Melon Protection intégrée contre le puceron Aphis gossypii en culture de melon sous abri 2013

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1 Melon Protection intégrée contre le puceron Aphis gossypii en culture de melon sous abri 2013 Anthony GINEZ, Céline SANLAVILLE, Catherine TAUSSIG, APREL - Sara FERRERA, Chambre d Agriculture de Vaucluse (84) - Essai rattaché à l action n : Melon, stratégies de protection intégrée. 1- But de l essai Le puceron Aphis gossypii cause des dégâts importants sur melon et peut entrainer des pertes de production importantes. L aménagement des parcelles peut favoriser l installation des auxiliaires de culture. C est le cas des plantes relais, déjà bien connues et utilisées. Une plante relais est une graminée, l éleusine, infestée par le puceron des céréales Rhopalosiphum padi qui a été parasité par le parasitoïde Aphidius colemani. Elle est introduite dans la culture et le parasitoïde aide à la protection contre les pucerons. L efficacité des plantes relais a déjà été démontrée mais une autre méthode s appuyant sur le fonctionnement des plantes relais sera testée dans cet essai. Il s agit de semer de l orge au sein de l abri, l infester avec le puceron de l orge Sitobion avenae de manière à attirer au sein de la culture des auxiliaires de culture indigènes. De plus, sur l exploitation, un piégeage de forficules est réalisé sur des pêchers. Les forficules ainsi piégés, très polyphages, pourraient permettre de lutter contre les pucerons notamment au niveau des foyers. Un des objectifs de cet essai vise à évaluer leur contribution. Dans cet essai l utilisation de la faune auxiliaire pour lutter contre le puceron A. gossypii sera étudiée et comparée à la technique déjà connue des plantes relais et des lâchers de parasitoïdes. 2- Protocole expérimental 2.1- Site étudié Lieu de l essai Montfavet (84) Type d abri 3 tunnels plastiques 750 m ² Variété Arapaho greffé Densité 0,6 plant/m² Date de plantation 8 mars Début de la récolte 12 juin Conduite Protection intégrée 2.2- Stratégies comparées - Modalité 1 : «tunnel plantes relais éleusine» Des plantes relais d éleusine infestées par le puceron Rhopalosiphum padi parasité par Aphidius colemani sont installées dans les rangs de melon. 8 plantes sont mises en place (1/100 m²) au sein du tunnel (photo 1). Photo 1 : Plante relais d éleusine 1

2 - Modalité 2 : «tunnel plantes relais orge» La gestion du puceron se fait par des apports réguliers du parasitoïde Aphidius colemani. Pour augmenter la biodiversité fonctionnelle au sein de l abri de l orge est semée dans les rangs de melon (photo 2), à chaque extrémité et au centre du tunnel. Chaque point de semis remplace un plant de melon. Le premier semis (6 points) a lieu en même temps que la plantation. Si l orge devient trop vieillissante, un deuxième semis peut être envisagé. Il n a pas été nécessaire dans cet essai. Sur les 6 premiers points de semis, le puceron de l orge, Photo 2 : Placette d orge Sitobium avenae, est lâché sur l orge (2 plantes banque) environ 10 jours après semis. Pour les semis plus tardifs, le transfert depuis le premier semis peut être réalisé manuellement par prélèvement des pucerons. - Modalité 3 : «tunnel témoin» : Un suivi est réalisé dans un tunnel sans apport de plantes relais. La gestion du puceron se fait par de apports réguliers du parasitoïde Aphidius colemani. Evaluation de l utilisation de forficules. Lors de la détection de foyers de pucerons, ceux-ci sont repérés. Des forficules sont piégés dans un verger de pêchers à l aide d une canne de Provence placée sur la base du tronc (photo 3). Sur 2 des foyers des forficules sont lâchées. Sur 2 autres les forficules sont introduites en les laissant dans les cannes ayant servi à leur piégeage. Sur les 2 restants aucun apport de forficule n est effectué. Les quantités lâchées sont fonction des captures du jour et ne peuvent pas être quantifiées. Photo 3 : Piégeage des forficules canne (si besoin) Figure 1 : Plan des 3 tunnels suivis 2

