie Figure 29 : Echantillons de couverture Figure 30 : Echantillons de menuiseries et d'étanchéité Figure 31 : Echantillons de sols Figure 32 : Echantillons d'électricité Figure 34 : Caractéristiques des zones Figure 33 : Zones de réalisation du coffradal Figure 35 : Phase 1 - Amenée de la cornière { l intérieur du bâtiment, amenée par la grue par les ouvertures, puis utilisation de plateau de déménageur afin de positionner les éléments en leur lieu Figure 36 : Phase 2 - Mise à hauteur des éléments { l aide de chèvre automobile pour le plancher bas du RDC et de la grue pour le plancher haut en détuilant ponctuellement Figure 37 : Phase 3 - Mise en œuvre des cornières et scellement des boulons { la résine ou au béton Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-4 -

5 Figure 38 : Phase 4 - Mise en place des bacs aciers déjà ferraillés et avec laine de roche permettant l isolation acoustique Figure 39 : Phase 5 - Vissage des bacs Figure 40 : Cadence de pose et temps unitaires concernant la zone Figure 41 : Cadence de pose et temps unitaires concernant la zone Figure 42 : Phase 1 - Découpe des solives existantes Figure 43 : Phase 2 - Encastrement de la poutre bois { l endroit désiré et fixation aux solives existantes par sabots Figure 44 : Phase 4 - Etalage d un film plastique Figure 45 : Phase 5 - Mise en place des connecteurs acier et de polystyrène dans les réservations réalisées en phase Figure 46 : Phase 6 - Coulage béton Figure 47 : pièces de bois détériorées Figure 48 : Solutions envisagées Figure 49 : Phase 1 - Piochage des revêtements sur les linteaux bois, et bûchage ou décapage des parties contaminées pour l élimination du bois vermoulu en surface, afin de mettre { nu le bois sain Figure 50 : Phase 2 - Préparation du support avant traitement Figure 51 : Phase 3 - Reconstitution du bois enlevé { l aide de résine époxydique chargée Figure 52 : Eléments de charpente existants Figure 53 : Renforcement des éléments de charpente Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-5 -

6 1 Introduction Mon projet de fin d études a démarré le 31 janvier 2011 et s est étalé sur une durée de 20 semaines. Il s inscrit de manière logique et naturelle dans mon parcours d étudiant ingénieur et vient concrétiser et finaliser ma formation. Le sujet de mon projet est : Conformité des pièces acoustiques et thermiques : «De la théorie { l exécution». Mon étude s est déroulée sur un chantier de BALLESTRERO, filiale de BOUYGUES HABITAT SOCIAL, chantier de réhabilitation et d extension d un groupe scolaire { Montfort L Amaury et ce fût une expérience extrêmement enrichissante de part la singularité du chantier ainsi que ses aspects variés. J ai pu étudier très rapidement ce qu on a appelé dans mon PFE la conformité des pièces acoustiques et thermiques. Pour cela, je me suis muni des études réalisées par le bureau d études BOUYGUES dans ces domaines afin de les analyser et d en comprendre les éléments, ce fût la composante théorique. L étude thermique se basant sur une règlementation thermique 2005, il faut atteindre des objectifs précis en termes de consommation énergétique. J ai vérifié certains résultats de l étude par des calculs de déperditions thermiques mais aussi en prenant en compte les taux de renouvellement d air, composante essentielle dans un groupe scolaire du fait du nombre important d élèves dans les salles de classe. Une problématique intéressante { étudier s est présentée à moi au cours du chantier. Le bureau d études de l architecte a présenté un plan avec des déperditions inférieures { celles calculées par le bureau BOUYGUES : il est bien entendu plus simple dans ce cas là de répondre aux exigences du label THPE Il s est avéré que c était bel et bien le bureau du maitre d œuvre qui avait commis une erreur dans son calcul de déperditions. La problématique a été que le label THPE 2005 n était plus atteint. Une série de compromis a dû être mise en œuvre pour minimiser les surcoûts découlant de cette erreur. Comme l indique le thème de mon PFE, je me suis également intéressé { analyser la conformité des pièces thermiques avec celles prévues dans le marché. Cette tâche a été simple à réaliser puisque le marché prévoit une conformité { l étude thermique. Pour l étude acoustique, je me suis cantonné { une analyse de l étude BOUYGUES afin d en comprendre les éléments. Puis, je me suis intéressé à vérifier la conformité des isolations acoustiques avec les isolations prévues par le marché, tâche qui n a pas été aussi simple que pour la conformité des pièces thermiques. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-6 -

7 A partir de l{, une fois que l étude a bien été assimilée, le but était bien sûr de voir quels moyens seraient mis en œuvre pour palier aux déperditions thermiques et acoustiques ; cette partie constitue l aspect exécution du thème de mon PFE. Pour répondre aux exigences thermiques et acoustiques, les moyens choisis ont été la mise en œuvre de panneaux rayonnants, d isolants thermiques type laine de verre, polystyrène standard, polystyrène expansé notamment. Le travail sur chantier fait partie intégrante de mon projet de fin d études. En effet, il a été très intéressant pour moi de partir de constats se basant sur les études pour arriver { suivre l exécution des travaux de doublage des façades et autres cloisons, l exécution des travaux de plomberie et de ventilation en rapport avec le thème de mon PFE. Par ces dernières démarches notamment, j ai également appréhendé le métier de conducteur de travaux. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-7 -

8 2 Présentation du projet VOICI LE PLAN DE MASSE DU PROJET REALISE Figure 1 : Plan masse du projet Le chantier sur lequel je travaille pour le thème de mon PFE est un chantier divers du fait de ses deux aspects : réhabilitation et construction. Le groupe scolaire se décompose en deux bâtiments : Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-8 -

