T TRI INFORMEL DE LA VILLE DE RABAT MAROC
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- Éloïse Marie-Madeleine Gauvin
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1 T TRI TRI INFORMEL EXPERIENCE DE LA VILLE DE RABAT MAROC
2 Aperçu sur la ville de Rb Rabat Capitale du Royaume du Maroc Appartient a l agglomération de Rabat Salé Temara de 2millions d habitants Rabat fêtera son millénaire en habitants taux de croissance demographique1./. Vocation : Capitale de la culture et du savoir Capitale écologique (declarée ville verte à l occasion dela celebration dela journéedela terre en 2011 (36m2 d espace vert par Habitant)
3 Rabat inscrit son développement local dans un cadre durable *ll *elle renforce son attractivité économique En diversifiant ses vocations( touristique, industrie verte, à forte valeur ajouté(nanotechnologie).. *elle met à niveau ses services de proximité et ses infrastructures de base dont notamment _ organise son transport et se dote d un tramway et d une nouvelle flot de bus _ Sedote d une Stationde traitement des eaux usées et bannit les rejets d eau usées en mer
4 améliore la gestion de ses déchets ménagers * renforce ses services de collecte des déchets ménagers et de nettoiement * renforce son service de contrôle * se dote d un centre d enfouissement technique, intercommunal, moderne traite ses lixiviats et intègre, au projet, un centre de tri sur déchets bruts dans le cadre d un projet social de soutien au trieurs «informels» * réhabilite son ancienne décharge et la valorise Pour ce, une mise en contexte s avere utile :
5 Bref Aperçu sur le contexte nationalen matière de gestion des déchets ménagés: A l instar de la majorité des. pays en voie de développement, le Maroc se confronte à d importants défis à relever en matière d aménagement et de qualité des services de gestion des déchets ménagers.
6 de part : Le fait qu il doit faire face à une augmentation continue du volume des déchets produits dans le pays.en Raison : *d une croissance régulière du nombre d habitants *d un changement tdes modes de production et de consommation *d une amélioration du niveau de vie. à un coût grandissants des impacts des déchets municipaux et industriels sur l environnement, des retombées négatives sur la santé des populations et la salubrité des villes
7 Cout de dégradation de l environnement THEME./. pib Eau et déchets 6.0 Air 1,9 Sol et milieu naturel 0,3 TOTAL 8,2
8 Les contraintes Notamment le cadre juridique: resté longtemps figé et insuffisamment étoffé : Charte Communale 1978 (modifiée en 2009) confie aux collectivités locales l assainissement liquide et solide Loi sur l urbanisme :. Loi sur l eau
9 Loi ( année 2006) loi relative à la gestion des déchets et à leur élimination: incite à la réduction de leur production et leur valorisation, la mise en décharge contrôlée, l organisation du transport et l information du public. Elle classe les décharges en trois catégories selon la nature des déchets. Ce projet de loi s applique aux déchets ménagers et assimilés, déchets inertes, industriels, médicaux et dangereux. Il préconise la planification et fixe des délais Plan National: Déchets dangereux Plan Régional: Déchets médicaux, pharmaceutiques, Plan Préfectoral: Déchets ménagers et assimilés Plan Communal: Déchets ménagers et assimilés Cette loi attend ses décrets d application
10 les contraintes d ordre institutionnel, financier, mais aussi en terme de formation pour le renforcement des capacités locales en matière de gestion des déchets, notamment sur les volets du recyclage et du compostage des déchets car ils offrent des opportunités, jusque là mal exploitées, de réduction des coûts et de gestion rationnelle des déchets.