3 Protection contre les autres fourmis Les plantes relais sont particulièrement sensibles aux fourmis qui déplacent les pucerons qui y sont présents. Il est donc indispensable de les protéger des fourmis. De la glu est pulvérisée sur le paillage plastique tout autour de la plante relais et un appât est ajouté pour chaque plante relais. Un contrôle régulier permet de détecter au plus tôt l arrivée des fourmis et adapter la protection si celle en place ne suffit pas. Du gel appât est alors disposé sous forme de gouttelettes tout autour des plantes relais Observations Après plantation, contrôle de la parcelle sur 60 plantes entières : observation de tous les ravageurs et auxiliaires présents (2 contrôles à une semaine d intervalle) Contrôle général de la parcelle sur 30 plantes dans chaque tunnel. Les observations se font sur des plantes choisies au hasard pour les premiers comptages : observation de tous les ravageurs et auxiliaires présents Quand les plantes relais ou placettes d orge sont en pace des points de comptage sont disposés dans la culture à plusieurs distances des aménagements afin de mettre en évidence la dispersion des auxiliaires. Des piquets permettent de repérer les zones observées afin de suivre leur évolution au fil des semaines (figure 2). - M1 (PR Eleusine) : 24 points d observation à 1m, 5m et 10m de la plante relais - M2 (PR orge) : 22 points d observation à 1m, 5m, 10m et 20m de l orge - M3 (témoin) : 20 points d observation choisis aléatoirement Repérage de 2 foyers par tunnel et suivi de l évolution de la population de pucerons. Figure 2 : Points d observations dans 2 modalités 3

4 Les comptages sont réalisés à partir de la méthode de Boll. Estimation de la densité de population de pucerons Méthode Boll et al Matériel : 1 cadre de 1m x 1m 1 cadre de 25cm x 25cm Manipulation : On place le cadre de 1m x 1m (grand cadre) contre le piquet une fois devant, la fois suivante, derrière le piquet Notation en trois temps : 1) Estimer le % de couverture du sol dans le grand cadre. Placer le petit cadre de manière aléatoire dans le grand cadre et compter le nombre de feuilles âgées et le nombre de feuilles jeunes. Enlever le petit cadre. 2) Compter le nombre d apex et les répartir dans les classes d infestation suivantes : 0 : aucun puceron 1 : 1 à 3-4 pucerons 2 : beaucoup de pucerons 3) Choisir aléatoirement 5 feuilles âgées et 5 feuilles jeunes et les répartir dans les classes suivantes : 0 : aucun puceron 1 : quelques pucerons, jusqu à 10 2 : petites colonies ou de nombreux pucerons isolés 3 : plusieurs colonies avec miellat 4 : grosses colonies et feuilles déformées Les momies de parasitoïdes sont également dénombrées sous forme de classes : 0 : aucune momie 1 : 1 à 4 momies 2 : beaucoup de momies Autres contrôles au cours de l essai : - Notation des interventions de protection sanitaires réalisées par le producteur - Enregistrement des conditions climatiques (température et humidité relative) à l aide d un hobo disposé dans un des tunnels. 3- Déroulement de la culture Conditions climatiques sous les abris : voir annexe 1 L année 2013 a été marquée par un printemps particulièrement frais. Culture : 8/3 : plantation 12/3 : semis orge 26/3 : plantation PR éleusine 18/4 : 1 er lâcher d A. colemani 12/6 Récolte 2/4 : introduction S. avenae sur orge 10/5 : 1 er lâcher de forficules sur foyers 4