9 - Un bâtiment existant restructuré avec une extension neuve accueillant les locaux d enseignement de cours élémentaires et de maternelle. - Un bâtiment neuf accueillant les locaux de restauration et une salle polyvalente. Le chantier BALLESTRERO de réhabilitation et d extension du groupe scolaire anciennement nommé Saint-Louis a pour : Maître d ouvrage : la Ville de Montfort L Amaury Maître d œuvre : l Atelier DUTREVIS Bureau de Contrôle : DEKRA Coordonnateur Sécurité : ECIAG Entreprise Générale : BALLESTRERO Filiale de Bouygues Habitat Social Je poursuivrai cette présentation du projet par une brève description de l ouvrage { construire et à réhabiliter. A noter que la composante gros-œuvre du chantier est déj{ achevée. DESCRIPTION DU PROGRAMME Construction et réhabilitation d une Ecole 1 bâtiment R+1 à réhabiliter + combles, avec une extension dans la cour intérieure en R+2 1 bâtiment neuf CLAE (Centre de Loisirs Associés { l Ecole) DESCRIPTIF SOMMAIRE DES PRESTATIONS TCE Hors d eau, hors air façade o Couvertures existantes en tuiles mécaniques. o Traitement des Charpentes bois dans l existant o Remplacement des gouttières avec gouttières pendantes en zinc pré patiné o Menuiseries extérieures en bois et aluminium o Ravalement finition gratté fin et épongée selon les zones o Etanchéité et Bardage bois en façade et pignons du CLAE et bardage zinc dans les extensions du bâtiment existant o Escaliers métalliques en bâtiment neuf et réhabilité, clôtures et portails Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-9 -

10 CET o Plomberie chauffage et ventilation : Cheminement des réseaux : sous dallage, dans les faux plafonds et dans les gaines pour la VMC Production d eau chaude sanitaire et pour le chauffage, depuis la chaufferie Ventilation simple flux en réhabilitation et double flux dans le CLAE o Electricité : Cheminement des réseaux : dans les faux plafonds gaines techniques et dans les CE de finition o Carrelage et sol souple Revêtements carrelés dans les halls, les sanitaires, les locaux divers. Sols souples PVC et caoutchouc dans l extension et bâtiment neuf. Faux plafonds suivant prescriptions (et suivant exigences acoustiques) 3 Etude acoustique et thermique Dès mon arrivée sur le chantier, le responsable Patrick GOMES m a chargé du marquage à la bombe couleur des doublages acoustiques et thermiques. Cette opération m a permis de très vite me localiser sur le chantier et d avoir une vue globale de celui-ci. Cette composante du PFE sur le terrain est très pertinente car elle m a permis de m introduire aux études théoriques proprement dites. 3.1 Acoustique L étude Pour satisfaire les exigences en termes de conformité aux normes et à la réglementation, un bureau d études acoustique s est occupé de l affaire : cette composante acoustique est primordiale dans un bâtiment comme une école. L étude acoustique s articule autour de 5 axes : I. ISOLEMENT AUX BRUITS AERIENS - RESPECT DE L ARRETE DU 25 AVRIL 2003 II. ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS III. BRUITS D EQUIPEMENTS IV. ACOUSTIQUE DE FACADE V. TEMPS DE REVERBERATION Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-10 -

11 Je peux { présent détailler ce que j ai pu étudier. Je me suis cantonné à une analyse de la conformité des doublages et isolations car la plupart des autres éléments acoustiques sont normatifs et s étudient par mesure. J ai également montré comment les calculs de temps de réverbération venaient confirmer la conformité acoustique des prestations. REGLEMENTATION L arrêté du 25 avril 2003 relatif { la limitation du bruit dans les établissements d enseignement précise le champ d application : Article 1 : «.Il s applique uniquement aux bâtiments neufs ou parties nouvelles de bâtiments existants». Article 10 : «Les dispositions du présent arrêté sont applicables à tout établissement d enseignement ayant fait l objet d une demande de permis de construire ou d une déclaration de travaux relatifs aux surélévations de bâtiment d établissements d enseignement existants et aux additions { de tels bâtiments, déposée { compter de six mois après la publication au journal officiel de la république française du présent arrêté». Seule la partie neuve appelée «extension» est concernée par les exigences de l arrêté du 25 avril Tous les locaux situés dans le bâtiment réhabilité ne sont pas soumis aux exigences de l arrêté. Exigences de l arrêté pour un établissement d enseignement autre que maternelle Figure 2 : Exigences de l'arrêté du 25 avril 2003 Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-11 -

12 Exigences de l arrêté pour les écoles maternelles Figure 3 : Exigences de l'arrêté du 25 avril 2003 pour les écoles maternelles Ces exigences précisent l isolement minimum { respecter entre un local d émission et un local de réception de vibrations acoustiques. Suivant le type de local, un isolement est défini et les parois peuvent être dimensionnées grâce à cela. Un des intérêts de mon PFE est de vérifier la conformité des diverses pièces du chantier concernées par l isolation acoustique (cela restant valable pour l étude thermique) avec ce que prévoit la règlementation { savoir l étude. Le but de mon étude est de confronter les études acoustiques et thermiques réalisées par le bureau d études BOUYGUES aux prestations prévues en marché. La conformité des prestations peuvent ainsi être vérifiées. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-12 -

13 3.1.2 Isolement aux bruits aériens Réhabilitation ETUDE BOUYGUES CCTP Niveau Pièce de réception Pièce attenante Exigences en Db Type de produit Exigences en Db Type de produit Conformité RdC RdC Dortoir ATSEM Vestiaire 35 Sanit. MAT 55 Circulation maternelle 25 Béton 20 cm + Porte 31dB (MALERBA UNIPHONE 31dB) Béton 20 cm + PSEE ultra ThA mm Béton 20 cm + Porte 25 Db (MALERBA TYPE MATERNELLE 27dB) 35 ATSEM 43 Béton 20 cm 43 Circulation maternelle 30 Buanderie 43 Salle des profs 1 et 2 43 Placostil 98/48 avec LM 47dB + Porte 31dB (MALERBA UNIPHONE 31dB) Placostil 120/70 + LM 50dB Placostil 120/70 + LM 50dB Béton 20 cm + PP0.32 Oui 55 SO Béton 20 cm + PP0.30 Béton 20 cm Placostil 98/48 avec isolant 47dB + PP0.29 Placostil 120/70 avec isolant 50dB Placostil 120/70 avec isolant 50dB Oui Oui Oui Oui Oui Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-13 -

