Dossier de presse. Journée mondiale de la contraception. 26 septembre Thème : «Ton avenir. Ton choix. Ta contraception» Contact Presse :

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1 Dossier de presse Journée mondiale de la contraception 26 septembre 2012 Thème : «Ton avenir. Ton choix. Ta contraception» Contact Presse : Adeline CARET Sandrine GAUTIER ars-hnormandie-communication@ars.sante.fr Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 1

2 Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 2

3 Le contrôle des naissances est un droit fondamental des femmes consacré par la loi n du 17 janvi er 1975 relative à l interruption volontaire de grossesse. Même si la société d aujourd hui évolue constamment et les moyens d information sont de plus en plus nombreux, les tabous et le manque de communication en ce qui concerne la sexualité persistent. Il faut donc continuer d en parler et de façon globale. Lancée en 2007, la Journée Mondiale de la Contraception a lieu tous les ans le 26 septembre. Cet événement international a pour but d'informer et de sensibiliser les jeunes sur l'importance de la contraception. L une des priorités nationales sur la période en périnatalité est la prévention des grossesses non désirées. En 2012, cette 6 ème journée mondiale prend pour slogan «Ton avenir. Ton choix. Ta contraception» pour rappeler aux jeunes que leur avenir peut être impacté par leur choix en matière de contraception. En effet, une grossesse non désirée peut être plus préjudiciable à la vie affective, sexuelle et sociale des jeunes. C est pourquoi, aujourd hui, afin d éviter le plus possible les grossesses non désirées, il est essentiel d initier et d encourager la communication car le manque de connaissance ou l utilisation incorrecte de la méthode contraceptive (manque d observance, oubli ) expliquent ces grossesses non prévues, non désirées. L Agence Régionale de Santé de Haute-Normandie (ARS), la Délégation aux Droits des Femmes et à l Egalité (Direction Départementale de la Cohésion Sociale) s unissent chaque année depuis 2007 afin de prévenir les grossesses non désirées. Le comité de pilotage départemental a été élargi au niveau régional avec l étude de l Observatoire Régional de la Santé (ORS) intitulée «IVG et contraception chez les jeunes de ans en Haute-Normandie». Le partenariat s est également étoffé au fil des années, avec l ordre régional des pharmaciens, le conseil régional de l Eure, le service jeunesse de la mairie d Evreux, etc. Le Schéma régional de prévention ( ) a pour objectif de participer à l amélioration de la santé des Haut-Normands par la promotion des politiques publiques, des environnements et des comportements favorables à la santé. L une des priorités identifiée dans ce schéma est l amélioration de l accès et l utilisation des méthodes contraceptives chez les jeunes. L objectif est de rendre l environnement plus favorable à la santé et donc, de diminuer les expositions aux «risques». Et d intervenir autour des 3 axes suivants: - Prévention primaire : Eviter l apparition d une grossesse non désirée. Lutter contre les IST. - Prévention secondaire : contraception d urgence plutôt que «pilule du lendemain». Plus la «contraception d urgence» est prise tôt, plus elle est efficace. - Prévention tertiaire : contribuer à la baisse du nombre des IVG tout en évitant une dégradation de la prise en charge de l IVG. Améliorer la qualité de l accueil des femmes désirant se faire avorter, dans les établissements de santé de la région, car certains établissements ne semblent pas faciliter les démarches des patientes, ce qui peut compromettre la réalisation de l IVG dans le respect du délai légal des 14 semaines d aménorrhée. Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 3

