LA BIO : UNE ALTERNATIVE QUI PREND DE L'AMPLEUR

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1 DOSSIER DE PRESSE LA BIO : UNE ALTERNATIVE QUI PREND DE L'AMPLEUR 1 MILLION D'HECTARES BIO DEPASSE EN 2012 UN MARCHE APPROCHANT 4 MILLIARDS D'EUROS FIN 2011 UNE CROISSANCE A 2 CHIFFRES DE TOUS LES INDICATEURS Alors que toute la France va mettre la bio à l honneur dans le cadre de l'événement d'information nationale Printemps BIO du 1er au 15 juin, l agriculture biologique vient de franchir un nouveau cap dans sa dynamique de croissance qui lui permet de s'affirmer comme une alternative qui prend de plus en plus d'ampleur. Le million d hectares de terres en mode de production biologique a été dépassé au cours de ce premier semestre Le franchissement de cette barre symbolique confirme le solide enracinement de la Bio, qui connaît une croissance à deux chiffres depuis plusieurs années en France. Les résultats de l année 2011 ont ainsi consolidé cette tendance : qu il s agisse de production ou de consommation, la Bio affiche des progressions à 2 chiffres entre 2010 et Le nombre total d opérateurs bio a enregistré une hausse de +14% pour atteindre opérateurs engagés fin 2011, celui des exploitations bio de +12,3% (23 135) et les surfaces bio ont augmenté de +15,3% ( ha) durant l année 2011, pour atteindre 1 million d'hectares au cours de ce premier semestre Une hausse de la production et de la consommation : en 2011, il s est vendu pour près de 4 milliards d euros de produits alimentaires bio sur le marché français, soit +11% par rapport à Offre et demande à la hausse La vitalité de la production française permet de mieux répondre à l augmentation de la demande, avec un recul des approvisionnements extérieurs qui se situent désormais à 32%, en baisse de 3 points par rapport à 2010 et de 6 points par rapport à 2009.

2 La Bio s'installe en restauration collective En 2011, la valeur (H.T.) des achats de produits agricoles ou d ingrédients bio en restauration collective a été estimée à 158 millions d euros ; soit une hausse de 21% par rapport à l année précédente. A ce jour, 6 restaurants collectifs sur 10 servent des produits bio ne serait-ce que de temps en temps. Des consommateurs de plus en plus intéressés En moins de 10 ans, la proportion de Français déclarant ne jamais consommer bio s est abaissée de 53% en à 39% en Dans le même temps, la part des Français déclarant consommer au moins un produit bio au moins une fois par mois est passée de 37% en 2003 à 40% en 2011 (20% au moins une fois par semaine, 6% tous les jours). Au fil des années, les consommateurs ont largement diversifié leur panier. En moyenne, les consommateurs bio quotidiens ont consommé des produits issus de 8,9 familles différentes en Printemps BIO 2012 : la mobilisation continue Mobilisés pour poursuivre le développement de la Bio en France, les acteurs de la Bio donnent rendez-vous au public à l occasion de Printemps BIO Après le coup d envoi du 1 er juin donné à Paris, c est dans toute la France que les consommateurs et les professionnels pourront découvrir les spécificités de la Bio et de ses produits grâce à un programme d animations très riche. Pour en savoir plus : ADOCOM RP - Service de Presse de l Agence BIO Tél : Fax : Courriel : adocom@adocom.fr 1 Sondage exclusif CSA / Printemps BIO réalisé par téléphone au cours de la première semaine d avril Source : Baromètre Agence BIO/CSA Source : Baromètre Agence BIO/CSA Hors apiculture et aquaculture 4 4 programmes concernent les filières PPAM, viticoles et RHD. 2 /69

3 SOMMAIRE LA CROISSANCE DE LA BIO EN CHIFFRES La bio fête son premier million d hectares en 2012 p.5 Marché alimentaire Bio : un total de près de 4 milliards d euros p.19 Restauration collective : la bio s'invite dans les assiettes p.26 Le Fonds Avenir Bio : des financements pour développer la Bio p.33 1 PRINTEMPS BIO DU 1 ER AU 15 JUIN : LES ACTEURS DE LA BIO A LA RENCONTRE DU PUBLIC 2 Printemps Bio 2012 : coup d envoi le 1er juin à Paris p.40 Des centaines d animation Bio du 1 er au 15 juin dans toute la France p.42 Des outils d information pour mieux connaître la Bio p.46 Les «Minutes Bio» : 10 reportages vidéos inédits à partir de juin p.47 Le 19 juin : Rencontres professionnelles en Champagne-Ardenne p.48 Les prochains rendez-vous p.50 La Bio à portée de clics : deux nouveaux annuaires en ligne et sur mobile p.52 EN SAVOIR PLUS SUR LA BIO 3 La Bio dans l Union européenne : une réglementation harmonisée p.54 Des filières rigoureusement contrôlées p.56 Les productions végétales bio : des pratiques en cohérence avec la nature p.58 Elevage bio : des normes élevées de bien-être animal p.59 Transformation des matières premières bio : un contrôle à tous les stades p.61 La conversion : des règles strictes à respecter p.62 Comment les lire les étiquettes des produits bio? p.63 3 /69

4 LA CROISSANCE 1 DE LA BIO EN CHIFFRES 4 /69

5 LA BIO FETE SON PREMIER MILLION D HECTARES EN ,3% D EXPLOITATIONS BIO (2011 VS 2010) +13,6% D OPERATEURS BIO +15,3% DE SURFACES BIO 1 million d hectares bio dépassé en 2012 Fin 2011, la France comptait exploitations agricoles engagées en bio, soit 4,5% des exploitations françaises. Elles couvraient ha conduits en agriculture biologique : ha certifiées biologiques ha en conversion (soit 28% du total). Après une année 2010 record, les surfaces bio ont progressé en France de près de ha en 2011 (soit +15,3%). Elles représentaient fin 2011 plus de 3,5% de la SAU nationale. Du 1 er janvier au 15 mai 2012, 811 producteurs bio supplémentaires ont été enregistrés permettant de passer le seuil du million d hectares engagés en bio. Année Producteurs Evolution annuelle Surface engagée (ha) au 15 mai 2012* plus de Source: Agence BIO / OC *première estimation au vu des notifications 2012 Evolution depuis 2001 du nombre de producteurs et autres opérateurs bio et des surfaces en mode de production biologique 5 /69

6 Fin 2011 : opérateurs bio en France En 2011, le nombre d exploitations engagées en agriculture biologique a augmenté (2 531 exploitations supplémentaires en un an). Le développement aval de la filière bio s est également poursuivi. Ainsi, fin 2011, on dénombrait en France un total de opérateurs (soit 14% de plus qu en 2010 et 40% de plus qu en 2009) : producteurs (+12% par rapport à 2010 et +41% en deux ans) opérateurs aval (+16% par rapport à 2010 et +39% en deux ans), dont : o 72% de préparateurs travaillant à partir de matières premières issues de l agriculture bio, o 26% de distributeurs de produits bio, o 2% d importateurs de produits bio issus de pays tiers à l Union Européenne. * importateurs compris En 2011, opérateurs (2000 producteurs, 1490 transformateurs et 690 distributeurs) déclaraient fournir la restauration collective en produits bio, soit une augmentation de 34% par rapport à /69

7 Part des surfaces bio dans les surfaces totales LA BIO : UNE ALTERNATIVE QUI PREND DE L'AMPLEUR Un développement plus ou moins marqué suivant les filières Toutes les filières sont concernées par la hausse des surfaces en mode de production biologique, avec des progressions de plus de 20% en 2011 par rapport à 2010 pour les légumes secs, les fruits et la vigne. Sur les ha cultivés en bio en 2011, 65% étaient toujours en herbe ou en cultures fourragères, 20% en grandes cultures (céréales, oléo-protéagineux et légumes secs), 6% en vigne, 4% en fruits, légumes frais et PPAM et 5% non affectés. Nb. Producteurs Surfaces certifiées bio Surfaces en conversion C1 C2/C3 Total C123 % BIO / total national (1) 2011 Evol. / Evol. / Evol. / Céréales % % % % 1,57% Oléagineux % % % % 1,19% Protéagineux % % % % 3,98% Légumes secs % % % % 25,81% Grandes cultures (2) % % % % 1,61% STH % % % % 4,65% Cultures fourragères % % % % 5,52% Surfaces fourragères % % % % 4,97% Légumes frais % % % % 3,72% Fruits % % % % 11,73% Vigne % % % % 7,40% PPAM % % % % 12,30% Autres (3) % % % % 3,57% TOTAL % % % ,3% 3,56% Evol. / 10 Surfaces certifiées bio + conversion Source : Agence BIO / OC (1) : Données Agreste 2010; (2) : Dont légumes secs; (3) : L augmentation de la précision explique la baisse progressive des surfaces non affectées Plus de 6% des surfaces nationales de légumes secs (25,8%), de PPAM (12,3%), de fruits (11,7%) et de vignes (7,4%) sont cultivées en bio. 14% Grandes Cultures2 Évolution depuis 2001 de la part des surfaces conduites en bio dans le total national 12% 10% 8% Surfaces fourragères Légumes frais Fruits PPAM Vigne Total PPAM, 12,3% Fruits, 11,7% Vigne, 7,4% 6% 4% 2% Surfaces fourragères, 4,4% Légumes frais, 3,7% FRANCE : 3,56% Grandes Cultures 2, 1,6% 0% Sources : Agence BIO / OC ; Agreste /69

8 Plus d un agriculteur bio sur 3 est éleveur 3 Un tiers des exploitations bio françaises avaient au moins un atelier d élevage bio en Le nombre d éleveurs bio a augmenté de 20% par rapport à Tous les secteurs d élevage ont progressé, avec, suivant les secteurs, des augmentations de cheptel de 9 à 31%. Les plus fortes augmentations du nombre d animaux bio en 2011 par rapport à 2010 ont été enregistrées dans le secteur des poules pondeuses, des bovins laitiers et des caprins. La dynamique de développement est telle qu un nombre important d animaux est en conversion, comme le montre le tableau ci-dessous. Plus du quart des vaches laitières ou allaitantes sont en cours de conversion. Certifiés Bio 2011 Nb. Exploitations Evol. / 10 Conversion Bio + Conversion Certifiés Bio Evol. / 10 Nb. Animaux Conversion Bio + Conversion % BIO / total national (1) Vaches allaitantes % % ,4% Vaches laitières % % ,9% Total Vaches % % ,6% Brebis viande % % ,3% Brebis laitières % % ,1% Total Brebis % % ,5% Chèvres % % ,2% Truies % % ,6% Poulets de chair 634 8% % ,0% Poules pondeuses % % ,9% Apiculture (2) % % ,2% Source : Agence Bio / OC (1): Données Agreste 2010; (2) : Nombre de ruches Part du cheptel bio dans le cheptel national en Hors apiculture et aquaculture 8 /69

9 Des productions variées dans les exploitations bio Fin 2011, les exploitations bio se répartissaient ainsi : 63% avaient des surfaces toujours en herbe et/ou des cultures fourragères, 38% cultivaient des grandes cultures, dont environ 1/4 à titre principal, 42% produisaient des fruits et/ou légumes frais, dont la moitié à titre principal, 20% avaient des vignes, dont 70% à titre principal, 34% pratiquaient l élevage, 22% avaient un troupeau de bovins lait ou allaitant (soit 64% des élevages bio), Prés de 10% avaient un élevage de monogastriques (porcs ou volailles). Répartition des exploitations bio en fonction du niveau de conversion de leurs productions végétales Diversité des cultures : L exemple des grandes cultures Environ 80% des surfaces en grandes cultures biologiques sont cultivées avec 10 espèces différentes : blé tendre, mélanges céréaliers, orge, triticale, maïs, tournesol, féverole, soja, avoine et mélange céréaleslégumineuses. (Pour mémoire, sur un plan général, 80% des surfaces de grandes cultures sont cultivés avec 4 espèces : blé tendre, maïs grain, orge et colza). L intégration des légumes secs dans les rotations de céréales et oléoprotéagineux permet un apport azoté dans le système cultural. 9 /69