14 RdC Salle des profs 1 Circulation Hall 30 Buanderie 43 Béton 20 cm + Porte 31dB (MALERBA UNIPHONE 31dB) Placostil 120/70 + LM 50dB Béton 20 cm + PP0.16 Placostil 120/70 avec isolant 50dB Oui Oui RdC Salle des profs 2 Escalier C 43 Béton 20 cm 43 Circulation maternelle 30 Béton 20 cm + Porte 31dB (MALERBA UNIPHONE 31dB) 30 Béton 20 cm Béton 20 cm + PPO.18 Oui Oui RdC Local Poubelles SàM Elem 50 Béton 20 cm + Doublage thermique 50 SO Figure 4 : Tableau confrontation de prestation avec l étude acoustique en partie réhabilitée Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-14 -

15 CLAE Etude Bouygues CCTP Pièce de réception Bureau du chef SAM Maternelle Dortoir CLAE Bureau CLAE Pièce attenante Réserves sèches Réception marchandises Exigences en Db Circulation 30 SAM Elem 53 Chaufferie 55 SAM Mater 55 Sanit Mat affectés dortoir SO Dépôt CLAE 40 SAS + Salle polyval. 55 SAS 30 Salle Poly. CLAE 30 Type de produit SAA LM 58dB Placostil 98/48 avec LM 47dB + Porte 32 (MALERBA PORTAPHONE 36dB) Placostil 98/48 avec LM 47dB Béton 20cm + PSEE Xtherm Béton 20cm + PSEE Xtherm Béton 20cm + PE ThA SAA LM 58dB SAA LM 45dB SAS Acoustique 57dB + Porte 57dB Placostil 46dB + Porte 29dB Béton 20cm + Châssis 29dB Exigences en Db Type de produit SAA 140 avec isolant 59dB Placostil 98/48 avec isolant 47dB + PPC.21 Placostil 98/48 avec isolant 47dB Conformité Oui Oui Oui 53 SO 55 SO 55 SO SO SO 40 SO 55 PPC.5 Oui 30 PPC.2 Oui 30 SO Figure 5 : Tableau confrontation de prestation avec l étude acoustique en partie réhabilitée Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-15 -

16 Séparatifs horizontaux L étude acoustique stipule que les dalles d épaisseur 20 cm d épaisseur satisfont les exigences acoustiques en termes de bruits aériens. Pour le bâtiment CLAE, cette problématique est sans objet puisque celui-ci ne s étend que sur un niveau Isolement aux bruits de choc Classement UPEC Ce classement, sur la base des contraintes associées aux locaux, permet de définir si le type de sol est approprié au type de local considéré. Un sol est adapté à l'usage prévu quand son classement UPEC est au moins égal à celui du local considéré. Ce classement UPEC est constitué de 4 lettres : U pour l'usure due à la marche ou au passage ; P pour le poinçonnement : pieds de meubles ou talons aiguille ; E pour la résistance à l'eau ; C pour la résistance aux agents chimiques courants. Ces lettres sont suivies d'indices croissants correspondant à des niveaux de résistance croissante : de 1 à 4, par exemple : U2 P3 E3 C1. Plus l'indice est élevé, plus le comportement aux critères correspondants est bon. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-16 -

17 Sols souples TYPE DE DÉTÉRIORATION U : USURE À LA MARCHE P : POINÇONNEMENT E : EAU C : CHIMIQUE RÉSISTANCE Rayures Salissures Abrasion Chute d'objet Meubles à roulettes Lavage et entretien du sol : E1 : Présence d'eau occasionnelle. Entretien courant sans eau ou passage humide. E2 : Nettoyage par voie humide, lavage. Locaux sanitaires, cuisines. E3 : Nettoyage courant à l'eau, présence d'eau prolongée. Résistance aux produits d'entretien, aux produits ayant une incidence sur la durabilité du revêtement par action physicochimique. Figure 6 : Tableau du classement UPEC À chaque lettre est associé un chiffre qui correspond au niveau de possibilité d'usage. Plus le chiffre est élevé, plus le revêtement peut résister à l'agent d'agression symbolisé par la lettre : 1 : Faible 2 : Normal 3 : Elevé 4 : Très élevé Un niveau intermédiaire symbolisé par la lettre «S» est aussi associé à la lettre de base + chiffre par exemple U2, U2S... La résistance est un peu plus importante. Il existe aussi un classement des locaux qui reprend le même principe. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-17 -

18 ENTRÉE, SÉJOUR, ESCALIER, COULOIR U2S P2 E1 C0 Cette classification offre le choix de prendre un revêtement qui ne résiste pas aux agressions chimiques. Ce risque n'est jamais nul. CUISINE U3 P2 E2 C2 SALLE DE BAINS U2S P2 E3 C1 CHAMBRE U2 P2 E1 C0 BALCON, TERRASSE, LOGGIA U3 P3 E3 C2 Figure 7 : Tableau du classement UPEC par local Les sols souples permettent de répondre aux exigences acoustiques d isolement de 18dB par la mise en place d une couche Weber.sys.acoustic Carrelage Le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) est un organisme de contrôle officiel d'état qui réalise des tests sur les carrelages et leur attribue un classement NF UPEC. Ce classement se base sur le même principe que pour les sols souples Réhabilitation Cette confrontation réalisée par le bureau d études BOUYGUES permet de noter que les exigences en termes de bruits de choc sont satisfaites en remarquant également que l exigence pour les carrelages de 18 Db minimum est respectée puisque le marché prévoit une chape sur Assour V19. Aussi, il faut noter que les sols souples sont suffisamment isolés pour répondre aux exigences des études. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-18 -