4 Constats nationaux et locaux De nombreux moyens de contraception sont disponibles pour répondre au mieux aux attentes des femmes. Ainsi la France est l un des pays au monde possédant un des taux les plus élevés d utilisation de la contraception médicalisée, la plus efficace. Malgré la diffusion massive de méthodes contraceptives au cours des quarante dernières années, le nombre d interruptions volontaires de grossesse ne diminue pas, notamment chez les femmes les plus jeunes. Selon le Baromètre Santé 2010 de l INPES, plus de 91% des Françaises sexuellement actives âgées de 15 à 24 ans déclarent employer une méthode contraceptive. Cependant les deux tiers des grossesses non prévues ont lieu sous contraception. Mais comme le rappelle l INPES, «il n y a pas de contraception idéale pour tous et pour toujours : en fonction du mode de vie, de la situation affective, de l état de santé, des phases de la vie, les attentes varient». Selon l enquête Cocon (COhorte sur la CONtraception), enquête socio-épidémiologique de cohorte sur les pratiques contraceptives et le recours à l avortement en France, qui a été conduite en par une équipe de démographes, sociologues, épidémiologistes, de l INSERM, de l INED et du CNRS, en cas de grossesse non prévue, 60% des femmes ont recours à une interruption volontaire de grossesse (Bajos et al., Pop & Soc, 2004) 1. Plus précisément, seront explorées, la question des échecs de contraception qui restent très fréquents (plus de échecs par an), en dépit d une contraception fortement médicalisée (BAJOS et al 2004) et la gestion simultanée des enjeux contraceptifs et préventifs (IST, VIH), jusqu alors analysés de manière indépendante. Ce projet sera réalisé par une équipe pluridisciplinaire rassemblant des sociologues, des épidémiologistes et des démographes, de l INSERM et de l INED ainsi que des cliniciens. Deux cent vingt cinq mille interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France en 2010, dont en métropole. Après une dizaine d années de hausse, leur nombre est pratiquement stable depuis Le taux de recours à l IVG est de 14,7 IVG en métropole pour femmes âgées de 15 à 49 ans. Il demeure le plus élevé parmi les femmes de 20 à 24 ans (source Drees). Désormais, une IVG sur huit est réalisée en cabinet. Les IVG en centre de santé, centre de planification ou d éducation familiale, autorisées depuis mai 2009, représentent, en 2010, 0,6 % de l ensemble des IVG en métropole. Parmi les IVG réalisées en établissement, le secteur public, largement majoritaire, continue de progresser, avec 79 % des IVG en Chaque année en France environ jeunes filles mineures se retrouvent enceintes. Un taux qui reste stable depuis des années, malgré l'accès plus facile aux diverses méthodes de contraception. Seules 30 % d'entre elles mènent cette grossesse à terme, donnant naissance à bébés par an (contre il y a 30 ans). En Grande-Bretagne, ces taux sont 4 fois plus élevés. Et aux États-Unis, 10 fois. En Haute-Normandie En 2011, en Seine-Maritime : 111 jeunes femmes étaient mineures lors de l accouchement/ 194 l étaient lors de la grossesse. Dans l Eure : 64 étaient mineures lors de la déclaration de la grossesse/ 45 l étaient encore au moment de l accouchement/ 155 ont eu une grossesse entre 18 et 21 ans. En Haute-Normandie, le nombre d IVG reste constant et ce malgré la promotion de la contraception et les actions d information menées dans les écoles et dans la presse. Trois cent trente-sept mineures ont eu une IVG en Haute-Normandie en En janvier 2012, Caroline MOREAU et Nathalie BAJOS de l INED ont présenté le projet FECOND : FEcondité-CONtraception- Dysfonctions sexuelles. Pour la première fois en France, la santé sexuelle et reproductive va être étudié comme un processus résultant des logiques sociales et médicales qui structurent les représentations et les pratiques des femmes mais aussi celle des hommes, ainsi que les facteurs sociaux, médicaux, institutionnels qui organisent les pratiques des professionnels de santé. 2 Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 4