10 Plus de préparateurs et distributeurs engagés Avec une augmentation de 16% du nombre des opérateurs par rapport à 2010, l aval de la filière reste très dynamique en Comme les années précédentes, plus de 80% des préparateurs sont dans le secteur végétal dont de l ordre de la moitié en fabrication de pains et pâtisseries y compris surgelés. La boulangerie - pâtisserie : + 30% de préparateurs. L augmentation est assez homogène sur le territoire. Ce secteur représente plus du tiers de l ensemble des préparateurs engagés. Cependant d autres secteurs sont également très dynamiques en termes d engagements : Les boissons, notamment dans le secteur du vin : +24%. Les régions les plus concernées sont le Languedoc-Roussillon avec une vingtaine de caves supplémentaires, la région PACA (+15 caves) et la région Aquitaine (+10 caves). Les produits à base d huile : +29%, principalement dans la région PACA avec 9 nouveaux préparateurs spécialisés dans l huile d olive. L aquaculture : +60% (mais encore d un niveau très modeste), principalement en Bretagne avec 9 nouveaux préparateurs (saumon fumé, crustacés ) Le secteur de la viande : +14%. Ce secteur se développe dans l ensemble du territoire mais plus particulièrement dans les régions traditionnelles d élevage (Midi-Pyrénées, Aquitaine et Bretagne). Plus du tiers sont des bouchers artisans, les abattoirs et ateliers de découpes représentant un autre tiers. Toutes les régions concernées par cette dynamique Évolution du nombre de préparateurs et distributeurs de produits bio par région en Distributeurs nouvellement engagés en 2011 Distributeurs engagés avant 2011 Transformateurs nouvellement engagés en 2011 Transformateurs engagés avant Source: Agence Bio - OC 10 /69

11 Un approvisionnement prioritairement en région Plus de 45% des préparateurs déclarent s approvisionner dans leur région et plus de 40% en France. Ce qui traduit l implication locale des entreprises engagées en bio. 50% 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Origine des matières premières Oui Non Région France UE Pays tiers Source : Agence BIO / Notifications Focus sur la boulangerie-pâtisserie bio entre 2008 et 2011 En 3 ans le nombre de préparateurs de pains bio notifiés auprès de l Agence Bio a été multiplié par plus de 2, *Source : Agence BIO / Notifications Les préparateurs réalisant un chiffre d affaire inférieur à en bio n ont pas d obligation de se notifier 11 /69

12 1/3 des exploitations bio dans 3 régions La région Rhône-Alpes reste la première région de France en termes d exploitations bio avec exploitations bio, talonnée par la région Languedoc-Roussillon, où la progression est plus marquée (+15%, exploitations) et Midi-Pyrénées (2 428 exploitations). Répartition régionale des producteurs bio en 2011 et évolution 2011/2010 Nombre d exploitations bio par département en 2011 Nb Producteurs bio < > 600 Source : Agence BIO / OC 12 /69

13 Près de la moitié des surfaces en bio dans 5 régions Près de la moitié des surfaces consacrées à la Bio en France est localisée dans 5 régions et près d 1/3 dans trois régions : Midi-Pyrénées ( ha), Pays de la Loire ( ha) et Languedoc-Roussillon (qui avec ha en bio devient la troisième région française en terme de surfaces bio). Répartition régionale des surfaces en mode de production bio en 2011 et évolution 2011/2010 Surfaces conduites en bio par département en 2011 Surfaces bio (ha) < > Source : Agence BIO / OC 13 /69

14 3 régions dépassent les 6% de SAU en mode de production biologique La région concentrant le plus de surfaces bio par rapport à sa SAU totale reste la Provence- Alpes-Côte d Azur, avec 12,3% de sa SAU consacrée à la Bio. Deux autres régions ont une part supérieure à 6% : Languedoc-Roussillon (9,3%) et la Corse (avec 6,7% de la SAU en bio). Part de la SAU en bio dans la SAU totale en 2011 Part des surfaces conduites en bio par département en 2011 Part de la SAU en bio <1% 1-2% 2-4% 4-6% 6-10% >10% Source : Agence BIO / OC 14 /69

15 Palmarès régional 2011 Nb. Producteurs Surfaces bio + conversion Part dans la SAU totale en RHONE-ALPES 2554 MIDI-PYRENEES PROV-ALPES-COTE D'AZUR 12,3% LANGUEDOC-ROUSSILLON 2531 PAYS DE LA LOIRE LANGUEDOC-ROUSSILLON 9,3% MIDI-PYRENEES 2428 LANGUEDOC-ROUSSILLON CORSE 6,7% PROV-ALPES-COTE D'AZUR 2242 RHONE-ALPES RHONE-ALPES 5,9% AQUITAINE 2162 PROV-ALPES-COTE D'AZUR MIDI-PYRENEES 5,2% PAYS DE LA LOIRE 1821 BRETAGNE ALSACE 5,2% BRETAGNE 1686 AQUITAINE FRANCHE-COMTE 5,2% AUVERGNE 907 AUVERGNE PAYS DE LA LOIRE 4,8% BOURGOGNE 829 BASSE-NORMANDIE AQUITAINE 4,1% BASSE-NORMANDIE 807 BOURGOGNE BRETAGNE 3,7% POITOU-CHARENTES 774 POITOU-CHARENTES BASSE-NORMANDIE 3,7% CENTRE 741 CENTRE AUVERGNE 3,1% ALSACE 536 FRANCHE-COMTE LIMOUSIN 3,0% LIMOUSIN 488 LORRAINE LORRAINE 3,0% FRANCHE-COMTE 475 LIMOUSIN OUTRE-MER 2,6% CHAMPAGNE-ARDENNE 430 CHAMPAGNE-ARDENNE BOURGOGNE 2,5% LORRAINE 425 ALSACE POITOU-CHARENTES 2,2% NORD-PAS-DE-CALAIS 261 CORSE CENTRE 1,5% CORSE 251 PICARDIE ILE-DE-FRANCE 1,4% PICARDIE 213 ILE-DE-FRANCE CHAMPAGNE-ARDENNE 1,1% OUTRE-MER 205 NORD-PAS-DE-CALAIS NORD-PAS-DE-CALAIS 0,9% HAUTE-NORMANDIE 191 HAUTE-NORMANDIE HAUTE-NORMANDIE 0,9% ILE-DE-FRANCE 178 OUTRE-MER PICARDIE 0,7% Palmarès départemental 2011 Nb. Producteurs 2011 Surfaces bio + conversion 2011 Part dans la SAU totale en DROME LOIRE-ATLANTIQUE DROME 14,4% 30 GARD AVEYRON PYRENEES-ORIENTALES 14,2% 84 VAUCLUSE DROME BOUCHES-DU-RHONE 13,7% 34 HERAULT GERS VAUCLUSE 13,5% 33 GIRONDE AUDE ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE 12,2% 24 DORDOGNE MAINE-ET-LOIRE ARIEGE 11,4% 44 LOIRE-ATLANTIQUE BOUCHES-DU-RHONE ARDECHE 11,2% 49 MAINE-ET-LOIRE VENDEE VAR 11,1% 47 LOT-ET-GARONNE ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE HAUTES-ALPES 11,1% 13 BOUCHES-DU-RHONE GARD A CORSE-DU-SUD 10,2% 07 ARDECHE ILLE-ET-VILAINE GARD 10,2% 66 PYRENEES-ORIENTALES HERAULT AUDE 10,1% 32 GERS ORNE GUYANE 9,6% 11 AUDE LOT-ET-GARONNE ALPES-MARITIMES 9,4% 29 FINISTERE VAUCLUSE LOIRE-ATLANTIQUE 9,2% 22 COTES-D'ARMOR LOZERE HERAULT 9,2% 12 AVEYRON ARIEGE AVEYRON 6,9% 35 ILLE-ET-VILAINE DORDOGNE LOZERE 6,4% 56 MORBIHAN MORBIHAN JURA 6,1% 83 VAR COTES-D'ARMOR GERS 5,8% 15 /69

16 Focus filière bovine (lait et viande) fin 2011 La filière de lait de vache s affranchit progressivement des achats extérieurs grâce à l engagement de nouvelles fermes et à une augmentation importante de la collecte de lait. Filière laitière Filière viande bovine Éleveurs fermes (+27%) fermes (+21%) Cheptels Vaches laitières (+28%) vaches allaitantes (+20%) dont en conversion (+49%) dont en conversion (+37%) Production Collecte & Transformation 350 millions de litres (+27%) collectés 248 entreprises (+14%) de collecte, conditionnement ou transformation dont 1/5 spécialisé en bio gros bovins abattus (+10,2%) en filière organisée dont gros bovins issus des élevages allaitants (+ 15%) et 6000 veaux (+17%) 181 abattoirs (+27%) Lait conditionné : 187 millions L (+15%) tonnes de viande bovine (hors vente directe) fromages : t (+10%) GMS : 7710t (+12%) Beurre : 6280 t (+11%) Magasins spécialisés : 1030t (+8%) crème : 2350 t (+24%) Artisans bouchers : 2200t (+26%) Produits frais : t (+15%) Restauration hors domicile : 1670t (+12%) évaluation de la vente directe : 1540t Achats extérieurs Lait : 15% (-10 points) Viande bovine : 1% Consommation +13% de la valeur des ventes de lait +9% de la valeur des ventes de viande bovine et produits laitiers 580 millions d'euros TTC de marché 159 millions d'euros TTC de marché Plus de 10% du lait acheté est bio (en valeur) Les part de marché des autres produits laitiers sont de 1 à 4,6% selon les produits (en valeur) 16 /69

17 Focus filière viticole bio fin producteurs cultivaient ha de vigne en mode de production bio fin Les surfaces viticoles bio ont presque triplé en 4 ans. Depuis 2009, plus de la moitié de ces surfaces sont en conversion. Fin 2011, 7,4% du vignoble national était conduit en bio (jusqu à 15% en PACA) Vignoble bio par région en 2011, évolution par rapport à 2010 et place dans le vignoble régional Répartition des surfaces viticoles en 2011 Le marché du vin bio commercialisé en France a progressé de 11% en 2011 par rapport à 2010 (359 M ) est s est également développé à l export (Allemagne, Etats-Unis, Japon ) 17 /69

18 Focus filières fruits & légumes bio fin ha de fruits et légumes bio étaient cultivés dans fermes (42% des fermes bio), dont ha de légumes frais (+13% par rapport à 2010, dans fermes) ha de légumes secs (+27% par rapport à 2010, dans 779 fermes) ha de fruits frais ou destinés à la transformation - olives et pommes à cidre et à jus - (+24% par rapport à 2010, dans fermes) ha de fruits à coque - châtaignes, noix, - (+17% par rapport à 2010, dans fermes) 30% des surfaces étaient en cours de conversion (45% pour les surfaces fruitières) Fin 2011, 6,9% des surfaces de fruits et légumes nationales étaient cultivées en bio Plus de 400 préparateurs avaient une activité principale de transformation de fruits et légumes bio Répartition régionale des surfaces de fruits et légumes en 2011 En 2011, le marché des fruits et légumes frais était estimé à 597 millions d euros TTC (16% du marché bio français, en hausse de 5% par rapport à 2010). La part de marché des 14 fruits et légumes les plus consommés par les ménages français était de 5,9% (en valeur). La hausse de la production française a permis de réduire la part des approvisionnements extérieurs (en baisse de 2 points par rapport à 2010 et de 17 points par rapport à 2009). 36% de ces importations correspondaient à des productions exotiques non substituables. 18 /69