11 Le recyclage et la valorisation des déchets Sur le plan institutionnel À l echelle nationale : le secteur ne bénéficie éfi i d aucune disposition iti particulière permettant sa prise en charge, son encadrement et la promotion de ses activités par une institution publique. Compte tenu de son champ d intervention, il est accessoirement «parrainé» par le Ministère de l Aménagement du Territoire, de l Eau et de l Environnement pour son intérêt écologique et par la DGCL pour l intérêt du tri organisé, préconisé dans certains cahiers des charges. De même, aucune institution n assure l observation et le suivi des données relatives aux produits recyclés, ni la recherche et le développement pour la conception de nouveau produits adaptés au marché local.
12 Sur le plan juridique le recyclage est entré pour la première fois dans le lexique de la législation nationale à travers le projet de loi sur la gestion et l élimination des déchets solide le tri et le recyclage y figurent dans des termes très généraux sans objectifs chiffrés, ni orientations ou obligations pourles communes de promouvoir les activités de valorisation. D où l interet de la mise en place des mesures d accompagnement poureviter decompromettre la récupération et la valorisation des déchets, notamment celles des plastiques, du papier carton et du verre. La ferraille étant récupérée essentiellement à partir des déchets industriels assimilés.. Plus encore pour le développement des activités du secteur, la tendance actuelle de délégation des services de collecte et denfouissement d enfouissement est sans dispositions de tri et de valorisation. Mis à part le cas de Rabat ou la gestion déléguée a mis en œuvre des solutions adaptées pour permettre aux chiffonniers de trier les déchets avant leur enfouissement
13 Données Déchets ménagers *des données limitées *. La récupération se déroule à différents niveaux (éboueurs, récupérateurs de rue, etc.), * d une manière informelle et non organisée. *En effet, on manque de données exactes sur ce secteur et les informations sur les chiffres d affaires des grossistes qui jouent le rôle d intermédiaires entre les trieurs et les sociétés de recyclage ne sont pas disponibles * En général le pourcentage des déchets recyclés reste faible. Mais il est sûrement beaucoup plus élevé que les données fournies lors de l enquête effectuée par le Département de l Environnement en (ne dépassant pas les 10./.) Pourcentage à considérer par rapport aux quantités de dechets produites Pour evaluer le potentiel.
14 Evolution future de la production des déchets ménagers au Maroc département environnement 1997 années Populati on/ 1000 Dechets menage rs /T/an Milieu urbain total
15 Experience de la ville de Rb Rabat Solutionner la problematique de la saturation de la décharge sauvage D Akrach (ouverte en 1985 elle recevait T /an de déchets diverses) Reponsable de multiples dégradation sur le plan environnemental avec un impact sur le developpement local de la ville (projet tb bouregreg ) Réalisation d un centre d enfouissement technique répondant aux normes techniques requise en la matière Intercommunal Incluant un centre de tri sur déchets brut mis en place dans le cadre d un programme de réinsertion sociale des trieurs Notamment avec un effectif de 50 personnes Qui ont beneficié d un programme de relogement dans le cadre de la lutte contre l habitat insalubre (irradication du quartier insalubre qui s était constitué autour d Akrach
16 Composition des déchets ménagers dans quelques Centres Urbains (%) source: ministere interieur 1999 Constituan ts Rabat salé Essaouira Matiere_ organique Papier ca 9à 10 8 rton 14 Plastique 6à metal Verre_ debris de ceramique 2 1,5 3 divres 4à 6 7,5 30
17 Perspectives en matière de recyclage et valorisation ville de Rabat Cadre : Implication dans le projet euromediterranéen Godem Realisation d un Etat des lieux : Recensement des trieurs, profil conditions de travail, organisation du travail, condition sanitaire.. _objectisf: valorisation du metier Organisation, capitalisation des savoir faire existant en la matière
18 Potentiel de Vente de Matières Recyclables dans les Déchets Ménagers d un Quartier résidentiel à Essaouira ENDA MAROC 1999 Matiere Quantité Prix en Potentiel recyclable mensuelle dh/kg de vente en Kg mensuel Papier _carton , plastique , Metaux , verre , totalt
19 Je vous remercie pour votre Aimable attention
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