5 Les risques d une grossesse précoce Une information plus complète permettrait certainement à nombre d'adolescents de ne pas devenir des parents sans l avoir choisi, alors que la fertilité dans la tranche d âge ans est très importante. L information des femmes et des hommes est un des enjeux majeurs de leur autonomie en termes de sexualité. La sexualité non protégée chez l adolescent peut être due à l ignorance, mais il n en reste pas moins que l influence de croyances et les prises de risque caractéristiques de cet âge doivent être prises en compte. Les grossesses adolescentes sont souvent associées à une irresponsabilité réelle ou prétendue des jeunes, alors que l inceste et les violences sexuelles, qui peuvent en être à l origine, demeurent trop souvent tus ou sous-estimés, selon M-P MARTINET et C-L MGHAZLI du Mouvement du Planning Familial, lors d un entretien le 8 avril 2011 avec le centre d analyse stratégique. En dessous de 16 ans, le risque de décès maternel chez les adolescentes est quatre fois plus élevé que pour une femme de plus de 20 ans et le taux de mortalité néonatale augmente d environ 50%, selon James E. ROSEN, consultant pour la santé de l adolescent qui a examiné les travaux de recherches pour le compte de l OMS. Trop jeunes encore, les organismes ne sont pas encore pleinement développés et ne peuvent supporter sans effets indésirables l ensemble du processus de la grossesse et de l accouchement. Il est également important d améliorer l information sur les symptômes de la grossesse, pour ne pas dépasser les délais légaux donnant droit à l IVG et éviter des drames liés à un déni de grossesse. Selon un rapport du Haut Conseil de la Population et de la Famille de 2006 du professeur Israël NISAND et Laurent TOULEMON intitulé «Pour une meilleure prévention de l IVG chez les mineures», «les IVG chez les mineures pourraient être évitées par des actions d information» notamment dans les établissements scolaires, et par un accès effectif à la contraception. Les auteurs indiquent également qu un jeune âge à la première grossesse est statistiquement un facteur de risque de recours répété à l IVG. Campagne de communication au sein des pharmacies de l Eure L idée première était de trouver un moyen d accompagner localement la campagne nationale contraception intitulée «la meilleure contraception c est celle que l on choisit». L étude de l ORS intitulée «Contraception et IVG chez les jeunes de ans en Haute-Normandie» dresse un état des lieux des connaissances, attitudes et représentations des adolescent-e-s et des jeunes adultes et nous montre que les fausses croyances et les méconnaissances perdurent chez les jeunes qui se disent en général bien informés sur la contraception et les IST. Quinze pour cent des jeunes déclarent ne pas connaître un lieu pour obtenir une contraception. Les lycéenne-s généraux et technologiques déclarent plus en connaître que ceux des professionnels (91% vs 73%). Le lieu le plus souvent mentionné est la pharmacie, et ce davantage par les garçons que par les filles (80% vs 65%). Par ailleurs, les lieux se distinguent selon le département : en Seine-Maritime, la PMI est davantage mentionnée que dans l Eure (22% vs 11%) ; à l inverse l infirmière scolaire est davantage citée dans l Eure qu en Seine-Maritime (13% vs 6%). 21% des jeunes ne savent pas vers qui s adresser en cas de grossesse non désirée (17% des filles vs 27% des garçons). La pharmacie, acteur de proximité (en France, 1 officine pour 2717 habitant-e-s) est un acteur clé de la prévention, sur lequel il s agit de s appuyer pour relayer ce thème de santé publique. Mais il s agit aussi de les aider dans leur rôle d information et d éducation tout en permettant aux jeunes de connaître leurs droits. Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 5