19 Figure 8 : Confrontation étude/prestation pour bruits de choc CLAE De la même manière, tous les sols carrelés du CLAE ne permettent pas de répondre aux exigences acoustiques en termes d isolement aux bruits de choc. Il faut donc prévoir une sous couche acoustique qui est une chape avec un Assour V Temps de réverbération Le temps de réverbération doit rentrer dans une norme bien définie qui est celle-ci. Figure 9 : Norme concernant le temps de réverbération d'un local J ai choisi l exemple qui m a paru le plus pertinent en termes d acoustique : le dortoir du RDC de l extension. Le but est de calculer le temps de réverbération dans le local avec les prestations d isolation marché et de vérifier la conformité { la norme ci-dessus. Voici le tableau réalisé par le bureau d études acoustiques. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-19 -

20 DORTOIR RdC Extension neuve bâtiment réhabilité Revêtement au sol : PVC Revêtement murs : peinture. Revêtement plafond : faux-plafond en dalle acoustique 60x60 avec laine minérale par exemple. Figure 10 : Etude réalisée par le bureau d'études acoustiques concernant le temps de réverbération Pour ce dortoir, le calcul estimatif donne un temps de réverbération Tr compris entre 0.40 et 0.80 seconde. L objectif réglementaire est donc atteint avec les hypothèses du calcul Les perturbations acoustiques sur chantier Le chantier est un lieu de perturbations acoustiques : le bruit fait partie intégrante d un chantier. La politique de BALLESTRERO et de BOUYGUES de manière générale est de préserver les compagnons, un capital et une ressource inestimables pour l entreprise. A ce sujet, des campagnes pour sensibiliser les compagnons à tous les risques encourus en termes de sécurité individuelle et notamment à la problématique du bruit sont régulièrement organisées Quelques notions Les pertes auditives sont irréversibles. On mesure physiquement le niveau de bruit en décibels. Pour prendre en compte le niveau réellement perçu par l oreille, on utilise un décibel A (db (A)). Les mesures se font { l aide de sonomètre. Le degré de risque du bruit dépend de facteurs tels que : L intensité en db. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-20 -

21 La fréquence (les bruits aigus sont plus nuisibles que les graves). Le type du bruit (continu, intermittent, soudain, fluctuant...). Les bruits impulsionnels sont plus nocifs que les bruits continus. La durée de l exposition. Le caractère inattendu du bruit (surprend les réflexes de défense de l oreille). Les conditions locales : un travail bruyant, effectué en plein air, sera moins pénible en raison de l absence de réverbérations sur les parois. La distance par rapport à la source sonore. Pour avoir quelques repères : A titre d exemple, dans le domaine acoustique, l'évaluation des risques peut commencer par une estimation du niveau sonore. S'il faut élever la voix pour communiquer c'est qu'il est élevé : à 2 mètres de distance, s'il faut crier, c'est qu'il est d'au moins de 85 db(a). Rue à gros trafic 80 db(a) Pistolet à peindre 91 à115 db(a) Raboteuse meuleuse 102 db(a) Scie circulaire 105 db(a) Marteau piqueur 120 db(a) Pistolet de scellement 140 à160 db(a) Les conséquences du bruit Le bruit altère la quantité de travail effectué, mais surtout la qualité du travail. En effet, le bruit perturbe la communication, entraîne des difficultés de concentration, une fatigue, une gène, une nervosité et peut donc être { la source d accident du travail. Evidemment, ce n est pas non plus dans l intérêt de l entreprise d avoir moins de productivité, une raison de plus pour la protection des compagnons du bruit. Le tableau ci-dessous donne les valeurs d exposition { partir desquelles une action est requise. Durées d exposition quotidienne au bruit nécessitant une action Niveau sonore en db (A) Durée d exposition maximale 80 8 h 83 4 h 86 2 h 89 1 h min min 98 7,5 min Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-21 -

22 Les conséquences sur la santé auditive sont désastreuses : 150 db(a) déchirure du tympan possible db(a) sensation douloureuse db(a) sensation désagréable 80 db(a) Cris 60 db(a) conversation normale 20 db(a) voix chuchotée Maintenant que les conséquences sur la santé sont bien claires, on doit se rendre compte que, sur le chantier, une action de protection est indispensable comme peut en témoigner ce croquis, un argument de plus à la nécessité de la protection auditive : Figure 11: Emissions en db de matériels divers et risques auditifs Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-22 -

23 Les solutions de protections Les protecteurs individuels contre le bruit (PICB) reposent tous sur le même principe : former un obstacle à l'accès des ondes sonores dans l'appareil auditif. Dans la pratique, on distingue deux catégories de matériels : - les protecteurs munis de "coquilles" (casques, serre-tête, serre-nuque) qui constituent un obstacle au niveau du pavillon de l'oreille et qui englobent ce dernier - les bouchons d'oreilles qui obstruent le conduit auditif. Pour qu'un PICB joue bien le rôle de protection, il doit être : efficace, c'est-à-dire affaiblir suffisamment le bruit auquel est exposé le sujet ; le plus confortable possible ; porté en permanence. Un PICB peut couramment permettre un affaiblissement global de 20 db(a). Cependant, il est important de prendre en compte le fait que, dans les conditions de port, au cours de la journée, l'atténuation réelle est souvent très inférieure à l'affaiblissement indiqué par le fabricant. D'autre part, tout retrait de PICB au cours de la journée de travail réduit très vite son intérêt. Par exemple, pour une exposition de 8 heures à 100 db(a) avec un PICB atténuant de 30 db(a), le non-port du PICB pendant une minute diminue la protection effective de 5 db(a). Voici quelques PICB avec leur affaiblissement correspondant : NOM PHOTO SNR (affaiblissement) Casque optinei 27db(A) Coquille antibruit MOTUS + Kara Bouchon d oreille Mousse monté sur arceau Bouchon d oreille avec cordelette Bouchon d oreille Classique 23db(A) 21db(A) 24db(A) 21db(A) Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-23 -

