LE SIGNALEMENT, LA DÉCLARATION OBLIGATOIRE
|
|
- Flavie Soucy
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CIRCUIT DE SIGNALEMENT OBJECTIFS DU SIGNALEMENT Détecter et signaler pour agir et prévenir les risques d Analyser l évolution dans le temps des maladies et adapter les recommandations, les politiques de santé aux besoins des populations Recevoir une aide ou des conseils pour mettre en place des mesures de contrôle Identifier des évènements «inhabituels» Arlin - Cclin Demande Conseil et assistance Coordination des actions Cire ÉTABLISSEMENT SIGNALEMENT CVGAS - ARS** Évaluation de la situation INFORMATION Préfet Corruss Conseil général * Centre opérationnel de réception et de régulation des urgences sanitaires et sociales de la direction générale de la santé ** Cellule de veille et gestion des alertes sanitaires QUELS ÉVÉNEMENTS INFECTIEUX SIGNALER Les évènements de santé infectieux : - Pour lesquels des mesures doivent être mises en place rapidement (ex : MDO*) - Qui font peser une menace d extension au sein de la collectivité du fait : > De leur caractère groupé : infections repiratoires aigües basses, gastro-entérites aigües, coqueluche > De leur caractère anormal : Clostridium difficile, entérocoque résistant aux glycopeptides * Maladie à L ÉTABLISSEMENT DÉTECTE ET SIGNALE Met en place une surveillance des épisodes infectieux afin de détecter les premiers cas Met en place les mesures de contrôle et les recherches étiologiques selon les recommandations de bonnes pratiques Signale les évènements infectieux à l ARS - Responsable du signalement : > Le médecin coordonnateur si l établissement ne dépend pas d un établissement de santé > Le professionnel chargé du signalement des infections nosocomiales ou le praticien de l EOHH si l établissement est géré par un établissement de santé - Transmet la fiche de notification obligatoire : MDO ou une fiche de signalement des évènements infectieux par fax à l ARS (CVGAS*) * Cellule de veille et gestion des alertes sanitaires
2 RÔLE DE L ARS L ARS évalue la situation et coordonne la gestion de l évènement - Valide le signal en recueillant les premières informations (nombre de malades chez les résidants et le personnel, nombre d hospitalisations, décès, date de début des premiers cas, date des derniers cas) - Analyse la situation et détermine les besoins d expertise (Arlin, Cire) - Transmet si nécessaire l information (préfet, Corrus*, Conseil général) - S assure de la mise en œuvre des mesures de contrôle et des recherches étiologiques * Centre opérationnel de réception et de régulation des urgences sanitaires et sociales RÔLE DE L ARLIN ET DE LA CIRE L Arlin : - Aide l établissement à adapter les précautions au besoin - Ajuste les mesures de contrôle - Participe aux investigations La Cellule interrégionale d épidémiologie (Cire) - Assure les investigations épidémiologiques > Confirme et décrit l épisode épidémique > Identifie les facteurs associés à l apparition des cas groupés - Emet des recommandations pour le contrôle de tels épisodes - Apporte un retour d expérience à l établissement EXEMPLE : MAITRISER UNE ÉPIDÉMIE D IRA* La préparation - Surveillance pendant l hiver - Contexte d activité du virus de la grippe - Recommandations aux visiteurs - Tests rapides accessibles, petit stock de masques, mouchoirs en papier, SHA ) La réaction - Détection des premiers cas - Mesures de contrôle - Recherche étiologique > En amont : promotion de la prévention vaccinale +++ * Infection respiratoire aigüe LA VACCINATION ANNUELLE CONTRE LA GRIPPE Objectif : > Réduire les complications (hospitalisation et décès) liées à la grippe chez les personnes à risque Recommandations : - Personnes âgées > 65 ans - Personnes atteintes de certaines pathologies chroniques - Professionnels travaillant en contact des personnes à risques > Vacciner toutes les personnes susceptibles d introduire le virus dans l établissement (les visiteurs habituels des personnes hébergées dans l établissement)