19 MARCHE ALIMENTAIRE BIO : UN TOTAL DE PRES DE 4 MILLIARDS D EUROS +11% DE 2010 A 2011 LES APPROVISIONNEMENT S EN FRANCE GAGNENT DU TERRAIN Un marché de plus de 3,9 milliards d euros en ,75 milliards d'euros pour la consommation à domicile 158 millions d'euros de produits bio achetés en restauration collective La consommation à domicile des ménages s'est élevée à 3,75 milliards d euros TTC en Elle a presque doublé par rapport à 2007 (2 milliards d euros). Le marché de l alimentation bio a atteint 2,4% du marché alimentaire total (contre 1,3% en 2007). La part de marché des produits bio est plus ou moins importante suivant les secteurs. Elle a dépassé 10% s'agissant du lait et des œufs, et atteint près de 6% pour les 14 fruits et légumes les plus consommés en France. Entre 2010 et 2011, les achats par le consommateur final ont progressé de 11%, en valeur. La consommation de produits ou ingrédients bio incorporés dans les plats servis en restauration collective a atteint 158 millions d'euros en 2011, en augmentation de 21% par rapport à L'ensemble porte la consommation totale de produits bio à plus de 3,9 milliards d euros (non compris les achats effectués dans le cadre de la restauration commerciale qui s'implique de plus en plus). 19 /69

20 Près d 1 euro sur 2 dépensé en Grande Surface pour l'achat de produits bio en 2011 En 2011, 84% des ventes ont été réalisés via les Grandes Surfaces Alimentaires (GSA) et les magasins spécialisés bio, 11% directement du producteur au consommateur et 5% par les artisans-commerçants. Plus d'un agriculteur bio sur deux pratique la vente directe, ne serait-ce qu'un peu La vente directe à la ferme et sur les marchés représentent près des 2/3 des circuits de commercialisation en vente directe. Tous produits confondus, la vente à la ferme est le circuit de commercialisation en vente directe le plus utilisé (38% des agriculteurs enquêtés disent avoir recours à ce mode de vente directe). Les magasins collectifs, AMAP et système de paniers représentent 28% des circuits de commercialisation cités en Près de 2 circuits de commercialisation en vente directe sont utilisés en moyenne par les agriculteurs. Des différences existent cependant en fonction des productions (1,1 circuit pour le vin et 4 circuits pour les produits de crèmerie). 20 /69

21 Un marché en augmentation dans tous les secteurs de produits stabilité des prix. La croissance de 11% des achats de produits bio par les ménages entre 2010 et 2011 est liée à une augmentation des volumes commercialisés, les prix sont restés stables en moyenne. Stade de détail (Millions ) Total 2011 Viande bovine Viande porcine Viande agneau Volaille Charcuterie salaison Mer-Saurisserie-Fumaison Total produits carnés et produits de la mer Lait Produits laitiers Œufs Total crèmerie Traiteur - surgelés Epicerie sucrée Epicerie salée Total traiteur, surgelés et épicerie Vin Boissons végétales Jus de fruits & de légumes Autres boissons Total boissons Pain / Farine * Fruits et Légumes TOTAL Source : Agence Bio / ANDi Le hit-parade des produits les plus vendus selon les circuits La gamme des produits alimentaires bio vendus en magasins spécialisés bio est très large avec des milliers de références. Les produits d'épicerie sucrée et salée y occupent la première place, devant les fruits et légumes, le rayon crèmerie et le pain. En super et hypermarchés (GSA), le rayon crèmerie l'emporte (œufs, lait, autres produits laitiers), devant l'épicerie, les produits carnés, les fruits et légumes et le pain. La vente directe des producteurs aux consommateurs est surtout développée en fruits et légumes et en vin, et dans le secteur de l'élevage avec les fromages et la vente de viande en caissettes. Les ventes assurées par les artisans-commerçants concernent majoritairement le pain, ainsi que les produits carnés et le vin. 21 /69

22 2011 Stade de détail (Millions ) Total 2011 GSA Mag. spéc. bio Artis.- com. Vente directe Part des appro. ext. Valeur Appro ext. Effet Prix PDM du bio Viande bovine % 1 4% 4% Viande porcine % 0 0% 2% Viande agneau % 0 0% 1% Volaille % 1 3% 3% Charcuterie salaison % 7 1% 2% Mer-Saurisserie-Fumaison % 32-4% 2% Total produits carnés et produits de la mer % 41 13% Lait % 27 1% 7% Produits laitiers % 23-3% 8% Œufs % 2-4% 6% Total crèmerie % 51 21% Traiteur - surgelés % 47 9% 5% Epicerie sucrée % 191 2% 11% Epicerie salée % 111 0% 10% Total traiteur, surgelés et épicerie % % Vin % 2 2% 10% Boissons végétales % 34-1% 2% Jus de fruits & de légumes % 58 0% 3% Autres boissons % 2 ns 0% Total boissons % 96 15% Pain / Farine * % 71 0% 9% Fruits et Légumes % 189-3% 16% TOTAL % 797 0,1% 100% Source : Agence Bio / ANDi * : les approvisionnements externes en pain et farine concernent l'approvisionnement en grains Augmentation d'un tiers des surfaces de vente des magasins spécialisés bio entre 2009 et La croissance des surfaces a été de 23% entre 2009 et 2011 (9% entre 2010 et 2011). La densité la plus élevée est en Bretagne. Les croissances de surfaces pour habitants sur la période les plus fortes ont eu lieu en Languedoc Roussillon, Franche Comté et Champagne Ardennes. 22 /69

23 Doublement des ventes de produits bio au rayon crèmerie, boucherie, épiceries et boissons en 4 ans De 2007 à 2011, les ventes de produits traiteurs et surgelés ont presque triplé. Les ventes de fruits et légumes ont été multipliées par 1,6, celles de vins par 1,4 et celles de pain et farine par 1,3. Les produits bio : en pointe dans le rayon crèmerie 21% des ventes de produits bio ont été effectués dans le rayon crèmerie (15% lait et produits laitiers et 6% œufs), 21% dans le rayon des produits d'épicerie, 16% dans le rayon des fruits et légumes frais, 10% dans le secteur des vins issus de raisins bio et 5% avec les autres boissons : jus de fruits et boissons végétales (boissons à base de soja, ), 9% dans le secteur du pain et de la farine, 10% au rayon des viandes rouges et blanches et 2% pour les charcuteries et salaisons, 2% de produits traiteurs et surgelés et 1% de produits de la mer et des rivières. 23 /69

24 Les approvisionnements en France gagnent du terrain Les approvisionnements en France augmentent significativement surtout dans le secteur du lait et des produits laitiers entre 2010 et 2011 (respectivement : de 74% à 85% et 76% à 89%). Les ventes de produits bio à l'extérieur de la France, les «exportations», ont été estimées à 192 millions d'euros en 2011 au départ de France. Elles étaient essentiellement constituées de vins issus de raisins bio pour 46%, devant les spécialités des secteurs de l épicerie (23%) ou les fruits et légumes (16%). 24 /69

25 La part des "importations" en baisse Les approvisionnements externes sont passés de 38% en 2009 à 35% en 2010 puis 32% en Ils sont composés de : de produits exotiques : 31% (bananes, autres fruits exotiques, café, thé, cacao ) venant de pays tiers à l'ue ; des productions pour lesquelles la France n'a pas d atout particulier : 31% (agrumes, soja, aquaculture, légumes méditerranéens, divers produits d'épicerie) ; des achats extérieurs relais, portant sur des produits pour lesquels la France a une forte vocation naturelle, mais manque conjoncturellement de volume : 38% (céréales et fruits et légumes tempérés frais ou transformés). Une augmentation de la part des approvisionnements en France est observée : - plus de 10 points dans le secteur du lait et des produits laitiers en 2011 par rapport à plus de 15 points dans le secteur des fruits et légumes en 2010 par rapport à /69

26 RESTAURATION COLLECTIVE : LA BIO S'INVITE DANS LES ASSIETTES UN MARCHE DE 158 MILLIONS D EUROS EN 2011 LA BIO PRESENTE DANS 6 RESTAURANTS COLLECTIFS SUR 10 L introduction des produits biologiques dans la restauration collective constitue un des axes d actions de la loi "Grenelle 1" visant à favoriser le développement de l agriculture biologique. Un objectif de 20% de produits biologiques dans les commandes de la restauration collective publique d Etat a notamment été retenu 1. Début 2012, près de 6 restaurants collectifs sur 10 en proposaient, ne serait-ce que de temps en temps. La Bio en restaurat ion collective : un marché de 158 millions d euros Les achats de produits bio en restauration collective ont été estimés à 158 millions d euros HT pour 2011 pour l ensemble des familles de produits (frais, surgelés, épicerie, hors pain), soit une progression de 21% en un an. Ainsi, ce marché représentait en 2011 : 2,1% des achats alimentaires de la restauration à caractère social (contre 0,6% en 2008 et 1,8% en 2010), 4% du marché des produits alimentaires issus de l agriculture biologique. Répartition des achats en produits bio par famille (source : Etude Agence Bio/CSA-2012) 9% 34% 57% Produits frais Epicerie Produits surgelés 26 /69

27 Près de 6 restaurants collectifs sur 10 servent des produits b io 3 Début 2012, les établissements de restauration déclarant proposer des produits biologiques à leurs convives sont désormais majoritaires (57%), alors qu ils n étaient que 4% avant L introduction est toujours plus significative dans le secteur public (67% des établissements, soit une nouvelle hausse de 10 points en un an) que dans le privé (44% des établissements, en hausse de 12 points). Le secteur de l enseignement est le plus concerné, avec 73% d établissements (contre 61% en 2011) qui déclarent proposer des produits bio, suivi du secteur du travail, avec 53% d établissements (contre 44% en 2011), puis du secteur de la santé et du social, avec 29% des établissements (contre 23% en 2011). Part des établissements proposant des produits biologiques en restauration collective dans les secteurs publics et privés (source : Etude Agence Bio/CSA-2012) 27 /69

28 La Bio progresse plus vite dans les établissements en gestion directe Les produits bio sont davantage introduits au sein des grosses structures (plus de 500 repas par jour : 75% proposent des produits bio), et dans celles ayant les budgets alimentaires les moins élevés (67% proposent des produits bio). La part des établissements introduisant des produits bio progresse cette année sensiblement plus en gestion directe (+ 15 points) qu en gestion concédée (+ 1 point). Part des acheteurs de produits bio dans les différents secteurs de la restauration (source : Etude Agence Bio/CSA-2012) 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% Gestion concédée Gestion directe 0% Restauration scolaire Restauration du travail Restauration santé/social 28 /69

29 Fruits, produits laitiers et légumes dans le trio de tête des produits bio les plus présents Les principaux produits bio introduits en restauration collective restent les produits frais, notamment : les fruits frais (87% des restaurants ayant introduit des produits bio déclarent en proposer), les produits laitiers (82%), les légumes frais (77%). On retrouve également : les produits d épicerie (54% des restaurants ayant introduit des produits bio déclarent en proposer), La volaille fraîche (44%) et surgelée (18%), Les autres produits carnés frais (43%) et surgelés (21%), les légumes surgelés (41%), le pain frais (32%) et surgelé (7%). Part des acheteurs par famille de produits bio (source : Etude Agence Bio/CSA-2012) Certaines familles ont des produits vedettes : les pommes parmi les fruits (81% des établissements ayant introduit des produits bio déclarent en proposer) ; les yaourts parmi les produits laitiers (78% des établissements ayant introduit des produits bio déclarent en proposer) ; les carottes parmi les légumes (66%) ; le poulet et le bœuf parmi les produits carnés frais (respectivement 42% et 37%) ; les pâtes et le riz parmi les produits d épicerie (respectivement 47% et 38%). 29 /69