5 Traitements phytosanitaires contre les pucerons : - Le 12 mars, suite à l observation de quelques pucerons sur les plantes, un traitement a été appliqué pour éliminer les premiers pucerons avant l introduction des auxiliaires. - Le 18 avril, des pucerons sont observés dans les tunnels des modalités 2 et 3 : réalisation d un anti pucerons dans ces 2 tunnels. - Le 25 avril, un petit foyer de pucerons dans le tunnel de la modalité 1 : anti pucerons localisé sur le foyer. 4- Résultats 4.1- Comparaison des trois méthodes de protection Quelques rares pucerons sont observés en avril. Un traitement est appliqué le 18 avril dans les 2 tunnels où les auxiliaires n ont pas encore été lâchés (orge et témoin). Un foyer est repéré la semaine suivante dans le tunnel avec éleusine. Un traitement en localisé permet de stopper sa progression. En mai, les pucerons deviennent plus nombreux et se développement dans tous les tunnels au niveau de foyers (figure 3). A la récolte, dans la modalité avec éleusine il y environ 70% de pucerons en plus par rapport à la modalité témoin. Dans ce tunnel, le principal apport d auxiliaires a été fait en début de culture avec la mise en place des plantes relais. Mais celles-ci, pauvres en pucerons vivants se sont rapidement vidées et ont perdu leur potentiel de maintien des parasitoïdes dans la culture. Le dernier lâcher de parasitoïdes prévu dans les autres modalités a donc aussi été fait dans le tunnel avec éleusine pour renforcer la population de parasitoïdes. Il y a donc eu moins d auxiliaires dans cette modalité ce qui peut expliquer la présence plus importante de pucerons. La modalité avec des placettes d orge a moins de pucerons par m² que la modalité témoin à la récolte. Dans cette modalité l orge infestée par Sitobion avenae a attiré des prédateurs (coccinelles, syrphes, Aphidoletes ) qui ont pu contribuer à un meilleur contrôle des pucerons. Elle a nécessité le retrait de 6 plants de melon pour installer les placettes mais les entrées ont d abord été ciblées pour les placer dans les zones avec un développement et un rendement plus faibles. L ajout de ces placettes d orge et l infestation par le puceron Sitobion avenae coûte environ 0.06 HT/m² pour environ une placette de 1m² pour 100m² de culture. Ce prix ne prend en compte que l achat de l orge et des pucerons. Globalement, à la récolte, de nombreux foyers de pucerons sont observés dans chacune des modalités mais leur présence n a pas nécessité de traitement. Ainsi, depuis le début des apports d auxiliaires (essentiellement des parasitoïdes) aucun traitement phytosanitaire n a été appliqué sur la culture quelle que soit la modalité. Figure 3 : Evolution de la population de pucerons dans les 3 modalités 5

6 Pendant la période de récolte les observations ne sont réalisées que sur les foyers pour évaluer l efficacité de lâchers de forficules. Mais des observations générales de la culture mettent en évidence une arrivée massive de coccinelles et parasitoïdes (photos 4 et 5) pendant cette période. Les populations de pucerons réduisent progressivement. Photo 4 : Coccinelles, adultes, larves et nymphes Photo 5 : Nombreuses momies sur feuille de melon Les figures 4 et 5 montrent l évolution de la présence de pucerons à des distances croissantes des plantes relais d éleusine ou des placettes d orge. Aucune relation ne peut être établie. Seule la dernière observation sur la modalité éleusine montre plus de pucerons à proximité directe des plantes relais d éleusine. Mais à cette date, les plantes relais sont devenues inefficaces car vides de pucerons et momies. De plus, les pucerons sont essentiellement observés au niveau de foyers ce qui rend cette donnée difficile à exploiter car certains foyers se sont développés au niveau de points d observation. Figure 4 : Nombre de pucerons par m² selon la distance aux plantes relais d éleusine (modalité éleusine) Figure 5 : Nombre de pucerons par m² selon la distance aux placettes d orge (modalité orge) 6