24 3.2 Thermique En ce qui concerne l étude thermique, elle prend entre autres en compte les déperditions de chaleur pour dimensionner les divers ouvrages. Cette étude a pour exigence le respect des documents officiels suivants : POUR LES BATIMENTS NEUFS Figure 12 : Exigences concernant l étude thermique pour les bâtiments neufs POUR LE BATIMENT EXISTANT Figure 13 : Exigences concernant l étude thermique pour le bâtiment existant De la même manière qu avec l acoustique, j ai pu confronter les exigences de l étude thermique avec les exigences du marché afin de pouvoir, une fois encore, vérifier la conformité des prestations. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-24 -

25 3.2.1 Réhabilitation Exigence Etude CCTP/Plans Niveau Séparations Conformité RdC + R+1 + R+2 Tout voile du bâtiment existant donnant sur l'extérieur hormis: ceux de l'escalier A, ceux du vide sur dépôt, vide sur salle motricité, vide sur salle maternelle et local technique des combles Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent Se conformer à l'étude thermique Oui Tout vitrage 4/15/4 Argon planitherm futur Se conformer à l'étude thermique Oui Rdc Salle Elem 1+2/ Circulation Elem + Sanitaires Elem G Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent Se conformer à l'étude thermique Oui Salle Mater. 3 et 4 / Circulation Mater Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent Se conformer à l'étude thermique Oui Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-25 -

26 Local technique vers limite de propriété et patio Escaliers B et C Ascenseur Isolation Salle des profs 1, ATSEM, dortoir / extérieur + Vest douche/ Extérieur et Circulation maternelle Polystyrene expansé TH38 ou équivalent R> 2,15 m².k/w Polystyrene expansé TH38 ou équivalent Polystyrene expansé TH38 ou équivalent Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Oui Oui Oui Oui Salle Elem 3 et 4/ Circulation Elem et toiture terrasse Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent Se conformer à l'étude thermique Oui R+1 Dépôt, chapelle salle motricité, Sanitr maternelle/ Circulation Maternelle Escaliers B et C Salle elem 5/ Sanitr elem + dépôt Murs rideaux donnant sur l'extérieur Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent R> 2,15 m².k/w Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent Polystyrene expansé TH38 ou équivalent Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Oui Oui Oui Oui Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-26 -

27 R+2 Salle elem 7 / extérieur Bibliothèque/ Local technique Isolation escalier B Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent Plaque de plâtre sur ossatures métalliques avec 10 cm de laine minérale 0,035 ou équivalent R> 2,15 m².k/w Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Se conformer à l'étude thermique Figure 14 : Confrontation étude thermique-prestation Oui Oui Oui CLAE De la même manière qu en partie réhabilitée, le CCTP exige une conformité { l étude thermique concernant les diverses isolations. Vous trouverez en annexes les plans des niveaux concernés par les isolations thermiques et acoustiques La problématique de l étude thermique L étude thermique a pour but de pouvoir dimensionner les isolations thermiques (comme vu précédemment) mais aussi la puissance de chauffe nécessaire au bâtiment en se basant sur un certain Label. Pour ce chantier, { l origine, il était prévu d atteindre le label THPE 2005 (Très Haute Performance Energétique), du moins c est ce que le bureau d études de l architecte COTEC avait prévu. Il s est avéré que les déperditions thermiques calculées par COTEC se sont révélées être incorrectes. En fait, le bureau d études BOUYGUES, { la réalisation de sa propre étude thermique, s est vite rendu compte que les réelles déperditions thermiques étaient plus élevées que cela. Seulement, l étude COTEC a été réalisée bien auparavant de l étude BOUYGUES. Les chiffrages avaient déjà été réalisés et l une des conséquences de cette erreur de calculs a été qu il fallait plus d énergie pour chauffer les bâtiments ; cela a entraîné le non respect du label THPE 2005 de la RT Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-27 -

28 Je reviendrai plus tard à cette problématique et à ses conséquences, cependant avant d y arriver, il me semble pertinent de confronter les résultats de l étude BOUYGUES sur les déperditions avec ceux du bureau d études COTEC afin d en saisir la logique. L étude BOUYGUES: Il est important de définir le contexte et les exigences pour atteindre le Label THPE Hypothèses : - Une température extérieure de base au niveau de la mer est choisie pour effectuer les dimensionnements. Cette température est fonction de la zone géographique Figure 15 : Répartition des températures extérieures de base -CARACTERISTIQUES DE BASE Numéro du département : 78 Désignation du département : YVELINES Zone climatique de base : H1 Région de base : V Température extérieure de base (niv.mer) : -7 Altitude : 125 m CORRECTIONS Température extérieure corrigée (-) : -7 C Température extérieure moyenne (-) : 11 C Calculs effectués en conformité avec la norme EN Surpuissance des émetteurs de 20% conformément au CCTP Lot 16 CHAUFFAGE/VMC -Panneaux rayonnants au régime de température 65 C/55 C conformément au CCTP Lot 16 CHAUFFAGE/VMC Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-28 -

29 L étude est menée pièce par pièce ; j ai choisi de prendre en modèle la salle de classe suivante ; c est celle qui me semble la plus pertinente car c est une de celles qui fera l objet de modifications (du type rajout de radiateurs). Les calculs de déperdition pour la salle maternelle 2 se présentent sous cette forme : DESIGNATION DU LOCAL : salle maternelle 2 Numéro d'ordre : 10 Température intérieure : 21 C Surface de la pièce : 55,13 m² Emetteur : Panneaux rayonnant Volume de la pièce : 226,03 m3 Génération : Génération 1 Exposition : Multiple Taux mini de renouv. air ext. nmin : 1,00 Débit mini d'hygiène Vmin : 226,0 m3/h Taux horaire d'infiltration n50 : 1,76 Coefficient d'exposition ei : 0,05 Coefficient de correction haut. Ei : 1,00 Débit d'infiltration enveloppe : 39,8 m3/h Débit d'air introduit : 480 m3/h à -7 C Débit excédentaire : 57,5 m3/h Débit de renouv. d'air adopté : 577,2 m3/h Figure 16 : Déperditions pour la salle maternelle 2 Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-29 -