30 On note deux fortes progressions cette année : les pâtes (47% ; +13 points) et le vin (8% ; +5 points). Le nombre moyen de familles de produits bio introduites est de 5,6 en moyenne cette année (contre 5,2 en 2011). Hausse de la fréquence d introduction L introduction de produits bio se fait encore, dans 40% des cas, sous la forme de produits et d ingrédients bio plutôt que de plats ou menus entièrement bio (proposés respectivement par 26% et 34% des établissements). La fréquence d introduction est en constante hausse : parmi les acheteurs de produits bio, 73% en proposent au moins une fois par mois, contre 58% en % en proposent au moins une fois par semaine, et 17% tous les jours. Lorsqu ils sont introduits, la part des produits biologiques dans le montant total des achats des établissements est passée de 5% en 2008 à 12% en 2011 en moyenne. Ce taux monte cette année à 25% pour le pain. Plus l introduction est ancienne, plus la part de produits bio progresse : de 9% des achats en moyenne la première année, huit ans plus tard ce taux monte à 15%. La saisonnalité : un critère de choix prioritaire Toujours 8 établissements sur 10 déclarent acheter des produits bio d origine française. Parmi ces derniers, la part des produits régionaux progresse et devient majoritaire cette année. La saisonnalité est le critère de choix privilégié des fournisseurs (à 84%), devant l origine régionale (à 63%). Introduction des produits bio : un surcoût maîtrisé 9 établissements sur 10 ayant introduit des produits bio font état d un surcoût de 23% en moyenne. Une majorité (66%) a cherché à le réduire, notamment : en limitant le gaspillage (83%), en mettant en concurrence les fournisseurs (72%), en groupant les achats (71%), cette action étant jugée la plus efficace, ainsi que le passage de partenariats au niveau local. 30 /69

31 Des convives et un personnel satisfaits par l introduction de produits bio en restauration collective Malgré ce surcoût, les responsables de restauration ayant opté pour l introduction de produits biologiques jugent en majorité celle-ci plutôt voire très satisfaisante, que ce soit pour les convives ou le personnel. Le taux de satisfaction atteint même 86% pour le personnel et 93% pour les convives après huit ans d introduction. Bilan de l introduction des produits biologiques (source : Etude Agence Bio/CSA-2012) Horizon : de la Bio dans 7 restaurants collectifs sur 10 L introduction des produits bio devrait se poursuivre et toucher encore de nouveaux établissements : 16% des restaurateurs non acheteurs de produits bio actuellement ont déclaré début 2012 avoir l intention d introduire des produits biologiques dans leurs menus d ici 2013, 4% de façon certaine. Le potentiel de nouveaux acteurs est plus important dans les secteurs actuellement en retrait (restauration du secteur privé et du secteur santé/social). Les produits bio pourraient ainsi être présents dans 73% des restaurants collectifs en 2013 (79% dans le secteur public et 84% des restaurants scolaires), pour une part des achats pouvant atteindre 17% en moyenne. Tous secteurs confondus, les produits bio les plus présents resteront : les fruits frais (67% des établissements envisagent d en introduire), les légumes frais (63%), les produits laitiers (59%). 31 /69

32 D après le baromètre CSA/Agence Bio 2011 «perception et consommation des produits biologiques», les Français sont intéressés par l introduction de produits bio en restauration, notamment : Dans le domaine scolaire : 4 enfants sur 10 ont déjà eu un repas avec des produits biologiques au restaurant scolaire (contre un sur quatre en 2008) et 72% des parents des enfants qui n en ont jamais eu le souhaiteraient. A l hôpital : 62% des Français se disent intéressés par des repas avec des produits bio dans les hôpitaux. Dans les maisons de retraite : 60% des Français se disent intéressés par des repas avec des produits bio dans les maisons de retraite. Au restaurant : 56% des Français se disent intéressés par des produits bio au restaurant et 46% en restauration rapide. Au travail : 53% des actifs se disent intéressés par des produits bio dans leur restaurant d entreprise et 41% par des produits bio dans les distributeurs automatiques. 1 Dans tous les secteurs de la restauration collective, l Etat donne l exemple avec l objectif d introduire 20% de produits biologiques dans ses commandes. Cela concerne en particulier les domaines suivants : -Travail : restaurants administratifs de l Etat ; -Scolaire : universités (CROUS) ; -Santé/social : hôpitaux (CHU) ; -Autres collectivités : armées, secteur pénitentiaire. 2 D après données sur la restauration collective fournies par Gira Foodservice. 3 L ensemble des données de l observatoire 2012 des produits biologiques en restauration collective est issu de l enquête Agence Bio/CSA réalisée du 26 au 30 mars 2012 auprès de 406 responsables des achats d établissements de la restauration collective représentatifs de l ensemble des opérateurs du secteur en France (hors établissements sociaux, structures collectives de loisirs et communautés religieuses). 32 /69

33 LE FONDS AVENIR BIO : DES FINANCEMENTS POUR DEVELOPPER LA BIO 7 APPELS A PROJETS LANCES 10,6 MILLIONS D EUROS ATTRIBUES 41 PROGRAMMES FINANCES Fonds Avenir Bio : un soutien au développement des productions bio La bio se développe en France, tant au niveau de la production agricole (surfaces et cheptels en nette augmentation) qu au niveau de la diversité des gammes de produits mis en marché (nombre d opérateurs, optimisation des outils de transformation et diversification des débouchés). Le Fonds Avenir Bio s inscrit dans cette démarche. Le Fonds Avenir Bio a été créé dans le cadre du plan de développement de l agriculture biologique à horizon Géré par l Agence BIO, il est doté de 3 millions d euros par an pendant 5 ans, pour soutenir des démarches partenariales cohérentes sur le long terme entre des producteurs biologiques et des entreprises, afin de développer et de promouvoir des productions biologiques de qualité et de proximité. Sept appels à projets ont été lancés depuis A ce jour, plus de 100 groupements de producteurs et entreprises ont déjà bénéficié d un soutien financier, engagés dans 41 programmes d actions cohérents (près de 200 partenaires sont associés aux programmes d actions sans bénéficier de soutien direct du Fonds Avenir Bio). Plus de 10% des agriculteurs bio en France se sont engagés dans une démarche structurante avec leurs partenaires (entreprises, coopératives, organismes de développement de l agriculture biologique, ), avec le soutien du Fonds Avenir Bio. Un total de 50 millions d euros investis dans 41 programmes Le Fonds Avenir Bio a pour objectifs de : développer les conversions et la diversification des produits pour satisfaire les demandes des consommateurs exprimées dans tous les circuits de distribution ainsi que dans la restauration collective, créer des économies d échelle et optimiser les circuits de collecte ou de transformation pour permettre une juste rémunération des producteurs ainsi qu une maîtrise de prix favorable aux consommateurs et aux différents responsables des achats, concrétiser un développement le plus harmonieux possible de l'offre et de la 33 /69

34 demande de produits biologiques en France. Des engagements réciproques des opérateurs, sur plusieurs années, permettent ainsi sécuriser à la fois les débouchés pour les producteurs et les approvisionnements pour les transformateurs et les distributeurs, dans l intérêt des consommateurs. Les acteurs susceptibles de demander un soutien du Fonds Avenir bio sont des organisations ou associations de producteurs, des coopératives, des unions de coopératives ou des entreprises implantées en France. Les projets présentés permettent de fédérer les opérateurs à tous les stades des filières, amont et aval, en précisant clairement les engagements de chacun. Aujourd hui, la moitié des porteurs de projets sont des PME et 20% des groupements ou associations de producteurs. Les 41 programmes d actions soutenus dans le cadre du Fonds Avenir Bio présentent des investissements d un montant global de près de 50 millions d euros. Les aides directes du Fonds Avenir Bio pour soutenir ces investissements représentent un montant de 10,6 millions d euros, soit 21% des investissements réalisés. Les investissements sont de deux natures : - Matériel : équipements de production, stockage, conditionnement, transformation, gestion logistique de produits issus de l agriculture biologique ; - Immatériel : coordination, appui technique à la production, traçabilité et qualité des produits, recherche et développement de nouveaux débouchés, mise en adéquation de l offre et de la demande des 41 programmes d actions concernent les filières grandes cultures, monogastriques, fruits et légumes, bovins-ovins viande et bovin lait. Voici une présentation des principaux impacts des investissements soutenus dans le cadre du Fonds Avenir Bio. 4 4 programmes concernent les filières PPAM, viticoles et RHD. 34 /69

35 17 programmes dédiés aux grandes cultures bio Via le fonds Avenir Bio, 17 programmes d actions ont été mis en œuvre pour lever les principaux freins au développement de ces filières : - L appui technique auprès des producteurs en conversion, mais aussi en bio pour satisfaire la demande de l aval de la filière ; - Les conditions de stockage des céréales-oléagineux-protéagineux (COP), insuffisantes en volume et en qualité ; - Le manque d outils de transformation spécifiquement dédiés au bio. Près de 23 millions d euros ont été investis par 35 partenaires soutenus par le Fonds Avenir Bio à hauteur de 4,3 millions d euros entre 2008 et producteurs bio (10% des producteurs bio de grandes cultures en France) sur ha 160 éleveurs de porcs bio (30% des éleveurs bio français) 120 éleveurs de poules pondeuses bio (10% des éleveurs bio français) Des groupements de producteurs mobilisés, formés et engagés de façon contractuelle avec les entreprises sur tous les territoires français 3 silos (28 000t) de stockage 2 usines de FAB* 1 moulin et des lignes de transformation en farine, céréales et pain Des outils de découpe et de conditionnement performants Des investissements au sein d entreprises à échelle humaine près des bassins de production Des pains bio frais (céréales, épeautre, ) Des farines bio Des céréales pour le petit déjeuner Des aliments bio pour les porcs et les poules De la viande de porc bio, des œufs bio et des plats préparés Des produits diversifiés, de qualité et de proximité à des prix attractifs et justes pour la restauration collective, la GMS et les magasins spécialisés * Fabrication d Aliments pour Bétail 35 /69

36 9 programmes pour les fruits et légumes bio de proximité et tout au long de l année Les freins au développement de la production de fruits et légumes bio ont été identifiés par les partenaires impliqués dans les 9 programmes d actions soutenus : - La planification des productions pour un approvisionnement de proximité qui répond à la demande de l aval de la filière ; - Les conditions de stockage des fruits et légumes bio, insuffisantes en volume et en qualité, pour permettre d approvisionner les opérateurs d aval tout au long de l année; - Le manque d outils de calibrage et de conditionnement pour l élargissement de la gamme (compotes, jus, etc ). Près de 9 millions d euros ont été investis par 14 partenaires soutenus par le Fonds Avenir Bio à hauteur de 3 millions d euros entre 2008 et Des fruits et légumes bio frais Des jus de fruits bio 1000 producteurs de fruits et légumes bio (12% des producteurs de F&L bio de France) sur 6500ha Des groupements de producteurs mobilisés, formés et engagés de façon contractuelle avec les entreprises à proximité des centres de consommation Des chambres froides à proximité des lieux de production Des outils de calibrage Des outils de transformation et de conditionnement en jus, compotes, Des bâtiments de stockage collectif près des producteurs et des entreprises de transformation à proximité des centres de consommation Des purées et de soupes de légumes bio Des compotes bio Des conserves (fruits bio au sirop, ratatouille bio, ) La plupart des fruits et légumes bio sont vendus en frais en circuits courts et magasins spécialisés. Les produits transformés sont largement représentés dans tous les circuits de distribution. 36 /69