7 4.2- Evaluation de lâchers de forficules sur foyers de pucerons Les premières captures de forficules dans le verger de pêchers voisin ont été faites début mai. Le 10 mai les premiers foyers sont repérés (dans la modalité éleusine) et le premier lâcher de forficules est réalisé. Ils se poursuivent chaque semaine selon les captures réalisées pendant un mois. La population de forficules dans le foyer est difficile à évaluer car ce sont des insectes nocturnes qui se cachent de la lumière pendant la journée. Ils sont donc difficilement observables. De plus, l installation de cannes de Provence au cœur des foyers ne permet pas de mieux les observer car leur présence dans les cannes la semaine suivant le lâcher est très aléatoire. Toutefois cela ne signifie pas qu ils ne sont plus présents dans le foyer. Les forficules sont peut-être cachés sous le paillage pendant la journée. Sur les dernières semaines de culture, les foyers avec forficules semblent mieux contrôlés puisque le nombre de pucerons dans les foyers régresse alors qu il ne cesse d augmenter dans les foyers sans forficules (figure 6). Figure 6 : Evolution des pucerons sur foyers La figure 7 montre l évolution de la présence de momies sur les foyers. De nombreuses momies y ont été observées pendant les dernières semaines. La présence en grand nombre de parasitoïdes et coccinelles en juin a joué un rôle important dans le contrôle des pucerons sur foyers et sur l ensemble des plantes. Mais l introduction de forficules sur foyers semble avoir permis d améliorer cette réduction de population. Figure 7 : Evolution des momies sur foyers Remarque : La méthode de Boll n est pas applicable aux momies observées. L évolution des moyennes de classes a donc été représentée. Un travail est en cours au Ctifl de Balandran pour adapter les comptages de momies à la méthode de Boll afin de pouvoir calculer un nombre de momies par m². 7

8 5- Conclusion Les modalités testées ont dans l ensemble montré une efficacité satisfaisante. En effet, aucun traitement phytosanitaire n a été nécessaire dans les tunnels après le début des lâchers d auxiliaires. Toutefois, la modalité plantes relais n a pas été optimale puisque l éleusine n était pas suffisamment chargée en pucerons et momies à sa mise en place. Elle s est rapidement vidée et est devenue inefficace. Un lâcher de parasitoïdes a alors été fait fin mai pour rattraper le manque d auxiliaires. La modalité avec semis de placettes d orge pour améliorer la biodiversité fonctionnelle au sein de l abri s est montrée plutôt efficace avec une attraction de nombreux prédateurs (coccinelles, syrphes, Aphidoletes ) et moins de pucerons ont été observés sur les plantes. Toutefois il est difficile d attribuer avec certitude cette meilleure protection aux semis d orge. En effet, l analyse des populations de pucerons à différentes distances des placettes d orge n a pas permis de mettre en évidence leur rôle direct sur le contrôle des pucerons et sur la dispersion des auxiliaires. En effet, aucun gradient de présence de pucerons n est observé. Mais cette technique pourrait être améliorée avec des semis d orge sur toute la longueur des tunnels, en bordure, afin d augmenter la présence de pucerons des céréales dans l abri et les répartir de manière plus homogène. La modalité témoin avec des lâchers de parasitoïdes tous les 15 jours a été suffisante. Quant aux forficules, leur contribution pour contrôler les populations de pucerons est difficile à observer puisqu ils sont rarement retrouvés après le lâcher. Mais ce sont des insectes nocturnes qui se cachent le jour. Toutefois, les foyers montrent une réduction de la population de pucerons dans les modalités avec forficules alors qu elle croit dans les foyers sans lâcher de forficules sur les dernières semaines de culture. Cet essai met en évidence un potentiel intéressant des forficules dans le contrôle des pucerons. Leur efficacité mérite d être à nouveau testée. Renseignements complémentaires auprès de : Action A657 A. GINEZ, APREL, St Rémy de Provence, tel , ginez@aprel.fr S. FERRERA, CA84, Carpentras, tel , sara.ferrera@vaucluse.chambragri.fr Mots clés : melon, pucerons, protection intégrée, plantes relais, éleusine, Sitobion avenae, forficules. 8

9 Annexe Conditions climatiques enregistrées sous un des abris Evolution de la température moyenne Evolution de l hygrométrie

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