30 Il faut savoir que pour l étude, les températures ambiantes ainsi que les débits d extraction VMC des diverses pièces sont données par le tableau de prestations techniques phase DCE ci-dessous. J ai choisi de n en montrer que la partie nous concernant et qui est celle de la salle maternelle 2. Figure 17 : Tableau de prestations techniques phase DCE Notons que le débit d air extrait est conforme { celui donné dans l étude ainsi que dans les plans CVC Phase DCE. Aussi, les plans DCE nous permettent de vérifier les débits d air vus ci-dessus. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-30 -

31 Figure 18 : Plans DCE aves les débits d air On vérifie que le débit d air repris est de 135 m3/h * 2 = 270 m3/h comme peut le confirmer le tableau récapitulatif de l étude thermique. Figure 19 : Tableau récapitulatif de l'étude thermique Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-31 -

32 Je me suis intéressé à vérifier dans un premier temps les calculs de déperditions par rapport aux données fournies. On sait que : [W] On peut se proposer de calculer les déperditions du mur extérieur de 32,34 m² et du plancher de 55,13 m² par exemple : Pour le mur : W/ m² Soit pour la surface concernée : é é é L erreur de 1% est très acceptable. Pour le plancher : W/m² Soit pour la surface concernée : L erreur est quasi nulle. Nous pouvons également nous intéresser aux déperditions dues à la ventilation. En effet, une ventilation importante est à prévoir de part le fait que ce projet est un groupe scolaire ; la norme NF EN article 64 du 20 janvier 1983 impose un débit de renouvellement d air de 15 m3/h/pers. Ainsi, pour une salle de classe de 30 élèves et 2 professeurs : le débit de renouvellement d air { prévoir est de 480 m3/h. Nous sommes dans la norme dans le cas de la salle maternelle 2 car le débit de renouvellement d air adopté est 577 m3/h. Ce débit correspond { la somme du débit de renouvellement d air de 480 m3/h, du débit d infiltration enveloppe de 39,8 m3/h (qui prend en compte les déperditions d air car la façade n est pas totalement étanche et du débit excédentaire de 57,5 m3/h qui correspond { l amenée d air dans les sanitaires { travers les ouvertures (portes et autre). Un débit hygiénique minimum est considéré tout au long de l étude et il correspond au volume de la pièce par heure. Toutes les salles de classe sont conformes à Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-32 -

33 cette norme selon cette étude. Dans le cas de la salle maternelle 2, le débit d hygiène minimum est de 226 m3/h. Le débit extrait par la VMC serait de 270 m3/h et le débit d entrée par les entrées d air notées EA sur le plan seraient équivalent. Déperditions par la VMC simple flux: On trouve : W On retombe sur le résultat répertorié dans le tableau. Déperditions par pont thermique : [W/ml] Calcul pour pont thermique murs ext./planchers code 7110 : W/ml Sur le linéaire de 15,50m : W Résultat conforme à celui répertorié dans le tableau. Ces vérifications m ont permis de comprendre le processus de l étude thermique afin de pouvoir comprendre la phase qui suit. Comme dit précédemment, l étude label THPE 2005 se conforme à une exigence du CCTP lot 16 CHAUFFAGE/VMC qui est que la puissance de chauffe doit être supérieure de 20 % à la valeur de déperdition calculée. Au final, pour la salle maternelle 2, l étude arrive une valeur totale de déperditions de 8012 W. Il faut donc pour cette seule salle, une puissance de chauffe de 9615 W. Cette puissance de chauffe trouvée est supérieure à la puissance produite par les panneaux rayonnants des plans CVC DCE (voir annexes et précédemment). La puissance développée est insuffisante. On se réfère à la notice fournie par le chauffagiste pour avoir la valeur de la puissance totale développée. Les plans CVC DCE ci-dessus indiquent des Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-33 -

34 panneaux rayonnants de 3000 mm. Ce sont des panneaux PULSAR de chez SABIANA qui, suivant leur longueur et la différence de température entre les conduits d eau chaude et la température ambiante renseignée par le tableau de prestations techniques donnent une émission calorifique. Voici donc ce que préconise cette notice se référant à la norme EN Figure 20 : Emissions calorifiques suivant la norme EN Selon l hypothèse de départ, la loi d eau des panneaux rayonnants est de 65 C/55 C, ce qui fait une température moyenne des conduits d eau de 60 C. Pour nous, le DELTA tm est 60 C 21 C= 39 C en salle maternelle 2. La puissance développée est de 225 W/ml, au total, sur 12 ml de panneaux rayonnants, on trouve une puissance totale développée de 2700 W. => C est là que réside la problématique de l étude thermique. L étude BOUYGUES nous a conduits à une puissance de chauffe de 9615 W, soit une erreur de 72%, ce qui, à hypothèses équivalentes, entraînerait un surcoût de 72% pour l ensemble des pièces du bâtiment restauré. A noter que l extension et le CLAE ne sont pas concernés par une telle problématique. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-34 -

35 Deux options s offrent alors au maître d œuvre : - Se conformer { l étude thermique label THPE 2005 Cette option engendre un important surcoût du fait d un rajout de panneaux rayonnants par rapport à la solution de base et l architecte n a pas opté pour cette solution - Ne pas se conformer { l étude thermique label THPE 2005 Il s agit de minimiser le surcoût dû { l erreur du bureau d études. Pour minimiser le surcoût, il n existe pas plusieurs solutions : dans les parts de déperditions, on voit bien que la part de déperdition due à la ventilation est majoritaire. Répartition des déperditions par genre 8% 9% 68% 10% 5% Déperditions par les vitrages Déperditions par murs extérieurs Déperditions par le plancher Déperditions par pont thermique Déperditions par la VMC Figure 21 : Répartition des déperditions par genre Il apparait clairement que les déperditions par la VMC sont majoritaires et c est dans cette voie qu il faut s engager afin de diminuer les déperditions et donc la puissance { développer pour le chauffage. Finalement, la seule manière de diminuer les déperditions significativement reste de diminuer les entrées d air. Reprenons l exemple de la salle maternelle 2 : Les hypothèses restent inchangées Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-35 -