37 11 programmes pour une meilleure valorisation des productions animales bio : viandes et lait bio Via le fonds Avenir Bio, 11 programmes d actions ont été mis en œuvre pour lever les principaux freins au développement de ces filières : - Le manque de structures locales de collecte de lait pour palier à une offre dispersée ; - L appui technique et la planification auprès des producteurs aussi bien de viande que de lait, pour répondre à la demande des opérateurs d aval ; - Le manque d outils de découpe et de conditionnement pour l élargissement de la gamme de produits (conditionnement sous vide, plats cuisinés,) et l amélioration du taux de valorisation des carcasses. 14,7 millions d euros ont été investis par 36 partenaires soutenus par le Fonds Avenir Bio à hauteur de 3 millions d euros entre 2008 et éleveurs laitiers bio (7% des élevages bio en France) 400 éleveurs de bovins/ovins viande bio (13% des élevages bio français) Relais locaux de collecte de lait bio Abattoirs bio Outils de découpe et de conditionnement Bouteilles de lait bio Produits laitiers bio : yaourts, poudre de lait, crème de dessert lacté Des produits carnés bio sous vide Des plats cuisinés à base de produits carnés bio Des groupements de producteurs mobilisés, formés et engagés de façon contractuelle avec les entreprises à proximité des centres de consommation Des débouchés locaux pour les producteurs et des entreprises à proximité des centres de consommation Des produits diversifiés, de qualité et de proximité à des prix attractifs et justes pour la restauration collective, la GMS et les magasins spécialisés 37 /69

38 Fonds Avenir Bio : un soutien au développement de la Bio dans tous les territoires C est dans une optique de développement de filières durable, ancré dans les territoires, que les actions de structuration des filières biologiques s inscrivent. Tous les acteurs impliqués dans des programmes de structuration de filière, soutenus ou non par le Fonds Avenir Bio, participent ainsi à l amélioration de la visibilité des filières par leurs démarches exemplaires. Ce sont autant de leviers d actions pour le développement de l agriculture biologique en France. 38 /69

39 PRINTEMPS BIO 2 DU 1 ER AU 15 JUIN : LES ACTEURS DE LA BIO A LA RENCONTRE DU PUBLIC 39 /69

40 PRINTEMPS BIO 2012 : COUP D ENVOI LE 1 ER JUIN A PARIS Rendez-vous le vendredi 1er juin pour l événement national de lancement! Place des Vins de France, Paris Bercy, de 11 à 20h (Métro Cour Saint Emilion) A la découverte des «Terroirs Bio de France», Pour l occasion, des producteurs bio présenteront les spécificités de la Bio et leurs produits aux visiteurs. Des paniers de produits bio régionaux seront présentés, illustrant la grande diversité des produits bio des régions de France : pains, fromages, confitures, miels, produits à base de viande, fruits et légumes secs, huiles, jus de fruits, vins, cidres, farines, huiles essentielles, et de nombreuses spécialités régionales bio! Des dégustations de produits bio seront proposées, avec notamment du pain bio, proposé par l Ecole de la Boulangerie et de la Pâtisserie de Paris, des cerises de saison, La finale du concours photos bio, avec l exposition des 15 œuvres pré-sélectionnées Une expo-photos «Le festival des terroirs bio des régions de France» présentera les œuvres des 15 nominés du concours photos bio, lancé en mars dernier sur le site Internet de l Agence BIO : Ce concours visait à témoigner de la vie de la bio dans les régions, à travers ses acteurs, ses métiers, ses techniques et la diversité de ses produits. Il était ouvert à toutes les personnes intéressées par l agriculture biologique. Le 1 er juin, les visiteurs seront invités à voter pour leurs œuvres préférées. Leurs votes seront pris en compte à parité avec les votes du jury, présidé par Pierre Josse, rédacteur en chef du Guide du Routard. Un tirage au sort sera effectué parmi les bulletins de vote pour désigner les gagnants de paniers des terroirs bio des régions de France. «L atelier du chef bio» Un chef réalisera des recettes bio et proposera des dégustations pour faire découvrir les saveurs bio et des astuces sur l art de cuisiner les produits bio au quotidien. Parmi les recettes proposées : gâteau aux légumes du Printemps, pommes macaire aux asperges, clafoutis aux cerises, fraises à la Tzarine, smoothies bio aux fruits, produits laitiers et céréales 40 /69

41 Le «Barbecue Bio», animé par des professionnels de l élevage biologique, pour goûter aux saveurs des viandes bio, en partenariat avec la Commission Bio d Interbev ; Un espace «Jardin Bio», avec des animations effectuées par des professionnels pour faire découvrir les pratiques bio appliquées aux potagers. Car il suffit de quelques cm² pour donner naissance à un petit jardin gourmand. Tomates, concombres, fraises : de la graine à l assiette, il n y a qu un pas. L occasion de faire le plein d idées en vue de quelques plantations et dégustations prochaines! Des dégustations de vins issus de l agriculture biologique pour poser toutes vos questions aux viticulteurs bio sur la culture et la transformation des raisins bio. Des rencontres de professionnels de la Bio, venus spécifiquement pour l occasion! 41 /69

42 DES CENTAINES D ANIMATIONS BIO DU 1 ER AU 15 JUIN DANS TOUTE LA FRANCE La vie en Bio dans toute la France Du 1 er au 15 juin, les acteurs de la BIO organisent des animations dans toute la France. Autant d'occasions pour tous les publics de (re)découvrir les principes, les valeurs et les pratiques de l'agriculture biologique et de déguster des produits bio! Au programme : des portes ouvertes dans des entreprises, exploitations, vergers, potagers et fabriques artisanales, pour découvrir les spécificités des modes de production biologique des animations et dégustations sur les points de vente, enseignes généralistes et magasins spécialisés, pour (re)découvrir la grande diversité des produits bio, des conférences et expositions pour mieux connaître l agriculture biologique, des repas bio en restauration collective et commerciale, des rencontres entre professionnels et élèves pour sensibiliser les plus jeunes, des rencontres et portes ouvertes à destination des professionnels, afin d encourager la conversion à l agriculture biologique. etc. Des temps forts conviviaux: les Apéros Bio Des «Apéros BIO» seront organisés entre le 1 er et 15 juin dans toutes les régions, avec, en particulier : la mise en avant des vins issus de raisins bio et des boissons bio (cidres, jus de fruits, bières ) sur les lieux de vente, sur les foires, salons, marchés, avec des animations dégustations ; des apéritifs bio proposés dans le cadre des portes ouvertes, randonnées bio, expositions, conférences, avec des temps de partage conviviaux ; des actions spécifiques chez les cavistes : référencement, mises en avant, dégustations ainsi que dans les restaurants ; et bien sûr, la mise en avant de tous les produits accompagnant l apéritif : fruits et légumes de saison, viandes et charcuterie, produits laitiers, céréaliers et oléagineux bio. 42 /69

43 Quelques exemples d animations Printemps BIO dans toute la France : Des fermes et entreprises ouvertes au public : Elevage, maraîchage, viticulture, plantes aromatiques et médicinales, arboriculture (cerises, olives, ), céréales, ruches, petits fruits rouges, safranières..., mais aussi brasseries, fromageries, boucheries, fournils, chocolateries découvrez avec le Printemps BIO la très grande variété des productions et des transformations bio! - Le 3 juin : la «Fête du Lait Bio» : des petits-déjeuners bio seront proposés dans plus de 60 fermes bio, avec des visites d exploitations, des activités pédagogiques, des concerts, des marchés de producteurs Pour sa 8 édition, la Fête du Lait Bio, se déroulera dans 6 régions : Bretagne, Rhône-Alpes, Pays de la Loire, Alsace, Champagne Ardenne et Auvergne. Elle est organisée en partenariat avec le CNIEL ; - Les 9 et 10 juin : «Bienvenue chez les Bio!» : week-end de portes ouvertes dans plus de 60 fermes bio en Provence Alpes Côtes d Azur : découvrez la très grande diversité des productions régionales! - Durant tout le Printemps BIO : plus de 50 domaines viticoles ouverts au public, avec des animations, des dégustations, des «pique-niques chez le vigneron» - Des randos bio, avec des visites de fermes bio sur le parcours, par exemple : le 3 juin en Haute-Loire (43), dans le Puy de Dôme (63), le 10 juin dans l Hérault, un rallye bio le 24 juin à Inor (54), ; - Dans les Pays de la Loire : une trentaine de portes ouvertes sur les fermes et entreprises, avec notamment une fromagerie et une huilerie qui ouvriront leurs portes. - Le «parcours bio de la région lyonnaise» avec de nombreuses animations par les artisans, commerçants et restaurants, des rencontres gourmandes (accords de chocolats et épices chez un chocolatier), animations ludiques («blind test» sur les épices et les herbes) et visites familiales avec marché de producteurs, buvette et musique. - Des fêtes, des foires et marchés bio : 9 et 10 juin : Foire bio de Wadelincourt (08) Deux journées festives en Ile-de-France : le 10 juin, à la Ferme de Paris : «Jamais trop bio», ainsi qu à la Bergerie de Villarceaux à Chaussy (95) les 9 et 10 juin : conférences, un marché bio, des promenades en ânes, des ateliers pédagogiques ; La 10 ème édition de la foire Bio-écologique Coccinelles et Compagnie, le 10 juin, à Limoges, Dans les Pays de la Loire : - «La Fête du Petit bois et de la biodiversité», à la Roche sur Yon, les 2 et 3 juin - «Tous à la Grande Fête bio», à Mûrs Erigné (près d Angers, Maine et Loire), le 3 juin - «La bio se fête en Sarthe», à Neuvillette en Charnie, (Sarthe Ouest) le 3 juin En Poitou-Charentes : la Fête du Printemps Bio, le 9 juin à Barret (16) et 3 marchés bio dans les Deux-Sèvres (79), les 3, 9 et 10 juin 43 /69

44 En Corse : des marchés bio, le 2 juin à Bastia, du 13 au 17 juin en Balagne ; et la Bio en Fête, le 16 juin, dans les jardins traditionnels du Cap Corse à Luri, et les 16 et 17 juin au Potager du Nebbiu à Oletta, le 23 juin : Bio en fête à l ortulinu à Bonifacio Fête bio départementale dans l Hérault, à Prades le Lez, le 24 juin Fêtons la Bio en Mortagne (54), le 3 juin Fête régionale de la Bio les 23 et 24 juin, à Cricqueville en Auge (14) 23 et 24 juin : Foire bio de Fagnières (51) Des initiatives autour de la restauration et de la cuisine : Des milliers de repas bio servis dans la restauration collective et commerciale, avec des animations pédagogiques ; De nombreux ateliers cuisine seront proposés par les magasins spécialisés Dans l Yonne, 10 restaurants participent au Printemps BIO avec l introduction de produits bio locaux dans leurs menus : volaille, fruits et légumes, vins, fromages, miel ; Des repas bio en Midi-Pyrénées, avec quatre restaurants inscrits dans la démarche «Les Tables du Gers» qui mettront en avant des produits bio locaux. De nombreuses animations en magasins : Dégustations en présence de producteurs, ateliers culinaires, Mise en avant des produits bio dans des grandes surfaces, notamment de la viande bio. Des rendez-vous pour les professionnels : En Bourgogne, des journées techniques de sensibilisation à l agriculture biologique en grandes cultures, polyculture-élevage et viticulture, Dans les Hautes Pyrénées, démonstration de techniques culturales bio les 12 et 13 juin En Champagne Ardennes, dix tours de plaine et fermes ouvertes aux professionnels et visites d essais En Lorraine, des rencontres techniques arboriculture le 7 juin (54), et compost et biodynamie, le 14 juin (55) ; Des Apéros Bio : De nombreux apéros Bio prévus dans le cadre de portes ouvertes, dans l ensemble des régions viticoles ; Un apéro bio de lancement du Printemps BIO, le 1er juin à 17h30, à Vandoeuvre les Nancy (54) Des Apéros bio sur les marchés bio, avec par exemple 4 «apéro bio» dans le Loir et Cher les 1 er, 2, 6 et 10 juin ; Apéro bio le 15 juin à Bourgueil (37): les vignerons du Val de Loire se regroupent et proposent une vaste dégustation au public ; En Aquitaine : des animations autour du thème de l Apéro Bio auront lieu dans la région (bars, cavistes, magasins spécialisés) avec des dégustations de vins issus de raisins bio, mais aussi des journées portes ouvertes de domaines viticoles bio. En Rhône-Alpes : en particulier, le 7 juin avec des dégustations de produits bio dans 13 fermes iséroises de l association «Mes voisins de paniers» ainsi que chez un caviste lyonnais Une soirée Apéro Bio à Cahors, avec dégustations de vins et de saucissons bio, avec les producteurs 44 /69