3 LA VACCINATION ANTI-PNEUMOCOCCIQUE TOUS LES 5 ANS Recommandations : - Résidants splénectomisés, drépanocytaires homozygotes - les résidants insuffisants cardiaques ou insuffisants respiratoires - Personnes atteintes de syndrome néphrotique, d hépatopathie chronique alcoolique - Personnes ayant des antécédents d infection pulmonaire invasive à pneumocoque > Cette vaccination doit être proposée à ces personnes qui n en ont pas encore bénéficié, lors de leur admission dans une structure de soins ou un Ehpad MESURES DE CONTRÔLE Précautions complémentaires gouttelettes devant tout cas d IRA* dès les premiers cas - Friction hydroalcoolique des mains - Port de masque pour les malades et les personnels - Maintien du malade dans sa chambre régulièrement aérée (10 min par heure si possible) - Utilisation de mouchoirs en papier à usage unique - Limitation des visites > Information, port de masque - Limitation des regroupements Mesures spécifiques aux pathologies * Infection respiratoire aiguë RECHERCHE ÉTIOLOGIQUE DÉTECTION DES PREMIERS CAS D IRA* Le médecin diagnostiquant une infection respiratoire aigüe, en dehors des pneumopathies de déglutition, informe - Le médecin coordonnateur - Ou le directeur de la maison de retraite > Afin que la survenue de plusieurs cas puisse être immédiatement détectée * Infection respiratoire aiguë En période de circulation du virus grippal - Test de diagnostic rapide de la grippe (TDR) En dehors de la période de circulation du virus grippal ou si TDR négatif et en fonction des signes cliniques - Recherche d antigène urinaire de pneumocoque > hémoculture en milieu hospitalier - Recherche d antigènes urinaires de légionelle - Tests pour identifier une coqueluche > Sérologie, culture ou PCR
4 QUAND RÉALISER LES TESTS DE DIAGNOSTIC RAPIDE DE LA GRIPPE (TDR) En cas d IRA* ou de syndrome grippal dans une collectivité de personnes à risque - Hors période de circulation du virus en France : pas de TDR - Lors de la période de circulation du virus en France : > 1 er cas : pas de test > 2 e cas dans les 3 jours suivant le 1 er cas : TDR > 3 e cas dans les 3 jours suivant le 2 e cas : TDR > Si cas groupés : au minimum 3 TDR * Infection respiratoire aiguë INTÉRÊT DU TDR DE LA GRIPPE Outil indispensable : > S organiser pour en disposer rapidement Facile à utiliser : informer et former les médecins et les infirmières sur l existence et l usage des TDR Incontournables pour le traitement et la prévention chimioprophylactique par Oseltamivir des personnes à risque Facilite la décision de traitement par antibiotiques CHIMIOPROPHYLAXIE PAR OSELTAMIVIR 2 TDR sont positifs en 3 jours : prophylaxie pour les personnes à risques dans les 48 h qui suivent un contact avec un malade > Se rapporter au protocole de mise en place d une chimioprophylaxie dans une collectivité de personnes âgées lors d une de grippe, en période de circulation du virus grippal Les 2 e et 3 e cas sont positifs : prophylaxie Le 2 e cas est négatif et le 3 e cas est positif > Faire un nouveau TDR en cas d apparition d un 4 e cas dans les trois jours qui suivent le 3 e cas Le 2 e cas est positif et le 3 e cas est négatif > Faire un TDR si un cas survient dans les 3 jours qui suivent le 2 e cas CRITÈRES DE SIGNALEMENT Signaler sans délai toute survenue d au moins 3 infections respiratoires aiguës basses dans un délai de 8 jours, (en dehors des pneumopathies de déglutition) chez les personnes partageant les mêmes lieux, qu elles soient résidantes de l établissement ou membre du personnel
5 DÉCISION D INVESTIGATION En cas de critères de sévérité : > 3 décès ou plus survenant en moins de 8 jours et attribuables à l épisode infectieux > ou 5 nouveaux cas ou plus dans la même journée > ou absence de diminution de l incidence des nouveaux cas dans la semaine suivant la mise en place des mesures de contrôle L investigation est habituellement menée par : - l EOHH avec l appui éventuel de l Arlin si l établissement dépend d un établissement de santé - La Cire et l ARS quand l établissement dépend d un autre organisme ALGORITHME APPLICABLE CHEZ LES RÉSIDANTS ET LES PERSONNELS DE SANTÉ 0 cas 1 cas cas groupés Signalement si 3 cas en 8 jours Précautions standard lors des soins. Vaccinations à jour du personnel et des résidants/grippe et pneumocoque Précautions gouttelettes autour du cas Précautions gouttelettes autour des cas. Recherche d autres cas chez les résidants et personnels Recherche étiologique Mesures spécifiques aux pathologies EXEMPLE D UN SIGNALEMENT TARDIF DE CAS GROUPÉS D IRA BASSE EN EHPAD * Regroupement régulier des religieuses à la chapelle LA FEUILLE DE SURVEILLANCE Documentation du nombre de malades et de l apparition de cas groupés : - Chaque jour, le nombre d IRA est noté sur la feuille de surveillance. > Si le malade est un résidant, le cas est matérialisé par une case de couleur A. > S il s agit d un membre du personnel, le cas est matérialisé par une case de couleur B. - La date est celle de l apparition des signes cliniques et non celle de l éventuelle consultation * Investigation si critères de sévérité