6 Autres exemples d actions de proximité Une rencontre le lundi 26 septembre 2011 entre professionnel-le-s de la santé et professionnel-le-s de l animation/jeunesse, sur les problématiques de la contraception chez les jeunes et des grossesses précoces, a été l occasion de présenter les conclusions de 3 études portant sur la région Haute-Normandie et la ville d Evreux. Cette présentation a permis d aboutir à des propositions d actions. Les études sont les suivantes : Etude de Celine INGLIN : «Représentations sociales de la contraception chez les garçons de ans d Evreux» Etude de l ORS (Magali FLAMAND et Gaëlle MAZURE): «Contraception et IVG chez les jeunes de ans en Haute Normandie». Mémoire de Akpéné FRED: «Grossesses précoces en Haute Normandie» Le partenariat avec la ville d Evreux a également permis de proposer une journée d information ludique et interactive à destination des jeunes de la ville d Evreux, le 14 février Cette manifestation a été ainsi l occasion pour les professionnels présents (service de PMI du CG27, association l ABRI ) de faire part aux jeunes des idées reçues dont ils sont porteurs en matière de sexualité. Chaque participant est reparti avec une pochette contenant du matériel de prévention, avec entre autres des adresses utiles. Quelques repères utiles pour une contraception efficace : Une femme peut tomber enceinte à n importe quel jour du cycle et même si un rapport sexuel a lieu pendant ses règles. Elle peut tomber enceinte lors du premier rapport sexuel. La méthode du retrait, c est-à-dire lorsque l homme se retire avant l éjaculation, n est absolument pas une méthode efficace. La douche après un rapport sexuel n est pas un moyen de contraception. La pilule ne protège pas du Sida. Seul le préservatif masculin ou féminin protège à la fois de la grossesse et des IST. La pilule ne peut pas rendre une femme stérile. La réglementation concernant la délivrance de la pilule contraceptive en pharmacie est assouplie : les pharmaciens peuvent désormais délivrer la pilule contraceptive à une femme détenant une ordonnance de moins d un an, et ce pour 6 mois. Jusqu à présent, il fallait obligatoirement détenir une ordonnance en cours de validité pour se voir délivrer la pilule. La contraception d urgence Selon le Baromètre Santé INPES 2005, près de 40 % des Français déclarent ne pas connaître le délai d efficacité de la contraception d urgence. Parmi ceux qui pensent le connaître, 90 % citent un délai erroné. Et 63 % pensent qu il faut y avoir recours dans les 24 heures qui suivent le rapport non ou mal protégé : une fausse croyance probablement liée à l expression couramment employée de «pilule du lendemain». Or, ce terme est inapproprié, les femmes disposent en réalité jusqu à 120 heures selon la méthode utilisée. En cas d échec de la contraception (un oubli de pilule, un préservatif qui glisse ou se déchire ) ou en cas de rapport non protégé, il existe différentes sortes de contraception d urgence : - Jusqu à 3 jours (72 heures) après le rapport, les femmes peuvent obtenir directement sans ordonnance un moyen de contraception d urgence hormonale, dite «pilule du lendemain» (au levonorgestrel) : en pharmacie, dans les infirmeries scolaires, dans les centres de planification. La délivrance est gratuite et anonyme pour les mineures. Pour les femmes majeures, cela coûte entre 6.20 euros et 7.60 euros. Dans les universités, les étudiantes peuvent s adresser aux services médicaux universitaires pour obtenir la délivrance gratuite d une contraception d urgence. - Entre 3 jours (72 heures) et 5 jours (120 heures) après le rapport, la contraception d urgence à l ulipristal acétate peut être délivrée en pharmacie, uniquement sur ordonnance. Il faut donc consulter un médecin généraliste, un gynécologue, une sage-femme ou un centre de planification afin d obtenir l ordonnance. Elle coûte un peu plus de 24 euros et est remboursée à 65 % par l Assurance maladie. Les jeunes filles mineures (mais aussi les jeunes femmes majeures non assurées sociales) peuvent consulter gratuitement un médecin d un centre de planification et d éducation familiale (CPEF). - Le stérilet au cuivre peut être posé jusqu à 5 jours après le rapport non protégé. Cette méthode a pour avantage de constituer également une contraception régulière fiable et peu contraignante. Afin de se faire poser un stérilet au cuivre, il faut préalablement consulter un médecin généraliste, un Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 6