45 Dégustations et apéros bio dans de nombreux magasins spécialisés bio, par exemple dans le Nord-Pas de Calais, Des conférences, projections-débats : - Lundi 4 juin, à la Bergerie Nationale (Rambouillet - 78), à partir de 15h : conférences - débats «Quelle place pour l agriculture biologique en Ile-de-France d ici 2020 / 2050?» - Les projections de films documentaires suivis de débat et de dégustations seront très nombreuses, en Sarthe, Mayenne et Loire Atlantique en particulier, avec la participation de producteurs bio et d associations de consommateurs. - Bio & local, c est l idéal, comment manger Bio dans la Vienne? Le samedi 9 Juin à Poitiers D autres initiatives : Le pique-nique bio sur le Puy de Dôme en prenant le nouveau train : le panoramique des Dômes le 10 juin, avec animations et expo Le 5 juin célèbreront par ailleurs les 10 ans d Arbio Aquitaine sur le thème de l engagement pour la bio! De nombreux ateliers pratiques sur le jardinage bio De rencontres avec les AMAP bio régionales Des conférences et projections débats. La Bio peut-elle nourrir le monde? Des visites de boulangeries, moulins, dégustations de pains bio dans différentes régions de France, avec par exemple deux journées portes ouvertes «Du Blé au pain» dans des fournils bio, dans les Deux-Sèvres, Pour connaître toutes les animations Printemps BIO 2012, et les coordonnées des relais régionaux Printemps Bio, rendez-vous sur : 45 /69

46 DES OUTILS D INFORMATION POUR MIEUX CONNAITRE LA BIO Sur tous les lieux d animation Printemps BIO (entreprises, lieux de vente, exploitations, etc.), des outils d information sur la Bio seront diffusés : dépliants, cartes postales, autocollants, affiches, guirlandes Ces outils adaptés pour les publics enfants et adultes permettent d en savoir plus sur l agriculture biologique, la saisonnalité des produits, etc. Ils sont utilisables pour des animations tout au long de l année. Dépliant adultes Dépliant enfant illustré façon BD Affiche «Saisonnalité» Guirlande Retrouvez l ensemble des outils sur : 46 /69

47 LES «MINUTES BIO» : 10 REPORTAGES VIDEOS INEDITS A PARTIR DE JUIN Les Minutes BIO, ce sont 30 programmes courts, dont 10 inédits, qui abordent la Bio sous l angle de reportages sur le terrain avec de nombreux témoignages de professionnels de la bio (producteurs, transformateurs, distributeurs, cuisiniers, formateurs, consommateurs, représentants d organismes de contrôles, ). Ces programmes sont diffusés sur M6 depuis le 28 avril et jusqu au 12 août 2012, les samedis vers 18h40 et les dimanches vers 18h35. Les 10 épisodes inédits seront diffusés à partir du mois de juin. Les 10 inédits à découvrir à partir de juin Produits bio : de la ferme bio à la restauration collective La biodiversité, à travers une ferme-auberge en polyculture-élevage Les fruits et légumes bio appréciés des grands chefs L élevage, la boucherie bio : des métiers d avenir Les enfants font la cuisine chez un chef bio La viticulture bio : une filière dynamique, pour la terre et le plaisir A la découverte des huiles biologiques Les plantes aromatiques, à parfum et médicinales bio : une grande diversité pour des usages multiples, avec une démarche d insertion sociale Un élevage de vaches laitières et fabrication de fromage Un élevage ovin Les 20 premiers épisodes déjà sur internet : agencebio.org et leblogdelabio.com La conversion en agriculture biologique Le pain biologique Des produits bio de saison et de proximité Des normes élevées de bien-être animal L innovation en agriculture biologique Produits bio : repères et garanties Les contrôles sur les exploitations bio La Bio : source de vitalité en milieu rural La diversité des produits biologiques Bio : les chefs s y mettent! Des sols vivants et fertiles Manger bio en restauration scolaire Les contrôles dans une entreprise de transformation bio Le respect de la biodiversité La consommation des produits biologiques Le respect de la qualité de l eau Les formations en agriculture biologique La Bio, créatrice d emplois La viticulture biologique L agriculture biologique : une démarche d avenir 47 /69

48 LE 19 JUIN : RENCONTRES PROFESSIONNELLES EN CHAMPAGNE-ARDENNE En 4 ans en France, le nombre d exploitations biologiques a doublé. Il est passé de fin 2007 à fin 2011, et les surfaces biologiques ont augmenté, passant de hectares fin 2007 à hectares fin Le nombre de transformateurs et distributeurs a augmenté dans les mêmes proportions, portant fin 2011 à le nombre d opérateurs ayant une activité certifiée bio en France. Dans le même temps, le marché bio a doublé, passant de 2 milliards d euros fin 2007 à près de 4 milliards d euros fin Cette dynamique de développement concerne tous les secteurs de produits biologiques. Dans le secteur des grandes cultures tout spécialement, nombreux sont encore les besoins à satisfaire, tant pour l alimentation humaine que pour l alimentation animale. Les rencontres du 19 juin ont pour objectif de : - permettre à chacun de bien connaître la situation actuelle à tous les stades de la filière et dans l ensemble des régions, tant en terme de production qu en terme de stratégies professionnelles - avoir un éclairage sur les besoins et les perspectives de développement du secteur, - connaître les initiatives partenariales et les actions de structuration de filière, - prendre connaissance des clés du succès pour les exploitations agricoles bio. A l issue de la journée, l objectif est que chaque participant ait eu l occasion d actualiser et d élargir sa connaissance du secteur et d avoir des idées plus précises sur les perspectives d avenir, de partager ses expériences, de créer de nouveaux contacts, d ouvrir éventuellement de nouvelles perspectives partenariales, de rencontrer des interlocuteurs professionnels pour répondre à ses questions. Cet événement constitue un véritable rendez-vous pour tous les professionnels du secteur des grandes cultures, les collectivités territoriales, les élus, les organismes professionnels, les entreprises de production, de transformation et de distribution, les instituts de recherche et technique, les associations de consommateurs, les journalistes. Inscriptions : sarah.le-douarin@agencebio.org ou Fax : /69

49 Programme 8h45 09h30 10h30 Accueil Ouverture Par François Thiery, Président de l Agence BIO Présentation générale du secteur en France et en Europe par Elisabeth Mercier, Directrice de l Agence BIO Le marché et ses acteurs, réalités et perspectives L organisation interprofessionnelle avec Pascal Gury, Président de la Commission Bio Intercéréales Les besoins pour l alimentation humaine et animale avec : Jean-Louis Dupuy, Président de la Minoterie Dupuy Couturier Carine Maret, Responsable alimentation animale à l UFAB Les démarches de développement et de structuration de filière ancrées en Champagne-Ardenne et Bourgogne avec : Jean-Marie Pautard, Président de la COCEBI Patrick Vincent, Président de la Coopérative de la Mogne (luzerne) Laurent Cartier, Président de CERCABIO Et dans les autres grandes régions de production avec : Nicolas Lecat, Directeur d Agribio Union Claude Choux, Président de PROBIOLOR 12h45 14h30 Buffet bio - échanges entre participants Les exploitations bio : des itinéraires techniques innovants, avec la participation d agriculteurs et d agents de développement, en particulier avec : Christophe Gonet, Producteur dans l Aube, mettra l accent sur la gestion de la fertilité en système de polyculture sans élevage, Vincent Gauvain, Jeune producteur dans la Marne, donnera un éclairage sur le labour et les rotations pour la gestion des adventices, Anthony Lequemener, Conseiller à la Chambre d Agriculture de l Aube. 15h45 16h30 16h45 17h00 Débat et conclusions avec la participation de Tony Chocardelle, Président de la FRAB Champagne-Ardenne, et Jean Notat, Président de la Chambre Régionale d Agriculture de Champagne-Ardenne Conclusions générales par François Thiery et Elisabeth Mercier Clôture Par Jean-Paul BACHY, Président du Conseil Régional Champagne-Ardenne Fin des rencontres 49 /69

50 LES PROCHAINS RENDEZ-VOUS Printemps BIO 2012 : L agriculture biologique en campagne du 1er au 15 juin dans toute la France Du 1er au 15 juin, les acteurs de la Bio se mobilisent dans toute la France pour informer et sensibiliser tous les publics à l agriculture biologique. Rencontres Tech&Bio Rencontres nationales professionnelles de la bio - Reims (51) Rendez-vous Tech&Bio Viticulture : 12 juillet Montagne (33) Conférence internationale sur les systèmes de production rizicole biologique : 27 au 30 août Montpellier (34) www1.montpellier.inra.fr/orp2012 SPACE, Salon des productions animales : 11 au 14 septembre Rennes (35) Sommet de l'élevage : 3 au 5 octobre Clermont-Ferrand (63) 50 /69

51 Salon Ille et Bio : 7 au 9 octobre Guichen (35) SIAL, Salon International de l'alimentation : 21 au 25 octobre Paris, Villepinte Salon Marjolaine : 2 au 11 novembre Paris, Parc floral Salon des Maires et des Collectivités Locales : du 20 au 22 novembre 2012, Paris L Agence BIO participera avec un stand d information et l organisation d une conférence. 51 /69

52 LA BIO A PORTEE DE CLICS : DEUX NOUVEAUX ANNUAIRES EN LIGNE ET SUR MOBILE Un annuaire en ligne sur internet La nouvelle version de l annuaire en ligne de l Agence BIO recense plus de opérateurs notifiés en agriculture biologique. De nouveaux accès directs permettent de lister rapidement les agriculteurs, préparateurs ou magasins bio par métiers. Des critères de tri supplémentaire donnent la possibilité de rechercher les opérateurs en vente directe ou les fournisseurs de produits bio pour la restauration collective par exemple. Un site mobile pour smartphone Pour trouver des agriculteurs ou préparateurs pratiquant la vente directe autour d un point donné, il suffit d utiliser le site mobile de l annuaire de la Bio : Ce site permet également de tracer l'itinéraire pour se rendre au magasin bio le plus proche, par géo-localisation ou via une adresse renseignée. Le site est accessible depuis n'importe quel terminal mobile. 52 /69