36 A l exception : Passage de Loi d eau pour les panneaux rayonnants de 65 C/55 C à 75 C/65 C Surpuissance pour les émetteurs (panneaux rayonnants ou autre) passée de 20% à 10%. Changement des Débits de ventilation La solution retenue a été de se restreindre à la moitié de la norme du débit de renouvellement d air qui est à 15 m3/h/pers. Ceci a été possible car les élèves des salles de classe ne sont pas des adultes. Le début minimum d hygiène - qui correspond à 1 Volume/h - n est parfois plus respecté. Nous avons choisi de compenser cette faille par une ouverture ponctuelle des fenêtres pour «aérer» : solution la plus économique choisie. Comme dit précédemment, l étude a été reprise avec ces nouvelles hypothèses, hypothèses qu il a fallu faire valider par le maître d œuvre et son bureau d études. Cette procédure a été longue et a eu pour conséquence un ripage de planning et un retard dans la réalisation des prestations de chauffage et d isolation sur chantier. Voici les nouveaux débits de ventilation choisis pour cette étude ; ils correspondent en général { environ un volume d air par heure pour la salle maternelle 2 : Débit d air neuf= 225 m3/h Reprise VMC= 120 m3/h L étude s est cantonnée { 225 m3/h pour le dimensionnement. Au final, on obtient cette étude, toujours pour la salle maternelle 2. DESIGNATION DU LOCAL : salle maternelle 2 Numéro d'ordre : 10 Température intérieure : 21 C Surface de la pièce : 55,13 m² Emetteur : Panneaux rayonnant Volume de la pièce : 226,03 m3 Génération : Génération 1 Exposition : Multiple Taux mini de renouv. air ext. nmin : 1,00 Débit mini d'hygiène Vmin : 226,0 m3/h Taux horaire d'infiltration n50 : 1,76 Coefficient d'exposition ei : 0,05 Coefficient de correction haut. Ei : 1,00 Débit d'air introduit : 225 m3/h à -7 C Débit excédentaire : 0,0 m3/h Débit d'infiltration enveloppe : 0,0 m3/h Débit de renouv. d'air adopté : 225,0 m3/h Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-36 -

37 Figure 22 : Nouvelles Déperditions pour la salle maternelle 2 Les seules déperditions dues à la ventilation sont passées de 5495 W à 2142 W. Les déperditions totales ont quasiment diminué de moitié ; passant de 8012 W à 4659 W. La surpuissance de chauffe étant de 10%, on arrive à une puissance de chauffe de 5125 W. En reprenant la notice des panneaux rayonnants PULSAR, on retombe sur une puissance au ml. Seulement, la loi d eau est { présent de 75 C/65 C. Figure 23 : Puissances des panneaux rayonnants PULSAR Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-37 -

38 Δtm= 70-21= 49 C => Emission calorifique = 292 W/ml D où, sur un linéaire de 12 m de panneaux rayonnants, une puissance de chauffe de 292*12= 3504 W. Quand bien même a été augmenté passant de 65 C/55 C { 75 C/65 C, nous n atteignons toujours pas l objectif de puissance de chauffe de 5125 W : l ajout d un autre dispositif de chauffe semble inévitable. Au final, comme nous pouvons le voir sur le dernier plan de chauffage distribué par le Sous Traitant en charge, nous avons opté pour le rajout d un radiateur de puissance 1620 W. L objectif est atteint : Puissance panneaux + Puissance radiateur = 3504 W W= 5124 W par rapport à 5125 W dans l étude. Figure 24 : Dispositifs de chauffage adoptés pour la salle maternelle 2 Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-38 -

39 Conséquences directes de la mise à jour de l étude -Le label THPE 2005 n est plus respecté du fait de l augmentation de la température des conduits d alimentation des panneaux rayonnants et du rajout de radiateurs. La consommation énergétique n est plus inférieure de 20% { la consommation de référence ; elle ne l est plus que de 10%. On atteint tout de même un label HPE Un surcoût a découlé de l erreur du bureau d études COTEC bien qu il fût minimisé grâce { la concession de ne plus être conforme au label THPE 2005 et d augmenter la température des conduits : le surcoût aurait été maximum dans le cas contraire. -Un ripage de planning équivalent à la durée de validation des nouvelles hypothèses d étude par le maître d œuvre et COTEC, la durée de réalisation de la nouvelle étude et la durée de validation de l étude par DEKRA et COTEC découle directement de cette mise à jour. Ces durées cumulées équivalent à 2 MOIS ET DEMI ENVIRON de ripage de planning. 4 Aspect conduite de travaux Ce PFE se déroulant sur chantier, j appréhende également l aspect conduite de travaux du métier d ingénieur. La conduite de travaux se présente sous 2 aspects aussi importants l un que l autre : - L administratif - La technique et la présence sur le terrain Ces deux aspects que je m efforce d explorer pleinement le long de mon PFE. 4.1 Suivi de l avancement des fenêtres Le suivi de l avancement des fenêtres est une tâche liée à la ventilation et donc à la thermique puisque c est la traverse de l imposte vitrée qui constitue les entrées d air et par la même, la ventilation des salles. Avec une nomenclature et des plans de repérage des différents châssis des menuiseries bois, j ai pu suivre l avancement des fenêtres et le cas échéant, la création d assises béton, de fonds de feuillures (largeurs et hauteurs). En renseignant le chef de chantier sur les dimensions des châssis à poser, cette tâche située dans la partie réhabilitée fût un bon apprentissage pour moi en termes de suivi. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-39 -