7 gynécologue ou une sage-femme. Il peut être nécessaire de vérifier, lors de la prise de rendez-vous, que le professionnel pratique la pose de stérilet en précisant qu il s agit d une urgence. Plus on a recours rapidement à la contraception d urgence, plus l efficacité de cette méthode de rattrapage, bien utilisée, est importante. Rappel : efficaces pour lutter contre les grossesses non désirées, ces méthodes de contraception d urgence ne protègent pas contre les Infections Sexuellement Transmissibles (IST). ACTIONS PREVUES AU NIVEAU LOCAL Etendre la formation de l association METANOYA (bilan positif de la formation menée en 2008 dans l Eure) au sein des 4 territoires de santé en tenant compte des dynamiques locales en s appuyant sur les Réseaux Locaux de Promotion de la Santé. Proposer aux pharmaciens de Seine-Maritime une action de sensibilisation sur le modèle de la campagne de communication de l Eure, en partenariat avec le Conseil Général de Seine-Maritime et l ordre des Pharmaciens. Diffuser le dépliant «des questions sur la contraception?» réalisé dans le cadre de la sensibilisation auprès des pharmaciens pour les professionnels de l Eure. Le pharmacien ( officines en France) est tenu de donner l adresse du CPEF le plus proche, lorsqu il délivre une contraception d urgence. Sensibiliser les professionnels sur la nécessité de présenter les différents moyens contraceptifs et d adapter au mieux le moyen de contraception à la femme et à ses habitudes. Depuis la loi HPST du 21 juillet 2009, les infirmiers et les pharmaciens peuvent délivrer une contraception pour 6 mois supplémentaires, si la patiente est en possession d une ordonnance datant de moins de 1 an. Les sages-femmes peuvent prescrire une contraception sans restriction. Poursuivre la promotion de la plateforme téléphonique régionale (cf annexe) et améliorer son accessibilité. Accompagner la mise en œuvre du décret n du 24 juillet 2012 relatif à la délivrance de médicaments indiqués dans la contraception d'urgence dans les services universitaires et interuniversitaires de médecine préventive et de promotion de la santé.. Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 7

8 Annexe A QUI S ADRESSER POUR AVOIR DE BONNES INFORMATIONS? au médecin de famille au gynécologue à l infirmière ou au médecin scolaire aux professionnels des centres de planification et d éducation familiale aux professionnels du planning familial de Rouen aux pharmaciens Pour en savoir plus : - Plateforme téléphonique régionale IVG-Contraception : Ouverte de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h du lundi au vendredi Basée au Centre d Information et de Documentation des Femmes et des Familles (CIDFF) de Seine-Maritime. o Informations sur la contraception et l IVG o Orientation vers des médecins de ville pratiquant les IVG o Fonctionnement des établissements en période estivale o Orientation vers l étranger pour des grossesses supérieures à 14 SA. - Blog de l IREPS sur la contraception et l IVG en Haute-Normandie : LES PRINCIPAUX MOYENS DE CONTRACEPTION (voir INPES : Pilule : on parle de pilule de 1 ère, 2 ème, 3 ème ou 4 ème génération en fonction du type de progestatif qu elle contient. C est une question de tolérance par l organisme. L œstrogène est identique, quelle que soit la pilule. Dispositif Intra Utérin (DIU) ou stérilet : il est posé par un médecin. D une taille d environ 3 centimètres, il peut contenir du cuivre et rester en place 10 ans, ou un progestatif et avoir alors une efficacité de 5 ans. Implant : petit bâtonnet cylindrique en plastique, mesurant 4 centimètres de long sur un diamètre de 2 millimètres, glissé sous la peau du bras par le médecin à l aide d une aiguille. Il contient un progestatif qui se diffuse dans le sang, et est efficace 3 ans tant qu il reste en place. Patch : se colle sur la peau. Il contient 2 hormones (éthinyl-estradiol et progestatif) qui pénètrent dans le sang. Il est efficace pendant une semaine et doit être collé trois semaines par mois (il protège aussi la 4 ème semaine). Anneau vaginal : anneau flexible en plastique poreux d environ 6 centimètres qui contient des œstrogènes et des progestatifs. Inséré facilement au fond du vagin, il diffuse les hormones dans le sang. Il faut le changer toutes les 3 semaines et il est efficace un mois. Cape cervicale : dôme très fin, en latex ou en silicone, qui vient recouvrir le col de l utérus. Diaphragme : coupelle en latex que l on place dans le vagin. Il s utilise associé à un produit spermicide. Comme la cape cervicale, il peut être posé au moment du rapport, mais aussi plusieurs heures avant, et il est important de le garder pendant 8 heures après le rapport. Spermicides (l ovule, la crème, l éponge) : ils détruisent les spermatozoïdes. L ovule ou la crème se placent dans le vagin quelques minutes avant chaque rapport. L éponge peut être installée avant le rapport sexuel et gardée plusieurs heures après. Préservatif masculin et préservatif féminin, ce dernier pouvant être mis plusieurs heures avant et retiré plusieurs heures après le rapport. Seuls les préservatifs protègent également des IST. Dossier presse «Journée mondiale de la contraception» du ARS Haute-Normandie 8

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