53 EN SAVOIR PLUS 3 SUR LA BIO 53 /69

54 LA BIO DANS L UNION EUROPÉENNE : UNE RÉGLEMENTATION HARMONISÉE Nouveaux règlements européens : les principes de la Bio respectés La nouvelle réglementation européenne est entrée en vigueur dans les pays membres depuis le 1 er janvier Elle vise notamment à offrir une meilleure lisibilité au consommateur, à renforcer le processus d harmonisation entre les Etats membres et à faciliter l identification de l origine des produits. Cette nouvelle réglementation maintient les fondamentaux de la Bio, liés aux principes d'interdiction d'utilisation : de produits chimiques de synthèse, d OGM et de dérivés d OGM, de traitements ionisants. En savoir plus : Officiellement reconnue par les Pouvoirs publics français depuis la loi d orientation agricole de 1980, l agriculture biologique a fait l objet de cahiers des charges nationaux avant d être régie au plan européen (règlement (CEE) n 2091/92 du Conseil du 24 juin 1991). Depuis le 1 er janvier 2009, les opérateurs bio européens disposent d une nouvelle réglementation harmonisée (règlement cadre (CE) n 834/2007 du Conseil du 28 juin 2007 et règlement d application (CE) n 889/2008 de la Commission du 5 septembre 2008). Les textes complets ainsi que des guides de lecture sont disponibles sur : le site de l Agence Bio ( le site du Ministère de l Agriculture, de l'alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l Aménagement du Territoire ( ; le site de l INAO ( 54 /69

55 Harmonisation des normes et transparence pour le consommateur En janvier 2009, un nouveau pas a été franchi pour harmoniser et étendre les normes au plan européen, rendant le système plus transparent pour les consommateurs. Dans tous les domaines concernés par la réglementation européenne, les cahiers des charges nationaux encore applicables pour les produits animaux ont été abrogés. C est le cas du cahier des charges français qui subsiste cependant pour les produits non couverts, ou pas encore, par la réglementation européenne, à savoir : - les lapins, - les escargots, - les autruches, - les aliments pour animaux de compagnie, - la restauration commerciale. Des cahiers des charges privés peuvent toujours s appliquer, mais doivent respecter au minimum les règles européennes en vigueur (certification selon la réglementation européenne) pour pouvoir faire référence au terme bio ou biologique. Zoom sur Le lien au sol La production hors sol est interdite en agriculture biologique. En particulier, l éleveur doit garantir un double lien au sol au niveau de : - l alimentation des animaux en se procurant principalement des aliments provenant de l exploitation elle-même ou d autres exploitations biologiques de la même région, - la gestion des effluents qui doivent être épandus sur les terres agricoles biologiques de l exploitation ou, à défaut, sur celles d un autre opérateur bio de la région, après accord de coopération. Les OGM Toute référence à l'agriculture biologique sur les produits contenant des OGM est rendue explicitement impossible par la nouvelle réglementation européenne en agriculture biologique, qui interdit formellement leur utilisation. Le seuil de 0,9% de présence fortuite et techniquement inévitable, fixé par la réglementation générale, n'est donc en aucun cas une tolérance. Il s'agit d'une obligation d'étiquetage au-delà de ce seuil non spécifique à l agriculture biologique. Les opérateurs de la filière bio prennent toutes les mesures de précaution nécessaires et les organismes certificateurs appliquent une grille d analyse des risques pour éviter toute contamination. 55 /69

56 DES FILIÈRES RIGOUREUSEMENT CONTRÔLÉES Pour commercialiser leurs produits comme étant issus de l agriculture biologique, agriculteurs et entreprises de collecte, de transformation et de distribution doivent obligatoirement faire contrôler et certifier leur activité par un organisme agréé par les Pouvoirs publics et accrédité pour sa compétence, son indépendance et son impartialité. De plus, ils doivent notifier leur activité auprès de l Agence BIO. Un annuaire officiel des opérateurs en agriculture biologique : En France, tous les opérateurs de la filière bio doivent notifier leur activité auprès de l Agence Bio. Outre l obligation réglementaire que représente la notification, celle-ci leur offre la possibilité de figurer dans l annuaire professionnel des opérateurs en agriculture biologique et de faire connaître leur activité. Une surveillance approfondie Des contrôles approfondis et inopinés sont réalisés par les organismes certificateurs. Ceux-ci ont pour mission de s assurer que la règlementation européenne en agriculture biologique est bien respectée. Les contrôles portent sur l ensemble du système de production (parcelles de terre, troupeaux, pratiques de culture et d élevage, lieux de stockage, transformation, étiquetage, comptabilité matière, conformité des recettes et produits correspondants, garanties données par les fournisseurs ). Des prélèvements pour analyse sont effectués par sondage afin de vérifier la non-utilisation de produits interdits (pesticides, OGM ). Ces contrôles et prélèvements pour analyses s ajoutent à ceux effectués de façon générale par les Autorités françaises sur l ensemble des produits agricoles et alimentaires. L étiquetage : garantie de conf ormité Au regard des résultats des contrôles et des analyses, un certificat est délivré pour les produits jugés conformes à la réglementation européenne et française en vigueur. Des sanctions sont appliquées en cas de non respect. L étiquetage est la traduction concrète de cette certification. En 2010, le logo européen est devenu obligatoire pour les denrées préemballées d origine européenne et composées d au moins 95% d ingrédients biologiques. Il figure ainsi sur les emballages des produits biologiques présentés au consommateur final avec, dans le même champ visuel, le numéro de code de l organisme certificateur, ainsi que la mention d origine des matières premières agricoles. Le logo français AB reste facultatif. 56 /69

57 Des importations étroitement surveillée s Pour être commercialisés en tant que tels, les produits biologiques importés dans l Union européenne doivent être conformes aux règles de production et soumis aux dispositions de contrôle prévues par la règlementation européenne. Les produits importés doivent en outre être couverts par un certificat délivré par un organisme de contrôle agréé. La Commission européenne a établi une liste de pays tiers (Argentine, Australie, Canada, Costa Rica, Etats Unis, Inde, Israël, Japon, Nouvelle Zélande, Suisse et Tunisie), et d organismes de contrôle appliquant des règles de production et des dispositions de contrôle équivalentes à celles prévues par la règlementation européenne. En ce qui concerne les pays tiers et organismes ne figurant pas sur ces listes, des autorisations d importation peuvent être données au cas par cas par les Etats membres en application de ces critères. Neuf organismes certificateurs agréés en activité en France Numéro de code Nom Adresse Téléphone/ télécopieur Site Internet FR-BIO-01 ECOCERT FRANCE FR-BIO-07 AGROCERT B.P L ISLE-JOURDAIN 6 rue Georges Bizet MARMANDE FR-BIO-09 FR-BIO-10 FR-BIO-11 SGS-ICS CERTIPAQ (marques : ACLAVE / CERTIPAQ) BUREAU VERITAS/QUALITE- FRANCE FR-BIO-12 CERTISUD FR-BIO-13 CERTIS FR-BIO-15 BUREAU ALPES CONTROLES FR-BIO-16 QUALISUD 56, rue Roger Salengro LA ROCHE SUR YON Cedex Immeuble le Guillaumet 60, avenue du Général De Gaulle LA DEFENSE Cedex 29 avenue Aristide Briand ARCUEIL Cedex 70, avenue Louis Sallenave PAU 3,rue des Orchidées Immeuble le Millepertuis Les Landes d Apigné LE RHEU PAE Les Galisins 3, impasse des Prairies ANNECY-LE- VIEUX 15, avenue de l'océan SAINT SEVER /69

58 LES PRODUCTIONS VÉGÉTALES BIO : DES PRATIQUES EN COHÉRENCE AVEC LA NATURE Fertilité des sols et respect des écosystèmes Le maintien ou l augmentation de la fertilité du sol est une priorité en agriculture biologique. Cet objectif est atteint grâce à : des rotations de cultures appropriées permettant au sol de se régénérer, la culture d engrais verts et de légumineuses, le recyclage et le compostage des matières organiques, l apport de matières organiques provenant de l exploitation pour les fermes en polyculture élevage. Des méthodes de défense naturelles Il est possible en agriculture biologique de recourir à : un travail du sol avec des outils performants et appropriés, au bon moment (de nombreuses techniques alternatives de désherbage existent), un choix d espèces rustiques mieux adaptées au mode de production biologique, des rotations et des associations de cultures, permettant de couvrir le sol et d apporter les nutriments nécessaires à la croissance et au développement des plantes, des haies favorables à la biodiversité et à la présence d auxiliaires, la lutte biologique en cas de nécessité. Des engrais, amendements ou moyens de lutte d origine naturelle ou dérivés de substances naturelles sont autorisés en complément uniquement s ils figurent dans les listes des annexes I et II du règlement CE n 889/ /69

59 ELEVAGE BIO : DES NORMES ÉLEVÉES DE BIEN-ÊTRE ANIMAL La nature comme référence L élevage hors sol est interdit. Tous les animaux ont accès aux parcours extérieurs et les ruminants pâturent dès que les conditions le permettent. Chaque animal dispose d un espace bien aéré, de lumière et d une surface minimum, paillée à l intérieur des bâtiments, lui permettant de se mouvoir librement. La densité des animaux et la taille des bâtiments sont limités. Les traitements hormonaux, le clonage et le transfert d embryon sont interdits. Une alimentation bio La nourriture des animaux est obtenue suivant les règles de l'agriculture biologique. L'élevage des vaches et brebis, herbivores, repose sur l'utilisation maximale des pâturages, selon leurs disponibilités durant les différentes périodes de l'année. Par ailleurs, leur alimentation est complétée par d autres fourrages provenant majoritairement de l exploitation elle-même. Les jeunes mammifères sont nourris de préférence au lait maternel. Le gavage est interdit en agriculture biologique. 59 /69

60 Priorité au bien -être et à la pré vention Les souches et races choisies sont les plus adaptées et les plus résistantes possibles, de préférence indigènes ou locales. La santé des animaux est axée principalement sur la prévention, avec des méthodes et conditions d élevage privilégiant le bien-être animal et stimulant les défenses naturelles. En cas de problème sanitaire, homéopathie et phytothérapie sont utilisées en priorité. Afin de limiter au maximum la souffrance des animaux, en cas de besoin, à titre exclusivement curatif, les médicaments vétérinaires sont utilisables, sans perte de la certification biologique à condition de : ne pas dépasser le nombre maximum de traitements annuels autorisés par espèce (de 1 à 3 suivant la durée de vie de l animal), doubler le délai d attente légal avant commercialisation. En outre, la réglementation générale sur les vaccins, les antiparasitaires et les traitements obligatoires s applique. Toutes les interventions sont enregistrées sur le cahier d élevage et vérifiées par l organisme certificateur. 60 /69

61 TRANSFORMATION DES MATIÈRES PREMIÈRES BIO : UN CONTRÔLE À TOUS LES STADES Des matières premières surveillées de près Des mesures de précaution et une identification systématique sont exigées à tous les stades pour éviter toute pollution ou contamination par des produits non autorisés. Cela se traduit notamment par : un stockage des matières premières et des produits finis bio dans un endroit clairement identifié, une fabrication par séries complètes bio, séparées physiquement ou dans le temps des opérations sur les produits conventionnels, des procédures adaptées et une comptabilité qui distingue bien les achats, ventes et stocks de produits bio et non bio. Des procédés de transformation réglementés Les procédés de transformation utilisés doivent garantir le maintien de l intégrité biologique et des qualités essentielles des produits à tous les stades. Ainsi, les méthodes biologiques, mécaniques et physiques sont privilégiées (ex : farine sur meule, huile de pression à froid ). Les traitements ionisants et par osmose inverse sont interdits. Une utilisation restreinte des additifs et auxiliaires de fabrication L utilisation d additifs et auxiliaires n est permise que lorsque leur usage est indispensable à la préparation de certains aliments transformés, et strictement restreinte à une liste positive qui figure dans l annexe VIII du règlement d application (CE) n 889/2008: La liste précise pour quel type de denrée l additif est utilisable. Certains additifs sont d origine agricole et peuvent être bio. C est le cas des épaississants utilisés en production biologique : farine de graines de caroube et gomme de guar issues de graines de plantes légumineuses ou encore gomme arabique. 61 /69