6 EXEMPLE D UTILISATION DE LA FEUILLE DE SURVEILLANCE
7
8
9 Fiche de signalement de cas groupés de gastro-entérite aiguë (GEA) en collectivité de personnes âgées ou collectivités de personnes à risque Date du signalement : / / Nom, fonction et coordonnées téléphoniques de la personne responsable du signalement : Tél : / / / / / / Fax : / / / / / / Etablissement : Nom de l établissement : Adresse :. Code postal : / / / / / / Commune :.. Contacts téléphoniques dans l établissement : Direction : / / / / / / Personne référente : / / / / / / Médecin attaché : / / / / / / Type d établissement : Maison de retraite Unité de soin de longue durée Foyer logement Maison de retraite EHPAD Hôpital ou clinique Autre : précisez :. RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES Infections respiratoires aiguës (IRA) basses Circ. N 489 DHOS/DGS/DGAS du 22 novembre 2006 relative à la conduite à tenir devant une ou plusieurs infections respiratoires aiguës basses dans les collectivités de personnes âgées diffusant le Guide du CHSPF validé le 18 novembre persagees/circ_489.pdf Pneumocoque Avis du CSHPF du 14 janvier Conduite à tenir devant des cas groupés d infections invasives à pneumocoques dans une collectivité de personnes âgées mt_140105_pneumo_collect.pdf Clostridium difficile Circ N DGAS/SD2C/DHOS/E2 /DGS/C/2006/404 du 15 septembre 2006 relative aux recommandations de maîtrise de la diffusion des infections à dans les établissements hébergeant des personnes âgées et dans les unités de soins de longue durée clostridium/06_404t.pdf
10 La DISPOSITIF DE SURVEILLANCE Prévu par le code de santé publique > Article L pathologies concernées Dès le diagnostic : transmission des données individuelles du patient à l autorité sanitaire UNE LISTE DE MDO EN CONSTANTE ÉVOLUTION 2003, protection de l anonymat des personnes (loi du 1 er juillet 1998 relative au renforcement de la veille sanitaire et du contrôle de la sécurité sanitaire des produits destinés à l homme) DO VIH et hépatite B aiguë. Maladies récemment inscrites sur la liste des MDO > 2004 : le saturnisme > 2005 : Hépatite aiguë A et cas groupés de rougeole > 2006 : Chikungunya et Dengue QUATRE GRANDS PRINCIPES DOUBLE OBJECTIF Prévenir les risques d Analyser l évolution de ces maladies à (MDO) afin d adapter les politiques de santé publique > Ex : calendrier vaccinal L engagement des biologistes et des médecins dans la DO L anonymat des personnes Le renforcement des règles garantissant la protection des données chez les déclarants, dans les ARS et à l InvS L information individuelle des personnes par leur médecin sur la DO et sa finalité
11 La TROIS ACTEURS DANS LE PROCESSUS DE DO Les déclarants : biologistes et médecins - Déclarent à l ARS (exhaustivité nécessaire des déclarations) La CVGAS * de l ARS - Validation transmission des données de qualité relais de l information feed back aux déclarants sur les enjeux de santé publique les épidémiologistes de l INVS ** - Apport méthodologique en liaison avec la Cire *** - Alerte sanitaire / gestion des risques à l échelon local et national - Le Ministère de la santé > Définit les politiques de santé publique *Cellule de veille et gestion des alertes sanitaires ** Institut de veille sanitaire ***Cellule interégionale d épidémiologie CIRCUIT DE SIGNALEMENT Arlin - Cclin Demande Conseil et assistance Coordination des actions Cire ÉTABLISSEMENT SIGNALEMENT CVGAS ** -ARS Évaluation de la situation Préfet INFORMATION Corrus * Conseil général * Centre opérationnel de réception et de régulation des urgences sanitaires et sociales ** Cellule de veille et gestion des alertes sanitaires NOTIFICATION ANONYMISÉE DEUX PROCÉDURES DANS LA TRANSMISSION DE DONNÉES La notification Procédure de transmission de données individuelles par le médecin ou le biologiste à la CVGAS * de l ARS Objectif : suivi des MDO La notification intervient après le signalement et souvent après confirmation du diagnostic *Cellule de veille et gestion des alertes sanitaires