40 4.2 Cuvelage de la fosse d ascenseur Du fait d une couche de sol très compacte { niveau très haut, des eaux ruisselantes s accumulent au niveau d une fosse d ascenseur : un cuvelage pouvant s apparenter { une étanchéité a été à prévoir. Pour ce sujet, j ai tout d abord prospecté diverses entreprises afin d avoir la meilleure offre. La vérification de la concordance du produit avec le besoin est primordiale ; on peut généraliser cette remarque à toutes les consultations. Dans notre cas, les eaux ruisselantes sont synonymes de détérioration de la fosse. Le produit que j ai choisi fût le MINERALCHOC poudre. Ce produit est un mortier d imperméabilisation par minéralisation. Selon la fiche technique, c est un produit qui crée une barrière imperméable { l eau selon le procédé qui suit : le mortier pénètre dans les capillaires et, par réaction chimique avec la chaux libre, forme des cristaux insolubles. Le cuvelage d une fosse d ascenseur est compris dans la liste des domaines d utilisation de l avis technique. Enfin, le MINERALCHOC poudre a requis un support sain, dépoussiéré, non gras, non gelé et non humidifié. Ces opérations de préparation du support sont à la charge de l entreprise générale. Je me suis donc occupé de piloter un manœuvre dans la réalisation de ces tâches la veille au soir avant la venue de l entreprise. Ceci, dans le but de minimiser le taux d humidité de la fosse et d avoir un support optimisé lors de la réalisation de la tâche. Après cette étape de vérification de conformité du produit, vient l étape de la négociation afin d avoir le meilleur prix possible. Une fois que le marché (de principe) est conclu, il s agit d envoyer le Plan Général de Coordination afin que le PPSPS du Soustraitant puisse être établi. La commande peut donc être passée et l entretien avec le Coordonateur PPSPS avant l intervention peut être programmée. Durant l intervention, j ai donc dû vérifier l application des 2 couches du produit, bien entendu, vérifier que le produit est bien celui prévu. Le suivi sur chantier du bon accomplissement est primordial. 4.3 La chape de 5cm avec Assour 19 J ai également repéré grâce aux plans de coffrage et aux niveaux bruts et finis de dalle les pièces nécessitant la réalisation d une chape. Celle-ci est nécessaire comme vu précédemment dans l étude acoustique pour l isolement aux bruits de choc pour certains sols carrelés. Une fois ce travail de métré effectué, la prospection a été effectuée de la Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-40 -

41 même manière que précédemment et pour ce dossier, je viens de conclure avec le Sous traitant. Reste à convenir d une date d intervention. 4.4 Volets Battants Bois Je me suis vu confié la mission de prospecter les entreprises pour la réalisation des volets battants en bois { l identique des existants. 4.5 Métallerie/Serrurerie Je me suis également vu confier la quasi- totalité du lot Métallerie/Serrurerie comprenant : - Les escaliers métalliques - Les clôtures, portillons et portails - Les gardes corps et mains courantes associées - Les grilles de ventilation - Les barres d accrochage - Les échelles amovibles - Les trappes d accès Pour ce travail, un métré, un quantitatif et un repérage précis sont nécessaires. En ce qui concerne les escaliers métalliques, ils sont au nombre de 4 et le relevé des hauteurs à franchir de niveau à niveau a été réalisé pour permettre au ST de chiffrer le besoin. Aussi, pour l escalier, la règlementation handicapés impose un giron minimum de 28 cm et une contremarche maximum de 16 cm ; dans notre cas ce seront les 2 valeurs choisies et la largeur de passage sera de 1m40. Pour les clôtures, j ai réalisé un travail de métré sur plan avec vérification sur le terrain afin de tirer un linéaire de clôture à réaliser. La consultation est quasiment conclue avec le Sous traitant. Pour ce lot, je me suis confronté à une chose nouvelle pour moi : ce que prévoit le marché n est pas préconisé pour une école. Le marché prévoit des clôtures simple torsion qui sont fragiles et sont facilement détériorables par des enfants de maternelle et de cour élémentaire. Mes consultations m ont donc amenés { proposer une variante en clôture Treillis soudés { l architecte. Nous sommes actuellement en attente d une réponse. Les gardes corps de sécurité concernant les toitures terrasses et les terrasses inaccessibles nécessitent un métré et un choix de fixation : en effet, le CCTP préconise une fixation { l anglaise en applique sur acrotère c est-à-dire que le garde corps vient du côté intérieur de l acrotère grâce { une platine. Cependant, quand l espace entre le Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-41 -

42 dessous de la couvertine et le dessus du complexe bande solin-costière - nécessaire à l étanchéité des bordures comme un acrotère - est inférieur à 15 cm, ce type de fixation n est plus envisageable, il faut alors envisager une fixation en sabot Z ou autoportante. Figure 25 : Fixations envisagées Une mise en situation concrète avec les plans des terrasses semble pertinente pour une compréhension du sujet. Voici donc le plan de repérage des 2 types de garde corps dus au marché : les garde corps de sécurité type 1 et les garde corps type code du travail type 2. Figure 26 : Plan de repérage des 2 types de garde corps dus au marché Ce bâtiment ci-dessus est concerné exclusivement par des gardes corps de sécurité type 2. Les gardes corps s étendent sur un linéaire de 107 m (trait plein) avec une option de 16 m supplémentaires (pointillé). Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-42 -

43 Figure 27 : Mise en évidence des gardes corps du bâtiment Ce bâtiment ci-dessus est concerné par des gardes corps type 1 pour une longueur de 35 m marqués en vert ainsi que par des gardes corps type 2 marqués en orange sur une longueur de 42 m en trait plein et de 18 m optionnels marqués en pointillés en orange. Hauteurs diverses Bâtiment neuf (le premier plan) H acrotère= 50 cm H bande solin + Costière= 24 cm H couvertine= 2 cm H dispo à la fixation= 24 cm Espacement entre la couvertine et l acrotère= 4cm. Bâtiment réhabilité (le second plan) TOITURE TERRASSE ACCESSIBLE H acrotère= 72 cm H bande solin + Costière = 24 cm H couvertine= 2 cm H dispo à la fixation= 46 cm Espacement entre la couvertine et l acrotère= 4cm. TOITURE TERRASSE NON ACCESSIBLE H acrotère= 56 cm H bande solin + Costière = 24 cm H couvertine= 2 cm H dispo à la fixation= 20 cm Espacement entre la couvertine et l acrotère= 4cm. Mémoire de PFE KADIRI Saâd GC5-43 -

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