62 LA CONVERSION : DES RÈGLES STRICTES À RESPECTER La conversion correspond à la période de transition entre un mode de production conventionnel et l obtention de la certification «agriculture biologique». L opérateur suit les règles de production de l agriculture biologique sous le contrôle d un organisme certificateur, mais ne bénéficie pas encore de la mention «bio» pour ses produits. Cultures : jusqu à 3 ans de conversion La période de conversion est fixée à : deux ans avant ensemencement pour les cultures annuelles, trois ans avant la récolte pour les cultures pérennes. Elle peut être réduite dans certains cas particuliers (prairies naturelles, friches, parcours ) définis par chaque Etat membre et en fonction de l examen des preuves de l utilisation antérieure des sols. Elle peut également être prolongée (présence de résidus ). Une valorisation sous la mention «en conversion vers l agriculture biologique» est possible à partir de la deuxième année pour les produits végétaux en tant que tel, fruits et légumes et vins issus de raisins bio en particulier. Elevages : de 6 semaines à 12 mois de conversion La période de conversion est variable suivant les espèces, allant de six semaines (pour les poules pondeuses) à 12 mois (pour les bovins et les équins). Elle s applique à partir du moment où la surface de l exploitation destinée au pâturage ou à l alimentation de ces animaux est elle-même certifiée en agriculture biologique. En cas de conversion simultanée de l ensemble des surfaces et animaux, la durée totale de conversion peut être ramenée à 24 mois. Transformation : une certification sans délai sous certaines conditions L obtention de la certification agriculture biologique est possible, après contrôle attestant de la conformité des pratiques et des produits, sans délai. 62 /69

63 COMMENT LIRE LES ÉTIQUETTES DES PRODUITS BIO? Comment reconnaître un produit bio? Pour reconnaître un produit bio, il suffit de s assurer que son étiquette comporte : le logo bio européen et/ou au logo AB la mention «bio» ou «biologique», toujours accompagnée de la référence à l organisme ayant certifié le produit sous la forme de son numéro de code et/ou de son nom (ex. en France : FR-BIO-01, FR-BIO-07 ). Si l on est face à un produit comportant moins de 95% d ingrédients biologiques, alors il ne peut pas afficher ni le logo européen ni le logo AB et son étiquetage doit préciser : - quels sont les ingrédients biologiques entrant dans sa composition, - le pourcentage total d ingrédients biologiques par rapport à la quantité totale de ses ingrédients d origine agricole. Comment savoir d où viennent les produits biologiques? En application de la réglementation générale concernant les viandes, les fruits & légumes et les produits laitiers, le nom du pays d origine doit être inscrit sur les étiquettes des produits ou, en l absence d étiquetage, affiché sur le lieu de vente. 63 /69

64 En complément, depuis 2010, l ensemble des produits biologiques portant le logo européen, y compris les produits transformés, affichent en plus la mention : o «Agriculture France» (ou «Agriculture Italie» ) lorsqu au moins 98% des matières premières agricoles proviennent de ce pays, o «Agriculture UE» lorsque la matière première agricole a été produite dans l Union européenne, o «Agriculture non-ue» lorsque la matière première agricole a été produite dans un ou des pays tiers à l Union européenne, o «Agriculture UE/non-UE» lorsqu une partie de la matière première agricole a été produite dans l Union européenne et une autre dans un pays tiers, ou lorsque l origine des matières premières diffère d un lot à l autre. Qu est-ce qu un produit «en conversion vers l agricu lture biologique»? Il s agit d un produit obtenu selon les règles de l agriculture biologique, mais n ayant pas encore le droit de porter la mention bio ou biologique. En effet, lorsqu un agriculteur décide de produire en respectant le cahier des charges de la bio, il doit passer une période d adaptation de deux à trois ans (selon les productions) avant d avoir le droit de se prévaloir de la mention bio ou biologique. Comment s y retrouver dans la liste des ingrédients? Sur l étiquetage des produits transformés, les ingrédients sont cités par ordre d importance décroissante, avec ceux d origine agricole situé en premier en général. La liste des ingrédients comprend également les additifs alimentaires, ajoutés pour préserver ou améliorer les caractéristiques d un produit (conservation, goût, aspect, couleur ). Les additifs sont mentionnés soit en toutes lettres, soit par leur code (lettre E suivie de trois ou quatre chiffres). En bio, le nombre d additifs autorisés est fortement restreint 5 (47 contre 300 en conventionnel) et la plupart sont d origine agricole ou naturelle. Ne sont autorisés en bio que ceux dont l usage est indispensable à la préparation de certains aliments transformés (ex : la pectine pour la gélification des confitures). L enrichissement en vitamines, minéraux, antioxydants est interdit en bio, sauf si cela est exigé par la loi (ex : petits pots pour bébé). L objectif pour les transformateurs de produits biologiques est donc d avoir recours à des procédés de formulation et de transformation assurant le maintien des qualités nutritionnelles présentes dans les matières premières à tous les stades de fabrication. 5 Le règlement-cadre de l agriculture biologique (règlement (CE) n 834/2007) et ses règlements d application (notamment le règlement (CE) n 889/2008) précisent la liste des produits autorisés 64 /69

65 Zoom sur les œufs bio Le mode d'élevage des poules pondeuses est obligatoirement indiqué sur les emballages des œufs. De plus, les œufs sont marqués d'un code désignant le numéro distinctif du producteur et permettant d'identifier le mode d'élevage. La signification de ce code est expliquée sur la face extérieure ou intérieure de l emballage : - 0 = poule élevée en élevage biologique, - 1 = poule élevée en plein air (les poules sont en extérieur avec un bâtiment pour les abriter des intempéries), - 2 = poule élevée au sol (les poules sont élevées en liberté dans un bâtiment), - 3 = poule élevée en cage (dans un bâtiment). Exemple de lecture de code : «0» signifie que la poule qui a pondu cet œuf est élevée en élevage biologique 0 FR WFB02 «WFB02» permet d'identifier le producteur et le bâtiment de ponte «FR» indique que cet élevage est en France 65 /69

66 Zoom sur les vins bio - Vins bio : 1ers millésimes en 2012 Les viticulteurs français sont chaque année plus nombreux à s orienter vers le mode de production biologique. En 16 ans, de 1995 à 2011, les surfaces de vignes conduites en bio ont été multipliées par plus de 12 : passant de hectares à ha. Vins rouges, blancs et rosés, champagnes, mousseux et crémants, moelleux et liquoreux : tous les types de vins peuvent être produits à partir de raisins bio. Leur qualité est largement reconnue. Ces vins sont régulièrement primés dans des concours nationaux et internationaux. Pour les vendanges 2012, une nouvelle étape sera franchie avec la reconnaissance et la possibilité d utiliser la mention «vin bio» au niveau européen. Une nouvelle réglementation dès le 1 er août Jusqu à présent, la réglementation européenne spécifique à la Bio encadrait la production de raisins biologiques, mais pas la vinification. C est la raison pour laquelle on ne parlait pas de "vin bio", mais de "vin issu de raisins de l agriculture biologique" ou de "vin issu de raisins bio". Les producteurs de vins reconnus conformes au nouveau règlement adopté le 8 février 2012 seront prochainement autorisés à utiliser le terme «vin biologique» sur leurs étiquettes. Ce règlement, qui entrera en application le 1er août 2012, instaure des règles pour respecter le plus possible la véritable nature du produit, tout en préservant la diversité et la qualité des vins qui sont, dans tous les cas, élaborés à partir de raisins biologiques. Il prévoit notamment : l interdiction de certaines pratiques de vinification, une limitation stricte des intrants utilisables, une limitation des apports en sulfites autorisés. La viticulture bio : régie par le cahier des charges de l agriculture biologique L agriculture biologique est un mode de production spécifique, caractérisé notamment par : la non-utilisation de produits chimiques de synthèse et d organismes génétiquement modifiés (OGM), le recyclage des matières organiques, la lutte biologique, basée notamment sur des méthodes préventives. Ce mode de production, respectueux de l environnement, permet d entretenir et d améliorer la fertilité et la structure des sols, favorise la biodiversité et contribue à préserver la qualité de l eau et de l air. Il est aujourd hui régi par les règlements européens (CE) n 834/2007 et (CE) n 889/ /69

67 Des contrôles stricts et systématiques Le cahier des charges de l agriculture biologique impose en particulier : - la certification du raisin et du vin par un organisme certificateur agréé par les Pouvoirs publics pour sa compétence, son indépendance et son impartialité, - des contrôles stricts et systématiques dans les vignes et dans les caves assurant notamment une parfaite traçabilité, - des prélèvements et analyses en tant que de besoin sur les raisins et sur le vin. Le viticulteur peut commercialiser ses vins en bio après une période de conversion de trois ans. Pendant ces trois ans, le cahier des charges de l'agriculture biologique doit être strictement respecté. Vinification biologique : des pratiques interdites Pour assurer le plus strictement possible le respect de la véritable nature du produit, sont interdites les pratiques suivantes : la concentration partielle par le froid, l élimination de l anhydride sulfureux par des procédés physiques, les traitements par électrodialyse ou aux échangeurs de cations pour assurer la stabilisation tartrique du vin, la désalcoolisation partielle des vins. Sont autorisés avec restriction : les traitements thermiques : limités à 70 C], la centrifugation et la filtration : minimum 0,2 micromètre. Les traitements thermiques, l'utilisation de l'osmose inverse et l'utilisation des résines échangeuses d'ions seront réévalués avant le 31/12/2015. Certains additifs et auxiliaires autorisés De nombreux additifs et auxiliaires sont employés en vinification pour l oxygénation, la filtration, le développement des levures, la clarification, la stabilisation, l acidification ou la désacidification du vin. 67 /69

68 En agriculture biologique, une liste limitative d additifs et d auxiliaires utilisables sous conditions a été établie. Certains (gomme arabique, levures, tanins...) sont issus de matières premières agricoles, et doivent être biologiques s ils sont disponibles en cette qualité. Des doses de SO2 réduites Une réduction de -50 mg/l ou 30 mg/l, en fonction de la teneur en sucre résiduel, est appliquée à la vinification biologique par rapport aux taux maximum fixés par la réglementation générale. Ces taux peuvent être relevés uniquement en cas de conditions climatiques exceptionnelles reconnues par l Etat membre conduisant à une détérioration du statut sanitaires des raisins biologiques dans une zone donnée compte tenu des attaques bactériennes ou fongiques. Vins bio et stocks existants A compter du 1er août 2012, les vins répondant à la nouvelle réglementation pourront bénéficier de la mention «Vin bio», y compris ceux produits avant cette date si l opérateur peut en apporter la preuve à son organisme certificateur. Les vins produits avant le 31 juillet 2012 ne répondant pas à cette réglementation pourront être écoulés avec la mention précédemment en vigueur, à savoir «Vin issu de raisins de l agriculture biologique» ou «Vin issu de raisins bio». Pour plus d information : 68 /69

69 : Rubrique : Espace professionnels / Réglementation Rubrique : Publications / Lettres d information thématiques Et retrouvez l agriculture biologique en vidéo, avec les 20 programmes courts la «Minute Bio», et notamment des reportages sur les contrôles et les logos. ADOCOM RP - Service de Presse de l Agence BIO Tél : Fax : Courriel : adocom@adocom.fr 69 /69

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