12 La MODALITÉS D ANONYMISATION ET DE PROTECTION DES DONNÉES Données d identification de la personne codées 2 e anonymisation effectuée par l InVS Les coordonnées des déclarants figurant sur les fiches de notification ne sont pas saisies dans les bases de données nationales et sont détruites sur les fiches 6 mois après la date de notification RÔLE DES ACTEURS La Cire - Assure les investigations épidémiologiques éventuelles concertées avec la CVGAS - Fait un bilan annuel des alertes régionales en établissements L Arlin - Assure une mission d expertise sur la gestion du risque infectieux associé aux soins et participe à l investigation RÔLE DES ACTEURS L établissement médico-social - Signale par tout moyen l évènement à l ARS de son département La délégation territoriale et la CVGAS de l ARS - Assure la transmission et l accompagnement / contrôle les actions menées par l établissement Dès réception à la CVGAS, l infirmière - Valide le signalement et la fiche de signalement - Se réfère aux fiches de conduite à tenir spécifiques éventuelles - Si DO, la transmet selon les procédures habituelles Le médecin analyse la situation et détermine les besoins d expertise (Cire, antenne régionale du Cclin [Arlin]) RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES Maladies à (MDO) : Dispositif de surveillance des maladies à déclaration obligatoire mdo
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailNathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de
GUIDE D ELABORATION DU VOLET INFECTIEUX DU PLAN BLEU GROUPE DE TRAVAIL : Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS
SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailAU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE)
MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO ------------- Unité Progrès Justice SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE ------------- DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE LA MALADIE
Plus en détailCapteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie
Capteurs pour la santé et l autonomie Nouvelles approches technologiques pour le suivi sur les lieux de vie Santé : nécessité de nouvelles approches Le nouveau contexte créé par les technologies de l information
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailGUIDE D ÉLABORATION DU PLAN BLEU. à destination des établissements médico-sociaux
GUIDE D ÉLABORATION DU PLAN BLEU à destination des établissements médico-sociaux Logo de l établissement Fiche de synthèse Établissements médico-sociaux (EMS) accueillant ou hébergeant des personnes âgées
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailObservatoire Valaisan de la Santé
Observatoire Valaisan de la Santé 02 Sommaire Un Observatoire de la santé pour décider 03 - Un outil indispensable pour piloter le système de santé 03 Une création par étapes 04 Organisation et Mission
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailRèglement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006
Règlement Intérieur Date : 6 novembre 2014 Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 OBJECTIFS - FINALITES DE L ORU-MiP Article 1. : Conformément à sa convention constitutive, la mission principale du GIP
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailDE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE
PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailMASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ
MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailSurveillance épidémiologique en Lorraine
CIRE LORRAINE- ALSACE Surveillance épidémiologique en Lorraine Point de situation au 2 juillet 2, n 2-16, 16, 26 Sommaire Surveillance par pathologie : - allergies... 2 - asthme...3 - pathologies liées
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire /Assurance Maladie Complémentaire : guichet unique et reste à charge
Assurance Maladie Obligatoire /Assurance Maladie Complémentaire : guichet unique et reste à charge Colloque de Lyon du 5, 6 et 7 janvier 2012 1 Plan de l intervention 1. Présentation MFP Services : Union
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailAmélioration de l accessibilité aux soins : l ARS signe un premier contrat de praticien territorial de médecine générale... 2
DOSSIER DE PRESSE MERCREDI 9 OCTOBRE 2013 Sommaire Amélioration de l accessibilité aux soins : l ARS signe un premier contrat de praticien territorial de médecine générale...... 2 Autorisation deux protocoles
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailDe ces considérations résulte l importance de la gestion du risque infectieux dans les EHPAD du fait de la grande fragilité des résidents.
INTRODUCTION Il y aurait en France environ 650 000 résidents hébergés, répartis dans une dizaine de milliers d EHPAD. Environ 40% des résidents ont au moins 85 ans avec une majorité de femmes (70%) [résultats
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détail